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Le zèle du service de sécurité de cet aéroport m'a paru excessif puis louche, puis carrément anormal
voici une belle aventure que raconte très bien Jules dans gai-eros
Naufragés du ciel
On serait vieux à 37 ans ? ça se saurait !
De manière assez bizarre. Il avait donc écarté mes bras, il a regardé longuement mon pénis, m’a fait un compliment sur sa longueur...
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REDIFFUSION
Il est 11h50, je suis assis dans le bus qui part de la Porte Maillot pour l’aéroport de Beauvais, tout à l’avant. C’est la première fois que je le prends. Je me rends à Oslo pour des spectacles à l’opéra, bâtiment très moderne dont je me réjouis de voir l’architecture. À la dernière minute, le chauffeur rouvre la porte, un jeune homme arrive en courant. Il monte, essoufflé, et me demande s’il peut s’asseoir à côté de moi. Je lui réponds par l’affirmative. Je pense tout de suite qu’il prendra le même vol que moi. Il est de type nordique, la peau claire, les cheveux blonds, les yeux bleus. Un descendant des Vikings ? Dommage, ceux-ci ne toléraient pas l’homosexualité. Les mœurs ont évolué depuis… Je dis au jeune homme :
— C’était juste.
— Je me suis trompé de correspondance dans le métro, si j’avais raté le bus, j’aurais dû repayer mon billet d’avion.
— Vous prenez le vol pour Oslo ?
— Oui, comment as-tu deviné ?
— Juste votre physique. Vous parlez bien le français.
— Ma mère est française. Je suis venu trouver mes grands-parents. Et toi ? Pourquoi vas-tu à Oslo alors qu’il y fait déjà nuit presque toute la journée ?
— Je suis un amateur d’opéra et de théâtre.
— Ça tombe bien, je viens de terminer mes études d'acteur.
Le jeune homme me tutoie tout de suite, comme c’est l’habitude dans les pays nordiques. Nous ne parlons plus beaucoup le reste du trajet. À l’aéroport, j’enregistre ma valise, elle est trop lourde et je dois repayer trois fois le prix du billet. On annonce un retard de deux heures environ, à cause d’une tempête. Ça commence bien. Je vais au bar, le jeune homme s’y trouve déjà et je m’assieds à côté de lui. Il boit un café, je lui demande si je peux lui offrir autre chose, il est d’accord, je commande deux bières belges. J’apprends qu’il s’appelle Olav, il a 21 ans. Je ne me suis pas encore présenté, mon prénom est Frédéric et j’ai 37 ans. Je suis fonctionnaire dans un ministère, célibataire et inverti, comme vous l’aurez deviné. Je sors ma tablette pour me distraire, Olav me demande s’il peut me l’emprunter, il n’a pas lu ses courriels depuis plusieurs jours. Le temps passe lentement, je regarde parfois le tableau des départs, il y a maintenant trois heures de retard.
On finit par annoncer que notre avion est arrivé. Nous nous levons et embarquons ensemble, nous nous retrouvons donc assis l’un à côté de l’autre, tout à l’arrière. Une heure environ après le départ, le commandant prend la parole :
— Bonsoir Mesdames et Messieurs, j’espère que le vol a été agréable jusqu'à présent et que vous avez bien mangé.
J’avais acheté un sandwich minuscule qui m’avait coûté aussi cher que le vol.
— Nous allons devoir malheureusement emprunter une autre route plus à l’ouest, sur la mer du Nord, à cause d’une tempête, nous aurons un peu de retard à l’arrivée. Relaxez-vous.
Je dis alors à mon compagnon :
— Mieux vaut cela qu’un crash.
— D’accord avec toi.
Nous buvons un breuvage sensé être du café, de nouveau aussi cher que le vol. Une demi-heure après, le commandant fait une nouvelle annonce.
— Mesdames, Messieurs, nous devrons malheureusement faire une escale imprévue, le temps est vraiment trop mauvais. Nous allons nous poser à …
Je ne comprends pas le nom, Olav non plus. Le personnel de cabine récolte rapidement les déchets, puis disparaît. J’attache ma ceinture. Après quelques minutes, nous commençons à tourner en rond, comme lorsque les aéroports sont surchargés. Plus personne ne parle. Certains sortent leur portable pour envoyer un SMS, malgré l’interdiction. Je doute qu’ils aient un réseau disponible au-dessus la mer. Nous entamons ensuite la descente, il fait nuit et je ne vois pas grand-chose, mais je finis par distinguer des lumières, nous allons toucher le sol. Soudain l’avion reprend de l’altitude. Le pilote refait une annonce :
— Pas de souci, nous refaisons un essai, nous allons y arriver. De toute façon, il ne nous reste du kérosène que pour 10 minutes.
Personne ne rit à sa plaisanterie. Nous entamons une nouvelle descente et nous nous posons brutalement, l’avion s’arrête très rapidement, la longueur de la piste était certainement limite, je pense que les freins sont morts, nous n’allons pas repartir de sitôt. Je m’abstiens d’applaudir, même si le pilote est un héros maintenant. Le personnel de cabine ouvre les portes et fait évacuer l’avion par les toboggans. Nous nous retrouvons au bord de la piste sous une pluie battante. Je m’attendais à voir des camions de pompiers, mais il n’y a personne. Nous devons marcher 500 mètres environ jusqu’au bâtiment de l’aéroport, nous sommes trempés, il fait froid. Je lis un panneau avant d’entrer :
« Willkommen auf Helgoland-Düne. »
Je demande à Olav :
— Sais-tu où nous sommes ? Es-ce du norvégien ?
— Non, c’est de l’allemand, nous sommes en Allemagne.
Le bâtiment est presque trop petit pour accueillir tous les passagers, nous nous serrons, nous aurons au moins chaud. Tout est fermé. Après une heure, beaucoup de monde arrive, ils ouvrent le bar, commencent à servir du café, puis ensuite des croissants chauds. J’obtiens même un alcool fort pour me remettre. Nous attendons encore, puis un homme fait une annonce au haut-parleur :
— Mesdames, Messieurs, je vous souhaite la bienvenue sur l’île d’Helgoland, malgré les circonstances. Par chance personne n’est blessé. Vous imaginez bien que l’avion ne pourra pas redécoller cette nuit, nous allons donc vous mener dans des hôtels pour passer la nuit. C’est la basse saison, et beaucoup d’hôtels sont fermés. Je demande aux personnes seules de faire preuve de compréhension et de partager une chambre avec quelqu’un autre. Nous ne pourrons malheureusement livrer vos bagages que demain matin.
Bon, l’aventure ne finit pas trop mal. Je demande à Olav :
— Tu as entendu, puis-je partager ta chambre ?
— Oui, me répond-il en me faisant un clin d’œil.
Il faut encore arriver jusqu'à l’hôtel. Les passagers sont priés de sortir par petits groupes de vingt pour prendre un bus navette, il faut ensuite attendre une dizaine de minutes pour que le bus revienne. Nous décidons de ne pas nous presser. J’ai vu sur mon smartphone que l’aéroport (je ne sais pas s’il mérite ce nom) est situé sur une autre île et que nous devrions encore prendre un bateau. Nous sortons avec le dernier groupe, il pleut toujours autant. Le bus nous mène jusqu’au port où nous embarquons sur un petit ferry. Nous restons sur le pont, la courte traversée est interminable, le bateau tangue et je me demande si nous allons sombrer, après avoir échappé à un crash de justesse.
Nous arrivons sains et saufs (plutôt saufs que sains, certaines personnes ont eu le mal de mer) sur l’autre île, devons encore marcher jusqu’à l’hôtel dans la tempête, attendre une éternité pour faire l’enregistrement et nous nous retrouvons enfin dans la chambre, assez grande et luxueuse, beaucoup mieux que je ne l’aurais pensé. À peine arrivé, mon compagnon d’infortune enlève immédiatement ses vêtements trempés et se retrouve nu devant moi, puis va chercher une serviette à la salle de bain. Je ne peux m’empêcher d’admirer son corps, il est assez maigre, il a un long pénis.
— Enfin sec, j’espère ne pas avoir attrapé un rhume, me dit-il. J’y pense, je me suis déshabillé sans réfléchir. J’espère que cela ne te gêne pas.
— Non, répondis-je. Dans ces circonstances un peu spéciales, à la guerre comme à la guerre.
Je ne désire pas lui dire que ce striptease m’a ravi.
— Il faut dire que j’ai l’habitude de me déshabiller devant des centaines de personnes, continue Olav.
— Tu fais du striptease ?
— Non, c’est sérieux. Je te raconterai.
— Avec plaisir, mais plus tard, ils nous ont promis un souper.
— Mais comment nous habillerons-nous ? Nous n’avons pas nos valises et nos habits sont mouillés.
— Il y a des peignoirs dans l’armoire.
Je suis plus pudique et je vais à la salle de bain pour me changer. Nous descendons à la salle à manger. La plupart des autres passagers sont aussi en peignoir et c’est une ambiance assez drôle. Les cuisiniers de l’hôtel, qui ont certainement été rappelés, ont préparé un petit buffet chaud et nous mangeons avec appétit. Tout le monde parle beaucoup. Après le repas, Olav me demande :
— Un dernier verre au bar ?
— Non, je préfère aller dormir. Je suis épuisé. Mais tu peux y aller seul.
— Non, je viens aussi dormir. J’ai entendu un de mes compatriotes dire que la tempête durerait plusieurs jours. Nous aurons le temps de faire connaissance demain.
Je m’endors très rapidement, malgré tous les événements de la journée. Le lendemain matin, je me réveille alors qu’Olav est en train de se doucher. Il ressort en peignoir de la salle de bain, il pense peut-être qu’il n’aurait pas dû se dénuder devant moi. Nous descendons prendre le petit déjeuner. Un pilote nous informe que nous ne pourrons pas repartir tout de suite. Des techniciens doivent venir inspecter l’appareil et il faudra ensuite commander des pièces de rechange. Mais pour le moment, la tempête bloque tout le trafic aérien. Les ferrys ont également cessé leurs navettes avec le continent, nous sommes donc bloqués sur l’île. Nous ne sommes pas vraiment surpris. Nous pouvons enfin récupérer nos bagages après le repas et nous remontons dans la chambre. Après nous être habillés, nous nous asseyons dans des fauteuils, je lis mes mails sur ma tablette puis je la prête à Olav. Lorsqu’il a terminé, j’engage la conversation :
— Je ne pourrai plus me rendre à Oslo, je devrai rentrer à Paris, je n’ai que quelques jours de vacances. Et toi, tu m’as dit que tu es comédien, as-tu des représentations ces prochains jours, comment vont-ils faire ?
— Je n’ai pas d’engagement avant l’année prochaine, mais j’ai eu de la chance, j’ai pu jouer à la rentrée en septembre pour la première fois. J’ai eu un rôle tout de suite, c’est inhabituel, je viens de finir mes études.
— Si tu étais une femme, je dirais que tu as dû coucher avec le producteur.
— Non, pas avec le producteur, avec le metteur en scène.
— Le ou la metteur en scène ? Si je ne suis pas indiscret.
— Le. Mais j’étais déjà engagé à ce moment-là. Je vais te raconter. Nous n’avons rien d’autre à faire sur cette île.
Olav commence son récit.
— J’ai donc fini mon école au mois de juin. J’ai envoyé mon CV dans divers théâtres, j’espérais décrocher un petit rôle.
— Le domestique qui dit une seule phrase, « Madame est servie ».
— Par exemple. J’ai reçu une réponse du plus grand théâtre d’Oslo et j’avais un rendez-vous avec la directrice au milieu du mois d’août. J’étais dans son bureau lorsque un homme entre : « Excuse-moi de te déranger, Jørgen vient d’avoir un accident, pas grave, une jambe cassée, mais je dois le remplacer, la première est dans deux semaines. » Sans attendre la réponse de la directrice, il se tourne vers moi, me regarde et me demande : « Tu es acteur ? » Je réponds oui, il me demande si je suis libre tout de suite, je lui réponds aussi oui. Il me dit : « J’ai mon remplaçant. Kjerstin te fera un contrat. Je m’appelle Håkon. Nous rattraperons les répétitions le soir. Tu apprendras le texte pendant la journée. Tu es d’accord ? » C’était inespéré. Je venais de réaliser qui était ce metteur en scène, l’un des plus connus de Norvège. Débuter ma carrière avec lui ferait bien sur mon CV, et les salles étaient toujours pleines.
— Tu avais quand même dû lui taper dans l’œil.
— Je convenais bien au rôle, jeune, un peu fragile, et, sans fausse modestie, assez beau. Nous sommes partis au local de répétitions, il m’a présenté à l’équipe, j’ai commencé à lire le texte. Nous avons décidé de nous retrouver le soir pour la première répétition. Je te passe les détails de la pièce, c’est un auteur norvégien moderne et du « Regietheater » comme ils disent en Allemagne. Après quelques jours, alors que nous étions seuls dans le théâtre le soir, je demande à Håkon : « Je n’ai pas encore essayé les costumes. Pourrais-tu m’organiser une séance d’essayage ? » Il a l’air gêné, puis me répond : « Je dois avoir oublié de te dire, il n’y aura pas de costumes, tu devras jouer nu. » J’étais surpris, j’avais joué souvent en sous-vêtements, mais jamais tout nu. J’ai dit au metteur en scène : « Tu aurais pu me prévenir. » Il m’a répondu : « C’était écrit dans le contrat, tu ne l’as pas lu ? »
— Tu ne l’avais pas lu ?
— Non, j’étais si content d’avoir ce rôle, j’aurais signé n’importe quoi.
— Et tu as dû de déshabiller ?
— Oui, nous avons fait la première répétition « en costume d’Adam » ce soir-là. En plus je devais m’asperger d’un liquide rouge pour simuler du sang. À la fin, je me tenais à l’avant de la scène, j’étais fatigué après ces jours de travail intensifs, mais content, j’avais passé à une nouvelle étape de ma jeune carrière. Håkon était assis au premier rang, je lui ai demandé : « Es-tu content de moi ? » Il me regardait bizarrement, très intensément. J’ai réalisé que mon sexe n’était plus tout à fait au repos, j’avais un début d’érection, j’ai mis mes mains pour la cacher. Håkon souriait, je lui ai demandé : « Et si ça m’arrive le soir de la première ? » « Tu auras trop le trac. » « Tu ne m’as pas dit si tu étais content de moi ? » « Parfait, tu seras un grand acteur. »
— Et ensuite ?
— Je sentais qu’il allait se passer quelque chose de spécial.
— Avais-tu déjà eu une relation avec un homme ?
— Non, seulement des expériences peu concluantes avec des femmes.
— Tu me racontes la suite ?
— Tu devines, Håkon est monté sur la scène. Il avait une chemise et des pantalons noirs. Il m’a dit : « Sais-tu que je suis gay ? » Je le savais, j’avais fait des recherches à son sujet depuis qu’il m’avait engagé. Je lui ai répondu oui. J’étais comme paralysé, je ne savais pas comment réagir. Håkon a alors délicatement pris mes bras et les a écartés, je me suis laissé faire. Mon pénis rouge, maculé du faux sang, était maintenant entièrement dressé.
Je demande à Olav :
— Quel était ton état d’esprit à ce moment-là ?
— Je me laissais diriger, comme si nous étions toujours en train de répéter la pièce. Il avait un certain ascendant sur moi.
— Et comment cela s’est-il terminé ?
— De manière assez bizarre. Il avait donc écarté mes bras, il a regardé longuement mon pénis, m’a fait un compliment sur sa longueur, puis m’a dit : « Olav, tu me donnes une idée. Aimerais-tu jouer rien que pour moi, la mise en scène que je n’oserais jamais faire ? » Je ne savais que répondre. Il a continué : « Connais-tu Woyzeck ? » J’avais justement joué cette pièce pendant ma formation, je réponds oui. « Nous allons rejouer la scène du docteur avec quelques modifications, je serai le docteur et toi Woyzeck. D’accord ? » Je commençais à trouver ce jeu assez amusant. Håkon m’a alors dit : « Qu’est-ce que j’ai vu, Woyzeck ? Un homme de parole ! » Je réponds : « Quoi donc docteur ? » « Je l’ai vu, Woyzeck ; Il a pissé dans la rue, pissé contre le mur, comme un chien. Malgré trois pfennigs par jour et la pension ! Woyzeck, c’est mal ; le monde devient mauvais, très mauvais ! »
— Bandais-tu toujours ?
— Non, je m’étais concentré sur le dialogue. J’ai répondu : « Mais un besoin naturel, docteur. » « Un besoin naturel, un besoin naturel ! La nature ! N’ai-je pas prouvé que le musculus constrictor vesicae est soumis à la volonté ? La nature ! Woyzeck, l’homme est libre. » J’ai éclaté de rire à ce moment et j’ai demandé : « Tu veux que je pisse sur la scène ? C’est ça ta mise en scène révolutionnaire ? » « Non, attends la suite : Woyzeck, puisque tu n’as pas pu te retenir de pisser, tu vas me donner du sperme pour mes expériences. »
— Il voulait que tu te branles. C’était ça son idée.
— Oui, un tabou pas encore tombé au théâtre.
— Et tu l’as fait ?
— J’ai eu un peu de peine, mais Håkon a pris les choses en main, si j’ose m’exprimer ainsi. « Allons Woyzeck, ne sois pas timide ! » Il m’a masturbé et j’ai éjaculé assez rapidement. Je n’avais pas eu le temps de me branler les jours précédents, pris par mon nouveau rôle.
— Et ensuite ?
— Håkon s’est excusé, il avait un peu abusé de moi. Il m’a demandé comment se faire pardonner. J’ai alors voulu me venger tout de suite, je lui ai dit de faire la même chose. Il n’a pas hésité, s’est déshabillé. Je lui ai dit de s’asperger de faux sang, puis nous avons rejoué la même scène en inversant les personnages. À la fin, nous avons pris une douche ensemble, et, comme tu l’imagines, il m’a invité à passer la nuit chez lui.
Je me retrouve dans la chambre d’hôtel, j’étais tellement passionné par le récit d’Olav que je me croyais spectateur dans le théâtre norvégien. Je demande :
— Si je peux me permettre de te poser cette question, es-tu toujours son amant ?
— Non, je n’ai passé que trois nuits avec lui. Nous avions convenu que ce ne serait qu’une aventure. Il partait ensuit à l’étranger juste après la première. D’ailleurs j’ai appris que je n’étais pas le premier de ses comédiens à finir dans son lit.
— Et la pièce a eu du succès ?
— Oui, beaucoup, mais dans le cercle des amateurs de théâtre. On ne me demande pas des autographes dans la rue. Mais j’ai maintenant un autre engagement en janvier. J’ai décidé de prendre quelques jours de vacances après la dernière représentation et je me suis retrouvé ici avec toi. Voilà, tu sais tout. Et toi ?
— Pas grand-chose à raconter. Je travaille au ministère des finances, je vis seul depuis quelques temps, j’ai rompu avec mon partenaire.
— Tu es aussi gay ?
— Oui.
— Je l’avais deviné. De la façon dont tu m’as regardé.
— Bon, excuse-moi, tu es jeune et beau, pas comme moi.
— Tu es encore pas mal (il n'eut pas l'indélicatesse d'ajouter " pour ton âge").
— Merci. C’est l’heure du déjeuner, descendons.
Il n’y a rien de nouveau, on nous annonce que nous devons rester sur l’île, la tempête ne s’est pas calmée. Après le repas, nous remontons dans la chambre, nous n’avons pas envie de nous promener, il pleut toujours. Nous décidons de nous coucher un moment sur le lit. Je dis :
— C’est mortel les vacances balnéaires à cette saison. Qu’allons-nous faire cet après-midi ? As-tu déjà le texte de ta prochaine pièce à apprendre ?
— Non pas encore. Et toi ?
— J’ai un bouquin à lire, La Mort à Venise. J’ai vu l’opéra à Hambourg il y a quelques temps. Ce roman convient bien à la situation, un séjour dans un pays étranger, une chambre d’hôtel, un jeune garçon.
— Je suis un peu trop vieux.
— Écoute : « et un garçon aux cheveux longs de peut-être quatorze ans. Aschenbach resta confondu de la beauté prodigieuse de ce garçon. » Un peu comme moi lorsque je t’ai vu.
— Tu me flattes.
— Tiens, ça serait un rôle idéal pour toi, Tadzio. J’aurais aussi dû être metteur en scène.
— Tu veux essayer ?
— Si tu es aussi bon qu’avec ton Håkon, pourquoi pas ?
Je me lève et mets la pancarte « Bitte nicht stören » à la porte.
Olav me demande :
— Voilà, je suis prêt. Que dois-je faire ?
Je ne sais pas que répondre, je ne m’étais pas préparé à ce jeu. Je reprends mon livre et je recherche un passage intéressant. Je dis :
— J’aimerais que tu joues cette phrase : Tadzio, se reposant de son bain, était allongé sur le sable, roulé dans un linge blanc passé sous l’épaule gauche, la tête enfouie dans son bras nu.
— Bon, je vais à la salle de bains me préparer, puisque je suis censé sortir du bain.
Olav se rend à la salle de bains et ferme la porte. Je me demande si je n’abuse pas de la situation. Mais Olav doit bien se douter de mes intentions. J’en profite pour sortir une petite bouteille d’huile de massage de ma valise et une boîte de préservatifs, je prends toujours ce genre de choses lorsque je pars en voyage, ça peut toujours servir. « Tadzio » ressort, le linge blanc de l’hôtel noué autour du corps, il se couche à côté de moi sur le lit, enfouit sa tête dans son bras, puis me dit :
— Et maintenant ?
Je ne sais pas que répondre, mon idée de mise en scène tourne court. Je dis :
— Je ne suis pas doué pour le théâtre. Parlons d’autre chose.
— De quoi ?
— Je me demande comment les adolescents se baignaient à l’époque où Thomas Mann situe son roman. Avaient-ils un maillot de bain ? De quelle forme ? En quelle étoffe ?
— Tu aurais aussi dû te documenter pour en discuter avec la personne qui crée les costumes.
— Je suis définitivement nul comme metteur en scène. Tu me permets de regarder ton maillot de bain ?
— Je te permets.
J’enlève le linge et je découvre le corps nu de mon « Tadzio ». Il a laissé son caleçon blanc.
— Tu as triché, lui dis-je. Tu devais sortir du bain. On ne se baigne pas en caleçon.
— Et quelle est la punition ?
Sans attendre sa réponse, je lui baisse son caleçon jusqu’aux genoux, découvrant son membre qui a déjà un début d’érection. J’admire son sexe, que je n’avais que rapidement entrevu hier. Je prends la petite bouteille avec l’huile, je fais couler quelques gouttes sur son pénis qui durcit instantanément, et je commence à le caresser lentement, faisant coulisser son long prépuce. J’accélère mes mouvements, caressant aussi ses testicules. Il jouit assez rapidement. J’essuie les longues traînées de sperme sur son ventre avec un mouchoir en papier.
— Voilà, lui dis-je. C’était ta punition.
— OK, tu as voulu refaire la scène. Tu te rappelles qu’il y avait une vengeance. On inverse les rôles maintenant.
Je vous laisse imaginer la suite, l’après-midi a passé très rapidement.
Le lendemain matin, on nous annonce que la tempête a faibli, mais que l’avion n’est toujours pas réparé. Les personnes qui le désirent peuvent rejoindre le continent en ferry. Je choisis cette possibilité, je ne veux plus aller à Oslo et j’ai décidé de ne plus prendre l’avion, je vais rentrer en train. Olav veut rester sur l’île. C’était évident que notre liaison ne durerait pas.
Les adieux sont assez brefs, Olav m’accompagne au port. Je lui dis :
— Ravi de t’avoir connu, bonne chance pour la suite de ta carrière.
— J’ai aussi passé un bon moment, nous nous reverrons peut-être un jour.
Je ne pense pas le revoir. Nous nous serrons la main et je monte sur le ferry. Je reste sur le pont jusqu’à que je ne voie plus le quai. Olav est aussi resté.re
Contrairement à ce que je pensais, je l’ai revu deux fois.
La première fois, c’était à Oslo. J’avais quand même décidé de reprendre l’avion et de me rendre en Norvège. J’ai profité d’aller voir Olav au théâtre, mais deux heures de déclamations en norvégien ne m’ont pas enthousiasmé, d’autant plus que Olav est resté sagement habillé. ,Je n’ai pas cherché à le contacter.
La deuxième fois, c’était à Paris. Deux ans après notre aventure, j’ai été étonné de voir sa photo dans un journal people. Il était passé au cinéma et avait tourné un film avec un réalisateur inconnu. Olav avait pris un nom d’artiste à la consonance américaine, mais je l’ai tout de suite reconnu. Contre toute attente, le film avait eu un grand succès. J’ai suivi les potins concernant Olav sur Internet et j’ai appris qu’il venait à Paris pour la première française de son film. On mentionnait aussi l’hôtel où il dormirait et son emploi du temps.
Je me suis retrouvé vers 17 heures à l’entrée d’un palace. Je n’étais pas seul, une vingtaine de groupies attendaient leur nouvelle idole. Je suis resté en arrière jusqu’à son arrivée une demi-heure plus tard. Je me suis ensuite mêlé aux adolescentes hystériques, j’avais l’air un peu ridicule. Si elles avaient su que leur acteur favori était gay. Elles rêvaient secrètement de passer une nuit dans sa chambre. Si elles avaient su que moi, j’avais bien couché avec lui. Olav s’est arrêté pour signer des autographes. J’avais aussi acheté un carnet. Il a eu l’air très surpris quand il m’a vu et m’a dit :
— Toi, ici ?
— J’avais envie de te revoir, j’ai oublié de te demander un autographe il y deux ans.
Je lui ai tendu mon carnet et il l’a signé. Il est ensuite entré dans l’hôtel. Les adolescentes sont reparties. J’ai alors regardé mon carnet. Il avait mis son vrai nom, pas son nom d’artiste. Il avait ajouté en dessous :
Chambre 701.
A+ |
capture TMCsudpresse
MAKING OF DE CE POST EN TOUTE TRANSPARENCE
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08:57 (Il y a 6 heures)
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A quatre dans une chambre d'hôtel
L'été dernier, j'ai réservé deux lits dans un Holiday Inn, près de Leeds pour emmener mon fils Harry voir le Manège militaire de Royal. Il s'est avéré que son meilleur ami, Josh, aussi voulait y
aller, j'ai donc réservé un lit supplémentaire pour lui à l'hôtel. Ensuite, le père de Josh, David, m'a téléphoné pour demander s’il pouvait nous accompagner. C’est ainsi que nous nous sommes
rendus à Leeds à quatre.
La chambre à l'hôtel n'était pas exactement comme nous l’avions demandé. Au lieu de quatre lits simples, qui est, je pense, ce que j'avais spécifié, il s'est avéré que leurs plus grandes chambres
comprenaient toutes un lit double et deux simples. Pour sauver Harry et Josh de l’embarras à l’idée qu’ils pourraient dormir ensemble, les deux adultes ont rapidement convenu que cela ne les
dérangerait pas.
Le premier soir, nous avons tous les quatre été voir des conneries au cinéma, puis David et moi sommes sortis pour quelques pintes alors que les garçons ont été jouer à la nouvelle Playstation ou
X-Box ou quoi que ce soit de Josh dans la chambre d'hôtel.
Quand David et moi sommes rentrés, nous nous sommes tous les quatre mis en T-shirt et en sous-vêtements et nous sommes installés pour la nuit. La température de la chambre était assez élevée
(vous savez comment ces lieux semblent être adaptés pour les conditions polaires), aussi nous avons décidé de dormir avec des draps sur nous plutôt que les lourdes couettes fournies.
Et cela aurait été la fin d'une belle soirée sans incident si je n'avais pas été réveillé aux petites heures par quelqu’un jouant avec ma bite.
Alors que j’essayais péniblement de m’extirper du sommeil, impossible d'ouvrir mes yeux parce que l'une des lumières de chevet avait été allumée. J'ai entendu les deux gars glousser et murmurer
ensemble. Harry, mon fils, semble être plus proche de moi et je me suis vite rendu compte que c'était sa main qui jouait avec ma bite à travers le tissu de mon caleçon. Josh a murmuré de l'autre
côté du lit double :
— Il est gros comment maintenant ?
— Je ne sais pas, répondit Harry. Quelque chose comme 18 cm, peut-être...
— Mon père à moi fait à peu près 20, dit Josh.
— As-tu tiré son prépuce ? demanda Harry.
Je me suis rendu compte que David et moi devions sans doute être chacun couchés sur le dos sur ce grand lit. Et Josh de répondre d’un air narquois :
— Euh, qu’est-ce que tu crois ? Comment est-ce que je suis supposé provoquer d’érection sans tirer dessus ?
Harry s’est marré et rétorqua :
— Est-ce que tu serais en train de... euh... le branler ?
Josh rit en retour et dit :
— Euh, ben... toi pas ?
— Non, répondit Harry.
— Pas étonnant qu'il ne devienne pas dur, alors. Tu dois le branler ou ça ne marchera jamais, grogna Josh.
Harry hésitait et dit :
— Ça me semble un peu bizarre de masturber mon propre père !
— Ce serait encore plus bizarre si j'étais en train de branler ton père à toi... Allez, Harry, il dort.
L'idée que Josh pourrait être, lui aussi en train de jouer avec ma bite était, de façon inattendue, terriblement excitant et j’ai senti ma bite durcir encore un peu. Harry n'a pas remarqué car il
serrait maladroitement ma bite. J’ai gardé mes yeux hermétiquement fermés, curieux de la suite, le sentant envelopper ses doigts autour de ma bite à moitié dressée. D’une main peu experte, il
tirait mon prépuce de haut en bas, un peu trop rapidement à mon goût.
Harry a murmuré à Josh, clairement moins impressionné par ce qui se passait du côté de mon membre. "Il fait environ 18 centimètres. Peut-être près 19." Je savais que 19 était mon record, quand
mon excitation était vraiment à son apogée. Quand j’ai atteint cette taille, l’excitation ne peut plus que faire grossir ma bite et la rendre plus dure sans la rallonger. Josh ne voulait pas se
contenter de si peu :
— Mon père arrive facilement à 20. Je te l’ai dit, mon gars, mon père a une énorme queue !
— Ah oui ! Et il te la montre souvent peut être ? tiqua Harry.
— Allez, mon pote, c’est pas comme si c’était bizarre de voir la queue de son père. T’as sûrement déjà dû voir la bite de ton père plein de fois ? dit Josh.
— Pas vraiment, et certainement pas en érection, répondit Harry.
J'ai compris que j’étais probablement beaucoup plus pudique envers mon fils que beaucoup de pères.
— Eh bien, je l'ai vu lorsque nous avons fait du camping l'année dernière, s’est mis à expliquer Josh. Il s'est levé le matin avec le sexe dur et je l'ai vu lorsque nous nous sommes habillés,
même s'il essayait de se cacher. Et je l'ai vu à la maison une ou deux fois, a-t-il continué, quand il ne savait pas que j’étais à la maison ou qu’il n’avait pas vu que la porte de ma chambre
était ouverte.
J’ai senti le lit commencer à trembler avec un rythme régulier et j'ai réalisé avec une excitation grandissante que ce balancement était causé par le mouvement de la main de Josh sur la bite de
son père. Encore une fois, l’érotisme de cette idée m’a surpris et ma bite s’est mise à grossir et durcir un peu plus. David, évidemment, devait prendre beaucoup de plaisir à sentir ainsi son
gros membre branlé par son fils ! L'idée aurait normalement dû me sembler répugnante, mais pas là, à cet instant, dans la chaleur de cette chambre. Le visage de Harry devait être proche de
ma propre queue parce que je pouvais sentir de temps à autre son souffle chaud sur mon gland. Il a murmuré à Josh :
— Elle devient maintenant assez épaisse, et elle se colle à son ventre.
— Laisse-moi y jeter un petit coup d’œil, dit Josh.
Le lit a cessé de trembler pendant que Josh se levait et en faisait le tour. Harry a enlevé un peu plus mon caleçon et a laissé l’élastique juste sous mes couilles. L'idée que Josh venait me
reluquer la queue et la comparer avec celle de son père achevait de me faire gonfler encore ma bite et mon gland n’avait jamais été aussi gros. Josh semblait aimer ce qu'il voyait. Il a
murmuré :
— Elle est beaucoup plus épaisse que celle de mon père, mais pas aussi longue.
— Ah oui ? dit Harry.
— Et ton père a le gland comme un champignon, tandis que le mien en a un moins gros !
— Bizarre, soupira Harry.
— Viens voir de plus près, dit Josh. Regarde la différence !
Harry s'est levé et s’est tourné vers l’autre côté du lit pour regarder la queue de David. Il a presque crié quand il l’a vue :
— Waou ! C'est énorme. Est-ce que c'est.. comment dire... normal ?
— Je ne le pense pas. Je pense que seize, dix-sept centimètres, c’est censé être normal. Quelqu'un m'a dit que de toute façon...
Josh soudainement a demandé à mon fils :
— Eh ! Est-ce que tu as une érection ?
Le boxer de mon fils devait ressembler à une tente, de l'extérieur.
— Ouais. Je ne sais pas pourquoi, mais... dit Harry.
Josh dit, en pouffant de rire :
— Tu sais ce qui serait cool ? Si tu mettais ta bite à côté de celle de ton père. Et je vais prendre une photo sur ton téléphone !
Harry semblait un peu réticent :
— Je ne sais pas... dit-il.
Moi aussi, je n'étais pas trop sûr que je voulais que les choses aillent plus loin et me demandais si je devais mettre en scène un réveil soudain.
Josh dit :
— Si tu le fais, moi aussi...
— Sur mon téléphone ? demanda Harry.
— Ouais. Je te l’ai déjà dit : "Le mien n’a plus de batterie", répondit Josh.
Harry semblait dès lors un peu rassuré par la perspective que Josh, avec son sens de l’humour bien à lui, ne pourrait pas diffuser ces photos en rentrant à la maison. J'ai également été rassuré.
Je connaissais bien le téléphone de Harry et pourrais toujours effacer les preuves en prétextant un coup de fil à passer au boulot.
Harry est arrivé de mon côté du lit tandis que Josh se mettait à fouiller à peu près silencieusement dans les bagages pour trouver le téléphone. Josh marmonnait, enthousiaste :
— Ça va être cool...
J'ai ouvert un tout petit peu mes yeux, une seconde, et j'ai vu mon fils avec le boxer qui faisait une belle grosse bosse sur le devant, de la forme d’une bite de taille tout à fait honorable
pour son âge. Il a tiré un peu sur son boxer et j’ai pu constater qu’elle est de forme similaire à la mienne, même si un peu plus petite. Ses poils pubiens, cependant, sont beaucoup plus pâles,
héritage de la blondeur de sa mère, et ses couilles semblaient plus grosses que les miennes. Josh est venu vers nous. Son propre boxer qui révélait des signes clairs de son excitation, et j'ai
fermé les yeux plus étroitement craignant qu’ils ne me découvrent. Josh a murmuré :
— Mets ta bite à côté de la sienne !
Harry, s’est accroupi à côté du lit et a positionné sa bite de sorte qu'elle soit à côté de la mienne. Josh dit :
— Tire ton prépuce en arrière mon gars...
Harry le fit et me fit la même chose. Ma bite a rapidement augmenté de volume à nouveau, pleine de satisfaction d'être touchée une nouvelle fois. L’appareil photo produisit le bruit
caractéristique du déclencheur pendant que Josh prenait une photo de nos deux bites, toutes les deux en pleine érection. Harry se remit debout et remit son caleçon.
— J’aimerais tellement que ma queue soit aussi épaisse que celle de ton père, dit Josh. Ça te fait un joli renflement dans ton pantalon, tu sais ?
— La mienne va sûrement être comme la sienne… Donne-lui quelques années, pote, répondit Harry.
Je me sentais incroyablement excité rien qu’à entendre Josh complimenter ma bite, je ne pourrais pas expliquer pourquoi. Je voulais désespérément être seul et me masturber comme un fou, en
revivant dans ma tête ces incroyables moments. Harry et Josh se retrouvèrent en bout de lit et Josh révéla sa propre érection. Qui semblait d’ailleurs bien amuser mon Harry :
— Wow, Josh ! Elle doit faire deux centimètres de plus que la mienne ! commenta Harry.
— Oui, mais elle est trop fine je trouve, dit Josh.
— C’est si important ? demanda Harry.
— Évidemment ! J’ai pas envie d’avoir l’air de ne rien avoir là dessous ! répliqua Josh.
— Mets-la à côté de celle de ton père. Ton père en a une encore plus longue que la tienne, ordonna Harry.
— Eh ben, tu sais bien... comme tu l’as dit, la mienne a besoin d'un peu plus de temps pour grandir ! répliqua Josh.
— Elle est longue de combien la tienne ? demanda mon fils.
— Eh bien, je n'ai pas vraiment mesuré, répondit Josh.
Je ne pouvais pas m'empêcher de sourire, en pensant "Ouais, ouais, ouais". Puis il s’est repris :
— Mais je pense que ça fait environ 20 centimètres ou quelque chose comme ça.
Harry a été étonné et dit :
— Putain, alors ton père fait au moins 22 !
— Je suppose, dit Josh.
— Hey, ta queue est toujours aussi mouillée ? demanda Harry.
— Oui, la plupart des mecs ont du liquide qui sort quand ils bandent, répondit Josh.
Harry sembla tout penaud et dit :
— La mienne pas.
— Eh bien, je suppose que la bite de certains mecs ne le fait pas. La mienne fait souvent une tache sur mes boxers ou sur ma couette. Et regarde ! s’exclama Josh en rigolant "Mon père a fait
une petite flaque sur les draps !
La photo fut bien vite prise et Josh s'est levé et a dit :
— Hey, prends une photo de ça !
Il est revenu de mon côté du lit et s'agenouilla à côté de mon érection. Il la prit délicatement d’une main et porta doucement le gland vers sa bouche. J’ai senti son souffle sur mon gland, chaud
comme s’il était à l'intérieur de sa bouche, mais sans toucher les côtés, et ma bite s’est mise à avoir un spasme d’impatience. Harry rit et dit :
— Pas mal, celle-là. On dirait que tu fais une fellation à mon père !
L’appareil a cliqué pendant qu’une autre photo était prise. Comme Josh retirait ma bite de sa bouche, sa langue a accidentellement touché le frein sous mon gland, cette partie si sensible, et
j'ai senti une vague de plaisir me traverser. Josh murmura :
— Hmmm... un goût un peu salé...
Harry rit, presque trop fort.
— Merde, tu ne l’as quand même pas vraiment léché ? dit-il.
Josh semble réaliser qu’il aurait peut-être poussé les choses trop loin et répond :
— Bien sûr que non, p’tit con !
Ce beau jeune homme a fait le tour du lit une nouvelle fois, vers David pour prendre une photo de mon fils avec la bite bien plus grande de David dans la bouche.
— Mets-en autant que tu peux dans la bouche, dit Josh.
Harry n'était pas très enthousiaste et répliqua :
— Elle suinte, j’ai pas envie de goûter à ce liquide bizarre moi !
Après avoir un peu insisté, une nouvelle photo fut prise, de mon garçon avec la bite de David en bouche. Puis Harry s'est levé et a dit :
— Prends une photo de ça, mon pote...
Josh a ri et dit, en voyant ce que mon fils faisait :
— Oh, ben merde !
La caméra a cliqué de nouveau et les deux garçons ont ri de façon incontrôlable. Quand ils se sont enfin repris, Harry a dit :
— Allez, à toi maintenant...
Josh acquiesça, gloussa, et revint de mon côté du lit. J’entrouvris les yeux et vit qu'il était debout au-dessus de moi, les jambes de part et d’autre de mon corps allongé et nu, me tournant le
dos, les mains sur son boxer. À ma grande surprise, il le tira vers le bas, révélant de magnifiques fesses sans poils.
Il s’accroupit et leva ma queue vers le haut. Puis, il s’est assis doucement sur ma bite plus dure que jamais, pressant mon gland contre son petit trou. Harry a murmuré :
— Plus profond, gars. Je peux encore voir le gland. Il faut faire comme si elle était à l'intérieur.
Alors, Josh a pressé son cul un peu plus sur ma queue et j’ai senti son anneau anal s’ouvrir un peu sous la pression de mon gland. Je ne pouvais pas m’empêcher de pousser ma bite en avant,
tentant d'entrer lui. Il a ri et dit :
— Hé ! Ton père essaie de m’enculer !
Et Harry de son côté n’en pouvait plus de rire. Je n'ai pas pu m'empêcher d’exercer de petites pressions avec mes hanches et Josh semblait s’amuser et prendre du plaisir, agissant en rythme avec
mes mouvements, de façon à simuler des rapports sexuels avec mon corps soi-disant inconscient pour amuser Harry.
Une photo a été prise, plusieurs, en fait, mais Josh a continué à pousser son cul tout contre mon gland, son anus étant petit à petit assez dilaté pour laisser passer mon gland gonflé de désir et
d’impatience. Il lança son boxer au fond de la pièce et dit à Harry de prendre sa bite en photo. Josh continuait de presser son accueillant petit trou sur ma bite, permettant à ma bite d’entrer
doucement, puis la ressortant, chaque coup un peu plus profondément, avec une stimulation et un plaisir de plus en plus proche de la jouissance.
Je jetais un tout petit coup d’œil et vit que la bite de Josh laissait s’échapper beaucoup de liquide séminal, sorti d’une érection impressionnante pour un jeune comme lui… Que je ne pourrai sans
aucun doute plus jamais regarder en face sans avoir d’érection. Harry rit de tout ce liquide et Josh, en plein fou rire aussi lui répondit :
— Fais une photo, tu vas voir ça va être encore plus drôle !
Sans avertissement, mon propre plaisir me submergea et je cambrai mon corps en jouissant dans le cul de Josh à longs jets abondants. Ils prirent d’autres photos et le jeune enculé se retira de ma
bite, en disant à Harry :
— Tu vois que ton père peut mouiller pas mal, lui aussi, j’ai le cul trempé !
Je me suis senti instantanément coupable d’avoir laissé les choses aller aussi loin, honteux de m’être laissé aller à faire l’amour à l’ami de mon fils. Josh n’avait pas l’air dérangé plus que ça
par le fait que j’ai joui dans son cul mais ça ne m’a pas aidé à me sentir mieux… J’ai senti que Harry me nettoyait la bite avec des Kleenex puis il murmura à Josh :
— Je vois ce que tu veux dire au sujet de l'humidité... Mon dieu ! Il est trempé...
Je voulais moi-même me nettoyer et en profiter pour aller pisser pour être honnête, mais, de toute évidence, je ne pouvais plus bouger. En entendant les garçons éteindre la lumière, je me suis
laissé sombrer dans le sommeil.
Je dois avoir été réveillé un peu plus tard par les bruits de Josh et Harry se masturbant tranquillement dans leurs lits. Ils ne se sont pas échangé un mot. De toute évidence fatigués par leurs
efforts mais, je les entendais se masturber mutuellement et leur souffle indiquait graduellement qu’ils approchaient de l’orgasme. En me laissant aller à nouveau dans les bras de Morphée, j'ai
pris conscience que mon propre lit s’était mis à vibrer légèrement. Je me suis rendu compte que David était lui aussi en train de se masturber. Bien que sa technique était bien plus discrète que
celle de nos fils, je ressentais tout de même les légères impulsions.
Je me demandais alors si il avait, comme moi, été conscient de ce que les gars avaient fait et s’il avait apprécié ce moment autant que moi. De toute façon, j’étais trop fatigué pour m’inquiéter
de quoi que ce soit et en m’endormant, j’ai juste pu constater que David jouissait à mes côtés pendant que nos fils se masturbaient, faisant un peu trop de bruit pour être honnête. Ils avaient
sûrement pu se rendre compte de l’excitation du père de Josh et faisaient tout pour le mener à l’orgasme. Quand ce fut fait, ils jouirent tous les deux, presque en même temps.
Le lendemain matin, la chambre sentait l’odeur en rut de quatre mecs excités. Mon côté du lit était encore mouillé de mes ébats et j’ai remarqué une tache plus sombre du côté de
David.
Nous n’avons pas beaucoup parlé pendant le petit déjeuner, chacun revivant les dernières heures dans sa tête… J’ai posé la question de savoir s'ils pensaient que nous devions nous trouver un
autre hôtel qui disposerait de chambres avec plus de lit, ou même de nous trouver des chambres séparées pour les quelques autres nuits de notre séjour et tous les trois ont secoué la tête à
l'unanimité. David m'a demandé, innocemment :
— Pourquoi, Paul ? Vous n'avez pas bien dormi la nuit dernière ? Quant à moi, j'ai eu une très bonne nuit...
Je lui répondis :
— Eh bien, je ne peux pas dire qu'elle était trop désagréable...
Harry et Josh se sourirent l’un à l'autre. J’ai demandé :
— Pensez-vous que nous pouvons rester comme nous sommes ? Les quatre d'entre nous dans la chambre ?
Ils ont acquiescé de la tête pour marquer leur accord. Josh dit avec un sourire :
— On n’est que des mecs hein, je veux dire : il n’y a rien dans cette chambre qu’on ne connaisse pas !
Harry s’est étouffé de rire dans son café et nous avons campé sur cette décision : "Nous resterions dans cette chambre jusqu’à la fin du séjour."
Que va-t-il se passer?
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A Fabien Fabien
Bonjour Fabien Chéri
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