Partager l'article ! LOUP-GAROU L'inconnu, le frisson fait partie du jeu. Jouissons au double !: Classé dans RECITS FICTIONS FANTASMES (84) Ca ne vou ...
Classé dans RECITS FICTIONS FANTASMES (84)
Ca ne vous arrive pas de vous "donner peur" ? D'avoir, comme moi, un picotement au creux des mains ?
C'est la peur...mais TOUS les plaisirs en sont amplifiés !
Brrr...y a quelqu'un là-bas au fond, non ?
LOUP-GAROU
Bastien et moi, Christophe, vivons ensemble depuis près de vingt mois. Bastien a vingt-cinq ans, dix ans de moins que moi. Il est fin, aux muscles longilignes, un peu féminin (mais il le reconnaît lui-même), blond et totalement imberbe. Moi, je suis très masculin, châtain foncé avec déjà quelques fils blancs, et très poilu sur le torse et le ventre. Nous faisons partie de ces quelques gays qui ne cherchent pas une image d’eux-mêmes. J’aime les mecs graciles aux fesses rebondies. Bastien est fou de mes pecs et de ma toison; il n’est jamais aussi bien que ronronnant, blotti contre ma poitrine. Il adore même les poils que j’ai sur les phalanges des doigts et des orteils. Ça le fascine et l’excite, au point qu’il me les suce très souvent. Il m’appelle son “loup-garou”. Moi, je l’appelle “poussin". Ça fait débile, mais on n’est pas les seuls au monde!
C’est la seconde fois que nous partons en vacances ensemble. Pour juillet, on a décidé d’aller faire un tour chez des amis en Ardèche, entre Vogüé et Pont-d’Arc. Bastien et moi, on en a profité, un soir qu’on se baladait tous les deux sur un chemin désert après le dîner, pour se monter un plan, rigolo au départ, mais qui a révélé des désirs enfouis en chacun de nous. J'ai commencé à taquiner mon “poussin”, à l’embrasser derrière les oreilles, là où ça le fait frissonner, à le serrer d’un peu près en grognant. La nuit était tombée, et le ciel était constellé d’étoiles. On a roulé par terre, moi au-dessus de mon joli bonhomme. On bandait comme des ânes. Pourtant, on avait déjà baisé ce matin. C’est là qu'il m’a dit en montrant la pleine lune qui se levait à l’est:
— Ça serait dingue si t’étais un vrai loup-garou! J’adorerais que tu me violes en me griffant et en me mordant, et qu’après tu me prennes dans tes bras pour m’emmener à ta tanière...
— T’aimerais donc tant que ça te faire agresser par un monstre?
— Tu sais, on a tous des fantasmes un peu cachés. Moi, je suis branché vrais mâles, et je ne pouvais pas mieux tomber avec toi. Des fois, j’aimerais bien que tu sois brutal, que tu me domines complètement. Pas tout le temps, mais une fois de temps en temps. J’aimerais bien me soumettre complètement à l’impétuosité de ton désir de mec, sentir ta grosse queue s’introduire en moi par la force, sans tendresse, et tes dents se refermer sur ma nuque pendant que tu me jutes dans le fion!
— Tu m’excites, poussin, tu m’excites... Attention à ton p’tit cul...
— Pourquoi? T’as des fantasmes de viol, toi aussi...? Et si j’étais le pauvre petit agneau perdu dans la profonde forêt, et si tu étais le loup affamé de chair fraîche...?
C’est comme ça qu’on s’est monté un film tous les deux qui nous a laissé une impression mémorable.
— Bon! Défringue-toi! Allez, tout de suite! À poil! Maintenant, cours jusqu’au croisement, là où il y a le calvaire et attends le loup-garou, le cul en l’air, bien cambré. T’en veux du film d’horreur, tu vas en avoir, poussin!
J’ai vu Bastien partir à poil en courant et disparaître dans la nuit. Son petit cul blanc imberbe se trémoussant m’a électrisé la libido. À mon tour, je me suis défringué, et j’ai dissimulé nos vêtements derrière un muret de pierres. J’étais à poil sur un chemin désert, la bite triomphante, dressée à la verticale, et j’allais m’offrir un trou bien chaud et bien profond. La Lune éclairait le paysage caillouteux d’une lueur fantomatique. Il faisait encore très chaud. J'ai pris un grand plaisir à me promener ainsi à poil, excité, me branlottant la pine avec des gestes lascifs. Le silence n’était entrecoupé que par les insectes nocturnes et le passage des bagnoles en bas, dans la vallée. Sacré Bastien! Il me plaisait, ce petit con! Malgré ses airs de romantique sentimental, il avait envie d’être monté comme une chienne par un soudard poilu des pieds à la tête.
J’ai caressé ma toison. C’est vrai que c’était épais et doux. Je comprenais le plaisir que Bastien devait éprouver à tripoter ça. Plusieurs fois, il m’avait dit que, pour aimer les mecs imberbes et pas très virils comme lui, je devais être un hétéro raté. Pourtant, j’aime bien sucer sa bite, même si je ne suis qu’actif.
J’arrivais au croisement. J’ai ralenti le pas, et soudain, j’ai poussé un hurlement de loup dans la nuit. Des chiens d’une ferme au loin se sont mis à aboyer. Puis j’ai commencé à grogner et à haleter comme une bête furieuse. Il voulait de l’ambiance, il en aurait! J’ai aperçu le grand calvaire éclairé par la lune. Tout y était! Manquait plus que le château en ruines et les chauve-souris... J’ai commencé à bondir à droite, à gauche, à arracher des branches, à sauter derrière les massifs de buis, tout en continuant de grogner comme un loup en fureur. Je n’ai pas mis longtemps à trouver mon Bastien contre un muret de pierres sèches, à quatre pattes, le cul cambré comme une femelle prête à se faire saillir. J’ai rugi sans prononcer un seul mot. Ah, ce cul, cette chute de reins! La position soumise! Je me suis pris au jeu. J’étais hyper-excité. Tout en contemplant ma victime, je me suis massé les couilles, dures à force d'être gonflées de jus, la teub, raide à casser net, et puis les tétines, parce que ça me fait un effet radical, tout comme Bastien. Je me suis lentement approché, je me suis arrêté à deux mètres, jouant mon rôle, et puis je me suis jeté sur lui en hurlant. Je l’ai couvert de mon corps velu et je l’ai mordu cruellement dans le cou. Bastien a longuement gémi. Et puis j’ai essayé de le violer, de le prendre de force. Mais ça n’a pas voulu rentrer aussi facilement. Pourtant, aux doigts, j’ai bien senti que Bastien était ouvert. J’ai salivé mon manche, je l’ai pointé, et vlan! j’ai commencé à percer son trou du cul serré et chaud. J’ai forcé, obligeant Bastien à pousser des cris brefs de douleur. Aucun de nous deux n’a prononcé un mot. Moi, j’étais la Bête. Bastien, la Victime expiatoire. Je l'ai enculé comme jamais je n'ai enculé un mec. Je l'ai foutu jusqu'à la garde en va-et-vient profonds et brutaux. Je me suis couché sur lui et je l’ai saisi par-dessous les bras pour m’enfoncer encore davantage, les abricots collés à son cul pommé. Je l'ai limé à grands coups de boutoir en lui mordant la nuque ou les épaules, sans cesser de rugir. Je sentais que je lui avais fait mal: ça m’a excité encore plus! Oui, petit poussin, t’étais à moi, ton cul était à moi, et j’allais te noyer les boyaux de mon foutre de mâle et t’obliger à le garder autant que tu le pourrais!
Je me suis relevé. J’ai contemplé le corps de ma victime sous la blême lueur de la lune, blanc, lisse comme un caillou poli, avec de beaux muscles longs et fins jouant sous la peau diaphane. J'ai regardé ma grosse pine gorgée de sang plantée dans cette rondelle écartelée. Alors j’ai commencé à fesser ce cul charnu, de bonnes claques sèches, sans tendresse, cruelles. À chaque coup, Bastien lançait une plainte. Alors, je donnais un bon coup de queue. Et il tendait ses fesses pour recevoir le coup suivant. J’ai senti le jus monter de mes entrailles. J’ai hurlé comme un loup une seconde fois, et je me suis mis à défoncer Bastien de coups de bite de plus en plus puissants. Ça sortait et ça entrait dans des bruits humides de succion. D’un coup, je me suis relevé, obligeant Bastien à en faire autant. Il s’est arc-bouté contre le muret. Je lui ai éclaté le fion, et l’orgasme m’a dévasté. J’ai joui à ne plus pouvoir arrêter. J'ai cru que je l’inondais de plusieurs litres de foutre. Bastien s’est mis à hurler de plaisir: il jouissait à son tour. On s’est affalés dans les herbes sèches, à bout de souffle.
La violence de l’événement nous a surpris par la suite. On a trouvé tous les deux que c’était excitant au possible, mais qu’on ne ferait pas ça tous les jours. Contrairement à mon apparence de “loup-garou”, je suis un tendre. Viril mais tendre. J’aime bien caresser mon poussin, l’envelopper, le pomper jusqu’à ce qu’il se répande dans ma bouche. Mais, depuis, nos jeux intimes se sont teintés d’un peu de brutalité. Pour rire.
-- Pour rire. Pour rire...VOUS VOUS BAISEZ ODIEUSEMENT NON ?
J’ai la salle habitude d'écouter aux portes ...
C’est comme ça qu’on s’est monté un film tous les deux qui nous a laissé une impression mémorable.
— Bon! Défringue-toi! Allez, tout de suite! À poil! Maintenant, cours jusqu’au croisement, là où il y a le calvaire et attends le loup-garou, le cul en l’air, bien cambré. T’en veux du film d’horreur, tu vas en avoir, poussin!
J’ai vu Bastien partir à poil en courant et disparaître dans la nuit. Son petit cul blanc imberbe se trémoussant m’a électrisé la libido. À mon tour, je me suis défringué, et j’ai dissimulé nos vêtements derrière un muret de pierres. J’étais à poil sur un chemin désert, la bite triomphante, dressée à la verticale, et j’allais m’offrir un trou bien chaud et bien profond. La Lune éclairait le paysage caillouteux d’une lueur fantomatique. Il faisait encore très chaud. J'ai pris un grand plaisir à me promener ainsi à poil, excité, me branlottant la pine avec des gestes lascifs. Le silence n’était entrecoupé que par les insectes nocturnes et le passage des bagnoles en bas, dans la vallée. Sacré Bastien! Il me plaisait, ce petit con! Malgré ses airs de romantique sentimental, il avait envie d’être monté comme une chienne par un soudard poilu des pieds à la tête.
J’ai caressé ma toison. C’est vrai que c’était épais et doux. Je comprenais le plaisir que Bastien devait éprouver à tripoter ça. Plusieurs fois, il m’avait dit que, pour aimer les mecs imberbes et pas très virils comme lui, je devais être un hétéro raté. Pourtant, j’aime bien sucer sa bite, même si je ne suis qu’actif.
J’arrivais au croisement. J’ai ralenti le pas, et soudain, j’ai poussé un hurlement de loup dans la nuit. Des chiens d’une ferme au loin se sont mis à aboyer. Puis j’ai commencé à grogner et à haleter comme une bête furieuse. Il voulait de l’ambiance, il en aurait! J’ai aperçu le grand calvaire éclairé par la lune. Tout y était! Manquait plus que le château en ruines et les chauve-souris... J’ai commencé à bondir à droite, à gauche, à arracher des branches, à sauter derrière les massifs de buis, tout en continuant de grogner comme un loup en fureur. Je n’ai pas mis longtemps à trouver mon Bastien contre un muret de pierres sèches, à quatre pattes, le cul cambré comme une femelle prête à se faire saillir. J’ai rugi sans prononcer un seul mot. Ah, ce cul, cette chute de reins! La position soumise! Je me suis pris au jeu. J’étais hyper-excité. Tout en contemplant ma victime, je me suis massé les couilles, dures à force d'être gonflées de jus, la teub, raide à casser net, et puis les tétines, parce que ça me fait un effet radical, tout comme Bastien. Je me suis lentement approché, je me suis arrêté à deux mètres, jouant mon rôle, et puis je me suis jeté sur lui en hurlant. Je l’ai couvert de mon corps velu et je l’ai mordu cruellement dans le cou. Bastien a longuement gémi. Et puis j’ai essayé de le violer, de le prendre de force. Mais ça n’a pas voulu rentrer aussi facilement. Pourtant, aux doigts, j’ai bien senti que Bastien était ouvert. J’ai salivé mon manche, je l’ai pointé, et vlan! j’ai commencé à percer son trou du cul serré et chaud. J’ai forcé, obligeant Bastien à pousser des cris brefs de douleur. Aucun de nous deux n’a prononcé un mot. Moi, j’étais la Bête. Bastien, la Victime expiatoire. Je l'ai enculé comme jamais je n'ai enculé un mec. Je l'ai foutu jusqu'à la garde en va-et-vient profonds et brutaux. Je me suis couché sur lui et je l’ai saisi par-dessous les bras pour m’enfoncer encore davantage, les abricots collés à son cul pommé. Je l'ai limé à grands coups de boutoir en lui mordant la nuque ou les épaules, sans cesser de rugir. Je sentais que je lui avais fait mal: ça m’a excité encore plus! Oui, petit poussin, t’étais à moi, ton cul était à moi, et j’allais te noyer les boyaux de mon foutre de mâle et t’obliger à le garder autant que tu le pourrais!
Je me suis relevé. J’ai contemplé le corps de ma victime sous la blême lueur de la lune, blanc, lisse comme un caillou poli, avec de beaux muscles longs et fins jouant sous la peau diaphane. J'ai regardé ma grosse pine gorgée de sang plantée dans cette rondelle écartelée. Alors j’ai commencé à fesser ce cul charnu, de bonnes claques sèches, sans tendresse, cruelles. À chaque coup, Bastien lançait une plainte. Alors, je donnais un bon coup de queue. Et il tendait ses fesses pour recevoir le coup suivant. J’ai senti le jus monter de mes entrailles. J’ai hurlé comme un loup une seconde fois, et je me suis mis à défoncer Bastien de coups de bite de plus en plus puissants. Ça sortait et ça entrait dans des bruits humides de succion. D’un coup, je me suis relevé, obligeant Bastien à en faire autant. Il s’est arc-bouté contre le muret. Je lui ai éclaté le fion, et l’orgasme m’a dévasté. J’ai joui à ne plus pouvoir arrêter. J'ai cru que je l’inondais de plusieurs litres de foutre. Bastien s’est mis à hurler de plaisir: il jouissait à son tour. On s’est affalés dans les herbes sèches, à bout de souffle.
La violence de l’événement nous a surpris par la suite. Ou a trouvé tous les deux que c’était excitant au possible, mais qu’on ne ferait pas ça tous les jours. Contrairement à mon apparence de “loup-garou”, je suis un tendre. Viril mais tendre. J’aime bien caresser mon poussin, l’envelopper, le pomper jusqu’à ce qu’il se répande dans ma bouche. Mais, depuis, nos jeux intimes se sont teintés d’un peu de brutalité. Pour rire.
-- Pour rire. Je vois ce que tu veux dire !
-- baisez comme nous les soirs de pleine lune !
-- il y a des lieux qui nous attirent plus que d'autres...
-- un vrai loup garou a sa façon d'embrasser qui ne ressemble à aucune autre !
conciliabule :
15 secondes avant l'assaut...
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