Jeudi 31 octobre 4 31 /10 /Oct 00:32

Désolé mais vous comprendrez qu'il me soit impossible  de chercher des illustrations pour certaines scènes de ce nouveau récit 

 Salut ! c'est encore moi, Pascal. Vous avez aimé  "Boyfucker" le récit de mon homérique dépucelage et ma résolution d'être, comme mes frères, un baiseur impitoyable  ?

 

 

Je n'avais que seize ans, mais j'étais déjà l'étalon de l'école. Enfin, ma queue et moi. Quand je prenais un autre élève dans un coin caché du lycée, qu'il ait 14, 15, 16 ou 17 ans, il savait qu'il allait y passer lui aussi. Et c'est avec crainte et respect qu'il obéissait. Pourtant, je n'en demandais pas beaucoup : juste qu'on me suce la queue et qu'on me fasse jouir ! C'est pourtant pas si compliqué ! Je veux qu'on l'ouvre bien grand pour accueillir mon arme de destruction massive ! Et, de toute façon, plus ils refusaient, et plus j'avais le goût de le leur mettre au cul aussi. Rien de mieux qu'une bonne petite chatte serrée, chaude et humide qui renâcle au début, pour prendre mon sexe du gland jusqu'aux couilles. Bien profondément ! Sept pouces de bonheur  et ils en redemandent !

 

Une après-midi dans les toilettes vides de l'école, alors que j'enculais un petit minet blond et adorable (un jeunot de 15 ans qui était trop bon à l'école mais qui baissait ses pantalons chaque fois que je le lui demandais), un professeur nous a surpris. Mais il n'avait pas l'air surpris lui-même. Au début, j'ai eu peur de recevoir la claque du siècle. Mais non. Il nous regardait faire avec un petit sourire qui en disait long sur le plaisir qu'il ressentait au niveau de l'entre-jambe. Après avoir joui dans l'anus du blondinet sous le regard de l'homme, je l'ai laissé aller, et le prof est venu me parler.

— J'ai une information pour toi qui serait intéressante, petit salaud...

Il m'a souri et tendu un papier où se trouvait une adresse.

— Vas-y... J't'ai remarqué depuis quelques temps, j't'ai regardé faire... T'as une grosse queue, t'aimes être servi... C'est une bonne place pour toi, là-bas... C'est juste parfait pour un gars comme toi...

Curieux, un soir, j'y suis allé. C'était une maison bien ordinaire, semble-t-il. Du moins, de l'extérieur. Lorsque j'ai sonné, un homme est venu me répondre. J'ai été surpris de reconnaître le prof en question à l'entrée.

— Je savais que tu allais venir... Rentre donc et suis-moi au sous-sol.

En haut, tout était parfait. Et plusieurs photos étaient accrochées aux murs. Celle du prof et de sa famille : une femme qui semblait gentille, une jeune femme de vingt ans environ, et un garçon mignon de quinze ans. Je l'ai regardé, lui, et je le trouvais plutôt "cute". Je me le serais peut-être fait si je l'avais connu à l'école. Bref, j'ai donc suivi le prof en bas.

— J'organise ces soirées les vendredis et samedi soirs, lorsque ma femme part voir des amies pour des soirées féministes. Ce n'est pas mon genre, alors je reste souvent seul avec son fils à elle, Simon. Ce n'est pas le mien, mais je m'en occupe comme si j'étais le père. Puis il y a ma fille, mais elle vit en appartement depuis qu'elle a dix-sept ans, et je ne la vois presque jamais.

Rendu au sous-sol, je n'ai rien remarqué de spécial. Puis, il a ouvert une porte au fond qui nous menait à une salle aménagée, plutôt étrange. Il y avait des chandelles partout, des coussins à terre, des sofas, des tables, des chaises...

— Je dois te dire que tu arrives au bon moment. Juste avant l'arrivée des autres...

Je me demandais ce qui allait se passer, lorsque j'ai entendu quelque chose bouger au fond de la pièce. C'est alors qu'est apparu le petit Simon. Il était complètement nu, venant me causer une érection instantanée.

— Salut papa!

Il l'appelait papa, même s'il n'était pas le sien. Je commençais à deviner ce qui se cachait ici. Je me doutais que ça allait être sexuel, mais pas que nous allions être en présence de ce joli minet. Il n'était que d'une année plus jeune que moi, mais on aurait dit qu'il ne les faisait pas du tout. Alors que je commençais à avoir bien du poil, lui n'en avait pas du tout. Il ne faisait pas beaucoup de sport, je crois, parce qu'il était très, très mince. Juste assez pour ne pas être maigre et pour qu'il soit beau. Il portait des cheveux un peu longs, des yeux bleus et un visage doux qui le rendait féminin. Il avait un petit pénis, mais un très beau cul bien rond. Sa peau entière était plutôt blanche. Un contraste face à la peau bronzée du prof. En me rappelant de la photo de famille, j'ai bien vu que, tout récemment, ce garçon avait changé. De jeune ados de 14 ans bien ordinaire aux cheveux courts, plus masculin, il était devenu ce semblant de jeune salope en chaleur de 15 ans. Un an à peine s'était écoulé, et je voyais des changements spectaculaires.

Car, en chaleur, il l'était vraiment. Il s'est approché de moi, tout soumis, et, sans un mot, s'est agenouillé devant moi. J'ai regardé le prof, qui m'a souri en me disant de le laisser faire. Il a posé ses mains sur la bosse de mon pantalon et a commencé à me masser le paquet en me regardant dans les yeux. Il a vite défait le devant et a sorti ma queue par le trou de mon sous-vêtement. Devant mes yeux ébahis, il a commencé par sentir ma queue comme si c'était une viande délicieuse. Il s'est mis à l'embrasser doucement de ses belles lèvres. Le prof, son beau-père, l'encourageait.

— C'est ça... Montre-lui ce que je t'ai appris, mon bébé...

Après avoir embrassé ma queue, des couilles jusqu'au gland, il a commencé à lécher le bout de sa langue rosée. Puis, il a commencé à me sucer délicieusement. Et, à mon grand étonnement, il s'est mis à me faire une gorge profonde bien chaude. Bientôt, sans pouvoir me contrôler, j'ai placé ma main sur ses cheveux, je les ai poignés bien comme il faut, et je me suis mis à lui baiser la bouche et la gorge. Il n'avait pas de haut le cœur, ce qui m'a fait comprendre qu'il avait bien appris ses leçons.

— Ah oui, Simon, suce-moi bien... Avale ma queue...

Mais le prof est intervenu en m'entendant.

— Ne l'appelle pas par son prénom. Tu dois l'appeler mon bébé, ou salope, et tout autre surnoms du genre.

— ok ya pas de souci !

Mes hanches ce sont mises à aller bien comme il faut.

— Mais ne jouis pas trop vite, mon cher ! Garde ce plaisir pour plus tard... Bébé, montre-lui ta belle petite chatte d'ange...

En se relevant, Bébé est allé se placer à quatre pattes sur une table, le dos bien cambré vers le bas comme une pute, et le cul bien ressorti. Son fessier était justement au niveau de mon visage.

— Va lui lécher la chatte  selon ton bon  plaisir, Mon Cher.

Je m'en suis approché, et j'ai vu cet anus, ou plutôt cette chatte, qui, selon moi, avait été bien usée depuis un an. Ces belles lèvres anales n'étaient plus serrées comme un anus vierge. Non, elles étaient gonflées, rougies, irritées par des passages trop fréquents de grosses queues. Je n'avais jamais léché de cul, c'était ma première fois. J'ai d'abord posé ma langue sur cette fleur. Je l'ai lapé baveusement avant de commencer à la sucer carrément. Avec ma bouche, j'allais prendre ces lèvres anales et les aspirer, en les mordillant un peu. Bébé couinait comme une pute et il m'a rendu fou. Je me suis mis à lui manger le cul comme si ma vie en dépendait, en lui frappant les fesses.

C'est alors que deux hommes sont arrivés entre temps. Prof m'a dit de rester là à m'occuper de Bébé, que lui allait faire autre chose. J'ai demandé au jeune de recommencer à me sucer, doucement, pendant que je regardais ces autres hommes. Ils avaient avec eux deux autres garçons du même âge que Bébé, ou à peu près. Et tous lui ressemblaient : minces, tous blancs, cheveux plus longs que la moyenne, minets... Ils ont vu ce que Bébé me faisait, et moi je les regardais commencer à se déshabiller. Très vite, je me suis rendu compte qu'ils étaient aussi les autres salopes pour ces hommes. Peut-être même des fils à eux, ou des neveux. Ces deux jeunes ados ont commencé à sucer les trois hommes, à les masturber. De loin, je voyais leur cul se trémousser.

C'est ainsi que je me suis mis à jouir dans la bouche de Bébé. Je ne savais pas si je devais avertir, mais je me suis dit que le jeune devait aimer le sperme aussi. Je ne me suis pas trompé, et il a tout avalé. Puis, un peu sonné, je suis allé m'asseoir sur un sofa. Et j'ai réalisé une chose : ce qui semble exciter ces hommes, c'est le contraste. Leur peau bronzée et poilue d'hommes virils contre leur peau blanche et imberbe de garçons féminins. Et leur petite bouche et leur petit cul de pute bien serré... bien entouré autour des grosses queues de mâles, foncées, veinées et juteuses. Et je me suis rendu compte que ça m'excitait aussi. Que je n'allais certainement pas tarder à leur ressembler à ces vicieux.

À un certain moment, l'un des autres garçons est venu entre mes jambes pour me sucer. Je l'ai laissé faire, mais je n'ai pas joui, car il est allé voir le prof avant. Depuis, trois autres hommes étaient arrivés et s'amusaient avec d'autres garçons soumis qu'ils amenaient. Le plus vieil homme devait avoir 45 ans, et le plus jeune (à part moi), 25 ans. Du côté salope, les plus jeunes avaient 14, et le plus vieux 16 ans. Mon âge, mais définitivement pas pareil ! Peu importe où je regardais, donc, des hommes étaient sucés ou bien ils léchaient des chattes de garçons obéissants.

Après un moment, le prof est venu me parler.

— Viens. Je t'ai gardé une surprise...

Je l'ai suivi à nouveau. Il m'a emmené à la même table que plus tôt, où, entre-temps, Bébé avait été attaché sur le dos, les jambes pliées et écartées comme à une visite chez le gynécologue, et les bras au-dessus de sa tête.

— Joue avec sa chatte... Lèche-la, encule-la... Fist-la...

Le terme fist était nouveau pour moi. Il m'a montré un autre jeune sur une autre table où un homme lui entrait la main au complet dans le cul.

— C'est ça, le fist, mon gars... Pis, Bébé, il adore ça...

Le prof a aussitôt sorti sa grosse queue de son pantalon, et l'a donné à lécher à Bébé. Pendant ce temps, je me suis remis à lécher sa chatte, pendant quelques minutes. Puis, j'ai trempé ma queue dans du lubrifiant. Le prof semblait avoir du plaisir à me voir me préparer.

— Bébé aime ça dur, quand ça fait mal...

J'ai compris le message. Et, sans vraiment préparer son anus, j'ai commencé à lui driller le trou avec mon gland. Je prenais mon temps à entrer, pour le voir réagir. Il était sur le bord des larmes, mais il me demandait de le baiser férocement. Je forçais donc l'entrée, puis je me suis mis à l'enculer bien vite. Il criait presque, et m'excitait. Et en regardant autour, je pouvais voir d'autres hommes faire la même chose. Nous étions presque une dizaine de vrais gars à baiser des salopes. Et ça sentait le sexe!

Je suis passé du mode vite au mode violent rapidement. Je le prenais par les cuisses et j'y allais le plus rapidement, le plus profondément possible. Je grognais de plaisir et je ne m'arrêtais que pour ne pas jouir, afin de faire durer ce plaisir le plus longtemps possible. Bébé, qui avait encore la queue de son beau-père sous le nez, ne pouvait rien faire d'autre que subir. Sur ma queue, je pouvais voir des traînées de jus rosé. J'ai deviné que Bébé saignait du cul, probablement parce que j'y allais trop fort, mais que ça ne devait pas être la première fois, parce que le prof me souriait.

— Vas-y mon gars! Oui, baise-le comme un homme, cette petite salope!

Puis, l'homme s'est déplacé sur la table, maintenant nu complètement. Il s'est placé à genoux au-dessus du visage du garçon et lui a rentré toute sa queue dans la gorge. Il s'est mis à la baiser comme un fou. J'entendais des borborygmes écœurants sortir de la poitrine de Bébé, je croyais qu'il allait être malade, mais ce ne fût jamais le cas. Le prof m'a expliqué que son supposé fils n'avait pas du tout mangé de la soirée, que c'était ça la magie pour ne pas être malade lors des gorges profondes. De mon côté, je prenais les pieds de Bébé et je les mordais, lui suçais les orteils, je léchais tout le dessous à fond.

C'est alors que je me suis retiré, sans jouir. J'ai mis ma main entière dans le lubrifiant, et j'ai tout enfoncé dans ce cul accueillant. Je me suis mis à lui baiser la chatte de ma main, tantôt toute droite, tantôt en poing. La peau et le muscle de son cul s'étirait. J'ai levé les yeux et j'ai vu le prof qui jouissait dans la bouche du jeune, en lui criant des obscénités excitantes. Puis, en se retirant, j'ai vu le visage de Bébé recouvert de salive et de sperme que sa gorge recrachait naturellement pour mieux respirer, ce qu'il avait un peu de mal à faire. Mais ça m'excitait et l'érection entre ses jambes me prouvait que Bébé était au paradis.

— Au suivant!

C'était un ordre du prof. Aussitôt, un autre homme est venu prendre sa place pour baiser la gorge probablement endolorie de Bébé. Les sons écœurants ont recommencé, sans aucun dégât. Moi, je continuais à lui ouvrir la chatte bien large. De mon poing, je fessais dans la rondelle beaucoup moins serrée. Lorsque j'ai décidé d'arrêter, les bras morts, j'ai remis ma queue dedans cette chose. Voyant que ça ne me servait pas à grand chose, tellement c'était ouvert, j'ai pris un faux pénis en latex qui trainait pas loin, et l'ai mis dans le trou avec ma queue. De nouveau serré, je me suis remis à le baiser, jusqu'à ce que jouissance s'en suive. Entre temps, un autre homme était venu lui baiser la gueule déjà bien remplie de jus.

Lorsque je me suis retiré, ce que je vis était incroyable. Un homme est venu s'installer en dessous de Bébé, lui mettant sa queue au cul, puis un autre est venu le prendre dans une double-pénétration extrême. Toujours attaché, Bébé ne pouvait pas faire autrement que de se laisser prendre par tous les trous. Le prof est venu m'expliquer que la session du fist était toujours suivie par la double-pénétration pour Bébé. J'étais par contre curieux :

— Mais... Le fist va pas le rendre trop desserré?

— Non, absolument pas. Enfin, oui sur le coup, c'est le cas. Mais après un temps, ça redevient comme tu l'as découvert en arrivant. Il n'aura jamais un cul vierge à nouveau, mais ce sera toujours assez serré pour faire jouir une queue. Même une toute petite bite qui demande un trou très serré.

Pendant cette discussion, un autre garçon est venu se mettre à genoux pour me sucer la queue recouverte de sperme et du jus de cul de Bébé, y compris d'un peu de sang. Enfin, je dis un garçon, mais celui-là avait probablement 20 ans, quatre ans de plus que moi. Un homme, probablement celui qui l'avait emmené ici, s'est approché de nous et a tapoté la tête suceuse de cette nouvelle salope.

— Lui, il aime les jeunes comme toi. T'as quelle âge?

— 16 ans, monsieur.

— 16 ans... Ouais, il adore... Il n'irait jamais en bas de 14 ans, parce que c'est notre limite, ici, à tous, mais il adore être dominé par un plus jeune que lui. Ça fait trois ans que je m'en rends compte. Comme toutes les putes de la maison, il a commencé ici à 14 ans, mais après un bout j'ai bien vu que c'était ça son trip.

— Il a commencé ici à 14 ans? Ça veut dire que ça fait un bon moment que vous faites ces séances-là?

Le prof me répondit.

— Ouais... J'ai commencé tout ça quand j'avais la début vingtaine... J'te raconterai ça un jour...

La pute de 20 ans qui me suçait toujours a fini par me faire jouir à nouveau, pour la troisième fois de la soirée. Mais c'est qu'elle était bien bonne! Puis, je suis resté encore deux heures là. Surtout pour observer les gens baiser entre eux. Parfois, un des garçons venait me sucer la queue, ou me demander de le baiser, ce que je faisais avec plaisir, mais après un temps je jouissais sans éjaculation, ce qui devenait ensuite épuisant.

Et, finalement, je suis parti dans les petites heures du matin. Tous les hommes avaient baisé tous les garçons. Bébé, surtout, qui était le centre d'intérêt, et dont le corps n'était plus qu'une poupée remplie et recouverte de sperme, de salive et même un peu d'urine. Il était devenu une chose méconnaissable, comme transformée en bouillie. J'ai presque eu un instant de pitié pour ce garçon, mais de le voir sucer à nouveau son beau-père comme si c'était ce qui allait lui sauver la vie, avant d'aller se retirer dans la douche, m'a vite remis sur le bon chemin. C'était juste une salope ! Cette aventure pleine de nouveauté m'avait plu et marqué. Je n'arrivais pas, à cet âge, à porter un jugement  sur les adultes ainsi réunis et bien condamnables qui faisaient de nous leurs jouets, même s'ils me faisaient jouer, à moi,  le rôle qui me convenait.


À suivre...

 

 

sans  rapport direct avec le récit, quelques photos du netpour le plaisir

 

 

putitodepapa: bonermakers: Getting fucked helps him squirt farther. Fast fuck raw

 

joshnamir: drip-drip-drip-drip: plunger. Contempler son effet sur SON tarba 

 

bonermakers: Taking it in every hole - and watch his nuts!

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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