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Vendredi 10 mai 5 10 /05 /Mai 06:28

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"Je lui ai dit de retirer sa capote et de gicler en lui"

C’est lundi, il fait gris, tout est morose. Tous en costumes et toutes en tailleur... Si mes collègues et ma famille savaient. Le samedi j’enlève mon masque facial de travailleur et de père clean et sage. J’apparais sous ma forme naturelle, une bête de sexe. Je laisse agir le démon qui est en moi et qui me pousse à aller toujours plus loin.

Ce samedi j’ai dit à ma femme que j’avais un dîner avec des vieux amis que j’avais pas vus depuis des années. Je suis sorti seul sans elle, tout en sachant d’ailleurs qu’elle en profiterait certainement pour aller faire un tour aussi de son côté. J’avais rendez vous dans un club très hot avec... un jeune collègue, nouveau dans la boîte où je travaille, une chance d’acquérir de l’expérience. Il a à peine 18 ans et il sera cadre ou patron un jour.

À force de discuter avec lui, il m’avait presque convaincu des soupçons que j’avais à son sujet sur le fait qu’il était homosexuel. Quand je lui ai avoué ma bisexualité, il ne m’a pas semblé choqué, ni même apeuré. Il a simplement souri. Je réussis à le convaincre de venir voir ce qu’il se passe dans ce genre d’endroit, en faisant bien sur croire que je n’avais jamais mis les pieds. Je suis passé le chercher chez lui.

Il était très beau, châtain, les cheveux mi-longs, pas très mince mais pas fort non plus, juste ce qu’il faut pour qu’il m’excite à point. Il était très sexy dans son pantalon style armée et sa chemise ouverte. Nous sommes allés dîner, nos regards étaient de braise. Les allusions permanentes, puis ensuite nous nous sommes rendus dans cette boîte.

Sur le chemin je l’ai embrassé plusieurs fois. Ni mes 40 ans, ni le fait que je sois marié ne semblaient le déranger. À travers ses vêtements je sentais son corps tendu de désir et ses mamelons dressés. La boîte était très sombre, l’ambiance électrique. J’ai sorti des menottes et j’ai attaché mon compagnon du soir à mon poignet. Il m’a regardé d’un air amusé en me disant:

— Tu as peur qu’on me viole?

Je lui ai juste dit en le serrant:

— J’ai juste peur que tu prennes la fuite.

Nous sommes entrés boire un verre puis je l’ai emmené à l’étage inférieur. Au bas de l’escalier face à un miroir, appuyé sur une barre fixe, un jeune blond se faisait pénétrer en levrette par un homme musclé. Le jeune était nu comme un ver et l’homme entièrement habillé. Nous sommes restés à côté d’eux, un long moment à contempler la scène. Je sentais mon compagnon à la fois gêné et excité. Le blond avait le cul très ouvert, dès que la queue ressortait de son fourreau trempé on apercevait un sexe gigantesque et un trou béant. L’homme éjacula ensuite dans le jeune qui hurlait de plaisir.

Je dis à mon compagnon:

— Tu le trouves beau? Il t’excite?

Il me dit que jamais il ne se laisserait prendre comme ça par un inconnu. Le blond se retourna et lécha le sexe du mec une dernière fois, il nettoya bien son gland en nous fixant du regard, puis il vint vers moi. Ses traits m’apparurent plus précisément très beaux. Il approcha encore et posa sa bouche contre la mienne. Nos langues se mêlèrent et le sperme recueilli par son nettoyage se mélangea à ma salive. Mon compagnon me regarda d’un air dégoûté.

— C’est dégueulasse! Il vient de sucer une queue d’un inconnu pleine de sperme et tu lui roules un patin? T’es malade.

Il essaya de partir mais les menottes l’en empêchèrent. Je l’ai plaqué contre le mur et l’ai embrassé à mon tour. Il essaya de se débattre pour la forme car au bout de quelques secondes je sentais sa bouche aspirer ma langue et ce fougueux baiser dura plusieurs minutes. Il m’a regardé dans les yeux en me disant:

— J’adore ça, le goût du sperme sur ta langue après avoir vu tout ça, c’est dingue, je deviens fou!

J’ai glissé ma main dans son pantalon et touché son sexe. Il était très dur. Je lui retirai tous ses vêtements et le laissai juste en slip. Je l’entraînai ensuite dans une autre salle où des couples, hétéros et gays, faisaient l’amour chacun de leur côté. Je me suis mis à embrasser mon compagnon devant ce spectacle. Je caressais ses fesses, finalement plus conséquentes que ce à quoi je m’attendais.

J’étais assis derrière lui. Il penchait la tête pour m’embrasser pendant que ma main caressait son anus humide et bien ouvert déjà.

Un mec qui passait par là fut ravi que je l’appelle:

— Viens, mon ami va sucer ta queue.

— T’es fou, je ne sucerai pas la queue de cet inconnu.

— T’es tellement trempé que tu ne peux pas te permettre de refuser d’assouvir tes délires non?

Il a pris le membre dans sa bouche délicatement puis s’est transformé en quelques minutes en véritable chienne. Le gland entrait dans sa bouche comme dans un aspirateur. Il salivait tellement qu’il avait de la bave partout sur le menton et sur le torse que je massais avec plaisir, la queue raide. Il suça le mec pendant 5mn, puis vint m’embrasser.

— Tu m’excites, quand je pense que je viens de le sucer et tu m’embrasses comme ça, sans retenue!

Il s’est ensuite mis à 4 pattes et le mec a commencé à le prendre en levrette.

Bien sûr, en même temps,il s’est mis à me sucer. Il y avait quelque chose entre nous c’était sûr. Le mec le bourrait vraiment très fort. Ses fesses ondulaient en une vague de plaisir. Je voyais sa langue sur mon gland, quel mec, sa salive était brûlante ! Le gars n’en pouvait plus c’était sûr, je l’ai regardé et lui ai dit de retirer sa capote et de gicler en lui.

— Non, non, dit-il.

— Vas-y, fous lui la dose!

Le mec explosa dans son ventre immédiatement. Il sortit sa queue pour balancer ses dernières giclées sur son dos...

— Casse-toi, lui dis-je.

Je vins derrière lui à mon tour. Je l’allongeai sur le dos. Son cul était ouvert en grand et j’y glissai 3 doigts. Je sentais le sperme couler de son anus. Alors je me suis mis à genoux et j’ai passé ma langue dans son trou, j’aspirais sa chair, nettoyais son cul.

Puis je me suis collé à lui et j’ai léché ses mamelons. Il gueulait:

— Mets-la-moi vite, prends-moi, baise-moi...

J’ai mis ma queue en lui, lentement, doucement. Je lui disais que grâce au sperme de l’autre mec, son anus était béant, glissant, brûlant. Mon gland entrait en lui comme si des dizaines de mecs l’avait pris. Il m’embrassait entre deux paroles... Il haletait. Il me disait qu’il n’en pouvait plus. Je me suis allongé sur le dos et il était assis sur ma queue. Des couples nous regardaient en se caressant.

J’ai retiré ma queue de lui tout en restant dans la même position. Il m’embrassait mais en lui un autre mec était venu mettre sa queue. Deux mecs sont venus jouir en lui dans cette pose tour à tour. Puis il a repris ma queue dans son cul. Il criait:

— Fais-moi jouir toi maintenant, je suis plein de foutre, alors vas-y, crache ton sperme en moi, jouis, prends-moi comme une salope.

Ses paroles et le sperme en lui qui coulait le long de mon gland nous ont fait jouir rapidement. Nous sommes ensuite restés quelques minutes hébétés, repus de sexe. Nous sommes ensuite partis.

Je l’ai raccompagné chez lui, où il m’a fait nettoyer son corps de fond en comble avec ma langue. On a baisé encore plus fort. Voilà c'était son passage et son initiation, la vie gay s'ouvrait devant lui.

rawbareback: Ashton fucks Coner RAWhttp://www.pornotycoon.com/2012/12/26/ashton-fucks-coner-raw/

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 16 avril 2 16 /04 /Avr 23:18

 

http://paradissens.blogspot.fr/ cabinet de massage

1. Un kiné un peu particulier

Suite à un accident de travail, je me suis retrouvé hospitalisé pendant plusieurs mois. Les soins qui me sont dispensés furent multiples et longs et pour pouvoir retrouver l’usage normal de ma jambe, j’ai dû subir de très nombreuses séances de kiné.

Ces séances commencent à l’hôpital où je suis soigné depuis deux mois. Il faut rendre la mobilité à ce genou et cette cheville qui ont été blessés dans l’accident. Quelques massages sont prescrits et des activités multiples dans la piscine complètent ces soins. Et il y en a pour quelques mois encore m’annonce le médecin qui me promet un rétablissement complet au terme de ces soins.

Dès le début, un jeune kiné répondant au nom de Martin m’est attribué. Il n’est pas bien grand et plutôt bien enveloppé. Le petit rondouillard est un bon vivant. Il dispense sa bonne humeur tout autour de lui et il a la répartie facile. Il aime les plaisanteries et n’est jamais le dernier pour raconter quelques blagues parfois salaces.

Son embonpoint lui vaut quelques quolibets de la part des autres kinés. Il est la cible de leurs attaques incessantes. Elles ne sont pas bien méchantes, mais à la longue, ça doit faire mal. Je sens bien qu’il ne les apprécie pas vraiment, ces plaisanteries disgracieuses. Il est kiné, comme les autres, il a les mêmes compétences qu’eux, il est aussi efficace qu’eux, si pas mieux. Martin, quant à lui, il préfère faire semblant de ne pas trop les entendre et rit de temps en temps de ces remarques. Il veut montrer que ça ne l’atteint pas mais avec le temps qui passe et les séances de kiné que je reçois, je commence à me rendre compte que les agissements de ses camarades ne lui sont pas aussi indifférents qu’il veut bien le laisser entendre.

   

 

       

Nous nous entendons bien tous les deux et nous nous apprécions mutuellement. Il doit avoir une vingtaine d’années, mesure un mètre soixante-cinq et a quelques kilos de trop. Moi, j’ai cinquante-cinq ans et quelques kilos en trop également. Ni lui ni moi sommes des adonis. D’un aspect quelconque, nous ne pouvons mal d’attirer le regard des autres. Nous sommes comme tout le monde: des gens ordinaires.

       

Le rituel des séances de kiné est toujours le même, on commence pas une série d’exercices physiques avec quelques poids, non pas du body building, de la gym au niveau des jambes, puis on me place quelques appareils électriques et enfin il termine par une séance d’élongation et de massages des jambes.

Le temps passe, les séances se répètent tous les deux jours. Pour faciliter le travail de Martin, je viens avec mon maillot de bain, un short moulant coloré. De cette manière, je dégage complètement mes jambes et il peut officier sans problème. Pendant l’heure que dure la séance, je lis quelques magazines et journaux et lorsque les massages commencent, nous parlons de tout et de rien Martin et moi.

Un jour, allez donc savoir pourquoi, pendant que Martin me massait les jambes, une idée grivoise me traverse l’esprit. Je revois quelques images d’un film où un kiné dépasse les limites de son métier et a une relation sexuelle avec son patient. Martin n’y est pour rien, il n’a jamais eu le moindre geste équivoque, la moindre parole déplacée qui pourrait indiquer une telle envie. Il évite même les blagues un peu trop grivoises. Il est vraiment timide quand il s’agit de question sexuelle privée.

Je sens dans mon maillot de bain ma queue qui commence tout doucement à gonfler. Mon maillot moulant comme tous les maillots de bain actuels donne une idée de ce qu’il cache et en temps normal, ça ne pose pas trop de problème, mais ici, avec ce pénis qui prend de l’ampleur alors que je suis massé par mon kiné, ça me met dans une position difficile. Je tente par tous les moyens possibles de ramener mon pénis à une situation moins compromettante. J’y arrive enfin et bien avant que ma queue n’ait atteint une taille qui m’aurait mis en difficulté face à Martin. Je suis soulagé et je m’en veux d’avoir risqué un incident tant pour moi que pour Martin que je respecte au plus haut point.

J’aborde la séance suivante avec une appréhension, mais j’arrive à me contenir et aucun incident ne me perturbera. Je parviens à me contrôler même si chez moi, dans le secret de mes fantasmes je m’imagine avec Martin prenant des leçons de massage bien plus agréables que celles dispensées normalement. Mon esprit vagabonde et je le vois me massant la queue, les couilles pendant que je suis allongé sur la table de soins et que je lui triture le sexe que je sors de son pantalon. Sa braguette est à bonne hauteur et je n’ai pas d’effort à faire pour atteindre ses bijoux de famille.

Petits jeux en solitaire et imagination fertile me permettent un orgasme qui calme mes ardeurs avant de me rendre à mes séances de kiné. Mon esprit est plus calme et j’arrive alors à me contrôler.

C’est du moins ce que je faisais jusqu’à ce jour fatal où l’incident redouté se déroula, la catastrophe, l’inévitable.

La séance était bien avancée et la machine qui est placée pour me prodiguer les soins impose un immobilisme de ma part qui dure une vingtaine de minutes. La chaleur aidant, je m’endors. Mes fantasmes refont surface au cours de mon sommeil et un petit bandage se développe entre mes cuisses. Ma queue reprend ses envies d’érection. Mon pénis tend la toile de mon maillot de bain et prend sa place dans sa gangue de toile. La bosse qui se dessine à mon entre jambes est très explicite sur le contenu de mon rêve. Je vis mon fantasme une fois de plus.

Tant que l’appareil fonctionne, personne ne vient me déranger et c’est la sonnerie de la machine qui signale la fin du traitement qui me sort de ma torpeur. Là, je constate mon état mais avant que je n’ai eu le temps de faire quoi que ce soit, Martin a ouvert le rideau du box où je suis pour venir débrancher l’appareil. Je suis mal, très mal. La présence de ce gars, que je respecte pourtant, me met dans une position des plus délicate. Martin se rend compte de mon état et il se retire rapidement en esquissant un sourire:

— Je repasserai dans cinq minutes, dit-il et il referme le rideau.

Je m’attends à toutes sortes de remarques des plus déplacées, des plus gênantes lorsque je sortirai de mon box. Mes oreilles sont aux aguets et écoutent tous les bruits, tous les mots aux alentours. Mais il ne se passe rien, pas de rire, pas de remarques. Tout reste normal dans cette salle de soins. J’en suis soulagé. Mais que va dire Martin lorsqu’il reviendra me prodiguer la suite de mon traitement? Il va certainement se moquer de moi. C’est la honte. Il faudra que je change de kiné alors que lui connaît parfaitement mon problème médical. De plus, il n’habite pas trop loin de chez moi et il m’avait proposé d’assurer mes soins à domicile si cela s’avérait nécessaire.

Le rideau du box s’entrouvre et la tête de Martin apparaît. Il constate que je suis revenu dans un état normal et il entre dans le box en refermant le rideau derrière lui comme d’habitude. Il ne se moque même pas, il agit comme d’habitude et commence le massage comme si de rien n’était.

— Il ne faut pas te formaliser, dit-il. Ce n’est pas la première fois que ça arrive. Il est courant que des gars s’endorment et qu’un petit problème survienne. On a l’habitude. On se retire et on reprend les soins un peu plus tard. Rassure-toi, il n’est pas question non plus que cela s’ébruite, professionnellement d’abord, cela nous est interdit d’en parler, et puis par respect pour le patient il faut qu’on sache se retenir. Il y va de la confiance qui doit exister entre le malade et son thérapeute.

Je suis rassuré. Les soins se terminent et je m’en vais honteux de ce qui vient de se passer et fâché sur moi-même d’un tel comportement irrationnel. Les fois suivantes, ce petit inconvénient ne s’est plus reproduit. Je faisais tout pour ne pas m’endormir et je me plongeais dans la lecture de revues informatiques et scientifiques pour éviter tout débordement de ma libido.

Un jour, au cours du massage, par inadvertance, le bras de Martin a effleuré mon maillot de bain. J’ai sentis ce frôlement sur ma bite. Oh là, me dis-je. Pas de panique, ce n’est qu’un accident. On se calme. Une autre fois, ce contact se reproduit. Au cours du massage, le coude de Martin vient délicatement en contact avec ma queue. J’en frissonne mais lui il fait comme si de rien n’était et continue son massage médical. Je pense qu’il ne dit rien pour me rassurer et pour ne pas soulever une éventuelle polémique. C’est un accident, rien de plus. Pas de quoi en faire tout un plat.

Lors d’une séance suivante, Martin me dit qu’il faut modifier un peu le massage sur ordre du médecin. Il faut qu’il me masse l’arrière des jambes et des cuisses car mobiliser uniquement la face avant n’est pas l’idéal maintenant que je recommence à retrouver de la mobilité au niveau du genou. Je me mets donc sur le ventre et il commence son massage depuis le pied jusqu’à mes cuisses, à la limite du maillot de bain. Je souris et me dis que dans cette position, je risque bien moins d’être gêné s’il m’arrive un petit problème.

Lors d’un de ses massages dorsaux, Martin me parcoure la longueur de mes jambes, l’une après l’autre. Il me masse les mollets, les cuisses. Il m’écarte un peu les jambes pour pouvoir atteindre la face interne de mes jambes. Le massage doit être complet pour être bien fait. Mais que ça me fait un bien fou. J’en suis tout excité. Mais comme j’ai pris mes précautions en me couchant sur le ventre et que j’ai mis ma queue bien relevée dans mon maillot pour lui permettre de bander sans me mettre en difficulté, le petit bandage qui se dessine à mon bas-ventre peut évoluer sans problème.

Lors du massage de cette face interne, la main de Martin frôle mes couilles à travers le maillot de bain. Une petite fois, à peine posée, à peine un léger souffle. Mais je l’ai très bien senti et mes bourses réagissent immédiatement en se resserrant un peu. Et si Martin avait des envies très recommandables pour moi me demandais-je. Je crois qu’à ce moment, je désirais que ce soit possible, j’espérais que mes fantasmes se réalisent. Mais nous sommes dans un hôpital. Ce sont des soins médicaux qui y sont prodigués.

Une séance de plus, je suis toujours sur le ventre pour terminer mes soins. Les mains de Martin me font un effet vraiment particulier. Dès qu’il entre dans le box pour le massage, je commence presque instantanément à bander ferme. Je m’excite en pensant à tout ce que je pourrais faire avec lui et avec ses massages.

De temps à autres, par hasard, involontairement de sa part, me semble-t-il, son bras me frôle les fesses, son coude entre en contact, oh bien léger, avec ma raie postérieure. En une ou l’autre occasion, c’est une de ses mains qui a débordé de la limite de mon short de bain et m’a caressé l’entre-cuisses, mais de manière si légère, si rapide que ça ne peut qu’être fortuit, me dis-je pour me calmer. Il est arrivé une fois qu’il a glissé sur le sol où s’était répandu un peu de talc et une de ses mains a terminé sa course sur le matelas de la table de soins, entre mes cuisses, contre mes couilles. Il s’en est excusé immédiatement et a retiré prestement sa main fautive. C’est un accident, me dis-je une fois de plus. Mais si je fais l’inventaire de ces multiples accidents, il me semble qu’il commence à y en avoir un peu beaucoup.

Il faut que j’en aie le cœur net. Mais comment faire? L’attaquer de front n’est pas possible, nous ne sommes pas seuls dans cette salle de soins. Entamer une conversation qui risque d’être entendue par le voisin, par un autre kiné, ce n’est pas sainement envisageable. Alors, comment faire? Il faut que je trouve une solution.

Ses mains me caressent les jambes de haut en bas, sur la gauche, sur la droite. Elles vont de mes pieds jusqu’à la limite de mon maillot, le long de l’ourlet des jambes de ce short de bain. Ce jour-là, j’ai comme une impression curieuse mais oh combien agréable. En effet, il me semble que ses massages se sont fait moins fermes, plus doux, dirais-je. Ce ne sont pas des caresses, mais ça ne ressemble plus vraiment à des massages médicaux. Je dois me faire des illusions, me dis-je. Ce n’est pas possible. Mes fantasmes troublent mon jugement.

La fois suivante, je me promets de bien faire attention au comportement de Martin. Je vais surveiller sa façon de faire. Je dois savoir. Je cherche également comment je pourrais agir pour montrer à Martin que je suis consentant et qu’il peut aller plus loin s’il le désire. Ce n’est pas aisé dans ces circonstances. Les lieux ne sont vraiment pas l’endroit propice à de tels ébats. Mon cerveau carbure à cent à l’heure. Des dizaines de propositions me viennent à l’esprit, toutes plus saugrenues les unes que les autres. Aucune ne semble me convenir.

Il me reste encore deux séances de kiné à recevoir et normalement ce sera terminé. Je ne serai plus soigné par Martin. Et rien ne s’est encore passé. Il semble que je fantasme vraiment et que la réalité est toute simple: je me fais des idées.

Après les machine, Martin viens pour l’avant dernière fois me masser les jambes. Je suis toujours sur le ventre, ma queue est en bonne position pour m’éviter de douloureuses réactions. J’attends avec impatience les caresses de mon Martin. J’en suis certain cette fois, ce sont des caresses qu’il me fait, ce n’est pas un massage médical ça. Il m’excite tellement que j’en frissonne sur tout le corps. Martin ne peut pas ne pas l’avoir vu. Tous mes poils se sont hérissés. J’en suis certain, il l’a remarqué parce qu’il a ralenti ses mouvements au moment où j’ai eu ces frissons de plaisir. Martin sait bien que si je frissonne, ce n’est pas à cause de la température de la salle de soins, il y fait près de 25 degrés!

Pour la première fois depuis le début de ses massages, Martin a relevé le bas des jambes de mon short de bain. Il les a remontés le plus haut possible sur mes cuisses pour dégager mes jambes au maximum. Ce faisant, ses mains sont venues se blottir contre mes couilles, à plusieurs reprises. Il semble prendre un malin plaisir à replier le tissu le mieux possible, mais je suis persuadé qu’il veut jouer avec moi. Il me teste, là. Il veut connaître mes intentions. Mais comment faire pour lui faire comprendre que je suis consentant? Je n’arrive pas à trouver une solution raisonnable. Je n’arrive pas à voir son visage. La seule chose que je peux regarder, c’est le bas de son corps en dessous des bras. La tête m’est cachée parce qu’il est penché au-dessus de moi pour me masser.

J’essaye de le surveiller, d’épier les mouvements de sa part que je peux voir. Quand il me masse, il le fait de bas en haut puis de haut en bas. Lorsqu’il effectue ce massage de haut en bas, son corps vient se mettre à hauteur de ma hanche. J’ai une vue imprenable sur son bas-ventre. Il a fini de replier les jambes de mon short de bain. Je rêve. Ce n’est pas possible! Martin est en train de bander, le cochon. Je vois très nettement la bosse que fait sa queue dans son pantalon. Comme pour me provoquer, on dirait que Martin fait bouger sa queue, la bosse grossit puis diminue à un cadence qui ne suit pas celle de ses massages.

Je dois agir. Il faut que je fasse quelque chose. Je ne dois pas laisser passer cette chance. Martin veut de moi. Il me le fait comprendre là. Mes bras sont étendus le long de mon corps. C’est bien. Je vais essayer de lui toucher la queue de la main pour lui montrer mes intentions. Avec douceur, je déplace mon bras et oriente ma main curieuse vers la braguette de mon Martin. Délicatement, je lui pince le sexe. Quel bonheur, je le touche enfin. Je lui crierais bien mon plaisir mais les lieux sont là pour me rappeler à l’ordre. La queue de Martin se raidit sous mon contact. Elle palpite sous mes doigts. Il ne se retire pas, il donne un petit coup vers l’avant, vers cette main qui lui donne du plaisir. C’est cela, je peux continuer, je dois continuer. Il en veut vraiment.

J’enveloppe un peu plus son sexe et je commence à le branler au travers de ses habits. Il pousse des petits soupirs de contentement. Il me laisse faire. Je continue doucement à l’exciter. De son côté, Martin a repris ses massages mais il ne parcoure plus toute la longueur de mes jambes, il se cantonne à mes cuisses, mon cul, mon entre-cuisses, là où il trouve mes bouses qui bouillonnent. Il me les caresse avec délicatesse. Il pousse sa main entre mes couilles et le matelas de soins pour tenter d’atteindre ma queue toute raide qui l’attend depuis si longtemps. Je ne fais pas prier, je me soulève un peu pour lui faciliter le passage. Mon dieu que c’est bon. Enfin mon vœu se réalise. Il me caresse le sexe. J’ai bon, c’est divin.

Pour lui faciliter le travail, je me retourne. Ma queue point fièrement et tend mon short au maximum. Il me la titille, il sourit, il prend plaisir à m’exciter. Je continue également à lui astiquer le sexe. J’ai même réussi à lui ouvrir la braguette et je me suis introduit dans son caleçon. Sa queue est douce, chaude et ferme à souhait. Les poils soyeux de son pubis me procurent bien du plaisir. Ma main erre jusqu’à ses couilles rebondies qui sursautent à mon contact. Il ne s’y attendait pas à un tel assaut. Il m’attrape la main baladeuse et me la retire gentiment de ses bijoux.

— Arrête, me dit-il. Ce n’est ni l’endroit ni l’heure. Ce n’est pas prudent, ici.

Il me flatte encore une fois ou deux la queue puis me demande s’il peut la voir, rien qu’une fois. Ça lui ferait tant plaisir. Je ne peux vraiment pas lui refuser cela. Il attrape l’élastique de mon short de bain et libère ma panoplie sexuelle. Il semble satisfait de son inspection. Il me caresse le service trois pièces, lentement, délicatement. Sa main m’enserre la queue toute raide. Ses doigts tapotent délicatement mes couilles. Je bénis ce moment merveilleux. Mais il est temps maintenant de nous séparer. Il a encore d’autres patients à soigner. J’espère qu’il ne fait pas pareil avec tous les autres sinon je suis tombé sur un fou du sexe. Je ne le crois pas sincèrement car son approche a été bien trop hésitante. Je me rhabille pour quitter l’hôpital. En sortant de mon box, je salue tout le monde. Martin n’est pas là.

— Où est Martin? Demandais-je aux autres kinés.

— Il a dû se rendre à la pharmacie, me répond l’un d’eux.

— Tant pis, vous le saluerez pour moi. À la prochaine.

La fois suivante, c’est la dernière ma série de soins. Je vais devoir quitter mon Martin et nous n’avons encore rien fait ensemble si ce ne sont ces quelques attouchements de collégiens. Je m’installe dans un box libre. C’est un autre kiné qui vient me mettre les machines à tour de rôle. Je ne vois pas Martin. Il n’est pas là. Lui aurais-je fait peur? Je ne pense pas, sa réaction juste avant de nous quitter la dernière fois était sans équivoque possible. Il aimait ça et il en redemandait. De toute façon, il ne m’avait pas rejeté la fois dernière, bien au contraire. Quand il m’a dit «pas ici», ça voulait dire ailleurs. Oui mais où? Il n’avait rien dit de plus.

Quand la dernière machine eu terminé son travail, je me mis sur le ventre, comme d’habitude et j’attendis le kiné, déçu de l’absence de Martin. Le rideau s’écarte et des mains, que je ne regarde même pas enlèvent les accessoires de la dernière machine qui sont encore sur ma peau. Ces mains me lavent la peau pour en enlever les traces des produits employés qui risquent de provoquer des réactions cutanées désagréables. Ces mains commencent le massage comme prescrit médicalement. Je suis de plus en plus déçu. Je me promets de faire le nécessaire pour rencontrer Martin en dehors de ces lieux et de lui demander des explications. Il m’a allumé, il s’est laissé allumé puis nous prive de notre dessert. Ce n’est pas correct d’agir de la sorte.

Mais ces mains ont très vite transformé le massage médical en une série de caresses lascives. Mes couilles en sont toutes saisies lorsque les mains les enveloppent chaudement. Le kiné chuchote à mon oreille:

— Je t’ai bien eu, hein? Tu as cru que je n’étais pas là. Rassure-toi, je ne me défile pas. On peut se revoir quand tu veux, chez moi, chez toi, c’est comme tu veux.

— Chez moi, ce n’est pas possible, ma femme et un de mes enfants en difficulté y habitent. Ce sera parfait chez toi. Quand?

— Après le week-end, disons mardi vers 15h?

— D’accord. J’y serai.

Avant de partir, je lui caresse le sexe et je lui demande qu’il me laisse voir son service trois pièces, il a bien vu le mien l’autre fois.

— Vas-y, dit-il. Ne te gêne pas.

Je descends lentement son pantalon sur ses pieds. Il ne bande même pas alors que moi, j’ai une trique d’enfer. Ce soir, ce sera branlette et compagnie dans mon bain. Et si ma femme le souhaite, et ce n’est pas très souvent, elle pourra y participer. Mais c’est fort peu probable. Je lui caresse le sexe au travers du caleçon. Lentement, sa queue se met à gonfler sous le tissu. Je souris. Lui aussi. Il apprécie mon travail. Je descends délicatement son caleçon libérant sa verge tendue vers moi. Sans plus attendre, je la prends dans ma bouche. Je l’ai une fois de plus surpris. Il a un petit geste de recul très vite contrôlé. Qu’elle est délicieuse cette queue de jeune mec. Il me retient la tête puis retire sa queue de ma bouche.

— Mardi tu pourras jouer avec. Aujourd’hui, c’est fini et tes soins sont finis également.

Je lui remonte le caleçon en profitant de l’instant pour lui tâter une fois de plus le sexe. Il ricane. Je fais de même avec son pantalon. Comme il ne peut pas sortir du box avec son pieu pointé vers l’avant de la sorte, il me donne quelques directives d’exercice à effectuer chez moi pour continuer ma réadaptation. Je le vois débander peu à peu. Lorsqu’il est dans des dispositions plus normales, il me salue et va se consacrer à ses autres patients.

Je salue tous les kinés de la salle de soins et les remercie pour la qualité des soins donnés. Et là, je ne mens pas. Ils ont été super durant ces longs mois de convalescence.

Vivement mardi prochain. Ce sera à mon tour de jouer au kiné avec mon patient Martin.

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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Dimanche 14 avril 7 14 /04 /Avr 01:39

Il se plaignait de l'invasion des PD. Son fils va se venger... en "l'infectant " à son tour !

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Depuis quelques mois c’est la folie. Brian ne peut plus se reposer. L’épidémie qui secoue les États-Unis l’oblige à être sur le terrain 20h sur 24. Lorsqu’il était jeune, il avait signé pour ça mais il n’avait pas imaginé à l’époque que cela allait entraîner autant de stress et de boulot.

Il avait à peine 18 ans lorsqu’il s’était engagé dans les marines. Plus jeune, il faisait partie d’un gang, c’est là qu’il avait rencontré Marie et qu’ils avaient eu un fils Matthew à l’âge de 16 ans. Cela avait changé complètement leur vie. Ils avaient décidé de sortir du gang pour élever leur fils. Ce fut difficile de trouver un travail si bien que Brian avait décidé de s’engager dans l’armée. C’était une autre discipline mais c’est ce qu’il aimait, des heures régulières, des règles à respecter… Sa vie militaire s’était vite calquée sur sa vie familiale. Marie ne devait pas travaillé et était là pour élever Matthew. Au moindre écart, celui-ci était réprimandé. Brian appliquait les punitions sans déroger aux règles qu’il s’était fixé.

Lorsque les premières rumeurs d’épidémie sont arrivées à la caserne, il décida d’interdire à Matthew de sortir de peur que celui-ci soit infecté. Petit à petit, une haine farouche des homosexuels s’est développée en Brian. Il n’était pas question que ces mecs qui pour lui n’en étaient pas s’approche de son jeune fils de 16 ans. Plusieurs fois, ils s’engueulèrent mais régulièrement le père faisait taire son fils par une baffe qui laissait invariablement une marque sur la joue juvénile. Brian n’acceptait aucune marque d’irrespect de la part de son fils.

Dans la journée, enfin on avait livré aux marines de la base la mission qui allait sauver l’humanité. Un vaccin avait été découvert à la maladie homosexuelle. Brian avait appris qu’il partait dès le lendemain en mission afin d’arrêter tous les hommes infectés. Ca allait être une véritable boucherie mais le but était plus important que les moyens pour lui.

Rentré enfin de sa journée, il se dirige vers la chambre de son fils. Celui-ci dort sur son lit à poil la queue en l’air. Matthew n’a pas l’habitude de dormir ainsi et Brian s’interroge. Il est bouleversé par la vision de son fils et il sent monter en lui une colère. Quel manque de pudeur pense-t-il ! Il défait sa ceinture, et s’approche du jeune garçon pour le réveiller. Il se penche et celui-ci ouvre les yeux avec un sourire. Brian surpris est projeté sur le lit. Que lui arrive-t-il ? Son fils semble avoir gagné en force. Il se retrouve sur le ventre et les poignets attachés aux barreaux du lit par des menottes qu’il n’avait pas remarquées.

— Que fais-tu ? T’es malade ? Tu va me le payer !

— À toi de subir mon courroux, mon cher papa ! Répondit Matthew.

Brian sent son pantalon tiré vers le bas. La ceinture ayant été enlevée, il n’est pas difficile de le faire disparaître. Son cul est maintenant à l’air libre. Il essaie de se débattre mais les menottes lui abiment les poignets. Son fils se couche sur son dos, la queue sur ses fesses. Une idée horrible traverse l’esprit du père. Le jeune homme a dû se faire infecté à son tour.

— T’inquiètes pas Papa, on ne sera pas dérangés. Je me suis occupé de ma mère.

Le fils se relève, attrape la ceinture et donne des petits coups sur le cul blanc du père. Celui-ci râle de colère mais les coups se font plus violents. On peut entendre le bruit cinglant de l’objet sur les fesses musclées. Le fils rigole pendant que les coups pleuvent. La peau devient rouge. Il n’arrête pas passant ses mains sur l’épiderme. Il se penche sur son père pour lui murmurer à l’oreille :

— Je vais m’occuper de ton cul maintenant.

Matthew glisse un doigt entre les fesses du père mais celui-ci les serre pour empêcher l’intromission. Le jeune garçon s’amuse de la résistance de son père. Il crache sur son doigt et essaie toujours. Il se couche sur le dos de Brian et plante ses dents dans le cou offert. Pris de douleur, le jeune marine ne se concentre plus sur son cul et relâche sa pression. Matthew en profite pour glisser ses doigts et atteindre la rosette.

— Un petit cul poilu et vierge, hummm.

Le fils n’hésite pas à doigter le père. Un doigt, puis deux, puis trois faisant écarter les cuisses pour laisser bien à disposition le conduit anal. Il a la queue bien raide mais ne souhaite pas posséder encore son père. Il le doigte des heures pour pouvoir l’ouvrir au maximum, cherchant à introduire sa main et lorsqu’il y arrive enfin s’est la délivrance. Son père ne réagit plus sous les caresses de son fils. Il sent juste les doigts toucher sa prostate ce qui lui déclenche un plaisir inconnu. Lorsque Matthew enlève enfin sa main c’est comme une déchirure, comme s'il lui manquait quelque chose. Il en vient même à gémir de regret.

Le fils s’allonge sur le père. Celui-ci peut sentir la chaleur du corps juvénile et imberbe contre sa peau. Son fils glisse sa queue dans le trou dilaté. Il ne peut bouger, les cuisses écartées par les jambes de son enfant. Matthew s'introduit facilement, plongeant sa queue au plus profond de son père. Il commence un va-et-vient brutal, il baise son père avec violence. Celui-ci se cambre, réclamant de son cul la jeune bite raide. Brian ne sait plus où il en est. Il a tout fait pour que son fils ne soit pas infecté mais il découvre que celui-ci en plus d'avoir été contaminé est à son tour en train de lui transmettre le virus. Il n'a pas peur, il désire trop cette queue qui le martèle. Matthew est comme un fou et il ne tarde pas à gicler dans le cul paternel. Il se retire, passe un doigt sur la peau ourlée de l’anus et récupère du liquide qu’il plonge dans la bouche ouverte du père. L’infection est rapide. Brian sent la maladie prendre le dessus sur son corps. Il s’évanouit d’un coup.

Quelques heures plus tard il se réveille avec son fils à ses côtés. Sa queue est raide, il a besoin de sa dose matinale. Il se jette d’abord sur les lèvres de son fils pour le réveiller échangeant avec lui la salive puis se jette sur la queue raide de Matthew. Il passe sa langue sur le gland cherchant à donner le maximum de plaisir à son fils afin de récolter le plus rapidement possible le jus matinal.

— Vas-y suce moi, salope.



      

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Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 12 avril 5 12 /04 /Avr 06:23

 

 

Je reçois ce matin une proposition d'invitation au "Club des A". Pour m'inscrire, je dois lire, accepter et signer le règlement intérieur que je soumets à votre appréciation:

— 1. Le club n'est ouvert qu'aux personnes invitées ayant signé l'accord ci-joint et présentant toutes les garanties médicales nécessaires (certificat attestant la séronégativité datant de moins de huit jours).

— 2. Les membres du club, au nombre de dix, sont copropriétaires du gymnase spécialement aménagé pour les rencontres sexuelles avec leurs invités: agrès, engins de suspension, salle spéciale scatologie, salle de repos...

— 3. Ils s'engagent à accueillir leurs invités dans les meilleures conditions sanitaires (certificats médicaux mis régulièrement à jour, salle de douches, salle de massage, ménage assuré par eux-mêmes, appareils stérilisés).

— 4. Les invités doivent se plier aux exigences de leurs hôtes.

— 5. Toutes les pratiques sexuelles doivent être acceptées à l'exception de tout débordement portant atteinte à l'intégrité physique des invités: sang, fractures, brûlures, étouffements. La dilatation extrême de leur anus fait partie des risques non interdits.

— 6. Sauf dans le cas d'une séance uro-scato, les invités doivent se présenter en parfait état de propreté externe et interne. Un triple et aondant lavement est imposé.  Les parties sexuelles (couilles, bite, cul) doivent être épilées. Le système pileux du bas-ventre est toléré si les poils sont courts.

— 7. Les séances sont de longue durée, surtout si les dix membres y participent. Les invités doivent donc prévoir une présence minimum de 12 heures. Les invités doivent participer très activement aux échanges sexuels et ne pas hésiter à manifester bruyamment, hurler leur douleur, crier leur plaisir, râler, péter, roter, demander davantage, mais ils ne peuvent pas refuser tout acte difficile à supporter. Les locaux sont parfaitement isolés phonétiquement et géographiquement.

— 8. Ils doivent être prêts à absorber le sperme ou la salive des partenaires, ainsi que leur urine et leur merde, en cas de séquence scato.

— 9. Ils assurent ne jamais colporter ce qu'ils ont subi dans le seul but de nuire aux membres du club. Ils peuvent, par contre, proposer un ami proche et relater leur propre expérience sans divulguer les noms des membres accueillants, ni le lieu des séances.

Rien que de lire ce document, je me mets à bander et je n'hésite pas à signer mon engagement pour me livrer à ces dix membres.

Je dois attendre quelques jours avant de recevoir mon "invitation". Rémi, mon cher petit Rémi, en profite pour me préparer minutieusement à cet événement.

— "Club des A" que peut signifier ce A? demande Rémi.

— Je ne sais pas... Amis... Amours... Acrobates... Appareils? dis-je.

— Anatomistes... Apollons... Avaleurs? suggère Rémi.

— Je crois que c'est Adonis! ajoutais-je.

— Du nom de leurs invités... Pourquoi pas! Tu es un vrai Adonis! me lance-t-il.

Rémi inspecte chaque centimètre carré de ma peau pour traquer le moindre poil disgracieux et il tond avec précision ma jolie toison blonde. Tous ces soins s'accompagnent inévitablement de serrements amoureux et d'éjaculations grisantes. Ah, si j'avais pu l'inscrire avec moi! Ce sera probablement pour une prochaine fois, si j'en reviens ravi!

Le jour fatidique est arrivé. Je me pare de mes plus jolis atours: un mini-slip de coton blanc englobant mon ravissant paquet et cachant à peine la raie de mes fesses, un jean moulant, une chemise aux pans retombant sur le pantalon... Un petit air négligé qui plaît souvent! J'arrive au lieu de débauche avec un trac dissimulé, en tordant légèrement du cul.

Mon entrée fait un effet tel que les mecs restent médusés et n'osent pas entrer dans le vif du sujet. Je me mets à les encourager:

— Je suis là pour vous prêter mon corps! N'hésitez pas!

— Tu nous impressionnes, tu es si beau!

— Alors profitez-en au maximum!

— Pour ça, t'inquiète pas! Un si joli blond, ça ne laisse pas indifférent!

Ils s'approchent, l'un d'entre eux commence à passer ses mains sous ma chemise, à la soulever en dénudant mes reins, mon ventre et mes hanches. Que j'aime ce contact voluptueux! Sa bouche s'approche de la mienne, sa langue commence à me lécher les lèvres que j'écarte pour qu'elle passe sur mes dents puis autour de ma propre langue. Ses lèvres se collent parfaitement aux miennes, il se met à aspirer ma salive...

— Ah! Oh! Mmmm! Quel bon jus!

Une autre langue s'amuse avec mon nombril et monte pour atteindre un de mes tétons. De nombreuses mains commencent à me tripoter les cuisses, les fesses, les hanches et, inévitablement, mon service trois-pièces. Les mecs sont en short et visiblement, ils ne portent pas de slip car leurs bites pointent, leurs couilles ballottent. Le tissu est magnifiquement remuant, je suis très curieux de voir ce qu'il cache et d'en profiter.

— Oh! Putain! Qu'il est superbe! Foutez-le en slip!

En quelques secondes, je ne porte plus que ce dernier rempart de coton. Ma bite, tendue vers le bas, en soulève le tissu. Devant ma tenue très provocante, ils se mettent à gueuler:

— Slip! Slip! Slip! Hourra!

— Monte sur la poutre qu'on voie ça de près!

Je dois alors équilibrer ma démarche et progresser lentement entre deux rangées de spectateurs. Mon bassin encore couvert du slip est à la portée de leurs bouches et ils ne se privent pas à mon passage, de fourrer leur nez ou leur langue sous le tissu, de soupeser mes couilles ou de titiller mon gland décalotté, de lécher mes fesses largement dégagées. Ils admirent ma tenue qui ne cache plus grand-chose:

— Oh! Les jolis bonbons!

— Quelle grâce! ce garçon me fait damner!

J'arrive au dernier de la file, raide comme jamais! En tirant sur le slip, il fait violemment gicler ma bite en dehors du dernier rempart. Mon cache-sexe ne cache plus rien du tout! Il est devenu inutile et se retrouve bien vite à mes chevilles.

— On va se régaler les gars!

— Remonte à l'autre bout de la poutre et fais un deuxième passage.

Cette fois, je suis entièrement nu! Ma bite, mes couilles sont successivement englouties par toutes ces bouches gourmandes. Mon anus est atteint par des langues très fouilleuses. Des mains me palpent partout. Je suis à la limite de l'extase. Heureusement, je suis arrivé au bout de mon parcours et j'ai pu retenir mon envie de jouir.

— Allez les gars, on pose notre bite sur la poutre!

Ils ont quitté leur short, j'admire alors ces grosses queues qui vont bientôt entrer et gicler dans mon corps.

— Allonge-toi sur le ventre, rampe et lèche!

Dix bites de belles tailles constituent un chemin extraordinaire: une échelle horizontale avec dix échelons de chair ferme. J'avance difficilement et je fais une halte à chaque sexe que je dois lécher de sa base à son gland. Pendant cette progression délicieuse, je sens de grandes claques sur mon petit cul bien exposé tandis que certains s'amusent à m'attraper les couilles par dessous et à les triturer. Ma bite se frotte perpendiculairement aux échelons à la fois si durs et si doux et là encore j'ai failli expulser ma liqueur. J'arrive à la dernière bite et j'entends:

— Prêts les mecs? Attention, on soulève!

Je me trouve soudain porté à l'horizontale par dix bites (cinq de chaque côté de mon corps)... un peu aidées par quelques mains... Ils me promènent ainsi dans la salle en hurlant:

— Qui en veut? Il est prêt à consommer!

Ils me posent sur le tapis de sol et m'obligent à marcher jambes très écartées.

— Superbe! Admirez ce paquet bien frais, cet anus encore serré, ces fesses bien rondes et fermes.

Je suis à quatre pattes. Il y en a un qui s'allonge sous moi et qui me dit:

— Si tu chies, j'avale!

Un type, qui semble être le chef intervient:

— Si tu veux sa merde, on le convoquera à une séance spéciale, mais pas ici!

— Dommage, j'en voudrais, pourtant!

— Sois patient, notre petit ami reviendra certainement, n'est-ce pas? Et ses boyaux sont vides... Pour l'instant!

— Contentons-nous de gober ces deux jolis petits fruits roses qui pendouillent et de s'accrocher à cette belle branche!

— Oh les bonnes couilles!

— Robuste cette bite!

— Va faire des roulades aux barres parallèles!

— Bonne idée! On pourra t'admirer d'une autre façon.

Sauf que je n'aime pas ce mouvement qui me fait très mal aux bras! Je m'y résous cependant et leur offre ainsi le spectacle de mon entrejambe largement ouvert à leurs regards concupiscents.

— Que c'est beau! Léchons tout ce qui pend mes amis!

— Regardez ce joli trou! Quand je pense qu'on va l'agrandir... naturellement!

Ils me soulèvent de mon perchoir et me portent sur le lieu de mon premier enculage. Un mec couché sur le dos tient sa grosse bite à la verticale.

— Plantez-le dessus! Visez bien!

Ils m'empoignent, me soulèvent et m'empalent presqu'à sec sur ce pieu bien dur.

— Aie! Salauds! J'ai mal! Aie! Non! Ça rentre... Oui! C'est bon! Plus loin, plus profond!

Je suis assis sur le bas-ventre de mon enculeur.

— Parfait! Remontez-le!

— Agitez-moi! Secouez très fort!

Bien porté par trois mecs qui m'impriment un puissant va-et-vient sur le pal particulièrement fougueux, je sens que la douleur est remplacée par un plaisir immense.

— Ouiiiii! Plus vite! Ça vient! Encore plus vite! Ahhhhhhhhh! Que c'est bon!

Il crie que son foutre m'envahit l'anus; je suis aussitôt retiré du pieu et bien vite placé sur une autre queue en attente. Celle-là est plus longue car je sens qu'elle va plus loin que la précédente. Pendant ce nouvel enculage, un mec mélange sa salive à la mienne et un autre me bouffe la bite. Je sens le plaisir monter dans mon bas-ventre.

— Ne suce pas trop fort, je ne veux pas jouir tout de suite!

— Je veux boire ton foutre.

— Attends un peu, il en faudra pour tout le monde!

Le second enculeur s'est lâché en hurlant son bonheur.

— Ah putain! que c'est bon!

On me pose à terre et on me promène sur le tapis de sol en me tirant par la queue jusqu'au cheval d'arçons contre lequel on me courbe pour me faire subir trois autres assauts. Chaque fois des langues me lèchent partout, des mains me caressent ou me branlent. Chaque fois, je dois saliver dans une bouche ou sucer une bite ou encore lécher un anus. Chaque fois, je me régale. Chaque fois, j'en prends plein le cul. Chaque fois, je risque de jouir.

Ils sont déjà cinq à avoir éjaculé en moi, ceux-là se reposent avant de revenir à l'attaque. Je crois d'ailleurs qu'ils respirent des poppers pour se donner du coeur à l'ouvrage. Il en reste cinq. Le foutre dégouline déjà à l'intérieur de mes cuisses, j'ai eu de fameuses doses dans les boyaux!

— Viens là! Je vais te nettoyer!

C'est à grands coups de langue qu'il récupère le liquide sur ma peau lisse, mais souillée et qu'il me crache cette liqueur dans la bouche. J'aime ça! Une énorme queue vient au fond de ma gorge à m'en faire dégueuler; je la pompe avec ardeur, elle gicle et j'avale.

Une belle mêlée s'ensuit. Ils sont encore quatre à vouloir se vider: deux le font dans mon cul et un troisième dans ma bouche. Je suis ainsi gavé de sperme et mon anus est plus que jamais humecté. J'ai encore les couilles pleines! Qu'est-ce qu'ils attendent pour me les pomper? Je n'en peux plus! J'ai mal aux couilles, il faut que j'explose! Cela se produit lorsque, debout, je dois subir les coups de boutoir du dernier qui me fait ainsi marcher en me tenant la queue. Je ne peux plus me retenir. C'est merveilleux! Ça part! J'inonde le sol en criant ma jouissance.

— Oui... C'est trop bon! Ahhhhhhhhhhhhh!

Je suis épuisé. Mon petit cul accueillant est en feu et il n'a pas fini de supporter des introductions de plus en plus envahissantes... Les premiers jouisseurs sont déjà prêts pour un second jet. Ils profitent du repos de leurs compagnons et de leur victime pour éponger avec leur langue les gouttes du sperme que j'ai lâché sur le tapis de sol.

— Que c'est bon, un foutre si blanc, si abondant et encore tout chaud!

— Ne prends pas tout, sale égoïste!

— Viens le chercher dans ma gueule!

Une mêlée de corps se forme à l'endroit de mon éjaculation, des râles impudiques accompagnent le festin. Un énorme rot retentit... sans doute la bière goulûment avalée en est la cause. J'imagine qu'ils vont bientôt avoir envie de pisser. Je respire à grands coups le poppers destiné à ma remise en forme. Il fait son effet et me voici au centre du tapis dans l'attente de nouvelles attaques.

— Voyez ce trou! Encore trop petit pour la partie finale!

— Une bite c'est peu, et si on passait à deux?

Sitôt dit, sitôt fait... Deux gars s'allongent sur le dos, en sens contraire, entre-cuisses emmêlés, leurs couilles se touchent et leurs queues se dressent l'une contre l'autre à la verticale en formant un énorme pieu sur lequel des costauds me placent sans ménagement, guidé par un voyeur à quatre pattes. La douleur de la pénétration est intense mais je ne hurle que mon bonheur de me voir ainsi bourré.

— C'est gros! Salauds! Bougez-moi! Plus fort!

— T'aimes ça, petit enculé!

— On va t'en donner encore quatre fois.

— Toutes vos bites en même temps si vous voulez!

— Pas possible et c'est bien dommage!

Les frottements dans mon cul et contre la bite du co-enculeur provoquent l'extase de chaque empaleur.

— Aux suivants!

Et ça recommence... Je ne peux retenir un pet retentissant: un véritable gargouillis qui enchante mes enculeurs. Mon corps est assis sur d'autres paires de queues jusqu'à ce qu'ils aient vidé pour la seconde fois leurs couilles inépuisables. Inépuisables, car les voici à nouveau en ordre d'attaque. Cette fois, il semble que le clou de leur orgie est arrivé. Deux types se placent debout face à moi, assez distants l'un de l'autre.

— Pends-toi aux anneaux, lève les cuisses, écarte bien et pose chacune sur leurs épaules.

J'ai ainsi une position extrêmement ouverte, mon anus est parfaitement exposé et ma bite se trouve à la hauteur d'une bouche très avide. Je vois un gars qui joint sa main et son avant-bras d'une graisse blanche. Avec frayeur et envie, je comprends que je vais y passer... Les doigts pénètrent tranquillement... Un, deux, trois, quatre, le pouce. Jusque-là ça va! Des aller et retours augmentent l'ouverture de mon cul. Je sens une pénétration de plus en plus importante, j'ai de plus en plus mal mais je bande quand même et mon suceur y est pour quelque chose! D'autres me caressent le ventre, les fesses, les hanches pour atténuer mon martyr. Deux connaisseurs me sucent les doigts de pied, j'ai du mal aussi à supporter ces chatouilles. Il y en même un qui me fourre un, deux, trois, quatre doigts dans la bouche... comme s'il voulait aller serrer la main qui m'envahit le fondement! Il me fait ainsi saliver, il sort ses doigts pour les donner à goûter à un gourmet.

— Hummm! Qu'ils sont bons tes doigts!

Je sens que le fisteur progresse encore, il doit fermer le poing car j'ai l'impression d'exploser.

— C'est dur... Ouille ouille ouille! Pitié! Tu vas me casser le cul!

— Tu m'appartiens! Je te porte par le cul.

En disant cela, il me soulève au point que ma queue sort de la bouche prête à recueillir le résultat de ma souffrance mais heureusement, je ne lâche pas les anneaux. Le suceur reprend vite ma queue au moment où je lâche mon foutre dans sa gueule. La sortie du pal vibrant hors de mon cul est très difficile car je ne suis plus excité et je ressens davantage la douleur. La durée de l'extraction me fait frémir à la pensée de la longueur totale introduite!

Je reste allongé sur le sol, désarticulé, le cul en l'air, le trou largement offert à la vue de mes tortionnaires. Les voilà qui se mettent à pisser dedans. Pas bien dur de viser tant mon anus est distendu! Je sens leurs jets très drus envahir mes boyaux. J'ai trop mal au rectum pour apprécier le fait d'être leur urinoir et j'ose espérer qu'ils ne vont pas encore m'enculer. Je n'en peux plus, ils s'en aperçoivent et choisissent de m'épargner en se branlant sur moi. Leurs dernières gouttes s'écrasent sur mon visage, ma poitrine et mon bas-ventre.

Mon cul est plein, ça coule partout! Ils me portent alors sous la douche où ils prodiguent des soins attentifs pour me redonner l'éclat que j'avais en entrant chez eux. Ils me portent enfin dans une petite pièce occupée par un grand lit sur lequel ils m'allongent avec précaution. Je suis alors dorloté, caressé, embrassé... Ils guettent mon anus et attendent qu'il retrouve une ouverture raisonnable puis m'enfilent mon slip. Je suis rassuré et je finis par m'endormir.

Je fais un rêve merveilleux, plein de corps mâles enlacés, lorsque je sens une douce, humide et chaude chatouille sous mes couilles. Je me tortille tant j'apprécie ce genre de caresse. C'est une langue très chaude qui s'est frayé un chemin dans mon slip, entre mes cuisses. Je la sens pénétrer davantage à l'intérieur du tissu et remonter jusqu'à la base de ma bite, laquelle commence à réagir à l'appel du lécheur!

Il est seul, je l'attire sur mon lit, mon slip est baissé, ma bite est totalement avalée, humectée, prête à investir le trou qui m'est ensuite présenté. Je l'encule avec joie, j'y ajoute une certaine violence pour me venger un peu de tout ce que j'ai subi... et pourtant adoré. Mon dernier foutre du jour est absorbé par celui qui m'a fisté. En jouissant, j'ai fortement pensé avoir une queue grosse comme son bras.

Rémi, mon petit Rémi chéri, j'ai beaucoup pensé à toi pendant ces ébats; j'espère que tu en seras, la prochaine fois! J'attends la prochaine nuit où je m'endormirai avec ta jolie bite dans la bouche et mon nez enfoncé dans la douceur de la peau de tes couilles...

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Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 6 avril 6 06 /04 /Avr 10:23

Thème serpents, anacondas, fantasmes... 

Un serpent dans le lavabo.

Septembre, il fait chaud, je suis en stage dans une grande ville du Sud Ouest pour toute la semaine.
Je loge dans un hôtel où l'on entre avec une carte bancaire.
C'est lundi soir, il est plus de 22 heures, je me suis douché, j'ai juste sur moi un mini short de sport et je révise mes cours.
Tiens! On frappe à la porte! Qui ça peut bien être? je ne connais personne ici.
Bon! Je vais ouvrir et je me trouve nez à nez avec un jeune asiatique complètement affolé :
- Monsieur ! Monsieur ! S'il vous plaît ! Aidez-moi ! Il y a un serpent dans mon lavabo !
- Mais, il n'y a personne dans l'hôtel qui peut vous dépanner?
-Non! j'ai été voir ! Tout le personnel est parti à cette heure ci ! Je vous en prie monsieur, aidez moi !
- bon! je vais aller voir ça !

Après avoir fermé ma piaule, je suis le jeune asiatique, il occupe la chambre à côté de la mienne. Il referme la porte derrière nous. Je m'approche du lavabo avec précaution, m'attendant à me retrouver face à face avec un monstre. Effectivement, une queue de reptile très fine, dépasse du lavabo. J'avance plus près et je vois un pauvre petit lézard prisonnier dans le lavabo.

J'avise une revue posée sur le lit, je la prends, le la tends au lézard, il grimpe dessus et je lui rend la liberté par la fenêtre.
Le jeune asiatique se confond en remerciements :
- oh ! merci monsieur! J'ai eu si peur ! Qu'est-ce que je peux faire pour vous remercier?
Pendant qu'il me dit ça, je repose la revue où je l'ai prise et je m'aperçois qu'il s'agit d'un magazine gay très connu.
Du coup, je me mets à détailler de plus près le mec.
Beau gosse, bien foutu, belle gueule, il porte un jean moulant et une chemisette à carreaux verts et blancs. Merde! je me le ferais bien!
Ah ! il me demande ce qu'il peut faire pour me remercier !
Mon regard fait des allers et retours entre lui et le magazine. Il comprend tout et me dit avec un petit accent exquis :
- Vous aimez le gay ?

Pour toute réponse, je m'approche de lui, le prends dans mes bras et lui roule une pelle féroce. Au début, surpris, il essaie d'échapper à mon étreinte, puis se laisse faire, répond à mon baiser et me prouve en deux temps trois mouvements qu'il est très doué en langue.
Je caresse son corps musclé, je bande à n'en plus pouvoir, je défais les boutons de sa chemisette un par un, son torse lisse se dévoile, un vrai petit trésor.

La chemisette est par terre, je déboucle son ceinturon, je fais sauter les boutons de son jean, je lui arrache, il porte un mini slip noir en lycra, c'est doux au toucher, mais ce qui m'intéresse c'est la bosse qu'il y a dedans;
Ce n'est pas très volumineux mais qu'est ce que c'est dur, en plus, au bout de son gland, sur le tissu noir apparaît un petit rond de mouille.
Je n'en peux plus! Le jean est enlevé, je fous ma main dans son slip, il fout la sienne dans mon short et c'est le début de la jouissance.

En moins de deux, son slip et mon short sont par terre, on est à poil tous les deux, on s'embrasse, on se caresse, je lui suce la bite, il me suce la mienne, je lui met un doigt dans le cul, il me fourre le sien;
On tombe sur son lit, il est étendu sur le dos, le sexe bien dressé, je m'apprête à m'empaler dessus, il m'arrête et va chercher des préservatifs.
J'habille sa bite et je présente mon cul dessus, je me fais enfiler sans effort, ahhh! C'est bon !

Pendant longtemps, je monte, je descends, je me tortille, qu'est ce qu'il me fait jouir. Mais lui aussi! je le sens se contacter et dans un râle de plaisir il crache sa purée.
Il me dit : A moi maintenant.

Il me pose une capote et se fout à quatre pattes. C'est un vrai bonheur de posséder ce petit cul bien musclé, ah ! Je lui en fous plein, il aime ça, il crie encore! Encore, défonce moi ! J'aime ta bite ! Plus fort! Plus fort!
Je suis tellement excité que ça va partir plus vite que j'aurais voulu, j'ai juste le temps de déculer, de péter la capote, je gicle mon sperme sur son dos. Crevé, je m'abats dessus, on est collés l'un à l'autre.

On a dû s'endormir un peu, on s'éveille ensemble, il me sourit, je lui souris.
-On prend une douche ?
- D'accord !

On va donc sous la douche, on se savonne, on rigole, on se touche les parties intimes, résultat, on bande comme pas possible.
Profitant de nos culs savonneux, on se fait chacun une petite enculette et c'est tout propres, rincés et heureux qu'on se retrouve dans les bras l'un de l'autre.
Je dois maintenant repartir, je reprends mon short , à côté, je vois son petit slip noir, la trace de mouille est encore visible.

Je le prends et lui dis :
- Tu est là jusqu'à quand ?
- Je repars vendredi
- Moi aussi, écoute, je garde ton slip, si tu veux le récupérer, viens me voir demain soir dans ma chambre.
Il est venu le mardi soir.

On a ensuite passé nos deux dernières nuits ensemble. Celle du jeudi au vendredi est restée inoubliable, on a presque pas dormi, on a fait l'amour je ne sais plus combien de fois. . .
Il habite loin, on garde contact mais on ne se reverra probablement plus. Je l'ai tellement aimé que je me suis fait tatouer un petit lézard sur l'épaule.

Lizard On The Shoulder Tattoo

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : les jeunes exhibes
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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