Dimanche 12 janvier 7 12 /01 /Jan 14:43

en cours de construction Vous pouvez lire l'intégralité du récit dans l'ordre.

Si j'essaie de le mettre en ligne d'un coup, ça bugge. Il a donc fallu le couper et refaire la présentation...ça prend du temps !    

 

 Toujours ce problème de mise des gens en paquets de crayons : "hétéros ? gay ? bi, lesbienne, trans, ..."Et si on n'était pas obligés de choisir ? Si on se laissait la possibilité de changer en "route" ?   Aujourd'hui, tout en refusant tout classement, je me verrais "omnisexuel".          

 

 

Je n’ai jamais cherché à appartenir à une communauté. A savoir si j’étais gay, ou bi, ou hétéro. Je m’en fichais. J'ai vécu des amours hétéros jusqu'à présent et je suis divorcé depuis 6 ans. Cette aventure de la vie m'a pris au dépourvu. Je suis loin de m'en plaindre.  

 

      

    

Mon pote, son fils et le mien

 

 

Je m’appelle Nathan, j’ai 36 ans. Sportif, bien foutu, cela fait 30 ans que j’habite dans le même village de province de 1500 habitants. 30 ans également que je connais Hugues, mon meilleur pote. On a le même âge et on traine nos guêtres dans ce village ensemble depuis le CP. On a fait les 400 coups ensemble, on a dragué des tas de nanas et couché avec entre 16 et 20 ans.

Pourquoi 20 ans? Parce que tous les deux, on a engrossé deux nanas à la même époque. Hugues, c’est avec Nathalie qu’il vit depuis 16 ans, et moi avec Charlotte, dont j’ai divorcé depuis six ans. On était jeunes, on était cons et nous nous sommes retrouvés mariés avec un môme en charge à 20 ans….. Malgré mon divorce, je suis resté habiter dans le même village que mon ex-femme. On est resté amis malgré les tempêtes qui ont traversé notre couple.

Hugues a un fils, Samuel, et moi aussi. Luc (mon fils) et Samuel ont tous les deux 16 ans maintenant. Hugues et moi étant deux footeux invétérés, nous continuons à jouer dans le club local. Cette année, nos enfants respectifs, n’ayant pas d’équipe de leur âge dans le village, sont venus rejoindre l’équipe Séniors  . Entre 10 et 16 ans, j’ai vu mon fils tous les quinze jours, mais entre les matches de foot de mon côté et les siens, on n’avait pas trop le temps de discuter et je ne l’ai pas vu grandir.

La première fois où il est venu s’entraîner avec son pote Samuel  (ils sont aussi potes que je pouvais l’être avec Hugues), je l’ai vu à poil pour la première fois depuis six ans. Je n’avais pas remarqué qu’il s’était transformé à ce point. Ils se sont déshabillés sans complexes devant les autres adultes et donc leurs pères et j’ai pu constater que tous les deux avaient bien profité de leurs hormones d’adolescents. Après l’entraînement, ils sont rentrés tous les deux et Hugues est venu chez moi boire un pot. Il faisait encore chaud (la reprise ayant lieu fin août) et nous étions tous les deux en short et débardeur.

— T’avais remarqué que nos mômes étaient presque devenus des adultes? je dis à Hugues.

— Ouais, de sacrés bestiaux, nos gamins. Le tien a récupéré ta pilosité et ta musculature, Nathan.

— Le tien aussi est costaud. Et c’est du lourdingue qu’ils ont entre les cuisses, les cochons.

— Je sais d’où Luc tient ça, dit Hugues en rigolant.

En disant ça, cela fit TILT dans ma tête. Je n’avais pas fait trop attention, mais c’est vrai que Samuel était aussi différent d’Hugues que Luc m’était très ressemblant. J’attendais le prochain entraînement pour vérifier ce qui me trottait alors dans la tête. Je fis alors plus attention à nos deux ados lors de la douche. Autant c’était flagrant que Luc avait récupéré ma pilosité (j’étais pareil à son âge), ma masse musculaire et le tuyau qui lui servait de bite, autant Samuel ne ressemblait pas trop à son père: Hugues mesurait 1m70 et Samuel faisait déjà plus d’1m80, Hugues (et on se chambrait à ce propos) avait une bite courte et fine et Samuel n’avait rien à envier à mon fils, Hugues était sec et pas très musclé et Samuel avait de beaux biceps, de beaux abdos et des pectoraux développés… Comme Luc!

 

 ... /...

Le week-end suivant, j’avais Luc à la maison. On traînait en short de foot, torse nu.

— Luc, on n’a jamais parlé entre hommes.

— Oui, papa?

— J’ai découvert sous la douche au foot comment tu avais changé et je ne m’en étais pas rendu compte.

Il attendait, un peu étonné.

— Tu dois commencer à sortir avec des meufs, non?

Il rougit discrètement.

— Allez, quoi, à ton âge, j’étais plus puceau…

— Moi non plus, p’pa.

Je souris.

— Elle s’appelle comment celle qui t’a dépucelé?

Il hésitait.

— C’est pas une meuf, papa. C’est Samuel.

Je restais interloqué.

— Ben oui, je suis gay.

Je restais un peu pantois. Mon fils, si beau, avec le fils de mon meilleur pote… Je sentais ma queue s’exciter dans mon boxer. Cela faisait plusieurs semaines que je n’avais pas tiré mon coup.

— Et alors? dis-je après avoir repris mes esprits. C’est comment avec un mec?

Luc me regarda avec des gros yeux.

— Ça te gêne pas que ton fils soit gay?

— Pourquoi? T’es libre de ton corps* et tant que c’est toi qui décides quoi en faire.

    *T’es libre de ton corps...oui, mais j'ai tort de dire ça. Dans toute relation sex, même éphémère... il y a l'émotion et l'adrénaline et le feeling...y a donc pas que le corps ...bon c'était pas le moment.

 

 

 Il se précipita vers moi, me serrant dans ses bras.

— Merci papa. J’avais peur que tu ne le prennes mal. Mais ne dis rien à Hugues…

— Promis!

Le contact du torse nu de mon fils contre le mien m’électrisa. Il dut sentir ma queue durcie car il s’écarta un peu et mata mon short.

— On dirait que ça t’excite, dit il en souriant malicieusement.

Je rougis à mon tour.

— Tu sais, j’ai pas tiré ma crampe depuis longtemps. Alors de sentir ta peau chaude contre la mienne m’a fait bander.

Ce qu’il fit alors me dérouta. Il se mit à genoux devant moi et commença à lécher ma queue à travers le tissu de mon short, levant les yeux vers moi, comme pour quémander. J’acquiesçais d’un clignement de l’œil. Je sentis ses mains se poser sur mes fesses. Il tira le short vers le bas, puis mon boxer. Ma queue raide surgit et se plaqua contre mon bas-ventre.

Luc enfouit alors son visage dans mes poils pubiens, léchant mes couilles avec délice. Je fermais les yeux, bercé par un plaisir enflant en moi. Il mit alors ma bite dans sa bouche et attaqua un pompier terrible. J’appuyais mes mains contre la table derrière moi. J’étais en train de me faire sucer par mon propre fils et c’était bien mieux que ce que certaines nanas avaient pu faire. Il resta comme ça pendant 10 bonnes minutes. Je n’en pouvais plus.

— Arrête fiston, ou je vais te juter dessus.

Il lâcha ma bite et se releva.

— Viens, papa.

Il me prit la main et me conduisit dans sa chambre. Je ne savais plus quoi dire. Arrivé dans sa piaule, il baissa à son tour son short et son boxer (je constatais d’ailleurs que c’était un des miens! Sa queue était pareille à la mienne, presqu’aussi longue et presqu’aussi grosse. Sa toison n’avait non plus rien à envier à la mienne. Il s’allongea sur le lit et me fit signe de venir. Il se mit en position de 69, engloutissant de nouveau ma queue. J’avais la sienne sous mes yeux et une force irrésistible m’attira à elle. Je suçais un mec pour la première fois et c’était mon fils… C’était bon! Je pris vite son rythme, malaxant en même temps ses belles burnes brunes. Je compris assez vite qu’il essayait de me faire jouir avant lui. Je m’attachais donc à lui faire prendre son pied rapidement. Alors qu’il me suçait encore, je sortis sa bite de ma bouche et commençais à la branler. Ça, c’était plus mon truc. Je caressais le dessous de ses bourses et son entrecuisse. Bingo! Il lâcha ma queue et je l’entendis gémir comme un jeune chiot. Je vis ses abdominaux se contracter et l’entendis murmurer:

— Papa! Je viens!

Il lâcha sa purée sur son ventre, se mêlant aux poils de son ventre et de son torse. Je m’assis à côté de lui. Il reprenait son souffle. Ma main passa sur son ventre, étalant le sperme sur son corps. Lorsqu’il reprit ses esprits, il tourna sa tête vers moi.

— Ça fait deux ans que j’en rêve, papa. Je me suis masturbé longtemps en pensant à tes muscles, tes poils, ta queue que j’apercevais rapidement le week-end quand tu allais te doucher.

Je continuais à caresser son corps.

— Je pense que tu m’as bien rattrapé côté muscles et poils, mon fils! T’es un vrai petit mâle… Par contre, côté bite, tu repasseras!

Il se redressa et m’envoya un coup de poing dans la poitrine.

— Salaud! Dis que ma bite est petite tant que tu y es!

— Non, elle a une bonne taille pour ton âge. Mais avoue qu’elle n’est pas encore aussi longue et grosse que la mienne.

J’étais en train de rebander. Luc aussi. Il attrapa un décimètre et les mesura.

— T’as raison! La mienne fait 17 cm et la tienne 19. Et t’as la même…

Luc s’arrêta de parler alors qu’il me décalottait.

— La même quoi? dis-je en le voyant regarder mon gland. Allo? La même quoi, Luc?

Il lâcha ma queue et se décalotta. Je compris immédiatement de quoi il parlait. J’avais depuis toujours une tâche de naissance très discrète sous le gland. Et Luc avait exactement la même. Je me mis à rire.

— C’est de ça dont tu parles? Ça prouve au moins que t’es vraiment mon fils…

Je le vis blanchir.

— Qu’est-ce qui se passe, Luc?

Il me regarda, les larmes au bord des yeux.

— Samuel aussi a cette tâche sous le gland. On pensait que c’était un truc d’ado qui disparaissait.

Je compris immédiatement à quoi il pensait.

— Tu n’es pas en train de supposer que Samuel est… mon fils?

Merde! Ce que j’avais soupçonné en détaillant le fils de mon pote semblait se confirmer: Samuel était bien trop différent d’Hugues pour être son rejeton.

— Peut-être que Hugues a lui aussi une tâche de naissance, non?

— Je sais pas, papa. Je demanderai à Samuel.

On en resta là. Luc retourna chez Charlotte. J’essayais bien de voir si je retrouvais cette tâche sur la bite d’Hugues, mais c’était difficile de lui demander de se décalotter pour me le montrer. Le week-end suivant, après un match amical, Hugues passa à la maison. Luc était chez sa mère.

— J’ai vraiment l’impression que nos deux gamins sont copains comme cochon, tu ne trouves pas? dit Hugues en buvant son whisky.

— C’est vrai qu’ils sont très proches. Mais on l’était aussi à leur âge, non? je répondis.

Il posa son verre.

— Mais pas au point de nous toucher la bite et le cul sous la douche, Nathan!

Je posais aussi mon verre.

— Tu veux dire quoi?

— Je veux dire que j’ai vu Luc et Samuel se tripoter sous l’eau après l’entraînement.

Je le laissais venir.

— Ils se douchent souvent les derniers. Et mercredi, j’avais oublié mon shampooing. Quand j’ai passé la tête par la porte des douches, ils étaient en train de se tripoter. Heureusement qu’ils ne m’ont pas vu.

— On a joué aussi à touche-pipi quand on avait 13-14 ans, non?

Hugues me regarda de travers.

— Ouais mais à leur âge, on courait la greluche, on n’en était plus à savoir qui avait la plus longue.

— Tu crois qu’il se passe des choses entre eux?, avançais-je. Ça te gênerait s’ils étaient gay?

— Je sais pas. Ça me ferait chier, c’est sûr, mais c’est leur vie.

— Oui, c’est sûr. Tu veux que je leur pose la question?

— Tu crois qu’ils te l’avoueraient? dit Hugues.

— Ça mange pas de pain d’essayer. Je suis assez libre côté discussion avec Luc. T’es comment avec Sam?

— On n’en a jamais causé. Tu sais que Nathalie est assez coincée de ce côté. Du moins, depuis qu’on est marié.

Je ne savais plus quoi dire.

— Demande à Sam s’il veut venir passer le week-end avec Luc la semaine prochaine. Je vais essayer d’aborder le sujet.

— T’es un pote, Nathan. Tiens-moi au courant.

Le week-end suivant, Luc arriva avec Samuel le vendredi soir. Ce dernier était content de passer un week-end sans ses parents, et qui plus est avec son amant. Après le diner, un peu arrosé, ils se dirigèrent dans la chambre de Luc, me laissant seul devant «Jour de Foot». Une heure après, je montais à l’étage me coucher. J’entendis alors des gémissements. La porte était entrouverte. J’y jetais un œil. Ma première vision fut les fesses poilues de Luc montant et descendant en rythme. Il avait aussi hérité de cette pilosité… Sous lui, à quatre pattes, se trouvait Samuel, se faisant bourrer comme une chienne par mon fils. En trois secondes, j’étais raide. La bite couverte d’une capote (ouf!), Luc entrait et sortait du cul de son pote comme si c’était une chatte humide.

— Oui, mon amour! Encore! Encore! Plus profond! Vas-y!

Apparemment, Samuel prenait son pied. Je restais assis devant la porte, essayant de ne pas me montrer. Dix minutes plus tard, j’entendis mon fiston haleter et annoncer qu’il allait gicler. Ce qu’il fit rapidement. Sortant alors sa bite du trou du cul de Samuel, il s’allongea à ses côtés. La bite raide lui aussi, le fils d’Hugues caressa longuement le corps couvert de sueur de Luc. Sa queue ne mit pas longtemps à retrouver de la vigueur (et oui, à 16 ans, on a des réserves…). Et ce fut Luc qui se positionna comme une chienne et Samuel qui l’enfila rapidement. Le même petit cul bombé, poilu, mais blond, s’activait entre les fesses de mon fils. Ma queue était dure comme du bois. Je l’attrapais et me mit à me branler devant ce spectacle qui ne mettait aucun doute sur l’homosexualité de ces deux garçons. Lorsque Samuel explosa à son tour dans le cul de Luc, je retournais dans ma chambre et me vidai la bite dans un kleenex.

J’avais eu du mal à m’endormir ce soir là après la partie de jambes en l’air entre Luc, mon fils et Samuel, le fils de mon meilleur pote. Plus je voyais Samuel et plus je me disais que ce ne pouvait pas être le fils de Hugues. En plus, la révélation de Luc sur cette tache de naissance m’avait mis le doute. C’est vrai qu’à l’époque où Hugues avait engrossé Nathalie, j’avais couché aussi avec elle sans qu’il le sache.

Le lendemain matin, je me levai tôt. Luc me rejoignit dans la cuisine pour le petit déjeuner. Il portait seulement un boxer, celui que j’avais aperçu le jour où il m’avait déclaré son amour pour Samuel.

— Salut fiston!

— Salut, papa! T’as bien dormi?

— Bof! Faut dire que vous n’avez pas été trop discrets hier soir…

Il sourit.

— Tu sais, ça ne fait que un an qu’on s’est découvert et on n’a pas trop l’occasion de se voir en privé comme hier soir. Ce n’est que la quatrième fois qu’on se retrouve seuls pour s’envoyer en l’air.

— T’inquiète fiston, c’est pas grave. Tant que tu prends du plaisir et que t’aimes ça, pas de soucis. Par contre, t’es pas obligé d’emprunter mes boxers…

— Ouais, je sais, c’est à toi… Mais maman ne m’achète que des minislips. Tu la connais… Et les tiens me vont bien, non?

— OK. Si tu veux, on ira en acheter cet après-midi une dizaine. Et c’est toi qui choisiras. Mais ne laisse pas trop de poils dedans…

Il éclata de rire.

— Je t’adore, papa, dit-il en m’embrassant sur la joue.

Pendant que nous finissions notre café, Samuel arriva, lui aussi simplement vêtu d’un de mes boxers. Je regardais Luc et nous éclatâmes de rire. Il expliqua à Samuel la discussion que nous avions eu sur mes sous-vêtements. Il avait le même souci avec sa mère. C’est vrai aussi qu’Hugues était resté aux slips moule-burnes. Je regardais attentivement ce jeune mâle en train de boire son café, me disant que je le connaissais trop bien pour ne pas m’être rendu compte des différences entre lui et son père. Je connaissais une autre marque de naissance, que Luc n’avait pas pu découvrir, et il fallait m’assurer de ce point.

En début d’après-midi, j’emmenais les deux jeunes hommes dans un grand magasin, afin de leur acheter à tous les deux de nouveaux sous-vêtements. Évidemment assez attirés par les marques, ils se concentrèrent sur des CK, des HOM et des DIESEL. Je les regardais fouiller, ouvrir les boîtes, tâter le tissu jusqu’à trouver ce qu’ils souhaitaient. Je leur proposais de les essayer avant de les acheter.

— Maman dit que c’est pas hygiénique d’essayer des slips avant de les acheter, me dit Samuel.

— On s’en fout de ce que dit ta mère. Allez! Aux cabines!

Laissant Samuel seul dans une cabine, j’entrai avec Luc dans une autre. Elles étaient très spacieuses. J’avais choisi moi aussi deux ou trois boxers 

 

Par charlie - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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