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Mercredi 5 février 3 05 /02 /Fév 18:34

RECIT FICTION  ANTICIPATION Bonne  illustration de cette chanson de Felix  Leclerc

Bisex  H + HBK + F

preachingblackpower: Amen to that!!! Every fuckin day I am thankful!

thawickedbullnigga: Tha only way you’ll get a D- out of my class is to suck my dick now you lil stupid ass cunt. Even thou it did everything this Bull told it to do He still gave tha bitch a F in his class.

Alice, Thomas, Danny

UTOPIA LE MONDE DE DEMAIN

Louange de ce monde nouveau qui avait enfin compris que le progrès ne vaut pas un sou s’il ne vise à faire disparaître toute souffrance humaine, que tout individu sans exception a le devoir de profiter du bonheur tout au long de sa courte vie avant de retourner au néant, et que le plaisir, que tous les plaisirs, sont la seule et unique condition du bonheur.

10 Novembre 2550. Dans une petite ville de la banlieue ouest de New-York vit Thomas, âgé d'une cinquantaine d'années, grisonnant, jeune de corps et d'esprit, très bel homme. Son charme et sa gentillesse ne laissent personne indifférent et il séduit aussi bien la gent masculine que féminine. Il est très attaché à sa vie de famille, sa femme et ses deux enfants sont tout pour lui, ainsi que son travail d'historien qu'il exerce avec passion.

Il faisait beaucoup de recherches sur le XX° et XXI° siècles. Même si cette époque lui était familière, les guerres, le racisme, l'homophobie, la connerie humaine de ces temps le faisaient réfléchir et le laissaient souvent sans voix. Avec son jeune stagiaire noir, Danny, ils débattaient à propos de leurs recherches et se rendaient compte que quatre siècles et demi plus tard, le monde avait bel et bien changé: tous les problèmes que soulevait autrefois l'homosexualité leur paraissaient ahurissants, comme le vestige d'une sorte de moyen-âge heureusement disparu.

Alice, l'épouse de Thomas, était une femme brune aux yeux verts, fin quarantaine; son statut de femme au foyer lui laissait du temps pour s'occuper d'elle. Ils formaient un couple magnifique, leur complicité était à fleur de peau. Mily et Quentin, les deux enfants de Thomas et d'Alice se trouvant en France pour leurs études, ils invitaient souvent Danny à dîner.

Un soir, au cours d'un de leurs repas en commun, ils eurent une discussion très animée sur leur époque, mais ils tombèrent tous d'accord sur un point: l'homme était enfin heureux aux quatre coins de la planète. Chacun était libre de vivre son mode de vie sans l'imposer à l'autre; l'amour de soi, mais aussi d'autrui était le maître mot de l'humanité. Les croyances et les religions qui avaient fait tant de ravages par le passé n'existaient plus...

Le repas qu'Alice avait préparé était délicieux et les changeait agréablement des rations turbo-OGM habituelles. Thomas ne manqua pas de féliciter sa petite femme en se frottant contre elle de manière très sensuelle et en l'embrassant langoureusement, sous le regard intéressé de Danny.

Danny était plutôt canon comme garçon, une belle tête rasée plus que court, un regard perspicace avec des yeux en amandes, un nez pas très fin, mais en harmonie parfaite avec son visage et une bouche de toute beauté. Son côté très sportif lui avait donné à 25 ans un corps de dieu grec. Il savait que Thomas l'aimait beaucoup, mais n'imaginait pas que ce mélange d'amitié et d'amour puisse déboucher sur le sexe, même s'il en rêvait.

Bizarrement, Thomas était de plus en plus précis dans ses gestes, caressant sa femme en faisant glisser sa main sous la combinaison rouge qu'elle portait à merveille. Ils étaient sur le grand divan en magnéto-lévitation du salon, tandis que Danny, assis sur le fauteuil leur faisant face, semblait un peu perplexe. Ce n'était pas le spectacle que lui offraient Thomas et Alice qui l'embarrassait, mais il se demandait plutôt de qui il allait s'occuper en priorité s'il prenait part à leurs ébats. Il se trouvait face à un sérieux dilemme...

 

___________________________

Danny resta à sa place un long moment, puis dirigé par son instinct, il alla s'asseoir à même le sol du côté de Thomas. Ses mains ne tardèrent pas à caresser les jambes et les mollets de son bel ami. Il ôta les chaussures à micro-billes et moteur intégré qu'utilisait Thomas pour parcourir les longs couloirs de l'IRH, pour faire apparaître deux pieds sublimes.

Thomas était un adepte de la marche qu'il pratiquait chaque dimanche avec des amis. Il adorait qu'on s'occupe de ses pieds, ce que Danny faisait avec beaucoup d'entrain. Il massait, suçait, faisait couler sa langue entre les orteils. Thomas n'était pas gêné le moins du monde mais au contraire excité au plus haut point. Alice était de plus en plus dénudée, sans complexe face à cette nouvelle expérience. Elle n'avait jamais partagé son mari, mais apparement l'idée ne lui déplaisait pas. La combinaison ne cachait désormais qu'une moitié de son corps. Sa poitrine de déesse envoûtait Thomas qui adorait ses seins blancs et généreux. Il les suçait avec amour tel un enfant assoiffé tétant sa mère.

Danny, très audacieux dans ses gestes, assumait parfaitement et avec talent son rôle d'intrus. Ses mains baladeuses remontaient les belles jambes de Thomas, qu'il supposait musclées au travers du pantalon de cuir qu'il portait. À aucun moment de sa vie, Thomas n'avait pensé qu'un jour il se ferait caresser par un garçon, black qui plus est. Il était curieux de savoir jusqu'où Danny pouvait aller, tout en souhaitant que ce soit le plus loin possible, car il se disait que sa beauté et son talent en caresses en valaient bien la peine...

Danny détacha la ceinture de Thomas, tira sur le pantalon avec force, car il avait hâte de le voir nu. Thomas, à présent vêtu d'un boxer et d'un polo flytex thermo-régulateur, demanda à Danny et à sa femme de passer dans la chambre où ils seraient beaucoup mieux. Les murs et le plafond de cette pièce n'étaient que miroirs, excellent concept pour la bagatelle. Ils se déshabillèrent tous en même temps, puis il y eut un moment de silence. Aux yeux de Thomas et de sa femme, la beauté de Danny était incontestable, mais la belle bite qu'il avait entre les jambes était la cerise sur le gâteau. Danny qui avait tant rêvé du corps de Thomas, le regardait de la tête aux pieds, sans rien dire, juste de ce regard plein de tendresse qui voulait dire je t'aime.

Alice se jeta sur le sexe de son mari, le goba, tandis que son autre main branlait la tige vigoureuse de Danny, qui lui même embrassait Thomas à pleine bouche. Alice était déchaînée par ces deux pines, qu'elle butinait telle une abeille volant de fleur en fleur. Dans sa bouche alternaient queue blanche et dard black. Dans ce trio, personne n'était jamais en rade, et quelle que soit la combinaison, chacun avait son lot de plaisir. Alors que Danny se faisait pomper par Alice, son mari dirigea vers la belle chatte épilée, sa langue délicate. Il lécha cette moule luisante, en faisant bien vibrer le clito, tandis que deux doigts dans le vagin faisaient trembler Alice de plaisir. Elle grognait avec la tige de Danny entre les dents. Celui-ci regarda la belle queue circoncise de Thomas, la caressa tout en douceur puis la porta à sa bouche, en insistant bien sur le gland, ce que Thomas adorait.

Après quelques instants de pur bonheur, Thomas s'allongeait sur le dos, la tige bien droite, sur laquelle Alice alla s'empaler. Elle le chevauchait avec ardeur. Son cul s'offrait à Danny, qui sans aucun complexe, lui lécha la rosette, avant de l'enduire de lubrifiant, ainsi que son membre, qu'il enfonça en elle sans trop de difficulté.

Alice était heureuse de cette nouvelle expérience: deux bites en elle! ses phantasmes les plus fous se réalisaient. D'habitude très belle, elle était ce soir-là simplement sublime, sous le regard admiratif de son mari.

En plein XXVI° siecle, il était bien normal que les femmes vivent leur sexualité pleinement, sans pour cela être considérées comme des salopes. Tout comme les hommes, elles avaient droit au plaisir, sans aucun tabou. Après plusieurs minutes de coups de queues par les deux orifices, elle se laissa aller à la jouissance, qu'elle exprima par des cris de femme libre et souveraine, laissant enfin tomber son corps lourd sur Thomas. Des petits bisous amoureux et tendres fusaient encore entre Thomas et sa femme, puis arriva le moment où elle laissa les deux hommes se débrouiller entre eux.

Toujours vigoureuses, leurs queues dressées faisaient penser à ces deux tours qui étaient la fierté des Américains 546 ans plus tôt...

 

_____________________

Alice regardait Thomas et Danny; leurs deux corps, chacun dans son genre, étaient pures merveilles: l’un était celui d’un homme déjà mûr que l’exercice avait entretenu, l’autre celui d’un jeune homme lisse et délié, tout juste sorti de l’adolescence. À vrai dire, elle ne savait pas lequel des deux elle préférait. Les mains blanches de Thomas parcouraient maintenant la peau couleur café de son disciple. Ce qui étonnait Alice, c’était l’instinct avec lequel ces deux mâles trouvaient tout naturellement la caresse qui convient, le coup de langue qui fait gémir de plaisir, le baiser qui fait chavirer les regards. Elle reconnaissait en cela la supériorité incontestable des amours entre personnes du même sexe qui rendent le corps de l’autre aussi familier que son propre corps.

La belle queue black ne désenflait pas, bien au contraire, car Danny avait deviné que Thomas s'apprêtait à la déguster. En effet, il se laissa aller à toutes les folies: après tout, cet engin au gland brun-rose était là pour lui désormais. Il avait une carte à jouer, rendre Danny encore plus amoureux de lui. Aussi, il prit tout son temps pour contourner de sa langue pointue le sillon à la base du gland, pour aspirer goulûment ce fruit luisant, pour répandre sa salive sur toute la longueur de la verge. Il dégustait une couille, puis l’autre, puis, avec application les deux à la fois, faisant rouler les boules avec sa langue. Danny, n’en pouvant plus, referma ses cuisses et s’approcha du visage de Thomas pour lui glisser quelques mots à l’oreille. Alice devina ce qu’il lui avait demandé, pas sorcier! Lorsqu'elle vit Thomas se retourner sur le ventre et ouvrir ses cuisses, dévoilant à Danny l’épaisse fourrure entre ses fesses, elle se dit que l’occasion se présentait pour elle de reprendre part au jeu.

Elle se précipita sur le tube de gel et légèrement, en déposa une noisette sur l’oeillet de son mari puis, du bout du doigt, à l’intérieur de son cul. Elle sourit en pensant qu’autrefois, les hommes accompagnaient ce geste de l’enfilage d’un préservatif, une espèce de doigt en latex qui évitait la contagion des maladies. Mais il y avait longtemps que ces précautions étaient devenues inutiles et risibles: les MST, comme on disait à l’époque, avaient disparu de la surface de la terre, et l’érotisme le plus extrême pouvait s’exprimer sans retenue.

Danny s’était maintenant placé au-dessus de Thomas. À son tour, il sentit la main d’Alice lubrifier son membre de plus en plus raide, et crut bien qu’il allait jouir sous cette caresse glissante. Mais Alice empoigna fermement le sexe du jeune homme, écarta entre le pouce et l’index l’anus de Thomas et plaça l’extrémité du gland au milieu de la rosette. Trois ou quatre pressions, de plus en plus insistantes, et le gland en entier disparut, comme aspiré par l’orifice le plus secret du professeur d’Université.

Thomas s'étonnait, n'ayant pas eu de relation avec un homme depuis longtemps, d’être pénétré avec autant de facilité. Il faut dire que les mains d’Alice, contrôlant la progression de l’enculade, y étaient pour quelque chose. Lorsque la pénétration fut totale, et que Danny put limer de toute la longueur de sa queue en ne procurant à Thomas que du plaisir, elle s’éloigna vers le living-room puis revint très vite avec une paire de lunettes spéciales SX 940 à crypto-infra-rouges, qui permettaient de voir tout corps humain dans ses couleurs naturelles mais supprimaient comme par miracle tout objet autour. Elle s’installa à genoux, cuisses écartées, au pied du lit. Ce qu’elle voyait lui causait un plaisir fou: Thomas, légèrement cambré, accompagnait ou allait à la rencontre des coup de reins de Danny, comme en apesanteur. Les deux paires de couilles se balançaient joyeusement. Quelques gouttes de sueur perlaient sur les fesses du jeune homme, qui laissaient apparaître à chaque mouvement de retrait un trou du cul ombré de quelques poils. Tous deux semblaient flotter dans l’air avec une liberté totale, sans rien dissimuler de leur intimité... Combien dura ce spectacle, difficile à dire, le temps en tout cas pour Alice de se masturber des deux mains et de connaître une fois encore la jouissance profonde de son corps, le temps pour Danny de décharger interminablement sa crème dans le ventre de Thomas, le temps pour Thomas, de jouir sans même se toucher sur le couvre-lit en soie, cadeau de sa belle-mère.

Les deux hommes s’étaient endormis, l’un sur l’autre. Alice respecta leur repos et se glissa hors de la chambre à coucher. Elle songea qu’une petite collation réparatrice serait la bienvenue. Une demi-heure plus tard, nos trois héros se retrouvaient autour d’une petite table, chandelles, champagne et foie gras végétal, un vrai délice. Chacun avait enfilé un peignoir bien douillet et Thomas comme Alice ne manqua pas de remarquer que, bien sûr, Danny bandait encore; ils s’en amusèrent un moment, avec l’arrière pensée que l’avenir leur souriait; ils bavardèrent jusqu’à l’extinction des chandelles, tout à la louange de ce monde nouveau qui avait enfin compris que le progrès ne vaut pas un sou s’il ne vise à faire disparaître toute souffrance humaine, que tout individu sans exception a le devoir de profiter du bonheur tout au long de sa courte vie avant de retourner au néant, et que le plaisir, que tous les plaisirs, sont la seule et unique condition du bonheur.

FIN

 

 

 

 

Par teddyman - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 23 janvier 4 23 /01 /Jan 01:30

recit

 

 A l'âge de douze ans, j'étais tombé amoureux fou de lui, à seize ans, je lui avais avoué mon amour, puis avaient commencé nos premiers ébats, jusqu'à ce soir-là. Aujourd'hui, j'étais âgé de vingt-sept ans. Lui, avec trente ans de plus que moi, avait le charme et la beauté d'un homme approchant la soixantaine.

Ce soir-là, le petit chemin qui menait à sa villa de l'orée du parc était d'un calme surprenant. Les chiens des maisons voisines qui d'habitude aboient aux passants, étaient tous aux abris, sans doute à cause de la petite pluie. Seul le ronflement lointain des voitures sur l'autoroute et le cri des insectes venait briser ce silence quasi parfait.

Arrivé devant chez lui, le cœur battant, je poussai le petit portillon discrètement afin d'éviter tout grincement, puis la porte de la salle à manger qu'il avait à dessein laissée ouverte.

Je me trouvais dans son univers, l'univers de l'homme que j'aime le plus au monde. Je n'étais pas surpris de son absence car il profitait quelquefois de ses soirées pour des parties de bridge ou de poker. En attendant son retour, je feuilletai quelques albums photos de lui, puis allumai la télé. Allongé sur le canapé, je m'endormis...

Un baiser au goût alcoolisé me réveilla. Dans mon regard flou, j'aperçus le visage que j'affectionne tant de mon ami, l'amour était au rendez-vous. Un seul et long baiser de lui avait suffi à mettre mon corps en ébullition. Puis sans me parler, il m'embrassa de plus belle, avec beaucoup de douceur et beaucoup d'amour, tandis que mes mains fiévreuses et précises parcouraient son corps à travers sa chemisette bleu clair et son pantalon bleu marine. Nos corps s'épousaient parfaitement ce soir-là, tout était synchro et ça malgré nos différences.

Il avait dû boire quelques verres de whisky car je le sentais très détendu et peut-être même un peu éméché, ce qui n'était pas pour me pour me déplaire. Tout les ingrédients étaient réunis pour une séance de baise mémorable.

Prisonnier de ses bras, je massai délicatement ses fesses tout en lui léchant le cou de petits coups de langue. Je déboutonnai sa chemisette, laissai couler ma langue sur son torse velu puis son ventre, tandis que son corps dégageait une odeur des plus agréables, mélange de parfum et de miel. Il était complètement ivre du plaisir que je lui prodiguais, il était devenu léger telle une plume flottant dans le vent. Je l'aimais pour lui mais aussi pour moi, pour toutes ces années ou il avait contribué à faire de ma vie un paradis de plaisir.

Je poursuivis ma descente infernale vers la bosse dure de son pantalon, le massant, le caressant de mes mains pressées d'aller plus loin. Je sentais son regard posé sur moi, lui debout, moi accroupi devant lui tel un chien devant son maître. De ses mains douce et belles, il se mit à caresser mon visage et mon crane rasé avec délicatesse. La lumière tamisée de l'abat-jour créait des ombres sur son visage, dont je devinais les traits et le regard.

Je n'eus aucun mal à défaire la boucle de sa ceinture, pour laisser tomber le pantalon à ses pieds. La tension de son caleçon me laissait imaginer la puissance de son érection. Je devinai une bête en furie qui ne demandait qu'à être libérée. De ses bras puissants, il plaqua mon visage sur son caleçon tendu, puis commença un mouvement régulier du bassin, j'étais dans état d'excitation extrême.

Dans mon jean, ma queue frôlait l'explosion, mais je la laissai prisonnière, encore quelques instants, ne pensant qu'au plaisir de mon maître, de mon amour.

Le ballet que s'apprêtait à livrer nos corps se mettait tranquillement en place. J'étais heureux, amoureux et aimé, mais mon ami comme pour me punir, ou se sentant un peu moite à cause de l'humidité de l'air, décida d'aller prendre une douche. J'avais pourtant envie qu'il garde son agréable parfum naturel ! Mais lui n'a voulu rien entendre. Caressant la bosse déformée de mon jean, sur le canapé, je l'attendais...

___________

Au bout de quelques instants, poussé par ma curiosité ou par mon envie d'être avec lui, je décidai d'aller le rejoindre. Empruntant le long couloir obscur qui mène à la salle de bain, je m'arrêtai un moment car un grand miroir me renvoyait une image magnifique de lui. Je l'admirais et l'aimais encore plus, pensant à toutes ces années qui nous séparaient et à nos différences qui pour nous n'avaient aucune importance. Notre amour était au-dessus de tout.

 

Le miroir qui reflétait son image me donnait l'impression d'un écran sur lequel était projeté le film de notre histoire. À l'âge de douze ans, j'étais tombé amoureux fou de lui, à seize ans, je lui avais avoué mon amour, puis avaient commencé nos premiers ébats, jusqu'à ce soir-là

 

À nos débuts ...30 ans d'écart...

   coffee Daddy?      Aujourd'hui, j'étais âgé de vingt-sept ans. Lui, avec trente ans de plus que moi, avait le charme et la beauté d'un homme approchant la soixantaine.

Le spectacle pour moi était magnifique. Je me libérai de mes vêtements, et me retrouvai totalement nu et à l'aise dans le couloir, drogué et excité par son image. Mon sexe soulagé était plus gros, plus fort que jamais. Je me caressai, me branlai, tous les plaisirs étaient au rendez-vous: plaisir du corps, plaisir des yeux, plaisir d'aimer.

Mon regard s'arrêtait sur sa bouche mince, généreuse en baisers qui font décoller, sur ses pectoraux velus d'un beau poil couché par le jet de la douche, sur son ventre, sur ses belles fesses, sur son sexe ni trop gros ni trop petit, scalpé par une circoncision parfaite, sur ses cuisses et ses mollets dignes des plus grands footballeurs, sur ses pieds grecs magnifiquement dessinés. Je partis m'allonger dans le grand lit. Le bruit de la douche fut remplacé par de la musique classique.

Mon attente .

 

Puis mon bel amant apparut dans la chambre, se coucha sur moi. Son corps nu dégageait une agréable fraîcheur, son poids n'existait plus, il flottait dans l'air comme de notes de musique. Mon corps était conquis par sa bouche parcourant chaque centimètre carré de ma peau; il s'attardait longuement sur mes tétons, avec un style et un engouement qui lui étaient propres; sa main parcourait ma grosse bite dressée, tel un soldat prêt à tous les combats, tandis que sa langue se glissait sous mon cou jusqu'à mes oreilles.

Des frissons s'emparaient de mon corps qui luttait sur tous les fronts. Les assauts de ses caresses faisaient de moi son instrument, qu'il jouait à la perfection. Sa bouche experte et chaude suçait mon gland. Une main malaxait mes couilles, pendant qu'un doigt délicat s'enfonçait dans l'intimité de mon cul. Il maîtrisait son art parfaitement, tous ses gestes n'étaient qu'amour pour moi! Moi, jeune black, grand sportif, aux dires des gens, très beau, j'étais devenu aussi léger que mon ami sur ce fond musical. Il n'eut aucun mal à me mettre sur le ventre, de manière à avoir une vue imprenable sur mes fesses qu'on dit magnifiques. Pendant un long moment, il me massa, me faisant sentir de temps en temps sa pine dressée pour moi. Mon derrière lui était offert, mon trou ne demandait qu'à épouser sa queue lubrifiée par le precum qui coulait de son gland. Il m'enfila d'un coup sec, une petite douleur agréable me fit serrer les fesses, dures comme du béton. Ses va-et-vient dans mes entrailles étaient rythmés par la musique.

À ce moment-là, lui et moi ne formions qu'un seul être: le blanc, le noir, combinaison magique dont seul l'amour a le secret... Les petits cris qu'il ne pouvait s'empêcher de lâcher me laissaient imaginer le plaisir qu'il prenait, ses coups de boutoir devenant de plus en plus énergiques. Pourtant, il se souciait de mon confort, me demandait si je n'avais pas mal. Sa chaleur et ses mots doux faisaient de moi l'être le plus heureux de la terre.

__________si je n'avais pas mal...________

Il était là en moi, enfoui au plus profond de mon être; il m'aimait, tout simplement. Ses mains me serraient, me massaient, me caressaient et me palpaient de plus belle. Sa bouche parcourait mon cou, ma nuque, mordillait mes oreilles. Je tremblais de plaisir sous les assauts de mon amour. Dehors, la pluie avait cessé, un rayon de lune, indiscret peut-être, glissait sur nos corps allumés d'un seul désir.

Puis il y eut ce petit moment de répit dont il profita pour aller se désaltérer. Allongé, je le regardai s'éloigner, le sexe raide et les fesses magnifiques. Il m'excitait toujours autant. C'est la queue entre les mains que j'avançai sur la petite terrasse de sa chambre pour prendre un peu le frais. Mon cul, élargi par tant de coups de pine me semblait bien vide. Sous le scintillement des étoiles et les caresses du vent, ma branlette continua encore. Mon dard enduit de gel renvoyait un joli reflet de lune.

Cependant, des mains douces m'étreignirent: il était là, debout derrière moi. Les doux poils de son torse chatouillaient mon dos de manière très agréable. Nous restâmes enlacés un long moment, regardant la lune, les lumières des villes qu'on apercevait de l'autre côté de la mer. En contrebas, quelques lucioles nous renvoyaient leur lumière clignotante tandis que les grenouilles et les insectes de nuit y allaient de leur musique effrénée: le romantisme à l'état pur...

Je fus agréablement surpris lorsqu'il laissa échapper: "Je t'aime!" en me serrant très fort contre lui. Surpris, j'étais vraiment très surpris, car même si durant toutes ces années il avait fait bien des efforts sur ce point, ce n'était pas son genre de m'affirmer son amour. Quand je lui disais "je t'aime" ses petits yeux s'illuminaient d'un sourire puis il me répondait "Moi aussi". Il avait une façon bien à lui de me témoigner son amour par des gestes ou des attentions qu'il avait à mon égard, et ça, c'était plus fort que tout.

Il me retourna puis recommença à m'embrasser. Nos langues s'entremêlaient, je devenais fou. Mon corps devenait une âme qui s'élevait au-dessus de nous. Nos sexes se dressaient, fiers pour de nouvelles luttes. Sous l'effet des caresses divinement pensées que nous nous prodiguions, je m'agenouillai devant lui pour déguster son gland moelleux pendant que mes mains s'occupaient de ses couilles et de son trou. Il écarta ses jambes, fléchit pour avoir plus de plaisir. Ma bouche quitta son gland pour descendre dans son entre-cuisses. Là, je léchai et gobai ses boules. Il se laissait faire, son corps et son âme étaient vaincus par le plaisir. Ma langue vicieuse, lécheuse, remplaçait maintenant mon doigt dans son cul, pour moi l'endroit le plus doux de la terre. Je n'ai pas connu beaucoup de culs dans ma vie, mais après le sien, l'envie d'en découvrir d'autres ne m'enchante guère.

Accoudé sur le balcon, les jambes écartées, son corps m'était offert ainsi que toute son intimité. Son corps qui m'était si familier pour l'avoir parcouru des centaines de fois, me rappelait toujours nos premiers ébats. Je lui léchai la raie de haut en bas; ma langue s'attardait dans son trou et les mouvements qu'il faisait m'enfonçaient encore plus.

Je n'en pouvais plus. Ma tige était dressée en arme fatale, rien que pour lui! L'être le plus merveilleux qui existe à mes yeux... Délicatement, mon gland passa la porte du paradis.  

   

 

À aucun moment de mon existence je n'avais été aussi bien. Ce mélange de chaleur et de douceur me faisait frémir. Il se redressa, moi en lui, son corps n'était que plaisir. Très excité, il remuait ses fesses avec aisance et régularité, ce qui faisait coulisser facilement ma queue. Ma main droite caressait son sexe dur; je le masturbais de plus en plus vite. Nos corps s'enflammaient, l'extase était proche. Je l'attendais, accélérant puis ralentissant mes coups de boutoir. Pris dans son étreinte, prisonnier du plaisir, je partis en lui tandis que son foutre chaud coulait entre mes doigts. Je me vidai dans son corps, longuement. Les spasmes nous faisaient presque perdre l'équilibre. En fermant les yeux, j'imaginais les étoiles tomber autour de nous, telles des confettis, comme pour nous remercier du spectacle qu'on venait de leur offrir. Il m'entraîna dans la chambre, m'allongea à côté de lui, nos corps fatigués de ce magnifique combat; blottis l'un contre l'autre, on s'endormit.

À 4h 30 du matin, moment que je déteste le plus, le réveil me rappela qu'il fallait partir. Le temps d'un gros câlin et de quelques mots doux, et je quittai discrètement la maison.

Le petit chemin qui m'éloignait de son corps nu abandonné sur ce grand lit avait perdu de son calme: le chant des coqs au lointain annonçait la venue du jour et le connard de chien du voisin ne manqua pas d'aboyer lorsque je fus à sa hauteur. Et moi, marchant fièrement tel un soldat revenant d'une écrasante victoire, je pensais déjà à ma prochaine bataille.

PS: Petite pensée pour l'homme que j'aime le plus au monde et qui, je l'espère, se reconnaîtra.

 

 

 

Par tedy - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 21 janvier 2 21 /01 /Jan 01:45

 

 

SI J'ETAIS FEMME VOUS M'APPELERIEZ PUTE...mais de luxe...

 

 

 

       

Avec les téléphones portables, je suis sûr de ne pas être le seul à pratiquer le double jeu. Cela a dû vous arriver à vous aussi...ne serait-ce qu'en pissant...

Tout en suçant la queue de mon client je gardai un œil sur l’heure. Il était presque onze heures. et ma copine allait appeler. J’ai quitté la queue un instant pour dire à son propriétaire

— Dans cinq minutes ma copine va téléphoner. Je lui répondrai.

Mon métier m’oblige à des déplacements professionnels à rencontrer des industriels et des commerçants un peu partout dans le sud du pays pour essayer de les convaincre de choisir les produits de la boîte qui m’emploie. Aussi suis-je amené à voyager et à rester quelquefois loin de chez moi pendant deux ou trois jours. C’est une activité où les opportunités ne manquent pas car dès l’instant où l’on a quelque chose à vendre il est fréquent que le client subordonne son acceptation à un avantage complémentaire.

Grand, brun et mince, j’ai, paraît-il, un bien joli petit cul qui a toujours beaucoup de succès chez les hommes d’un certain âge.

Et sans doute aussi que mon jeune âge est aussi un atout précieux. C’est sans doute pourquoi j’étais très régulièrement invité à dîner dès que les clients apprenaient que j’étais seul à l’hôtel pour un jour ou deux. Ils tentaient leur chance. Au début je refusais, mais dès que je me suis aperçu comment certains clients pouvaient être bien généreux financièrement, je laissais entendre que je serais prêt à accepter si le contrat était signé et ils signaient. Il me fallait ensuite tenir mes engagements. Pourquoi pas jumeler plaisir et affaire. Question d’honnêteté commerciale avais-je expliqué à ma copine qui s’inquiétait de ces invitations fréquentes.

J’avais terminé l’après-midi avec un responsable des achats d’une société qui avait en définitive signé le contrat et qui dès sa signature posée m’avait déclaré qu’il aimerait m’inviter à souper le soir même. Nous nous étions retrouvés au restaurant de l’hôtel où j’étais descendu et nous avions dîné. C’était un type plutôt bel homme, un brun aux yeux verts qui devait avoir une quarantaine d’années, assez dragueur. Nous avions consacré une petite minute à parler du contrat après quoi la conversation avait dévié sur d’autres sujets plus personnels, ce qui veut dire qu’au bout de cinq minutes nous parlions sexe. Il m’avait bien entendu demandé si le fait d’être seul me mettait en situation de manque. Ce à quoi j’avais simplement répondu que non, que je me débrouillais.

— Vous voulez dire que vous vous branlez? me demanda-t-il.

— Oui bien entendu que je me branle... quand je n’ai pas d’autre alternative.

— Et à quoi songez-vous pendant ces moments de grâce?

J’avais laissé son genou toucher le mien sans le retirer.

— Hé bien, dans ces moments de plaisir solitaire, disons que je m’imagine assis au restaurant, avec un homme très séduisant, pour ne pas dire excitant, qui me fait du genou pour me faire comprendre qu’il veut quelque chose, et que ce sera un plaisir pour moi de le lui accorder.

L’homme avait compris le message. Le genou était revenu à la charge, bientôt remplacé par une main que je laissais courir sur l’intérieur de ma cuisse. Arriver à mon entrejambe, il passa sa main dessus et le caressa doucement tandis que j’écartais les jambes.

— Je crois bien que d’après la rigidité que je peux sentir sous mes doigts, vous accepteriez que je vous accompagne jusqu’à votre chambre?

— Pourquoi ne me dites-vous pas carrément: "Voulez-vous que je monte avec vous pour vous baiser?" Vous ne pensez pas que ce serait plus honnête comme formulation?

— Exact, me dit-il, c’est tout à fait ce que je voulais dire.

— Et bien montons alors! lui déclarai-je.

En sortant de table, après le dîner, nous sommes montés à ma chambre en prenant l’ascenseur. Nous y étions seuls et mon client m’a enlacé et se collant contre moi. Je l’ai laissé m’embrasser sur la bouche pendant que sa main caressait mon dos et descendait vers mes fesses. J’ai senti sa main passer sous mon pantalon, descendre vers mon slip, ses doigts se glisser dessous, pour arriver à mon anus. Quand il a senti qu’il était mouillé par l’excitation, il a alors introduit un doigts. Excité par son doigt qui me fouillait, je ne pus m’empêcher de gémir. Il dut cesser son doigtage abruptement, car rendu à notre étage, les portes de l’ascenseur s’ouvrirent.

Là, nous sommes entrés dans ma chambre et mon client m’a demandé de me déshabiller. J’ai donc tout enlevé et suis resté debout et nu sur la moquette pendant que mon client, assis sur le bord du lit, me regardait faire. J’aime beaucoup qu’on me voit nu. J’aime sentir des yeux parcourir mon corps, fixer mes fesses et ma queue. Fantaisie de sa part, il m’a demandé de me branler debout.

— J’ai envie, me dit-il, de voir comment vous vous y prenez...

J’avais de la chance, j’étais tombé sur un homme qui avait la même manie que moi à savoir vouvoyer son partenaire de sexe. C’est vrai, d’habitude les hommes, dès qu’ils vous ont mis un coup de queue, s’autorisent à vous tutoyer et je trouve ça vulgaire. Moi, je préfère le type qui me tringle et me demande:

— Êtes-vous d’accord pour que je décharge là? La sentez-vous bien?

C’est tellement plus excitant. J’étais donc debout à me branler en suivant les instructions de mon client qui me demandait tour à tour de lui montrer mes fesses, de bien les écarter, me demandait de glisser mon doigt dans mon cul. Je m’exécutais. Il était temps pour moi d’examiner à mon tour ce sur quoi j’étais tombé. Je l’ai déshabillé en commençant par la chemise, bouton après bouton, puis par la ceinture de son pantalon que j’ai fait descendre. Une fois en slip, j’ai tiré sur la ceinture pour faire jaillir sa queue. Il était tellement excité que son membre, une fois libéré du slip, a repris la verticale en vibrant. J’avais de la chance ce jour là, il avait une belle queue et je me régalais par avance.

Un peu plus longue que celle des autres clients que je rencontrais, plus brune aussi, plus velue mais bien veinée. On voyait bien que le sang s’y était concentré et les veines qui couraient sur sa hampe palpitaient. Il avait une queue vivante. J’ai découvert un joli gland bien fendu avec une grosse tête violette couleur asperge, et dessous deux belles couilles apparemment bien pleines de jus, à point. Je ne m’y fis pas prier pour la glisser dans ma bouche. Tout en suçant la queue de mon client je gardai un œil sur l’heure. Il était presque onze heures. et ma copine allait appeler. J’ai quitté la queue un instant pour dire à son propriétaire

— Dans cinq minutes ma copine va téléphoner. Je lui répondrai. Vous pourrez m’enfiler mais je vous demande de ne pas parler, de ne pas grogner ni gémir, je ne veux pas qu’elle entende quoi que ce soit. C’est promis?

— Quoi, ta copine sait où te trouver?

— Oui, elle est assez jalouse et elle exige de savoir où je me trouve.

Le téléphone a sonné alors que je me régalais en dégustant sa grosse queue qui goûtait si bon. Étendu sur le dos, sur le lit, je décrochai le combiné.

— Oui?

— C’est moi mon chéri, tu vas bien?

— Oui, je vais bien et toi?

— Très bien. Tu es à l’hôtel?

— Oui, dans ma chambre.

Je lui parlais en même temps que je malaxais la queue de mon client.

Il s’était assis sur moi, sur mes cuisses, et je le branlais sans gêne. Je voyais son gland se dénuder pour le recouvrir ensuite et recommencer. J’ai beaucoup aimé voir ce gland apparaître puis disparaître sous mon nez, si proche de moi, lui qui tout à l’heure allait la rentrer en moi pour me défoncer et peut-être y laisser son jus.

— Ta journée s’est bien passée mon chéri?

— Oui, très bien. J’ai signé mon contrat, je suis content...

Mon client a reculé vers le bas du lit pour s’installer entre mes cuisses et prendre ma queue en main. Je sentis sa langue lécher les gouttes de précum sur mon gland. Il commençait à me le sucer doucement.

— Bravo mon chéri. Ton client est donc satisfait...

— Oui je crois. Il a l’air satisfait.

Celui-ci glissa un coussin sous mes fesses et tout en continuant de me pomper la verge, il a mis son pouce dans mon trou pour l’ouvrir et préparer la route de sa queue. Il me faisait mouiller.

— Ton patron va être content de toi mon chéri, il voudra te récompenser.

— J’espère bien être honoré de ce succès.

Mon client venait d’ajuster sa queue et progressais vers moi. Je sentis son membre qui se frayait un chemin dans mon cul dont il écartait les parois. J’ouvris mes jambes au maximum pour lui permettre d’aller plus loin. Il était maintenant bien au fond. Il commença à me limer. Je sentis mes muscles qui travaillent et sa bite qui me fouillait.

— Tu me manques tu sais!

— À moi aussi tu manques ma chérie, mais je me sens moins seul quand je t’entends.

Mon client accéléra ses mouvements. Il retira sa queue presque complètement, au risque de sortir, et revient violemment tout au fond dans un grand coup de reins. Je pouvais la sentir aller et venir de mon cul

— J’ai envie de toi mon chéri!

— Moi aussi j’ai envie.

Mon client prend le rythme final et lime sans répit. Il me fait râler de plaisir.

— Qu’as-tu mon amour?

— Rien de grave ma chérie. Je me caresse un peu en pensant à toi.

Il m’a relevé le buste et s’est mis en appui sur les mains. Je peux voir sa queue me limer le cul à fond.

— C’est vrai? Tu te caresses?

— Oui c’est vrai. Je pense à toi, juste à toi!

Je dois faire un effort presque surhumain pour ne pas gémir trop fort et éveiller ses soupçons. J’aperçois le visage tout rouge de mon client et il me fait comprendre par mimiques qu’il est prêt à venir.

— Tu verras mon chéri, à ton retour, tu auras cent fois mieux que ces caresses en solitaire.

— Je sais ma chérie, personne ne me fait jouir plus que toi.

— Je vais jouir ma chérie. Je vais venir. Je ne tiens plus. Je coule.

Mon client continua de me sucer alors que plusieurs jets de sperme se retrouvèrent au fond de sa gorge.

Mon client se rhabilla lentement alors que je terminais ma discussion au  téléphone. Plus que satisfait, celui-ci me remit une liasse de billets avant de quitter la chambre.

Mon patron se demande toujours comment je fais pour convaincre tant de clients à signer. Il n’a encore rien vu. Je n’ai que 20 ans et tant que je serai en forme et que ma copine ne découvrira rien de mon stratagème pour gagner du fric, je serai toujours disponible pour amener et satisfaire de nouveaux clients. FIN

Merci à Nicode son envoi ; la recherche des illustrations

 est du Web

 

 

Par nico - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 12 janvier 7 12 /01 /Jan 14:43

en cours de construction Vous pouvez lire l'intégralité du récit dans l'ordre.

Si j'essaie de le mettre en ligne d'un coup, ça bugge. Il a donc fallu le couper et refaire la présentation...ça prend du temps !    

 

 Toujours ce problème de mise des gens en paquets de crayons : "hétéros ? gay ? bi, lesbienne, trans, ..."Et si on n'était pas obligés de choisir ? Si on se laissait la possibilité de changer en "route" ?   Aujourd'hui, tout en refusant tout classement, je me verrais "omnisexuel".          

 

 

Je n’ai jamais cherché à appartenir à une communauté. A savoir si j’étais gay, ou bi, ou hétéro. Je m’en fichais. J'ai vécu des amours hétéros jusqu'à présent et je suis divorcé depuis 6 ans. Cette aventure de la vie m'a pris au dépourvu. Je suis loin de m'en plaindre.  

 

      

    

Mon pote, son fils et le mien

 

 

Je m’appelle Nathan, j’ai 36 ans. Sportif, bien foutu, cela fait 30 ans que j’habite dans le même village de province de 1500 habitants. 30 ans également que je connais Hugues, mon meilleur pote. On a le même âge et on traine nos guêtres dans ce village ensemble depuis le CP. On a fait les 400 coups ensemble, on a dragué des tas de nanas et couché avec entre 16 et 20 ans.

Pourquoi 20 ans? Parce que tous les deux, on a engrossé deux nanas à la même époque. Hugues, c’est avec Nathalie qu’il vit depuis 16 ans, et moi avec Charlotte, dont j’ai divorcé depuis six ans. On était jeunes, on était cons et nous nous sommes retrouvés mariés avec un môme en charge à 20 ans….. Malgré mon divorce, je suis resté habiter dans le même village que mon ex-femme. On est resté amis malgré les tempêtes qui ont traversé notre couple.

Hugues a un fils, Samuel, et moi aussi. Luc (mon fils) et Samuel ont tous les deux 16 ans maintenant. Hugues et moi étant deux footeux invétérés, nous continuons à jouer dans le club local. Cette année, nos enfants respectifs, n’ayant pas d’équipe de leur âge dans le village, sont venus rejoindre l’équipe Séniors  . Entre 10 et 16 ans, j’ai vu mon fils tous les quinze jours, mais entre les matches de foot de mon côté et les siens, on n’avait pas trop le temps de discuter et je ne l’ai pas vu grandir.

La première fois où il est venu s’entraîner avec son pote Samuel  (ils sont aussi potes que je pouvais l’être avec Hugues), je l’ai vu à poil pour la première fois depuis six ans. Je n’avais pas remarqué qu’il s’était transformé à ce point. Ils se sont déshabillés sans complexes devant les autres adultes et donc leurs pères et j’ai pu constater que tous les deux avaient bien profité de leurs hormones d’adolescents. Après l’entraînement, ils sont rentrés tous les deux et Hugues est venu chez moi boire un pot. Il faisait encore chaud (la reprise ayant lieu fin août) et nous étions tous les deux en short et débardeur.

— T’avais remarqué que nos mômes étaient presque devenus des adultes? je dis à Hugues.

— Ouais, de sacrés bestiaux, nos gamins. Le tien a récupéré ta pilosité et ta musculature, Nathan.

— Le tien aussi est costaud. Et c’est du lourdingue qu’ils ont entre les cuisses, les cochons.

— Je sais d’où Luc tient ça, dit Hugues en rigolant.

En disant ça, cela fit TILT dans ma tête. Je n’avais pas fait trop attention, mais c’est vrai que Samuel était aussi différent d’Hugues que Luc m’était très ressemblant. J’attendais le prochain entraînement pour vérifier ce qui me trottait alors dans la tête. Je fis alors plus attention à nos deux ados lors de la douche. Autant c’était flagrant que Luc avait récupéré ma pilosité (j’étais pareil à son âge), ma masse musculaire et le tuyau qui lui servait de bite, autant Samuel ne ressemblait pas trop à son père: Hugues mesurait 1m70 et Samuel faisait déjà plus d’1m80, Hugues (et on se chambrait à ce propos) avait une bite courte et fine et Samuel n’avait rien à envier à mon fils, Hugues était sec et pas très musclé et Samuel avait de beaux biceps, de beaux abdos et des pectoraux développés… Comme Luc!

 

 ... /...

Le week-end suivant, j’avais Luc à la maison. On traînait en short de foot, torse nu.

— Luc, on n’a jamais parlé entre hommes.

— Oui, papa?

— J’ai découvert sous la douche au foot comment tu avais changé et je ne m’en étais pas rendu compte.

Il attendait, un peu étonné.

— Tu dois commencer à sortir avec des meufs, non?

Il rougit discrètement.

— Allez, quoi, à ton âge, j’étais plus puceau…

— Moi non plus, p’pa.

Je souris.

— Elle s’appelle comment celle qui t’a dépucelé?

Il hésitait.

— C’est pas une meuf, papa. C’est Samuel.

Je restais interloqué.

— Ben oui, je suis gay.

Je restais un peu pantois. Mon fils, si beau, avec le fils de mon meilleur pote… Je sentais ma queue s’exciter dans mon boxer. Cela faisait plusieurs semaines que je n’avais pas tiré mon coup.

— Et alors? dis-je après avoir repris mes esprits. C’est comment avec un mec?

Luc me regarda avec des gros yeux.

— Ça te gêne pas que ton fils soit gay?

— Pourquoi? T’es libre de ton corps* et tant que c’est toi qui décides quoi en faire.

    *T’es libre de ton corps...oui, mais j'ai tort de dire ça. Dans toute relation sex, même éphémère... il y a l'émotion et l'adrénaline et le feeling...y a donc pas que le corps ...bon c'était pas le moment.

 

 

 Il se précipita vers moi, me serrant dans ses bras.

— Merci papa. J’avais peur que tu ne le prennes mal. Mais ne dis rien à Hugues…

— Promis!

Le contact du torse nu de mon fils contre le mien m’électrisa. Il dut sentir ma queue durcie car il s’écarta un peu et mata mon short.

— On dirait que ça t’excite, dit il en souriant malicieusement.

Je rougis à mon tour.

— Tu sais, j’ai pas tiré ma crampe depuis longtemps. Alors de sentir ta peau chaude contre la mienne m’a fait bander.

Ce qu’il fit alors me dérouta. Il se mit à genoux devant moi et commença à lécher ma queue à travers le tissu de mon short, levant les yeux vers moi, comme pour quémander. J’acquiesçais d’un clignement de l’œil. Je sentis ses mains se poser sur mes fesses. Il tira le short vers le bas, puis mon boxer. Ma queue raide surgit et se plaqua contre mon bas-ventre.

Luc enfouit alors son visage dans mes poils pubiens, léchant mes couilles avec délice. Je fermais les yeux, bercé par un plaisir enflant en moi. Il mit alors ma bite dans sa bouche et attaqua un pompier terrible. J’appuyais mes mains contre la table derrière moi. J’étais en train de me faire sucer par mon propre fils et c’était bien mieux que ce que certaines nanas avaient pu faire. Il resta comme ça pendant 10 bonnes minutes. Je n’en pouvais plus.

— Arrête fiston, ou je vais te juter dessus.

Il lâcha ma bite et se releva.

— Viens, papa.

Il me prit la main et me conduisit dans sa chambre. Je ne savais plus quoi dire. Arrivé dans sa piaule, il baissa à son tour son short et son boxer (je constatais d’ailleurs que c’était un des miens! Sa queue était pareille à la mienne, presqu’aussi longue et presqu’aussi grosse. Sa toison n’avait non plus rien à envier à la mienne. Il s’allongea sur le lit et me fit signe de venir. Il se mit en position de 69, engloutissant de nouveau ma queue. J’avais la sienne sous mes yeux et une force irrésistible m’attira à elle. Je suçais un mec pour la première fois et c’était mon fils… C’était bon! Je pris vite son rythme, malaxant en même temps ses belles burnes brunes. Je compris assez vite qu’il essayait de me faire jouir avant lui. Je m’attachais donc à lui faire prendre son pied rapidement. Alors qu’il me suçait encore, je sortis sa bite de ma bouche et commençais à la branler. Ça, c’était plus mon truc. Je caressais le dessous de ses bourses et son entrecuisse. Bingo! Il lâcha ma queue et je l’entendis gémir comme un jeune chiot. Je vis ses abdominaux se contracter et l’entendis murmurer:

— Papa! Je viens!

Il lâcha sa purée sur son ventre, se mêlant aux poils de son ventre et de son torse. Je m’assis à côté de lui. Il reprenait son souffle. Ma main passa sur son ventre, étalant le sperme sur son corps. Lorsqu’il reprit ses esprits, il tourna sa tête vers moi.

— Ça fait deux ans que j’en rêve, papa. Je me suis masturbé longtemps en pensant à tes muscles, tes poils, ta queue que j’apercevais rapidement le week-end quand tu allais te doucher.

Je continuais à caresser son corps.

— Je pense que tu m’as bien rattrapé côté muscles et poils, mon fils! T’es un vrai petit mâle… Par contre, côté bite, tu repasseras!

Il se redressa et m’envoya un coup de poing dans la poitrine.

— Salaud! Dis que ma bite est petite tant que tu y es!

— Non, elle a une bonne taille pour ton âge. Mais avoue qu’elle n’est pas encore aussi longue et grosse que la mienne.

J’étais en train de rebander. Luc aussi. Il attrapa un décimètre et les mesura.

— T’as raison! La mienne fait 17 cm et la tienne 19. Et t’as la même…

Luc s’arrêta de parler alors qu’il me décalottait.

— La même quoi? dis-je en le voyant regarder mon gland. Allo? La même quoi, Luc?

Il lâcha ma queue et se décalotta. Je compris immédiatement de quoi il parlait. J’avais depuis toujours une tâche de naissance très discrète sous le gland. Et Luc avait exactement la même. Je me mis à rire.

— C’est de ça dont tu parles? Ça prouve au moins que t’es vraiment mon fils…

Je le vis blanchir.

— Qu’est-ce qui se passe, Luc?

Il me regarda, les larmes au bord des yeux.

— Samuel aussi a cette tâche sous le gland. On pensait que c’était un truc d’ado qui disparaissait.

Je compris immédiatement à quoi il pensait.

— Tu n’es pas en train de supposer que Samuel est… mon fils?

Merde! Ce que j’avais soupçonné en détaillant le fils de mon pote semblait se confirmer: Samuel était bien trop différent d’Hugues pour être son rejeton.

— Peut-être que Hugues a lui aussi une tâche de naissance, non?

— Je sais pas, papa. Je demanderai à Samuel.

On en resta là. Luc retourna chez Charlotte. J’essayais bien de voir si je retrouvais cette tâche sur la bite d’Hugues, mais c’était difficile de lui demander de se décalotter pour me le montrer. Le week-end suivant, après un match amical, Hugues passa à la maison. Luc était chez sa mère.

— J’ai vraiment l’impression que nos deux gamins sont copains comme cochon, tu ne trouves pas? dit Hugues en buvant son whisky.

— C’est vrai qu’ils sont très proches. Mais on l’était aussi à leur âge, non? je répondis.

Il posa son verre.

— Mais pas au point de nous toucher la bite et le cul sous la douche, Nathan!

Je posais aussi mon verre.

— Tu veux dire quoi?

— Je veux dire que j’ai vu Luc et Samuel se tripoter sous l’eau après l’entraînement.

Je le laissais venir.

— Ils se douchent souvent les derniers. Et mercredi, j’avais oublié mon shampooing. Quand j’ai passé la tête par la porte des douches, ils étaient en train de se tripoter. Heureusement qu’ils ne m’ont pas vu.

— On a joué aussi à touche-pipi quand on avait 13-14 ans, non?

Hugues me regarda de travers.

— Ouais mais à leur âge, on courait la greluche, on n’en était plus à savoir qui avait la plus longue.

— Tu crois qu’il se passe des choses entre eux?, avançais-je. Ça te gênerait s’ils étaient gay?

— Je sais pas. Ça me ferait chier, c’est sûr, mais c’est leur vie.

— Oui, c’est sûr. Tu veux que je leur pose la question?

— Tu crois qu’ils te l’avoueraient? dit Hugues.

— Ça mange pas de pain d’essayer. Je suis assez libre côté discussion avec Luc. T’es comment avec Sam?

— On n’en a jamais causé. Tu sais que Nathalie est assez coincée de ce côté. Du moins, depuis qu’on est marié.

Je ne savais plus quoi dire.

— Demande à Sam s’il veut venir passer le week-end avec Luc la semaine prochaine. Je vais essayer d’aborder le sujet.

— T’es un pote, Nathan. Tiens-moi au courant.

Le week-end suivant, Luc arriva avec Samuel le vendredi soir. Ce dernier était content de passer un week-end sans ses parents, et qui plus est avec son amant. Après le diner, un peu arrosé, ils se dirigèrent dans la chambre de Luc, me laissant seul devant «Jour de Foot». Une heure après, je montais à l’étage me coucher. J’entendis alors des gémissements. La porte était entrouverte. J’y jetais un œil. Ma première vision fut les fesses poilues de Luc montant et descendant en rythme. Il avait aussi hérité de cette pilosité… Sous lui, à quatre pattes, se trouvait Samuel, se faisant bourrer comme une chienne par mon fils. En trois secondes, j’étais raide. La bite couverte d’une capote (ouf!), Luc entrait et sortait du cul de son pote comme si c’était une chatte humide.

— Oui, mon amour! Encore! Encore! Plus profond! Vas-y!

Apparemment, Samuel prenait son pied. Je restais assis devant la porte, essayant de ne pas me montrer. Dix minutes plus tard, j’entendis mon fiston haleter et annoncer qu’il allait gicler. Ce qu’il fit rapidement. Sortant alors sa bite du trou du cul de Samuel, il s’allongea à ses côtés. La bite raide lui aussi, le fils d’Hugues caressa longuement le corps couvert de sueur de Luc. Sa queue ne mit pas longtemps à retrouver de la vigueur (et oui, à 16 ans, on a des réserves…). Et ce fut Luc qui se positionna comme une chienne et Samuel qui l’enfila rapidement. Le même petit cul bombé, poilu, mais blond, s’activait entre les fesses de mon fils. Ma queue était dure comme du bois. Je l’attrapais et me mit à me branler devant ce spectacle qui ne mettait aucun doute sur l’homosexualité de ces deux garçons. Lorsque Samuel explosa à son tour dans le cul de Luc, je retournais dans ma chambre et me vidai la bite dans un kleenex.

J’avais eu du mal à m’endormir ce soir là après la partie de jambes en l’air entre Luc, mon fils et Samuel, le fils de mon meilleur pote. Plus je voyais Samuel et plus je me disais que ce ne pouvait pas être le fils de Hugues. En plus, la révélation de Luc sur cette tache de naissance m’avait mis le doute. C’est vrai qu’à l’époque où Hugues avait engrossé Nathalie, j’avais couché aussi avec elle sans qu’il le sache.

Le lendemain matin, je me levai tôt. Luc me rejoignit dans la cuisine pour le petit déjeuner. Il portait seulement un boxer, celui que j’avais aperçu le jour où il m’avait déclaré son amour pour Samuel.

— Salut fiston!

— Salut, papa! T’as bien dormi?

— Bof! Faut dire que vous n’avez pas été trop discrets hier soir…

Il sourit.

— Tu sais, ça ne fait que un an qu’on s’est découvert et on n’a pas trop l’occasion de se voir en privé comme hier soir. Ce n’est que la quatrième fois qu’on se retrouve seuls pour s’envoyer en l’air.

— T’inquiète fiston, c’est pas grave. Tant que tu prends du plaisir et que t’aimes ça, pas de soucis. Par contre, t’es pas obligé d’emprunter mes boxers…

— Ouais, je sais, c’est à toi… Mais maman ne m’achète que des minislips. Tu la connais… Et les tiens me vont bien, non?

— OK. Si tu veux, on ira en acheter cet après-midi une dizaine. Et c’est toi qui choisiras. Mais ne laisse pas trop de poils dedans…

Il éclata de rire.

— Je t’adore, papa, dit-il en m’embrassant sur la joue.

Pendant que nous finissions notre café, Samuel arriva, lui aussi simplement vêtu d’un de mes boxers. Je regardais Luc et nous éclatâmes de rire. Il expliqua à Samuel la discussion que nous avions eu sur mes sous-vêtements. Il avait le même souci avec sa mère. C’est vrai aussi qu’Hugues était resté aux slips moule-burnes. Je regardais attentivement ce jeune mâle en train de boire son café, me disant que je le connaissais trop bien pour ne pas m’être rendu compte des différences entre lui et son père. Je connaissais une autre marque de naissance, que Luc n’avait pas pu découvrir, et il fallait m’assurer de ce point.

En début d’après-midi, j’emmenais les deux jeunes hommes dans un grand magasin, afin de leur acheter à tous les deux de nouveaux sous-vêtements. Évidemment assez attirés par les marques, ils se concentrèrent sur des CK, des HOM et des DIESEL. Je les regardais fouiller, ouvrir les boîtes, tâter le tissu jusqu’à trouver ce qu’ils souhaitaient. Je leur proposais de les essayer avant de les acheter.

— Maman dit que c’est pas hygiénique d’essayer des slips avant de les acheter, me dit Samuel.

— On s’en fout de ce que dit ta mère. Allez! Aux cabines!

Laissant Samuel seul dans une cabine, j’entrai avec Luc dans une autre. Elles étaient très spacieuses. J’avais choisi moi aussi deux ou trois boxers 

 

Par charlie - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 12 janvier 7 12 /01 /Jan 14:41

 

Laissant Samuel seul dans une cabine, j’entrai avec Luc dans une autre. Elles étaient très spacieuses. J’avais choisi moi aussi deux ou trois boxers CK. Sans hésiter, Luc se déshabilla devant moi, ce que je fis également, m’assurant que la porte était bien fermée. Je vis mon fiston enfiler un HO1 bleu marine et j’essayais donc le mien. J’étais en train de regarder dans le grand miroir comment ça m’allait quand Luc me dit:

— T’es super sexy avec ça, papa!

Je tournais la tête.

— Merci, fiston. Il est encore bien conservé, ton père, non?

Je fis alors ressortir mes abdominaux et gonfler mes biceps.

— Ouais, c’est pas comme certains parents déjà bedonnants à 30 ans.

Il se mit derrière moi et commença à me caresser.

— Qu’est-ce que tu fais, Luc? On est dans un lieu public.

— T’as fermé la porte, non? Laisse-moi faire.

Il passa d’abord ses mains sur mes pectoraux poilus et saillants, puis descendit jusqu’à mes abdos. Je frissonnais d’aise. Je sentis sa queue se raidir contre mes fesses à travers son boxer et le mien. La mienne ne tarda pas à grossir lorsqu’il passa la main dessus.

— Arrête, fiston. Ça va mal se terminer, chuchotais-je.

Il approcha sa bouche de mon oreille et murmura:

— Je t’ai dit que je fantasmais sur tes muscles et tes poils, papa. Tu vas voir, c’est bon.

Cela dura cinq minutes pendant lesquelles il caressa chaque parcelle de mon torse et de mon ventre. J’avais la bite en feu. C’était bon. Soudain, on frappa à la porte.

— Hé! Vous avez fini ou pas?

C’était Samuel. Nous nous rhabillâmes rapidement, chacun la queue encore raide.

— C’est bon, c’est bon.

J’ouvris la porte. Samuel nous attendait.

— Qu’est-ce que vous faisiez?

— Papa voulait essayer ceux que j’avais choisis. C’est pour ça, mentit Luc.

— OK.

Je payais et nous rentrâmes à la maison.

La soirée se passe tranquillement et mes deux ados partirent se coucher. Enfin, se coucher pour jouer au chien à huit pattes, pas pour dormir… J’entendais leurs gémissements, même d’en bas de la maison. Ça me fit bander comme un malade. Vers 23h30, je vis Luc descendre, à poil.

— Qu’est-ce que tu fais dans cette tenue? On pourrait te voir de la rue!

Il hésitait.

— P’pa. Samuel et moi on aimerait te remercier pour ce week-end que tu nous fais passer. Tu peux monter?

Un peu surpris, je suivis Luc jusqu’en haut. Samuel était nu lui aussi, assis sur le lit.

— Luc m’a expliqué comment vous aviez accepté sa confession d’être gay. Et je suis super touché par ce que vous faites ce week-end.

J’attendais.

— On aimerait te remercier, papa. Mais pour cela, mets-toi nu et laisse toi bander les yeux.

J’étais un peu ébranlé par ces remerciements. Je me déshabillais néanmoins, voyant que les deux me mataient des pieds à la tête, comme attirés par un aimant. Luc me banda les yeux et me coucha sur le lit. J’avais un peu d’appréhension car même s’il y a 15 jours, j’avais apprécié mes galipettes avec Luc, je me sentais toujours hétéro. C’est alors que se déclencha une tempête de plaisir à quatre mains. Elles caressaient mon corps à plusieurs endroits en même temps: ma bite, évidemment, mais aussi mes pectoraux, mes abdos et mes couilles. Des frissons me parcoururent du haut en bas. Puis deux langues bien douces vinrent lécher mes deux tétons dressés. Mon sang affluait sauvagement dans mon sexe raide. Les terminaisons nerveuses de mon corps ne savaient plus où donner de la tête! Une des langues - Laquelle? Celle de Luc? De Samuel? - laissa le téton gauche pour descendre entre mes pectoraux, suivant la ligne de poils bruns qui descendait jusqu’au nombril. Les quatre mains continuaient leur parcours sensoriel, découvrant des zones érogènes que je n’avais encore jamais remarquées.

Puis une des bouches goba ma bite jusqu’à la garde, malgré mes 19 cm, et l’autre se concentra à lécher mes couilles et mon entre-cuisses. À sa façon de passer sa langue sur ma queue, je reconnus Luc. C’était donc Samuel qui s’appliquait à faire enfler encore plus le plaisir sur mes couilles. Cela faisait déjà dix minutes que j’étais entre leurs mains et je ressentais déjà un pied immense. La bouche de Luc accéléra, tout comme ma respiration. Samuel et ses mains étaient maintenant sur mes abdominaux, jouant avec mes poils et mes muscles. La sauce commençait à grimper. Je prévins les garçons en chuchotant:

— Pas si vite, les gars! C’est en train de venir. Non, Luc, n’accélère pas! Je n’en peux plus.

Mais mon fils accéléra encore sa pipe. Puis tout à coup, alors que j’étais au bord de l’explosion, une main bloqua ma queue à la base. Mon pouls se ralentit et je sentis le plaisir refluer en moi. Une minute plus tard, j’entendis Luc me dire:

— Mets-toi à quatre pattes, papa! T’inquiète, on n’a pas l’intention de t’enfiler sans que tu sois d’accord.

Je les entendis rigoler doucement. Je m’exécutais, à la fois inquiet par ces jeux, mais aussi très excité. Cette fois, les quatre mains glissèrent sur mes deux globes velus et musclés, sur mon dos, sur mes cuisses et ma bite. Mes frissons reprirent, puis une langue commença à lécher mes poils du cul, puis ma raie. Autant au cours de préliminaires avec des femmes, j’avais pratiqué les caresses, autant personne ne m’avait jamais léché le cul et encore moins la raie. Puis la langue commença à explorer ma rosette. Putain que c’était bon! Je gémissais comme un jeune chiot, surtout que la seconde bouche attrapa ma queue pour la sucer. Les deux adolescents accéléraient le mouvement, une bouche pompant à fond mon dard tendu et l’autre pénétrant mon anus, avec une nouvelle jouissance profonde que je ne connaissais pas. Je n’eus pas le temps de les prévenir mais la sauce monta comme une flèche et emplit la bouche qui me suçait de sperme bien gluant.

J’étais exténué et m’allongeai sur le lit, le bandeau toujours sur les yeux. C’est Luc qui me l’enleva. Les deux petits mâles étaient souriants et je vis un liquide blanchâtre encore collé sur le menton de Samuel.

— Putain! Vous avez appris ça où, les jeunes?

Ils éclatèrent de rire.

— Un peu d’Internet, un soupçon d’imagination et de désir, me répondit Luc.

— Lequel d’entre vous deux a envie de prendre ma place?

— Moi, je veux bien, dit Samuel.

Illico presto, il se mit le bandeau sur les yeux et se plaça directement à quatre pattes. Il ne fallut pas bien longtemps pour que les caresses et de mon fils et les miennes excitent au maximum cette petite bombe pleine d’hormones mâles. J’y pris rapidement autant de plaisir à le faire qu’à le subir. Pendant que Samuel s’occupait de la queue de son pote, mes mains s’occupaient de ce merveilleux cul musclé et couvert de poils blonds. J’écartais les deux fesses afin d’y glisser ma langue. Les gémissements de Samuel montraient bien que je me débrouillais quand même pas mal pour un hétéro. Alors que ma langue allait enfin pénétrer plus loin, je reculais d’un coup. Je vis ce que j’avais oublié de vérifier: Samuel portait à gauche de sa rosette la même tâche de naissance que moi! Je tapotais le bras de Luc afin qu’il arrête de sucer son pote. Il me regarda étonné, sans rien dire. Je lui montrai la tâche puis me mis à quatre pattes en écartant mes fesses. Il ne comprenait pas. Je lui montrais du doigt. Pendant ce temps, Samuel s’inquiétait:

— Hé! Pourquoi vous avez arrêté?

— T’inquiète pas, deux secondes, lui dis-je.

Luc, en fouillant à travers mes poils, comprit enfin. Je vis ses yeux ronds s’agrandir et me questionner. Je lui fis «oui» de la tête. Puis son expression dubitative disparut et il sourit de nouveau. Samuel était son demi-frère, mon fils… Cela sembla lui redonner du désir mais je dois avouer qu’à moi aussi. Nous retournâmes nous occuper du jeune homme à quatre pattes et je pense que nous avons été encore plus excités qu’avant. Luc pompait la queue raide comme si c’était sa première sucette de Noël et je pénétrais en profondeur l’anus de Samuel avec ma langue, puis deux doigts bien humides. Ce n’étaient plus des gémissements qui sortaient de la bouche de Samuel, mais de vrais petits cris de jouissance. Il explosa soudain dans la gorge de Luc en hurlant.

Il retomba à plat ventre sur le lit, en sueur. Puis Luc lui enleva son bandeau. Ils se roulèrent un patin d’enfer, ne s’occupant plus de moi. Puis Samuel demanda:

— Pourquoi vous vous êtes arrêtés tout à l’heure?

 

 

Par charlie - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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