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Jeudi 31 octobre 4 31 /10 /Oct 02:34

  Classé dans SEXO  VIVRE SA SEXUALITE THEME INCESTE entre frères

 

 

 

                                                                                          Un étalon flamboyant :  

 

    Quelques semaines après le gang bang où j'ai baisé Simon( "Bébé" pour les intimes (ce qui est vraiment le cas de le dire!), lors d'une séance à plusieurs hommes et jeunes dirigée par son beau-père (un professeur de mon école) et des amis à eux. C'était ma première fois dans une partouze du genre (si on ne compte pas ma première fois avec mes grands frères). Le beau-père et organisateur m'avait "adoubé", en raison de ma vaillance et de mon endurance à 16 ans et "boyfucker" j'étais devenu, le jeune étalon gay local' Jusque là, depuis deux ans, je n'avais baisé qu'en duo, un jeune à la fois, quelques fois par semaine  sans plus, et c'était surtout à l'école que ça se passait.

J'avais aussi eu le courage de me retenir de sauter sur mon petit frère. Âgé de 13 ans, Bruno était le cadet de la famille. Psychologiquement, il ressemblait beaucoup plus à Richard, le plus vieux : capable d'être un gars comme les autres et de faire un peu de sport, il était surtout intellectuel, porté à lire beaucoup et à ne pas avoir beaucoup d'amis. Mais il était heureux comme ça! Tout comme Richard d'ailleurs !

     Depuis quelques temps, déjà, en baisant des garçons à l'école, je m'imaginais plutôt entrer dans le petit cul de Bruno, mon cadet mignon. Je l'imaginais couiner sous mes coups de queue agressifs. Je me demandais comment m'y prendre... Comme nos frères aînés l'avaient fait avec moi ? Avec force, un peu malgré lui? Ou l'amener à se rendre avec persuasion? Je ne savais pas moi... L'emmener à me désirer tout doucement sans qu'il ne se rende compte? Parfois, je m'imaginais le basculer par terre et le violer sauvagement pendant qu'il crierait ou pleurerait. Ça m'excitait d'y penser, mais je l'aimais trop et je n'aurais jamais voulu le traumatiser en le forçant... Enfin, pas trop...Quand je vous disais que je suis un mauvais garçon !  .!

Bref, je me revois encore en cette soirée de 24 décembre. Après le souper, tout le monde avait fait le ménage de la cuisine, ensuite on était allés regarder la télévision. On avait fait un gâteau pour Bruno, qui était content de recevoir, comme à chaque année, des cadeaux de fête et puis de Noël. Ensuite, vers 21h, tout le monde allait se reposer dans s lit, pour une petite sieste de deux heures. Après, tout le monde se réveillait pour 23h, afin de recevoir le Père Noël à minuit. Même cérémonie depuis toujours! Mais moi j'étais dans mon lit et je n'arrivais pas à dormir. J'avais une érection d'enfer parce que je n'avait baisé personne depuis près d'une semaine et ma main ne me suffisait plus à ce moment. Et Bruno, dormait juste là, dans le lit à côté du mien...

Sans trop me poser de question, je me suis déshabillé et me suis étendu sur le lit en sous-vêtement. Sur le dos, les jambes poilues bien écartées, une main derrière la tête et l'autre sur la bosse chaude et dure sous le tissus, je massais mon érection en ayant aux narines  l'odeur du désodorisant montant de mes aisselles. Ma propre masculinité m'excitait. Chaque fois que j'étais excité sexuellement et prêt à trouer une chatte de mec (ou de fille de temps en temps), je me sentais terriblement homme, mâle, dominant et supérieur aux garçons qui m'entouraient.

C'est dans cet état que je regardais Bruno dormir. Je le désirais tellement. Sa petite bouche pulpeuse et luisante de salive sous le clair de Lune me faisait envie comme jamais. Sans me rendre compte, je me suis levé et suis allé à genoux à côté de son lit. J'avais ma tête au niveau de son visage et mes yeux regardaient ses deux lèvres entrouvertes. Vous allez rire dema comparaison mais on aurait dit un petit anus venant d'être ouvert par un gros sexe d'homme, avec les lèvres anales gonflées et le trou incapable de se refermer par l'usure. C'est alors que j'ai approché ma bouche de la sienne et j'ai posé un doux baiser sur ses lèvres avant de sortir ma langue et de les lécher langoureusement. Comme je le ferais avec une bonne chatte chaude. Son haleine sentait et goûtait encore le crémage de gâteau sucré.

Je ne réalisais pas depuis combien de temps on était dans la chambre. Une heure, peut-être? Peu importe... J'ai pris une chance... Je me suis relevé après un dernière lécher sur sa bouche et j'ai baissé mon sous-vêtement à mes chevilles. J'ai un peu penché les jambes et ma queue tendue était maintenant au niveau de la bouche de Bruno. Mon gland, avec une goûte de précum déjà sur le bout, était à quelques centimètres de ses lèvres. Bien que je me disais : "tu diras que c'était une blague", mon cœur battait tellement fort... Mais je l'ai fait : je suis allé toucher mon gland à sa bouche. Et tranquillement, j'ai fait glisser mon précum sur ses lèvres. Fuck! C'était tellement hot, tellement bon... pis tellement obscène, immoral* !!! Un fond de culpabilité venait en moi : pas assez fort pour m'empêcher de faire ce que je voulais, mais assez fort pour me faire trembler et comprendre que j'étais devenu un parfait salaud prêt à tout pour avoir son plaisir. Même à se servir de son petit frère!

Et j'adorais ça!!! Je me sentais grand et pervers!

Si Bruno s'était réveillé avant, je me serais sans doute sauvé dans mon lit en faisant comme si de rien n'était. Mais il dormait toujours et la tension sexuelle montait en moi. J'étais rendu au point de non retour. Peu importe ce qui allait arriver, j'allais le faire. C'est alors que j'ai doucement mis mon gland entre ses lèvres et que j'ai poussé... Et poussé... De voir ma queue écarter doucement sa bouche innocente pour y pénétrer m'a presque fait jouir. Mais je suis un gars avec du contrôle et je me suis retenu tout en réprimant un gémissement. Puis j'ai commencé à branler le reste de ma queue qui était resté à l'air. Chaque fois qu'une goûte de précum sortait de mon gland pour aller dans sa bouche, je devais m'arrêter et prendre une bonne respiration. Mes couilles brulaient, prêtes à laisser sortir une rivière de sperme et inonder sa gorge à tout instant !

Après une minute à jouer comme ça dans sa bouche endormie, j'ai décidé qu'il serait mieux que mon petit Bruno soit tout à fait conscient pour continuer de s'occuper de ma queue. Après tout, je prévoyais déjà de me servir de lui régulièrement dès ce moment ! J'ai donc sorti ma queue de sa bouche confortable, en m'excitant de voir la bosse de mon gland bouger sous sa joue et contre sa langue probablement toute recouverte de mon miel.

En remontant mon sous-vêtement, j'ai commencé à le bousculer un peu pour le réveiller. Après quelques secondes, il est enfin sorti d'un rêve. Je me suis rendu compte que je l'aurais violé et il n'aurait rien senti (sauf peut-être en reprenant conscience!) Il m'a regardé, un peu perdu, les yeux à demi ouverts, en me demandant si c'était déjà le temps de se lever pour se préparer aux cadeaux.

— Non, pas encore... Mais j'ai envie de jouer à un jeu avec toi... Pis si tu réussis, tu vas avoir un cadeau avant tout le monde... Ça te tente-t-il?

Encore un peu fatigué, il s'est quand même levé. Ça voulait dire oui! Je l'ai vu avaler la salive dans sa bouche, et quand j'ai imaginé mon précum se répandre dans sa gorge, mon érection est devenue très apparente sur le devant mon sous-vêtement. Mais je m'en foutais. Et quand Bruno regardait ma grosse bosse avec curiosité, je faisais même exprès de lui laisser la vision libre. Je l'ai emmené avec moi dans le salon où la pièce sans lampe ouverte brillait grâce aux lumières du sapin. Certains des cadeaux étaient déjà à terre, et je savais que les autres étaient dans le fameux sac du Père Noël). Nous nous sommes accroupis à terre et j'ai cherché le cadeau que je voulais offrir à mon petit frère. Je l'ai trouvé et l'ai pris avec moi.

— Voilà ce que je vais te donner si tu gagnes le jeu...

— Mais c'est quoi au juste, le jeu?

— Avant de te l'expliquer, tu dois me promettre de ne rien répéter à personne de ce qu'on va faire ok? C'est un gros secret entre nous ! C'est un truc que tous les bons garçons de ton âge, comme toi, doivent faire le jour de leur 14 ans... Je l'ai fait moi aussi et tu vas voir, c'est super!

— Ok... Mais faut faire quoi?

— T'as commencé à te branler déjà?

Ma question subite et intime l'a fait rougir tout de suite.

— Euh oui...

— Et tu le trouve comment ton pénis? Il est gros?

— Je sais pas... Je crois, oui...

— Eh bien le jeu, c'est de savoir qui a la plus grosse queue. Et celui qui a la plus grosse gagne. Mais ensuite, le perdant a le moyen de s'arranger pour gagner lui aussi : il met le pénis du gagnant dans sa bouche et s'il réussit à le faire jouir, il gagne aussi. C'est comme les gars à l'université qui font une initiation.

Il me regardait d'un drôle d'air. Je voyais son intelligence qui lui faisait comprendre que c'était louche comme jeu, mais je voyais aussi son innocence qui voulait qu'il joue en oubliant le reste ! Mais c'est l'innocence et la jeunesse en lui qui a voulu agir.

— Ok!

— Cool ! Alors on commence? Baisse ton pantalon et on va mesurer nos pénis!

J'ai soudain eu une petite peur... Dans la famille, tous les gars on l'avait énorme ! Et si je perdais et qu'il me demandait de la lui sucer? Bah ça n'aurait pas été si pire, mais je préférais largement la lui mettre dans sa petite gueule d'ange! Quand il l'a sorti de son pantalon, son pénis n'était pas bandé. Je me suis permis de le branler un peu pour l'aider, et il s'est laissé faire, encore un peu endormi. Je lui devais bien ça, après tout. J'ai continué de le masturber encore un peu après qu'il soit monté à son top, pour l'exciter un peu. Ensuite, j'ai sorti ma propre queue et je l'ai mise à côté de la sienne. Mon dieu que la sienne était quand même belle et grosse pour son âge... MAIS c'est moi qui ai gagné! Il ne semblait pourtant pas déçu, mais très craintif, quand il a repris la parole...

— Bon y'a une autre option pour gagner... Mais...

— Mais quoi?

— Ben... C'est la première fois que je vais faire ça...

— T'inquiètes... Je vais t'aider... Pis on est entre frères après tout...

Mon côté dominant est vite ressorti, un peu malgré moi, alors que j'ai pris ma queue par la base et l'ai tendu à mon petit frère.

— Touche-la et suce-la... Tu vas voir, c'est bon... Tu vas aimer ça...

J'ai pris son bras et j'ai emmené sa main sur ma grosse queue. Quand il a posé ses doigts autour de mon membre, j'ai senti tout un frisson m'envahir en même temps que la contraction de mes testicules.. Dans sa main, mon sexe a encore plus durci et Bruno semblait à la fois timide et curieux. Il tardait à agir, alors j'ai moi-même avancé mes hanches pour que ma queue soit à sa bouche.

— Allez, ouvre...

À peine il a ouvert la bouche que j'ai précipité mon gland dedans. Il a un peu reculé la tête sous l'effet de la surprise et a empoigné ma queue de ses deux mains pour prendre un peu de contrôle. Avec sa bouche, il s'est mis à faire des bruits de succion et je sentais sa langue commencer à laper le frein de mon gland. C'était doux et agréable. Mais je voulais plus.

— Tu serais chiche de la prendre plus loin dans ta bouche?

Il allait retirer ma queue pour répondre mais dès qu'il a ouvert un peu plus, je la lui ai enfoncé moi-même. Puis, en lui maintenant la tête, j'ai commencé à lui baiser la gueule, sans aller trop loin pour qu'il soit malade. Au début, il voulait se débattre et il me frappait les bras, puis il s'est calmé en me laissant faire. Il devenait docile.

— Je vais aller plus loin maintenant... Relaxe ta gorge et ouvre-la bien comme il faut...

Dès que j'ai senti qu'il était prêt, j'ai mis mon gland un peu plus loin encore, mais c'était sensible pour lui. C'était sa première gorge profonde après tout. J'aimais bien voir son visage éclairé par les lumières du sapin de Noël. Les ombres ressortaient plus et sa bouche écartée par ma queue m'excitait vraiment. Ça aurait fait une belle photo que j'aurais conservé toute ma vie mais est-ce que les photos sont mieux que la mémoire d'une émotion ?.

Chaque fois qu'il avait un haut le cœur, je me retirais pour y retourner encore un peu plus profond à chaque fois, comme si je croyais que sa gorge allait s'habituer à me recevoir. Mais non, pascette fois. Pourtant, je savais fort bien qu'il devait s'y faire.

Et puis soudain, on a commencé à entendre du bruit, des gens qui marchaient un peu plus loin au fond de la maison. Déjà, les gens se réveillaient pour se préparer pour minuit. Je tenais toujours la tête de Bruno entre mes deux mains, ma queue bien plantée dans sa gueule, et je voyais la panique dans ses yeux.

— Continue! Je vais bientôt éjaculer, t'arrête pas!

Mais en fait, ce n'est plus vraiment lui qui s'activait pour me faire jouir, mais moi-même. lles Les mainsderrière sa nuque, je lui faisais aller et venir sa bouche sur ma queue, lui emmenant de plus en plus de haut le cœur. Je m'en foutais, et je le voyais qui bavait tout autour de ma queue, ça dégoulinait tout le long de son menton.

— Ça vient, ça vient!!

Je sentais qu'il commençait à mal gérer sa respiration, et il s'étouffait dans sa propre salive. De mon côté, de le voir ainsi me donna des frissons des couilles jusqu'au gland, puis j'ai senti la douce brûlure du sperme monter tout le long de ma queue. Les palpitations de mes veines faisaient grossir mon membre encore un peu plus et je lui enfonçais le tout au complet dans sa gueule en lançant un, deux, puis trois gros jets de ma semence dans sa gorge.

— Aaaaah ouihhhh !!! Avale tout!!! Fuck, t'es trop beau!!!

Ça m'excitait de jouir dans sa gorge et de chuchoter ces mots tout en sachant que n'importe qui pouvait arriver n'importe quand dans la pièce. Lui, il s'étouffait toujours, mais je ne le laissais pas s'échapper pour autant. C'était trop bon et mon plaisir valait bien le coup!

Lorsque j'ai senti que j'avais vidé mes couilles bien comme il faut, j'ai alors desserré l'étreinte sur sa tête. En se retirant de ma queue, il a pris une profonde respiration puis il s'essuya les lèvres pleines de salive. Il n'y avait aucun sperme là, tout s'était retrouvé dans son estomac avec succès. J'étais fier de moi, je venais de faire de mon petit frère ma petite suceuse chérie. Ma bouche préférée. Mais ça, il ne le savait pas encore. Ni que son cul allait bientôt devenir ma chatte personnelle.

Je venais tout juste de remonter mon sous-vêtement et lui de terminer de s'essuyer que la lumière s'alluma et notre père entrait dans la pièce.

— Mais... Que faites-vous là, les gars?

On lui a bredouillé une explication qu'il n'a pas vraiment compris, et qu'il ne semblait pas trop croire de toute façon... Et puis, pour sembler un peu plus convaincant, je lui ai expliqué une partie de la vérité :

— J'aime tellement mon petit frère adoré... Je voulais juste lui faire ouvrir mon cadeau avant celui de tout le monde! Je voulais vivre ça avec lui tout seul, et pas avec plein de monde autour...

Il semblait toujours douteux, mais il accepta notre version et nous laissa aller dans notre chambre en secret, avec le cadeau de Bruno. Il ne me reparlait même pas de mon attaque sexuelle tellement il était énervé d'ouvrir son cadeau. Il était vraiment content de trouver dans une boîte des petits bonshommes, pas si petits en fait, de certains personnages de Star Wars. Il m'a sauté dans les bras pour me remercier, et tout ce que j'avais en tête à ce moment, c'est qu'il avait encore l'odeur de ma queue et de mon sperme à son visage. Excitant au plus au point!

Déjà je m'imaginais la suite...


À suivre...

 

 

 

 

Light It Up. non, pas cynique

 

 

 ça je le laisse à d'autres...vous  ???

 

 

 

 

 

 

------un mot de Malvina------------------------------------------------------------------------------------------------------------

  Bien l'Bonjour , Claudio !...
 
> C'est Jean-Marie / Trav-Truie-Pute-Fiotte-Cuve a Jus-Incestueuse "Anne-Marie" !...
( Blog : http://jm80sexe.erog.fr/ , et Communauté 'Incests' : http://www.erog.fr/com-117589 7474/INCESTES_crads_Jeux_de _Roles_d.html )
 
Je te transmet ici , - afin de t'apporter ma p'tite participation a ton blog ! - , Mon recit de ce que je nomme "Mon 'declic' " pour ... LES INCESTs !... ( Et CRADs , surtout ! )
... Ce recit , c'est ce que J'AI REELLEMENT vécu , il y bien 15 ans , maintenant !...
... Je n'en ai ( plus ! , malheureusement !... ) Qu' 1 seule photo ... Mais pour Moi , CETTE photo , ... : HUMmmm !!!...
J'espere ainsi apporter ma ' p'tite touche ' de deviances perverses et d'extremes depravations / avillissements , -O combien JOUISSIFs !- ,
aupres des autres Copines ET Males Virils de ton blog !...
Au passage ; MERCI , CLAUDIO , pour les contribs-articles que tu poste dans ma communautée !... : J' APPRECIE beaucoup !...
  
Au PLAISIR de te lire !...
> Trav-Truie-Pute-Fiotte-Cuve a Jus/Pisses-Incestueuse a Crader/Avillir -En REEL !- ; "Anne-Marie" !...
 
P.S. : Tiens !... : > Autre 'contrib' !... ( Celle la , je ne sais pas si 'elle' t'interessera autant ... )
C'est une B.D. "Incests-Crads Extremes" , que j'ai traduite de l' anglais , et que j'ai mise dans mon "SkyDrive" Live/Hotmail ... > Accessible ET PARTAGEABLE par tout l'monde !...
http://sdrv.ms/17 25NeC ...
( Elle est sur mon blog , dans ma communauté , aussi , bien sur !... )
... Dis moi ce que t'en pense !... 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 31 octobre 4 31 /10 /Oct 00:32

Désolé mais vous comprendrez qu'il me soit impossible  de chercher des illustrations pour certaines scènes de ce nouveau récit 

 Salut ! c'est encore moi, Pascal. Vous avez aimé  "Boyfucker" le récit de mon homérique dépucelage et ma résolution d'être, comme mes frères, un baiseur impitoyable  ?

 

 

Je n'avais que seize ans, mais j'étais déjà l'étalon de l'école. Enfin, ma queue et moi. Quand je prenais un autre élève dans un coin caché du lycée, qu'il ait 14, 15, 16 ou 17 ans, il savait qu'il allait y passer lui aussi. Et c'est avec crainte et respect qu'il obéissait. Pourtant, je n'en demandais pas beaucoup : juste qu'on me suce la queue et qu'on me fasse jouir ! C'est pourtant pas si compliqué ! Je veux qu'on l'ouvre bien grand pour accueillir mon arme de destruction massive ! Et, de toute façon, plus ils refusaient, et plus j'avais le goût de le leur mettre au cul aussi. Rien de mieux qu'une bonne petite chatte serrée, chaude et humide qui renâcle au début, pour prendre mon sexe du gland jusqu'aux couilles. Bien profondément ! Sept pouces de bonheur  et ils en redemandent !

 

Une après-midi dans les toilettes vides de l'école, alors que j'enculais un petit minet blond et adorable (un jeunot de 15 ans qui était trop bon à l'école mais qui baissait ses pantalons chaque fois que je le lui demandais), un professeur nous a surpris. Mais il n'avait pas l'air surpris lui-même. Au début, j'ai eu peur de recevoir la claque du siècle. Mais non. Il nous regardait faire avec un petit sourire qui en disait long sur le plaisir qu'il ressentait au niveau de l'entre-jambe. Après avoir joui dans l'anus du blondinet sous le regard de l'homme, je l'ai laissé aller, et le prof est venu me parler.

— J'ai une information pour toi qui serait intéressante, petit salaud...

Il m'a souri et tendu un papier où se trouvait une adresse.

— Vas-y... J't'ai remarqué depuis quelques temps, j't'ai regardé faire... T'as une grosse queue, t'aimes être servi... C'est une bonne place pour toi, là-bas... C'est juste parfait pour un gars comme toi...

Curieux, un soir, j'y suis allé. C'était une maison bien ordinaire, semble-t-il. Du moins, de l'extérieur. Lorsque j'ai sonné, un homme est venu me répondre. J'ai été surpris de reconnaître le prof en question à l'entrée.

— Je savais que tu allais venir... Rentre donc et suis-moi au sous-sol.

En haut, tout était parfait. Et plusieurs photos étaient accrochées aux murs. Celle du prof et de sa famille : une femme qui semblait gentille, une jeune femme de vingt ans environ, et un garçon mignon de quinze ans. Je l'ai regardé, lui, et je le trouvais plutôt "cute". Je me le serais peut-être fait si je l'avais connu à l'école. Bref, j'ai donc suivi le prof en bas.

— J'organise ces soirées les vendredis et samedi soirs, lorsque ma femme part voir des amies pour des soirées féministes. Ce n'est pas mon genre, alors je reste souvent seul avec son fils à elle, Simon. Ce n'est pas le mien, mais je m'en occupe comme si j'étais le père. Puis il y a ma fille, mais elle vit en appartement depuis qu'elle a dix-sept ans, et je ne la vois presque jamais.

Rendu au sous-sol, je n'ai rien remarqué de spécial. Puis, il a ouvert une porte au fond qui nous menait à une salle aménagée, plutôt étrange. Il y avait des chandelles partout, des coussins à terre, des sofas, des tables, des chaises...

— Je dois te dire que tu arrives au bon moment. Juste avant l'arrivée des autres...

Je me demandais ce qui allait se passer, lorsque j'ai entendu quelque chose bouger au fond de la pièce. C'est alors qu'est apparu le petit Simon. Il était complètement nu, venant me causer une érection instantanée.

— Salut papa!

Il l'appelait papa, même s'il n'était pas le sien. Je commençais à deviner ce qui se cachait ici. Je me doutais que ça allait être sexuel, mais pas que nous allions être en présence de ce joli minet. Il n'était que d'une année plus jeune que moi, mais on aurait dit qu'il ne les faisait pas du tout. Alors que je commençais à avoir bien du poil, lui n'en avait pas du tout. Il ne faisait pas beaucoup de sport, je crois, parce qu'il était très, très mince. Juste assez pour ne pas être maigre et pour qu'il soit beau. Il portait des cheveux un peu longs, des yeux bleus et un visage doux qui le rendait féminin. Il avait un petit pénis, mais un très beau cul bien rond. Sa peau entière était plutôt blanche. Un contraste face à la peau bronzée du prof. En me rappelant de la photo de famille, j'ai bien vu que, tout récemment, ce garçon avait changé. De jeune ados de 14 ans bien ordinaire aux cheveux courts, plus masculin, il était devenu ce semblant de jeune salope en chaleur de 15 ans. Un an à peine s'était écoulé, et je voyais des changements spectaculaires.

Car, en chaleur, il l'était vraiment. Il s'est approché de moi, tout soumis, et, sans un mot, s'est agenouillé devant moi. J'ai regardé le prof, qui m'a souri en me disant de le laisser faire. Il a posé ses mains sur la bosse de mon pantalon et a commencé à me masser le paquet en me regardant dans les yeux. Il a vite défait le devant et a sorti ma queue par le trou de mon sous-vêtement. Devant mes yeux ébahis, il a commencé par sentir ma queue comme si c'était une viande délicieuse. Il s'est mis à l'embrasser doucement de ses belles lèvres. Le prof, son beau-père, l'encourageait.

— C'est ça... Montre-lui ce que je t'ai appris, mon bébé...

Après avoir embrassé ma queue, des couilles jusqu'au gland, il a commencé à lécher le bout de sa langue rosée. Puis, il a commencé à me sucer délicieusement. Et, à mon grand étonnement, il s'est mis à me faire une gorge profonde bien chaude. Bientôt, sans pouvoir me contrôler, j'ai placé ma main sur ses cheveux, je les ai poignés bien comme il faut, et je me suis mis à lui baiser la bouche et la gorge. Il n'avait pas de haut le cœur, ce qui m'a fait comprendre qu'il avait bien appris ses leçons.

— Ah oui, Simon, suce-moi bien... Avale ma queue...

Mais le prof est intervenu en m'entendant.

— Ne l'appelle pas par son prénom. Tu dois l'appeler mon bébé, ou salope, et tout autre surnoms du genre.

— ok ya pas de souci !

Mes hanches ce sont mises à aller bien comme il faut.

— Mais ne jouis pas trop vite, mon cher ! Garde ce plaisir pour plus tard... Bébé, montre-lui ta belle petite chatte d'ange...

En se relevant, Bébé est allé se placer à quatre pattes sur une table, le dos bien cambré vers le bas comme une pute, et le cul bien ressorti. Son fessier était justement au niveau de mon visage.

— Va lui lécher la chatte  selon ton bon  plaisir, Mon Cher.

Je m'en suis approché, et j'ai vu cet anus, ou plutôt cette chatte, qui, selon moi, avait été bien usée depuis un an. Ces belles lèvres anales n'étaient plus serrées comme un anus vierge. Non, elles étaient gonflées, rougies, irritées par des passages trop fréquents de grosses queues. Je n'avais jamais léché de cul, c'était ma première fois. J'ai d'abord posé ma langue sur cette fleur. Je l'ai lapé baveusement avant de commencer à la sucer carrément. Avec ma bouche, j'allais prendre ces lèvres anales et les aspirer, en les mordillant un peu. Bébé couinait comme une pute et il m'a rendu fou. Je me suis mis à lui manger le cul comme si ma vie en dépendait, en lui frappant les fesses.

C'est alors que deux hommes sont arrivés entre temps. Prof m'a dit de rester là à m'occuper de Bébé, que lui allait faire autre chose. J'ai demandé au jeune de recommencer à me sucer, doucement, pendant que je regardais ces autres hommes. Ils avaient avec eux deux autres garçons du même âge que Bébé, ou à peu près. Et tous lui ressemblaient : minces, tous blancs, cheveux plus longs que la moyenne, minets... Ils ont vu ce que Bébé me faisait, et moi je les regardais commencer à se déshabiller. Très vite, je me suis rendu compte qu'ils étaient aussi les autres salopes pour ces hommes. Peut-être même des fils à eux, ou des neveux. Ces deux jeunes ados ont commencé à sucer les trois hommes, à les masturber. De loin, je voyais leur cul se trémousser.

C'est ainsi que je me suis mis à jouir dans la bouche de Bébé. Je ne savais pas si je devais avertir, mais je me suis dit que le jeune devait aimer le sperme aussi. Je ne me suis pas trompé, et il a tout avalé. Puis, un peu sonné, je suis allé m'asseoir sur un sofa. Et j'ai réalisé une chose : ce qui semble exciter ces hommes, c'est le contraste. Leur peau bronzée et poilue d'hommes virils contre leur peau blanche et imberbe de garçons féminins. Et leur petite bouche et leur petit cul de pute bien serré... bien entouré autour des grosses queues de mâles, foncées, veinées et juteuses. Et je me suis rendu compte que ça m'excitait aussi. Que je n'allais certainement pas tarder à leur ressembler à ces vicieux.

À un certain moment, l'un des autres garçons est venu entre mes jambes pour me sucer. Je l'ai laissé faire, mais je n'ai pas joui, car il est allé voir le prof avant. Depuis, trois autres hommes étaient arrivés et s'amusaient avec d'autres garçons soumis qu'ils amenaient. Le plus vieil homme devait avoir 45 ans, et le plus jeune (à part moi), 25 ans. Du côté salope, les plus jeunes avaient 14, et le plus vieux 16 ans. Mon âge, mais définitivement pas pareil ! Peu importe où je regardais, donc, des hommes étaient sucés ou bien ils léchaient des chattes de garçons obéissants.

Après un moment, le prof est venu me parler.

— Viens. Je t'ai gardé une surprise...

Je l'ai suivi à nouveau. Il m'a emmené à la même table que plus tôt, où, entre-temps, Bébé avait été attaché sur le dos, les jambes pliées et écartées comme à une visite chez le gynécologue, et les bras au-dessus de sa tête.

— Joue avec sa chatte... Lèche-la, encule-la... Fist-la...

Le terme fist était nouveau pour moi. Il m'a montré un autre jeune sur une autre table où un homme lui entrait la main au complet dans le cul.

— C'est ça, le fist, mon gars... Pis, Bébé, il adore ça...

Le prof a aussitôt sorti sa grosse queue de son pantalon, et l'a donné à lécher à Bébé. Pendant ce temps, je me suis remis à lécher sa chatte, pendant quelques minutes. Puis, j'ai trempé ma queue dans du lubrifiant. Le prof semblait avoir du plaisir à me voir me préparer.

— Bébé aime ça dur, quand ça fait mal...

J'ai compris le message. Et, sans vraiment préparer son anus, j'ai commencé à lui driller le trou avec mon gland. Je prenais mon temps à entrer, pour le voir réagir. Il était sur le bord des larmes, mais il me demandait de le baiser férocement. Je forçais donc l'entrée, puis je me suis mis à l'enculer bien vite. Il criait presque, et m'excitait. Et en regardant autour, je pouvais voir d'autres hommes faire la même chose. Nous étions presque une dizaine de vrais gars à baiser des salopes. Et ça sentait le sexe!

Je suis passé du mode vite au mode violent rapidement. Je le prenais par les cuisses et j'y allais le plus rapidement, le plus profondément possible. Je grognais de plaisir et je ne m'arrêtais que pour ne pas jouir, afin de faire durer ce plaisir le plus longtemps possible. Bébé, qui avait encore la queue de son beau-père sous le nez, ne pouvait rien faire d'autre que subir. Sur ma queue, je pouvais voir des traînées de jus rosé. J'ai deviné que Bébé saignait du cul, probablement parce que j'y allais trop fort, mais que ça ne devait pas être la première fois, parce que le prof me souriait.

— Vas-y mon gars! Oui, baise-le comme un homme, cette petite salope!

Puis, l'homme s'est déplacé sur la table, maintenant nu complètement. Il s'est placé à genoux au-dessus du visage du garçon et lui a rentré toute sa queue dans la gorge. Il s'est mis à la baiser comme un fou. J'entendais des borborygmes écœurants sortir de la poitrine de Bébé, je croyais qu'il allait être malade, mais ce ne fût jamais le cas. Le prof m'a expliqué que son supposé fils n'avait pas du tout mangé de la soirée, que c'était ça la magie pour ne pas être malade lors des gorges profondes. De mon côté, je prenais les pieds de Bébé et je les mordais, lui suçais les orteils, je léchais tout le dessous à fond.

C'est alors que je me suis retiré, sans jouir. J'ai mis ma main entière dans le lubrifiant, et j'ai tout enfoncé dans ce cul accueillant. Je me suis mis à lui baiser la chatte de ma main, tantôt toute droite, tantôt en poing. La peau et le muscle de son cul s'étirait. J'ai levé les yeux et j'ai vu le prof qui jouissait dans la bouche du jeune, en lui criant des obscénités excitantes. Puis, en se retirant, j'ai vu le visage de Bébé recouvert de salive et de sperme que sa gorge recrachait naturellement pour mieux respirer, ce qu'il avait un peu de mal à faire. Mais ça m'excitait et l'érection entre ses jambes me prouvait que Bébé était au paradis.

— Au suivant!

C'était un ordre du prof. Aussitôt, un autre homme est venu prendre sa place pour baiser la gorge probablement endolorie de Bébé. Les sons écœurants ont recommencé, sans aucun dégât. Moi, je continuais à lui ouvrir la chatte bien large. De mon poing, je fessais dans la rondelle beaucoup moins serrée. Lorsque j'ai décidé d'arrêter, les bras morts, j'ai remis ma queue dedans cette chose. Voyant que ça ne me servait pas à grand chose, tellement c'était ouvert, j'ai pris un faux pénis en latex qui trainait pas loin, et l'ai mis dans le trou avec ma queue. De nouveau serré, je me suis remis à le baiser, jusqu'à ce que jouissance s'en suive. Entre temps, un autre homme était venu lui baiser la gueule déjà bien remplie de jus.

Lorsque je me suis retiré, ce que je vis était incroyable. Un homme est venu s'installer en dessous de Bébé, lui mettant sa queue au cul, puis un autre est venu le prendre dans une double-pénétration extrême. Toujours attaché, Bébé ne pouvait pas faire autrement que de se laisser prendre par tous les trous. Le prof est venu m'expliquer que la session du fist était toujours suivie par la double-pénétration pour Bébé. J'étais par contre curieux :

— Mais... Le fist va pas le rendre trop desserré?

— Non, absolument pas. Enfin, oui sur le coup, c'est le cas. Mais après un temps, ça redevient comme tu l'as découvert en arrivant. Il n'aura jamais un cul vierge à nouveau, mais ce sera toujours assez serré pour faire jouir une queue. Même une toute petite bite qui demande un trou très serré.

Pendant cette discussion, un autre garçon est venu se mettre à genoux pour me sucer la queue recouverte de sperme et du jus de cul de Bébé, y compris d'un peu de sang. Enfin, je dis un garçon, mais celui-là avait probablement 20 ans, quatre ans de plus que moi. Un homme, probablement celui qui l'avait emmené ici, s'est approché de nous et a tapoté la tête suceuse de cette nouvelle salope.

— Lui, il aime les jeunes comme toi. T'as quelle âge?

— 16 ans, monsieur.

— 16 ans... Ouais, il adore... Il n'irait jamais en bas de 14 ans, parce que c'est notre limite, ici, à tous, mais il adore être dominé par un plus jeune que lui. Ça fait trois ans que je m'en rends compte. Comme toutes les putes de la maison, il a commencé ici à 14 ans, mais après un bout j'ai bien vu que c'était ça son trip.

— Il a commencé ici à 14 ans? Ça veut dire que ça fait un bon moment que vous faites ces séances-là?

Le prof me répondit.

— Ouais... J'ai commencé tout ça quand j'avais la début vingtaine... J'te raconterai ça un jour...

La pute de 20 ans qui me suçait toujours a fini par me faire jouir à nouveau, pour la troisième fois de la soirée. Mais c'est qu'elle était bien bonne! Puis, je suis resté encore deux heures là. Surtout pour observer les gens baiser entre eux. Parfois, un des garçons venait me sucer la queue, ou me demander de le baiser, ce que je faisais avec plaisir, mais après un temps je jouissais sans éjaculation, ce qui devenait ensuite épuisant.

Et, finalement, je suis parti dans les petites heures du matin. Tous les hommes avaient baisé tous les garçons. Bébé, surtout, qui était le centre d'intérêt, et dont le corps n'était plus qu'une poupée remplie et recouverte de sperme, de salive et même un peu d'urine. Il était devenu une chose méconnaissable, comme transformée en bouillie. J'ai presque eu un instant de pitié pour ce garçon, mais de le voir sucer à nouveau son beau-père comme si c'était ce qui allait lui sauver la vie, avant d'aller se retirer dans la douche, m'a vite remis sur le bon chemin. C'était juste une salope ! Cette aventure pleine de nouveauté m'avait plu et marqué. Je n'arrivais pas, à cet âge, à porter un jugement  sur les adultes ainsi réunis et bien condamnables qui faisaient de nous leurs jouets, même s'ils me faisaient jouer, à moi,  le rôle qui me convenait.


À suivre...

 

 

sans  rapport direct avec le récit, quelques photos du netpour le plaisir

 

 

putitodepapa: bonermakers: Getting fucked helps him squirt farther. Fast fuck raw

 

joshnamir: drip-drip-drip-drip: plunger. Contempler son effet sur SON tarba 

 

bonermakers: Taking it in every hole - and watch his nuts!

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 22 octobre 2 22 /10 /Oct 06:00

RECIT EN IMAGES Fantasmes gay

sur l'air et les paroles de Bibie...

tout doucement

Tout doucement
Sur la pointe du cœuL tourner la page
Tout simplement
Choisir un nouveau livre d'images
Tout doucement
Prêt à apprendre à aimer passionnément
Tout simplement
Une autre histoire dans un monde différent...

Tout simplement BAISé pour cause de DESIRS VIO-LENTS

Reviendrait peut-être dans un jour, un mois, un an
Dans son cœuL dans sa tête
Si encore il m'attend....

PAROLES DETOURNEES DE BIBIE 

 

 

 

 

 

 

wsub4bbc: blackcockabuse: Lying back and letting the holes come to him, as it should be. Lucky white boy

 

 

 

 

 

 

 

                                                                       FIN

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Mardi 15 octobre 2 15 /10 /Oct 01:13

 

Il n'y a pas loin de la haine à l'amour, dit-on...mais là?

Trop beau pour être vrai mais la langue de lycéens québéquois

est délicieuse pour un français de  France...j'ai voulu partager mon plaisir...comme d'habitude !  

 

 

"À l'époque où j'étais en secondaire 4, je menais une petite vie normale: j'avais ma gang, mes meilleurs amis, j'étais impliqué dans mon école, j'étais populaire, assez populaire auprès des filles (même si elles étaient peu populaires pour moi) mais j'avais également mes ennemis dont un s'appelant Jean-François mais tout le monde l'appelait J-F. Oh! Que je le détestais... Je n'éprouvais vraiment aucune pitié en son égard. Pourtant, il était apprécié de tout le monde, même de mes amis, mais moi comme on dit, sa face ne me revenait pas... Pis en plus il faisait tout le temps exprès pour me taper sur les nerfs en me taquinant toujours.

Lui il ignorait ma haine pour lui jusqu'au jour où à un cours d'éducation physique, nous jouions au basket: il avait le ballon et moi prenant mon élan, je lui rentrai dedans de toutes mes forces... Cela me fit jeter hors du cours mais je me sentais tellement fier de moi. Je fus obligé d'attendre la fin du cour dans le vestiaire mais cela ne me dérangeait pas. La fin du cour venue, tous les gars se changèrent et prirent leur douche. Moi qui avais déjà tout fait ça, je restai sur un banc en attendant que la cloche sonne. Quand elle fût sonnée, alors que je m'apprêtais à sortir, le professeur m'empoigna par l'épaule et il dit: «Suis moi!» C'est ce que je fis, vue que j'avais déjà assez fait de trouble comme ça. Il m'emmena dans son bureau et en entrant, je vis J-F avec son air frais-chié qui était là. C'est alors que le prof dit:

— Fais-lui des excuses.

— Jamais!

— Parfait alors tu va rester ici jusqu'à ce que tu lui aies fait des excuses.

— Tu as besoin de ne pas avoir faim car ça ne me dérange pas de rester ici jusqu'à demain matin et si tu sors de ce bureau, à ton retour je ne serai plus là.

J-F et le prof sont bouche bée après cette affirmation. Il m'envoya alors au bureau du directeur. Je n'eus que 2 jours de retenue. Je les fis et après, pendant les 2 semaines qui suivirent, je ne revis aucune fois J-F, ce qui fit mon bonheur.

Peu de temps après, à un cours de français, la prof nous annonça que nous allions faire un travail d'équipe qui allait exiger de la recherche à la maison et dont une recherche serait exigée sur le sujet voulu. Mon meilleur ami se vira en me regardant et il me fit un clin d'oeil me disant qu'on allait se placer ensemble. C'est alors qu'elle sortie un petite boite et dit: «Le hasard va décider des équipes.» Bon... Je me suis dit c'est pas si grave si je ne suis pas placé avec Alex pour ce travail. La prof commença à donner les équipes... «Magalie avec... Patricia, Philippe avec... Noémie, Alex avec... Zacharie, Ryan avec... Jean-François.» QUOI!!! Je m'exclamai: «KOSSÉ QUI FAIt LÀ LUI!!!» La prof me dit qu'il avait changé de groupe... Je vois ben ça! Bon d'accord, mon pire ennemi est dans ma classe mais y'a fallu que je sois placé en équipe avec! Je levai ma main et dis:

— Madame je voudrais...

— Pas de discussion Ryan, je ne change pas les équipes!

Câlisse que je me dis tout bas... Je n'ai pas le choix... C'est alors qu'il approcha son bureau du mien. Bon là je lui dit:

— Ok là c'est pas que je t'aime beaucoup comme tu l'as remarqué mais je suis obligé parce que je ne veux pas couler mon français faque après ce travail, je vais faire mon possible pour oublià ton visage à 2 faces de merde, m'as-tu bien compris?

— Oui, répondit-il en baissant les yeux.

À ce visage de chien battu, mon coeur ne devint pas plus tendre... On se mit à travailler en équipe même si c'était à contrecoeur de mon côté. Tous mes amis restèrent stupéfaits de me voir travailler sans plus d'objections mais comme le directeur a dit:«Un autre accrochage de ce genre et je t'expulse de l'école.» Alors je me la fermais.

J-F m'invita alors à aller travailler chez lui ce soir même; ma première réponse fut: «Va chier!» Mais comme je n'avais ni Internet, ni bouquin sur le sujet choisi qui était l'histoire de la musique, je fus obligé d'aller chez eux. Alors je serpentais les rues de Montréal pour enfin arriver à sa maison qui était ni extraordinaire ni délabrée. Une maison normale, comme la nôtre. Je sonnai et une femme âgée me répondit. Elle fut très accueillante. J'entendis un cri: «C'est correct grand-mère, c'est pour moi!» Elle me dit de monter le voir dans sa chambre. Je montai et je cognai (c'était peut-être mon ennemi mais je n'étais pas chez moi...) Il me dit d'entrer. Il me salua. Je lui répondis d'un signe de tête. Sans plus attendre. j'enlevais ma veste et je sortais mes livres de notes. Lui, déçu de ne pouvoir me faire la conversation, s'assit, sortit ses livres et ses crayons, ouvrit son ordinateur et nous commençâmes. Après 2 heures de travail acharné, je m'étirais en me frottant les yeux. Il me demanda:

— As-tu faim?

— Non.

— As-tu soif?

— Non.

— Bon moi j'ai soif. Attends-moi 2 minutes, je reviens...

Pendant son absence, je me permis de jeter un coup d'oeil sur son ordinateur; je voulais voir si il y avait des jeux alors j'allais dans le programme de son menu démarrer mais par erreur, j'allais dans documents. C'est alors que je vis les noms de fichier: Gay001.jpg, Gay005.jpg, Fuckboy09.jpg, etc...

Alors voilà ma chance de le détruire. Alors me venut un sourire en coin. «Tu es content?» que j'entendis sur le rebord de mon oreille; je sursautai. Je lâchai un énorme cri de peur et je me virais, les yeux ronds comme des 2 dollars (NDLR: Au Canada, les 2 dollars sont des pièces de monnaie d'environ 3cm de diamètre). Mon coeur battait à tout rompre. Il me dit: «Ah ben tu as perdu ton sourire d'hypocrite tout à coup?» Je ne répondis pas. Il me dit: «Allez! Vas-y! Tu peux complètement me détruire si tu veux. D'abord ça l'air de te faire plaisir de me faire du mal! Maintenant que tu en as la chance, vas-y!» Je crois que je j'étais mauve tellement j'avais honte. C'est sûr que je suis gay également mais lui il n'en sait rien et c'est comme tout le monde (sauf pour Alex).

Alors je n'ai aucune idée c'est quoi qui m'a poussé à faire ça, ce n'était pas dans mes habitudes, mais je pris mes choses et je m'en allais le plus vite possible. Rendu sur le trottoir, je regardais par la fenêtre de sa chambre et il était là, me regardant d'un air qui mélangeait la haine et la pitié. Je baissai les yeux et pris mon chemin, la tête basse. C'est seulement en chemin que je me rendis compte que je faisais du mal à quelqu'un qui ne m'avait rien fait et qui aimait les garçons  comme moi. Parfois quand on hait quelqu'un, on oublie ces détails. C'est alors que je fus pris de remords.

Le lendemain, au cours de français, on pouvait s'avancer dans notre travail. Alors J-F vint s'asseoir à côté de moi mais je crois que je n'ai jamais trouvé un cours de français aussi long de ma vie. Il ne dit pas un mot et il ne me regarda pas une fois. Il ne travailla pas non plus, il ne faisait rien du tout. Moi, j'essayais de travailler mais quand tu as l'esprit ailleurs, c'est pas chose facile. Je le détestais mais je n'aimais pas quil ait des raisons de m'en vouloir. J'ignore pourquoi. Le soir venu, je lui écris une longue lettre d'excuses pour toutes les fois que j'ai pu le faire souffrir, autant physiquement que psychologiquement; aussi pour son secret, j'allais le garder pour moi.

Mais je n'étais pas du style à la faufiler dans sa case pendant son absence alors ce même soir, j'allais lui porter la lettre en personne chez lui. Je cognai à sa porte, les mains tremblantes. Ce fut lui qui m'ouvrit. En voyant que c'était moi, il referma la porte mais avant qu'elle soit complètement fermée, je la retins. Il me dit:

— Kossé tu veux toé?

— Je te demande même pas de m'écouter, juste de lire ça.

Il prit la lettre et il ferma la porte. Je fis demi-tour et je repris le chemin de la maison. Quand je fus rendu à mi-chemin, j'entendis: «Ryan!!! Attends!!!» Je me virai et vis J-F courant derrière moi. Il s'arrêta près de moi et il se pencha en s'appuyant sur ses genoux pour reprendre son souffle. Il me regarda, la larme à l'oeil et il me demanda:

— Tu es sérieux quand tu dis que tu ne vas rien dire?

— Évidemment! Vu que je te l'ai écrit.

Il me fit un sourire qui pourrait attendrir l'homme le plus dur du monde et il me dit: «Merci» et il sauta dans mes bras... Comment pus-je résister... Je répondis à son accolade comme l'aurait fait un ami. Nous finîmes notre travail et nous eûmes la quatrième plus haute note de notre classe. Mais en même temps, on était devenus amis et à mes yeux, il était même devenu un de mes meilleurs.

Nous rions beaucoup ensemble. Je le détestais car il se laisse paraître un peu «baveux» mais il est tendre, gentil, affectueux dans le fond. Il a un bon sens de l'humour. Mais il n'a pas toujours eu la vie rose. Quand son père sut que sa mère était enceinte, il s'était sauvé et il n'ont plus jamais eu de nouvelles de lui; et sa mère, pour gagner un peu d'argent, était streap-teaseuse et quelques fois elle devait faire le trottoir pour arrondir les fins de mois. Mais un jour elle attrapa le sida à cause de ce métier malsain, elle en mourut quand J-F avait 5 ans. Depuis ce temps, c'est sa grand-mère qui en prend soin. Mais l'important c'est qu'il est heureux ainsi. Même si ses parents ne sont plus là, sa grand-mère s'en occupe très bien et le traite comme son propre fils. Voilà pour son histoire.

Un jour comme on le faisait souvent, il vint coucher chez moi. Il ne savait toujours pas pour mon orientation sexuelle; je ne voulais pas lui dire de peur qu'il tombe amoureux de moi et que cela gâche notre amitié. Bon il était chez nous et comme on le faisait d'habitude, on discutait, jouait au PlayStation et on déconna.

Vers 1h, on alla se coucher (dans le même lit comme d'habitude) mais cette soirée là, il me sembla plus particulièrement sexy. Il s'allongea à côté de moi se mit sur le côté avec sa main pour s'appuyer la tête. J'en fis de même et nous discutions pendant 15 minutes. Un moment donné, j'ouvris la télé et ce fut un fameux film XXX du Super-Écran. Je partis à rire et je dis à J-F: «Tu dois être content?»

C'était en effet une scène de lesbienne. Il me donna un coup en me disant: «Ta gueule là!» Mais tout de suite après, ce fut une scène hétéro dont le gars étais assez mignon merci! C'est alors que je sentis une bosse grandir dans mon boxer. Je pliais mes jambes pour la cacher. Je remarquai un bosse du côté de J-F mais lui ne sembla pas gêné du tout. Même que je le vis se caresser. Je lui dit:

— Si tu veux te branler, il n'y a pas de gêne sauf que la source de notre érection n'est pas la même, à part de ça, on est fait pareil.

Il baissa les couvertures de son côté et j'en fis de même. Pour la première fois, je vis la queue en érection d'un autre gars. Moi je ne n'avais que des yeux que pour le corps de J-F. Son ventre musclé, ses jolis pectoraux, ses bras musclés et aussi le plaisir de voir sa main glisser sur sa queue. Il décacha son gland c'est là que je le regardai et je vis que le film ne l'intéressait pas du tout. Il avait les yeux fermés et se laissait porter par ses fantasmes.

C'est là que je ne pus m'empêcher, à la vue de son gland juteux, d'y glisser ma main. Il ne fit aucun sursaut, même qu'il enleva sa main et il garda ses yeux fermés. Je me masturbais et je masturbais un autre gars en même temps. C'était merveilleux. Je l'entendais haleter mais ce qui m'excitait le plus, c'était la vue de son ventre musclé tout en sueur. J'accélérais le rythme de mon côté comme du sien. On se lamentait tous les deux. Soudain je me sentais venir. Je poussais une lamentation et j'accélérais le rythme à une vitesse infernale mais sans le vouloir, je le faisais également du côté de J-F. Je déchais sur mon ventre.

Quand je fus revenu de ma jouissance, je regardais J-F mais avec toute l'excitation, je me rendis compte que je n'avais pas diminué le rythme de son côté. Je le regardais et il poussait une grande lamentation, les yeux grands ouverts, et il se replia sur lui. Je sentis une énorme coulisse de sperme s'échapper entre mes doigts et se déposer sur son ventre. Mais comme le premier jet est toujours plus fort que les autres, tous les 6 autres glissèrent sur mes doigts. Il ne dit pas un mot, prit un kleenex et s'essuya. Moi j'allais à la toilette me laver les mains. Je revins à la chambre et il dormait comme un bébé. Je ne le réveillais pas. Je fermais la télé et me couchai moi aussi.

Le lendemain à mon réveil, l'autre côté du lit était vide mais ses vêtements étaient encore là. Je sortis de ma chambre et j'allais à la cuisine me prendre un verre de jus d'orange et je vis sur le frigo affiché: «Partis chez ton oncle à Québec jusqu'à demain soir. Fais attention à toi!» Bon! Je voyais là une opportunité en or pour perdre ma virginité. À ce moment, je vis J-F arriver dans la cuisine, serviette à la taille. Il me dit:

— Pourrais-tu me prêter une paire de boxer?

— Bien sûr, premier tiroir de ma commode...

Il y entra je me suis dit «Criss de con, au lieu d'y aller avec!»

Il en ressortit avec mon boxer Calvin Klein et je lui offris:

— Que veux-tu pour déjeuner?

— Juste une pomme ça va être correct...

— Ok! Tiens.

— Merci.

— Hey, ce soir je suis encore seul, veux-tu encore coucher ici?

— Comment refuser? me dit-il en me faisant un clin d'oeil.

Je rougis. Il finit sa pomme, s'habilla et retourna chez lui chercher ses affaires. Mais juste avant de partir, j'allais le reconduire à la porte et quand la porte fut entr'ouverte, il se retourna et dit: «Ah oui, merci pour hier!» et il me donna un petit bec sec sur la bouche. Il se retourna aussitôt et ferma la porte.

Il revint seulement sur l'heure du souper. J'avais commandé une pizza et lui avait apporté un film. Ensuite on mangea tout en discutant et avec quelques allusions à ce qui s'était passé la veille. Ensuite on écouta le film qui ne fut pas fameux. Après il était seulement 22h et nous décidions d'aller nous baigner.

J-F commença à faire quelques longueurs. Moi je ramassais les jouets laissés par ma petite soeur. Je levai les yeux dans l'eau je voyais son beau corps musclé s'étendre et se débattre d'un mouvement de nage parfait. Je sentais ma queue bouger à travers mon maillot. Je me dis: «Pas tout de suite!» Je ressortis de l'eau et je fis la planche en attendant que J-F ait fini. Je fermai les yeux et me laissai flotter. Soudain je sentis un ballon s'écraser sur mon visage. Je sursautai et je vis que J-F se tordait de rire à l'autre bout de la piscine. Je partis à ses trousses et on se chamailla comme ça pour le plaisir pendant 10 minutes.

Un moment donné, J-F était embarqué sur mon dos et je sentais sa queue qui se gonflait contre mon dos. Je ne bougeais plus par stupeur. Je sentais mon engin devenir également de plus en plus gros. Je me décollai de lui et je plongeais dans l'eau pour faire une longueur en dessous de l'eau. Pourquoi? Parce que je le laisse peut-être pas paraître mais je suis timide face au sexe. Je ne sais pas pourquoi. Quand ma longueur fût finie, je sortis de la piscine sans dire un mot. Lui, il me suivit tout en laissant paraître son érection fièrement.

Après m'être essuyé, je me dirigeai vers la douche. Rendu là j'enlevai mon short et je me glissai sous la douche. Je me mis alors à relaxer sous le jet puissant et chaud de la douche. Jamais une douche n'avait été aussi sensuelle pour moi. Pour la première fois je sentais les gouttes d'eau glisser une à une sur mon corps. Je sentais le chemin se rendre sur le bout de mes orteils mais mon préféré fût celui qui finissait par le bout de mon gland dur dû à l'érection.

L'excitation fit que mes mains glissèrent sur ma queue sans m'en rendre compte. Quand j'en pris conscience, je fermai les yeux et je retournai à mon excitation. Je glissais lentement ma main sur ma verge dure et droite de 16 cm. Plus rien n'existait autour de moi, ce fût la première fois qu'une simple masturbation fût aussi excitante.

Soudain je sentis des mains se déposer sur mes fesses. Je sentis un corps se coller sur mon dos. Je sentis des lèvres se poser sur mon cou. Je sursautai sur le coup mais après je me laissais faire. Ce fût bien entendu J-F qui étais repassé à l'attaque pour avoir ce qu'il veut mais cette fois-ci, ça allait marcher. Je déposais mes mains sur ses fesses, me virai la tête et je l'embrassai de plein fouet. Nos deux langues s'entremêlèrent. Après un long «french kiss» d'au moins deux minutes, je retirais ma tête, j'empoignai sa belle queue de 16.5 cm, je la glissai entre mes fesses, je me serrai les fesses et je me mis à faire un mouvement de va-et-vient de haut en bas. Lui avec ses belles mains viriles, il me caressa de la gauche et me masturba de la droite.

Il m'embrassa partout dans le cou et je sentais son souffle devenir plus intense contre ma nuque. Ensuite je m'éloignai un peu de lui, je pris une débarbouillette et du savon et je le lavais au complet mais en réalité, c'était plus des caresses. Il me fit la même chose. Un coup lavé, je le plaquai contre le mur et je le frenchais comme jamais. Mes mains se baladaient sur son torse musclé. Je sortis ma langue de sa bouche et je commençai à descendre avec ma bouche en embrassant partout sur son corps. Je descendais partout: dans son cou, ses épaules, son torse... Je m'attardais un peu sur ses seins en les mordillant un peu en les suçant. Il aimait ça, il me caressait et sa respiration était forte.

Je continuai à descendre sur son ventre je l'embrassai, le caressai et lui léchai. Je continuais à descendre. J'arrêtai d'embrasser et je me mis à genoux devant lui. Sa belle queue est là, bien droite et dure, n'attendant que je l'entre dans le fond de ma gorge. Je la pris avec mon pouce et mon index, à la base, et j'y approchais ma bouche entr'ouverte. Comme je m'apprêtais à l'entrer dans ma bouche, un jet glacial se fit sentir. Il n'y avait plus d'eau chaude.

Je fermai l'eau et nous nous essuyâmes mutuellement avec quelques petits bécots un peu partout. Ensuite quand nous fûmes séchés, je pris J-F par la main et je l'entraînais dans ma chambre. Rendu là, je le poussais sur le lit et je me jetais par-dessus lui et je l'embrassai. Mes mains caressaient son torse doux et musclé. Nos 2 membres se frottaient un sur l'autre d'un tendre et doux mouvement à rendre fou le plus sage. Nos langues s'entremêlèrent doucement.

Après ceci, je pris son membre et je le glissai entre mes deux cuisses et je le serrai avec celles-ci. Je commençais à monter et à descendre dessus. Nous, on continuait à s'embrasser passionnément. Il laissa aller quelques soupirs et quelques lamentations. Après quelques minutes comme ça, il me tourna brusquement sur le dos et il me dit doucement à l'oreille: «C'est à ton tour!» C'est à ce moment qu'il commença à m'embrasser partout dans le cou et il descendit tranquillement sur mes épaules, sur mon torse, mon ventre, jusqu'à ce qu'il arrive à ma queue qui était sur le point d'éclater tellement elle était bandée.

Il s'en prit à mes couilles avant. Il pouvait les rentrer les deux dans sa bouche. C'était tellement bon! Jamais je n'aurais cru... Je lâchais de longs soupirs souvent accompagnés de lamentations. Je pouvais sentir sa langue qui les soulevait et sentir ses lèvres se refermer dessus. Il monta avec sa langue jusqu'au dessus de mon gland. Je ne pus m'empêcher de lâcher une forte lamentation. Je tenais les draps de toutes mes forces tellement je pouvais aimer. Mon corps était raide de partout. J'étais crispé.

      

Il commença à jouer avec mon gland avec le bout de sa langue, ce qui me fit lâcher des éclats de rire à cause des chatouillements. Ce qui n'empêcha pas mon engin de donner d'énormes spasmes. Il mettait un grande succion. C'est comme s'il essayait de rentrer ma queue le plus profond possible dans sa gorge. Je n'en pouvais plus! Je lâchais un cris laissant dire «ÇA JOUIIIIIIIIIIITTTTTT!!!» Il retira sa tête et je lui éclaboussais dans le visage. Il en avait plein.

Il remonta et je le nettoyai avec ma langue. Quand j'eus fini le nettoyage, je le frenchais avec la quantité de sperme qui m'était restée dans la bouche. Je le couchai sur le dos et lui dis: «Laisse-toi faire.» Il me sourit et mit ses deux mains derrière sa tête.

Je descendis sur son corps en embrassant chacun de ses membres. Cela le chatouillait et à chaque petit rire qu'il laissait aller, je sentais sa queue donner des coups sur mon ventre. Mes mains le caressaient tendrement au fur et à mesure que je descendais. Rendu à destination, je pris sa queue et j'entrais son gland dans ma bouche. Il gémissait fort, il aimait ça. Plus ça allait, plus je donnais une forte succion, plus elle rentrait creux dans ma bouche. Je pouvais sentir son précum couler sur ma langue. Quand je remarquai que sa sève était rendue haute dans sa queue, je retirais sa queue de ma bouche. Il me regarda avec ses yeux de chien battu et il dit:

— Pitié! Continue! C'est trop bon!

— Fais-moi confiance! lui dis-je.

    

Je remontai sur son visage et je l'embrassai de pleine fougue. Nos langues se sont rencontrées encore. J'ai embarqué avec la position cavalière sur sa queue et je me mis à me frotter le cul sur sa queue de haut en bas! Il se lamentait toujours plus fort! Quand je me sentis enfin prêt, je me levai un peu, pris sa queue avec mes mains et je la dirigeai sur l'entrée de mon anus. Sa queue était toute enduite de précum!

Je commençais à descendre sur sa queue tranquillement et lui, il me donna un grand coup de rein. Ça faisait très mal! Je lui donnai un grande claque et lui dit: «T'est malade! Laisse moé le temps de m'habituer!» Il devenait tout rouge. Comment rester fâché après cela? Je lui fis un grand sourire, lui faisant remarquer mon pardon. Je me penchai et lui donnai un baiser.

Je repris ma tâche, je commençai un doux va-et-vient de haut en bas. C'était pas désagréable malgré la douleur! Mais plus ça avançait, plus j'étais excité, plus j'en voulais, plus ça allait vite! Je sortis mon petit amour et je me mis sur le dos, les jambes en l'air, et lui dit: «Viens me prendre de toutes tes forces, j'en peux plus!»

Il me sauta pratiquement dessus et me l'enfonça d'un coup et commença tout de suite à me défoncer les fesses! Plus rien n'importait, on était fusionnés et je voulais le rester pour toujours! Pendant ma jouissance, je ne pus m'empêcher de crier un «JE T'AIME!» Il arrêta son va-et-vient et me regarda, l'air abasourdi. Je lui dis: «Oui, je t'aime, tu ne peux même pas t'imaginer à quel point! Je t'aime plus que personne ne peut t'aimer...» J'avais les yeux pleins d'eau et lui aussi. Il me dit: «C'est bien plus que réciproque!» et il recommença à me grimper de toutes ses forces. Je hurlais de plaisir, les larmes coulaient sur mes joues mais c'était des larmes de joie. Il commençait à hurler et crier «JOUIIIIIIISSSS!!!!» Et je sentis son liquide chaud couler en moi.

Il tomba à côté de moi, on se mit dans les bras l'un de l'autre et on pleurait. C'était sans le moindre doute le plus merveilleux moment de ma vie!

J'ai maintenant 20 ans et je suis toujours avec J-F. Jamais je n'aurais cru qu'un jour je puisse enfin être en amour et tout cela avec mon pire ennemi... Ohhh c'est vrai! Mon meilleur ennemi! "

 

  FIN  

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 22 septembre 7 22 /09 /Sep 18:40

 

 

Fin du texte 2

 Marc veut jouir, il bande, son sexe est incroyablement rouge. Je saisis la base de sa verge et la serre pour faire refluer le sang sur son gland. Celui-ci devient énorme, prêt à craquer. Les bords se séparent de la hampe, chaque trait de sa peau se précise. Je colle mon nez à la naissance du gland, là où naissent les parfums enivrants. Après avoir empli mes poumons de ses senteurs, je reprends un morceau de glace et le passe sur sa verge. Son gland nettoyé brille sous la pure luminosité africaine.

La peau est séchée en un instant par la douce brise du ventilateur. Mes lèvres glissent sur elle, je les laisse se promener afin d'en sentir la délicate texture. Sentir le moelleux et la rondeur de son contact. Enfin ma langue passe sous les bords du gland, puis ma bouche le recouvre entièrement. C'est mouillé, ça glisse, ma langue s'agite, tourne, plonge et se redresse à nouveau. Elle essaye de pénétrer son canal urinaire et repart pour un tour circulaire, c'est la fête.

 

Marc est agité, totalement essoufflé, les yeux clos. Il semble à demi-inconscient. Il tourne violemment la tête de droite à gauche. Il perd ses esprits. Son bassin commence à se soulever en cadence. Sa force est telle que j'ai du mal à continuer mon travail et je dois appuyer mes mains sur ses hanches pour le maintenir plaqué sur le lit. Dans une série de souffles rauques il jouit. Il lâche en plusieurs coups une quantité de sperme étonnante. Mon visage est arrosé, son corps l'est jusqu'à sa poitrine et le lit est maculé de toute part.

 

J'aimerais moi-même replonger dans l'extase lorsque j'aperçois une ombre furtive disparaître de la fenêtre. Notre secret vient d'être trahi. Tout peut arriver. Est-ce l'un de mes serviteurs, un garde de l'armée qui s'est aventuré à l'intérieur de la propriété ou encore un guérillero qui tente de s'emparer des films de Marc? La situation n'est plus sure. Je veux téléphoner à mon collègue de l'ambassade de France pour qu'il nous apporte son secours mais la ligne est coupée, je crains le pire.

 

La journée s'écoule dans une attente angoissante que la chaleur rend encore plus oppressante. Ma respiration est difficile. Marc ne dit rien, il soupire et transpire. Mon boy n'est pas venu faire la cuisine et le jardin est désert. J'ai bien entendu une cavalcade en fin de soirée, mais le temps de vaincre ma peur et d'aller voir, il n'y avait plus rien. Marc et moi avons fermé toutes les issues, les fenêtres et les entrées. Mais cette protection est illusoire. La nuit tombée, lorsque les chacals et les hyènes mêlent leurs cris plaintifs en une longue mélopée sinistre, le moment de la vérité est venu.

 

— Ouvrez! S'écrie une voix inconnue.

 

— Sortez d'ici, l'ambassade est fermée, son accès est interdit, vous êtes en territoire filékistanais.

 

La voix d'origine africaine reprend.

 

— Nous sommes témoins de vos agissements. ceux-ci sont interdits au Cameroun,vous devez vous soumettre à nos lois. Sortez!

 

— La loi du Cameroun n'a pas cours dans l'enceinte de l'ambassade, c'est vous qui vous mettez hors la loi en la franchissant.

 

Cette discussion me semble tellement vaine que j'en pleurerais.

 

— Remettez-nous vos films et nous vous laisserons tranquilles;

 

— Qui êtes-vous?

 

Nous n'obtenons aucune réponse. Dix minutes se passent en attente fiévreuse. La voix reprend soudain.

 

— Au nom du Cameroun, rendez-vous pour être jugé sévèrement par le peuple.

 

Soldats du pouvoir ou guérilleros, tous ces hommes sont des mercenaires dangereux. Le sang qui coule dans la capitale les excite. Nous ne pourrons pas les raisonner.

 

Marc prend la parole.

 

— Je vous donne les films, mais nous laisserez-vous en paix?

 

Je le remercie de cette décision, sa prudence est preuve d'intelligence.

 

— C'est d'accord vous aurez la vie sauve, j'entrerai seul et sans arme pour prendre les films. Ouvrez ou nous mitraillons la porte.

 

Les risques sont grands mais nous n'avons pas le choix. Un soldat galonné entre, je reconnais tout de suite en lui un membre de l'ethnie du président. C'est un géant de près de deux mètres. Je respire car cette tribu est plus riche, plus éduquée et plus sage.

 

— Où sont les films?

 

— Les voilà. Marc tend à ce géant au corps massif trois rouleaux de pellicules.

 

— Avez-vous d'autres films?

 

Marc lui montre un sac rempli de pellicules et signale au militaire que celles qui restent sont vierges.

 

— Vierges? Vous osez parler de virginité après ce que vous avez fait dans ce lit. Ca fait longtemps que plus rien, ni personne n'est vierge chez-vous Tiens mets une de ces pellicules dans l'appareil, si elle est vierge, elle ne le sera plus longtemps.

 

Les paroles du soldats nous inquiètent, que veut-il dire, que veut-il faire?

 

— Tu es photographe, tu aimes prendre des photos étonnantes et bien vas-y.

 

Cet immense noir commence à dégrafer son pantalon. En baissant sa culotte, un cri d'effroi sort instinctivement de ma gorge. Grand Dieu, le sexe de cet homme est monumental. J'en défaille, pour que mon esprit intègre une telle chose j'essaie de le comparer à quelque chose. Tous les animaux de la brousse défilent devant mes yeux. Lequel d'entre eux possède un tel braquemart? J'ai trouvé, cet homme a un sexe aussi gros que celui d'un tapir. C'est le seul animal dont le sexe traîne littéralement par terre lorsqu'il bande. Le problème de ce noir est qu'il ne bande visiblement pas.

 

Je suis poussé d'un coup brutal sur le lit. L'homme se jette sur moi, déchire d'un coup de paluche le pantalon de coton léger que je porte, ainsi que ma chemise. En un instant je me retrouve comme à mon premier jour. Je hurle.

 

— Non vous ne pouvez pas, je suis citoyen du Filékistan, vous allez...

 

Je ne peux pas terminer, sa grosse paluche se plaque sur ma bouche. Je la reçois comme une gifle, mes gencives saignent et un goût salé envahit ma bouche. Sa pogne est large et épaisse, elle m'empêche de respirer. Son autre main fouille mon sexe.

 

— Toi là-bas, prends des photos, sinon tu passes aussi au lit.

 

Marc ne se le fait pas dire deux fois, la menace est trop grande. Je ne sais pas trop ce qu'il a photographié. Je suis bloqué et ne peux même pas tourner la tête pour voir Marc, j'entends seulement les déclics de son appareil.

 

Le noir me caresse le façon vive et n'obtient de moi qu'une semi-érection douloureuse. Il veut me branler et me secoue dans tous les sens. Je pousse des cris de douleur qui sont étouffés par le bâillon de sa main.

 

Il me retourne comme une crêpe et plaque ses deux mains sur mes fesses les écartant. Ma bouche libérée un instant hurle de peur. Ce monstre ne peut me pénétrer, jamais je ne pourrais le contenir. Il remet aussitôt sa main sur ma bouche mais se sent gêné pour m'écarter les fesses que je ferme de toutes les forces de mes muscles. Pour m'obliger à les ouvrir, il me frappe, mes fesses doivent être toutes rouges. Dans le claquement sec de ses coups, j'entends encore les déclics de l'appareil de Marc. Je résiste encore mais la volée de bois vert que je reçois me meurtrit; mes forces déclinent et bientôt je n'ai plus la force de résister. Lorsqu'il essaye enfin de me pénétrer, je ne suis plus que plaies et sanglots.

 

Son sexe ne passe pas, la voie est trop étroite. Le soldat est contrarié, il bougonne et commence à m'étrangler. Ma respiration est coupée. Mes râles ne passent plus, je me sens pris de convulsions.

 

— Arrêtez, pour vous tous les blancs se ressemblent n'est-ce pas, alors sodomisez-moi.

 

Marc vient à mon secours au moment où je tournais de l'oeil. Peut-être essaye-t-il de gagner du temps, car personne ne peut se faire pénétrer par une telle bite. Marc se dénude rapidement et s'allonge sur le lit à mes côtés.

 

— Je suis un adepte du fist-fucking me chuchote il à l'oreille, ça devrait aller.

 

Le noir n'a aucune pitié pour moi. Plus mort que vivant il me prend par le cou, me relève et me demande de prendre les photos à la place de Marc.

 

— Je ne pense pas que les cadrages seront excellents, parvins-je naïvement à dire.

 

— Cadre le cul, c'est tout, gueule l'africain.

 

Le cul de Marc est violemment écarté à son tour. Son anus s'est ouvert et forme un entonnoir que le gland africain gros comme une prune cherche à pénétrer.

 

— Rentre doucement, qui veut voyager loin ménage sa monture, dit Marc calme mais grimaçant.

 

Etonné par cette attitude à laquelle il ne s'attendait pas, le sergent obtempère en ricanant. Son pieu glisse lentement dans le corps de Marc. Ce dernier serre les dents, mais encaisse. Le noir qui pèse une tonne, l'écrase et le recouvre presque entièrement.

 

— On ne voit rien, dis-je idiotement encore complètement perturbé par cette agression.

 

— Prends moi par derrière, dit l'africain, en écartant les cuisses. Le spectacle est étonnant, ses énormes testicules montent et descendent. En fait seule la peau se tend et se détend, car ces dernières restent posées sur celles de Marc et s'écroulent de chaque côté à chaque fois que le militaire est en pénétration profonde. Le spectacle vaut effectivement une photo que je m'empresse de réaliser.

 

Prends-moi par derrière? Cela signifie-t-il seulement de prendre une photo ou aussi de le prendre par derrière? N'a-t'il pas entrouvert les fesses à ces paroles? Son énorme fondement est-il réceptif à un sexe de taille standard?

 

Plutôt que de laisser ces questions sans réponses, je décide de m'informer en mettant les mains à la pâte. Celle-ci, en l'occurrence la peau de ses fesses, est flasque, molle sans énergie. Il réserve toute sa puissance de feu dans le pal que mère nature si généreuse en Afrique Equatoriale, lui a offert. Je lui fais du rentre dedans. Ma verge glisse doucement le long de l'anneau circulaire de son muscle anal. Sa majesté éléphantine ne bronche pas. J'ai un peu de mal à accorder mon mouvement au sien, mais je trouve rapidement le rythme. Je n'ai pas l'habitude de parties à plusieurs et imprimer un mouvement dans un corps lui-même en action exige une très forte concentration.

 

Je ne sais pas ce que devient Marc sous ce tonneau de graisse, mais j'essaye de ne pas ajouter mon poids à sa peine. Il ne dit rien, j'ai peur de le retrouver écrasé. La montagne de chair est hospitalière, ça fait du bien à mon sexe. Rapidement j'ai envie de jouir et je ne me retiens pas espérant accélérer par là la fin du supplice de Marc. J'ai raison, les tremblements, que mon lit supporte avec de plus en plus de mal, arrivent à leur comble. Le sergent barrit ses derniers râles. Dieu, merci au lieu de s'effondrer sur un être inanimé, il se retire. Marc est dans un triste état, il me semble que le passage l'a aplati.

 

— Je respire, a-t-il tout de même la force de prononcer.

 

Il lui faut quelques minutes avant de retrouver l'usage de tous ses membres.

 

— Pas mauvais, dit-il au sergent qui se rhabille, revenez quand vous voulez.

 

Le soldat a le sens de l'humour.

 

— A part ma femme, vous êtes la seule personne que j'ai pu baiser, ça fait du bien de tromper cette drôlesse, c'est qu'elle m'en a fait voir de toutes les couleurs parce qu'elle croit que je ne pourrais jamais la tromper à cause de mon engin de terrassement. Mais les photos vont lui rabattre son caquet.

 

Je lui donne la pellicule. J'espère que Marc n'a pris que des gros plans et non des photos en pied. Il serait regrettable pour ma carrière qu'on puisse me reconnaître.

 

— Maintenant que j'ai ce que je voulais, j'ai ordre de vous raccompagner à l'aéroport, il y a un vol pour la France dans quelques heures.

 

Lorsque nous sortons, l'aube point. Marc et moi sommes amenés en Jeep au pied de l'Airbus d'Air France.

 

Dès que l'avion décolle nous pouvons pousser un ouf de soulagement.

 

— Marc tu as vraiment fait un fantastique travail cette nuit. Sais-tu quelle étymologie de ce mot nous enseigne qu'il veux dire torturer au tripalium ou trois pieux. Le dard du noir, si l'on veut bien utiliser cet euphémisme, lorsqu'il est au pieu vaut bien trois pals.

 

Marc se passe la main sous la fesse pour évaluer les dégâts. Ca a l'air d'aller.

 

— Dommage pour toi que tu n'aies plus tes photos, mais c'est sans doute mieux ainsi.

 

— Je les ai mes photos, j'ai donné 50 000 F CFA à l'un de nos gardes-chiourmes pour qu'il porte une enveloppe à mon nom au bureau Air France de l'aéroport. J'ai eu peur qu'il ne l'aie pas fait. Mais la somme a du être suffisante pour lui ôter ses dernier scrupules.

 

— Je te crois, avec ça, il va pouvoir faire vivre sa femme, ses enfants, ses parents, ses oncles et tantes, ses cousins et ses neveux pendant des mois. Je m'inquiète quand même de ces photos prises au milieu de nos ébats, tu es sûr que je ne serais pas reconnaissable?

 

— Il n'y a aucune chance, j'ai fait un réglage pour que toutes les prises de vues soient sous-exposées. Vu la clarté de la nuit et celle du sujet principal des prises, on pourra autant intituler les clichés "combat de tirailleurs camerounais dans un tunnel".

 

FIN

 

 

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