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Lundi 5 mai 1 05 /05 /Mai 14:55

 

Bisex assumés et fiers de l'être.

Ce n'estpas du Jack Kerouac, mais...

 

 

 

 

 "Regarde, j’ai encore la trique !

En effet, il bandait comme un âne et avait essayé de se mettre sur le ventre pour ne pas que ça se voie. Je lui ai immédiatement dit :

     

 

 

 

- Sur cette plage c’est pas un problème, bien au contraire !

Son manche était dressé vers le ciel. Il le branlait machinalement et m’a lancé :

- A propos, ma bite est plus longue que celle d’Alex.

- Oui, j’avais remarqué.

- 22 au repos, 25 en érection . Photos à l’appui !

Il a sorti son portable et là ce fut le carnaval des photos de lui en train de s’amuser avec son (gros) joujou :

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Des gens commençaient à le regarder de loin. On s’est branlé un long moment avant de gicler de bonnes doses de semence sur le sable chaud et aussi un peu sur nous même en ce qui concerne Luc.

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Quand nous sommes rentrés, Christophe et Alex nous attendaient et le dîner était déjà prêt. J’ai cru déceler un sourire de satisfaction sur le visage de Christophe en nous voyant arriver mais personne ne fit le moindre commentaire.

Le soir venu nous avons décidé de ne pas sortir et de squatter le chalet de Christophe (qui était le seul à avoir une télé et un lecteur DVD) pendant qu’il allait vaquer à ses occupation. Après le film, Alex est allé se coucher. Il suffit d’un bref examen des affaires de Christophe pour trouver quelques DVD pornos coincés entre deux chemises et c’est donc couchés sur le canapé, la queue dans la main qu’il nous a retrouvés quand il est rentré vers minuit et demie. Il était accompagné d’un homme et d’une femme et ils avaient manifestement pas mal bu tous les trois. Un peu trop bu au reste !  Au bout d’un petit quart d’heure de conversation pendant lesquels nous avons pu apprendre qu’il s’agissait d’un couple marié, lui cadre supérieur de 40 ans, elle mère au foyer de 35 ans, Christophe ne se sentit pas bien et se dirigea vers le jardin, sans doute pour y vomir. Nous sommes donc restés seuls avec les deux inconnus qui sortaient d’une boîte extérieure au village et étaient donc habillés alors que nous étions nus et décomplexés devant eux. Le film de cul tournait encore sur la télé derrière nous et nous étions tous les deux en semi-érection.

Ils étaient très lubriques et regardaient nos parties génitales avec insistance, Luc l’avait remarqué et lança à la femme, l’air provocateur :

- Tu veux gouter ?

Il s’assit bien tranquillement sur le canapé, lui présentant sa queue pour qu’elle vienne la sucer. Pendant qu’elle se penchait sur son gourdin, je profitais de la position pour lui mettre une main aux fesses qu’elle ne refusa pas. Je relevai sa jupe courte et caressai ses lèvres par derrière à travers son string. Le mari avait dégainé sa queue et se l’astiquait en regardant la scène.

J’ai écarté son string pour la doigter. Elle était très moite. Ma queue trouva le chemin de sa chatte sans difficulté et la bourre a commencé. Elle émettait des cris étouffés par la queue de Luc dont elle n’arrivait qu’à gober le gland, pas plus.

J’aime la sodomie mais une bonne chatte de temps en temps me ravit tout autant, surtout quand elle est bien serrée… et quelle chatte n’est pas serrée autour d’une queue comme la mienne? A chaque fois que je tapais le fond de son vagin elle poussait un cris de jouissance mêlée de douleur et de satisfaction.

Luc eut aussi envie de faire joujou avec elle. Quittant ma queue elle se posta sur lui pour s’empaler sur son monstre. Elle y allait lentement en soufflant profondément, la main posée sur la vulve et le clito qu’elle stimulait sans s’arrêter. Avant même d’avoir enfoncé tout le membre dans son orifice elle eut un premier orgasme et se releva, laissant couler de son vagin une dose de mouille très chaude sur le pubis de Luc. Les jambes tremblantes, elle reprenait ses esprits. J’en profitai, pour me poster derrière elle et lui enfoncer mon gland dans le cul. La maintenant bien par la taille, je l’ai fait accepter toute ma bite dans son anus dans un cri.merlinseroticmuses: http://merlinseroticmuses.tumblr.com/ En avant tous et toutes, je pousse …  Littéralement fondu en elle, je la pénétrais tout en guidant sa chatte vers la bite à Luc.

Elle se malaxait à nouveau la vulve. Posté derrière elle et sans me retirer je la fis descendre jusqu’à s’accroupir sur le gros manche de mon cousin.

On était maintenant tous les deux accroupis, ma queue de son cul et le gland de Luc qui se frayait un chemin dans son autre trou. Je la pénétrait avec vigueur, elle se touchait et il pressait petit à petit sa trique entre les lèvres de son sexe.

Je sentais les allées et venues de la bite de Luc sur ma prpre bite à travers ses organes. Putain de pied ! Elle jouit à nouveau très rapidement, mais maintenue par nous deux elle n’eut plus d’autre choix que d’accepter les bites sur lesquelles elle était maintenant assise. Elle gémissait profondément puis se métait à crier à chaque fois qu’un nouvel orgasme venait. Toute sa vulve ruisselait de mouillure. J’étais maintenant couché, la tête sur un accoudoir du canapé, Luc avait sa tête sur l’accoudoir opposé.  Fort excitant : nous avions les jambes écartées et nos couilles se touchaient, claquaient les unes contre les autres pendant qu’elle sautillait rapidement sur nos manches. Ce traitement dura une bonne demi-heure, nos queues restaient gonflées et bien raides. Malgré tout le plaisir que nous fournissaient ses trous bien serrés, nous n’avions pas joui.  

C’est à ce moment là que Christophe est rentré, sa mine blanche s’éclaira en nous voyant nous amuser avec ses invités. Il se désapa, ne gardant qu’un t-shirt, sa queue pointait vers le ciel. Il attira l’homme qui était venu avec cette femme, son mari, dans la chambre avec lui et, avant de fermer la porte, nous lança :

- Regardez dans le tiroir sous la télé !

Nous étions maintenant seuls avec elle. Ecartant bien ses fesses, j’ai fait sortir ma queue de son trou pour aller fouiller dans le tiroir. Des tas de sex toys, lubrifiants et autres godes y étaient soigneusement rangés. Sans perdre plus de temps, j’ai sélectionné le long gode vibro violet à deux têtes qui trônait au milieu. Il était souple au milieu et presque aussi large que ma bite. Je l’ai enduit de lubrifiant et suis retourné à ma place.

De là, je l’ai lentement enfoncé dans le petit trou de Luc! puis aussi dans le mien pour moitié . Luc a gémi de douleur. Notre partenaire le maintenant, il ne pouvait plus bouger. Je le poussais, centimètre par centimètre dans son trou encore vierge et, arrivé au milieu, je l’ai allumé. Il poussa un cri de plaisir rauque, grave, un cri que je n’aurais jamais pensé entendre sortir de la bouche de ce petit blondinet. Ses grosses burnes reposaient maintenant sur le gode et vibraient aintensément vec lui. Ce plaisir lui a délié la langue. Alors que la femme s’était arrêtée de sautiller, il lui lança d’un ton autoritaire en lui claquant les fesses :

- Allez, t’as assez joui, maintenant c’est à mon tour !

Et il continua à entrecouper cette baise de remarques de plus en plus crues : “Tu l’aimes cette bite” “Serre ta petite chatte!”

J’ai profité de l’inattention de cette salope pour lui remettre ma queue dans le cul, elle a gémi, soufflé et crié : “pas en entier !” mais cette fois ci je ne voulais plus y aller en douceur et l’ai faite asseoir complètement dessus. J’avais l’autre moitié du gode dans le cul, le plaisir était total. Je le sentais vibrer contre ma prostate.

A coup de fessées nous l’avons fait accélérer et je n’ai pas tardé à entendre Luc dire qu’il aller cracher. Moi aussi j’allais gicler. Nos bites étaient dures comme la pierre, je sentais la sienne à travers la paroi anale de la femme infidèle.

Nos couilles se sont crispées, toujours en contact, à la base de nos bites qui se sont entrechoquées à travers elle à chaque giclées de sperme. Elle criait à présent, elle criait très fort :

    Fucking at the beach

- Oh oui ! Oh oui ! Oh oui ! C’est bon ! Hannnn Hannn Hannn

Attendant la fin de notre double orgasme, elle s’est retirée à nouveau, toute dégoulinante de sperme, se frottant frénétiquement le clito en nous arrosant de mouillure. Elle avait les jambes tremblantes, elle s’écroula par terre dans un cri et resta là, recroquevillée, la main sur la chatte, reprenant ses esprits et son souffle.

Nos bites avaient ramolli et traînaient lourdement sur le canapé.

Nous avons entendu Christophe se finir dans le cul de l’homme cocu dans la pièce d’à côté. Il est réapparu à la porte de la chambre. L’homme et sa femme sont allés prendre une douche, Christophe s’est assis avec nous sur le canapé qui était maculé de taches de sperme et de cyprine et on a fumé une clope.

 

 

 

une autre baise trio 2 hommes BI

 

Aspiration!

Cambrée !

 

AssFucking’d sucking

 







 

.

 

 

 

Trio bisex et enfilade

Un petit fantasme qui me trotte dans la tête depuis un certain temps et ces désirs obscènes sont de plus en plus intenses. Une belle embrochée avec deux mâles l’un dans l’autre et le derniers ayant sa verge plantée au fond de mon intimité pour bouger ensemble et jouir au rythme des coups de reins de celui qui mènera le bal.

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Bisous. isabelle

Par ownporn - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 20 mars 4 20 /03 /Mars 05:50

 

   

On s'était approchés par internet. Je ne désirais que deux choses  : QU'IL SOIT A LA FOIS  DOUX...ET AUDACIEUX.

qu’est-ce que tu cherche mon fils?

 

Quand je l'ai eu débarrassé de ses vêtements

 il s'est montré tel que mon désir me l'avait fait rêver...

domdaddyhans: oui mon fils!!

J'ai aimé tout de suite ce sexe au repos auquel il fallait insuffler la vie.

Je voulais être au commencement...quand  le désir se fait espoir et quand

l'espoir se fait bonheur.Ce beau jeune homme savait d'instinct qu'une inhibition

inter générationnelle gèle définitivement les rapports. Aussi il fut...audacieux

quand moi je craignais de le heurter en me montrant impatient de fusionner...

J'espère, pour vous, que vous connaissez cet état de désir absolu auquel

nous mène, nous passifs, un

pareil baiser : 

Pour ceux qui connaissent des "j'embrasse-pas" ou des "poupée-qui-dit-non" ...

ils savent la différence.

C'est" beurre ou ordinaire" (lol) si on fait les choses à moitié...et c'est la moitié

qui manque la plus importante !   

N'ayez aucun souci pour la vraisemblance des photos : elles sont 'fake', mais

reflètent l'exacte vérité.  Il est jeune, je suis vieux. Il est rempli de force et moi

de désir de lui. Que tantôt je sois poilu ou glabre, 60 ou 80kgs, etc...ça importe peu, entrez

dans mon histoire et ne faites plus attention qu'à la fièvre qui nous tient  désormais

avec cette brûlante entrée en matière ! ...

A mon tour je devais me montrer totalement décomplexé :

Dad had a dandy feminine boy who early identified himself as a bisexual. Dad finally accepted it. Eventually, Dad began to have feeling for his feminine son, especially when his son was lying half naked on the sunbed. We are talking about sexual feelings ;-) One day he was lying in his sunbed. Dad was inside, and changed to a very revealing boxer short, and went out in the sun, sat down in a chair beside him. Daddy´s cock began to live a life on it´s own under the thin fabric boxer short. Pretty soon he had a proper hard boner. Dad then took the chance and took off his swimming trunks, his son could not help but stare at his dad´s rough big cock. Dad then asked bluntly: - Do you want to suck it, boy? -Yes Somehow they found themselves in the living room, both totally naked. Dad became more and more violent, and would now fuck the shit out of his bitch, forcing his virgin pussy full of far too big daddy-cock, fuck non-stop and then embty cumload after cumload all over his boyish face, rub it in his cute little face and ask him; -Do you love your daddy?   

 

Lui juste assez canaille

  str8menrule: viens esclave! nourris-toi

     juste assez insolent :

faggland: allez viens papa

C'est une pure nécessité. Il est bandeur.

 

  Moi juste assez pervers...

et en plus il me photographie!!

 

  daddiesrule:

 

La suite est inscrite dans la réalité. Pas question que l'Un ou l'Autre culpabilise !

 

 

 

  j’suis bon comme père!!!

 

je soulage mon fils

 

 

 

la pute de son fils

 

olderslavesofyoungmasters: His time in the army had changed his son thought Chuck as he worshiped his son’s magnificent balls…as soon as he was discharged he took control of his father and his father’s life totally….he was his sn’s slave and all Chuck now had to do was learn to obey or suffer the consequences

 

olderslavesofyoungmasters: Thats right take it all in you’re my slave now and will have to get used to being used for my pleasure !

 

une petite vidange dans papa et hop!

 

18gay: j’amuse avec la bouche de papa

 

ça commence comme ça le matin….

 

dudegif: http://dudepubes.tumblr.comhttp://dudegif.tumblr.com

 

itlivestoserveitssuperiors:

C'est lui qui a voulu...Moi son sperme ça me dit rien.

 

 

soiree avec papa

Il m'a baisé (bien !) ....HUMMMMMHHH  Voyez comme on respire la satisfaction RECIPROQUE

 

 

Gagnant-gagnant LUI, MOI ; il me faut plus d'expérioence : ça vient 

kgbear62: Good Morning Dad!  

j'aime son cul...

 

malearterotique: artist PAUL RICHMOND le Bain

On a des choses à découvrir: ça on ne le voit pas dans les westerns...

Même pas dans The secret of Brokeback Mountain

pourtant ça a dû exister...

dominatingdad: oh yeah.

Allez, laissez-nous, il veut que je le baise.

@+  

 

 

 

Par XPèR - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 10 mars 1 10 /03 /Mars 19:03

 

   

Cherchant à distraire Lucas de son déracinement, nos amis, Charles, Marcel, le vieux couple, Lucas passent la soirée au "Dépôt"

 

...au sous-sol   

Charles m'a donné du gel et des capotes.

— Là-bas! fais gaffe! - s'est-il contenté de me dire.

Ils m'ont suivi un peu sur la piste. Il y avait quelques autres mecs vieux. Mais mes amis c'était les mieux. Ils s'étaient habillés moderne et ne dénotaient pas du tout. C'était marrant de ne voir que des mecs danser! des mecs complètement excités, au look pas possible! Je me suis fait draguer par un beur pas mal du tout, Farid en mieux. Il s'appelait Kamel. Il a compris que j'étais un bleu dans cette boîte et il m'a fait visiter après m'avoir offert un coca au bar. Naturellement cette visite s'est terminée au sous-sol au hammam.

 

 On a retrouvé un pote à lui allongé sur un matelas dans une piaule, un blond avec une queue de cheval. Quand je dis ça, c'est que l'élastique de ses cheveux était tout ce qu'il lui restait de vêtement. Il avait un beau cul et une queue très longue.

http://25.media.tumblr.com/8a27f89c7479d35a0a3c5ae7ba2a8246/tumblr_meuelxySvq1rl24yeo1_500.jpg

On s'est tous trois roulés des patins et Kamel après m'avoir bien peloté m'a déshabillé. Il s'est foutu à poil aussi. Il avait une sacrée grosse bite! J'avais vachement envie de le sucer et me faire prendre! Le blond aussi! Je les ai sucé tous les deux. Kamel m'a pompé aussi pendant que le blond me léchait le cul! Après j'ai enfilé le blond pendant que le beur me prenait! Je n'ai pas oublié les capotes! Quel pied j'ai pris! Ensuite, je suis remonté voir mes amis!

 

— T'as l'air de t'amuser! m'a dit Marcel. T'aurais pas été faire un tour en bas?

J'ai passé un moment avec mes amis en sirotant du champagne. J'ai vu Kamel sur la piste et j'y suis retourné. Kamel était torse nu, la braguette ouverte sur son ventre plat. On voyait le début de ses poils. Il n'arrêtait pas de me frotter. J'étais super en forme et on est redescendu au sous-sol... Là, je me suis payé un Black, une première!

J'ai dormi longtemps le lendemain. L'après-midi, allongé dans un transat au bord de la piscine, j'ai pensé à Manu et aux autres et j'ai eu un petit cafard.

Le soir, Charles et Marcel m'ont invité dans un beau resto du Marais. Il y avait plein de mecs, des couples surtout même des jeunes qui avaient l'air amoureux et j'ai retrouvé le moral.


Extrait, pour mon plaisir personnel, de Gai-eros  "Chroniques des Forests ou le Monde de Lucas"

 

En marge, Black Blanc, Beur, Pierre et Gilles : "VIVE LA FRANCE":

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Par LUCAS - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 9 mars 7 09 /03 /Mars 08:50
    
 

Comme beaucoup de ce que vous pouvez lire ici, je l'ai copié pour moi, pour le retrouver quand je veux. J'adore la tonalité historique solennelle de ce texte. Vous pouvez ainsi en profiter également !

 

  

 

Ils étaient trente-quatre garçons robustes âgés de seize à quarante-cinq ans, choisis par un maître capitaine prénommé Jacques. La plupart d'entre eux avaient une très bonne expérience de la mer soit comme poissonniers ou hardis aventuriers, prêts à tout pour la gloire de leur Roy et de l'Église. Ils s'embarquèrent sur un léger deux mâts, un jour de fin d'avril 1534, emportés par de grands vents du sud-est. Personne ne savait combien de temps allait durer le voyage; allaient-ils tous revenir sains et saufs de ce périple vers des terres inconnues? Allaient-ils découvrir des monstres fabuleux comme le voulait la légende ou découvrir des trésors merveilleux?... Cependant, ils avaient tous une pleine confiance en ce capitaine qui avait déjà débarqué sur les côtes du Brésil comme sur celles de multiples îles le long du continent africain tout autant que des Antilles, îles couvertes de palmiers et autres arbres exotiques quasi-inconnus en France...

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Parmi cet équipage, deux amis inséparables, Valmont Duchamp et Pierre Pouldrier, dit Lortie, tous deux âgés de vingt-deux ans. Le premier, grand et à l'allure altière, semblait défier la nature entière par sa carrure robuste; le second, de taille moyenne, noiraud, agile comme un chat, Pierre pratiquait tous les métiers avec habileté et patience. Ils avaient acquis ensemble une solide expérience comme moussaillons, mousses puis matelots. Ce que le capitaine et les autres membres d'équipage ignoraient, c'est que Pierre et Valmont étaient amants. L'équilibre entre leurs fonctions et leur passion commune restait camouflée malgré la promiscuité qu'exigeait la cohabitation de l'équipage sur un si petit bateau. Parfois, surtout la nuit, Pierre et Valmont se retrouvaient à la cale afin d'assouvir leur amour physique; profitant de l'accalmie de la mer, ils se livraient l'un à l'autre, faisant la bête à deux dos aussi souvent que possible, à travers cordages et barils de toutes sortes. Au fil des nuits, Pierre s'évertuait combler son amant de caresses, à dépasser les affres de la solitude en mer et les incertitudes du voyage. Une nuit de tempête, ils avaient failli être découverts par le timonier Cousture qui venait clandestinement boire quelques rasades de vin; ils avaient eu à peine le temps de se cacher sous de larges morceaux de toiles de lin réservés aux réparations de la voilure. Ils durent rester cachés durant de longues heures même qu'on les crut passés par dessus bord au cours de la tempête...

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Ils avaient couru des risques. on raconte que sur certains navires portugais ou espagnols, surtout à l'époque d'Isabelle la-très-catholique de Castille, l'usage voulait que lorsque le capitaine découvrait deux hommes de son équipage qui se masturbaient mutuellement ou faisaient l'amour, on condamnait ces hommes à subir "le traitement du tonneau"; on enfermait ces deux complices dans deux tonneaux voisins, des tonneaux munis de deux petites ouvertures circulaires par lesquelles les autres hommes d'équipage se passaient la queue et les condamnés devaient sucer toutes les queues qui se présentaient sans savoir de qui il s'agissait. La punition pouvait durer jusqu'à dix jours sans autre "nourriture". Les risques de contagion par les maladies vénériennes étaient énormes... Mais, revenons à Valmont et Pierre...

Après vingt-huit jours de ballotage en mer, c'est le même Cousture qui avait crié "Terre! Terre!"... Et tout l'équipage en alerte sortit sur le pont avant afin de se remplir les yeux d'espoir ou de tirer quelques filets pour la pêche. Et ce furent Duchamp et Lortie avec deux autres matelots qui furent désignés pour aborder les terres nouvelles, Cousture devait superviser l'opération, ainsi que le Capitaine Jacques à titre de découvreur-explorateur. Les six hommes armés de mousquets et d'un crucifix accostèrent sur la Terre-Neuve. Les yeux médusés par la fraîcheur du paysage, sanctuaire reclus de la nature, ils entreprirent une courte marche de reconnaissance afin au moins de repérer une source d'eau potable. Après plusieurs heures d'une exploration de surface à travers la végétation luxuriante dominée par des pins et des sapins superbes, ils revinrent à la chaloupe qu'ils remplirent de quelques barils d'eau douce auxquels ils ajoutèrent quelques lièvres et autres sauvagines. Pour la première fois depuis des semaines, l'équipage allait manger autre choses que du pain au blé noir et de la viande séchée. Le capitaine distribua lui-même une double ration de vin pour fêter l'événement. Et ils passèrent la nuit au repos, le navire solidement ancré près de la côte inconnue, l'esprit en fête.

Le lendemain, le temps favorable aidant, le Capitaine Jacques ordonna de longer prudemment les côtes, exigeant la prise des coudées régulièrement afin de ne pas échouer le navire. Le scribe prenait les notes dictées par le capitaine et ce dernier n'en finissait plus de faire des calculs dont lui seul possédait les secrets, calculs à l'aide de son sextant, sa boussole, compas et règles graduées afin d'établir une carte fidèle de ses découvertes tout en ajoutant des détails sur la flore et la faune merveilleuse de la nouvelle contrée. Les premiers jours se déroulèrent sans problèmes importants, puis on s'ancra dans une petite anse au sable fin et on retourna chasser. Alors, on fit un festin sur la plage grâce à la capture d'un magnifique daim qui combla l'appétit de tout l'équipage. Ce jour-là d'ailleurs devait coïncider avec une autre fête plus secrète pour Pierre et Valmont. En effet, une fois le repas terminé, nos deux matelots demandèrent au capitaine la permission de coucher à la belle étoile sur les berges du nouveau continent. Malgré des réticences mais après maints avertissements et conseils, les deux complices purent ériger un abri de fortune aux abords d'une crique à l'eau douce. Cette nuit-là fut notée dans les registres de bord mais personne ne se douta de la fête intime à laquelle se livrèrent les amants... Bien sûr qu'on pourrait imaginer qu'ils furent surpris par de quelconques indiens et qu'ils furent scalpés mais ce ne fut pas le cas...

Aussitôt la pénombre arrivée, le feu de reconnaissance allumé, les deux amis voulurent d'abord prendre un bain dans l'eau de la crique pour se laver mutuellement comme en un prélude charnel vers une plus grande connivence de sensualité. Ils dénouèrent d'abord leur tignasse enduite de goudron pour se protéger des poux, puis se lavèrent les cheveux gominés dans l'eau fraîche de la crique. Il faut noter qu'il était rare que les marins puissent se laver de cap en pied car l'eau douce était réservée à la consommation et l'eau de mer n'est pas l'idéal pour prendre un bain sur le navire; alors, la propreté restait au minimum des besoins. Camouflés du bateau par un bouquet d'arbres à l'est de l'anse, baignés par l'eau claire et pure, Pierre et Valmont s'adonnèrent à de longues caresses et, à peine éclairés par une extraordinaire pleine lune de printemps, ils profitèrent au maximum de ces moments de liberté pour assouvir tous leurs désirs d'amoureux. Débarrassés des odeurs poisseuses, les corps légèrement parfumés des effluves du printemps, ils se livrèrent l'un à l'autre sur la plage vierge où flambait le feu de vigie savamment préparé pour durer presque toute la nuit. Les peaux frissonnantes de volupté, les deux corps de ces hommes blancs s'étreignirent dans la nuit, sur cette plage déserte et sauvage d'un nouveau monde; Pierre et Valmont s'embrassèrent dans un rituel personnel et étrange, conscients tous deux qu'ils étaient les premiers hommes à agir ainsi sur cette terre nouvelle. Il s'accouplèrent comme des bêtes, comme s'ils voulaient consacrer cette contrée aux amours illicites, échangeant moult caresses frénétiques de leurs amours clandestines. Emportés par des gestes lubriques, déployant leurs muscles virils jusqu'à l'épuisement de leurs sens, aux cris des hiboux et des chouettes, ils furent le premier couple blanc gai à copuler au Canada en ce sept mai de l'an de grâce 1534...

Pierre savait à peine écrire mais il laissa traces de ses aventures avec Valmont sur un parchemin qu'on découvrit il y a quelques années dans les ruines d'une maison du quinze et demi de la rue Des Granges, à St-Malo, en Bretagne…

______________________________en marge______________________________________

De même que la Bergère et son chat a une version érotique, je suis sûr que maintenant on a une autre lecture de

 

 

Il était un petit navire

un bateau pirate - Momes.net
Il était un petit navire
Il était un petit navire
Qui n'avait ja, ja, jamais navigué
Qui n'avait ja, ja, jamais navigué
Ohé, ohé.../...
On tira z'à la courte paille
On tira z'à la courte paille
Pour savoir qui, qui, qui serait mangé
Pour savoir qui, qui, qui serait mangé
Ohé, ohé...
Le sort tomba sur le plus jeune
Le sort tomba sur le plus jeune
Bien qu'il ne fut, fut, fut pas très épais
Bien qu'il ne fut, fut, fut pas très épais
Ohé, ohé...
.../...L'un voulait qu'on le mit à frire
L'autre voulait le, le fricasser
L'autre voulait le, le fricasser
Ohé, ohé...

 

 

 

Par Lamoureux - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 17 février 1 17 /02 /Fév 01:35

RECITS FICTION

Le contact de sa peau rugueuse sur la mienne me donna la chair de poule. J'étais ferré. Pouvais-je savoir que c'était la marque du Destin ?

 

C'est pratique les djellabas

à part vous, personne n'en saura rien lol 

La ville où habitaient mes parents était jumelée avec une ville d’Algérie. C’est de cette façon que j’ai pu effectuer plusieurs voyages là-bas au cours de mon adolescence. Nous partions en groupe de jeunes et nous étions accueillis dans des familles, soit seul, soit par deux, en fonction des possibilités d’hébergement. Pour ma part, j’ai toujours été reçu seul mais ce n’est pas là que j’ai le plus approfondi mes connaissances du pays... Pour la première expédition je n’avais que 15 ans et demi et c’était mon premier grand voyage sans les parents et la première fois que je prenais l’avion. Rien que cela m’aurait suffit mais j’ai découvert bien d’autres choses.

Le voyage durait deux semaines mais dès le deuxième jour, nous avions le droit de pouvoir nous balader sans les monos à condition de prévenir et d’indiquer où nous allions. Le but était de nous immerger le plus rapidement possible dans la culture du pays. Dès la première sortie, nous avions repéré une place sur laquelle il y avait de l’animation. Outre le souk qui s’étendait dans les ruelles adjacentes, il y avait aussi des groupes de musiques et autres attractions.

Le troisième jour en fin d’après-midi, nous nous sommes retrouvés sur la place alors qu’il y avait plus de monde que d’habitude. J’appris par la suite que c’était un jour de fête et qu’à cette’occasion, tous les habitants descendaient dans la rue. Il y avait de la musique partout, des danseurs et même des conteurs. Absorbé par un spectacle de musique, je n’ai pas vu les autres du groupe partir et me suis retrouvé seul. Cela n’était pas pour me déplaire. Je pouvais rentrer quand je le voulais car nous avions quartier libre. De plus, je me sentais à l’aise au milieu de cette joyeuse pagaille, bousculé de droite et de gauche par cette foule au dialecte inconnu. Alors que le groupe faisait une courte pause, je me suis mis à observer un peu autour de moi (et c’est d’ailleurs à cet instant que je me suis rendu compte que les autres étaient partis). Mon regard croisa celui d’un homme d’une quarantaine d’années qui me regardait en souriant. Il était vêtu d’une djellaba, comme la plupart des autres hommes, pas très grand, moustachu et bedonnant. Sur le moment je ne prêtais guère attention à lui, me disant inconsciemment qu’il devait s’adresser à quelqu’un d’autre, d’autant que la musique recommençait mais sur un rythme un peu plus soutenu. Cela eut pour effet de faire bouger l’assistance, voire d’en faire danser certains. Coincé au troisième rang, je gesticulais timidement, d’une part faute de place et d’autre part pour ne pas paraître ridicule.

C’est alors que je sentis une présence derrière moi. Me retournant, je vis l’homme qui m’avait souri. Il avait les bras croisés sur le ventre et semblait écouter lui aussi la musique. Les mouvements de foule faisaient que de temps à autre, je me retrouvais plaqué contre lui. Étant encore bien innocent, c’est à la limite que je voulais m’excuser à chaque fois que je me cognais à lui, mais assez rapidement, je compris que nos contacts n’étaient pas essentiellement dûs à moi, et assez ambigus. En effet, je sentais souvent ses mains frôler le bas de mon dos et mes fesses. Au bout d’un moment, pour en avoir le cœur net, je décide de changer de place discrètement. Et là je me suis aperçu qu’il me suivait. Intrigué de savoir ce qu’il voulait, je laissais faire les choses. De nouveau dans mon dos, ses attouchements se firent de plus en plus précis. Mon cœur s’accélérait à chaque fois qu’il me touchait. Je sentais parfaitement le dos de ses mains se placer sur mes fesses, n’étant vêtu que d’un maillot et d’un short de plage (pratiquement aussi fin qu’un caleçon...) sans rien dessous.

Sans que je m’en sois rendu compte, la nuit était tombée et les seuls éclairages qu’il y avait étaient ceux de la scène. Cela devait l’encourager au même titre d’ailleurs que le fait que je ne me sauve pas en courant. Je fus surpris lorsqu’il commença à me caresser plus directement. Une de ses mains s’était plaquée sur mes fesses et je sentais ses doigts essayer de se diriger vers mon anus. Apeuré, de peur que cela ne se voie, je ne bougeais pas et serrais les fesses. Du coup, je sentis encore plus les doigts inquisiteurs tenter de forcer le passage mais sa détermination était bien plus forte et le faible rempart qui me protégeait était bien faible. Rouge de honte, je jetais des regards aux alentours pour essayer de savoir si quelqu’un s’était aperçu de la chose mais dans l’obscurité, je ne distinguais que vaguement les visages de mes voisins et je n’osais pas me retourner. De plus la foule était devenue tellement compacte qu’il m’était difficile de m’en dégager. Le mec devait s’en douter et en profitait.

Il remonta sa main jusqu’à l’élastique de mon short et glissa la main à l’intérieur. Le contact de sa peau rugueuse sur la mienne me donna la chair de poule. Il me caressa longuement, puis ressortit sa main pour la glisser sous mon maillot et venir me caresser le ventre, me plaquant contre lui. C’est alors que je sentis son sexe se frotter contre mes fesses au rythme de la musique. À priori, il ne portait rien sous sa djellaba. J’avais la tête qui bourdonnait et je me demandais jusqu’où il allait aller. À mesure qu’il bougeait, ses pressions se faisaient de plus en plus fortes et je sentais sa bite grossir dans mon dos.

D’un coup, je l’entendis discuter avec un autre homme. Sa main me lâcha et il se recula un peu. Les deux hommes rigolaient. Je me suis dis que c’était terminé et qu’il allait me laisser mais c’est alors que je sentis qu’une main avait attrapé l’élastique de mon short et qu’on me le descendait. Je voulus empêcher la chose mais une autre main saisit la mienne et me la tira en arrière pour venir la positionner sur un sexe. Je compris que c’était le deuxième homme qui m’avait attrapé pour pouvoir laisser le champs libre au premier. Celui-ci ne se gêna pas et descendit mon short pour découvrir et exhiber mes fesses. Pendant ce temps, on me relevait aussi mon maillot.

L’autre main de celui qui me déculottait glissa sur mon ventre pour y appuyer, m’obligeant à me plier légèrement pour bien exhiber mon cul. Les deux hommes rigolaient de plus en plus fort à chaque fois que je tentais de me dégager. Je devais faire de l’effet car le sexe que l’on me forçait à toucher était de plus en plus dur et me paraissait énorme. On m’écartait les globes et des doigts venir tâter de ma rosette. Je n’osais imaginer le spectacle que je donnais et ne savais pas si d’autres hommes en profitaient. J’étais coincé entre ces deux mecs et je me faisais tripoter le cul. Enfin, je devrais plutôt dire que je me faisais doigter le cul car l’un d’eux avait réussit à faire entrer un doigt et s’amusait à le faire coulisser en moi. En fait, je ne sais même pas s’il ne le faisait pas chacun leur tour.

Puis la musique prit fin. La foule commença à se disperser. Je sentis que l’on me tirait en arrière. Les deux hommes m’entraînaient avec eux. L’un m’attrapa par la taille et l’autre me passa un bras autour du cou, comme si nous nous connaissions depuis toujours. Ils m’emmenèrent dans un endroit isolé, toujours en discutant et rigolant entre eux. À chaque fois que j’essayais de dire quelque chose, cela les amusait et ils répondaient en arabe des trucs que je ne comprenais évidemment pas.

Arrivés dans la cour de ce qui ressemblait vaguement à un garage, l’un d’eux me tira sur mon maillot alors que l’autre descendit mon short. Je me suis retrouvé nu comme un ver en un rien de temps, car même les sandalettes que je portais avaient valsé. Ils se mirent alors à me caresser partout sur le corps, en insistant bien sur mes fesses et mes seins qu’ils pinçaient. J’essayais bien de me débattre mais je n’avais aucune chance. À deux, ils me bloquaient facilement, me faisant passer de l’un à l’autre, s’amusant avec moi, me plaquant contre eux pour me faire sentir leur sexe dressé sous la toile.

Puis l’un d’eux souleva sa djellaba alors que l’autre me maintenait et je vis apparaître une bite énorme. Il m’attrapa par la nuque et m’obligea à me plier, aidé de l’autre qui m’avait saisi par la taille, les fesses plaqués sur son pieu. Après quelques ruades bien ridicules de ma part, le gland se positionna sur mes lèvres et d’une poussée m’écarta les lèvres pour s’enfoncer dans ma bouche. Son propriétaire entama des va-et-vient, s’enfonçant de plus en plus profond. Celui qui se trouvait dans mon dos ne restait pas inactif. Il avait lui aussi remonté sa djellaba et je sentis sa bite glisser entre mes jambes. Il la faisait coulisser au rythme des assauts de celui que je suçais.

Puis ils changèrent de position, et celui qui passa derrière moi positionna son gland bien mouillé à l’entrée de mon cul. Pris de panique je lui demandais dans un couinement et la bouche pleine de ne pas faire ça, mais c’était peine perdue. Plusieurs tentatives furent nécessaires, à grand renfort de salive, avant que je sente le gland commencer à entrer. La douleur était atroce, d’autant que c’était pour moi la première fois que je me faisais enculer. Le type donnait des grands coups de reins pour faire pénétrer son pieu dans mes entrailles en me tenant par les hanches.  À mesure qu’il avançait, son débit de parole s’accentuait et son souffle se faisait de plus en plus rapide. Alors que je pensais que le plus dur était passé, il s’enfonça complètement d’un coup sec et je crus que j’allais m’évanouir. Je sentais ses couilles venir battre contre mon cul. Il resta un moment comme ça puis se mit à me pilonner les intestins, m’attrapant bien par la taille pour s’enfoncer au plus profond à chaque fois. L’autre alternait en me faisant sucer sa bite et ses couilles rasées. J’étais pris en sandwich et j’avais bien du mal à garder mon équilibre.

Ils changèrent plusieurs fois de position et j’avais l’impression que cela ne s’arrêterait jamais. À peine une bite sortie de mon cul qu’elle arrivait dans ma bouche ce qui me faisait en laver les moindres recoins !  J’avais mal aux joues, le cul en feu et les yeux embués de larmes. Mon calvaire s’arrêta lorsque celui qui m’enculait se retira d’un coup et que je sentis son sperme atterrir sur mon dos. L’autre se retira alors de ma bouche et se vida sur ma tête. Ils laissèrent retomber leur djellaba et après avoir retrouvé leurs esprits, s’en allèrent tranquillement, me laissant seul, avec du sperme dégoulinant de partout. C’est à cet instant que je me suis rendu compte que je bandais comme un porc. Rien que d’y penser, j’ai joui sans me toucher.

après cette révélation à moi-même, peut-être aurez vous envie de  la suite ?  

 En fait vous allez trouver la suite horrible. Moi jai bien vécu et survécu. Cette agression, car c'en était une, m'a "trouvé" à un moment crucial de ma vie. C'était il y a 16 ans, j'en ai 31 maintenant. 

Je n’avais en mémoire qu’un seul visage, celui du moustachu. Je le revis le lendemain matin. En fait il faisait partie d’une famille de ceux qui hébergeait un des moniteurs et parlait très bien le français. Il me fit comprendre que si je ne voulais pas qu’il raconte ce qui s’était passé, je devais lui obéir et faire ce qu’il pouvait me demander...

En agissant ainsi il avait inversé les rôles : de victime je devenais complice  de son crime. J'ai gardé le silence et le secret..

Sauf que j'avais aimé et que, depuis ce voyage, je n'ai pas cessé d'aimer ça. Il faut croire que j'avais d'authentiques dispositions.lol. Aurais-je été le même si je n'avais pas fait cette rencontre ? J'aurais mis du temps à devenir ainsi, mais je le serais devenu certainement. 

Salim (c’était son prénom) s’arrangeait toujours pour faire partie du groupe dans lequel j’étais lors des excursions ou des activités. Il me tenait à l’œil et je sentais sans arrêt son regard et sa pression sur moi. Heureusement tout cela s'est arrêté à la fin de ce séjour mais il avait eu le temps de répéter ses viols et de me faire violer par d'autres. Et cela pour de l'argent.

 

Depuis, quand l'argent se mêle de mes affaires de "coeur", de cul je veux dire, j'exulte. Je suis vénal.  

 

 

 

 

 

 

Par TOFFY - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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