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Vendredi 23 août 5 23 /08 /Août 06:10
QUELLES EXPERIENCES ? Ben vous allez voir
Bisex marié se fait aimer par un Antillais de 1ère catégorie...(Bon ! le black se prénomme Claudio ! hum !).
 
À quarante-deux ans, marié depuis 18 ans, ma vie rangée est consacrée à l’éducation des enfants. Ma femme est beaucoup plus préoccupée par son travail que par ma personne. Sexuellement, c’est presque le point mort. J’en suis réduit à me faire jouir en me branlant en fantasmant sur des jeunes mecs que je rencontre ici et là. Bisexuel depuis ma naissance, mes envies de mecs n’ont malheureusement jamais dépassé le stade du fantasme. Cette année, nos vacances se déroulent dans un sympathique village de vacances. Ce soir je viens de raccompagner ma femme qui reprend son travail une semaine plus tôt.
Le TGV vient de s’ébranler et je traverse le hall pour reprendre ma voiture. Un conducteur tente vainement de démarrer son véhicule. Mais, vraisemblablement, la batterie vient de rendre l’âme. Je le reconnais: c’est Claudio, le professeur de gym et le maître nageur du village. Antillais, environ 17 ans, athlétique, ses belles dents blanches, son sourire enjôleur, sa grande stature lui confèrent une aura auprès de la gent féminine.
— Laissez votre voiture dis-je! Je vous ramène au village!
— Bonsoir Christian, merci de m’éviter une longue marche à pied.
Son regard perçant a repéré la bosse de mon entrejambe, sous mon jeans. Je suis à la fois flatté et gêné.
— Vous avez de la chance, je viens de déposer ma femme à la gare.
— C’est elle qui a de la chance d’être avec un homme si charmant.
— Hélas! C’est son travail qui l’intéresse avant tout
— C’est bien dommage! Si j’étais à sa place...
Claudio me dévore des yeux. Je n’ose pas croire ce que je viens d’entendre. Ai-je rêver ou s’agissait-il vraiment d’une proposition? Cela fait bien longtemps qu’un homme ne m’a pas regardé ainsi. Je suis d’abord surpris
— À votre âge et mignon comme vous l’êtes, les jeunes femmes doivent vous tomber dans les bras. Moi j’ai quarante-deux ans! Alors...!
— Pas seulement les femmes, les hommes aussi. Moi ce qui compte, c’est le plaisir, peu importe le sexe. Et détrompez-vous, j’aime autant les hommes murs.
— Vraiment, qu’est-ce qu’ils ont de plus que ceux plus jeunes?
— Ils sont plus gourmands, souvent insatisfaits, enclins à tenter de nouvelles expériences
— Quelles expérience?
— Je ne sais pas. Disons avoir une aventure avec un partenaire plus jeune ou un homme de couleur.
Son allusion coquine réveille en moi le vieux fantasme de beaucoup d’hommes mariés, bi ou gay. Sont-ils aussi bien montés et aussi bons amants que le dit la légende? Mon esprit est tiraillé entre mes scrupules d’époux fidèle, la crainte que ma femme n’apprenne une éventuelle incartade. Le constat est pourtant amer: cette derniere n’est plus capable de me procurer du plaisir!
Malgré moi, je jette un regard sur Claudio et plus particulièrement sur la bosse imposante qui déforme son pantalon. Ainsi, mon âge parvient encore à troubler un autre homme. Je le regarde, amusé.
— Tu oublies une chose: je suis marié.
— Tu ne serais pas la premier homme marié à tenter l’expérience, rétorque malicieusement mon interlocuteur.
Je deviens rouge de confusion. Le silence s’installe pendant le reste du trajet.
— Je ne t’ai pas choqué au moins?
— Non, pas du tout.
La voiture s’arrête devant le gîte désert.
— Merci beaucoup! Viens prendre un verre.
— Je vais voir ce que font mes enfants et je te rejoins.
Comme l’équipe d’animation organise une soirée dansante pour les adolescents, je suis donc tranquille. Sous la douche, tandis que l’eau glisse sur ma peau, des pensées inavouables s’emparent de mon esprit: une petite voix me suggère: "Profite-en mon gars, l’occasion ne se présentera pas de si tôt." En effet, je rentre samedi et ma femme pourrait le savoir. Je travaille à la mairie de notre petite ville et les ragots courent très vite. Trop risqué. "Tu as un fantasme et l’occasion inespérée de le réaliser, Profite-en," me conseille la petite voix.
J’enfile un pantalon de coton ouaté et décide de ne pas porter de slip dessous. J’enfile une camisole et alors que le miroir de la chambre me renvoi mon reflet, je me sens ainsi beau et désirable. À mesure que je m’approche du bungalow du beau prof de gym, une douce chaleur commence peu à peu à envahir mon corps. Mon cœur s’est mis a battre la chamade. Je me dit: "Merde, quest-ce que je fais là?" Je frappe discrètement, jetant un oeil inquiet aux alentours.
— Entre!
Claudio porte un short et une chemisette à fleur à demi ouverte sur un poitrail musclé. Il est vraiment craquant. À la faveur d’un punch bien frais puis un autre, l’alcool commence à me griser gommant mes inhibitions. Rapidement la conversation glisse vers le sexe et les allusions coquines.
— Ta femme a de la chance.
— Elle ne me regarde presque plus.
— Je peux la remplacer si tu veux! en posant ses mains sur mon torse.
Je reste paralysé par son sourire aguicheur et attendrissant. La chaleur envahit mon entrejambe. La pointe de mes seins se tend sous ma camisole. Claudio s'en est aperçu. Ses mains, plus pressantes, se faufilent et se promènent sous celle-ci. Ses doigts s'attardent sur mes mamelons. Les yeux clos je m’abandonne. Il me retire ma camisole et sa main explore mon ventre et glisse doucement vers le bas tout en léchant mes mamelons. Je tremble d’excitation, je n'en peux plus.
J’ouvre mes jambe, sa main s’immisce dans mon jogging. Claudio caresse doucement ma queue devenue bien dure et mes couilles. Il m'enlève délicatement mon pantalon et m'embrasse dans le cou en me branlant doucement. Pendant que je le débarrasse de sa chemisette, la bosse de son short frotte contre ma cuisse. Ses mains douces caressent mon dos. Ses doigts descendent et caresse mes fesses. Complètement excité, je pense à sa queue, je l´imagine grosse, épaisse, prête à me faire jouir. C’est plus fort que moi, je veux savoir.
Mes mains plongent dans son slip. Je ne suis pas déçu: une longue verge que ma main n'arrive pas à entourer complètement. Je ferme les yeux imaginant un tel engin dans mon anus. Je l’embrasse à mon tours tandis ma main masturbe doucement la longue tige de chair qui grossit sous mes caresses. Les doigts de Claudio s'attardent sur mes fesses et l’entrée de mon anus. Il me sourit:
— Tu as envie?
— Oh oui! Mais ta queue est si grosse, j’ai peur d’avoir mal. Tu es mon premier et cette nuit j'assouvis un fantasme. Tu es comme dans mes rêves.
— Laisse-moi faire. Après tu ne pourras plus t’en passer.     
     
Il s'accroupit et entreprend de lécher mon anus. Cette langue est si bonne, elle tourne autour de mon trou, descend vers mes couilles. Mmmmh! J’adore. Mon anus mouille de plaisir alors que j’écrase mon cul sur sa bouche gourmande. Il me boit en insinuant sa langue dans mon trou. Ses mains me prennent les fesses, les palpes sans ménagement. Jamais je n’ai gémi aussi fort, jamais je n’ai vu mon corps qui ondulait si violemment sous le plaisir. Je râle de plaisir pendant de longues secondes. Oh quel amant! Je mets de longues secondes à reprendre mes esprits. Mon amant m’embrasse doucement attendant que je revienne à moi.
— Oh Claudio! C'était génial!
Pendant que nous échangeons un baiser goulu où nos langues s’entremêlent fougueusement, je descends fébrilement son short, libérant son sexe qui se plaque contre mon ventre.
— Tu es prêt?
Pendant qu’il achève de se déshabiller, je suis fasciné par cette verge imposante droite et tendue, prête a me faire jouir. Couché sur le dos, je ferme les yeux subissant un délicieux supplice. N'en pouvant plus, il écarte mes jambes et il presse son sexe a l’entrée de mon anus. Sa queue investit complètement mon trou. Il recule, revient. À chaque poussée il va un peu plus loin. Puis délicatement, sa verge fraye son chemin où seul lui peut aller. C'est divin. Mon anus se dilate pour l'accueillir. Mon amant achève de me pénétrer. Ses testicules viennent toucher les miennes. C´est incroyable comme il me remplit, j´ai l´impression d´avoir le cul complètement distendus par cet engin d´une grosseur phénoménale. Je savoure cet instant en caressant son dos. nos langues se mêlent pour un baiser qui n’en finit plus tandis que mes mains se posent sur ses fesses musclées.
Me sentant prêt, Claudio commence son va-et-vient. D'abord lentement puis le mouvement s'accélère. Je me colle à lui. Son long bâton de chair laboure mon anus en feu. Je ne croyais jamais être rempli ainsi. Je ne pense plus qu´à ce sexe énorme qui me laboure. C´est doux, c´est chaud. Chaque coup de butoir augmente mon plaisir. je sens monter au fond de mon ventre des sensations inconnues. Mon cul se contracte violemment Je ne suis plus qu´un sauvage en rut en train de se faire monter et mon corps tressaute de plaisir.
Jamais je n’ai joui autant avant. Il continue à me besogner et comme je trouve ça bon, mes jambes enlacent mon partenaire pour mieux le sentir en moi. Sa queue profondément enfoui au fond de mes entrailles, il triomphe:
— Alors ton premier black?
— C’est super, ta bite me rend fou, continue!
Encouragé, il continue à me besogner avec vigueur. Puis il se dégage, s'assoit sur le divan. Je m'empale en lui tournant le dos. Ses belles mains sombres se posent sur mon ventre et accompagne le mouvement de mon bassin qui glisse sur sa tige. Je me colle à lui je sens son souffle chaud contre mon cou. Il me mordille une oreille. Je ne peux résister très longtemps à cette caresse. Il l'a deviné. Une main se plaque doucement sur mon sexe. Ma respiration devient haletante. Son pénis accélère son mouvement. Je n'en peux plus retenir. Une vague de plaisir m'inonde et je ne peux que crier ma jouissance en éjaculant. Alors que plusieurs jets de mon sperme se retrouve sur le plancher, je sens le sien emplir mon ventre. Alors que je me relève et que je fais quelque pas en avant, il me demande:
— Et puis, satisfait?
— Et comment, jamais je n’ai joui comme ça.
— Tu crois que ça se termine ainsi, regarde...
Je me retourne et m’aperçois que sa queue est toujours bien dure.
— Désolé chéri mais je suis insatiable!
— Je vois ça, mais moi bien que j’en ai encore envie, j’ai bien peur de ne plus être capable de bander de nouveau.
— Tu crois vraiment ça, ça paraît que tu ne connais pas les ressources insoupçonnés des Antillais. Laisse-moi faire!
D’un coup, il s'allonge sur moi tête-bêche pour saisir mon sexe. Une main caresse ma queue et son autre main joue avec ses testicules. Il s´applique en le titillant avec sa langue tout en le massant avec sa main. Il me suce avec application, caressant mes couilles puis mes fesses. Très vite ma queue grossit dans ma bouche.
— Oh oui, continue!
Mon gland distend maintenant sa mâchoire. Il tourne sa langue avec délicatesse tandis que sa main continue à jouer avec mes couilles. Ma respiration devient rapide. Mon sexe remplit totalement sa bouche. Ses grandes mains se posent sur mes fesses.
Je sens son doigt s'insinuer dans mon anus, agile, doux. C'est divin. Il serre mon sexe dressé devant lui. Il masturbe ma longue tige de chair puis sa langue l’explore sur toute sa longueur. Je me redresse un instant pour contempler l’effet produit. À nouveau, sa langue tourne autour de mon gland puis l'aspire, titille les points sensibles.
— Tu suces divinement, mais ce que je préfère c'est sentir ta grosse queue en moi...
D’un seul coup, il me prend en levrette avec une violence inouïe. Ses testicules heurtent mes fesses avec un clapotement indécent. Je ne vois plus sa queue, mais la sensation est intense. Son pénis cogne contre ma prostate m’arrachant un hurlement de plaisir à chaque assaut. Le plaisir en est presque douloureux. C´est incroyable d’être pilonné ainsi par cet engin d´une grosseur phénoménale.
— Tu me sens bien? me crie Claudio dans un souffle.
— Oh oui! Bien à fond! Encore plus fort!
Mon amant force encore son mouvement; l'orgasme arrive à nouveau violent, spectaculaire. Mon anus se contracte sur la longue verge de chair. Un flot de sperme déclenche un orgasme encore plus violent que les précédents parcourant mon corps en vagues successives... Nous jouissons de nouveau tous les deux bruyamment.
Au petit matin, je regagne mon gîte, certes un peu a la fois honteux mais heureux. Claudio m’a comblé. Mon cul est un peu douloureux d’avoir été tant malmené, mais je recommencerais n’importe quand.
Heureux ceux qui comme moi ont pu assouvir leur désir! ¤
  Vidéo en cadeau
 
Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 21 août 3 21 /08 /Août 05:22

RECIT : QUAND LE MAL EST FAIT...inceste (fiction)

 

Lui                                             Moi...

  J’ai toujours eu des fantasmes homo que je n’ai jamais osé assouvir vraiment (à part quelques pipes par-ci par-là pendant mon adolescence) En grandissant, son physique prend une tournure très agréable: il est fin, élancé et gracieux et, depuis quelques temps et je m'en veux d'avoir sur lui ce regard de mâle en rut, mais je ne peux m'en empêcher. C'est ainsi. Sébastien à de courts cheveux châtains, de profonds yeux bleus, un petit nez droit et des lèvres joliment dessinées, un petit cul rebondi. Faire l’amour à sa mère ne m'empêche plus de bander à la vue de ce petit corps parfait.

 

C'est un dimanche en fin d'après-midi que je commence à deviner que mon fils est peut-être aussi salope que son père. Hélène se plaint que c'est un véritable foutoir dans la chambre de notre fils. Je me dévoue donc pour y remédier. Je grimpe les sept marches qui mènent à l'étage et entre dans la chambre de Sébastien. Il travaille à son bureau, ou fait semblant. Merde! C'est vrai que c'est un sacré bordel là-dedans! Je m'énerve, le gronde, et me saisis au hasard d'un sac à dos qui traîne au milieu de la pièce. C'est son sac de sport.

Je le retourne et en renverse le contenu sur le plancher, furieux. Sébastien est tétanisée. Je comprends vite pourquoi en voyant les fringues se répandre sur le sol. Il y a un jogging, un short, des chaussettes, mais surtout un boxer transparent noir. Je suis sur le cul et lui demande en le regardant droit dans les yeux:

— Euh, Sébastien, c'est pas ta mère qui t'a acheté ça?

Il me répond timidement, baissant la tête:

— Non papa...

— Attends... C'est toi?

— Oui, avec un copain... S'il te plaît, ne le dis pas à maman.

La seule chose qui me vient à l'esprit est "si tu savais le genre de trucs que ta mère peut porter", mais je me garde bien de lui répondre ça.

— Bon, range ta chambre, on verra...

Je quitte la pièce, lui confisquant le boxer. Putain! Mon fils est déjà aussi cochon que son père! À presque 18 ans, porter des sous-vêtements transparents, ça promet... Je suis abasourdi.

Deux semaines plus tard, un mardi, j'ai pris congé. C'est la fin de l'après-midi.

  

 

 

 

C'est la fin de l'après-midi. Sébastien devrait être rentré du lycée, qui est à deux pas, depuis plus d'une demi-heure. Je m'inquiète et décide d'aller le chercher en voiture. Quand j'arrive devant les grilles de l'établissement, je vois mon fils sortir d'une maison, en face de son lycée où, à 17 ans, il est en seconde. Il semble avoir un air coupable. Bizarre. Je klaxonne. Il me voit et se dirige vers la voiture pour y entrer. Il me fait la bise et esquisse un sourire.

 

 

— Salut p'pa!

Alors que je l'embrasse, je sens une odeur forte familière mais que je n'arrive pas à identifier.

— Ben, qu'est-ce que tu fous? Tu devrais déjà être à la maison!

— Désolé p'pa mais je... Je donne parfois un coup de main à Mr Klinsmann, le p'tit vieux... Pour son ménage, pour ranger ses courses... Tout ça...

Je suis dubitatif. Je le connais un peu ce vieux qui habite face à l'école.

— Ah, c'est bien...

Tout en roulant vers la maison, j'arrive à identifier cette fameuse odeur. Mon fils sent en fait le foutre à plein nez... J'ai du mal à y croire mais en suis intimement persuadé. Je n'en reviens pas. Je commence à bander, excité par cette pensée insensée.

Deux jours plus tard, je sors plus tôt du boulot: il faut que je sache. Je me gare non loin du collège, de façon à avoir une vue imprenable sur la porte de sortie de la grille. À 17h, la plupart des jeunes sortent. Je vois mon fils se diriger directement vers la baraque de Mr Klinsmann. Il y rentre. J'attends que tous les gosses aient disparu avant de sortir de mon véhicule pour me diriger sur ses traces. Je regarde alentour, puis colle mon nez à la fenêtre du rez-de-chaussée. Des rideaux épais m'empêchent de voir quoi que ce soit. Je décide d'y aller au culot, et pose une main sur la poignée de la porte d'entrée. Elle n'est pas verrouillée. Je l'ouvre discrètement et me faufile dans le hall d'entrée sombre. Derrière une autre porte me parvient la voix rocailleuse de Georges Klinsmann:

— C'est bien ma p'tite pute, vas-y pompe bien... Comme ça, c'est ça, suce-moi bien à fond mon cochon...

Je suis en alerte. Je me demande ce qui se passe et ne peut me retenir d'entrouvrir très lentement la porte. Le spectacle que j'y découvre est insensé et sublime à la fois. Sébastien, mon fils, est agenouillé devant Georges, qui est assis dans le canapé, nu, les jambes écartées. D'où je suis, je peux admirer la scène de profil. Ils ne m'ont pas remarqué. Mon gamin est en train de tailler une pipe au vieux monsieur. C'est surréaliste. Ce petit pédé s'applique à lécher et à engouffrer la pine presque en entier. Je suis pétrifié et pris malgré moi d'une gaule d'enfer. D'une main, Georges le saisit par les cheveux, le forçant à le sucer au maximum.

 

 

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Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 9 août 5 09 /08 /Août 18:41

RECITS FICTIONS FANTASMES(49)

Sélection reconditionnée par claudio...

Chers visiteurs ! bon WE et bonnes vacances à ceux qui en prennent !

V.I.C.T.O.R  Nom de nom jusque là on aimerait bien sa place ! ...enfin, pour moi oui. Mais que va-t-il advenir de Victor dans l'avenir?  

 

 

Hamid est malin, débrouillard et très beau. Il a une espèce de grâce naturelle. Ses gestes, sa façon de parler, de regarder, inspirent confiance. Il sait un tas de choses sur ce que veulent les autres avant qu’ils le sachent eux mêmes. C’est peut-être un don, un truc qu’il a eu en naissant. La première fois que je l’ai vu, c’était à la piscine, celle qui a un bassin extérieur. J’étais allongé dans l’herbe sur ma serviette, je fermais les yeux à cause du soleil. Quand je les ai rouverts, il était à côté de moi. J’ai été surpris. Il me souriait.

— Tu rêvais... C’est bien, si tu ne fais pas que ça !

 

Est-ce que je le connaissais? Non! Je ne l’avais jamais vu ! Pourtant, c’était comme s'il m’était familier, amical. J’ai mis un certain temps à comprendre ses paroles. Elles raisonnaient de façon étrange, inattendue, comme prophétique. Bien que je sois à un âge où l’on est réceptif à la nouveauté, cela ne m’a pas permis pour autant de trouver quelque chose d’intelligent à répondre. Je n’ai fait que lui rendre son sourire avec l’espoir qu’il poursuive, flatté d’être l’objet de l’intérêt d’un grand garçon à l’allure si assurée. Je me suis composé une attitude tranquille, sans inquiétude, avec juste ce qu’il fallait, pensais-je, de curiosité.

 

— Je peux t’aider à en réaliser certains!

 

— Lesquels?

 

— Ceux qui sont dans mes cordes...

 

Sa réponse ne m’aidait en rien à comprendre. Je poussais plus loin:

 

— C’est quoi tes cordes?

 

— La mise en relation, l’amitié et quelques affaires. Je te regarde depuis un moment et je me suis dit: voilà un jeune garçon qui voudrait saisir son destin, qui rêve qu’enfin quelqu’un ou quelque chose lui arrive. Et me voilà, Hamid, pour te guider dans ta nouvelle vie. Si tu peux la reconnaître...

 

Il avait dans les seize ans, un corps souple, musclé, le teint hâlé, des cheveux noirs, un regard rieur. Il m’intriguait. Je ne comprenais pas, où voulait-il en venir? Est-ce qu’il me draguait? Je ne percevais rien dans son comportement qui aurait pu le confirmer, ni l’infirmer d’ailleurs. Je formulais une réponse, m’accrochant à une compréhension rationnelle de sa présence et de ce qu’il tenait tant à me dire. Il y coupa court:

 

— Mais je n’ai... je ne... t’ai...

 

— Je vais te dire: tout le monde veut croire, sentir l’embrasement du désir, se dire que c’est possible. C’est un jeu que je te propose, je te guiderai, je t’apprendrai. Ils te mangeront dans la main, tu seras un roi. Ils croiront en toi, en la promesse de ta jeunesse.

 

— De quoi tu parles, c’est quoi cette histoire?!

 

— Ce soir, je te sors! Tu comprendras, tu verras, tu jugeras.

 

— Ce soir? Mais... mes parents et... je ne te connais pas!

 

— Tu sauras te débrouiller! Retrouve-moi dès que tu le peux au 8 rue de La Salle, dernier étage. C’est là que j’habite. Tu vois où c’est?

 

Cela prenait une tournure de moins en moins précise mais qui m’intéressait de plus en plus. J’acceptais de me laisser prendre comme à une sorte de piège, sans chercher à l’éviter, voire même souhaiter m’y précipiter, décidé à voir où cela me conduirait.

 

— Oui... mais qu’est-ce qu’on fera exactement? C’est quoi ce plan?

 

— Je t’emmènerai au temple de la fête et des folies. Une dernière chose, maintenant tu t’appelleras Victor!

 

— Victor!?

 

— Tu n’aimes pas?

 

— Si... mais...?

 

— À nouvelle vie, nouveau prénom... Victor... mon ami... à ce soir...

 

Il se planta devant moi, me tendit tranquillement et naturellement sa main. Je la lui serrai. Il s’en alla, je le suivais du regard, il plongea et disparut au milieu des baigneurs. Je me retrouvais seul, troublé. Je ne me souvenais pas d’avoir ressenti de telles choses, encore moins suscitées par un garçon inconnu.

 

Ma vie allait effectivement changer. J’étais sous le choc, bouleversé et déçu de ne pas avoir su le retenir, en savoir plus, comprendre, discuter. Je me rappelai ce qu’il m’avait dit: l’embrasement du désir. C’est ça que je ressentais. L’envie folle de vivre quelque chose de différent, de fort. Quoi précisément? J’étais bien incapable de le formuler. Je réfléchissais tout en sachant que ma décision était déjà prise. Ma raison n’avait plus force de loi en cet instant. Ce garçon allait peut-être me permettre d’échapper à mon quotidien, à ma vie, qui de par de nombreux aspects était compliquée, voire merdique. Cette drôle d’opportunité, j’étais décidé à la saisir sans trop réfléchir.

 

Je me suis débrouillé.

 

J’ai couru pour arriver au plus vite à l’adresse indiquée. J’ai poussé la porte d’entrée d’un immeuble ancien. Il faisait sombre, il y avait juste un peu de lumière diffusée par une petite fenêtre de la conciergerie. J’ai gravi les quatre étages. Hamid habitait sous les combles. Quand j’ai frappé, il a dit d’une voix forte et assurée, comme si nous nous connaissions depuis longtemps:

 

— Entre, Victor!

 

Victor! J’avais oublié cette étrange injonction de devoir m’entendre nommer autrement que par mon prénom celui, choisi par mes géniteurs. Ok, ne pas trop réfléchir. J’entrai dans une pièce avec goût malgré le manque d’espace : un coin salon avec de gros poufs, une table basse, plein de livres, de disques, un coin cuisine avec un bar, des tissus aux couleurs chaudes tendus aux murs. Il y avait de la musique douce, des bougies, de l’encens. J’ai tout de suite aimé cet endroit doux, chaud, accueillant. Je ressentais la joie enfantine d’être attendu, de compter pour quelqu’un. Un truc fort se passait.

 

— Viens me montrer comme tu es beau. Je suis là, à côté dans la chambre!

 

Il a prononcé ces mots simples comme si j’étais son meilleur ami. En entrant, on ne pouvait pas louper le tableau, grand et réaliste. Hamid y était représenté nu, en érection au sommet d’une colline, il souriait, les mains sur les hanches. Il se dégageait de cette toile une vérité simple et forte, elle m’est tombée dessus et s’est imposée à moi. Il interrompit mon étrange rêverie et m’obligea à reprendre le cours de ce qui ne serait plus tout à fait la réalité.

 

— Mais... tu es mignon comme tout!

 

Je me tournais vers lui, gêné d’avoir, je le sentais, le visage empourpré à cause du tableau et lui bien réel, tout près de moi, torse nu. Ces éléments agissaient comme des clignotants d’un possible malentendu que je n’étais pas en mesure d'élucider, ni de pouvoir gérer. Il était en pantalon blanc très moulant, je n’ai pu m’empêcher de porter mon regard au niveau de son entrejambe. Il s’apprêtait à mettre une chemise blanche, Il la tenait à la main et me détaillait de la tête aux pieds. J’étais heureux d’être là. Bien que la vision inattendue de la représentation d’Hamid, si crue, se confondait avec ce que je ne pouvais pas à cet instant reconnaître, d’une envie nouvelle et inconnue qui me submergeait, la preuve avérée impossible à formuler de ce que je désirais ou quelque chose qui s’en approchait. Je la déterminerais peut-être plus tard, pour l’instant j’étais l’objet d’une attention nouvelle que je savourais pleinement.

 

— Le look skateur, y’a rien de tel, et puis... ces longs cheveux blonds... Victor mon mon ami, c’est parti...

 

Il m’a tenu par l’épaule durant tout le trajet. Il m’a raconté une partie de son histoire: il étudiait chez lui par correspondance. Ses parents étaient partis à l’étranger. Il avait refusé de les suivre. Ils avaient accepté qu’il reste seul et occupe ce petit appartement qui leur appartenait. Je me sentais bien à l’écouter, j’étais conquis, je n’avais jamais rencontré quelqu’un d’aussi, libre, intéressant. Je me sentais exister.

 

— Hamid?... C’est quoi le temple?

 

— Nous y sommes... T’inquiète, rien de grave ne va t’arriver, que du bonheur. J’y veillerai!

 

Nous étions devant un mur percé d’une grande porte en bois sombre et d’une plus petite à laquelle Hamid sonna, se présenta. Elle s’ouvrit, nous entrâmes.

 

Devant nous, un grand jardin avec des arbres, des buissons, des fleurs et derrière toute cette végétation, une belle et grande bâtisse avec des colonnes, comme un temple... Nous suivîmes une allée bordée de bougies. En approchant on entendait de la musique, des rires, on distinguait des gens à l’intérieur baigné par une lumière douce. Il y en avait aussi sur la terrasse, d’autres qui se promenaient dans le jardin. Ils se retournaient pour nous saluer, certains m’appelaient... Victor!

 

— C’est pas possible, c’est qui ce Victor!? Ils ne m’ont jamais vu!

 

— Ici, plus qu’ailleurs, tu es... Victor.

 

— Merde Hamid, c’est quoi ce bordel?

 

— Du calme, laisse-toi porter... Victor. Deviens pour cette nuit ou toute ta vie, celui qu’ils espèrent. Crois en l’histoire. Tu es beau et jeune, celui qu’ils veulent admirer, devenir, ou simplement regarder! Tu es si fin, si beau...

 

Ça je le savais. On me l’avait suffisamment fait remarquer! Et alors? ma plastique ne m’évitait pas les errances, ni les questionnements communs. C’était juste facile à dire, une image. Je ne comprenais pas tout à fait, je n’osais pas faire de projections hasardeuses sur ce qui pouvait se passer. Tout cela restait irréel. Cette grande maison en pleine ville, ce parc, tous ces gens, jeunes et plus âgés. Qui étaient-ils? Qu’avais-je à voir avec eux ?  j’aurais voulu revenir à l’appartement d’Hamid, qu’il me parle, qu’il m’écoute que nous fassions vraiment connaissance.

 

— Victor... Mon petit trésor, tu es comme ce cher Hamid nous l’avait promis... J’espère te croiser tout à l’heure. Amuse-toi bien!

 

Une femme d’une quarantaine d’années venait de me serrer dans ses bras comme si j’étais son fils prodige. Elle portait une robe courte et légère. Elle m’a bisé en effleurant mes lèvres. Elle s’est tournée vers Hamid. Lui l’a embrassée à pleine bouche. J’étais stupéfait, juste plein de son parfum, de l’empreinte de son corps qui s’était pressé contre le mien. J’ai ressenti une sorte d’accélération. La tournure que cela prenait m’échappait, à peine avais-je intégré quelque chose qu’autre chose se produisait.

 

— Viens, entrons! Belle femme hein, Victor?

 

Il me glissa à l’oreille que Mireille était la maîtresse de maison, qu’elle était à l’origine de ces fêtes! Nous entrâmes dans ce qui m’apparut comme un décor, une vaste pièce très haute de plafond, des fauteuils confortables, des banquettes, des lumières, un grand buffet, des gens qui se parlaient, se rapprochaient, dansaient. Je sentais leurs regards sur nous, leurs sourires.

 

Il y avait des jeunes gens qui s’occupaient d’apporter des verres, des petits fours. Ils évoluaient comme des danseurs, torses nus, simplement vêtus d’un pagne. J’ai bu, trop, grignoté, c’était délicieux. Hamid saluait plein de monde, me présentait. Tous semblaient heureux. J’avais du mal à quitter des yeux les serveurs et les serveuses. Hamid m’étreignit.

 

— Alors, on n’est pas bien, là? C’est le paradis! Lui, c’est le peintre!

 

Hamid me désigna un bel et grand homme aux longs cheveux blancs en pleine conversation avec un jeune type qui s’agitait en lui secouant le bras. L’homme semblait chercher à rassurer le jeune homme. J’ai pensé qu’Hamid avait perçu ma réaction face au tableau dans sa chambre. J’étais comme sur un bateau qui voguait sur des eaux étrangères. Embarqué sur une croisière qu’il me plaisait de faire, mais dont j’ignorais la destination. À tout bien considérer, je n’étais pas en danger. Je me sentais avoir la possibilité d’interrompre ce qu’Hamid m’avait après tout, présenté comme une sorte de jeu. En fait, tout cela me ravissait, la maison, ces gens, l’ambiance, je me disais que je devais avoir une étoile bien inspirée pour me permettre de me retrouver dans un lieu pareil; j’avais de la chance. Je me suis dit: "Ne la boude pas!" Hamid ajouta comme pour me ferrer pour de bon, sachant avant moi ce que je désirais:

 

— Il te voudra comme modèle, c’est sûr, il est très connu. Bon j’ai à faire. Je vais te confier à Anna, elle s’occupera bien de toi...

 

D’une main il me poussa en avant et me dirigea vers une merveilleuse jeune fille à laquelle il me présenta. Victor... Anna. Anna... Victor. Légère, fine et belle: une vraie fée! Elle portait une petite robe noire. C’était le genre de fille que même plus grand je n’aurais jamais imaginé pouvoir approcher. Je me suis senti reprendre de la couleur, remettre en place nerveusement mes mèches blondes. Avant d’avoir pu réfléchir à quoi que ce soit, elle m’entraîna joyeusement dans le coin des danseurs, affichant un sourire plein et vrai d’encouragements. Elle se montra pressée de danser, de me tenir dans ses bras ou d’être tenue par les miens. Je ne savais plus rien.

 

J’étais un peu plus petit qu’elle. Mon visage arrivait à mi-hauteur du sien. Je respirais son odeur, ses cheveux me chatouillaient agréablement. Je me laissais guider par ses pas, ils semblaient savoir où m’emmener, me diriger. J’ai dû poser ma main droite sur son dos dénudé. Sensations nouvelles et vertigineuses, elle avait croisé ses mains autour de ma taille. Elle m’attirait doucement contre elle. Ça me cognait dans la tête, mon sang affluait de partout, je ne savais plus rien et je ne voulais plus rien savoir, juste me calmer et danser avec elle... longtemps.

 

La danse lui permettait de me serrer contre elle, je sentais ses mains se promener le long de mon dos, de mes épaules, jusqu’au bas de mes reins. Mon large pantalon ne les couvrait qu’à peine. Elle devait apercevoir mon plus précieux boxer, en dessous de ma chemise de marque, ma préférée. Je m’abandonnais, je n’étais plus capable de penser, juste m’en remettre à ses pas. J’aimais ce qu’elle faisait, son bas-ventre qui pesait, se frottait contre le mien. J’en fermai les yeux pour mieux en sentir le contact si proche. Je me sentais fier, comblé d’être dans ses bras, danser sous ces lumières, dans cet endroit si extraordinaire. J’oubliais ce que j’avais bu, je me sentais comme maître du monde. Je me suis dit qu’être Victor avait du bon, je me laissais gagner par l’enthousiasme contagieux de ma ravissante cavalière. Ma main osa se promener, comme la sienne en plus sage, dans son dos que sa magnifique robe ne recouvrait pas en totalité. J’ai senti sa peau douce et chaude sous mes doigts. C’était comme un cadeau inespéré, un truc auquel je n’étais pas préparé même dans mes rêves les plus secrets. Enfin si... mais, y être pour de vrai, j’avoue que... on m’aurait dit ça ce matin, je serais parti dans un grand éclat de rire.

 

Bordel, sans que je m’y attende ou que j’y sois préparé, nos bouches se trouvèrent. Elle m’embrassa comme si c’était la chose la plus naturelle du monde. C’était ma première fois. J’ai senti nos souffles et nos langues se mélanger, s’entremêler, la sienne, vive et téméraire, parcourir mes lèvres. Sa bouche aspira ma langue. Je bandais, j’étais heureux, le paradis. Je me demandais ce que fabriquait Hamid et en même temps, je m’en foutais. Je n’osais rien dire qui aurait pu contrarier le chemin de plus en plus osé et direct que prenaient les mains de cette belle jeune fille, à des endroits que je n’avais pas imaginé que l’on puisse me toucher. Dans un souffle qu’elle avait peine à contenir, elle m’invita à la suivre.

 

— Viens, charmant cavalier...

 

Elle m’entraîna, en me prenant la main. Nous montâmes d’un étage. Elle ouvrit une porte, il faisait noir. Elle me lâcha, je me suis senti abandonné. Deux appliques s’allumèrent de chaque côté d’un grand lit. J’aurais presque souhaité lui dire qu’après tout, je n’étais qu’un jeune garçon plutôt inexpérimenté, que nous ne nous connaissions qu’à peine, malgré ces quelques danses lascives, pour... Merde, je ne contrôlais rien, la lumière, me semblait, trop forte. Oui, j’avais aimé être embrassé, caressé mais me retrouver dans une chambre à devoir me débrouiller, assurer.

 

Je reprenais de vilaines couleurs et lissai instinctivement mes longs cheveux blonds de façon mécanique et régulière, ne sachant quelle attitude adopter. Anna s’approcha de moi et m’embrassa à nouveau, comme quand nous dansions. Le vif plaisir que j’ai ressenti fit s’envoler toutes les questions ou problèmes éthiques que pouvaient me poser la situation, d’un jeune garçon et d’une jeune femme, ne pouvant plus se cacher derrière de la musique ou de la danse. J’étais lancé comme une locomotive. Elle défit lentement les boutons de ma chemise et la voilà à me caresser le torse, les épaules, me toucher librement ma peau de jeune garçon excité, offert, soumis. Je respirais à peine. Incapable de penser bien que je sentisse l'aspiration du Destin. Dans peu de temps, à ce rythme, j’allais vite fait me retrouver à poil. Une idée incroyable et improbable qui me faisait bander comme un âne, à ma grande surprise, sans en ressentir de gêne particulière. Elle était si douce, si inspirée.

 

Elle me lécha en commençant par mes oreilles, mon visage, mes épaules... Elle prenait son temps. Ma chemise tomba, ainsi que mon pantalon qui glissa le long de mes jambes. Elle les caressa, mollets compris, comme des choses importantes et vitales. Elle louangea leurs perfections en passant et repassant ses mains tout du long. Elle finit par agripper et baisser lentement mon boxer, dernier rempart qui couvrait ma jeune et inexpérimentée virilité. Le truc le pire qui pouvait se produire. Elle me fit lever alternativement mes jambes, qui flageolaient, pour me libérer de tous mes vêtements. Elle s’écarta de moi en s’extasiant sur la taille de ma bite en érection, énorme, malgré mon jeune âge et l’absence de poils qu’on pouvait s’attendre à trouver à cet endroit. Je me suis inquiété. Je n’avais encore jamais envisagé être l’objet d’un regard si intéressé, si merveilleux. Je ne savais plus quoi faire, j’étais piègé, ni plus ni moins qu’un animal qui ne pouvait s’extraire des phares d’une voiture. Vaguement je repensais à Hamid qui m'avait amené à cette situation...

 

Anna fit glisser lentement sa robe le long de son corps parfait. Je ne savais plus rien, je devais avoir le regard vague, celui d’un jeune crétin ignare! Elle s’approcha de moi à me toucher, contact chaud. Je me retrouvais comme prisonnier dans une cage de caresses. Elle prenait manifestement beaucoup de plaisir à m’avoir pour elle, à sa disposition. Elle me complimentait sur mon corps, l’explorant sous toutes les coutures. J’étais flatté; Anna est, comme on dit, très bandante. Je la touchais du bout des doigts par crainte d’interrompre l’exploration systématique qu'elle faisait de ma jeune et modeste personne. Ses mains allaient et venaient doucement, sa langue se mêlait au charivari de ses caresses manuelles. Elle gémissait en m’embrassant, m’attirait contre elle, peau contre peau, sa nudité splendide se confondant avec la mienne. Je triquais grave, sans plus savoir quoi faire, ni quoi dire. Je l'observais, la regardais me caresser, me toucher, me lécher comme une relique en psalmodiant:

 

— Victor tu es trop! C’est trop fort, j’en peux plus, touche moi... Vas-y bordel, qu’est-ce que tu attends! Merde je te plais pas ou quoi?

 

Je me suis lâché, j’ai enfin touché, pincé, pénétré des lieux que je ne pensais atteindre que beaucoup plus tard. Anna s’offrait à mes caresses. Je doutais encore de leur efficacité alors qu’Anna se tortillait comme un ver. Je m’y prenais peut-être plutôt bien. Je sentais sur ma main qui se promenait entre ses cuisses, un liquide doux et chaud. Elle gémissait, se frottait et cherchait à enserrer mes doigts en elle. Elle me dévisagea, le regard dans le vague, cela m’inquiéta, j’en retins mes caresses. Elle a semblé se ressaisir et m’a entraîné dans la salle de bain attenante à la chambre...

 

À suivre...

 

La salle de bain était grande. Pourquoi, Anna m’y emmenait? J’étais bien trop perturbé par l’orgasme que je venais de lui procurer juste avant, pour lui poser des questions.

 

La pièce d’eau ne ressemblait pas à une salle de bain classique. Il y avait comme une grande vasque au-dessus de laquelle pendaient des cordes avec au bout, des anneaux en cuir. Je regardais Anna, l’interrogeant du regard. Qu’est-ce que nous faisions là? Elle souriait, sa main tenait mon sexe toujours aussi dur. J’étais dans une telle attente que j’étais prêt à tout pour continuer à ressentir ses frissons profonds.

 

Deux magnifiques adolescents entrèrent et nous saluèrent, comme si nous trouver à cet endroit, dans cette pose, était la chose la plus naturelle au monde. Ils ne portaient, comme les serveurs, qu’un petit pagne avec dans les mains, des verres et différentes bouteilles. Ils étaient d’une beauté qui me troublait. Je prenais conscience de sensations inédites en la présence de garçons presque nus. Ils s’avancèrent jusqu’à nous, nous servirent à boire. Anna s’amusait à les frôler, en trinquant avec eux et moi. Je ne ressentais plus aucune gêne et n’avais en tête que ma douloureuse érection que les garçons ont saluée à grands cris.

 

Ils me séparèrent gentiment d’Anna sans que je n’en éprouve de contrariété. J’étais guilleret et je pensais que cela plaisait à Anna. Ils m’ont guidé vers la grande vasque. Ils m’ont attaché les poignets aux anneaux, les réglèrent pour que je sois bien maintenu. Ils réduisirent le mou dans les cordes, m’obligeant à tendre les bras en l’air. Je voyais Anna au loin, je pensais à elle, qu’elle allait intervenir et s’occuper de moi. Je n’avais plus de réelle volonté, je me sentais partir, quitter la terre. Anna m’a rassuré.

 

— N’aie aucune crainte Victor, ils ne vont te faire que du bien. Te préparer pour la suite. Victor! Laisse-toi aller, c’est important pour nous deux. Je me suis engagée, Hamid aussi. Ne nous déçois pas, ne nous trahis pas. Je suis avec toi, ne t’inquiète pas, ce sera formidable!

 

Nom de Dieu, j’avais la bite en l’air, excité comme jamais. Je venais de me faire attacher par deux beaux garçons. Qui s’en inquiéterait? Rien de plus normal! J’ai choisi de faire confiance à Anna. Un des garçons m’annonça qu’ils devaient me bander les yeux et que je devais garder le silence tout le temps qu’ils me laveraient. Je n’étais plus à ça près. Dans peu de temps, je me suis dit qu’ils allaient me proposer gentiment de me fouetter. Tout me semblait possible. Mais, pour Anna et Hamid... j’étais décidé à poursuivre... le jeu.

 

— Ne dis rien, cher Victor, laisse-toi faire. Fais-moi un petit signe de tête pour me dire que tu as compris et que tu te soumets. Encore une fois, ce ne sera que du plaisir pour toi et pour nous tous.

 

Je l’ai fait. Un signe de tête affirmatif. Ils m’ont recouvert les yeux d’un bandeau en cuir qu’ils ont fixé avec des lanières à l’arrière de ma tête. J’arrivais à peine à imaginer la scène. Moi nu, le sexe glabre bien que généreux, deux splendides ados de quelques années plus âgés qui venaient de m’attacher, bander les yeux devant mon Anna; rien d’inhabituel! Je ne comprenais plus rien, juste que je n’avais jamais senti et vécu de telles choses avec autant d’envies. Qu’ils poursuivent, qu’ils me fassent ce qu’ils veulent et toi aussi, mon Anna.

 

De l’eau chaude s’est écoulée sur mon corps, sensation délicieuse. Mon excitation était d’autant plus grande que je ne pouvais qu’imaginer deux garçons presque nus promenant leurs éponges le long de mes bras, de mes épaules, de mon torse, de mon ventre, sur mes jambes et absolument partout...

 

Ils ont fixé un collier à mon cou. Une douce traction s’y est exercée pour m’obliger à me pencher en avant. Ils me firent écarter les jambes. J’ai sentis leurs doigts se promener sur mon fondement. Ils étaient doux. Jamais je n’avais été touché là. Cela me fit gémir d’un plaisir que je n’avais pas imaginé possible. Pire! Lorsque j’ai senti qu’ils introduisaient en moi quelque chose duquel s’écoulait un liquide chaud. J’ai senti mes sphincters se contracter, ils n’arrivaient plus à contenir la quantité démesurée de produit doux et agréable dont ils m’avaient rempli le ventre. J’avais beau me démener, serrer les fesses, rien n’y faisait. J’ai senti mes muscles se relâcher malgré eux au moment où j’ai pris conscience que d’autres personnes étaient présentes dans la salle de bain. Je les ai tous maudits! Mon corps et ses réactions ne m’appartenaient plus. D’autres, très doués, s’en occupaient. J’ai senti le liquide chaud s’écouler sans discontinuer d’entre mes fesses.

 

Puis les éponges s’activèrent à nouveau. De l’eau s’écoulait à profusion sur moi. Puis le remplissage recommença, Dieu saitavec quels liquides ? J'étais ivre .Des mains, des doigts à l’entrée de mon cul, quelque chose de dur me pénétrait, doux en même temps, je ne savais plus, et ces boissons que j’avais bues. Je me suis dit qu’elles me plongeaient dans un état d’oubli, d’abandon délicieux. Je sentais glisser en moi un truc énorme, m’écartant les chairs de mon petit trou. Les jeunes ados le faisaient aller et venir. Je percevais dans une demi conscience des "oh", des "ha" de contentement. Il y avait du monde dans cette salle de bain pour me voir m’enfoncer, me laisser gagner par un plaisir démesuré. De plus, je me tortillais dans tous les sens pour échapper autant que pour chercher à m’empaler plus profondément sur cet objet chaud, qui s’animait et produisait en moi des sensations et secousses au-delà de l’entendement. Je devais hurler, cela m’échappait, je devais réclamer, prier. Je me suis entendu crier comme une bête aux abois.

 

— Plus fort ! encore!

 

Les garçons beaux et forts me détachèrent et me prirent dans leurs bras. Ils me transportèrent. J’ai repris, quelque peu conscience, allongé sur une sorte de grand canapé moelleux dans la pièce que nous avions traversée à notre arrivée, Hamid et moi. Il y avait du monde autour. Je n’avais conscience que de ma terrible érection. La dame qui m’avait saluée à l’entrée m’apparut floue, elle était assise près de moi, m’a soulevé la tête et me fit boire une boisson délicieuse. J’avais très soif. J’ai voulu me saisir du verre qu’elle approchait de mes lèvres mais j’en étais incapable, j’étais attaché.

 

J’entendais de la musique dans le fond. J’avais l’esprit surchauffé, des mots, des paroles louaient ma beauté. Le nom d’Hamid a été prononcé. Cela m’a rassuré, j’ai dû me détendre et j’ai senti l’auditoire réagir à mes mouvements. Cela m’a encouragé, je me sentais libéré. Je voulais, leur plaire, les entendre réagir. Je me tortillais lascivement, cela provoqua une envolée de "ho", de "ha", d’encouragements. Je pensais à Anna qui ne devait pas être loin, et qui devait être fiere de moi. J’essayais de l’appeler. Je n’étais pas sûr que des sons puissent sortir de ma bouche. Je me suis entendu nommer Hamid, comme dans une semi conscience, un rêve. J’ai senti que l’on me touchait le bras. C’était Hamid qui me disait:

 

— Tu es formidable Victor. Tout le monde est là pour toi, c’est ton grand moment.

 

Je voulais jouir, être touché, sucé, absorbé. Comment le formuler? Je m’entendais gémir en me tortillant dans mes liens. Je me suis senti quitter le sol, comme si je flottais. Des mains m’ont touché, parcouru le corps. Je n’étais que sensations, je ne me sentais plus me contrôler, j’allais jouir, je n’étais que jouissance. Cela a duré longtemps.

 

L’installation leur a permis de me placer dans toutes les positions, pour m’enculer facilement, me permettre de lécher des sexes féminins gorgés de mouille que j’absorbais en tétant comme un bébé, avaler à la chaîne aussi des sexes mâles. J’ai passé ainsi une grande partie de ma nuit à jouir et être pris, à sentir des caresses, des bouches bouffer la moindre production qui sortait de mon sexe qui ne semblait pas pouvoir débander, ni s’arrêter de dégorger.

 

Puis je me suis retrouvé au lit, au calme, avec à mes cotés, Hamid et Anna qui m’ont félicité à leur manière...

 

-"Victor, tu es l'enfant chéri et béni de ces lieux. ll reste un test à la fin de ces épreuves : As-tu encore envie de sexe ou préfèrerais-tu que ce soit terminé ?" J'étais vraiment shooté, toute volonté annihilée. Ils étaient si doux, penchés au-dessus de moi qui étais nu et en érection.  Leurs voix étaient tendres et elles me semblaient me parvenir de loin. Nos mains qui se mêlaient sans cesse assuraient l'essentiel de notre communication. Je me sentais faible comme un opéré qu'on vient voir à l'hôpital...

 

      Dans ma confusion mentale, une interrogation me vint Anna et Hamid avaient-ils été  de ceux qui m'avaient pénétré d'une manière ou d'une autre, fait sucer les sucs de leurs sexes et le reste ? ou avaient-ils seulement surveillé ?  Dans un souffle presque inaudible je leur dis : " c'est vous deux que je veux maintenant".

 

Nos mains s'étreignirent alors  très fort.

 

voulez-vous une suite à ce récit ? dites-le

souhaitez-vous des illustrations photo ?  dites-le

ah au fait,

bonne nouvell, le blog Cavaillongay est remonté de 350 places au top des blogs erog

ce qui nous met à la 74e place  

claudemodou@gmail.com  

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 31 juillet 3 31 /07 /Juil 12:10

RECITS FICTIONS (48)

 

 

Brad, mon cousin qui est dans l'armée à Fort Ord est venu passer le weekend. Son beau petit copain n'était pas avec lui cette fois-ci. Dommage, j'aurais bien aimé une autre petite session chaude avec ce conducteur de tank!       on a copieusement astiqué nos fusils ce jour-là lol

En plus de l'excitation de baiser avec quelqu'un de la famille, ce que j'aime particulièrement chez Brad, ce sont

ses jambes. C'est un gars d'environ 6 pieds et il doit peser aux alentours de 165 livres, bien découplé. Il a de

longues jambes fines qui lui donnent fière allure dans les bons vieux jeans à jambe droite qui mettent si bien

en évidence son magnifique cul et un "lunch" à faire rêver. Le fait d'être à Fort Ord et de s'y entraîner ne lui a

pas fait de tort à l'abdomen non plus. Brad était nageur au secondaire et au collège mais je n'avais jamais

remarqué de muscles abdominaux si developpés quand je l'ai rencontré il y a quelques mois. Mais là, ils étaient

là, et c'était assez impressionnant!

En tout cas, lui et moi, nous avons fait la tournée des bars pendant la fin de semaine et nous avons eu une bonne discussion. Il semblait qu'il allait bientôt être assigné à Hawai.  . En plantant mes mains au milieu de son dos tout en le serrant affectueusement contre moi, je lui ai dit qu'il faudrait qu'il prenne bien soin de son cul, et du moins, ce soir, moi

j'en avais bien l'intention. Je n'en pouvais plus d'attendre d'être de retour à la maison. Le fait qu'il allait être

transféré si loin jouait beaucoup dans mon empressement!

De retour à l'appart, nous nous sommes pris quelques bières tout en fumant un joint et j'ai mis l'un des vidéos

que j'avais copié la semaine précédente. Ça nous allumait pas mal, l'un comme l'autre. Brad a alors tiré une

longue bouffée sur le joint, et retenant son souffle, il s'est approché de moi, pressant ses lèvres contre les

miennes avant d'expirer la fumée en m'embrassant.  Cette sensation, devenir high avec la fumée de son

compagnon, est difficile à battre, et ça m'excitait au plus haut point. J'ai expiré, tiré sur le joint avant de lui

faire la même chose. En nous embrassant, nous parcourions le corps de l'autre avec nos mains sans arrêt,

ma main était rendue sur son paquet et lui, il défaisait les boutons de ma chemise un à un.

Quand on passe dix minutes à se faire des french-kiss comme ça, le temps passe tellement vite et c'est

tellement agréable! Mais cette fois-ci, c'est plutôt vingt à vingt-cinq minutes qu'on a passé ainsi, s'embrassant

l'un l'autre, et parfois, avec la fumée de notre joint.

Vous devez deviner qu'au moment de nous rendre à mon lit, nous étions tous les deux flambant nus. Une fois

sous les couvertures, nous avons ralenti quelque peu afin de mieux prendre notre temps de nous découvrir

avec nos mains, avec notre bouche. Même si j'étais pas mal stone à cause de ce que nous avions fumé, je

ressentais toujours le plaisir qui m'enivrait encore plus, mais j'en perdais parfois des bouts. Il me semblait

qu'on s'embrassait à pleine bouche  et que la seconde d'après, il me suçait la queue avec vigueur. L'instant

d'après, c'était moi qui m'enfonçais sa tige dans la gorge pendant qu'il me massait les couilles avec délicatesse

tout en continuant de me sucer. Ça a continué ainsi je ne sais combien de temps, Dieu seul le sait!

Habituellement, avec un aussi bon suceur de queue, j'aurais eu à l'arrêter sous peu pour ne pas jouir tout

de suite, mais ce soir, il me semblait que j'aurais pu me faire manger la queue pendant des heures, en demeurant

 bandé bien dur. Je me souviens bien de la suite cependant: il prit de l'huile à massage et en enduisit ma queue,

la glissant entre ses doigts agiles. Je ne me souviens pas d'avoir autant gémi.

J'étais allongé de tout mon long sur le lit et Brad s'est positionné par-dessus moi.  Tenant fermement ma queue

dans sa main, il s'est peu à peu assis sur moi, faisant pénétrer ma queue raide dans son beau petit cul tout chaud. 

J'ai arqué les reins quelque peu pour m'enfoncer encore plus en lui. Ma bite était raide comme une tige d'acier et

je ne pensais à rien d'autre que de me payer le cul de ce beau mâle en rut aussi profondément que possible. Je

savais que ce soir, ça serait spécial, nous ne formerions qu'un et j'étais bien déterminé à ce que nos corps se

fondent l'un dans l'autre dans une extase merveilleuse.  Ce soir, j'allais crémer le cul de mon cousin et il allait me prier de le faire. J'étais bien décidé à me retenir jusqu'à ce qu'il me supplie d'y aller à fond .

Nos mains se sont imbriquées et son corps impatient commença à galoper sur ma queue, de haut en bas, désireux

 d'avoir le controle pour lui.  Nous grognions et gémissions en choeur, je voyais ses yeux remplis de désir et de

flammes ardentes, en demandant encore plus, plus vite, plus fort...

Je suis certain que nous avons dû réveiller la fille qui habite en dessous. Le lit ne cessait de craquer mais je m'en crissais royalement. Après tout, au nombre de fois que c'est elle qui me faisait le coup!

Me voici donc allongé, admirant son corps de la tête à l'abdomen, et bougeant autant qu'il m'en était possible dans la position où j'étais. Brad y allait aussi avec des longs mouvements rapides, me chevauchant comme une monture dans un rodéo, me demandant de planter mon dard encore plusp creux en lui. Ce ne fût pas aussi long que je pensais, ce après quoi j'attendais depuis tantôt : il me suppliait maintenant d'exploser en lui car il était sur le point de tout me décharger sur le corps. J'ai accéléré le rythme.

Comme j'étais sur le point de jouir, j'ai arqué le dos, lâché un énorme râle et ma dèche allait lui remplir les entrailles. C'en était assez pour lui, en hurlant, il me déversa son sperme dans le visage, sur les pecs et mon ventre. Ma queue continuait toujours ses mouvements d'aller-retours dans son cul, et j'avais perdu tout contrôle de moi-même. C'est comme si ma queue avais pris la situation en main et avait décidé de se vider complètement en lui, jusqu'à ce qu'il n'y reste plus une goutte. Ce n'est que l'épuisement qui me permit d'enfin de déculer, et Brad et moi sommes tombés dans les bras l'un de l'autre, complètements vidés.

J'ai passé de long moments à n'écouter que nos coeurs battre, au tout début, leur cadence était rapide mais ils reprenaient peu à peu leur rythme habituel. Nous nous sommes embrassés avec passion et quelques instants plus tard, nous dormions tous les deux enlacés.  les ricains ? nous n'aurions pas de meilleurs amis!

 

 

 coucher de soleil à Fort Ord California

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 28 juillet 7 28 /07 /Juil 06:02

RECITS FICTIONS FANTASMES (47) (Daniel, Isa, Ahmed suite)

Claudio cocu d'Erog : la mise en page a été changée à mon insu. Il faut cliquer sur le titre pour lire l'article ! désolé pour nos visiteurs. C'est con, je sais. Je continue à refuser les publicités sous la forme collante que je constate ailleurs dans les blogs. 

viol par persuasion

       

Daniel : - J'étais sens dessus-dessous avec toutes ces épreuves et ces coups de théâtre. Mon introspection est allée dans plusieurs sens. J'étais resté quasiment inerte et voyeur devant une scène de"viol" par persuasion. En dehors du fait qu'Isa a été vite persuadée... et moi avais-je été jaloux quelque part de Lui ? de sa queue, de sa force sexuelle qui me surclassaient ? Si cela avait été, j'aurais dû relever le défi, David petit et vaillant contre Goliath, géant et surpuissant. Même en son intention d'être notre coach sexuel il aurait dû me pousser à une complicité active et qu'on baise Isa à tour de rôle...le vieux passant un relais au "petit".

Et puis j'y pense...et si j'avais tellement communié avec ma fiancée baisée à fond au point d'en avoir été jaloux...de désirer me faire tirer comme elle, d'être rempli de l'énorme bite de Ahmed  ???  Ahmed s'était comporté en prédateur vis à vis de moi, de nous.

 

Il avait envoûté ma fiancée, l'avait sensuellement détournée de moi sans jamais faire appel à une complicité entre ses amants.
Il s'était arrangé pour qu'elle n'aime que lui.

Son discours était cynique. Je servais d'alibi à un vieux barbon qui se payait une jeunette aux frais d'un...con de cocu !

A 17 ans cette expérience avait été un piège cruel pour ma sexualité en construction maintenant je me sentais passif.

Résumé de la première partie : .... Stupéfaction. Isabelle, à genoux, suçait l'immense queue de notre ami. D'une main elle pressait les couilles et de l'autre elle saisissait la hampe.
La bouche grande ouverte, elle aspirait la queue.
 Je t'expliquerai, dit Ahmed, t'inquiète ... regarde plutôt ...blastedheath: Jean Vimenet (French, 1914-1999), Autoportrait au chiffon rouge [Self-portrait with red cloth], 1954. Oil on canvas, 86 x 58.5 cm.  
Ahmed

la preuve par 9

elle apprend vite la salope ... regarde puisque ça te plait ... Ooohhh la bouche de cette salope .... Oui, oui aspire, n'oublie pas la langue ... ça fait 5 minutes qu'elle me suce ... je ne vais pas tarder à jouir ... Et toi tu fais comme je t'ai dit, compris, tu avales tout ce qui sort ... ? Pétrifié, j'étais pétrifié, mes yeux voyaient ma fiancée la bouche pleine de la bite d'Ahmed.
Ahmed saisit Isa par les cheveux et lui enfonça la queue au maximum. Il l'immobilisa et doucement il se mit à baiser sa bouche comme il avait baisé sa chatte. Doucement et il gémit :
 Ooohhh ça vient, ça vient, ça y est ...... jjjjeeeee jjjjoooouuuuuiiiiiisssss, avale, avale mon sperme salope, avale tout ..... oooooouuuuuuiiiiii ! Durant toute sa jouissance il avait maintenu Isa pour qu?elle reste la queue en bouche.
Le sperme coulait sur le menton .... Isa avait bu ce qu'elle pouvait mais la quantité de sperme était trop grande, elle en avait plein les lèvres.
Elle leva les yeux et me regarda. Elle s'approcha de moi, je vis son visage en gros plan et je pus constater que le sperme d'Ahmed coulait de sa bouche.
Elle m'embrassa à pleine bouche, mélangeant ainsi nos salives et le sperme d'Ahmed. Je goûtais pour la première fois .... C'était bon d?embrasser Isa la bouche pleine de sperme, c'est cela qui me faisait bander.
Puis elle retourna près d'Ahmed et s'allongea sur le lit.
 Mon ami, cette petite c'est une bombe .... Je ne sais pas comment tu vas t'y prendre, mais elle en veut ... Tu sais je lui ai parlé, comme convenu ... Et tu sais ce qu'elle m'a dit, non ... elle m'a dit que ce n'était pas grave, qu'elle avait voulu avec moi ... qu'elle n'avait pas pu résister, surtout après la plage ... Que depuis 2 ans, tu n'as pas insisté et qu'elle te laissait faire mais qu'elle en avait trop envie. Et puis ... ben voilà d'une chose à l'autre je lui ai mis ma bite dans la bouche et elle m'a sucé  -J'ai vu -Et tu dis quoi ? -Rien, si c'est Isa qui le veut. -Je vous propose d'aller nous baigner, ok ?
Nous sommes partis nous baigner et le soir, Ahmed, nous a laissé chacun devant chez nous.
Après le cours, nous nous retrouvons .... Isa évite mon regard. Rien de bien extraordinaire ne nourrit notre conversation, avec les copains et copines.
Nous terminons les cours à 17 heures et nous décidons d'aller dans un autre café (La cascade) pour être plus au calme. Mais là encore, nous retrouvons une bande d'amis.
Donc nous décidons de nous installer dans un petit parc.
Enfin, nous sommes tranquilles.
-Qui parle le premier ?
-Toi ... - Ok, si tu veux ... Tu vois, Isa, tout s'est passé tellement vite que je ne sais pas si j'ai bien compris ce qui s'est réellement passé. Mais je sais qu'une chose est importante. C'est ce que m'a dit Ahmed. "Que tu attendais depuis 2 ans que je fasse ce que tu désirais et que je n'ai pas fait. C'est ça qui est important, Isa. - Pourquoi est-ce si important ? -Je ne pourrais te répondre que si je l'avais fait, nous n'en serions pas là, aujourd'hui, mais ce ne serait pas exact. Premièrement, si je ne l'ai pas fait, c?est que, sans doute, c'était le destin, en quelque sorte. Deuxièmement, c'est que je voulais te respecter, attendre, au moins nos fiançailles officielles après le Bac. Et je pense que tu aurais, pu, toi aussi prendre l'initiative ? -Ce n?est pas à moi de prendre une telle initiative -Ah bon ! Tu l'as bien prise avec Ahmed ...? -C'est pas pareil, tu étais là et le contexte a fait que ... - Le contexte il a bon dos ... -Et toi alors, pourquoi tu m'as laissé faire, hein ? Pourquoi ? ?
Je ne répondis pas immédiatement.
-Alors, parle ... ? -Je n?ai jamais fait l'amour et tu le sais ... Sur la plage, lorsque j'ai vu Ahmed avec son sexe géant, deux fois plus gros que le mien, qui te caressait et que tu te laissais faire, j'ai été très excité de regarder. J'étais tout bizarre et je bandais très fort. Et le soir, alors, tout s'est emballé, j'avais envie de voir comment il faisait. J'avais aussi envie de voir comment fallait faire .... Et aussi, toi qui te laissais faire alors que tu aurais dû le gifler ... Je ne savais plus très bien où j'en étais, ni ce que nous étions en train de faire et dans cette situation c'était comme si j'étais un autre. ?
-Tu as été voyeur, quoi ... - On peut dire ça  -Et ça te plaît d'être voyeur de ta propre fiancée ? - Je crois que j'ai aimé ça, oui !

Nous avons bavardé encore 30 mn, au moins.
-Bon je dois y aller .. ? -Tu pars ... où ? -Ben chez moi -Déjà ? --Oui je dois aller faire des courses avec ma mère, chez Leclerc . -Ah bon mais tu n'y vas jamais ... -Oui mais c'est spécial, aujourd'hui -Bon, moi qui voulais rester avec toi -Demain ... ? Nous nous sommes embrassés et elle est partie. Je ne sais pourquoi, mais je ne la croyais pas. Alors, j'ai décidé de la suivre. Elle allait à l?opposé de chez elle. 15 mn plus tard, elle arrivait devant chez Ahmed. Elle sonna et le portail s'ouvrit. Elle entra.
J'étais fou de rage et de colère. C'était la première fois qu'Isa me mentait effrontément. Je restai planté là, longtemps. Vers 20 heures, elle sortit et rentra chez elle.
Cette nuit là je ne trouvai pas le sommeil. Le soir, je sortis du Lycée sans qu'elle me voie et j'attendis, caché. Elle sortit à son tour et je voyais bien qu'elle me cherchait ... Puis elle fila. Je la suivis à nouveau. Elle alla encore chez Ahmed. Elle en sortit fort tard, à 21 heures.
Il en fût ainsi toute la semaine, sauf le vendredi soir. A 23 heures elle n'était toujours pas ressortie. Je rentrai chez moi.
Le matin, j'allai épier la maison d'Ahmed. Vers 11 heures je la vis. Elle courut chez elle.
Je rentrai chez moi. A 19 heures, elle vint et me dit que Ahmed voulait nous parler à tous les deux.
Arrivés chez lui, il nous invita à nous asseoir et nous servit le Pastis.
-Daniel, j'ai dit à Isa qu'il fallait que je vous parle, enfin surtout que je te parle à toi ... J'ai beaucoup de choses à te dire.  J'étais à la fois très fâché et très curieux. Oh je savais bien ce qui s'était passé toute la semaine. Depuis longtemps, Isabelle n'était pas avec moi le soir.
Comme par défi je lui répondis :
-Je crois oui ....
-Ok, je vois que tu es un peu à vif, jeune homme, mais il faut te calmer. Alors écoute. Voilà Isa est venue chez moi tous les soirs de la semaine.
-Je sais  Isa me regarda stupéfaite et ses joues s'empourprèrent  -Tant mieux ... alors donc, c'est moi qui ai demandé à Isa de venir, lundi. Je voulais lui parler de ce qui s"était passé le week-end et aussi lui parler de toi et de vous, tu comprends .. ?

Daniel, s'il te plait, sois cool
-Non ... -Eh ... Oh ... Daniel, s'il te plait, sois cool ... hein ... j'ai l'expérience que tu n'as pas et je sais ce qui s'est passé et pourquoi ... toi non. Enfin pas encore, très bien, même si au fond de toi tu arrives à le ressentir. Alors, si tu veux que je continue cesse de te braquer, ok ?
-D'accord je t'écoute  -C'est bien, mon gars ... Donc, Isa est venue lundi et nous avons fait l'amour. Et tous les autres jours aussi. Et surtout la nuit passée, elle est restée toute la nuit avec moi et nous l'avons fait plusieurs fois. Il faut aussi que je te dise que je l'ai enculée. J'ai pris aussi son cul 2 fois. Ceci étant dit, j'ai parlé de vous deux à Isa. Vous êtes et vous formez un jeune couple très beau et sympathique et que j'estime beaucoup. Bientôt vous vous marierez. Vous avez de la chance ... Moi je ne suis qu'un vieil arabe de 52 ans et j'espère que vous avez aussi de l'amitié pour moi, malgré la différence d'âge.
Bref ... J'ai observé que tu étais un voyeur, oh ne t'en offusque pas, tu fais partie de cette catégorie d'hommes qui sont ainsi, c'est pas une tare ni une maladie mais c'est ta personnalité. J'ai expliqué à Isa comment tu fonctionnais. Elle par contre, c'est une femme sensuelle qui a et aura toujours de gros besoins sexuels. Et ça je te le dis à toi.
Alors, vous me direz comment faire pour vous rejoindre ? Eh bien tout simplement en vous connaissant bien et en assumant mutuellement votre nature. Il y a beaucoup d'amour en vous l'un pour l'autre, ça c'est clair. Il ne vous reste qu'à évoluer vers votre sexualité et, non seulement l'admettre, mais aussi la forger, la partager et la vivre ensemble.
Je peux vous y aider, si vous le voulez ... Je pourrais au fur et à mesure de vos disponibilités et de votre volonté, vous connaître de mieux en mieux et ainsi vous aider vers cette évolution essentielle pour votre couple. Qu'en pensez-vous  ?
Je le regardais droit dans les yeux, puis je regardais Isa qui, elle, avait la tête baissée.
-Je vais te dire Ahmed, j'ai effectivement constaté que j'étais voyeur, voyeur de ma propre fiancée se faisant prendre par un homme ... Depuis une semaine, je sais qu'elle vient chez toi pour .... Passons ... Et cela m'a excité en permanence, le soir dans mon lit. Mais vois-tu, la décision appartient à Isa, c'est elle qui doit décider, si elle veut suivre ta proposition.       -C'est correct ... Alors, Isa que dis-tu ? -Le fait que Daniel soit là et quil ne dise rien ou plutôt qu'il me laisse l'initiative de notre relation, me confirme ce que tu me disais et que je dois aller, pour nous, dans ce chemin  -Peut-être, mais crois-tu que ça ne nuira pas à notre amour, Isa ?  -Je t'aime de tout mon coeur Daniel et je veux vivre avec toi, mais j'ai peur que sexuellement ça ne colle pas tout à fait, car je crois qu'après ce que tu as vu le week end dernier, tu aurais dû ou pu exiger que nous fassions l'amour et tu n'as rien fait. Au contraire, tu as préféré que je continue de voir Ahmed, tout en sachant bien ce que nous faisions. Je suis certaine qu'Ahmed a raison, tu es profondément voyeur. Aussi, si ton amour pour moi est aussi fort que le mien, je crois que nous trouverons de cette façon à l'amplifier encore -Bien exposé, dit Ahmed -Il ne me reste donc qu' à me plier à la volonté d'Isa ! dis-je -Bien, c'est parfait. Mais comme je suis un homme respectueux de la liberté de chacun, je veux que vous réfléchissiez bien chacun de votre coté. Vous serez bientôt en vacances. Alors, vous allez me promettre de ne pas vous voir jusqu'aux vacances. Ainsi vous aurez tout le temps nécessaire pour bien prendre votre décision. Si vous êtes d'accord, vous vous retrouverez le 1er vendredi soir des vacances et vous viendrez chez moi à 20 heures. Je vous attendrai. Voilà, maintenant partez et .... A bientôt ! Nous nous sommes séparés .... Sur cette décision unilatérale de notre ami.
C'est ainsi que nous avons fait et durant plusieurs semaines je n'ai pas vu Isa.
Et ce vendredi 27 juin 2003, j'ai retrouvé ma fiancée, belle, radieuse au possible, légèrement bronzée et sexy comme je ne l'avais jamais vue. Mini au ras des fesses avec T-shirt moulant et court faisant ressortir ses beaux, fermes et énormes seins que l'on devinait sans soutien gorge.
Ses cheveux étaient lâchés, je me rendis compte qu'elle les avait coupés. Ses yeux bleu-vert illuminaient son visage d'ange.
-Que tu es belle, je suis en joie de te revoir, Isa -Tu es aussi très beau, Daniel, et je suis aussi heureuse de te retrouver, tu m'as beaucoup manqué -Je t'aime, chérie  -Je t'aime aussi, très fort. Alors, que faisons nous ? -Moi j'ai réfléchi et j'ai même réfléchi en long, en large et en travers, et je suis persuadée que nous devons faire comme Ahmed nous l'a proposé -Moi aussi, j'ai bien analysé ce que nous avons vécu ainsi que nos deux comportements face à cette situation. Je sais que pour toi, c'est quelque chose qui devrait te convenir. Pour moi, je voudrais être sûr de pouvoir supporter et bien intégrer cette personnalité de voyeur que je me découvre. Attendre et voir jusqu'où .... ?
 -Donc ? ?
-Donc, je te suis ! Nous nous sommes longuement embrassés et main dans la main nous sommes arrivés chez Ahmed qui ne dissimula pas sa joie de nous voir.
- Quelle joie, les enfants .... Je suis content .... Entrez ... ? Nous avons bu l'apéritif et avons parlé longtemps de tout et de rien ... Mais surtout des malheurs de l'OM !!!
Et le moment attendu .... Arriva.

Ahmed coach sexuel
- Puisque vous êtes ici, tous les deux, c'est que vous avez choisi d'accepter ma proposition. Donc il n'est pas utile de vous demander d'exposer vos réflexions. Je préfère en venir directement aux conséquences. Pour Isabelle, il n'y a rien de spécial, les choses sont simples, elle devra dorénavant faire ce que j'exigerai d'elle. Pour toi Daniel, c'est un peu plus complexe, tu devras non seulement faire comme je te le dirai, mais tu devras toujours communiquer ce que tu ressens, ce que tu voudrais, tu dois parler. Pour que je puisse te guider il faut que je connaisse en permanence ton évolution psychologique et qu'Isa te réponde aussi à travers son comportement. Est-ce que vous avez compris ?
- Parfaitement  -Oui  - Alors voilà ce que j'ai mis au point pour vous :
- Isa viendra chez moi chaque fois qu'elle le voudra, c'est elle qui viendra de sa propre volonté.

voyeur c'est tout !

 Je suis rentré chez moi et Isa est restée chez Ahmed.
L'année scolaire a passé très vite. Je me sentais mieux dans ma tête et les études me prenaient beaucoup.
Je ne suis pas allé voir Ahmed, il m'en a dispensé.
Isa et moi avons réussi notre Bac.
Vendredi 30 juillet 2004. Mon portable sonne ... c'est Ahmed qui me demande de venir ce soir à 21 heures.
J'y suis. Isa est là .....
Elle est nue et il est nu. Ils sont dans le jardin. Elle est assise sur sa cuisse et il la tient par la taille.
- Ah Daniel, ça fait longtemps, viens... prends une chaise. Alors, c'est bon d'être Bachelier ? .... Et maintenant vous allez faire quoi ? - Moi je vais bosser chez mon père je serai comptable dans sa société ... à La Penne -Et toi ma pouliche ?
-Moi je vais entrer en école d'assistante sociale - Parfait les enfants ... Mais alors, dites moi un peu, c'est pour quand le mariage ?

le mariage ? la nuit de noces

Silence ... Puis je réponds.
-C'est que nous attendions cette ... réunion - Ah mais c'est bien ça ... alors...  - En fait nous en avons parlé à nos parents et ils ont été d?accord pour nous aider ... Nous nous marions le 14 août prochain.
-Mais c'est qu'elle m'avait caché ça la petite ... -Je voulais attendre que vous en parliez avec Daniel - Je vois, je vois -Tu es invité, bien sûr -Merci, Daniel -Et je voudrais que tu sois mon témoin, dit Isa -Ah ça, ça me fait grand plaisir, j'accepte Merci, mais il ne faut pas croire que c'est fini ... Je vais m'occuper de votre mariage sexuel  -Ah ! Comment ?
-Vous le verrez ... Mais après cette bonne nouvelle, passons aux choses sérieuses. Il faut que nous fassions le point sur l'année qui vient de se terminer ... Je sais que vous avez tous les deux respecté votre engagement et que j'ai dispensé Daniel de son parloir trimestriel mais il faut que je dise à Daniel comment s'est comportée sa fiancée et que je recueille vos sentiments. Commençons par le comportement de la fiancée :
Alors ! Isa est très intelligente, elle a géré ses venues en fonction de ses règles car elle ne prend pas la pilule. Mais enfin elle est venue plus que je ne le pensais. Disons régulièrement, presque chaque jour, durant 1 semaine après ses règles et 20 jours pile après le début de ses règles jusqu'aux règles suivantes. Savant calcul. Enfin c'est pour te dire que nous avons passé beaucoup de temps ensemble, des nuits, des jours et quelques week-ends. Je peux dire que je l'ai bien baisée. C'est une obsédée, une vraie salope de la queue. Maintenant elle avale mes quantités de sperme avec gourmandise. Je te dis aussi que coté cul ... elle est aussi très friande, je l'encule très souvent. Et tu vois quand elle vient chez moi, elle doit être à poil, à ma disposition. Elle est belle, la putain. Maintenant je veux qu'elle te dise son sentiment, allez Isa ... à toi. - Merci Ahmed ... Ce que tu dis est vrai. Je suis devenue une accro du sexe et de la bite, enfin de la tienne, je n'en connais pas d'autre. Mais c'est vrai, je suis venue autant que je pouvais et à chaque fois tu m'as rendue heureuse et je jouis souvent 3 ou 4 fois de suite. C'est vrai aussi que j'adore te sucer et boire ton sperme. Coté cul, comme tu dis, j'ai aussi appris à aimer ça et maintenant j'arrive à jouir quand tu me sodomises . Pour mes sentiments ... amoureux ... ils n'ont pas changé, j'aime toujours Daniel et je suis heureuse de l'épouser. Pour mes sentiments disons cérébraux, j?en suis arrivée à aimer cette situation et à m'y complaire. Je sais que Daniel sait tout et qu'il accepte, donc, je suis tranquille.  - A toi mon petit Daniel  - Moi c'est complexe ... très complexe, je m'y perds souvent d'ailleurs .... Quelquefois, mes colères, mes chagrins et mes pleurs, même, m'ont engagé à tout arrêter, à rompre même avec Isa. Mais toujours mon amour pour elle a été le plus fort. Il y a eu des périodes de tristesse et de cafard, Isa me manquait trop. D'autres périodes d'indifférence où je travaillais sans arrêt.
Je suis aussi sorti avec des copains, mes parents ... Mais il y a eu les périodes, nombreuses, où je pensais à elle et à toi. A vous. J'imaginais vos nuits, vos corps, enfin vos actes ... Dans ces moments là, je me masturbais souvent. Mais ce n'était pas que les images que je voyais, il y avait aussi, et il y a toujours, comme l'a dit Isa, la cérébralité. J'ai souvent joui, seul, en pensant que ma jeune fiancée, si belle, était sans doute en train de se faire prendre par un homme qui pouvait être son père, qu'elle jouissait avec lui, qu'elle lui avait offert son corps de tous les côtés, qu'elle lui avait offert ses virginités. Que je n'aurais rien de vierge d'elle. Qu'elle a connu ta bite, ton sperme coule en elle. De moi ... rien. Je ne sais pas si tu me comprends bien ... - Oh que oui, je te comprends bien. C'est exactement ce que j?avais espéré et prévu. Tu es bien un voyeur, soit, mais tu es aussi un maso et un cocu qui se révèle ... Tu sais ton cas est assez courant ... Je vais vous aider à bien démarrer dans la vie de votre couple. Vous êtes totalement complémentaires. Vous avez 18 ans et des années devant vous et moi, j'en ai maintenant 53.
Vous allez bénéficier de mon expérience. Et pour commencer, voici mes instructions :
- Toi Daniel tu vas rentrer chez toi et tu vas attendre et organiser votre mariage.
- Toi Isa, tu vas venir t'installer, en quelque sorte, chez moi et je t'aiderai aussi à préparer votre mariage.
- Je ne veux pas que vous vous touchiez. Vous pourrez vous voir ... pour la préparation du mariage, mais interdiction de vous toucher.
Et nous nous retrouverons tous les 3, le jour J.
Ainsi fut fait.
Mes parents nous ont prêtés leur pavillon d'Aubagne. Déjà totalement aménagé.
Les parents d'Isa nous on acheté une Peugeot 307 avec un A rouge sur la lunette arrière.
Tout était à la perfection.
Le jour J arriva.
Isa était resplendissante dans sa robe blanche de mariée. Ahmed nous attendait devant la Mairie, il embrassa sagement Isa sur les joues. Après la Mairie, la petite Eglise nous maria religieusement.
La fête fut splendide et fut un réel succès. Ahmed était pratiquement invisible.
A 2 heures du matin, nous nous sommes éclipsés avec ....ma femme.
Je pris la route en direction de notre maison mais Isa me dit :
 Non on doit aller au cabanon d'Ahmed, il nous y a précédés  Chez Ahmed ... mais pourquoi ? Maintenant ?
- Oui, mon chéri, allons y ... tu sais bien que nous devons y aller ...  A contre-coeur j'obtempérai et pris l'autoroute pour Marseille et la route des Goudes.
Arrivés sur place, nous avons retrouvé Ahmed. Il avait ouvert du champagne en entendant la voiture.
 - Je vous souhaite longue et heureuse vie de bonheur mes petits ! Nous avons trinqué avec lui. Heureux nous l'étions ....
 - Bien maintenant, vous allez faire exactement ce que je vous dis :
- Déshabillez vous. Toi Daniel à poil complètement.
- Toi Isa tu gardes tes dessous et ton voile.
- Daniel, avec l'appareil numérique que tu vois posé ici tu prends des photos d'Isa. Il y a une carte de 128 Mo .... Tu pourras prendre des centaines de photos.
- Une caméra est opérationnelle dans la chambre, Daniel tu feras attention à ne pas te mettre dans le champ.
- Daniel, tu es prêt maintenant alors prépare toi ... Il s'avança devant Isa et l'embrassa à pleine bouche, je pris des photos.
Puis il amena Isa dans la chambre, il alluma la caméra et ils s'assirent tous les deux sur le lit.
- Isa, ce soir c'est ta nuit de noces, avec qui veux-tu la passer, avec ton mari ou avec moi ?
- Isa hésita un moment, elle ne s'attendait pas à cette question ( ni moi d'ailleurs )  -Avec ... avec toi Ahmed  - Et toi Daniel avec qui veux-tu que ta femme passe sa nuit de noces, avec toi ou avec son amant ?
J'étais piégé, j'étais pris au jeu et je bandais ...- Avec toi Ahmed. - Bien .... Regarde Isa ton mari bande de savoir que tu m'offres ta nuit de noces et il me laisse aussi sa place ... Il te donne à moi, ce petit voyeur de mari cocu ... Et toi ma belle salope, tu préfères ma bite ... pour ta nuit de noces .... La bite d'Ahmed qui t'a dépucelée de tous les cotés et qui t'a prise depuis plus d'un an, alors que ton mari ne t'a jamais touchée ... Dis mois Isa, tu veux vraiment d'Ahmed pour ta nuit de noces ? ?
- Oui, je te veux.  Ahmed s'était déshabillé aussi.
-Viens sucer ta bite, espèce de sale pute et toi le cocu prends les photos. Isabelle caressa le sexe, les couilles, Ahmed bandait de sa bite de cheval. Isa l'enfonça à moitié dans sa bouche. On voyait bien qu'elle en avait l'habitude. Pourtant énorme, elle la suçait sans problème, la bouche grande ouverte. On entendait le bruit de la salive et de la succion. Elle suça cette colonne avec passion durant un long moment. Je voyais ma femme s'activer ... la bouche pleine de ce sexe d'homme qui était son amant. Je prenais des photos en gros plan. Puis Ahmed prévint de sa jouissance imminente.
- Ouvre ta gorge, petite putain, ouvre ta gorge que j'y enfonce ma queue pour y décharger mon sperme .... Ouvre bien salope, oui ça vient, oui je jouis, avale pute, avale .... Oooohhhhh Aaaahhhhhh, prends tout, bois mon sperme. Ah ça y est .... Tu as vu Daniel comme ta femme a bu mon foutre .... Elle se régale la salope. Regarde elle continue de me pomper jusqu?à la dernière goutte.
Les photos prises laisseront voir cette fellation profonde et le sperme s'échappant de la bouche d'Isa.
Elle lâcha la queue et me regarda fièrement.
- Daniel donne moi l'appareil viens embrasser ta femme avec la bouche au goût de mon sperme Ce que je fis et Ahmed prit 3 photos. Il n'avait pas débandé. Sa bite était aussi grosse et rigide qu'avant l'éjaculation.
D'une main il caressait le clitoris d'Isa et de l'autre, les seins. Moi j'avais repris ma fonction de photographe.
- Putain elle mouille cette salope, elle a envie d'une trique .... Je vais la prendre .... Je vais la baiser à fond .... Tu en as envie ... dis le . - Oui, oui Ahmed j'en ai envie, j'en ai une envie folle   - Mieux que ça svp  - Ahmed, baise moi, je suis ta pute, ta salope, baise moi, nique moi ...  Il releva les jambes d'Isa sur ses épaules ... elle était pliée en deux. Sa chatte s'ouvrait ... On voyait sa vulve ouverte ... humide et brillante. L'appareil crépitait. Le gland vint contre la chatte et je prenais quantité de photos à la suite. Le gland disparu dans le vagin. Isabelle râla d'un long gémissement. La bite progressa et s'immobilisa quand elle fut entièrement absorbée jusqu'aux couilles.
Ahmed resta ainsi quelques secondes ...  Voila Isa... tu es bien prise par ma bite ... la mienne pas celle de ton cocu de mari qui prend les photos de ta nuit de noces avec ton amant. Tu la sens bien ... j'ai au moins 5 cm dans ton utérus, j'ai bien senti le passage du col. Tu es bien prise à fond. - Ohh oui je le sais, je la sens bien, je suis ouverte, je la sens dans mon ventre, baise moi ! Voilà, je te baise .... Je te fais l'amour, oui je fais l'amour avec toi, ma bite est dans ton vagin . Ahmed baisait Isa, doucement avec force et régularité, comme un métronome. Sa queue énorme entrait et sortait entièrement. Elle devait bien être longue de 25 cm et son diamètre était aussi gros que mon poignet.
La chatte était totalement écartelée par ce pieu qui la pourfendait.
Isa criait son bonheur ....
Les bruits, les clapotis se faisaient entendre. La bite s'enfonçait totalement et ressortait aussi presque totalement et ainsi de suite. Sans variation .... L'acte se suffisait à lui-même, beau et grandiose, excitant et cérébral. Les photos en témoigneraient. C'était une prise de possession officielle, un accouplement magistral.
Durant un bon quart d'heures Ahmed pistonna Isa, ainsi. Elle jouit au moins 4 fois audibles. Davantage sans doute.
Enfin, il se libéra :
- Je te donne mon sperme Isa, je dépose mon sperme dans ton ventre ....

plus cocu que lui tu meurs !
La bite était entièrement enfoncée et Ahmed vibrait ... - Je jute dans ce corps encore juvénile ... dans ce ventre de salope et de pute accomplie comme je l'ai voulue et faite. Là devant son cocu de mari ... je prends sa femme la nuit de ses noces ... Qui pourra être plus cocu que lui, qui pourra être plus pute que cette salope qui offre son utérus au sperme de son amant devant son mari ... Ohhhh ouiiiiii c'est fait, c'est accompli ? Isa n'avait dit mot ... elle semblait anéantie .... Somnolente.
Ahmed retira son sexe et je pris une dernière photo du vagin ouvert et suintant de sperme.
Ahmed m'entraîna dans la cuisine/salon et nous bûmes ... du champagne glacé.
Nous restâmes ainsi longtemps sans parler. Regardant le ciel et écoutant le bruit des flots à nos pieds.
Isa nous rejoignit. Nue et échevelée elle semblait une déesse ... Je remarquai que du sperme coulait sur ses cuisses.
 -Vous faites quoi ... j'ai soif  - Tu veux quoi, lui demandai-je ? ?
- Un coca glacé  Je repris ma place dans le fauteuil à coté d'Ahmed.
 C'est bien que tu sois là, Isa. Ecarte bien tes jambes. Et toi Daniel, va sucer sa chatte.  Intérieurement fou de joie, je me levai calmement alors que je voulais me précipiter ... Je tombai à ses genoux. J?avais son sexe à 20 cm de mes yeux. Il était beau et les poils collés par le sperme. Je me baissai encore et approchai ma bouche. Langue sortie, je suçais aussi loin que possible, ouvrant la vulve et me délectant du mélange qui sortait du vagin.
Je buvais, je buvais ....
- Stop, ça suffit ...  Ahmed avait parlé.
Il attira Isa vers lui et elle s'assit sur lui. Ils restèrent enlacés ... J'avais sommeil mais je ne devais pas m'endormir.
Le soleil commençait à poindre .... Le ciel était magnifique.
- Arrête, Isa tu vas encore me faire bander ... - Mais c'est ce que je veux ... mon cher  - Tu es insatiable ... mais j'aime ça     -Viens, alors, viens me prendre encore.  Je viens mais ... je t'encule ? - Comme tu veux ... pourvu que tu me pénètres ?     -Va te mettre en position, j?arrive ? Isabelle s?arracha de l'étreinte de son amant et partit dans la chambre. Ahmed la suivit, presque immédiatement et je les suivis aussi avec mon appareil photo.
Là Ahmed changea la cassette de la caméra avant de la remettre en marche.
- Daniel prépare ta femme pour l'enculade, lèche lui bien le trou du cul  Quelle joie et quel plaisir ... je touchais enfin ses fesses, les écartais et enfouis mon visage dans le sillon fessier. Ma langue lécha l?anus un moment pour ensuite y pénétrer d?un petit centimètre. Je fus étonné  del'extrême souplesse de son cul. Il me paraissait, bien accueillant.
La salive et ma langue firent son oeuvre et le cul d'Isa était prêt pour recevoir le sexe royal de son amant. Ahmed bandait à la demande ... le sexe droit bien dur ... il pénétra Isa dans la chatte, la faisant gémir de plaisir. Il la baisa ainsi plusieurs minutes avant de se dégager.
Bien sûr je prenais toujours les photos.
Débout, à 50 cm d'eux, je voyais sur l'écran ( zoomé ) le gland appuyé sur l'anus d'Isa. Je me dis qu'elle allait souffrir. Ahmed poussa et la bite s'enfonça, au contraire, sans aucun problème, de toute sa ( longue ) longueur. Isa ne cria même pas, mais feula comme une chatte en chaleur. J'ai pris 2 photos de la pénétration. La bite dans le cul, ma femme attendait.
- Alors Daniel, tu vois ma bite dans son cul ... elle est rentrée facilement ... le cul de ta femme est habitué à ma queue.  Il commença alors son va et vient et il encula Isa pour son plus grand plaisir non dissimulé.
Elle disait :
- Oui, chéri, oui, oui, encule ta pute ... j'aime ça ta grosse bite qui m'encule, Oh c'est trop bon, je la sens qui m'ouvre ...

-Tu aimes ça salope, ton mari se régale de voir sa pute de femme se faire enculer ...  Isa se faisait enculer avec plaisir et elle jouissait ainsi.

je suis jaloux de l'enculage d'Isa


Je prenais différentes photos dont plusieurs de son visage.
Ahmed ahanait et s'affairait à son " travail" . Lui aussi prenait du plaisir avec le cul d'Isa.
Je n'en revenais pas. Il pénétrait avec force sans ménagement comme s'il pénétrait la chatte et d'ailleurs il le dit :
 Son cul est souple et on y rentre sans problème, cette salope est la reine ....
Un long moment après il éjacula en grognant fortement.
Ils s'écroulèrent tous les deux. Ils restèrent ainsi, lui la bite dans les entrailles d'Isa.
Ils s'endormirent .... Je me masturbai et je jouis ....
Mon réveil, tard dans l'après midi, fut douloureux. La tête embrumée et les idées sombres.

Ahmed s'était comporté en prédateur vis à vis de moi, de nous.

Il avait envoûté ma fiancée, l'avait sensuellement détournée de moi sans jamais faire appel à une complicité entre ses amants.
Il s'était arrangé pour qu'elle n'aime que lui.

Big hands!!!

Son discours était cynique. Je servais d'alibi à un vieux barbon qui se payait une jeunette aux frais d'un...con de cocu ! Un autre aurait tué Ahmed d'un coup de pistolet...Mais à quoi bon ? ça n'aurait rien changé. Laisser tomber Isa, partir ??? 

la satanée bite d'Ahmed avait fait des ravages par tous les trous  

J'errais seul ... Je sortis me balader sur la plage en espérant je ne sais quoi.
Aucune structuration de mes idées, de mes pensées, de mes priorités et des mes fantasmes n'étaient en vue.
Rien, le néant.
Je suis revenu au cabanon tard ... vers 21 ou 22 heures ... Je trouvais Isa et Ahmed, sur la terrasse. Ils étaient toujours nus. Ils m'interrogèrent du regard, mais j'étais incapable de répondre quoi que ce soit.
Je m'affalai sur un fauteuil et je me mis à pleurer. Pourquoi ? Moi-même, je ne le savais pas.
Je ne répondis à aucune question pressante de l'un ou de l'autre.
Plus tard, un livreur apporta des pizzas et un plateau de fruits de mer, qu'Ahmed prit après avoir mis un short.
Ahmed saisit l'occasion :
 - Allez, viens manger, Daniel, viens il y a de quoi te régaler avec un bon vin blanc et du chianti. Viens renchérit, Isa, allez ! -Je viens, parvins-je à dire. - A la bonne heure ! Assis tous les trois, je parvenais petit à petit à reprendre le dessus et à participer à quelques conversations ... Encore plus tard, après ce bon repas, j'allais mieux et mon esprit était lucide. Nous étions nus tous les trois.
Ahmed le constata et parla :
-Tu nous a inquiétés, Daniel, nous pensions que tu étais fâché ? - C'est un fait que je ne sais plus où j'en suis. Je viens de me marier avec la plus belle fille du monde et c'est toi qui en profites, c'est toi qui as tout eu d'elle, tu as eu tous ses pucelages, tu viens de passer la nuit de noces avec elle, alors, avoue qu'il y a de quoi être perturbé, non .... ?
- Ah ça, je m'y attendais. Justement nous allons mettre les choses au point en toute amitié, Daniel ! - Oui je veux bien - Si tu es d'accord, mettons les choses au point à partir de maintenant ? --Oui, pourquoi pas ? Isa se taisait nous laissant à notre échange verbal. L'anomalie de la situation ne leur sautait pas aux yeux
- Ok, alors voilà. Tu veux quoi, tu veux partir maintenant et emmener ta femme avec toi ?

- C'est possible ... mais il faut l'avis d'Isa !  - Alors, Isa que réponds-tu à cette possibilité ?
- Ce serait une erreur - Pourquoi, dit Ahmed ? ? Parce que nous ne sommes pas allés au bout de ce que nous voulions, de ce que nous recherchons et Daniel démontre qu'il n'assume pas ... -...? - Oui, et j'ajoute que ce serait une catastrophe pour votre jeune couple, connaissant les attentes de chacun de vous  

- Alors, dis-je, je suis dans l'erreur ?
- Oui, mon chéri, il faut le reconnaître  - Que proposes-tu ??
- Toujours de faire confiance à Ahmed,

Ahmed intervint.
- Je vais vous clarifier les choses, tu vas comprendre. Isa viens me sucer la bite ! Isa fit ce que son amant demandait.
Aussitôt je bandai fortement. Ahmed fouilla le sexe d'Isa avec ses doigts. Je la voyais onduler des fesses.
Ahmed m'ordonna de me masturber. Je le fis avec plaisir.
Au bout d'un moment, Ahmed dit :
- Daniel, viens derrière ta femme et pénètre sa chatte. Je n'en revenais pas .... Ce fut un flash dans ma tête. Je me levai à toute vitesse et guidant mon sexe je pénétrai pour la première fois ma femme ( et une femme en général ) J'entrais dans sa chatte comme si j'entrais dans un gouffre, large et béant.
Je compris en une seconde ce qu'avait voulu me faire réaliser Ahmed. Déçu, je retirai ma verge comme foudroyé par  la vérité crue et je restai débout, immobile.
 -Tu pourrais continuer, mais tu ne le fais pas. Tu as constaté que Isa n'a pas réagi et tu comprends pourquoi. C'est déjà un grand pas vers ce que tu dois intégrer et assumer. Isa cessa sa fellation et me sourit.

le coach fixe les règles

-Je vais dire les vérités simplement et après nous n'en parlerons plus :
-Daniel, ta queue est en dessous de la moyenne, et Isa est habituée à la mienne qui est quasiment du double de la tienne tant en longueur qu'en grosseur. Ta personnalité, malgré tes quelques petites révoltes, est d'être voyeur et disons passif.
 Celle de Isa est d'être soumise aux hommes qui sont susceptibles de la faire jouir.  Vous êtes à la fois opposés et complémentaires.
Vous vous aimez passionnément, mais d'un amour céleste et platonique.
 Jamais vous n'auriez pu vivre une sexualité physique de couple.
 Enfin, Daniel, tu as, au fond de toi, un véritable fantasme de masochisme du mari cocu et content de l'être.
 Et Isa devra te ménager des plaisirs sans négliger les siens.
Voilà la réalité, Daniel. Isa ne peut pas jouir avec toi. Elle aura plaisir à te recevoir en elle, mais uniquement par amour. Ce ne sera jamais physique. Tu dois comprendre ça, et c'est pareil pour son cul qui est aussi habitué à ma grosse queue

 J'avais écouté cette explication simple et simpliste avec une grande attention.... Ahmed avait raison, je m'en étais rendu compte ...physiquement. Mais cela me résumait sans nuances.

Dès juin, après "l'événement" (un peu le viol), je m'étais posé des questions.  "et si j'avais tellement communié avec ma fiancée baisée à fond au point d'en avoir été jaloux...de désirer me faire tirer comme elle, d'être rempli de l'énorme bite de Ahmed  ??? "ou de n'importe quelle bite ? mon attitude passive de partage du plaisir des deux autres membres du trio me fait penser à une homosexualité possible.

 
 Ahmed n'entendait pas me laisser réfléchir trop longtemps.

-Alors, me diras-tu maintenant ? C'est à vous de conclure, à vous de savoir et je vous propose de vous parler, tout de suite, sans attendre.

- C?est bien Ahmed, tu as raison, il faut que ce soit moi qui parle à Daniel, intervint Isabelle. Il faut que nous établissions maintenant les "règles" de notre futur.
Puis s'adressant à moi, elle poursuivit : Mon chéri, depuis longtemps, nous avons grandi pratiquement ensemble, et nous nous sommes aimés, jusqu'à désirer nous marier, et nous voilà mariés. Je t'aime, j'en suis certaine. Pourtant, nous sommes passés à coté d'une catastrophe conjugale. Et ça aussi j'en suis certaine. Nous sommes jeunes et nous ne savions pas. Maintenant nous savons. Je sais moi, que sexuellement ça n'aurait pas bien fonctionné entre nous. Depuis plus d'un an que je fais l'amour avec Ahmed, je suis habituée à ce genre de sexe  : depuis que je baise avec Ahmed, je suis un peu comme sa femme .... Comme je le disais j'ai besoin de lui. Alors, j'irai chez lui quand j'en aurai vraiment besoin. Et comme ça, tu ne seras plus mal à l'aise. Voilà ce que nous allons faire et j'espère de tout coeur que tu accepteras. Qu'en dis-tu ?
 Je restai quelques secondes à réfléchir :
- Je suis conscient de ce que vous avez dit, tous les deux, je vois bien la différence qui existe entre Ahmed et moi et je sais que les choses étant ce qu'elles sont devenues depuis un an, il est impossible de revenir en arrière. Alors, moi, je vous propose autre chose, voilà : Ahmed, s'il est d?accord, sera toujours le bienvenu à la maison et vous pourrez continuer comme jusqu'à présent, sans avoir à vous cacher de moi. J'accepte de te partager avec lui. Je ne veux aucune gêne, entre nous. L'essentiel pour moi étant d'être toujours près de toi et de vous voir faire l'amour. Oui, car je sais moi aussi que je suis voyeur et qu'être cocu me convient parfaitement. Voilà ! Tous les deux restèrent muets.

question : "Ahmed, tu as déjà baisé un mec ? "

Ce que je ne disais pas c'est que mon projet c'est de partager totalement à deux la queue d'Ahmed. Chacun de nous aurait son amant sous le même drap, sous le même toit !
Voila comment notre vie de jeunes mariés a commencé.
La suite viendra probablement dans quelques temps. Nous n'avons qu'un mois de mariage mais nous en avons déjà beaucoup à raconter.

Je vous donnerai l'occasion de réagir sur mon premier enculage par Ahmed.


A bientôt

Courrier du blog : claudemodou@gmail.com 

dicksforgirls: ♛

 demande à Ahmed, dis-lui que tu aimerais le voir me baiser...

j'aime quand il a l'air de me menacer

 theladycheeky: Sorry, but this is sexy as hell!

j'aimerais bien vous aider à baiser

theladycheeky: Oh my!!!!

 

et que lui me traite exactement comme toi

 Delicious!!!

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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