Samedi 14 septembre 6 14 /09 /Sep 06:15

DIFFICILE D'IMAGINER PLUS DE TENDRESSE !   

Récit dédié, je ne sais pourquoi ? à mon ami Fabien qui sait se faire désirer lui-aussi..

Matthieu et Sébastien Jacquier ?  les gens les prenaient souvent pour des jumeaux (fake)

 

— Les garçons, au lit, il est l'heure... !

— Oh Papa, non... !

— Au lit, j'ai dit. Il y a école demain, non...?

Tous les soirs, se déroulait le même rituel, presque immuable. C'était comme s'ils eussent joué une scène, toujours la même, mais sans jamais s'en lasser. Ils semblaient tous trois, bien au contraire, y prendre un plaisir chaque soir plus intense, plus profond, lié précisément à la répétition. Loin de générer une quelconque lassitude, les gestes refaits encore et encore, les paroles cent fois redites, acquéraient une espèce de perfection formelle, qui se suffisait presque à elle-même et ancraient en eux leur sentiment d'appartenance réciproque. Leur amour. Le sens même des mots, des phrases, ne comptait pas. Seul importaient les regards, les frôlements, les attitudes. Leurs corps, leurs yeux, leurs mains tenaient pour eux le langage que, tous trois, ils aimaient tant à s'entendre parler.

Sébastien, assis sur la moquette et adossé au canapé entre les jambes paternelles, se leva le premier, dépliant avec lenteur son jeune corps souple et délié. L'activité physique intense de l'adolescence, skate-board, basket et autre VTT, avait déjà modelé le relief naissant de son torse et ses jambes, longues et fuselées, s'épanouissaient en de petites fesses serrées, rondes et haut perchées. Désirables.

Debout, il se retourna, souriant, vers son père toujours enfoncé dans le canapé, un bras passé autour des épaules de son frère Mathieu. Celui-ci, à regret, sentit le poids rassurant, la chaleur du bras de son père se retirer de ses épaules, alors que se défaisait l'étreinte dans laquelle il l'avait tenu la soirée durant, devant le film à présent terminé. Mathieu se leva à son tour, prenant appui sur les cuisses paternelles. Tout comme son frère, l'adolescent au corps bien formé, aux traits réguliers, était visiblement l'heureux dépositaire des mêmes gênes qui semblaient assurer aux spécimen mâles de la famille cet exceptionnelle vitalité et cette éclatante vigueur qui faisaient dire autour d'eux...

Les deux fils Jacquier, ils sont aussi réussis de leur personne que leur père... !

A quoi il se trouvait toujours quelqu'un pour rétorquer...

Pas étonnant, dites... Arnaud Jacquier, il en a quand même remporté quelques uns, des championnats de culturisme, hein !

Arnaud Jacquier, détournant les yeux de l'écran où défilait le générique du film qu'ils avaient regardé tous trois blottis l'un contre l'autre, se sentit, comme à chaque fois qu'il posait le regard sur ses deux fils, rempli d'orgueil, de fierté et d'amour paternels. Mathieu n'était le cadet de Sébastien que de dix mois et les gens les prenaient souvent pour des jumeaux. Il sourit aux deux adolescents si beaux.

Le rituel pouvait commencer.

Sébastien fit le tour du canapé et, dans le dos de son père, noua ses deux bras autour du cou puissant de celui-ci. Se penchant sur son visage, il déposa un baiser sur les lèvres épaisses d'Arnaud Jacquier qui avait renversé la tête en arrière pour le recevoir et, sans retirer ses lèvres, murmura, presque dans la bouche de son père :

Tu viendras nous dire bonsoir, Papa ?

— Quand est-ce que je suis déjà allé au lit sans vous dire bonsoir ? dit son père.

L'haleine paternelle, faite d'un léger parfum de tabac brun, de dentifrice mentholé et du goût familier de sa salive agissait comme un aphrodisiaque sur l'adolescent.

Mathieu, quant à lui, de deux doigts hardis, avait ouvert un bouton supplémentaire à la chemise de son père. Glissant la main dans l'échancrure, il s'attarda un peu sur les pectoraux épais d'Arnaud Jacquier, flattant d'un doigt léger un des gros mamelons d'homme. Comme à chaque fois, il se réjouit intérieurement que son père eut arrêté la compétition de culturisme, à présent. Ainsi, il pouvait conserver toute la superbe toison brune qui était la sienne, recouvrant son torse, son ventre, ses cuisses, ses avant-bras... et qui mettait si bien en valeur son corps puissant à la musculature plus lourde à présent, moins écorchée, comme disent les culturistes, mais si sensuelle, si mâle.

— Tu ne tarderas pas trop, dis Papa... ?

C'était une autre des phrases de leur rituel du soir. La réponse habituelle vint, soufflée plus que dite par la voix basse, chaude et virile de leur père.

— Montez dans votre chambre, les garçons. Je viens vous dire bonsoir tout de suite.

Sébastien avait rejoint Mathieu et les deux adolescents serrés l'un contre l'autre, chacun un bras passé autour de la taille de son frère, n'eurent pas besoin de se concerter. Leurs yeux ardemment plantés dans ceux de leur père qui les fixait tout aussi intensément, la réponse de chaque soir vint à leurs lèvres en un accord parfait.

— On t'attends. Viens vite, Papa.

.../...

Depuis leur plus tendre enfance, Sébastien et Mathieu partageait la même chambre. Ayant un peu grandi, leur père leur proposa tout naturellement d'avoir à présent chacun leur chambre. Les deux adolescents s'y refusèrent aussitôt d'une seule voix. Arnaud Jacquier n'insista pas et accéda de bonne grâce à la requête des garçons qui avaient souhaité occuper également le même lit. Dans la semaine, il avait fait livrer un immense lit bas, le plus grand qu'il avait pu trouver. Sébastien et Mathieu y dormaient, y jouaient, y étudiaient, y luttaient et d'une manière générale, l'utilisaient comme le terrain favori de tous leurs jeux.

Repensant à ce jour pas si lointain où, se jetant dans les bras l'un de l'autre, effrayés à l'idée que leur père voulût les séparer, les deux gamins s'étaient écrié ...

— Papa, oh non Papa... Sébastien et moi, on veut dormir ensemble... toujours !

— Oui Papa... avait ajouté Mathieu... moi, je ne peux pas dormir si je ne suis pas tout près de Sébastien, alors...

... Arnaud Jacquier, ayant éteint la télévision, puis toutes les lumières du rez-de-chaussée sauf la cuisine - ils avaient toujours soif et faim, après - gravissait lentement les marches qui menaient au premier étage. Il n'aurait pu être plus entièrement, plus totalement conscient du bonheur, de la chance qui était les siens. Il se sentait déborder d'amour pour les deux adolescents. La suite du merveilleux rituel de chaque soir l'attendait là-haut.

Dans la chambre dont il avait poussé la porte sans bruit, ne subsistait que la faible lueur des lampes de chevet de part et d'autre de l'immense lit bas des deux garçons. Silencieusement, il gagna sa place habituelle, un grand et confortable fauteuil dans un angle de la pièce plongé pour l'heure dans l'obscurité et d'où il pouvait jouir du spectacle qui s'offrait à lui sur le lit baigné d'ombres et de lumière douce et chaude.

Sur le lit, comme s'ils n'avaient pas remarqué la discrète entrée de leur père, vêtu chacun d'un slip et de chaussettes d'un blanc immaculé, Sébastien et Mathieu se faisaient face, assis sur leurs talons. Rapidement, presque furtivement, ils échangeaient de petits baisers sur les épaules, dans le cou, dans les cheveux, sur le visage. Leurs mains qui se cherchaient s'étaient rejointes et chacun déposait sur leurs doigts entre-mêlés d'autres baisers empressés. Bientôt, leurs bouches cessèrent leur exploration et leurs lèvres, graduellement, ne ciblèrent plus que leur visage, se concentrant sur leur front, leurs yeux clos, leur nez, leur menton. Leurs doigts se défirent et, chacun tenant le visage de l'autre entre ses mains, leur langue dardée hors de leur bouche s'effleurèrent d'abord, se touchant, se cherchant, se perdant pour mieux se retrouver, jouant une parade dont eux seuls connaissaient le scénario et qu'ils n'interrompaient brièvement que pour murmurer...

— Je t'aime, Mathieu...

— Je t'aime aussi, Sébastien...

Longtemps il s'embrassèrent ainsi, la langue hors de leur bouche. C'était leurs façon adolescente à eux de s'embrasser, les baisers appuyés, profonds, mouillés et passionnés étaient réservés à leur père. Celui-ci, tapi dans l'ombre de la chambre tel un grand fauve guettant ses proies, sentait son sexe se dresser dans son boxer qu'il avait gardé.

Les caresses des deux garçons, bien vite gagnèrent leurs bras, leur torse, leur dos. De temps à autre, tandis que l'un goûtait d'une langue avide le jeune torse lisse de son frère, s'attardant sur l'un des petits seins dressés par l'excitation grandissante, l'autre rejetait la tête en arrière et glissait alors un regard vers ce coin sombre de la chambre où ils savaient tous deux que leur père, même s'ils ne pouvaient le voir, se délectaient de leurs ébats, de chacune de leurs caresses. Les soupirs d'aise, alors, étaient destinés à leur géniteur.

Il y avait peu, Sébastien et Mathieu avaient découvert que leur père, même s'il n'en avait rien dit, mais les deux adolescents sentaient si bien ces réactions paternelles, aimait particulièrement à les voir se déshabiller. Aussi, lorsqu'ils l'attendaient ainsi au lit, n'étaient-ils jamais entièrement nus. Ce qu'Arnaud Jacquier aimaient particulièrement, c'était de voir ses deux fils se déshabiller, certes, mais plus encore de les voir se déshabiller... mutuellement. Il voyait là, à raison, une telle marque d'intimité incestueuse, de confiance fraternelle, d'amour adolescent... qu'il en était bouleversé et excité au plus haut point.

Les deux jeunes garçons, en un ballet d'un incroyable érotisme que l'on aurait pu croire chorégraphié à l'avance, sans cesser de se caresser, de s'embrasser, dépliaient à présent leurs membres souples. Sébastien, d'abord, fit lentement glisser le petit slip blanc de Mathieu le long de ses hanches étroites, le passant sous les fesses rebondies du garçon, le faisant glisser avec sensualité le long des cuisses lisses, puis des mollets de son frère cadet. Mathieu, à son tour, fit de même pour son frère, prenant grand soin de le placer en un angle où son père jouirait pleinement du spectacle des fesses du garçon se découvrant sous les doigts agiles de son frère.

En un même mouvement, les deux petits slips, adroitement lancés, atterrirent sur la moquette aux pieds d'Arnaud Jacquier. Les deux adolescents ne pouvaient toujours apercevoir leur père dans l'ombre. Ils adressèrent pourtant un sourire ravi et gourmand à leur invisible géniteur quand ils virent le fort avant-bras velu de celui-ci sortir de l'ombre et sa grande main se saisir des sous-vêtements de garçons qui, à leur tour, disparurent dans l'ombre. Il avaient pris soin de garder tous deux leurs courtes chaussettes blanches et c'était si beau, leurs longues jambes galbées à la peau lisses,douce et bronzées, leur corps entièrement imberbe - ni Sébastien ni Mathieu ne montraient encore le moindre signe d'une pilosité naissante en aucun endroit de leur peau sans défaut - vêtus seulement de ces chaussettes.

Sébastien et Mathieu roulèrent ensemble sur le lit, étroitement enlacés, reprenant leurs caresses et leurs baisers en des endroits nouveaux à présent révélés par leur effeuillage réciproque. Leurs doigts glissaient légèrement le long de leur raie à la peau si douce, effleurant leur anus. Leur langue lapait à petits coups rapides, au passage, leur jeune sexe dressé au dessus des petites bourses lisses encore. Il leur arrivait parfois, refermant leurs lèvres sur un gland happé à la faveur d'une roulade, de se sucer légèrement, mais très peu, comme subrepticement. Tout comme il arrivait à une langue dardée de se glisser un instant dans un anus se retrouvant soudain offert devant le visage. Mais rien de plus. Tous comme les vrais baisers mouillés, ces caresses profondes, appuyées, étaient réservées à leur père et les deux garçon le savaient fort bien, n'empiétant jamais lors de leurs jeux érotiques sur le terrain de chasse de leur père, le mâle dominant.

Non, c'était plutôt comme les jeux lubriques de deux jeunes chiots en chaleur, de deux petits faunes dans la nature, attendant le satyre qui, lui, saurait les satisfaire. Car les deux garçons savaient bien qu'ils ne pouvaient se donner mutuellement satisfaction. Nul ne possédait ce qu'il fallait pour cela, ce dont tous deux avaient tant besoin, ce qu'ils appelaient ainsi de tous leurs vœux, de toute leur parade amoureuse chaque soir pour les combler... le sexe majestueux que leur père, ce mâle lourd, puissant et si brun de poil portait entre ses cuisses épaisses. Il pouvait, lui, leur arracher des cris de bonheur rien qu'en les pénétrant avec sa langue ou l'un de ses doigts. Combien de fois ne les avait-il pas fait atteindre l'orgasme ainsi, simultanément, rien qu'avec un doigt dans leur anus, y compris en des endroits publics ?

Alors, pour l'heure, ils ne pouvaient que s'agacer ainsi mutuellement, prenant et faisant prendre à l'autre les poses les plus propices à exhiber aux yeux de leur père, là-bas dans l'ombre, les endroits les plus secrets de leur intimité qu'il caressaient ou se faisaient caresser complaisamment, s'accompagnant de rires excités et de soupirs d'aise qui étaient une musique aux oreilles d'Arnaud Jacquier.

Celui-ci, toujours carré dans le grand fauteuil, ne perdait rien du spectacle qui lui était si gracieusement offert. Humant de temps à autre les deux petit slips blancs de ses fils qu'il tenait sous ses narines et dont le parfum chaud et propre lui était un aphrodisiaque puissant, il jouissait de la beauté de ses deux jeunes fils qui, nus, se caressaient et s'embrassaient aussi effrontément sous les yeux de leur père.

Arnaud Jacquier n'avait jamais vraiment compris ce fantasme si répandu chez les hétérosexuels, qui consistait à assister aux ébats de deux lesbiennes. Le désir, le plaisir de ces femmes, lui semblait-il, l'excluait totalement, lui le mâle. Elles n'avaient aucun besoin de lui. Tandis que ses fils, ces deux adolescents... tout, absolument tout en eux lui criait leur désir, leur besoin de lui

Ce soir, comme c'était souvent le cas, Sébastien et Mathieu étaient toute tendresse, tout amour, tout érotisme adolescent l'un pour l'autre, si visiblement désireux d'attirer leur père qui viendrait bien vite les combler tous deux. Chacun de leurs gestes, chacune de leurs attitudes, chaque baiser, chaque caresse était une invitation à l'accouplement en direction du mâle dont les deux adolescents attendaient le bon plaisir. Mais cela n'était pas tous les soirs ainsi. Certains soirs de grande chaleur, Arnaud Jacquier avaient vu ses deux jeunes fils comme fous de désir, la bave aux lèvres, feulant comme des femelles en chaleur, ramper littéralement à ses genoux, leur croupe nue et offerte en l'air, appelant le mâle, cherchant, provoquant un accouplement contre-nature qu'ils souhaitaient sauvage, sans retenue. Comme il aimait ses deux fils pour cela aussi... comme il retrouvait bien en eux le tempérament si sexuel qui avait toujours été le sien.

La voix enamourée de Mathieu, son cadet, le sortit de sa rêverie. Le dos arc-bouté, les cuisses ouvertes, il ouvrait son petit anus à la caresse des doigts de son frère. Celui-ci, de temps à autre mouillait son index de sa salive et le replaçait à l'entrée du jeune garçon.

— Oui, oh oui Sébastien... oui, s'il te plait... je ne peux plus attendre !

Sébastien, plus raisonnable, déposait de petits baisers sur les lèvres de son frère, cherchant à l'apaiser tout en continuant de caresser doucement son petit trou.

— Chut, chut chéri... là, doucement... non, tu sais bien, c'est pour Papa, c'est seulement pour Papa...

Arnaud Jacquier sut alors qu'il était temps. Il se leva, quitta son boxer et, entièrement nu, sortit de l'ombre.

— Voilà Papa... souffla Mathieu. Les deux adolescents, une fois de plus, restaient sans voix au spectacle majestueux de leur père. Nu, lourdement musclé et si poilu. Sur le torse, les pectoraux, le ventre, le bas-ventre, les cuisses, les avant-bras... si dense était sa toison qu'on voyait à peine sa peau brune. Arnaud Jacquier, maintenant qu'il ne s'astreignait plus aussi sévèrement à un régime alimentaire de compétition, atteignait les 120 kg sur la balance. Ses énormes pectoraux retombaient sur son torse, les seins pointant vers le bas. Ses épaules, ses bras, ses cuisses... tout en lui ne montrait que puissance, épaisseur, force masculine. Son sexe ne faisait pas exception. Les deux frères, comme à chaque fois, en avaient le souffle coupé d'envie d'admiration, de désir. Le membre, raide et palpitant, au gland luisant et mouillé, se dressait à la verticale, veineux et agressif. Leur père flatta la bête de la main, lui faisant lâcher un peu plus de jus clair encore. Il s'avança vers le grand lit, tandis que les deux frères, leurs préliminaires si merveilleusement accomplis, chauds et prêts maintenant, se mettaient en position de recevoir leur père en eux.

Oui, décidément, il était temps, à présent.¤

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Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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