Mardi 21 janvier 2 21 /01 /Jan 01:45

 

 

SI J'ETAIS FEMME VOUS M'APPELERIEZ PUTE...mais de luxe...

 

 

 

       

Avec les téléphones portables, je suis sûr de ne pas être le seul à pratiquer le double jeu. Cela a dû vous arriver à vous aussi...ne serait-ce qu'en pissant...

Tout en suçant la queue de mon client je gardai un œil sur l’heure. Il était presque onze heures. et ma copine allait appeler. J’ai quitté la queue un instant pour dire à son propriétaire

— Dans cinq minutes ma copine va téléphoner. Je lui répondrai.

Mon métier m’oblige à des déplacements professionnels à rencontrer des industriels et des commerçants un peu partout dans le sud du pays pour essayer de les convaincre de choisir les produits de la boîte qui m’emploie. Aussi suis-je amené à voyager et à rester quelquefois loin de chez moi pendant deux ou trois jours. C’est une activité où les opportunités ne manquent pas car dès l’instant où l’on a quelque chose à vendre il est fréquent que le client subordonne son acceptation à un avantage complémentaire.

Grand, brun et mince, j’ai, paraît-il, un bien joli petit cul qui a toujours beaucoup de succès chez les hommes d’un certain âge.

Et sans doute aussi que mon jeune âge est aussi un atout précieux. C’est sans doute pourquoi j’étais très régulièrement invité à dîner dès que les clients apprenaient que j’étais seul à l’hôtel pour un jour ou deux. Ils tentaient leur chance. Au début je refusais, mais dès que je me suis aperçu comment certains clients pouvaient être bien généreux financièrement, je laissais entendre que je serais prêt à accepter si le contrat était signé et ils signaient. Il me fallait ensuite tenir mes engagements. Pourquoi pas jumeler plaisir et affaire. Question d’honnêteté commerciale avais-je expliqué à ma copine qui s’inquiétait de ces invitations fréquentes.

J’avais terminé l’après-midi avec un responsable des achats d’une société qui avait en définitive signé le contrat et qui dès sa signature posée m’avait déclaré qu’il aimerait m’inviter à souper le soir même. Nous nous étions retrouvés au restaurant de l’hôtel où j’étais descendu et nous avions dîné. C’était un type plutôt bel homme, un brun aux yeux verts qui devait avoir une quarantaine d’années, assez dragueur. Nous avions consacré une petite minute à parler du contrat après quoi la conversation avait dévié sur d’autres sujets plus personnels, ce qui veut dire qu’au bout de cinq minutes nous parlions sexe. Il m’avait bien entendu demandé si le fait d’être seul me mettait en situation de manque. Ce à quoi j’avais simplement répondu que non, que je me débrouillais.

— Vous voulez dire que vous vous branlez? me demanda-t-il.

— Oui bien entendu que je me branle... quand je n’ai pas d’autre alternative.

— Et à quoi songez-vous pendant ces moments de grâce?

J’avais laissé son genou toucher le mien sans le retirer.

— Hé bien, dans ces moments de plaisir solitaire, disons que je m’imagine assis au restaurant, avec un homme très séduisant, pour ne pas dire excitant, qui me fait du genou pour me faire comprendre qu’il veut quelque chose, et que ce sera un plaisir pour moi de le lui accorder.

L’homme avait compris le message. Le genou était revenu à la charge, bientôt remplacé par une main que je laissais courir sur l’intérieur de ma cuisse. Arriver à mon entrejambe, il passa sa main dessus et le caressa doucement tandis que j’écartais les jambes.

— Je crois bien que d’après la rigidité que je peux sentir sous mes doigts, vous accepteriez que je vous accompagne jusqu’à votre chambre?

— Pourquoi ne me dites-vous pas carrément: "Voulez-vous que je monte avec vous pour vous baiser?" Vous ne pensez pas que ce serait plus honnête comme formulation?

— Exact, me dit-il, c’est tout à fait ce que je voulais dire.

— Et bien montons alors! lui déclarai-je.

En sortant de table, après le dîner, nous sommes montés à ma chambre en prenant l’ascenseur. Nous y étions seuls et mon client m’a enlacé et se collant contre moi. Je l’ai laissé m’embrasser sur la bouche pendant que sa main caressait mon dos et descendait vers mes fesses. J’ai senti sa main passer sous mon pantalon, descendre vers mon slip, ses doigts se glisser dessous, pour arriver à mon anus. Quand il a senti qu’il était mouillé par l’excitation, il a alors introduit un doigts. Excité par son doigt qui me fouillait, je ne pus m’empêcher de gémir. Il dut cesser son doigtage abruptement, car rendu à notre étage, les portes de l’ascenseur s’ouvrirent.

Là, nous sommes entrés dans ma chambre et mon client m’a demandé de me déshabiller. J’ai donc tout enlevé et suis resté debout et nu sur la moquette pendant que mon client, assis sur le bord du lit, me regardait faire. J’aime beaucoup qu’on me voit nu. J’aime sentir des yeux parcourir mon corps, fixer mes fesses et ma queue. Fantaisie de sa part, il m’a demandé de me branler debout.

— J’ai envie, me dit-il, de voir comment vous vous y prenez...

J’avais de la chance, j’étais tombé sur un homme qui avait la même manie que moi à savoir vouvoyer son partenaire de sexe. C’est vrai, d’habitude les hommes, dès qu’ils vous ont mis un coup de queue, s’autorisent à vous tutoyer et je trouve ça vulgaire. Moi, je préfère le type qui me tringle et me demande:

— Êtes-vous d’accord pour que je décharge là? La sentez-vous bien?

C’est tellement plus excitant. J’étais donc debout à me branler en suivant les instructions de mon client qui me demandait tour à tour de lui montrer mes fesses, de bien les écarter, me demandait de glisser mon doigt dans mon cul. Je m’exécutais. Il était temps pour moi d’examiner à mon tour ce sur quoi j’étais tombé. Je l’ai déshabillé en commençant par la chemise, bouton après bouton, puis par la ceinture de son pantalon que j’ai fait descendre. Une fois en slip, j’ai tiré sur la ceinture pour faire jaillir sa queue. Il était tellement excité que son membre, une fois libéré du slip, a repris la verticale en vibrant. J’avais de la chance ce jour là, il avait une belle queue et je me régalais par avance.

Un peu plus longue que celle des autres clients que je rencontrais, plus brune aussi, plus velue mais bien veinée. On voyait bien que le sang s’y était concentré et les veines qui couraient sur sa hampe palpitaient. Il avait une queue vivante. J’ai découvert un joli gland bien fendu avec une grosse tête violette couleur asperge, et dessous deux belles couilles apparemment bien pleines de jus, à point. Je ne m’y fis pas prier pour la glisser dans ma bouche. Tout en suçant la queue de mon client je gardai un œil sur l’heure. Il était presque onze heures. et ma copine allait appeler. J’ai quitté la queue un instant pour dire à son propriétaire

— Dans cinq minutes ma copine va téléphoner. Je lui répondrai. Vous pourrez m’enfiler mais je vous demande de ne pas parler, de ne pas grogner ni gémir, je ne veux pas qu’elle entende quoi que ce soit. C’est promis?

— Quoi, ta copine sait où te trouver?

— Oui, elle est assez jalouse et elle exige de savoir où je me trouve.

Le téléphone a sonné alors que je me régalais en dégustant sa grosse queue qui goûtait si bon. Étendu sur le dos, sur le lit, je décrochai le combiné.

— Oui?

— C’est moi mon chéri, tu vas bien?

— Oui, je vais bien et toi?

— Très bien. Tu es à l’hôtel?

— Oui, dans ma chambre.

Je lui parlais en même temps que je malaxais la queue de mon client.

Il s’était assis sur moi, sur mes cuisses, et je le branlais sans gêne. Je voyais son gland se dénuder pour le recouvrir ensuite et recommencer. J’ai beaucoup aimé voir ce gland apparaître puis disparaître sous mon nez, si proche de moi, lui qui tout à l’heure allait la rentrer en moi pour me défoncer et peut-être y laisser son jus.

— Ta journée s’est bien passée mon chéri?

— Oui, très bien. J’ai signé mon contrat, je suis content...

Mon client a reculé vers le bas du lit pour s’installer entre mes cuisses et prendre ma queue en main. Je sentis sa langue lécher les gouttes de précum sur mon gland. Il commençait à me le sucer doucement.

— Bravo mon chéri. Ton client est donc satisfait...

— Oui je crois. Il a l’air satisfait.

Celui-ci glissa un coussin sous mes fesses et tout en continuant de me pomper la verge, il a mis son pouce dans mon trou pour l’ouvrir et préparer la route de sa queue. Il me faisait mouiller.

— Ton patron va être content de toi mon chéri, il voudra te récompenser.

— J’espère bien être honoré de ce succès.

Mon client venait d’ajuster sa queue et progressais vers moi. Je sentis son membre qui se frayait un chemin dans mon cul dont il écartait les parois. J’ouvris mes jambes au maximum pour lui permettre d’aller plus loin. Il était maintenant bien au fond. Il commença à me limer. Je sentis mes muscles qui travaillent et sa bite qui me fouillait.

— Tu me manques tu sais!

— À moi aussi tu manques ma chérie, mais je me sens moins seul quand je t’entends.

Mon client accéléra ses mouvements. Il retira sa queue presque complètement, au risque de sortir, et revient violemment tout au fond dans un grand coup de reins. Je pouvais la sentir aller et venir de mon cul

— J’ai envie de toi mon chéri!

— Moi aussi j’ai envie.

Mon client prend le rythme final et lime sans répit. Il me fait râler de plaisir.

— Qu’as-tu mon amour?

— Rien de grave ma chérie. Je me caresse un peu en pensant à toi.

Il m’a relevé le buste et s’est mis en appui sur les mains. Je peux voir sa queue me limer le cul à fond.

— C’est vrai? Tu te caresses?

— Oui c’est vrai. Je pense à toi, juste à toi!

Je dois faire un effort presque surhumain pour ne pas gémir trop fort et éveiller ses soupçons. J’aperçois le visage tout rouge de mon client et il me fait comprendre par mimiques qu’il est prêt à venir.

— Tu verras mon chéri, à ton retour, tu auras cent fois mieux que ces caresses en solitaire.

— Je sais ma chérie, personne ne me fait jouir plus que toi.

— Je vais jouir ma chérie. Je vais venir. Je ne tiens plus. Je coule.

Mon client continua de me sucer alors que plusieurs jets de sperme se retrouvèrent au fond de sa gorge.

Mon client se rhabilla lentement alors que je terminais ma discussion au  téléphone. Plus que satisfait, celui-ci me remit une liasse de billets avant de quitter la chambre.

Mon patron se demande toujours comment je fais pour convaincre tant de clients à signer. Il n’a encore rien vu. Je n’ai que 20 ans et tant que je serai en forme et que ma copine ne découvrira rien de mon stratagème pour gagner du fric, je serai toujours disponible pour amener et satisfaire de nouveaux clients. FIN

Merci à Nicode son envoi ; la recherche des illustrations

 est du Web

 

 

Par nico - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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