Mercredi 5 février 3 05 /02 /Fév 18:34

RECIT FICTION  ANTICIPATION Bonne  illustration de cette chanson de Felix  Leclerc

Bisex  H + HBK + F

preachingblackpower: Amen to that!!! Every fuckin day I am thankful!

thawickedbullnigga: Tha only way you’ll get a D- out of my class is to suck my dick now you lil stupid ass cunt. Even thou it did everything this Bull told it to do He still gave tha bitch a F in his class.

Alice, Thomas, Danny

UTOPIA LE MONDE DE DEMAIN

Louange de ce monde nouveau qui avait enfin compris que le progrès ne vaut pas un sou s’il ne vise à faire disparaître toute souffrance humaine, que tout individu sans exception a le devoir de profiter du bonheur tout au long de sa courte vie avant de retourner au néant, et que le plaisir, que tous les plaisirs, sont la seule et unique condition du bonheur.

10 Novembre 2550. Dans une petite ville de la banlieue ouest de New-York vit Thomas, âgé d'une cinquantaine d'années, grisonnant, jeune de corps et d'esprit, très bel homme. Son charme et sa gentillesse ne laissent personne indifférent et il séduit aussi bien la gent masculine que féminine. Il est très attaché à sa vie de famille, sa femme et ses deux enfants sont tout pour lui, ainsi que son travail d'historien qu'il exerce avec passion.

Il faisait beaucoup de recherches sur le XX° et XXI° siècles. Même si cette époque lui était familière, les guerres, le racisme, l'homophobie, la connerie humaine de ces temps le faisaient réfléchir et le laissaient souvent sans voix. Avec son jeune stagiaire noir, Danny, ils débattaient à propos de leurs recherches et se rendaient compte que quatre siècles et demi plus tard, le monde avait bel et bien changé: tous les problèmes que soulevait autrefois l'homosexualité leur paraissaient ahurissants, comme le vestige d'une sorte de moyen-âge heureusement disparu.

Alice, l'épouse de Thomas, était une femme brune aux yeux verts, fin quarantaine; son statut de femme au foyer lui laissait du temps pour s'occuper d'elle. Ils formaient un couple magnifique, leur complicité était à fleur de peau. Mily et Quentin, les deux enfants de Thomas et d'Alice se trouvant en France pour leurs études, ils invitaient souvent Danny à dîner.

Un soir, au cours d'un de leurs repas en commun, ils eurent une discussion très animée sur leur époque, mais ils tombèrent tous d'accord sur un point: l'homme était enfin heureux aux quatre coins de la planète. Chacun était libre de vivre son mode de vie sans l'imposer à l'autre; l'amour de soi, mais aussi d'autrui était le maître mot de l'humanité. Les croyances et les religions qui avaient fait tant de ravages par le passé n'existaient plus...

Le repas qu'Alice avait préparé était délicieux et les changeait agréablement des rations turbo-OGM habituelles. Thomas ne manqua pas de féliciter sa petite femme en se frottant contre elle de manière très sensuelle et en l'embrassant langoureusement, sous le regard intéressé de Danny.

Danny était plutôt canon comme garçon, une belle tête rasée plus que court, un regard perspicace avec des yeux en amandes, un nez pas très fin, mais en harmonie parfaite avec son visage et une bouche de toute beauté. Son côté très sportif lui avait donné à 25 ans un corps de dieu grec. Il savait que Thomas l'aimait beaucoup, mais n'imaginait pas que ce mélange d'amitié et d'amour puisse déboucher sur le sexe, même s'il en rêvait.

Bizarrement, Thomas était de plus en plus précis dans ses gestes, caressant sa femme en faisant glisser sa main sous la combinaison rouge qu'elle portait à merveille. Ils étaient sur le grand divan en magnéto-lévitation du salon, tandis que Danny, assis sur le fauteuil leur faisant face, semblait un peu perplexe. Ce n'était pas le spectacle que lui offraient Thomas et Alice qui l'embarrassait, mais il se demandait plutôt de qui il allait s'occuper en priorité s'il prenait part à leurs ébats. Il se trouvait face à un sérieux dilemme...

 

___________________________

Danny resta à sa place un long moment, puis dirigé par son instinct, il alla s'asseoir à même le sol du côté de Thomas. Ses mains ne tardèrent pas à caresser les jambes et les mollets de son bel ami. Il ôta les chaussures à micro-billes et moteur intégré qu'utilisait Thomas pour parcourir les longs couloirs de l'IRH, pour faire apparaître deux pieds sublimes.

Thomas était un adepte de la marche qu'il pratiquait chaque dimanche avec des amis. Il adorait qu'on s'occupe de ses pieds, ce que Danny faisait avec beaucoup d'entrain. Il massait, suçait, faisait couler sa langue entre les orteils. Thomas n'était pas gêné le moins du monde mais au contraire excité au plus haut point. Alice était de plus en plus dénudée, sans complexe face à cette nouvelle expérience. Elle n'avait jamais partagé son mari, mais apparement l'idée ne lui déplaisait pas. La combinaison ne cachait désormais qu'une moitié de son corps. Sa poitrine de déesse envoûtait Thomas qui adorait ses seins blancs et généreux. Il les suçait avec amour tel un enfant assoiffé tétant sa mère.

Danny, très audacieux dans ses gestes, assumait parfaitement et avec talent son rôle d'intrus. Ses mains baladeuses remontaient les belles jambes de Thomas, qu'il supposait musclées au travers du pantalon de cuir qu'il portait. À aucun moment de sa vie, Thomas n'avait pensé qu'un jour il se ferait caresser par un garçon, black qui plus est. Il était curieux de savoir jusqu'où Danny pouvait aller, tout en souhaitant que ce soit le plus loin possible, car il se disait que sa beauté et son talent en caresses en valaient bien la peine...

Danny détacha la ceinture de Thomas, tira sur le pantalon avec force, car il avait hâte de le voir nu. Thomas, à présent vêtu d'un boxer et d'un polo flytex thermo-régulateur, demanda à Danny et à sa femme de passer dans la chambre où ils seraient beaucoup mieux. Les murs et le plafond de cette pièce n'étaient que miroirs, excellent concept pour la bagatelle. Ils se déshabillèrent tous en même temps, puis il y eut un moment de silence. Aux yeux de Thomas et de sa femme, la beauté de Danny était incontestable, mais la belle bite qu'il avait entre les jambes était la cerise sur le gâteau. Danny qui avait tant rêvé du corps de Thomas, le regardait de la tête aux pieds, sans rien dire, juste de ce regard plein de tendresse qui voulait dire je t'aime.

Alice se jeta sur le sexe de son mari, le goba, tandis que son autre main branlait la tige vigoureuse de Danny, qui lui même embrassait Thomas à pleine bouche. Alice était déchaînée par ces deux pines, qu'elle butinait telle une abeille volant de fleur en fleur. Dans sa bouche alternaient queue blanche et dard black. Dans ce trio, personne n'était jamais en rade, et quelle que soit la combinaison, chacun avait son lot de plaisir. Alors que Danny se faisait pomper par Alice, son mari dirigea vers la belle chatte épilée, sa langue délicate. Il lécha cette moule luisante, en faisant bien vibrer le clito, tandis que deux doigts dans le vagin faisaient trembler Alice de plaisir. Elle grognait avec la tige de Danny entre les dents. Celui-ci regarda la belle queue circoncise de Thomas, la caressa tout en douceur puis la porta à sa bouche, en insistant bien sur le gland, ce que Thomas adorait.

Après quelques instants de pur bonheur, Thomas s'allongeait sur le dos, la tige bien droite, sur laquelle Alice alla s'empaler. Elle le chevauchait avec ardeur. Son cul s'offrait à Danny, qui sans aucun complexe, lui lécha la rosette, avant de l'enduire de lubrifiant, ainsi que son membre, qu'il enfonça en elle sans trop de difficulté.

Alice était heureuse de cette nouvelle expérience: deux bites en elle! ses phantasmes les plus fous se réalisaient. D'habitude très belle, elle était ce soir-là simplement sublime, sous le regard admiratif de son mari.

En plein XXVI° siecle, il était bien normal que les femmes vivent leur sexualité pleinement, sans pour cela être considérées comme des salopes. Tout comme les hommes, elles avaient droit au plaisir, sans aucun tabou. Après plusieurs minutes de coups de queues par les deux orifices, elle se laissa aller à la jouissance, qu'elle exprima par des cris de femme libre et souveraine, laissant enfin tomber son corps lourd sur Thomas. Des petits bisous amoureux et tendres fusaient encore entre Thomas et sa femme, puis arriva le moment où elle laissa les deux hommes se débrouiller entre eux.

Toujours vigoureuses, leurs queues dressées faisaient penser à ces deux tours qui étaient la fierté des Américains 546 ans plus tôt...

 

_____________________

Alice regardait Thomas et Danny; leurs deux corps, chacun dans son genre, étaient pures merveilles: l’un était celui d’un homme déjà mûr que l’exercice avait entretenu, l’autre celui d’un jeune homme lisse et délié, tout juste sorti de l’adolescence. À vrai dire, elle ne savait pas lequel des deux elle préférait. Les mains blanches de Thomas parcouraient maintenant la peau couleur café de son disciple. Ce qui étonnait Alice, c’était l’instinct avec lequel ces deux mâles trouvaient tout naturellement la caresse qui convient, le coup de langue qui fait gémir de plaisir, le baiser qui fait chavirer les regards. Elle reconnaissait en cela la supériorité incontestable des amours entre personnes du même sexe qui rendent le corps de l’autre aussi familier que son propre corps.

La belle queue black ne désenflait pas, bien au contraire, car Danny avait deviné que Thomas s'apprêtait à la déguster. En effet, il se laissa aller à toutes les folies: après tout, cet engin au gland brun-rose était là pour lui désormais. Il avait une carte à jouer, rendre Danny encore plus amoureux de lui. Aussi, il prit tout son temps pour contourner de sa langue pointue le sillon à la base du gland, pour aspirer goulûment ce fruit luisant, pour répandre sa salive sur toute la longueur de la verge. Il dégustait une couille, puis l’autre, puis, avec application les deux à la fois, faisant rouler les boules avec sa langue. Danny, n’en pouvant plus, referma ses cuisses et s’approcha du visage de Thomas pour lui glisser quelques mots à l’oreille. Alice devina ce qu’il lui avait demandé, pas sorcier! Lorsqu'elle vit Thomas se retourner sur le ventre et ouvrir ses cuisses, dévoilant à Danny l’épaisse fourrure entre ses fesses, elle se dit que l’occasion se présentait pour elle de reprendre part au jeu.

Elle se précipita sur le tube de gel et légèrement, en déposa une noisette sur l’oeillet de son mari puis, du bout du doigt, à l’intérieur de son cul. Elle sourit en pensant qu’autrefois, les hommes accompagnaient ce geste de l’enfilage d’un préservatif, une espèce de doigt en latex qui évitait la contagion des maladies. Mais il y avait longtemps que ces précautions étaient devenues inutiles et risibles: les MST, comme on disait à l’époque, avaient disparu de la surface de la terre, et l’érotisme le plus extrême pouvait s’exprimer sans retenue.

Danny s’était maintenant placé au-dessus de Thomas. À son tour, il sentit la main d’Alice lubrifier son membre de plus en plus raide, et crut bien qu’il allait jouir sous cette caresse glissante. Mais Alice empoigna fermement le sexe du jeune homme, écarta entre le pouce et l’index l’anus de Thomas et plaça l’extrémité du gland au milieu de la rosette. Trois ou quatre pressions, de plus en plus insistantes, et le gland en entier disparut, comme aspiré par l’orifice le plus secret du professeur d’Université.

Thomas s'étonnait, n'ayant pas eu de relation avec un homme depuis longtemps, d’être pénétré avec autant de facilité. Il faut dire que les mains d’Alice, contrôlant la progression de l’enculade, y étaient pour quelque chose. Lorsque la pénétration fut totale, et que Danny put limer de toute la longueur de sa queue en ne procurant à Thomas que du plaisir, elle s’éloigna vers le living-room puis revint très vite avec une paire de lunettes spéciales SX 940 à crypto-infra-rouges, qui permettaient de voir tout corps humain dans ses couleurs naturelles mais supprimaient comme par miracle tout objet autour. Elle s’installa à genoux, cuisses écartées, au pied du lit. Ce qu’elle voyait lui causait un plaisir fou: Thomas, légèrement cambré, accompagnait ou allait à la rencontre des coup de reins de Danny, comme en apesanteur. Les deux paires de couilles se balançaient joyeusement. Quelques gouttes de sueur perlaient sur les fesses du jeune homme, qui laissaient apparaître à chaque mouvement de retrait un trou du cul ombré de quelques poils. Tous deux semblaient flotter dans l’air avec une liberté totale, sans rien dissimuler de leur intimité... Combien dura ce spectacle, difficile à dire, le temps en tout cas pour Alice de se masturber des deux mains et de connaître une fois encore la jouissance profonde de son corps, le temps pour Danny de décharger interminablement sa crème dans le ventre de Thomas, le temps pour Thomas, de jouir sans même se toucher sur le couvre-lit en soie, cadeau de sa belle-mère.

Les deux hommes s’étaient endormis, l’un sur l’autre. Alice respecta leur repos et se glissa hors de la chambre à coucher. Elle songea qu’une petite collation réparatrice serait la bienvenue. Une demi-heure plus tard, nos trois héros se retrouvaient autour d’une petite table, chandelles, champagne et foie gras végétal, un vrai délice. Chacun avait enfilé un peignoir bien douillet et Thomas comme Alice ne manqua pas de remarquer que, bien sûr, Danny bandait encore; ils s’en amusèrent un moment, avec l’arrière pensée que l’avenir leur souriait; ils bavardèrent jusqu’à l’extinction des chandelles, tout à la louange de ce monde nouveau qui avait enfin compris que le progrès ne vaut pas un sou s’il ne vise à faire disparaître toute souffrance humaine, que tout individu sans exception a le devoir de profiter du bonheur tout au long de sa courte vie avant de retourner au néant, et que le plaisir, que tous les plaisirs, sont la seule et unique condition du bonheur.

FIN

 

 

 

 

Par teddyman - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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