Dimanche 12 janvier 7 12 /01 /Jan 14:35

 

Samuel demanda:

— Pourquoi vous vous êtes arrêtés tout à l’heure?

Luc me regarda et je lui fis comprendre de l’œil que c’était à lui d’annoncer la nouvelle à son pote. Il se mit à quatre pattes.

— Qu’est-ce que tu vois à gauche de ma rosette, Sam?

Samuel ne comprit pas tout de suite. Je me mis dans la même position que mon fils.

— Et à gauche de la mienne? dis-je maintenant amusé.

Sam inspecta les deux culs qui s’offraient à lui. Et il la vit.

— Ben… Vous avez tous les deux une tache de naissance. Et alors? C’est ton père, non?

— Tu te rappelles la tache sous nos glands? lui dit Luc.

— Oui. Et alors?

— Papa a exactement la même.

Je me décalottais pour lui montrer. Il resta coi.

J’attrapais un miroir et demandai à Samuel de regarder lui-même ses fesses. Il eut du mal à la voir mais constata ce que nous avions découvert. Il s’assit brutalement sur la moquette.

— Ça veut dire quoi, m’sieur?

— Je crois bien que ça veut dire que je suis ton père, Samuel.

Je lui expliquais qu’à l’époque, son «père» et moi fricotions les mêmes nanas et qu’il était très probable que c’était moi qui avais mis sa mère en cloque…

Samuel ne savait plus trop quoi dire après avoir découvert que j’étais son père biologique. Je sentais bien que son cerveau tournait à 300 à l’heure en ce moment. Luc et moi nous nous rhabillâmes (du moins, on enfila chacun nos sous-vêtements respectifs..).

— T’as l’air choqué, Sam, dit Luc.

— Ben un peu. Ça te ferait quoi d’apprendre que ton père est pas ton père?

— Ça me ferait bizarre, en effet.

J’attrapai Samuel par les épaules, assis à côté de lui.

— Tu sais, Sam, Hugues est ton père…. Même si à l’époque c’est peut-être moi qui ai déposé ma graine dans ta mère, c’est lui qui t’a élevé depuis 16 ans. Ça ne devrait rien changer.

Il sourit.

— Vous avez raison, m’sieur…. Ça ne va rien changer.

Il remit lui aussi son boxer et avant d’aller dans ma chambre, j’embrassai les deux garçons sur les joues.

Je les entendis discuter jusqu’à tard dans la nuit. J’essayais d’entendre ce qu’ils disaient, mais Morphée me rattrapa et je m’endormis.

Le matin, c’est l’odeur du café qui me réveilla. Les deux adolescents étaient déjà en tenue de sport quand je descendis.

— Dépêche-toi, papa. On a match à 11h00 ce matin, tu n’as pas oublié?

— Merde! C’est vrai! Il est quelle heure, là?

— 10 h 00, m’sieur, me répondit Samuel.

— Sam, appelle-moi Nathan, tu veux bien. On est dans la même équipe de foot, non?

Il me sourit. J’avalai mon café et allai me mettre en tenue. Heureusement, le match était chez nous. Je ne sais pas si Samuel avait retrouvé son allant, mais il nous planta trois magnifiques buts, ses premiers en équipe Sénior. Hugues, blessé, ne jouait pas. Il était en extase devant les résultats de son fils ce jour-là.

Ce fut la fête dans les vestiaires (nous avions battu ce jour-là nos irréductibles ennemis du village d’à côté) et à travers tout le brouhaha et les allers et venues des uns et des autres, je remarquai discrètement les petites caresses sur le sexe que Luc et Samuel se faisaient discrètement. Ils disparurent après que tout le monde se fut douché et Hugues vint diner chez moi, sans Nathalie, occupée par une énième loterie au profit d’œuvres charitables à l’autre bout de la France. Nous avions picolé pas mal et vers la fin du repas, il me lança:

— Alors? T’as discuté avec nos jeunes à propos de ce qu’on s’était dit l’autre jour?

Je feignais de ne pas comprendre ce qu’il voulait dire.

— Mais si, tu sais bien, leur tripotage discret sous les douches. Ils ont encore recommencé aujourd’hui…

— Ah! Ça! Oui, je l’ai vu aussi.

Je laissais passer un silence.

— Et bien?

— Et bien…et bien…. Oui, j’en ai discuté avec Luc. Et je crois bien qu’ils sont amants.

Un long silence (du moins, il me parut extrêmement long…) s’abattit dans la maison. Je voyais bien que Hugues réfléchissait à toute vitesse.

— Merde! dit-il doucement.

— T’en es sûr?

— Ben, si tu veux, l’autre week-end, ils étaient pas en train de jouer au Monopoly quand je les ai entendus….

— Merde! dit-il de nouveau.

Je lui reversai un cognac pour faire passer la nouvelle, même s’il avait déjà bien bu. Je ne lui parlai évidemment pas de la tache de naissance de Samuel, identique à la mienne et celle de Luc.

— Comment mon propre fils peut-il être gay? Ça ne manque pas de nanas, quand même!

Il montait un peu le ton.

— C’est leur vie, Hugues. Moi aussi ça m’a un peu bousculé quand Luc m’en a parlé. On en a discuté toute une nuit. À partir du moment où ils se protègent, je ne vais pas aller contre.

Il ne disait plus rien, mais me fixait dans les yeux, les larmes prêtes à couler.

— Comment je vais annoncer ça à Nathalie, moi?

— T’as vraiment besoin de lui en parler? Tu crois pas qu’elle s’en fout de savoir avec qui son fils baise?

Les larmes commencèrent à couler. Je voyais bien que l’alcool ne l’aidait pas.

— Tu veux rester dormir à la maison? Nathalie ne rentre que demain soir, non?

Il acquiesça de la tête.

— Allez, viens, on va aller se coucher.

Nous nous levâmes et grimpèrent dans ma chambre. Je commençais à me déshabiller pour aller me pieuter. Ça ne serait pas la première fois que mon pote dormirait dans le même lit que moi. J’étais en slip et torse nu, et je vis qu’il s’était seulement assis sur le lit. Je compris qu’il avait besoin d’aide pour enlever ses habits. Je m’approchai de lui et m’agenouillai pour lui déboutonner sa chemise et son jean’s. Je ne sais pas pourquoi, mais cela me fit bander. Hugues, même s’il n’était pas très costaud, était quand même finement musclé. Il portait un caleçon tout mignon, avec des Simpson’s dessus. Il me regardait fixement. Me détaillait même.

— Nathan, t’as déjà essayé de faire quelque chose avec un mec?

Je le regardais fixement à mon tour.

— Qu’est ce que tu veux dire, Hugues?

— Ben, j’suis clair, non? T’as déjà fait des trucs avec un mec?

Je commençais à m’inquiéter. La découverte de l’homosexualité de son fils le travaillait apparemment plus que moi.

— Non, mentais-je en me souvenant de ma nuit avec les deux ados. Pourquoi me dis-tu ça? T’as envie de quelque chose avec moi?

Hugues me regarda.

— Si nos fils le font, pourquoi pas nous?

Je voyais sa queue se tendre dans son caleçon. La mienne était encore plus dure. Je le poussai doucement sur le lit, ce qui fait qu’il était sur le dos, les jambes posées au sol.

— J’ai pas forcément envie de baiser avec toi, Hugues, mais on peut essayer de voir ce que ça fait de se faire caresser par un mec si tu veux….

Je posai mes mains sur sa poitrine imberbe et sentis un frisson le parcourir. Il ferma les yeux.

Je le caressai alors doucement, passant des pectoraux aux abdominaux, puis sur les biceps. J’entendais mon meilleur pote gémir doucement.

— C’est bon, Nathan, continue tes caresses.

Jusqu’où devais-je aller avec lui? Sans trop réfléchir, je posai un baiser sur ses tétons, seul endroit du haut du corps sur lequel il avait quelques poils (en dehors des aisselles). Puis un autre sur son nombril. Mes mains caressèrent alors ses cuisses et avec son caleçon assez large, j’en glissais une par la jambe jusqu’à l’aine, arrivant alors à la base de son sexe tendu. Voyant qu’il ne disait rien, j’entrepris de la masturber délicatement. Sa queue était comme du béton, pas très longue (15 centimètres). Il soupirait de plus en plus. Je me penchai pour arriver à son oreille et je chuchotais.

— Ça te va, comme ça? Ou on va plus loin, mon vieux pote?

Il entrouvrit les yeux.

— Tu irais jusqu’où, Nathan? Tu me sucerais?

Surpris par sa réponse, je lui dis:

— T’en as envie au moins?

— Oui.

J’attrapai l’élastique du calbute et le descendit jusqu’aux chevilles. Sa bite claqua contre ses abdominaux, amortie par sa touffe pubienne. Ma bouche n’eut pas de mal à l’entrer entièrement. C’était la deuxième queue en un mois que j’avais en bouche. Après celle de mon propre fils, j’avais celle de mon meilleur ami. Avec un peu plus d’expérience qu’il y a un mois, j’entrepris de lui faire un pompier dans ce que j’estimais être les règles. Ma langue passait sur le morceau de chair tandis que son gland butait au fond de ma gorge. J’attrapai ses burnes et les malaxais tendrement. Hugues ne tarda pas à soupirer et respirer ensuite de plus en plus vite.

— Oh putain! Oh putain! Que c’est bon! Oh oui…. Oh oui.. Putain! Je vais gicler! Je vais gicler, Nathan!!!!

Je sortis alors sa queue de ma bouche et terminai l’exercice en le branlant au maximum que je pouvais. Ses muscles se tendirent et je sentis son sexe vibrer. De longs jets de sperme vinrent atterrir sur son ventre et son torse.

Complètement essoufflé, mon pote gardait les yeux fermés. J’étalai son sperme sur son corps, comme j’avais vu Samuel et Luc le faire, profitant ainsi de caresser ses abdominaux. Quand il eut repris ses esprits, il ouvrit les yeux.

— C’est pas possible, Nathan. T’as déjà fait ça, hein?

— Non, jamais, c’est la première fois, mentis-je de nouveau.

— Merde! C’était trop bon. Largement mieux que Nathalie… quand elle accepte!

Je souris.

— T’as envie que je te fasse pareil, vieux pote? me dit-il.

Je réfléchis un peu puis lui dit:

— Si t’es d’accord pour faire des découvertes ce soir, j’aimerais bien que tu me bouffes le cul à la place.

Sans dire un mot, il commença à descendre mon slip le long de mes cuisses, me regardant droit dans les yeux. Ma queue se dressa bien évidemment le long de mon ventre.

— C’est dingue ce qui arrive, chuchota-t-il.

Il passa alors ses mains sur mes fesses velues, puis sur mes cuisses, et de nouveau sur mes fesses.

— J’avais jamais fait gaffe combien t’étais poilu du cul, Nathan.

Il écarta doucement les deux globes et glissa un doigt dans ma raie déjà un peu humide.

— Même là!, dit-il.

Il se mit alors à genoux derrière moi.

 

Par charlie - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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