Mardi 16 avril 2 16 /04 /Avr 23:18

 

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1. Un kiné un peu particulier

Suite à un accident de travail, je me suis retrouvé hospitalisé pendant plusieurs mois. Les soins qui me sont dispensés furent multiples et longs et pour pouvoir retrouver l’usage normal de ma jambe, j’ai dû subir de très nombreuses séances de kiné.

Ces séances commencent à l’hôpital où je suis soigné depuis deux mois. Il faut rendre la mobilité à ce genou et cette cheville qui ont été blessés dans l’accident. Quelques massages sont prescrits et des activités multiples dans la piscine complètent ces soins. Et il y en a pour quelques mois encore m’annonce le médecin qui me promet un rétablissement complet au terme de ces soins.

Dès le début, un jeune kiné répondant au nom de Martin m’est attribué. Il n’est pas bien grand et plutôt bien enveloppé. Le petit rondouillard est un bon vivant. Il dispense sa bonne humeur tout autour de lui et il a la répartie facile. Il aime les plaisanteries et n’est jamais le dernier pour raconter quelques blagues parfois salaces.

Son embonpoint lui vaut quelques quolibets de la part des autres kinés. Il est la cible de leurs attaques incessantes. Elles ne sont pas bien méchantes, mais à la longue, ça doit faire mal. Je sens bien qu’il ne les apprécie pas vraiment, ces plaisanteries disgracieuses. Il est kiné, comme les autres, il a les mêmes compétences qu’eux, il est aussi efficace qu’eux, si pas mieux. Martin, quant à lui, il préfère faire semblant de ne pas trop les entendre et rit de temps en temps de ces remarques. Il veut montrer que ça ne l’atteint pas mais avec le temps qui passe et les séances de kiné que je reçois, je commence à me rendre compte que les agissements de ses camarades ne lui sont pas aussi indifférents qu’il veut bien le laisser entendre.

   

 

       

Nous nous entendons bien tous les deux et nous nous apprécions mutuellement. Il doit avoir une vingtaine d’années, mesure un mètre soixante-cinq et a quelques kilos de trop. Moi, j’ai cinquante-cinq ans et quelques kilos en trop également. Ni lui ni moi sommes des adonis. D’un aspect quelconque, nous ne pouvons mal d’attirer le regard des autres. Nous sommes comme tout le monde: des gens ordinaires.

       

Le rituel des séances de kiné est toujours le même, on commence pas une série d’exercices physiques avec quelques poids, non pas du body building, de la gym au niveau des jambes, puis on me place quelques appareils électriques et enfin il termine par une séance d’élongation et de massages des jambes.

Le temps passe, les séances se répètent tous les deux jours. Pour faciliter le travail de Martin, je viens avec mon maillot de bain, un short moulant coloré. De cette manière, je dégage complètement mes jambes et il peut officier sans problème. Pendant l’heure que dure la séance, je lis quelques magazines et journaux et lorsque les massages commencent, nous parlons de tout et de rien Martin et moi.

Un jour, allez donc savoir pourquoi, pendant que Martin me massait les jambes, une idée grivoise me traverse l’esprit. Je revois quelques images d’un film où un kiné dépasse les limites de son métier et a une relation sexuelle avec son patient. Martin n’y est pour rien, il n’a jamais eu le moindre geste équivoque, la moindre parole déplacée qui pourrait indiquer une telle envie. Il évite même les blagues un peu trop grivoises. Il est vraiment timide quand il s’agit de question sexuelle privée.

Je sens dans mon maillot de bain ma queue qui commence tout doucement à gonfler. Mon maillot moulant comme tous les maillots de bain actuels donne une idée de ce qu’il cache et en temps normal, ça ne pose pas trop de problème, mais ici, avec ce pénis qui prend de l’ampleur alors que je suis massé par mon kiné, ça me met dans une position difficile. Je tente par tous les moyens possibles de ramener mon pénis à une situation moins compromettante. J’y arrive enfin et bien avant que ma queue n’ait atteint une taille qui m’aurait mis en difficulté face à Martin. Je suis soulagé et je m’en veux d’avoir risqué un incident tant pour moi que pour Martin que je respecte au plus haut point.

J’aborde la séance suivante avec une appréhension, mais j’arrive à me contenir et aucun incident ne me perturbera. Je parviens à me contrôler même si chez moi, dans le secret de mes fantasmes je m’imagine avec Martin prenant des leçons de massage bien plus agréables que celles dispensées normalement. Mon esprit vagabonde et je le vois me massant la queue, les couilles pendant que je suis allongé sur la table de soins et que je lui triture le sexe que je sors de son pantalon. Sa braguette est à bonne hauteur et je n’ai pas d’effort à faire pour atteindre ses bijoux de famille.

Petits jeux en solitaire et imagination fertile me permettent un orgasme qui calme mes ardeurs avant de me rendre à mes séances de kiné. Mon esprit est plus calme et j’arrive alors à me contrôler.

C’est du moins ce que je faisais jusqu’à ce jour fatal où l’incident redouté se déroula, la catastrophe, l’inévitable.

La séance était bien avancée et la machine qui est placée pour me prodiguer les soins impose un immobilisme de ma part qui dure une vingtaine de minutes. La chaleur aidant, je m’endors. Mes fantasmes refont surface au cours de mon sommeil et un petit bandage se développe entre mes cuisses. Ma queue reprend ses envies d’érection. Mon pénis tend la toile de mon maillot de bain et prend sa place dans sa gangue de toile. La bosse qui se dessine à mon entre jambes est très explicite sur le contenu de mon rêve. Je vis mon fantasme une fois de plus.

Tant que l’appareil fonctionne, personne ne vient me déranger et c’est la sonnerie de la machine qui signale la fin du traitement qui me sort de ma torpeur. Là, je constate mon état mais avant que je n’ai eu le temps de faire quoi que ce soit, Martin a ouvert le rideau du box où je suis pour venir débrancher l’appareil. Je suis mal, très mal. La présence de ce gars, que je respecte pourtant, me met dans une position des plus délicate. Martin se rend compte de mon état et il se retire rapidement en esquissant un sourire:

— Je repasserai dans cinq minutes, dit-il et il referme le rideau.

Je m’attends à toutes sortes de remarques des plus déplacées, des plus gênantes lorsque je sortirai de mon box. Mes oreilles sont aux aguets et écoutent tous les bruits, tous les mots aux alentours. Mais il ne se passe rien, pas de rire, pas de remarques. Tout reste normal dans cette salle de soins. J’en suis soulagé. Mais que va dire Martin lorsqu’il reviendra me prodiguer la suite de mon traitement? Il va certainement se moquer de moi. C’est la honte. Il faudra que je change de kiné alors que lui connaît parfaitement mon problème médical. De plus, il n’habite pas trop loin de chez moi et il m’avait proposé d’assurer mes soins à domicile si cela s’avérait nécessaire.

Le rideau du box s’entrouvre et la tête de Martin apparaît. Il constate que je suis revenu dans un état normal et il entre dans le box en refermant le rideau derrière lui comme d’habitude. Il ne se moque même pas, il agit comme d’habitude et commence le massage comme si de rien n’était.

— Il ne faut pas te formaliser, dit-il. Ce n’est pas la première fois que ça arrive. Il est courant que des gars s’endorment et qu’un petit problème survienne. On a l’habitude. On se retire et on reprend les soins un peu plus tard. Rassure-toi, il n’est pas question non plus que cela s’ébruite, professionnellement d’abord, cela nous est interdit d’en parler, et puis par respect pour le patient il faut qu’on sache se retenir. Il y va de la confiance qui doit exister entre le malade et son thérapeute.

Je suis rassuré. Les soins se terminent et je m’en vais honteux de ce qui vient de se passer et fâché sur moi-même d’un tel comportement irrationnel. Les fois suivantes, ce petit inconvénient ne s’est plus reproduit. Je faisais tout pour ne pas m’endormir et je me plongeais dans la lecture de revues informatiques et scientifiques pour éviter tout débordement de ma libido.

Un jour, au cours du massage, par inadvertance, le bras de Martin a effleuré mon maillot de bain. J’ai sentis ce frôlement sur ma bite. Oh là, me dis-je. Pas de panique, ce n’est qu’un accident. On se calme. Une autre fois, ce contact se reproduit. Au cours du massage, le coude de Martin vient délicatement en contact avec ma queue. J’en frissonne mais lui il fait comme si de rien n’était et continue son massage médical. Je pense qu’il ne dit rien pour me rassurer et pour ne pas soulever une éventuelle polémique. C’est un accident, rien de plus. Pas de quoi en faire tout un plat.

Lors d’une séance suivante, Martin me dit qu’il faut modifier un peu le massage sur ordre du médecin. Il faut qu’il me masse l’arrière des jambes et des cuisses car mobiliser uniquement la face avant n’est pas l’idéal maintenant que je recommence à retrouver de la mobilité au niveau du genou. Je me mets donc sur le ventre et il commence son massage depuis le pied jusqu’à mes cuisses, à la limite du maillot de bain. Je souris et me dis que dans cette position, je risque bien moins d’être gêné s’il m’arrive un petit problème.

Lors d’un de ses massages dorsaux, Martin me parcoure la longueur de mes jambes, l’une après l’autre. Il me masse les mollets, les cuisses. Il m’écarte un peu les jambes pour pouvoir atteindre la face interne de mes jambes. Le massage doit être complet pour être bien fait. Mais que ça me fait un bien fou. J’en suis tout excité. Mais comme j’ai pris mes précautions en me couchant sur le ventre et que j’ai mis ma queue bien relevée dans mon maillot pour lui permettre de bander sans me mettre en difficulté, le petit bandage qui se dessine à mon bas-ventre peut évoluer sans problème.

Lors du massage de cette face interne, la main de Martin frôle mes couilles à travers le maillot de bain. Une petite fois, à peine posée, à peine un léger souffle. Mais je l’ai très bien senti et mes bourses réagissent immédiatement en se resserrant un peu. Et si Martin avait des envies très recommandables pour moi me demandais-je. Je crois qu’à ce moment, je désirais que ce soit possible, j’espérais que mes fantasmes se réalisent. Mais nous sommes dans un hôpital. Ce sont des soins médicaux qui y sont prodigués.

Une séance de plus, je suis toujours sur le ventre pour terminer mes soins. Les mains de Martin me font un effet vraiment particulier. Dès qu’il entre dans le box pour le massage, je commence presque instantanément à bander ferme. Je m’excite en pensant à tout ce que je pourrais faire avec lui et avec ses massages.

De temps à autres, par hasard, involontairement de sa part, me semble-t-il, son bras me frôle les fesses, son coude entre en contact, oh bien léger, avec ma raie postérieure. En une ou l’autre occasion, c’est une de ses mains qui a débordé de la limite de mon short de bain et m’a caressé l’entre-cuisses, mais de manière si légère, si rapide que ça ne peut qu’être fortuit, me dis-je pour me calmer. Il est arrivé une fois qu’il a glissé sur le sol où s’était répandu un peu de talc et une de ses mains a terminé sa course sur le matelas de la table de soins, entre mes cuisses, contre mes couilles. Il s’en est excusé immédiatement et a retiré prestement sa main fautive. C’est un accident, me dis-je une fois de plus. Mais si je fais l’inventaire de ces multiples accidents, il me semble qu’il commence à y en avoir un peu beaucoup.

Il faut que j’en aie le cœur net. Mais comment faire? L’attaquer de front n’est pas possible, nous ne sommes pas seuls dans cette salle de soins. Entamer une conversation qui risque d’être entendue par le voisin, par un autre kiné, ce n’est pas sainement envisageable. Alors, comment faire? Il faut que je trouve une solution.

Ses mains me caressent les jambes de haut en bas, sur la gauche, sur la droite. Elles vont de mes pieds jusqu’à la limite de mon maillot, le long de l’ourlet des jambes de ce short de bain. Ce jour-là, j’ai comme une impression curieuse mais oh combien agréable. En effet, il me semble que ses massages se sont fait moins fermes, plus doux, dirais-je. Ce ne sont pas des caresses, mais ça ne ressemble plus vraiment à des massages médicaux. Je dois me faire des illusions, me dis-je. Ce n’est pas possible. Mes fantasmes troublent mon jugement.

La fois suivante, je me promets de bien faire attention au comportement de Martin. Je vais surveiller sa façon de faire. Je dois savoir. Je cherche également comment je pourrais agir pour montrer à Martin que je suis consentant et qu’il peut aller plus loin s’il le désire. Ce n’est pas aisé dans ces circonstances. Les lieux ne sont vraiment pas l’endroit propice à de tels ébats. Mon cerveau carbure à cent à l’heure. Des dizaines de propositions me viennent à l’esprit, toutes plus saugrenues les unes que les autres. Aucune ne semble me convenir.

Il me reste encore deux séances de kiné à recevoir et normalement ce sera terminé. Je ne serai plus soigné par Martin. Et rien ne s’est encore passé. Il semble que je fantasme vraiment et que la réalité est toute simple: je me fais des idées.

Après les machine, Martin viens pour l’avant dernière fois me masser les jambes. Je suis toujours sur le ventre, ma queue est en bonne position pour m’éviter de douloureuses réactions. J’attends avec impatience les caresses de mon Martin. J’en suis certain cette fois, ce sont des caresses qu’il me fait, ce n’est pas un massage médical ça. Il m’excite tellement que j’en frissonne sur tout le corps. Martin ne peut pas ne pas l’avoir vu. Tous mes poils se sont hérissés. J’en suis certain, il l’a remarqué parce qu’il a ralenti ses mouvements au moment où j’ai eu ces frissons de plaisir. Martin sait bien que si je frissonne, ce n’est pas à cause de la température de la salle de soins, il y fait près de 25 degrés!

Pour la première fois depuis le début de ses massages, Martin a relevé le bas des jambes de mon short de bain. Il les a remontés le plus haut possible sur mes cuisses pour dégager mes jambes au maximum. Ce faisant, ses mains sont venues se blottir contre mes couilles, à plusieurs reprises. Il semble prendre un malin plaisir à replier le tissu le mieux possible, mais je suis persuadé qu’il veut jouer avec moi. Il me teste, là. Il veut connaître mes intentions. Mais comment faire pour lui faire comprendre que je suis consentant? Je n’arrive pas à trouver une solution raisonnable. Je n’arrive pas à voir son visage. La seule chose que je peux regarder, c’est le bas de son corps en dessous des bras. La tête m’est cachée parce qu’il est penché au-dessus de moi pour me masser.

J’essaye de le surveiller, d’épier les mouvements de sa part que je peux voir. Quand il me masse, il le fait de bas en haut puis de haut en bas. Lorsqu’il effectue ce massage de haut en bas, son corps vient se mettre à hauteur de ma hanche. J’ai une vue imprenable sur son bas-ventre. Il a fini de replier les jambes de mon short de bain. Je rêve. Ce n’est pas possible! Martin est en train de bander, le cochon. Je vois très nettement la bosse que fait sa queue dans son pantalon. Comme pour me provoquer, on dirait que Martin fait bouger sa queue, la bosse grossit puis diminue à un cadence qui ne suit pas celle de ses massages.

Je dois agir. Il faut que je fasse quelque chose. Je ne dois pas laisser passer cette chance. Martin veut de moi. Il me le fait comprendre là. Mes bras sont étendus le long de mon corps. C’est bien. Je vais essayer de lui toucher la queue de la main pour lui montrer mes intentions. Avec douceur, je déplace mon bras et oriente ma main curieuse vers la braguette de mon Martin. Délicatement, je lui pince le sexe. Quel bonheur, je le touche enfin. Je lui crierais bien mon plaisir mais les lieux sont là pour me rappeler à l’ordre. La queue de Martin se raidit sous mon contact. Elle palpite sous mes doigts. Il ne se retire pas, il donne un petit coup vers l’avant, vers cette main qui lui donne du plaisir. C’est cela, je peux continuer, je dois continuer. Il en veut vraiment.

J’enveloppe un peu plus son sexe et je commence à le branler au travers de ses habits. Il pousse des petits soupirs de contentement. Il me laisse faire. Je continue doucement à l’exciter. De son côté, Martin a repris ses massages mais il ne parcoure plus toute la longueur de mes jambes, il se cantonne à mes cuisses, mon cul, mon entre-cuisses, là où il trouve mes bouses qui bouillonnent. Il me les caresse avec délicatesse. Il pousse sa main entre mes couilles et le matelas de soins pour tenter d’atteindre ma queue toute raide qui l’attend depuis si longtemps. Je ne fais pas prier, je me soulève un peu pour lui faciliter le passage. Mon dieu que c’est bon. Enfin mon vœu se réalise. Il me caresse le sexe. J’ai bon, c’est divin.

Pour lui faciliter le travail, je me retourne. Ma queue point fièrement et tend mon short au maximum. Il me la titille, il sourit, il prend plaisir à m’exciter. Je continue également à lui astiquer le sexe. J’ai même réussi à lui ouvrir la braguette et je me suis introduit dans son caleçon. Sa queue est douce, chaude et ferme à souhait. Les poils soyeux de son pubis me procurent bien du plaisir. Ma main erre jusqu’à ses couilles rebondies qui sursautent à mon contact. Il ne s’y attendait pas à un tel assaut. Il m’attrape la main baladeuse et me la retire gentiment de ses bijoux.

— Arrête, me dit-il. Ce n’est ni l’endroit ni l’heure. Ce n’est pas prudent, ici.

Il me flatte encore une fois ou deux la queue puis me demande s’il peut la voir, rien qu’une fois. Ça lui ferait tant plaisir. Je ne peux vraiment pas lui refuser cela. Il attrape l’élastique de mon short de bain et libère ma panoplie sexuelle. Il semble satisfait de son inspection. Il me caresse le service trois pièces, lentement, délicatement. Sa main m’enserre la queue toute raide. Ses doigts tapotent délicatement mes couilles. Je bénis ce moment merveilleux. Mais il est temps maintenant de nous séparer. Il a encore d’autres patients à soigner. J’espère qu’il ne fait pas pareil avec tous les autres sinon je suis tombé sur un fou du sexe. Je ne le crois pas sincèrement car son approche a été bien trop hésitante. Je me rhabille pour quitter l’hôpital. En sortant de mon box, je salue tout le monde. Martin n’est pas là.

— Où est Martin? Demandais-je aux autres kinés.

— Il a dû se rendre à la pharmacie, me répond l’un d’eux.

— Tant pis, vous le saluerez pour moi. À la prochaine.

La fois suivante, c’est la dernière ma série de soins. Je vais devoir quitter mon Martin et nous n’avons encore rien fait ensemble si ce ne sont ces quelques attouchements de collégiens. Je m’installe dans un box libre. C’est un autre kiné qui vient me mettre les machines à tour de rôle. Je ne vois pas Martin. Il n’est pas là. Lui aurais-je fait peur? Je ne pense pas, sa réaction juste avant de nous quitter la dernière fois était sans équivoque possible. Il aimait ça et il en redemandait. De toute façon, il ne m’avait pas rejeté la fois dernière, bien au contraire. Quand il m’a dit «pas ici», ça voulait dire ailleurs. Oui mais où? Il n’avait rien dit de plus.

Quand la dernière machine eu terminé son travail, je me mis sur le ventre, comme d’habitude et j’attendis le kiné, déçu de l’absence de Martin. Le rideau s’écarte et des mains, que je ne regarde même pas enlèvent les accessoires de la dernière machine qui sont encore sur ma peau. Ces mains me lavent la peau pour en enlever les traces des produits employés qui risquent de provoquer des réactions cutanées désagréables. Ces mains commencent le massage comme prescrit médicalement. Je suis de plus en plus déçu. Je me promets de faire le nécessaire pour rencontrer Martin en dehors de ces lieux et de lui demander des explications. Il m’a allumé, il s’est laissé allumé puis nous prive de notre dessert. Ce n’est pas correct d’agir de la sorte.

Mais ces mains ont très vite transformé le massage médical en une série de caresses lascives. Mes couilles en sont toutes saisies lorsque les mains les enveloppent chaudement. Le kiné chuchote à mon oreille:

— Je t’ai bien eu, hein? Tu as cru que je n’étais pas là. Rassure-toi, je ne me défile pas. On peut se revoir quand tu veux, chez moi, chez toi, c’est comme tu veux.

— Chez moi, ce n’est pas possible, ma femme et un de mes enfants en difficulté y habitent. Ce sera parfait chez toi. Quand?

— Après le week-end, disons mardi vers 15h?

— D’accord. J’y serai.

Avant de partir, je lui caresse le sexe et je lui demande qu’il me laisse voir son service trois pièces, il a bien vu le mien l’autre fois.

— Vas-y, dit-il. Ne te gêne pas.

Je descends lentement son pantalon sur ses pieds. Il ne bande même pas alors que moi, j’ai une trique d’enfer. Ce soir, ce sera branlette et compagnie dans mon bain. Et si ma femme le souhaite, et ce n’est pas très souvent, elle pourra y participer. Mais c’est fort peu probable. Je lui caresse le sexe au travers du caleçon. Lentement, sa queue se met à gonfler sous le tissu. Je souris. Lui aussi. Il apprécie mon travail. Je descends délicatement son caleçon libérant sa verge tendue vers moi. Sans plus attendre, je la prends dans ma bouche. Je l’ai une fois de plus surpris. Il a un petit geste de recul très vite contrôlé. Qu’elle est délicieuse cette queue de jeune mec. Il me retient la tête puis retire sa queue de ma bouche.

— Mardi tu pourras jouer avec. Aujourd’hui, c’est fini et tes soins sont finis également.

Je lui remonte le caleçon en profitant de l’instant pour lui tâter une fois de plus le sexe. Il ricane. Je fais de même avec son pantalon. Comme il ne peut pas sortir du box avec son pieu pointé vers l’avant de la sorte, il me donne quelques directives d’exercice à effectuer chez moi pour continuer ma réadaptation. Je le vois débander peu à peu. Lorsqu’il est dans des dispositions plus normales, il me salue et va se consacrer à ses autres patients.

Je salue tous les kinés de la salle de soins et les remercie pour la qualité des soins donnés. Et là, je ne mens pas. Ils ont été super durant ces longs mois de convalescence.

Vivement mardi prochain. Ce sera à mon tour de jouer au kiné avec mon patient Martin.

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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