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Lundi 18 février 1 18 /02 /Fév 10:59

Résumé: Max le prof de gym initie Damien, un lycéen de terminale, à l'homosexualité et à la sodomie passive. Damien aime tellement ça qu'il en devient "obsédé. Bientôt Max ne lui suffit plus et c'est Marc et Patrick qui s'unissent à lui pour former un fameux trio. Mais Damien est devenu insatiable. L'équipe de hand-ball y passe en entier dans un gang-bang d'enfer. A  la fin de l'année une grande fête sexuelle est organisée dans le cabanon des parents de David et c'est la fin d'une époque.  Damien s'engage dans l'armée...là, il n'y a que des hommes ...hummmmh 

 

 

Damien, la folle du régiment ? 

 


"Allez Damien, encore un petit verre de cognac", me dit Hervé.
J'effectuais mon service militaire depuis six mois et mes camarades et moi fêtions un
samedi soir la quille de deux copains.
L'appel était passé, nous étions tranquilles et l'ambiance était bonne bien que suite à la
fête du régiment nous avions tous été privés de permission.
Je me sentais bien à l'armée au milieu des mecs.
Une bonne camaraderie nous unissait tous dans le peloton.
Les mecs ne savaient pas que j'étais homo.
Les mecs du peloton ne m'inspiraient pas particulièrement sauf Hervé, un beau brun
musclé toujours aimable et gentil avec moi.
Tous les mecs parlaient de filles et je ne vivais provisoirement que de fantasmes.
Hervé, qui lui aussi nous contait ses exploits, essayait tout le temps et gentiment de me questionner sur mes aventures "Tu ne veux pas le dire, mais je suis sûr que tu es pédé, homo si tu préfères".
Je ne répondais jamais, si j'avais été certain que mon aveu reste entre Hervé et moi je l'aurais fait.
Je savais que mon beau petit cul cambré attirait tous les regards et souvent des réflexions que j'ignorais avec regret.
Un week-end, je n'ai pas pu avoir de permission et Hervé non plus et nous nous sommes retrouvés tous deux seuls dans la chambrée et à l'étage.
Hervé c'était un pote et nous rigolions bien tous les deux.
Nous nous sommes promenés dans le camp le samedi après-midi puis nous avons été dîner à la cantine.
Un petit verre au foyer et nous sommes rentrés dans le bâtiment de notre escadron et montés dans la chambre.
Avant de rejoindre notre chambrée, nous avons été rendre visite à deux copains Xavier et Bertrand, respectivement maréchal des logis et brigadier de service de semaine qui tenaient leur permanence dans le bâtiment voisin.
Il était déjà presque l'heure de l'appel du soir et de l'extinction des feux et le maréchal des logis nous dit "Vous êtes seuls dans votre bâtiment, alors je ne viendrai pas faire l'appel, bonne nuit".
Quelques minutes après Hervé me dit "Tu prends une douche ?"
J'allais souvent prendre ma douche avec Hervé et je ne me lassais pas de voir son corps musclé et sa belle queue. 
Mais compte tenu de ce qu'il essayait de savoir, je me montrais discret dans mes regards.
Nous partîmes prendre notre douche dans un petit bloc sanitaire où il n'y avait que deux douches.
À poil en premier, je me suis installé sous l'eau chaude.
Hervé a dit "Merde l'autre douche est hors service.
- Alors attends, je finis et je te laisse la place.
- Ah! J’ai froid, je viens dans ta douche.
- Et si Xavier ou Bertrand se ramènent, on aura l'air malin.
- Ils nous ont dit qu'ils ne viendraient pas, on est tranquilles mon petit Damien".
J'étais content d'être si près de mon copain et en même temps troublé.
Un mec si désirable que Hervé à poil à quelques centimètres de moi j'avais peur de mes réactions.
Pendant que nous nous lavions, Hervé était obligé de me pousser de temps en temps pour se mettre sous la douche.
Quand je sentis son corps sur le mien, je me mis à frémir.
Je tournai le dos à Hervé pour cacher mon émotion.
Mais il me serra dans ses bras et je sentis sa queue dure sur mes fesses.
Hervé me caressa et me dit en m'embrassant dans le cou "Tu vois que tu es pédé.
- Toi aussi tu bandes.
- Oui car j’ai envie de ton joli petit cul".
Hervé me retourna et me roula une pelle.
Puis il mit ses mains sur mes épaules et appuya pour que je descende devant lui et je
compris qu'il voulait que je le suce.
Hervé n'était pas circoncis, mais la trique lui avait fait sortir totalement le gland du prépuce et je l'ai mis dans ma bouche.
Je suçai mon pote sous l'eau chaude en lui caressant les boules.
Hervé me dit qu'il allait jouir mais je continuai de sucer de plus belle.
Quand il déchargea en râlant, j’avalai son le sperme avec délice.
Hervé me releva et m’embrasse puis me dit "Je vais m'occuper de toi".
Il me retourna pour me lécher le cul, dans l’état de manque où je me trouvai, sentir sa langue râpeuse contre ma raie était divin.
Mon mec me dit "Tu sais Damien, la deuxième douche fonctionne très bien".
Après m’avoir bien excité, il m’abandonna, je lui dis "Pourquoi ?
- J'ai beaucoup aimé notre câlin Damien, mais surtout ne tombe pas amoureux de moi, j'aime les filles aussi même si finalement j'ai beaucoup moins d'expérience que j'ai pu raconter".
Je fus déçu de la réponse mais surtout du fait qu’il me laisse en plan alors qu’il m’avait mis en feu.
J'essayai de m'endormir mais j'étais bien trop énervé et je n'arrêtais pas de tourner dans mon lit.
Allongé sur le ventre, je commençai à sombrer dans le sommeil quand je sentis mes draps se soulever.
Hervé vint me rejoindre, il se coucha sur moi, il était entièrement nu.
Son souffle chaud caressa ma nuque, son ventre et sa queue frottaient mes fesses puis il fit descendre mon slip à mes pieds.
Sa bite bandée trouva mon sillon qu'elle parcourut, son gland humide frotta mon anus.
Je me mis à gémir, j'étais tellement excité que j’avais envie qu'il me baise tout de suite et j'écartai les jambes.
Le sexe d’Hervé pénétra lentement mon petit trou qui s'ouvrit naturellement sous la pression douce et constante sans que je ne ressente la moindre douleur.
Sa queue fut vite entièrement en moi et Hervé commença à aller et venir lentement.
Je sentis la jouissance monter dans mon ventre. Je jouissais sous les coups de reins répétés de mon amant.
Alors que je me sentais partir, des ondes de plaisir s’insinuant dans mon corps, Hervé poussa un léger soupir, je sentis sa semence chaude couler dans mon fondement.
J’étais frustré que ce soit déjà fini, mon amant avait pris son plaisir mais moi je restai sur ma faim et j’avais le cul en feu.
Je le dis à mon homme mais il me répondit qu’il était fatigué et nous nous sommes endormis dans mon lit.
Le lendemain et les jours suivants, Hervé m'a enculé plusieurs fois dans la nature entourant le camp pour être plus discrets.
Contrairement à la première fois Hervé essayait de me faire jouir mais nous n’avions pas toujours le temps car il nous fallait être discrets, d'ailleurs je prenais suffisamment bien mon pied avec Hervé qui n'était pas un amant égoïste.
Mais revenons à cette fameuse soirée!
Ce soir là, l'alcool aidant, j'étais particulièrement excité, je racontais     des histoires drôles et cochonnes.
Les copains s’étaient amusés à me faire boire un peu plus que je ne pouvais supporter.
Il faisait très chaud, nous avons chahuté et j'ai reçu un verre de bière sur mon tee-shirt blanc.
J'ai retiré mon vêtement mouillé et me suis retrouvé torse nu, en pantalon de survêtement.
Hervé cria "Un strip-tease, un strip-tease.
- Sur la table" dit un autre.
Les copains me soulevèrent et me posèrent sur la table après l'avoir rapidement débarrassée et sans que j'aie eu le temps de réagir.
La tête me tournait un peu, après tout, se mettre à poil sur la table pour amuser les copains ou dans les douches quelle importance ?
En plus je me dis que ce serait bien devant Hervé, rien que pour l'exciter.
Christophe mit la musique un peu plus forte et les cinq mecs assis sur des tabourets ou sur les lits me regardaient.
Je retirai mes baskets puis je tournai langoureusement sur moi-même en remuant mon petit cul et en me caressant les seins.
 Je mis les pouces dans la ceinture de mon pantalon de survêtement et je commençai à le faire descendre doucement sans mon slip tout en donnant des coups de bassin
provocateurs.
Les mecs regardaient en riant, applaudissaient et avaient tous retiré leur tee-shirt.
J'ôtai enfin le pantalon que je jetai à mes copains, tout en dansant, j'enlevai mes
chaussettes, un mini slip blanc constituait à ce moment mon seul vêtement.
Je continuai à danser en cambrant mes fesses, je regardai les mecs et surtout Hervé en
ouvrant la bouche et en passant ma langue sur mes lèvres.
Une première fois, je fis mine de descendre mon slip et m’arrêtai pour juste découvrir le
début de mon sillon.
Je me retournai pour me mettre de face et je descendis encore légèrement mon slip
jusqu'à ma toison brune.
Je vis Hervé qui se caressait la bite à travers son pantalon de survêtement.
Je montrai mon cul bien cambré aux copains en écartant les jambes.
Je tirai sur le slip pour qu'il me rentre dans la raie des fesses faisant ainsi découvrir les
deux lobes charnus, imberbes et rebondis.
Je descendis lentement le slip qui tomba sur mes chevilles, je me penchai pour le
ramasser, dévoilant toute mon intimité à mes camarades.
Je me retournai à nouveau et jetai le slip à la figure d’Hervé.
Je sautai de la table pour reprendre mon slip et me rhabiller mais de nombreuses mains me saisirent et me couchèrent sur le ventre et sur un lit.
Je voulus me dégager mais mes camarades m'en empêchèrent, c'est à ce moment que je compris que toute cette mise en scène n'avait qu'un seul but, c'était de finir en partouze.
J'avoue que cette situation m’excitait au plus haut point.
Pour la première fois depuis longtemps j'allais me faire sauter par plusieurs mecs et c'était loin de me déplaire.
Des mains, celles d’Hervé me pelotèrent les fesses, ma zone érogène était atteinte et je me laissai tripoter sentant le désir monter en moi.
Des mains saisirent mes chevilles et m'écartèrent bien les jambes.
Ils me pelotèrent le cul et un doigt entra dans mon sillon et pénétra légèrement ma rosette.
J'étais si excité que je me laissai toucher le postérieur tout en gémissant.
Il faut dire que j’avais très envie d’une bonne baise et le fait qu'on me malaxe le cul et
surtout le petit trou me fit monter encore un peu plus dans le bonheur.
Hervé, qui le savait déjà et pour cause me dit "Tu vois que tu es pédé, puisque tu nous as si bien excités avec ton strip-tease, on va en profiter un peu de ton cul, en tout cas moi".
J'eus le temps de voir Hervé retirer son pantalon de survêtement et son slip.
Il bandait bien sûr, il se coucha sur moi et sa queue trouva tout de suite mon trou qu'elle
pénétra.
Cela faisait déjà un mois qu’Hervé me baisait tous les jours et des fois plusieurs fois par jour, mon cul s'était fait à son calibre et il avala sa bite sans problème.
Se faire sauter devant cinq mecs, certainement par cinq mecs, quel pied pour une petite salope comme moi.
D'autres mecs se mirent à poil, Jean-Loup me donna sa bite à sucer tandis qu'un autre
mec, Patrick, se branlait au-dessus de mes fesses.
Au bout de quelques instants Jean-Loup a lâché sa purée dans ma bouche et je l'ai avalée avec délice.
Hervé me baisait tranquillement, cela devait lui plaire de me défoncer devant les autres.en temps normal il aurait déjà joui depuis longtemps.
Hervé me sautait très souvent pendant l'heure de déjeuner dans le genre vite fait, nous
allions dans un local de rangement de matériel, Hervé fermait la porte à clef, je descendais mon pantalon de treillis et mon slip sur mes cuisses, me retournais en prenant appui sur le rebord de la fenêtre. Hervé sortait sa queue de sa braguette et me baisait en vitesse, il jouissait souvent en moins d'une minute. E
n cadence, la tête rejetée en arrière et les yeux clos, je laissais libre cours à mon plaisir.
Des vagues de désir affluaient vers mon visage chaque fois que mon mec plongeait son phallus raide entre mes fesses en ébullition, je planais littéralement sous les coups de reins redoublés et je ne fus pas long à perdre le sens des réalités.
Hervé les mains crispées dans la chair de mes hanches me besognait de plus en plus rudement, j’avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.

aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh


C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon rectum, Hervé gicla dans mon cul de ses puissants jets de foutre crémeux pour la deuxième fois de la journée en feulant comme un fauve. Son éjaculation m'inondale fondement, un orgasme déferlant me foudroya, je tendis mon cul vers la bite qui se vidait en moi pour accentuer la pénétration, un hurlement strident pulsa de ma gorge et je m'affalai sur la couche, Hervé a retiré sa queue de mon trou et s'est assis à côté de moi sur le lit.

Patrick qui continuait à se branler et venu se placer derrière moi.
Je pensais qu'il allait me sodomiser à son tour mais il m'a d'une main écarté les fesses et j'ai reçu une belle giclée de foutre sur mon trou encore ouvert et d'autres dans la raie des fesses.
Un autre mec de la chambrée m'a retourné sur le dos, c'était notre black, Pascal, un antillais, qui se trimbalait un beau morceau de bite.
J'avais souvent vu Pascal à poil, mais pas en érection, jamais je n’avais vu une pine aussi grosse et surtout longue.
Je salivai devant ce démesuré membre turgescent, j’écartai la cuisse totalement offert et consentant.
Pascal releva mes jambes qu'il posa sur ses épaules et m'enfourna sa belle et bonne queue dans le cul d’un violent coup de reins.
Bien lubrifié par Hervé et Patrick, mon intimité accueillit la grosse bite qui glissa sans dégât dans mon rectum en passe de revenir un trou public et en libre-service.
Pascal posa ses mains sur mon torse et commença à aller et venir en moi lentement de toute la longueur de son fabuleux pénis raide.
Son ventre musclé claquait contre mes fesses bouillonnantes.
Le désir un instant retombé après mon étreinte avec Hervé remonta en flèche en moi et je murmurai à celui qui me chevauchait "Vas-y baise-moi à fond, casse-moi le cul avec ta superbe queue.
- Vos désirs sont des ordres ma petite poupée. Vous savez les gars c’est la première fois que je baise un pédé et bien j’ai l’impression de troncher une gonzesse, quel cul a cette pute".
Je voyais entre mes cuisses l’énorme priape d’ébène entrer et sortir presque entièrement de moi pour replonger jusqu’à la garde la seconde suivante.
J’avais le cul rempli comme jamais je n’avais été rempli et je me mis à hurler chaque fois que mon amant s’enfonçait au fond de mon rectum en fusion.
Je me tortillais comme un damné sous les coups de boutoir que je recevais, dans la pièce en dehors de mes cris on entendait les bruits de succion que faisait mon anus chaque fois qu’il avalait la fabuleuse verge qui m’ouvrait un peu plus le fion à chaque poussée.
Mon homme me possédait maintenant de manière plus brusque et les grimaces qu’il faisait montraient le plaisir qu’il prenait à me sodomiser.
Je n’étais plus que jouissance et je tendais ma croupe vers ce phénoménal sexe qui me ramonait le prose pour accentuer la pénétration.
Ce que je ressentais était tellement bon que je me mis à hurler toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.


aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh



Pascal s'enfonça en moi me couvrant de tout son corps et déchargea en râlant me remplissant de foutre une nouvelle fois, ses jets de foutre m'inondant le tunnel me provoquèrent un orgasme dévastateur, mon corps se tendit comme un arc sous mon amant, mes jambes battirent l’air, je griffai les draps et un hurlement strident pulsa de ma
gorge, puis je retombai lourdement sur le lit, baignant dans le plaisir, je sentis la verge sortir de mon cul et mon homme se lever de sur moi.
Je sentis des mains prendre mes jambes et les relever tout en les écartant et un corps se coucha sur moi.
J’ouvris les yeux et vis que c’était Christophe, son membre turgescent trouva de lui-même l’entrée de ma grotte intime et d’un coup de reins qui me fit gémir l’homme m’enfessa jusqu’à la garde puis il se mit à me ramoner à une vitesse folle.
Le plaisir prenait de plus en plus possession de mon être, j’enlaçai mon homme de mes bras et fermai les yeux tout à mon bonheur.
Christophe me besognait avec des "HAN" de bûcheron, me faisant avancer sur le lit chaque fois qu'il m'enfilait, je me tordais comme un damné sous lui, mes ongles étaient plantés dans ses épaules musclées, ma tête ballottait de gauche à droite et de ma bouche grande ouverte ne sortait plus qu'un "aaaaaaaaaaaaaaahhhh" continu.
Je ne savais plus depuis combien de temps il me bourrait le fion mais c'était si bon que je voulais qu'il continue jusqu'à ce que mon cul ne soit plus qu'un immense trou où mon homme aurait pu y entrer entier, sous ses coups de boutoir répétés je me sentais sombrer, seul comptait pour moi le phallus roide qui me forait les reins, je ne vivais plus que pour et
par cette merveilleuse verge qui m'ouvrait un peu plus l'anneau chaque fois qu'elle s'enfonçait au plus profond de moi.
Des vagues de plaisir affluaient vers mon visage prenant naissance dans le bas de mes reins, mes fesses étaient bouillantes et j'avais l'impression que de mon tunnel sortait de la lave en fusion, les bruits de succion que faisait mon anus chaque fois qu'il avalait le formidable priape qui me tringlai ne faisaient que décupler mon plaisir.
J'avais perdu entièrement le sens des réalités, je m'enfonçais de plus en plus dans la jouissance chaque fois que la pine turgescente se plantait au fond de mon cul en fusion. Soudain Christophe me leva et sans que notre étreinte se désunisse, me porta et me mit à quatre pattes sur la couche et se mit à me pilonner le cul violemment, je devais me tenir
pour ne pas tomber tant ses assauts étaient rudes, son ventre musclé claquait contre mon fessier porté au rouge à me faire mal, complètement cambré je tendais encore plus mon cul vers lui pour accentuer la pénétration et me mis à rouler des hanches en cadence,
j'avais rejeté la tête en arrière et tel un pantin désarticulé je subissais les violents coups de bite qui m'envoyaient au septième ciel chaque fois, j'avais le sphincter complètement éclaté.
Christophe me possédait en me tenant aux épaules, me limant de toute la longueur de son sexe, le sortant presque entièrement de mon canal pour le replonger la seconde suivante jusqu'à la garde, je n'étais plus que jouissance, toutes les parties de mon corps étaient devenues tellement sensibles que le moindre attouchement se répercutait jusqu'au fond de mes entrailles, je sentais l'explosion proche, une boule de feu s'était formée dans le creux de mon estomac et remontait vers mon visage chaque fois que le phallus érigé me défonçait, soudain n'y tenant plus je me mis à hurler toutes les phases du plaisir par
lesquelles je passais.


aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhh

Un spasme foudroyant m'envahit, mon corps se tendit comme un arc s'offrant plus encore à celui qui me pilonnait le fondement, je hurlai de jouissance puis je me sentis tomber lourdement sur le théâtre de nos ébats et je perdis conscience.
Je ne sais combien de temps je restai dans les pommes, mais quand je revins à moi, Christophe me baisait toujours aussi violemment, quand il vit que je n'étais plus dans le cirage, il s'arrêta planté au fond de mon cul et me dit "Remets toi à quatre pattes et suce Patrick".
Flottant toujours dans l'univers cotonneux de l'orgasme j'obéis sans me rendre compte de ce que je faisais, j'ouvris les yeux et vis devant moi un vit dressé, je l'engloutis et me mis à le sucer vigoureusement, aussitôt derrière moi, Christophe recommença à me posséder à
une vitesse folle, j'avais du mal à faire ma fellation tant les coups de boutoir de celui qui me ramonait l'arrière-train étaient violents, voyant cela celui que je suçais m'immobilisa la tête à l'aide de ses mains et se mit à aller et venir entre mes lèvres se servant de ma bouche comme d'un cul.
J'étais comblé des deux côtés car la bite qui me pinait la bouche était aussi de superbe taille, elle était aussi grosse que celle qui me pilonnait le trou du cul depuis au moins une demi-heure.
Soudain s'enfonçant au plus profond de mon être, Christophe éjacula en feulant, ses épais jets de sperme crémeux fusant contre mes parois intimes surchauffées me provoquèrent un orgasme dévastateur, je tendis ma croupe vers ce formidable sexe qui déversait sa semence en moi pour accentuer la pénétration, à ce moment celui que je pompais
déchargea aussi, il m'envoya une abondante giclée de foutre dans la gorge tout en plaquant son pubis contre mon visage, un "ggggrrrrraaaaaahhhhhhh" pulsa de mes lèvres et mes deux amants m'abandonnèrent, je tombai sur le matelas couché en chien de fusil
essayant de retrouver ma respiration.
Aussitôt on me mit à plat ventre, on m’écarta les jambes et une pine raide força l'orée de mon anus m'arrachant un gémissement.
Daniel car c'était lui, se mit à me besogner à une vitesse folle, je croyais qu'il allait me déchirer le cul si il continuait comme ça, son membre sortait presque entièrement de moi pour replonger la seconde suivante au fond de mon anus, le plaisir ne fut pas long à refaire
surface en moi, je me mis à gémir sous les coups de boutoir que mon amant m'assenait, son ventre musclé claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, sa pine coulissait sans aucune gène dans ma grotte bien ouverte et lubrifiée par les assauts de Christophe et ses devanciers.
Soudain, mon homme s'arrêta et me prenant à la taille, me fit basculer, je me retrouvai allongé sur le dos, mon amant sous moi continuant à me pilonner le rectum avec des "HAN" de bûcheron.
Une verge érigée força mes lèvres, j'ouvris la bouche et me mis à la sucer avec avidité tandis qu'une autre se posai sur ma main, j'enroulai mes doigts autour de la colonne de chair et commençai à la traire.
Hervé, car c'était lui déchargea, sa liqueur gicla sur mon ventre, je lâchai la biroute à demi flaccide et entrepris de me masser la poitrine avec le foutre qui la maculait. 
Je sentis sur ma langue la bite de Pascal tressauter, il colla mon visage contre son pubis  et explosa en feulant, ses longs jets de semence se déversèrent dans ma gorge et je les bus avec un plaisir évident, pendant ce temps là, Daniel me possédait toujours avec la même fougue m'amenant au septième ciel, je ne vivais plus que pour et par la hampe qui me défonçait le fondement, mon fessier brûlait, je voulais que ce priape dur reste éternellement en moi tant le plaisir qu'il me donnait était grand, mon corps sautait chaque fois que mon mec me bourrait, je me sentis perdre totalement le sens des réalités, je
sombrai dans l'univers cotonneux où seul compte le bonheur physique, la tête rejetée en arrière, les yeux clos, je me mis à hurler toutes les phases du fade par lesquelles je passais.

aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhh


Plongeant au plus profond de mon être, Daniel éjacula en râlant, ses traits de sperme fusant le long de mes parois en fusion me déclenchèrent un fabuleux orgasme, mon corps se tendit comme un arc, mes jambes battirent l'air et de ma gorge pulsa un hurlement de
jouissance puis je retombai lourdement sur mon amant les yeux clos, cuisses écartées.
Daniel se retira et aussitôt, on me releva les cuisses pour les mettre sur des épaules et un formidable pénis me pénétra et se mit à aller et venir entre mes fesses avec lenteur.
Au matin, je me suis retrouvé à poil dans mon lit. J'avais mal au cul, du foutre séché plein la raie des fesses et une haleine atroce.
Je ne me souvenais plus de la fin de la soirée, j'avais aussi la gueule de bois.
Heureusement, nous étions un dimanche matin et j'ai pu aller tranquillement prendre une douche.
Je m’étais fait enculer par tous les gars de la chambrée et je les avais au moins sucé une fois chacun, pour la première fois depuis longtemps j’avais pu faire ma salope sans pudeur.
Hervé arriva derrière moi dans les douches et il vint m'embrasser et me dit "Ça va?
- Non, j'ai la gueule de bois, je ne me souviens plus de la fin de la soirée, après que Daniel m’eut enculé comme une pute que je suis.
- Tu parles, on t’a encore sauté une fois et tu nous as nettoyé la bite avec ta bouche puis tu t'es endormi.
Christophe et Daniel qui avaient encore envie de tirer n'ont pas osé te prendre dans ces conditions. Ils se sont juste branlés sur tes fesses, plus personne ne t'a pénétré et Pascal m'a aidé à te coucher.
- N'empêche que j’ai trouvé ça super, j'espère simplement que cela restera entre nous et que vous n’allez pas le raconter à toute la compagnie.
- Écoute, non, personne ne le fera, car nous avons tous bien déconné et on espère avoir l’occasion de recommencer encore.
- Moi aussi, une baise comme ça je veux bien recommencer.
- Ca c’est bien parlé.
- Il n’empêche que je me suis quand même comporté comme une sale petite pute.
- Vois le bon côté des choses, tu as pris ton pied, nous aussi que d'histoires pour quelques centimètres de bites et de quelques gouttes de sperme dans ton charmant petit cul".
Les copains ne m'ont fait aucune réflexion sinon une petite allusion sur le fait que je ne tenais pas bien l'alcool.
Ils ont été sympa comme d'habitude.
Christophe et Daniel partirent mais jusqu’à la libération je continuai à me faire baiser par
Hervé et de temps en temps nous faisions une petite soirée avec Pascal et Patrick.

à suivre 

 

 

gay bang

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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Mardi 12 février 2 12 /02 /Fév 06:14

Résumé: Max le prof de gym initie Damien, un lycéen de terminale, à l'homosexualité et à la sodomie passive. Damien aime tellement ça qu'il en devient "obsédé. Bientôt Max ne lui suffit plus et c'est Marc et Patrick qui s'unissent à lui pour former un fameux trio. Mais Damien est devenu insatiable. L'équipe de hand-ball y passe en entier dans un gang-bang d'enfer. Voici la fin de l'année et David invite tous les amis à faire la fête au cabanon de ses parents... 

 

 

La fête de fin d'année 

[...fais-nous un strip... vous m'avez complètement démoli le trou...]

Ce jour là était un jour spécial, j'allais au lycée voir les résultats du baccalauréat.
Mon nom était sur la liste et j'étais très heureux car malgré ma vie mouvementée j'avais 
quand même bossé comme un dingue.
Je vis arriver Marc et Patrick qui sautèrent de joie quand ils virent qu'eux aussi avaient 
réussi.
Nous étions contents, nous nous tapions dans la main tout en poussant des cris de joie.
Après avoir essayé de consoler quelques-uns de nos copains qui étaient recalés, Patrick 
me dit "Que penses-tu si nous allions faire un tour à l'ORT, eux aussi ont leurs résultats 
aujourd'hui.
- C'est une bonne idée".
Nous partîmes tous les trois rejoindre l'autre lycée.
Comme pour nous il y avait des visages radieux et d'autres tristes, de la fameuse équipe 
de hand-ball, seuls David, Eoud, Elie et Ariel avaient réussi, les autres avaient échoué.
Après avoir apporté quelques paroles de réconfort aux battus nous partîmes tous les sept 
fêter ça dans un café.
Après avoir bu quelques verres David dit "On a aujourd'hui réussi la première étape, 
maintenant, c'est le second cycle qui nous attend. Que veux-tu faire Eoud ?
- Je vais certainement partir pour les Etats Unis faire médecine.
- Bien et toi Elie ?
- Je vais rester ici faire math sup et spé.
- Bien et toi Ariel ?
- Je vais partir en Israël bosser dans un kibboutz.
- Un retour au pays, c'est bien et toi Marc ?
- Comme un jour ou l'autre je devrais reprendre l'entreprise de mon père, je crois que je 
vais rentrer en France pour entamer des études de gestion, disons jusqu'au master.
- Très bien et toi Patrick.
- Je pense que je vais retrouver Elie car je veux faire sup et spé avant de me lancer dans 
des études d'ingénieur en physique.
- Un courageux, bravo, et toi Damien ?
- Je n'en sais rien, j'avoue que je voulais avoir mon bac mais maintenant je n'ai aucune 
idée car la seule chose qui m'obsède pour l'instant ne nécessite pas d'étude.
- Et c'est quoi ?
- Le cul tout simplement, je ne crois pas que pour devenir pute, il y a besoin de faire un 
second cycle à l'école et je crois que c'est ce que je veux faire.
- AH AH AH !! Effectivement.
- Et toi David ?
- je vais faire comme Marc à la différence près que je vais continuer ici, il y a une école 
supérieure de gestion juive qui vient de s'ouvrir.
- Ah bon et est-ce que les non juifs sont acceptés.
- Bien sur Marc, en plus le directeur général est un oncle à moi, je peux lui en parler tu 
sais.
- J'aimerai bien car c'est vrai que rentrer en France où je ne connais personne ne me 
passionne pas du tout.
- Apporte-moi ton dossier et je te donnerai une réponse dans le courant de la semaine 
prochaine mais normalement il n'y a aucun problème.
- Je vais te donner tout ça.
- D'accord.
- Bon je crois qu'on devrait fêter tout ça.
- Où ça ?
- Ecoutez les gars, voilà ce que je vous propose, mes parents possèdent un cabanon aux 
Tamaris, je vais leur demander et on peut aller y passer la soirée et la nuit pas de 
problème.
- C'est super.
- Et sans vouloir forcer personne, mais d'après ce que je viens d'entendre il y a une petite 
pute parmi nous et si cette petite pute voulais pour cette petite fête nous prêter son cul et sa 
bouche ce serait super. Qu'en pensez-vous ?
- Tu as raison David.
- Alors Damien.
- Je n'y vois aucun inconvénient, c'est vrai que je suis une pute, je sais que vous êtes des 
supers baiseurs et je vous aime bien tous les six alors si vous le voulez bien je vous 
servirai de femme pendant cette soirée et cette nuit, je sens que je vais être bien défoncé, 
rien de tel pour fêter mon bac que de me faire casser le cul par une bande telle que vous.
- Bon puisque tout le monde est d'accord je vous propose qu'on se retrouve ici vers cinq 
heures ce soir".
Nous partîmes chacun de notre côté apporter la bonne nouvelle aux familles.
Sur le chemin de chez moi je pensais à la soirée et la nuit qui allaient venir, j'étais sur que 
les six mecs qui étaient des baiseurs infatigables allaient de démolir la rondelle comme 
jamais et cela me rendait heureux.
Tout en pensant à cela je pris une décision, comme je ne savais pas quoi faire, j'allais tout 
simplement partir pour l'armée comme ça je serais au moins de ça et après on verrait bien.
A cinq heures nous nous retrouvâmes tous devant le café et nous prîmes le chemin du 
cabanon des parents de David.
David avait amené de quoi boire et manger, quand nous arrivâmes chacun voulut aller se 
baigner, nous nous mîmes en maillot et partîmes nager et jouer dans l'eau pendant une 
bonne heure.
Quand nous revîmes au cabanon David dit "Bon je crois que maintenant il est temps de 
commencer la soirée, premièrement tout le monde à poil".
En un clin d'œil tout le monde fut nu et je vis plusieurs paires d'yeux lorgner vers mon beau 
petit cul cambré.
Pour provoquer un peu tout le monde je me mis à marcher en ondulant tout en me 
caressant les fesses.
Il ne fallut pas longtemps pour voir les membres de mes amis se dresser.
David qui avait vu le manège dit "Un peu de calme les gars, notre petite salope attendra 
encore un peu, on va d'abord boire un verre. Damien et si tu commençais à faire ton rôle 
d'hôtesse et si tu nous servais à boire.
- Pas de problème, je peux aussi vous faire à manger si vous voulez.
- ça nous va parfaitement.
- Bien alors que voulez-vous boire ?
- Il n'y a pas beaucoup de choix, whisky, martini et jus d'orange pour toi.
- D'accord alors qui veut du whisky et qui veut du martini".
Je servis tout le monde et nous dégustâmes nos verres tout en fumant et en discutant.
Après plusieurs tournées, je me levai et dit "Je vais aller faire à manger".
J'allai dans la cuisine et préparai le dîner.
Une fois tout prêt, je mis la table, chacun s'assit et nous mangeâmes en plaisantant.
Quand le repas fut terminé je débarrassai la table et revins dans la pièce principale.
Le gars n'étaient pas restés inactifs, ils avaient fait de la place, ils avaient ôté les chaises et 
étendu un tapis au milieu de la pièce.
Je compris tout de suite de quoi il retournait, ils avaient l'intention que je me mette à quatre 
pattes sur le tapis pour qu'ils aient la possibilité de m'enculer et se faire sucer sans que 
quelque chose ne les gènes.
David me dit "Tu sais ce qui serait bien.
- Non ?
- Que tu te rhabilles et que tu nous fasses un strip-tease avant de passer aux choses 
sérieuses.
- Pourquoi pas.
- Vas-y pendant que je cherche un disque".
Je remis mes vêtements pendant que David mettait sur le tourne disque le slow "when a 
man loves a woman".
Je me mis au milieu du tapis et me copains se mirent tout autour.
Puis sous la lente mélopée j'entamai un savant effeuillage.
Je tournai langoureusement sur moi-même en remuant mon petit cul.
Je pris mon tee-shirt à la base le faisant passer par-dessus ma tête et le jetai au public 
Une fois torse nu je tirai la langue de manière aguichante tout en me caressant les seins.
Je mis les pouces dans la ceinture de mon pantalon de survêtement et commençai à le 
faire descendre doucement sans mon slip tout en donnant des coups de bassin 
provocateurs.
Les mecs regardaient en riant et applaudissaient.
J'ôtai enfin le pantalon que je jetai à mes copains.
Tout en dansant, j'enlevai mes chaussettes, un mini slip noir constituait à ce moment mon 
seul vêtement.
Je continuai à danser en cambrant mes fesses, je regardai les mecs en ouvrant la bouche 
et en passant ma langue sur mes lèvres.
Une première fois, je fis mine de descendre mon slip et m'arrêtai pour juste découvrir le 
début de mon sillon.
Je vis que tous les mecs se caressaient la bite.
Je montrai mon cul bien cambré aux copains en écartant les jambes.
Je tirai sur le slip pour qu'il me rentre dans la raie des fesses faisant ainsi découvrir les 
deux lobes charnus, imberbes et rebondis.
Je descendis lentement le slip le long de mes cuisses fuselées et le fit tomber sur mes 
chevilles.
Je me penchais en avant pour le ramasser de telle manière à ce que mes fesses s'ouvrent 
offrant ainsi à mes camarades une vue imprenable sur mon œillet plissé.
Je jetai le slip à la figure de David et entamai une danse très suggestive tout en ondoyant, 
remuant lascivement mes hanches, rejetant la tête en arrière et en caressant mon 
postérieur.
Quand la musique s'arrêta, j'étais bien excité, je commençai à avoir les miches brûlantes et 
je sentais un léger picotement au creux de mes reins.
J'ouvris les yeux et ce que je vis me grisa, les six hommes étaient complètement en 
érection.
J'avais devant moi six phallus gonflé et tendus à bloc prêts à s'occuper de moi.
J'adressai un grand sourire gourmand à mes compagnons et David dit "Tu es superbe 
petite salope, tu nous fais bien bander, ton joli petit cul est toujours aussi beau. Bon 
maintenant tu vas t'installer à quatre pattes au milieu du tapis les cuisses bien écartées et 
la bouche grande ouverte".
Je pris la position demandée, j'écartai les cuisses au maximum et me cambrai pour m'offrir 
le plus possible.
J'entendis dans la pièce quelques murmures et David dit "Bon lequel d'entre nous va avoir 
le privilège d'ouvrir le cul de notre petite pute".
Après un bref conciliabule il fut décidé que ce serait David qui m'enculerait le premier.
J'étais content qu'il en soit ainsi, ça me faisait plaisir que ce soit David qui me tire le 
premier il était celui que je préférais, je dirais même que je l'aimais.
David se positionna derrière moi et me caressa la raie de son énorme gland turgescent, 
cet attouchement me provoqua une étrange sensation de plaisir, un gémissement 
s'échappa de ma bouche, un doigt de mon amant pesa sur mon œillet et me pénétra, je 
fermai les yeux et savourai la caresse, un autre doigt vint rejoindre le premier puis un 
troisième et un quatrième, je planai littéralement sous ces allées et venues qui lentement 
m'ouvraient le sphincter.
Mon homme prolongea très longtemps ce préliminaires si bien que quand ses doigts 
m'abandonnèrent, j'avais les fesses brûlantes et je laissai échapper des petits râles de 
bonheur, le gros bout durci se posta contre ma pastille et mon mec entreprit de m'enfesser 
en de petits coups de reins, bien que largement ouvert, le passage du gland m'arracha un 
cri de douleur, mais une fois qu'il fut passé au lieu de s'enfoncer à fond en moi, David 
commença à m'assouplir la rondelle par de petits va et viens, au début je me mordais les 
lèvres pour ne pas hurler tant ça me faisait mal, j'avais l'impression d'avoir le cul coupé en 
deux, puis peu à peu la souffrance fit place à une douce sensation de bien-être, je sentis 
mon fondement se décontracter, s'ouvrir totalement, c'est le moment que choisit mon 
amant pour s'enfoncer dans mon arrière-train jusqu'à la garde.
Quand les poils follets de ses couilles touchèrent ma croupe, je sus qu'il était entièrement 
en moi, je sentais palpiter au fond de mes entrailles ce pénis qui m'emplissait 
complètement.
Je soupirai de plaisir et tendis mes fesses vers mon homme pour accentuer la pénétration, 
me prenant aux hanches, mon mec se mit à me limer avec douceur me faisant perdre 
totalement pied, ce formidable phallus qui me forait les reins me procurait à chaque allée 
et venue des éclairs de jouissance qui remontaient par vagues de mon bas-ventre, je 
m'abandonnai corps et âme à cette bite roide qui me faisait tant de bien, je rejetai la tête en 
arrière et fermant les yeux, je laissai le plaisir prendre possession de mon être.
Soudain je sentis contre ma joue quelque chose de dur et doux, j'ouvris les yeux et me 
trouvai en présence d'une queue dressée, j'ouvris la bouche et avalai l'objet de ma 
dévotion, pendant ce temps le troisième s'allongea à mes côtés et posa sa verge érigée 
dans une de mes mains, je me mis à la branler doucement.
Celui que je suçai m'immobilisa la tête et se mit à me tringler les lèvres comme si il 
s'agissait de mon cul, celui que je masturbai jouit et je reçus ses jets abondants dans la 
paume de la main.
Tout à coup, plaquant mon visage contre son pubis, Eoud car c'était lui juta en râlant, son 
sperme crémeux coula dans ma gorge et je l'avalai avec délice.
Je ne savais plus depuis combien de temps David me possédait, j'avais atteint le point de 
non-retour et roulant des hanches en cadence, je me mis à délirer.
C'est à cet instant que, s'enfonçant au plus profond de moi, mon amant éjacula en râlant, 
ses jets de semence épaisse fusants contre mes parois surchauffées me déclenchèrent 
un spasme foudroyant, je me cambrais et un "aaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh" pulsa de 
me lèvres.
Mon homme se retira et aussitôt, une pine raide força l'orée de mon anus m'arrachant un 
gémissement.
Marc car c'était lui, se mit à me besogner à une vitesse folle, je croyais qu'il allait me 
déchirer le cul si il continuait comme ça, son membre sortait presque entièrement de moi 
pour replonger la seconde suivante au fond de mon anus, le plaisir ne fut pas long à refaire 
surface en moi, je me mis à gémir sous les coups de boutoir que mon amant 
m'assenaient, son ventre musclé claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, sa 
pine coulissait sans aucune gène dans ma grotte bien ouverte et lubrifiée par les assauts 
de David.
Soudain, Marc s'arrêta et me prenant à la taille, me fit basculer, je me retrouvai allongé sur 
le dos, mon amant sous moi continuant à me pilonner le rectum avec des "HAN" de 
bûcheron.
Une verge érigée força mes lèvres, j'ouvris la bouche et me mis à la sucer avec avidité 
tandis qu'une autre se posai sur ma main, j'enroulai mes doigts autour de la colonne de 
chair et commençai à la traire.
Ariel, car c'était lui déchargea, sa liqueur gicla sur mon ventre, je lâchai la biroute à demi 
flaccide et entrepris de me masser la poitrine avec le foutre qui la maculai.
Je sentis sur ma langue la bite de Patrick tressauter, il colla mon visage contre son pubis 
et explosa en feulant, ses longs jets de semence se déversèrent dans ma gorge et je les 
bus avec un plaisir évident, pendant ce temps là, Marc me possédait toujours avec la 
même fougue m'amenant au septième ciel, je ne vivais plus que pour et par la hampe qui 
me défonçait le fondement, mon fessier brûlait, je voulais que ce priape dur reste 
éternellement en moi tant le plaisir qu'il me donnait était grand, mon corps sautait chaque 
fois que mon mec me bourrait, je me sentis perdre totalement le sens des réalités, je 
sombrai dans l'univers cotonneux où seul compte le bonheur physique, la tête rejetée en 
arrière, les yeux clos, je me mis à hurler toutes les phases du fade par lesquelles je 
passai.
Plongeant au plus profond de mon être, Marc éjacula en râlant, ses traits de sperme 
fusants le long de mes parois en fusion me déclenchèrent un fabuleux orgasme, mon 
corps se tendit comme un arc, mes jambes battirent l'air et de ma gorge pulsa un 
hurlement de jouissance "aaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhh" puis je retombai lourdement 
sur mon amant les yeux clos, cuisses écartées.
Marc se retira et aussitôt, on me releva les cuisses pour les mettre sur des épaules et un 
formidable pénis me pénétra et se mit à aller et venir entre mes fesses avec lenteur, bien 
que je fus très ouvert par les assauts que je venais de subir, je poussai un petit cri de 
douleur quand le gland de Elie déflora ma corolle.
Mais sous les mouvements répétés de cette virilité dans mon tunnel intime le mal 
s'évanouit pour une fois de plus faire place à une douce langueur, qui je le savais allait se 
transformer en un plaisir intense.
Au bout de quelques instants de ce traitement, je me mis à rouler des hanches en cadence 
creusant mes reins pour venir à la rencontre du membre qui m'enfilai, je tendais mon cul 
pour recevoir encore plus, je voulais qu’Elie tout entier entre en moi, je n'étais plus qu'un 
cul gigantesque affamé.
Mon homme enleva mes jambes de ses épaules et les releva vers ma tête, de sorte que 
mon trou ressorte plus encore favorisant l'angle de pénétration, de cette manière mes 
fesses n'étaient plus un rempart, tout le phallus pénétrait dans ma grotte, c'était 
merveilleux.
Je ne savais plus depuis combien de temps, mon mec était en moi mais je voulais qu'il y 
reste pour me procurer sans fin ce plaisir qui m'envahissait.
Soudain, je sentis des gouttes humides pleuvoir sur mon corps, David, Eoud, Marc, Ariel et 
Patrick s'étaient astiqués et déchargeaient sur moi, quand ils eurent terminés, ils 
essuyèrent leurs sexes sur moi, du bout de la langue, je récupérais le foutre qui me 
maculait le visage.
Les coups de boutoir d'Elie étaient tellement brutaux que je décollais du tapis chaque fois 
qu'il me défonçait la raie.
J'avais le cul complètement éclaté, et sous les assauts répétés de mon amant, je me 
tordais sous lui comme un damné griffant ses épaules de mes ongles, ma tête ballottait de 
gauche à droite, je n'étais plus que jouissance, seul pour moi comptait le formidable pal 
qui me ramonait le rectum, je me mis à délirer.
Elie planta sa pine au plus profond de mon cul en fusion et explosa en feulant, son épais 
liquide séminal inondant mon canal bouillonnant me provoqua un orgasme dévastateur, 
mon corps se tendit comme un arc, mes doigts griffèrent les tapis, je me cambrais pour 
offrir encore plus mon cul à ce magnifique phallus, je hurlai de jouissance puis je retombai 
lourdement au sol, mon mec me décula et aussitôt un autre corps s'allongea sur moi et 
m'enfessa d'un violent coup de reins me faisant gémir.
Je nouai mes jambes dans le dos d'Eoud et posai mes mains sur ses épaules, prenant 
appui sur les coudes il commença à me besogner à une vitesse folle me faisant décoller 
de sur le lit chaque fois qu'il me bourrait l'intimité, son ventre musclé claquait contre mes 
fesses en fusion à me faire mal, c'était si bon que sans aucune retenue je lui labourais les 
épaules de mes ongles, je me tordais comme un damné sous celui qui me montait, ma 
tête ballottant de droite à gauche j'étais au septième ciel, sous ses virils coups de phallus 
j'avais atteint le point de non-retour et me mit à délirer hurlant toutes les phases du plaisir 
par lesquelles je passai.
A cet instant, s'enfonçant au plus profond de mes entrailles, Eoud déchargea en râlant, ses 
puissants jets de semence crémeux fusants le long de mes parois intimes surchauffées 
me déclenchèrent un orgasme dévastateur, mon corps s'arqua je tendis ma croupe vers 
mon amant pour accentuer la pénétration, mes ongles se plantèrent dans les épaules de 
celui qui me chevauchait, mes jambes battirent l'air, un hurlement pulsa de ma gorge, je 
retombai lourdement sur le sol bras et cuisses écartés savourant les dernières contraction 
du bonheur autour de ma corolle ravagée.
Ariel prit mes jambes et les posa sur ses épaules, il écarta mes fesses brûlantes et guida 
sa bite entre elles contre mon antre béante, quand je sentis son gland contre mon 
sphincter affamé, je lui dis "Vas y défonce moi".
Il pesa sur ma corolle largement ouverte et entra en moi comme dans du beurre me faisant 
gémir, puis prenant appui sur ses avant-bras, il commença à me marteler en de lents va et 
vient qui ne tardèrent pas à me faire perdre pied.
Je fermai les yeux et me laissai sombrer dans le désir avec tous les assauts répétés que 
j'avais pris dans le cul depuis le début, le sexe de mon amant coulissait en moi sans 
aucune gène, chaque poussée m'ouvrait un peu plus le cul, j'avais du mal à respirer tant le 
plaisir qui affluait en moi était grand, j'avais rejeté la tête en arrière et tendais ma croupe 
vers ce fabuleux pénis qui me cassait encore plus la pastille chaque fois qu'il plongeait en 
moi jusqu'à la garde.
Mon fessier se soulevait au rythme des coups de boutoirs que mon homme m'assenait, le 
cul complètement éclaté je remuais la tête de gauche à droite et griffai le tapis, chaque fois 
que la pine roide se fichait au tréfonds de mon fondement je poussais de petits cris de 
plaisir, je voulais que mon mec entre chaque fois plus profondément en moi, repliant 
encore plus mes jambes de telle sorte que mes genoux touchent presque ma tête, faisant 
ressortir plus mon anneau et accentuant l'angle de pénétration, Ariel se coucha sur moi et 
se mit à me posséder de toute la longueur de son impressionnant pénis, sous ses coups 
de bite, je ne tardais plus à atteindre le point de non-retour, hurlant toutes les phases du 
plaisir par lesquelles je passais.
C'est à cet instant, que s'enfonçant au plus profond de mes entrailles, Ariel éjacula en 
feulant, ses puissants jets de foutre crémeux fusants le long de mes parois intimes 
surchauffées me déclenchèrent un orgasme dévastateur, un spasme foudroyant traversa 
mon être, je me cambrais sous mon amant, mon corps s'arqua je tendis ma croupe vers 
ce magnifique phallus qui continuait de se vider en moi pour accentuer la pénétration, mes 
ongles se plantèrent dans les épaules de celui qui me chevauchait, mes jambes battirent 
l'air, un hurlement pulsa de ma gorge, je retombai lourdement sur le sol bras et cuisses 
écartés flottant dans l'univers cotonneux de la jouissance.
Ariel se retira de mon cul, deux mains me saisirent et me firent mettre à quatre pattes puis 
Patrick me pénétra d'un violent coup de reins.
Me prenant aux hanches, mon amant se mit à me sodomiser me faisant aller et venir sur 
toute la longueur de son phallus.
Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon corps enfiévré, mon homme 
m'éclatait de plus en plus la pastille avec une régularité de métronome, j'étais secoué de 
frissons de désir, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait de mon tunnel 
enflammé, lâchant mes hanches mon mec me prit par les épaules et se mit à me pilonner 
l'arrière-train à une vitesse folle, son ventre musclé claquait contre mes miches en feu à 
me faire mal, la bouche grande ouverte je hurlais sans discontinuer sous les puissantes 
poussées de Patrick, tout mon corps tremblait tant j'étais excité chaque fois que mon 
amant m'enfilait jusqu'à la garde, j'étais obligé de me cramponner pour ne pas tomber 
sous les violents assauts que mon doux tourmenteur me faisait subir, je n'étais plus que 
jouissance, chaque fois que la monstrueuse pine plongeait au tréfonds de mes entrailles, 
je me sentais partir un peu plus, je suppliais mon homme de décharger car seule sa 
semence pouvait éteindre l'incendie qui couvait en moi, mais lui sourd à mes cris 
continuait à me défoncer la raie avec précision, le traitement que mon mec m'affligeait me 
faisait monter au septième ciel, je tendais ma croupe vers ce pénis qui me cassait si bien 
le cul pour accentuer la pénétration, des vagues de plaisir prenaient naissance dans mon 
bas ventre et remontaient vers mon visage pour éclater en mille étoiles, jamais je n'avais 
autant joui au cours d'une enculade, je voulais qu'il me démolisse complètement le fion, 
qu'il me déchire pour qu'il puisse entrer entier en moi, sous les virils coups de queue je 
tombai en avant de telle sorte que je reposai sur les avant-bras le cul en l'air entièrement 
écartelé, Patrick m'ayant agrippé aux cuisses me ramonait avec des "HANS" de bûcheron, 
j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
Un orgasme fulgurant me transperça, la tête rejetée en arrière je hurlai mon bonheur en 
tendant mon derrière vers la merveilleuse verge plantée au plus profond de mon cul, mes 
cuisses se dérobèrent sous moi et je m'affalai à plat ventre sur le sol, flottant dans l'univers 
cotonneux du plaisir physique, c'est à cet instant que je sentis au tréfonds de ma grotte 
ravagée, l'immense verge tressauter et un important flot de sperme épais investit mon 
intestin.
Je ne sais ni combien de fois ni combien de temps je fus enculé, mais quand les six 
hommes m'abandonnèrent, je me couchai en chien de fusil pour récupérer ma respiration, 
j'étais rempli de sperme de la tête aux pieds, mon fondement était complètement éclaté et 
la semence coulait tout le long de mes cuisses, j'avais les lèvres gonflées à force de sucer.
Quand je revins à moi, David, Eoud, Marc, Ariel, Patrick, et Elie étaient en train de boire.
David me dit "Et bien ma salope, tu as vraiment un cul superbe, tu nous as donné 
beaucoup de plaisir avec ton trou à bites et ta bouche à pipe, viens te rafraîchir avec nous 
pour reprendre un peu de force.
- Merci, mais se faire tringler par six bites comme les vôtres, c'est une chance incroyable, 
vous m'avez fait prendre des pieds superbes.
- On s'en est rendu compte, mais on voudrait te demander quelque chose.
- Oui ?
- As-tu encore la force de continuer ?
- Là n'est pas la question, j'ai encore très envie de me faire tringler.
- Bien dans ce cas, après un petit quart d'heure de repos, on recommence, voilà on 
voudrait que tu te mettes debout contre cette table, le corps reposant dessus et ton cul bien 
tendu. O.K ?
- D'accord mais avant cela, je vais aller pisser et nettoyer un peu mon trou du cul.
- Profites-en pour te laver aussi les fesses, les cuisses et même la gueule car tu 
dégoulines de sperme.
- C'est vrai, une bonne douche s'impose".
Je me levai, j'avais l'anus douloureux, pour marcher je fus obligé de garder les jambes 
écartées, c'est dire s'ils m'avaient distendu le trou.
Après avoir uriné, je pris une douche réparatrice, puis allai les rejoindre dans la pièce de 
baise où ils m'avaient préparé un verre.
Après avoir bu, fumé une cigarette, je m'aperçus que les six pines violacées pointaient vers 
le plafond, je me levai, pris un coussin que je posai sur la table puis je me courbai dessus 
en écartant les jambes.
Un corps se colla à moi, aussitôt une bite se positionna face à mon anus et le membre 
m'investit me faisant gémir, puis se mit à me ramoner vivement.
Au bout de quelques instants, le plaisir prit possession de mon corps montant de mon 
bas-ventre par vagues tumultueuses, je me mis à onduler sous les coups de boutoir que 
mon amant m'assenaient.
Les mains posées sur mes hanches, mon homme me défonçait le fondement, il me faisait 
décoller de terre chaque fois qu'il s'enfonçait au fond de mon cul, son ventre musclé 
claquait contre mes fesses en fusion, j'étais tellement excité que j'avais l'impression que 
de la lave s'échappait de ma grotte affamée, je savais que seul ce phallus qui me pilonnait 
la lune saurait éteindre l'incendie qui couvait en moi, les reins cambrés à l'extrême, 
m'offrant totalement aux assauts répétés, j'attendais l'explosion salvatrice, de ma bouche 
ne sortait plus qu'un "aaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh" continu.
Soudain se plaquant contre mon fessier, mon mec éjacula en feulant, ses jets de sperme 
m'atteignirent au tréfonds de mes entrailles me faisant hurler de bonheur.
L'homme se retira et aussitôt, une autre verge érigée me pénétra et se mit à me besogner 
lentement faisant monter d'un cran le plaisir qui me ravageait le corps.
Chaque fois que le pénis tuméfié m'empalait, je sombrai un peu plus, dans la pièce 
hormis mes râles de bonheur on entendait un bruit de succion que faisait mon cul 
abondamment lubrifié en avalant totalement le membre qui me possédait.
Je ne savais plus depuis combien de temps cette hampe me limait le prose, jamais je 
n'avais ressenti autant de plaisir au cours d'une enculade, j'avais la vue brouillée tellement 
je jouissais, j'avais atteint la plénitude rectale, seule comptait pour moi, la queue qui me 
forait les reins, je sentais monter en moi les prémices d'un orgasme dévastateur et je me 
mis à délirer.
S'enfonçant au plus profond de moi, mon mec déchargea en râlant, son flot de semence 
m'inonda le rectum me provoquant un spasme foudroyant, je dus me tenir à la table pour 
ne pas tomber sous l'impact de la jouissance, la bouche grande ouverte, je hurlai mon 
plaisir.
Je sentis le sexe en pleine détumescence sortir de ma rosette et aussitôt une autre pine 
roide m'enfessa et se mit à me ramoner à une vitesse folle, sous ses coups de boutoir 
répétés mon délire reprit.
Plaquant son corps contre mon arrière-train, mon amant juta en feulant, ses jets de liqueur 
crémeuse m'inondèrent le canal en fusion, je tendis mon cul encore plus vers lui pour 
accentuer la pénétration, je hurlai de plaisir puis tombai lourdement au sol essayant de 
retrouver ma respiration.
On m'allongea sur le ventre tout en glissant deux coussins sous ma taille de manière à ce 
que mon derrière soit relevé, puis un homme s'étendit sur moi et me prit d'un violent coup 
de reins.
Je ne sais combien de fois ni combien de temps les trois se succédèrent sur moi, mais 
quand ils m'abandonnèrent, je restai longtemps sans bouger, le cul complètement éclaté 
mais comblé, j'étais rempli de foutre de la tête aux pieds mais jamais je n'avais joui autant.
Quand je repris conscience des réalités, je vis qu'il était sept heures du matin, nous avions 
baisé toute la nuit, les six hommes portaient les stigmates de la grande fatigue qu'ils 
éprouvaient, leurs sexes étaient totalement flaccides, je partis dans la salle de bains, 
quand je passai devant la glace, je vis que des cernes énormes, témoins des fades que 
j'avais pris, marbraient mes yeux.
Je me lavai et quand je ressortis tout le monde dormait dans cette pièce où tant de fois 
j'avais hurlé mon plaisir.
Il flottait dans cet endroit une odeur de sperme et de merde mélangés, j'étais perclus de 
douleur et ivre de fatigue, j'allais m'allonger tout contre David qui grogna, il ouvrit un œil, me 
sourit et me dit "Tu as un cul superbe ma salope, tu nous as vidé les couilles.
- Et vous vous m'avez complètement démoli le trou.
- Ca je m'en doute".
Il me fit tourner pour que mes fesses touchent son ventre, il posa une main autour de ma 
taille et nous nous endormîmes d'un sommeil profond.

à suivre (7)

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Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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Vendredi 8 février 5 08 /02 /Fév 10:59

suite de la partie 5a... et la baise n'est pas finie...rappel : Sous les assauts redoublés de l'énorme pénis qui me forait m'ouvrant un peu plus la pastille à chaque poussée, je sombrai totalement et je me mis à délirer braillant toutes lesphases par lesquelles je passai. Soudain un spasme fulgurant me transperça, mes jambes battirent l'air, j'enfonçai mes ongles dans la chair des épaules de David, mon corps se tendit comme un arc, un hurlement aigu jaillit de ma gorge et je retombai lourdement sur la couche perdant connaissance.

Quand je rouvris les yeux j'avais les cuisses écartées sur le lit, David était toujours sur moi 

immobile, son fabuleux phallus fiché au fond de mon cul dilaté à l'extrême, il me dit "ça y 
est de nouveau parmi nous ?
- Oui.
- Je suis bien comme ça enfoncé dans ton petit trou.
- Moi aussi j'aime sentir ta bite palpiter en moi mais tu sais je préfère quand elle bouge.
- Je le sais.
- Tu m'as encore fait bien jouir.
- Je le sais aussi, tu m'as encore griffé les épaules.
- Mon pauvre chéri.
- Mais non ça prouve que tu aimes ce que je te fais.
- Oh oui quand tu me baises je crois devenir folle de plaisir.
- Merci mais tu sais que toi aussi tu me donnes beaucoup de plaisir, ton cul est génial 
surtout quand tu me trais la bite comme tu l'as fait, j'ai l'impression qu'en plus de te baiser 
tu me branles.
- Je suis contente que ça te plaise.
- Oh oui ma salope et tu sais j'adore quand tu parles de toi au féminin.
- C'est normal, qu'est ce que je fais là, je suis bien sous toi en train de me faire baiser.
- Oui mais j'aime quand tu parles comme ça.
- Tu sais je me sens comme ta femelle.
- Tu as raison mais tu sais il n'y a pas que ton cul, il y a ton corps tu te tords de plaisir 
comme une pute en chaleur.
- Mais quand tu m'encules je suis une pute en chaleur.
- C'est vrai mais je t'assure tu baises comme une gonzesse et quand je t'entends crier de 
plaisir, ça me donne encore plus envie de te baiser.
- Je l'espère car j'aime quand tu me baises comme tu me baises.
- Et moi j'adore te baiser ma salope.
- Mais tu es encore tout dur.
- Bien sur si toi tu as pris ton pied, moi pas encore.
- Mon pauvre, tu dois avoir envie de tirer.
- Pas tout de site je veux encore bien te baiser avant de lâcher la purée.
- Alors ne perdons pas de temps baise-moi et surtout baise- moi fort, je veux que tu 
m'éclates complètement le cul.
- Ne t'inquiète tu vas avoir le cul éclaté.
- C'est tout ce que je veux.
- Alors allons-y ne laissons pas attendre ma petite salope.
- Oui baise-moi fais-moi du bien.
- Veux-tu changer de position.
- Si tu veux mais moi j'aime bien celle ci, comme ça tu me baises comme si j'étais une 
femme et puis j'aime voir ton visage quand tu me défonces.
- Moi aussi j'aime bien voir ta figure déformée par le plaisir, mais je ne suis pas trop lourd 
sur toi.
- Oh non j'adore sentir le poids de ton corps sur le mien, je sens que tu me possède 
totalement, je suis tienne.
- Alors restons comme ça".
Je renouai mes cuisses dans le dos de mon amant et David recommença à me besogner 
en de larges et virils coups de reins.
Le désir un instant retombé après le fade que je venais de prendre s'insinua de nouveau 
dans mon corps enfiévré.
Sous les rudes assauts répétés de mon amant je sombrai de nouveau dans le plaisir, je 
fermai les yeux et me délectai de la vague de félicité que je sentais monter en moi.
Mon homme m'avait pris aux épaules et m'amenait vers lui chaque fois qu'il plantait son 
énorme dard au fond de mon cul tuméfié.
Chaque fois qu'il s'enfonçait au cœur de mes entrailles incandescentes je sentais ses 
testicules durs et gorgés de sève frapper contre mes fesses bouillantes.


Mon mec se ruait dans mon fondement avec une rare violence, je me dis que s'il continuait 
de la sorte il allait me déchirer le trou mais ce qu'il me faisait était tellement bon que je 
voulais qu'il continue éternellement.
Je serrais mon homme dans l'étau de mes cuisses comme si je voulais l'éperonner pour 
qu'il me baise encore plus fort.
Dans la pièce en dehors de mes hurlements de louve en chaleur on entendait les bruits de 
succion que faisait mon anneau chaque fois qu'il avalait la monstrueuse queue qui me 
fendait le rectum.
Tout à ma jouissance je roulais des hanches en cadence tendant ma croupe brûlante vers 
la magnifique verge qui me ramonait le prose jusqu'à plus jouir.
La bouche grande ouverte je bramais sous les rugueux coups de boutoir répétés que je 
recevais.
Je ne vivais plus que pour et par l'imposant pénis qui me forait les reins sombrant de plus 
en plus dans l'univers cotonneux du bonheur.
David me besognait avec des "HAN" de bûcheron, voir son visage grimaçant me faisait 
savoir que lui aussi prenait un superbe pied à me piner la raie comme il le faisait.
Sans que je m'en aperçoive mon sphincter se mit à presser le membre turgescent qui me 
limait et à me tordre comme une damnée sous celui qui me chevauchait.
J'étais complètement en sueur et seul comptait pour moi la fabuleuse hampe dressée qui 
me bourrait le cul, tout mon intérieur n'était qu'un énorme brasier et j'avais l'impression que 
de la lave en fusion coulait dans mon fondement dévasté.
Chaque fois que la formidable bite s'enfonçait dans mon antre béante je perdais un peu 
plus le sens des réalités.
Je ne savais plus depuis combien de temps David m'enculait et je commençai à sentir des 
tremblements m'envahir, signe annonciateur d'un bonheur immense.
David était un baiseur formidable, aucun de mes autres amants ne me donnait autant de 
plaisir que lui, ce que je ressentais était sublime.
Soudain s'immobilisant au fond de mon cul en feu mon amant me prit dans ses bras et me 
fit pivoter autour de sen sexe, je me retrouvai à plat ventre, il replia mes jambes sous moi 
de telle sorte à ce que je me retrouve la tête sur le drap et le cul en l'air.
Posant ses mains sur mon dos mon mec se mit à me pilonner l'arrière train avec une 
violence incroyable.
Chaque fois que mon homme plongeait son superbe phallus au fond de mes entrailles, 
son ventre musclé claquait contre mon fessier rougi à me faire mal.
Me cambrant à l'extrême et ondulant de la croupe je me mis à délirer.
C'est alors que s'enfonçant au fond de mes entrailles bouillonnantes David éjacula en 
feulant, son abondant flot de semence crémeuse fusant contre mes parois surchauffées 
me provoqua un orgasme destructeur, je griffai les draps, tendis mon cul vers le membre 
qui continuait à se déverser en moi pour accentuer la pénétration, un hurlement strident 
pulse de ma gorge et je m'écroulai sur e lit entraînant dans ma chute celui qui me 
chevauchait.
Je sentis David se lever de sur moi et je restai les yeux clos, cuisses écartées savourant 
les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.
Quand je revins à la réalité David rentrait dans la chambre, il avait été se laver le sexe mais 
ce qui me frappa c'est qu'il bandait encore, il me sourit et me demanda "Alors salope 
contente, tu as été bien baisé ?
- Oh oui, qu'est ce que tu 'as mis, j'ai cru à un moment que tu allais me déchirer le cul.
- Mais non ton cul est bien plus solide que tu le penses.
- Et toi est-ce que tu as pris du plaisir.
- Oh oui d'ailleurs tu as du sentir la giclée que je t'ai envoyé dans les fesses.
- Oui tu m'as complètement inondé, d'ailleurs je fuis un peu.
- AH AH AH !!
- Mais toi tu bandes encore.
- Oui.
- C'est fou.
- Pourquoi tu es déjà fatigué.
- Non pas du tout au contraire j'espère que tu vas encore me baiser toute la nuit.
- Ne t'inquiète pas, tu seras satisfait.
- Je ne demande que ça mais ce qui est fou c'est que juste après avoir tiré un coup tu 
bandes déjà.
- Eh oui je ne suis pas un petit kiki moi.
- ça je le sais.
- Bon puisque je bande et que ça t'intrigue, viens donc te prosterner devant ce qui te donne 
tant de plaisir et que tu aimes avoir dans le trou du cul et suce le.
- Avec joie.
- Non avec la bouche, allez salope viens prendre ton biberon".
Je m'agenouillai devant mon amant, caressai ses bourses duveteuses et portai un coup de 
langue sur le gland turgescent.
Cette caresse fit dresser le sexe encore plus, j'ouvris tout grand la bouche et engloutis 
l'objet de ma dévotion.
J'enroulai ma langue autour de la colonne de chair érigée, le mordillai et entamai une lente 
fellation.
Je suçai le gros membre dressé pendant quelques minutes puis David plaqua mon visage 
contre son pubis et m'envoya une abondante giclée se liqueur crémeuse dans la gorge 
que j'avalai avec délectation.
Après avoir cajolé le pénis devenu à demi flaccide je m'écartai e mon homme et me relevai.
Mon mec me dit "Tu suces vraiment comme une déesse ma salope, tu as vraiment une 
bouche à pipe.
- Merci.
- Non c'est moi qui te remercie de m'avoir aussi bien pompé.
- C'est normal toi tu me baises bien et moi je te suce bien.
- Tu as raison, bon maintenant afin d'être en forme toute la nuit on va dîner.
- D'accord.
- Va donc te laver pendant que je prépare.
- A tout à l'heure chéri.
- A tout à l'heure ma salope".
J'allai dans la salle de bains et entrepris de rendre à mon corps une propreté toute 
suédoise.
Après m'être bien lavé et séché je retournai dans le salon, David avait mis la table et étais 
en train de servir deux verres de whisky, il avait du se caresser car il bandait de nouveau.
Il me sourit et me dit "Alors toute propre la belle petite cochonne ?
- Oui ça fait du bien.
- Allez viens prendre un verre.
- Avec plaisir, qu'est-ce qu'on mange ?
- Du jambon et des fruits.
- Bien mais je ne vois qu'une seule assiette.
- Tu as raison, il n'y a qu'une seule assiette car j'ai imaginé un moyen amusant pour 
manger.
- Ah oui ?
- Oui.
- Comment ça ?
- Simple, je vais m'asseoir et tu vas te mettre sur mes genoux en t'empalant sur ma queue, 
on va rester immobile, je vais te donner à manger et pendant tout le repas tu auras ma pine 
plantée au fond de ton cul. Ca te va ?
- Super et pourquoi ne pas commencer pendant l'apéritif ?
- Salope plus on t'en donne plus tu en veux.
- Eh oui comme tu le dis tout le temps je suis une salope mais peut-être que tu ne te sens 
pas capable de rester dans mon cul aussi longtemps sans tirer.
- Petite pute, tu sais bien que je suis capable de rester longtemps dans ton cul même en 
te limant, d'ailleurs tu vas le voir cette nuit, je vais te défoncer tellement que demain tu ne 
pourras pas marcher.
- Même si je dois marcher à quatre pattes je veux avoir le cul défoncé par toi chéri.
- Je le sais salope, allez prends ton verre et viens prendre ton suppositoire.
- AH AH AH !!".
David s'assis sur la chaise, je le suivis et lui présentai mes fesses, il me mit une claque 
retentissante dessus et guida son énorme membre dans ma raie.
Quand le gland fut contre mon antre je descendis dessus.
Etant encore bien ouvert par la séance précédente le fabuleux pénis entra en moi comme 
dans du beurre et je ne pus m'empêcher de gémir quand je sentis la bite prendre 
possession de mon canal.
Aussitôt mes fesses devinrent chaudes et je sentis un désir fort monter en moi.
Mon amant s'en aperçut et me dit "On dirait que ma petite salope aime bien son siège.
- Oh oui que c'est bon de sentir ta pine entrer comme ça dans mon trou du cul, mais tu 
sais il n'y a qu'avec toi que je me sens rempli comme ça.
- C'est normal tu as vu la taille de mon engin.
- Oui il est énorme.
- Et ton cul l'aime bien.
- Mon cul adore ta bite.
- AH AH AH !! Tu vas voir ma petite poulette il va encore beaucoup aimer cette nuit.
- Je ne demande que ça.
- Je le sais salope, allez buvons et mangeons".
Après avoir bus nos verres David me donna à manger, sentir l'immense verge érigée 
palpiter au fond de moi me mettait dans tous mes états et un fort désir montait en moi.
Je fus très vite en nage et commençai à me tortiller tout en actionnant les muscles de mon 
sphincter autour de la colonne de chair plantée en moi.
David me dit "Mais tu triches petite salope, je t'avais dit de rester immobile.
- Mais je ne bouge pas.
- Si tu tortilles du cul et tu es en train de me traire, tu crois peut-être que je ne sens rien.
- Je n'y peux rien, je suis en feu et j'ai envie d'être baisé comme une pute que je suis.
- Un peu de patience salope et je vais te baiser.
- Dépêche-toi j'ai très envie.
- Salope.
- Oui salope mais salope en chaleur alors si je suis là c'est pour être baisé par toi alors 
baise-moi.
- Ah tu veux être baisé, d'accord".
Mon amant me prit à la taille, il se leva et sans que son pénis raide sorte de mon cul il 
marcha dans la pièce et s'arrêta devant le mur, il me posa à terre et me dit "Appuie tes 
mains contre le mur, cambre toi et tends ton cul je vais te bien bourrer ma salope".
J'obéis et David commença à me posséder à une vitesse folle, le désir qui me tenaillait 
depuis le repas envahit mon être et je me mis à onduler sous les coups de boutoir que 
mon amant m'assénait.
Les mains crispées sur mes hanches mon homme me baisait de toute la longueur de son 
fabuleux phallus en de rudes poussées.
Chaque fois que mon mec plantait son sexe au fond de mon rectum en feu je décollai de 
terre.
Sous les assauts furieux de David je me sentis partir encore fois dans la jouissance, le 
ventre musclé de mon mec claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, je devais 
me tenir au mur pour ne pas tomber tant ses assauts étaient violents, je tendais mon cul 
au maximum vers le membre qui me ramonait le prose pour accentuer la pénétration.
Depuis longtemps ne sortait plus de ma gorge que des hurlements tant ses viriles 
poussées me faisait du bien, je ne savais plus depuis combien de temps ce magnifique 
phallus me bourrait l'arrière-train, mais je voulais qu'il continue indéfiniment, les coups de 
reins de mon amant étaient si violents qu'à chaque fois qu'il se fichait au creux de mes 
reins, mes pieds décollaient du sol, s'il continuait comme ça il allait me déchirer mais 
c'était si bon que je voulais qu'il continue, j'étais dans un brouillard où seule comptait ce 
formidable pénis qui me pilonnait le postérieur, perdant complètement pied je me mis à 
hurler toutes les phases du bonheur par lesquelles je passais.
Soudain se plaquant contre mon fessier mon homme éjacula en râlant, ses épais jets de 
semence crémeuse m'inondèrent le fondement me déclenchant un spasme foudroyant, un 
orgasme d'une puissance incroyable pris possession de mon corps enfiévré, je tendis 
mon cul en fusion encore plus vers la pine qui se déversait au tréfonds de mon tunnel 
surchauffé, la tête rejetée en arrière je hurlais de plaisir, puis mes jambes cédèrent et je 
m'écroulais contre le mur où je me couchais en chien de fusil essayant de retrouver ma 
respiration.
Quand je rouvris les yeux, David me regardait en souriant assis sur un des tabourets du 
bar, son sexe, souillé de notre étreinte, reposait apaisé et gluant, je regardai mon homme 
je lui dis "Ouah tu m’as défoncé comme jamais on ne m’a défoncé,
le fade que j’ai pris !!..
- ça me fait plaisir.
- C’était sublime.
- Je suis content que tu ais aimé.
- Aimé mais c’est beaucoup plus que ça, adoré tu veux dire.
- Je m’étais promis de te faire monter au septième ciel.
- Tu as réussi, je me demande même si je suis redescendu.
- Merci ma chatte.
- Je t’assure c’est la vérité.
- Veux-tu boire quelque chose ma biche ?
- Un petit whisky s'il te plaît mon amour.
- ça arrive".
Quelques instants après il m'amena mon verre et nous bûmes en silence en fumant une 
cigarette puis mon amant me dit "Allons prendre une douche avant de nous mettre au lit.
- Oui, c'est une excellente idée".
Nous passâmes dans la salle de bains, après avoir pendant de longues minutes livrés 
nos corps à un jet d'eau chaude, nous nous savonnâmes abondamment pour éliminer les 
toxines de nos ébats, je savonnai bien le gland de David pour lui rendre une propreté tout 
suédoise, le membre se tendit aussitôt pour reprendre sa taille phénoménale mais mon 
mec me fit tourner et entreprit à son tour de me nettoyer le fessier.
Quand il arrêta, j'étais de nouveau dans un état d'excitation extrême mais David actionna un 
robinet qui propulsa sur nous une pluie d'eau fraîche qui me calma instantanément.
Quand nous sortîmes de sous la douche, j'étais bien reposé, je ne ressentais plus du tout 
la fatigue causée par la dépense d'énergie ayant eu lieu quelque temps plus tôt, nous nous 
séchâmes et je vis que le pénis de mon homme, si il n'était plus aussi tendu que tout à 
l'heure, n'était pas flaccide, je me baissai et déposai un baiser sur son bout durci puis 
partis me mettre au lit.
David me rejoignit quelques instants après et s'allongea à mes côtés, il éteignit la lampe 
de chevet et se tourna vers moi pour m'embrasser, quand ses lèvres se posèrent sur les 
miennes j'ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser 
passionné.
Quand mon amant abandonna mes lèvres, j'avais le souffle court et une étrange langueur 
prenait naissance dans le creux de mes reins embrasant tout mon corps, je sentais contre 
ma hanche palpiter le phallus érigé de mon homme, je le caressai quelques minutes puis 
ouvrant largement les cuisses je dis à David "Viens, prends-moi".
Il ralluma la lumière, prit des coussins qu'il glissa sous mes reins de sorte à relever mon 
postérieur puis s'agenouilla entre mes jambes.
Il humecta son gland de salive et du bout de son membre turgescent se mit à me caresser 
la raie, s'arrêtant de temps à autre contre ma corolle affamée, tandis que de l'autre main il 
excitait mes tétons à travers. Je ne sais combien de temps dura ces attouchements mais 
je me mis à râler, ma peau était si sensible que le moindre contact me faisait frémir, j'avais 
pris mes cuisses sous les genoux et le relevai écartant mes fesses pour offrir plus encore 
mon œillet à ces caresses, j'avais fermé les yeux et savourais le plaisir qui montait en moi 
par vagues successives.
Trouvant à mon attitude que les prémices avaient assez duré, David positionna son priape 
contre mon anus et se mit à peser dessus, La bite lubrifiée par la salive et la transpiration 
émanant de mon corps entra dans mon cul comme dans du beurre, l'intromission fut très 
longue et quand je sentis les bourses pleines de sève de mon mec contre ma croups, je 
sus qu'il m'avait enfessé totalement, je nouai mes jambes dans son dos et mes mains 
courraient amoureusement sur ses flancs.
Je sentais dans mon fondement palpiter l'énorme pine, prenant appui sur ses avant-bras 
mon amant commença à aller et venir en moi lentement m'arrachant à chaque va et viens 
de lourds râles de bonheur, la fabuleuse verge coulissait sans aucune gène dans mon 
fourreau entièrement dilaté me portant au summum du plaisir, je planais littéralement sous 
les coups de boutoir que m'assenaient mon homme, mes râles s'étaient mués en cris de 
bonheur et je roulai des hanches en cadence tendant mon derrière vers cette magnifique 
queue qui me forait les reins, David avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me 
pilonnait le cul de toute la longueur de sa hampe tuméfiée.
Chaque fois que son pieu de chair plongeait au tréfonds de mon intimité je me sentais 
perdre pied un peu plus, je me tordais comme un damné sous celui qui me montait, je ne 
vivais plus sue pour et par cette merveilleuse pine qui me bourrait si bien, mon homme me 
tringlait maintenant à une vitesse folle, son ventre musclé claquait contre mes fesses 
bouillantes à me faire mal, j'avais le trou complètement éclaté et je bramais sous les 
assauts répétés qui me faisaient décoller sur la couche chaque fois que le monstrueux vit 
se plantait au fond de mon sphincter démoli, je ne savais plus depuis combien de temps 
cette biroute roide me limait mais je voulais que ça dure indéfiniment tant le plaisir que me 
procurait ce sexe était grand, j'avais l'impression que de la lave coulait de mon canal 
dévasté, mon mec me possédait avec des "HAN" de bûcheron m'amenant au paroxysme 
de la jouissance, j'avais atteint la plénitude rectale et je hurlai sans discontinuer, mon 
amant avait pris mes jambes et les avait relevé jusqu'à ce que mes genoux touchent 
presque mon visage de manière à faire ressortir plus encore mon anneau pour accentuer 
l'angle de pénétration et me besognait avec une violence inouïe, s'il continuait comme ça il 
allait me déchirer le cul mais c'était si bon que je voulais qu'il le fasse, ma tête ballottait de 
droite à gauche la bouche grande ouverte.
Sans que nos corps ne se séparent, David me fit tourner sur sa hampe et se leva de telle 
sorte que je me retrouvai sur les mains, les cuisses autour de la taille de mon mec, celui-ci 
bien planté sur ses jambes commença à me ramoner le prose violemment, chaque fois 
que sa grosse pine se fichait au plus profond de mes entrailles je mordais les draps pour 
ne pas hurler, j'avais atteint le point de non-retour et sous les assauts répétés, le plaisir 
embrasa mon être et je me mis à délirer.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de ma grotte et me plaquant contre lui 
que David éjacula en râlant, ses épais flots de foutre crémeux giclèrent le long de mes 
parois surchauffées me provoquant un spasme foudroyant, l'air me manqua, mes mains 
se dérobèrent et je tombai lourdement sur la couche entraînant dans ma chute celui qui me 
chevauchait, mon corps se tendit comme un arc et un puissant hurlement pulsa de ma 
gorge, je griffai les draps puis sombrai dans l'inconscience.
Quand je revins à moi, mon mec était toujours planté entre mes fesses, il se retira et me dit 
"Ça t'a plu ?
- Ce fut merveilleux, tu m'as baisé comme un dieu.
- Merci chérie, mais il faut dire que tu as un cul de rêve.
- C'est possible, mais ce faire enculer par une bite comme la tienne mérite qu'on y mette 
du sien mon amour.
- Oui, je pense que je ne baise pas mal.
- Pas mal ! Mais tu plaisantes, jamais on ne m'a baisé comme toi, et pourtant je sais de 
quoi je parle, tu es le meilleur
- Si tu le dis, je veux bien te croire, mais disons que toi non plus tu n'es pas mal comme 
baiseuse, je dirais même que tu es extra.
- Merci mon chou".
Après avoir fumé une cigarette et bu un verre, nous refîmes l'amour, dans la nuit David me 
prit à quatre reprises me faisant admirablement jouir chaque fois.
Quand au petit matin, nous nous endormîmes épuisés, j’étais rempli de sperme de la tête 
aux pieds, j’avais le cul complètement éclaté mais j’étais comblé.

à suivre si vous aimez...
et si vous aimez, il n'est pas interdit de le dire !  
Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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Vendredi 8 février 5 08 /02 /Fév 10:42

Oublié l'initiateur, Max le prof de gym ! Après s'être trouvé des partenaires prodigieux, Marc et Patrick,  avoir subi les assauts des joueurs de l'équipe de hand, Damien douhaite baiser en duo avec David l'un des membres du gang bang. 

 

 

 

Jusqu'à ce jeudi j'évitai Max, Marc et Patrick et j'avoue que cela me coûta car j'avais très 
envie de baiser, c'est seulement que je ne voulais pas me présenter devant David avec le 
cul ouvert.
Il est vrai que vu les dimensions de son sexe il aurait peut-être mieux valu mais je voulais 
arriver à lui telle une vierge à son promis.
Enfin le jour arriva, avant de partir je pris une très longue douche où je rendis à mon corps 
une propreté toute suédoise puis je partis rejoindre mon amant.
Il m'attendait chez lui en regardant un film porno, il me fit entrer dans le salon et me 
demanda "Veux-tu boire quelque chose ?
- Oui un jus d'orange".
David me servit et me dit "Tu es bien libre toute la nuit ?
- Oui pourquoi chéri ?
- Pour rien pour savoir ma chérie".
Voyant que j'avais l'œil attiré par ce qui passait sur le poste de télévision David me dit "ça te 
plaît ?
- Je regarde comment fait cette fille.
- Et qu'est ce que tu en penses.
- je n'en pense rien, je regarde s'il y a des choses que je peux apprendre.
- Toujours aussi cochonne.
- Si on veut bien baiser il faut en savoir le plus.
- Dis-toi bien que ce que tu sais est déjà super.
- Oui mais il y a des choses que je ne pourrais jamais faire.
- Pourquoi ?
- Simplement parce que je n'ai pas de chatte.
- Ne t'inquiète pas ton cul est aussi bon qu'une chatte.
- Peut-être mais si j'avais une chatte on pourrait me baiser par les deux trous.
- salope.
- Eh oui.
- Bon puisqu'on parle de baiser, si on s'y mettait ?
- Avec joie.
- Où préfères-tu baiser, ici ou dans la chambre ?
- C'est comme toi tu veux.
- Etant qu'on va faire ça toute la nuit il vaudrait mieux aller dans la chambre.
- D'accord.
- Allons-y".
Nous entrâmes dans la pièce, elle était vaste, un grand lit avec seulement un matelas et un 
drap était au milieu et tous les murs étaient habillés de miroirs, je demandai à David "Tu 
dors ici d'habitude ?
- Non ici c'est la chambre de baise, ma chambre de sommeil est à côté. Pourquoi ?
- Je me disais que si tous ces miroirs c'est bien pour la baise, ça ne doit pas être très 
reposant pour le repos.
- Tu as raison mais crois-moi pour la baise c'est génial, c'est super excitant.
- Je veux bien te croire".
A peine étions-nous arrivés près du grand lit que David me prit dans ses bras, il posa ses 
lèvres sur les miennes, j'ouvris la boche, nos dents s'entre choquèrent, nos langues se 
nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.
Quand mon amant s'écarta de moi, j'avais le souffle court et le rouge aux joues, mon 
homme prit mon tee-shirt et le fit passer par-dessus mes bras et me dit "fais la même 
chose".
J'obéis et le torse musclé et poilu de mon mec apparut, j'enfouis mon visage dans ses 
poils et lui embrassai la poitrine.
David me laissa faire quelques instants puis il posa ses mains sur mon fessier et me 
massa légèrement les lobes charnus à travers l'étoffe de mon pantalon.
Je ne pus réfréner un petit frémissement et me collai contre mon amant.
Je sentais contre ma cuisse la virilité dure de mon homme et cela m'excita.
Mon mec me repoussa doucement et me dit "Laisse-moi te déshabiller complètement".
Mon amant ouvrit ma braguette, déboutonna mon pantalon et le fit tomber à terre, il me fit 
asseoir et ôta mes chaussures et chaussettes.
Il me fit me relever, me tourna dos vers lui et fit glisser mon string le long de mes cuisses 
fuselées.
Quand je fus totalement nu David porta une légère caresse sur ma croupe rebondie et me 
dit "Tu sais que tu es très belle.
- Merci.
- L'autre jour je ne t'ai pas vu comme ça, tu es magnifique, tu as un cul superbe, on voit que 
tu es faite pour la baise.
- Merci.
- Maintenant déshabille-moi.
- Avec plaisir".
Je m'agenouillai devant mon amant et après avoir ôté le bouton de son pantalon, je pris le 
zip de sa fermeture éclair entre mes dents et le fis descendre.
Je déchaussais mon homme et enlevai son pantalon, je me trouvai devant un slip tendu et 
avec une tâche humide annonciatrice.
Je projetai mon souffle chaud contre le tissu tendu et je vis le sexe remuer, je pris le slip 
par l'élastique de la taille et le fis descendre le long des cuisses musclées de mon amant.
Aussitôt libéré de sa prison de textile le membre victorieux pointa vers le plafond, il était 
encore plus beau que dans mes souvenirs et je ne pus m'empêcher de pousser un petit cri 
tout en me léchant les lèvres.
David me releva en me prenant par les épaule et me demanda "Que se passe-t-il pourquoi 
as tu crié.
- Ce n'était qu'un cri d'envie, ta bite est encore plus belle que dans mon souvenir.
- Elle te plaît ?
- Oh oui, elle est superbe, grosse et longue.
- Elle ne fait que 28 centimètres de long et 6 de diamètre.
- Pas le gland ?
- Non lui est un peu plus gros.
- Oh oui il est plus gros mais même les dimensions que tu annonces c'est loin d'être 
petites.
- Mais tu l'as bien prise dans ton cul.
- Oh oui mais avoue que tu as un drôle de calibre.
- Oui mais je crois que tu aimes.
- C'est vrai.
- Bien assez parlé maintenant place à la baise".
Passant son bras autour de mes épaule David m'amena au bord du lit, il m'enlaça et 
écrasa ma bouche, nous échangeâmes un baiser enflammé qui me laissa pantelant.
Délicatement mon amant m'allongea sur le dos et commença à exciter mes tétons qui 
aussitôt devinrent durs et s'érigèrent, je fermai les yeux et me laissai emporter dans un 
tourbillon de désir.
Après avoir suffisamment les pointes de mes seins David me retourna sur le ventre, il posa 
ses mains sur mes épaules et commença à me masser doucement.
Cette légère caresse continua à me faire perdre pied, je sentais mon corps brûler, ma 
peau était devenu si sensible que le moindre effleurement me faisait frémir.
Au bout de quelques instants la langue de mon homme se posa sur ma nuque et 
descendit lentement le long de ma colonne vertébrale jusqu'à la naissance du sillon de 
mes fesses.
Cette cajolerie délicieuse me fit gémir, je sentis ma croupe s'embraser et j'écartai les 
cuisses.
Longtemps David pratiqua sur moi ce doux tourment me faisant monter au septième ciel.
Délaissant mon dos mon amant empauma mes fesses brûlantes et commença à les 
presser l'une contre l'autre, aussitôt le désir monta d'un cran en moi et je poussai un râle 
langoureux, mon homme me dit "Tu aimes ce que je te fais.
- Oh oui tu me mets en feu, c'est bon".
Au bout de quelques minutes de ce traitement je me pâmais tout en ondulant sur la 
couche, mon mec écarta mes miches bouillonnantes et sa langue pointue vint darder mon 
anus affamé, ce contact m'électrisa et je gémis.
A part lors de ma première expérience avec Max, c'était la première fois qu'un homme me 
suçait le cul, les autres Max y compris n'avait fait que me baiser en me préparant 
sommairement.
David avait enfoui son visage entre mes fesses et sa langue me léchait l'œillet, cet 
attouchement lingué me faisait basculer dans un désir intense et je sentais mon anneau 
s'ouvrir chaque fois que mon amant passait dessus.
Peu à peu mon tunnel s'épanouit et le bout de la langue de mon homme pu me pénétrer.
Sentir cette langue s'insinuer en moi me procurait un bien-être immense et je râlai de 
bonheur.
Pendant quelques minutes David continua son baiser lingué avec mon intimité, quand il 
m'abandonna j'avais la raie pleine de salive, je poussai un soupir de frustration et 
demandai "Pourquoi arrêtes-tu?".
Sans tenir compte de mon intervention mon amant m'enfonça lentement un doigt dans le 
cul, cette lente introduction me fit frissonner et je tendis mon postérieur.
Après voir fait tourner son doigt en moi mon mec m'en mit un autre et commença à élargir 
ma porte étroite, ce que je ressentais était divin, j'étais tellement excité que je gémissais 
sans discontinuer.
Un troisième puis un quatrième vinrent rejoindre les premiers, au bout de quelques 
instants je flottais dans la félicité.
Je ne sais pas combien de temps mon homme appliqua sur moi ses doux sévices mais je 
me tordais sur le matelas ruant pour venir à la rencontre des doigts qui me travaillaient le 
cul.
David me mit sur le dos et tout en continuant à me fouiller le fondement il se mit à 
califourchon sur moi et me présenta son phallus érigé en me disant "Vas-y ma salope, 
suce moi un peu"
J'embouchai l'objet de ma dévotion en entamai une lente fellation.
Au bout de quelques minutes David retira son sexe de ma bouche et me dit "Merci ma 
poule ta bouche est douce comme du miel, mais il faut passer aux choses sérieuses, il 
faut que je m'occupe de ton petit cul.
- Je veux ta bite mais je t'en supplie fais doucement.
- Pourquoi dis-tu ça ?
- Elle est très grosse, j'ai peur qu'au début elle me fasse mal.
- ne t'inquiète pas, je vais faire tout doucement, je ne veux pas casser ce qui va me donner 
beaucoup de plaisir.
- Merci.
- Mais non je ne veux pas me gâcher le plaisir".
David se leva et enleva ses doigts et me dit "Allez écarte bien tes cuisses pour que je 
puisse t'enfiler.
- Doucement.
- Mais oui n'ai pas peur".
Je levai mes jambes en les écartant puis prenant mes fesses entre mes mains je les 
éloignai l'une de l'autre pour offrir mon œillet, David sourit et dit "Oui comme ça, bien ma 
petite salope,
ton petit trou est bien ouvert, prêt à être défoncé".
Mon amant s'allongea dans le V de mes cuisses, il guida son fabuleux pénis dans ma raie 
moite et le positionna contre l'entrée de mon tunnel.
Les gouttes de sperme translucide perlant du méat de mon homme me lubrifièrent l'entrée 
du canal.
J'avoue que bien que mon mec m'ait ouvert l'anus j'étais effrayé par la taille de ce que 
j'avais entre les fesses, bien que je sois excité j'avais une peur bleue.
Mon homme s'en aperçut en me dit "Ne t'inquiète pas, je ne vais pas te faire mal et toute 
ma queue va rentrer dans ton cul, elle va bien te baiser et te donner beaucoup de plaisir, 
décontracte-toi ma salope et tu verras que ton petit trou acceptera ma grosse pine".
Tout en me parlant David me caressait la pastille de la pointe de son énorme gland 
turgescent, cet attouchement me faisait monter d'un cran dans le bien-être et je me 
cambrai pour me donner totalement, mon amant me dit "Tu vois que tu n'as pas mal.
- Oui mais tu n'es pas encore entré.
- Non c'est vrai mais tu vas voir je vais rentrer sans te faire mal.
- Je l'espère.
- Mais oui fais moi confiance.
- Je te fais confiance chéri.
- C'est bien ma poulette".
C'est là que je m'aperçus de la ruse, pendant qu'il me parlait David avait commencé à 
pousser et la tête de son bout durci avait peu à peu écarté mes chairs frémissantes.
Je dis à David "Mais tu es en train de m'enculer.
- Oui enfin je crois que c'est bien le but ou je me trompe.
- Non tu ne trompes pas, j'ai très envie de sentir ta grosse bite me défoncer le cul.
- Alors de quoi te plains-tu.
- De rien je ne me suis aperçu de rien mais je sens que le bout de ton gland est en train 
de me pénétrer.
- Eh oui mais par contre même si je fais tout doucement maintenant tu vas avoir un peu 
mal, car il faut bien que le reste de mon gros gland passe.
- Je le sais mais j'en meurs d'envie, alors vas-y je suis prête.
- Bien ma petite salope, allez serre les dents tu vas dérouiller un peu mais après tu vas 
jouir.
- Je le sais allez viens, enfonce toi en moi, prends ta femelle elle est tout à toi.
- Oh oui ma pute je vais te prendre"
Je me décontractai au maximum. Et attendis quelque peu inquiet, mon amant commença à 
peser sur mon orifice et quand le gland entreprit de s'introduire je poussai un cri de 
douleur.
Mon mec s'immobilisa et me dit "Tu as trop mal, je vais me retirer.
- Non je veux ta bite dans mon cul, oui j'ai mal mais je sais qu'elle peut entrer et me baiser, 
d'ailleurs tu m'as déjà baisé.
- Oui mais on t'avait ouvert le cul avant moi
- Ce n'est pas le problème si mon cul t'a accepté l'autre jour, il t'acceptera aussi 
aujourd'hui même si je dois me l'ouvrir avec un couteau.
- Hey on se calme.
- Alors arrête de dire que tu vas te retirer, plante moi ta bite au fond du cul.
- Mais...
- Il n'y a pas de mais, enfile-moi même si tu dois me faire hurler comme une grosse truie, 
la seule chose que je te demande c'est de rester sans bouger après m'avoir défoncé.
- D'accord, je vais te percer le cul.
- Oui vas-y transperce moi le fion, fais-moi mal, allez baise ta pute".
J'attendis le plus décontracté possible, je sentis le bout durci de David peser moins sur 
mon antre puis d'un coup de reins mon homme me déflora.
La souffrance que je ressentis fut inhumaine, j'eus l'impression qu'on m'ouvrait le cul en 
deux et qu'on m'enfonçait un fer porté au rouge dans le fondement, j'eus pendant quelques 
secondes les souffle coupé puis un hurlement strident s'échappa de ma gorge, de 
grosses larmes jaillirent de mes yeux et je me mis à sangloter.
David suspendit sa poussée et me dit tout en m'embrassant les joues humides "Excuse-
moi, je t'ai fait mal.
- Ce n'est rien, je commence déjà à avoir moins mal, tu n'y peux rien ce n'est pas de ta 
faute si mon trou du cul est trop petit.
- Il n'est pas trop petit, c'est moi qui n'ai pas su t'ouvrir comme il le faut.
- Mais non tu as fait ce qu'il fallait et en plus je voulais te recevoir comme ça, je ne voulais 
pas que tu rentres en moi sans aucune résistance, je suis sur que tu préfère me prendre 
comme ça plutôt que comme l'autre jour où j'avais le cul complètement éclaté.
- C'est vrai mais...
- Il n'y a pas de mais, je voulais te donner mon cul serré pour que ce soit toi et personne 
d'autre qui le casse et c'est comme ça que ça s'est passé.
- C'est vrai que j'ai aimé sentir de la résistance.
- Je m'en doute, allez je n'ai presque plus mal, vas-y enfonce toi complètement que je 
sente ta grosse bite au fond de mon cul.
- D'accord.
- Et après baise-moi bien fais moi prendre un super pied
- D'accord ma salope, tu vas jouir je te le promets".
Avec une lenteur calculée David s'enfonça en moi jusqu'à la garde, quand je sentis ses 
testicules poilus contre mes fesses bouillantes je sus qu'il était entré totalement en moi.
Mon amant resta immobile me laissant m'habituer à la monstrueuse présence qui 
m'obstruait le fondement, je souris à mon homme et lui tendis les lèvres, il posa 
délicatement ses lèvres sur les miennes, j'ouvris tout grand la bouche, nos dents s'entre 
choquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser enflammé.
Quand mon mec abandonna ma bouche j'avais le souffle court et la douleur avait presque 
disparue, je dis à mon amant "C'est fou comme tu me remplis, quelle bite tu as je me sens 
plein de toi et c'est bon, j'adore ça, tu me rends folle de bonheur. Bon tu vas arrêter de me 
traiter comme si j'étais en sucre et tu vas me baiser comme je le mérite c'est à dire comme 
la grosse salope que je suis doit l'être.
- Oh oui je vais te baiser ma pute, crois-moi tu vas gueuler salope.
- Vas-y je t'en supplie je suis en feu, baise ta pute, encule ta salope, défonce la".
David démarra ses lents mouvement de va et viens m'arrachant à chaque passage des 
cris de douleur.
En tournant la tête je voyais dans le miroir l'énorme pieu de chair de mon amant disparaître 
entre mes fesses et cela intensifia mon désir déjà très fort.
Mon homme sortait son colossal phallus de moi pour m'assouplir la pastille.
Pendant plusieurs minutes la souffrance l'emporta sur le reste puis peu à peu mon anus 
mollit et une douce langueur s'empara de moi.
Mon homme me possédait de toute la longueur de son fabuleux Priape le sortant presque 
entièrement de mon antre pour le replonger jusqu'à la garde la seconde suivante.
Sous ces lentes allées et venues mon sphincter céda complètement et le gigantesque 
membre pu coulisser en moi sans gêne aucune.
Mon mec avait glissé ses mains sous mon dos et me tenait aux épaules, je nouai mes 
jambes dans son dos et l'enlaçai de mes bras.
Tout en me sodomisant lentement David m'embrassait le visage déposant de temps en 
temps un baiser furtif au coin de mes lèvres.
En regardant au plafond je voyais le bassin de mon amant monter et descendre sur moi, 
cette vision me mettait dans tous mes états.
Sentir la formidable queue raide remuer en moi me faisait perdre un peu plus pied chaque 
fois qu'elle me clouait au lit.
J'étais complètement en chaleur, mon postérieur était bouillant et je sentais de la sueur 
couler entre mes cuisses ouverts humidifiant la raie de mon cul en feu.
David me possédait avec une régularité de métronome, chaque fois que le fabuleux sexe 
se fichait en moi je poussai un profond râle de bonheur.
Je planais littéralement sous les coups de bite que je recevais, je me cambrais au 
maximum pour m'offrir pus encore à la hampe turgescente qui me creusait un peu plus les 
reins à chaque passage.
J'avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos je savourai la volupté qui montait en moi par 
vagues successives prenant naissance dans mon bas-ventre pour venir exploser en mille 
étoiles de couleur sur mon visage.
Je ne savais plus depuis combien de temps David me baisait, le bien être que je 
ressentais était tel que j'avais l'impression d'être au septième ciel.
Mes râles se muèrent en cris de félicité et je me mis à rouler des hanches en cadence 
venant à la rencontre de la merveilleuse pine qui me bourrait.
Sous les coups de boutoir répétés de mon amant je me sentis partir et je commençai à 
presser son phallus avec mon sphincter.
Mon homme avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me tringlait en de virils coups 
de reins.
J'avais atteint la plénitude rectale et je me mordais les lèvres pour ne pas hurler mon 
plaisir tout en serrant mon mec dans l'étau de mes cuises.
David me pilonnait l'arrière train vigoureusement, j'avais l'anus complètement éclaté et je 
me tordais sur la couche comme un pantin désarticulé.
Je sentais le plaisir envahir totalement mon être chaque fois que la verge roide s'enfonçait 
au tréfonds de mon rectum embrasé.
Sous les assauts redoublés de l'énorme pénis qui me forait m'ouvrant un peu plus la 
pastille à chaque poussée, je sombrai totalement et je me mis à délirer braillant toutes les 
phases par lesquelles je passai.
Soudain un spasme fulgurant me transperça, mes jambes battirent l'air, j'enfonçai mes 
ongles dans la chair des épaules de David, mon corps se tendit comme un arc, un 
hurlement aigu jaillit de ma gorge et je retombai lourdement sur la couche perdant 
connaissance.

suite dans la partie 5b le texte intégral étant trop long pour un seul article.

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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Dimanche 3 février 7 03 /02 /Fév 06:39


 

mais qu'est-ce qu'il a imaginé encore ?

 

  Gang bang de vestiaires ? 

Le récit :

avec une équipe de Hand (suite) 

Résumé : après l'initiation par le prof de Gym, c'est avec deux complices que le cul insatiable de Damien trouve à se satisfaire. Mais nous disons bien insatiable ! 

Pendant quelque temps je me partageai entre Max, Marc et Patrick, je me sentais devenir chaque jour de plus en plus pute.
Plus j'avais de la bite plus j'en voulais, c'était devenu comme une drogue et j'arrivai à la conclusion qu'il me fallait encore plus d'hommes.
Un jour, alors que nous venions de finir une baise mémorable je dis à Patrick et Marc "Ne prenez pas mal ce que je vais vous dire mais bien que vous me baisez superbement vos deux queues ne me suffisent plus.
- Que veux-tu dire ?
- C'est simple Marc, j'ai toujours envie de baiser et je me disais que peut-être vous auriez d'autres copains intéressés.
- Salope tu veux des bites en plus.
- Oui.
- Mais tu es un véritable trou à pines.
- Non pas un trou un gouffre".
Mes deux amants restèrent silencieux un instant et Marc me dit "Tu veux vraiment de la bite en plus ?
- Oui.
- Je crois que j'ai une idée. Que fais-tu samedi ?
- Je n'ai rien de prévu.
- Bien j'ai des copains qui jouent dans l'équipe de hand de l'ORT. Tu sais le lycée juif ?
- Oui je connais.
- Je vais leur en parler et, s’ils sont d'accord, on pourrait leur rendre visite après leur match dans le vestiaire.
- Tu crois.
- On va voir et là tu auras 8 queues pour ta bouche et ton cul, peut-être qu'après ça tu crieras grâce.
- Peut-être mais qu'est-ce que j'aimerais avoir autant de zobs à sucer et à prendre dans le cul.
- Je vais aller les voir tout de suite comme ça tu auras une réponse aujourd'hui.
- Super.
- Allez Patrick viens on y va".
Mes deux hommes partirent me laissant rêver de cette peut-être partouze.
Deux heures après Patrick et Marc revinrent, Marc me dit "ça y est, j'ai vu les copains, ils attendent ton cul samedi vers
17 heures.
- Génial.
- Tu es contente ?
- Oh oui.
- Bien dans ce cas prouve-le, déshabille-toi et déshabille- nous et donne nous à baiser.
- Avec joie".
Autant dire que cette nuit là ce fut vraiment la fête à mon cul, mes deux amants se surpassèrent et quand enfin ils m’abandonnèrent épuisés et les couilles complètement vides, j'étais rempli de semence de la tête aux pieds, j'avais le trou du cul complètement éclaté, un peu douloureux mais j'étais comblé.
J'attendis le samedi avec impatience, il ne se passait pas une heure sans que je pense à ce qui allait se passer et j'avais hâte d'y être.
Quand enfin le jour arriva, je partis avec Marc et Patrick au stade où l'équipe de l'ORT jouait.
J'avoue que je ne me suis absolument pas intéressé au match.
Quand ce fut fini je suivis mes deux amants jusqu’aux vestiaires.
Quand nous rentrâmes dans la pièce, il régnait une atmosphère chaude, humide et odorante de corps en sueur.
Tous les joueurs étaient nus prêts à prendre leurs douches, un silence se fit et Marc dit "Salut les gars, je vous présente
Damien, je vous préviens c'est une vraie salope".
L'un d’eux s'avança vers moi et répondit "Si c'est une vraie salope comment se fait-il qu'elle ne soit pas déjà à poil ?
- Je ne pouvais pas venir déshabillé au stade.
- Je plaisante, je m'appelle David et voici Moshé, Itzhak,
Eoud, Maurice, Ariel, Elie et Shimon.
- Bonjour.
- Tu ne crois pas que huit mecs c'est un peu trop ?
- Je ne crois pas, je suis très gourmande, mon cul aime les bites et ma bouche adore sucer.
- Si tu le dis.
- Et puis si c'est trop tant pis pour moi, je suis ici de mon plein gré et à ma demande donc à moi d'être à la hauteur.
- D'accord et maintenant montre nous ton cul.
- Avec joie".
Patrick et marc s'en allèrent alors que je commençais à me dévêtir.
L'ambiance d'après match qui régnait dans ce vestiaire fit naître en moi un fort désir, je fis glisser mon string lentement le long de mes cuisses fuselées et me retournai vers les mâles qui me regardaient.
Mon strip-tease avait fait son effet, les huit sexes étaient dressés et chacun des mecs en rut qui étaient présents se caressaient doucement.
Je ne pus m'empêcher de pousser un petit cri devant ce spectacle, tous avaient des membres circoncis de taille largement au-dessus de la moyenne mais les deux plus impressionnant étaient ceux de David et Eoud, celui d'Eoud était très gros en diamètre dépassait les 20 de long tandis que celui de David était aussi gros mais dépassait les 25 centimètre et était terminé par un gland très volumineux.
David devant mon air gourmand me dit "Alors est-ce que c'est à ton goût ?
- Oh oui, c'est magnifique.
- Content que ça te plaise.
- Comment fait-on ?
- Tu vas te mettre à quatre pattes au milieu de la pièce comme ça on aura ton cul est ta bouche prêts à servir.
D'accord ?
- ça me va.
- Bon on va aller se laver et on arrive".
Je ne sais pas ce qui me prit mais je voulais ces hommes là comme ça, je voulais sentir leurs odeurs fades de sueur et je dis "Non je vous veux comme ça, ce que je vous demande c'est d'aller vous laver le sexe si vous voulez me mettre la bite dans la bouche après m'avoir enculé.
- O.K ça c'est normal".
On me donna quelques serviettes que je plaçai au sol puis je pris la pose demandée, une fois à quatre pattes, j'écartai les cuisses et me cambrai pour faire ressortir mon fessier.
J'entendis Moshé dire "Regardez les gars comme cette pute tend son cul, je suis sur qu'on va baiser comme des fous aujourd'hui".
Un homme s'agenouilla devant moi et m'enfonça son sexe dans la bouche, le pénis avait une déplaisante odeur de transpiration qui augmenta mon envie et je me mis à le pomper vigoureusement.
Je sentis un gland turgescent glisser dans ma raie moite et venir se positionner contre l'entrée de mon canal.
Bien qu'étant consentant et extrêmement excité, j'eus un mouvement d'affolement quand je me rendis compte de la dimension de ce qui allait me rentrer dans le cul.
Eoud car c'était lui me dit "Ne te sauve pas petite pute je vais percer ton cul".
Me maintenant solidement aux hanches mon amant commença à peser sur mon ouverture, quand le bout durci écarta mes chairs, une atroce brûlure se propagea en moi et bien qu'ayant la bouche pleine du sexe de Moshé je poussai un hurlement étouffé.
Ne tenant pas compte de ma douleur Eoud continua à s'enfoncer en moi, j'essayais de ruer mais chacun d mes mouvements faisaient en sorte de faire entrer le membre érigé.
Quand je sentis contre mes fesses en feu les poils follets du pubis d'Eoud je sus qu'il était en moi complètement.
J'avais les larmes aux yeux tellement j'avais mal et mon mec me dit "Tu vois ma salope toute ma bite est entrée dans ton petit trou, tu vas voir je vais bien te limer et après c'est toi qui en redemandera, tu vas voir ce que c'est qu'une vraie bite jamais ton cul ne va être aussi bien baisé qu'avec une queue comme la mienne".
Me mettant une grande claque sur la croupe, Eoud commença à aller et venir en moi m'arrachant à chaque passage des cris de douleur.
Moshé bloqua ma tête entre ses mains et se mit à me piner la bouche en larges coups de reins.
Peu à peu mon anneau se détendit et la souffrance diminua faisant place à une douce langueur, c'est à cet instant que plaquant mon visage contre son pubis Moshé éjacula en râlant, ses jets de sperme crémeux giclèrent contre ma gorge et je les avalai avec délice.
Mon amant me libéra et dit "Cette pute suce vraiment bien et elle avale, allez les gars foutez-lui votre zob dans la bouche".
Un autre sexe se présenta, j'ouvris la bouche et l'engloutis.
Pendant ce temps Eoud me possédait toujours avec une régularité de métronome, mon œillet avait complètement cédé et la colossale hampe coulissait entre mes reins sans gène aucune.
Sous les coups de boutoirs répétés de mon mec je me sentis partir, une formidable vague de plaisir me submergea et je me mis à rouler des hanches en cadence.
Eoud rigola et dit aux autres "Regardez cette pouffiasse, vous voyez comment elle tourne son cul, elle ne chiale plus maintenant, elle prend son pied cette salope, elle aime les grosses bites de. Ne t'inquiète pas ma poulette je vais bien niquer ton petit cul".
Posant ses mains sur mon dos mon homme se mit à me pilonner l'arrière train plus vigoureusement, chaque fois que le pénis turgescent s'enfonçait au plus profond de mes entrailles, je ressentais comme une décharge électrique et je sombrais un peu plus.
J'avais l'anus complètement dilaté et je planais sous les assauts que je subissais.
Celui que je suçais explosa et je me délectais de sa semence onctueuse, il se retira et un autre membre força mes lèvres et se mit à aller et venir à une vitesse folle.
A ce moment Eoud s'enfonça au fond de mon cul et jouit, son flot de liqueur fusant contre mes parois surchauffées me provoqua un spasme violent, je tendis mon fessier bouillant vers le sexe qui se vidait en moi.
Mon amant se retira et aussitôt une verge raide investit mon tunnel éclaté et se mit à me besogner à toute vitesse.
Le désir toujours présent en moi après la baise avec Eoud redoubla, je me cambrai au maximum tout en écartant les cuisses pour m'offrir totalement, Shimon car c'était lui dit "Tu avais raison Eoud, c'est une vraie pute, regardez comme elle tend son cul vers ma bite, je vais tellement la baiser cette putain que jamais elle ne va oublier ma grosse bite.
Tiens chienne prend ça dans ton cul de salope, ah tu aimes la bite eh bien tu vas en avoir plein ton trou du cul de pute, tiens prend ça putain".
A ce moment là je sentis le membre que j'avais dans la bouche tressauter, il me sembla que le gland doublait de volume et l'homme que je pompais déchargea en râlant, j'avalai ces jets de foutre crémeux avec délice et l'homme se retira.
Un phallus érigé buta contre mon visage, j'ouvris tout grand la bouche et engloutis la pine raide, j'entourai ma langue autour de la colonne de chair et tout en la tétant je la mordillai.
Pendant ce temps là Shimon continuait à me baiser avec une violence inouïe, ses coups de boutoir avaient achevé de me faire basculer dans le plaisir.
Bien que je sois bâillonné pas le pénis de Elie, je poussai des gémissements de bonheur chaque fois que la hampe turgescente plongeait au fond de mon rectum en fusion.
Soudain plaquant son pubis contre mon derrière Shimon explosa en râlant, ses giclées de jute m'inondèrent le fondement me déclenchant un orgasme fulgurant, je me cambrai tendant mon postérieur vers le Priape qui se déversait au tréfonds de mes entrailles. 
A ce moment là, collant mon visage contre son ventre, Elie jouit en feulant, son liquide séminal éclaboussa ma gorge et je l'avalai avec régal.
Les deux hommes se retirèrent et une queue dressée se présenta à moi, je léchai le gland tuméfié puis je l'enfournai et commençai à pomper le membre sur toute sa longueur.
Je ne sais pas si c'était le fait d'avoir regardé ses camarades me baiser et moi les sucer mais Maurice ne put se retenir et du foutre envahit ma bouche.
L'homme se retira, je fis tourner l'offrande sur ma langue et l'avalai avec un plaisir évident.
Je restai à quatre pattes attendant la suite, il faut dire que malgré la quantité de jute que j'avais dans le cul et qui s'écoulait le long de mes cuisses poisseuses je n'avais pas encore joui comme j'en avais l'habitude.
Les hommes qui s'étaient succédé sur moi n'avaient fait que se vider les couilles sans penser à me donner du plaisir ce qui fait que j'étais en feu.
C'est alors que j'entendis la voix de David qui disait "Bien maintenant que vous vous êtes bien amusés avec le cul et la bouche de notre petite pute et que vous vous êtes un peu dégorgés les couilles, vous allez regarder comment on baise une salope comme ça".
David s'approcha de moi, il me prit par la taille, me souleva et me dit "Bon à nous deux, là tu as eu un hors d'œuvre, tu vas voir ce qu'un vrai homme en plus va faire avec ton petit cul, on va d'abord aller laver ce fion qui dégouline de jute et ensuite on va passer aux choses sérieuses".
Me tenant David m'amena aux douches, il prit un savon et me déposa au sol à quatre pattes, il ouvrit l'eau et m'aspergea l'arrière-train ainsi que les cuisses.
Il me savonna puis après m'avoir rincé il me sécha avec une serviette.
Nous retournâmes dans le vestiaire côte à côte, pendant tout ce temps là David avait à peine un peu débandé.
Il demanda à deux des autres d'amener un grand fauteuil de plastique et de mettre des serviettes dessus.
Pendant ces préparatifs David me caressa les fesses, quand les autres eurent fini, mon homme me prit par les cheveux et écrasa ses lèvres sur les miennes, j'ouvris la bouche, nos dents s'entre choquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.
Quand mon mec m'abandonna j'avais le souffle court et le rouge aux joues.
D'une petite claque sur les miches David me poussa vers le fauteuil et me dit "Assois-toi dessus".
Je m'exécutai, je m'assis au bord du fauteuil, m'adossai, pris mes cuisses dans mes mains les relevai et tendis mon postérieur.
David sourit et dit à la cantonade "Regardez comment ma femelle est impatiente que je lui troue le cul, vous voyez comment elle écarte les jambes et comment elle tend son cul pour que je la cloue au fauteuil".
Je fis se contracter et se relâcher mon œillet plissé et David dit de nouveau "Regardez l'offrande son trou du cul palpite de désir".
S'avançant vers moi mon homme me dit "Et si tu me mettais un petit coup de langue pour commencer.
- Avec plaisir".
Mon amant vint entre mes cuisses ouvertes et me présenta son phallus démesuré, lâchant mes cuisses je commençai à caresser les bourses duveteuses gorgées de sève.
Aussitôt le membre se dressa un peu plus et grossit encore, tout en continuant à câliner les testicules j'entrepris de masturber lentement le splendide pénis.
Après quelques instants de ce traitement le membre avait atteint ses colossales dimensions et une goutte de sperme translucide perlait au méat du formidable gland tuméfié.
Du bout de la langue je recueillis la liqueur et l'avalai puis j'ouvris tout grand la bouche, engloutit l'objet de ma dévotion et entamai une lente fellation.
David se cambra et dit "Bien ma salope, c'est bien tu suces parfaitement, continue pompe comme ça tu vas me faire bander encore plus fort, après je te défoncerai encore mieux".
Pendant quelques minutes je continuai mes attouchement lingués puis mon amant se retira et me demanda "Tu veux que je te baise ?
- Oh oui je suis en feu.
- AH AH AH !!, bien tu vas voir après t'avoir bien tringlé ma lance va éteindre ton feu.
- Je l'espère mais surtout baise moi longtemps.
- Bien sur ma cochonne, tu vas voir ce que c'est qu'un mâle en rut, je vais t'exploser le cul.
- C'est tout ce que je demande, je meurs d'envie de sentir ta magnifique bite en moi.
- Tu vas l'avoir ma pute.
- Mets la moi tout de suite.
- Tes désirs sont des ordres ma petite salope, allez écarte bien tes cuisses et offre moi ton trou du cul".
Je repris mes cuisses dans mes mains et les relevai tout en les écartant, David s'approcha et glissa son bout durci dans le sillon de mes fesses et la promena tout le long de ma raie.
Ce contact m'affola et je ne pus m'empêcher de frémir, mon mec s'en aperçut et me dit "Tu aimes ça ?
- Oh oui, c'est bon, ça m'excite".
Pendant quelques temps mon homme continua ces effleurements, j'avais fermé les yeux et savourais le désir qui montait en moi.
Mon amant arrêta les prémisses et positionnant son volumineux gland à l'entrée de mon puits d'amour dit "ça y est elle est prête pour les choses sérieuses. Tu sais ma poule je vais te baiser et te faire jouir comme jamais tu n'as joui, tu vas prendre un pied terrible, détends toi ma salope ma grosse bite va t'ouvrir le cul".
Prenant son sexe d'une main et de l'autre éloignant mes deux lobes charnus David commença à me pénétrer.
Bien qu'étant bien ouvert par les étreintes précédentes je ne pus m'empêcher de pousser un cri de douleur quand la phénoménale tête du Priape écarta mes chairs.
Mon homme s'arrêta et me dit "ça te fait mal, tu vois ce que c'est une vraie bite. Tu veux que j'arrête ?
- Non c'est vrai que j'ai mal mais continue, il faut que je m'habitue à ton calibre.
- Bien ma salope mais n'importe comment je n'aurais pas arrêté, j'ai trop envie de te transpercer le cul.
- Et moi de jouir sous tes coups de pine.
- Alors nous sommes d'accord, serre les dents jusqu'à ce que ton cul soit suffisamment élargi".
Ressortant un peu son gland pour calmer mon mal mon mec appliqua de nouveau son bout durci contre l'entrée de mon tunnel affamé et poussa lentement mais fermement.
Millimètre pas millimètre le fabuleux gland s'introduit ente mes fesses, je me mordais les lèvres pour ne pas crier tant j'avais mal.
Quand la tête fut entièrement en moi de grosses larmes coulaient sur mon visage, mon amant me dit "Pleure ma salope, ça fait du bien, vas-y chiale mais mon gland est dans ton cul maintenant".
David fit sortir et entrer son bout durci pour m'assouplir la pastille puis jugeant que j'étais assez dilaté il m'enfila jusqu'à la garde.
Jamais je ne m'étais senti aussi rempli, j'avais l'impression que mes fesses allaient se détacher et mon sphincter me brûlait.
Mon amant me regarda triomphant et me dit "Alors ma pute, tu as mes 28 centimètres dans ton petit cul tout chaud, tu sais je sens bien ton trou du cul qui serre bien mon zob.
J'aime regarder l'air peureux et soumis d'une salope quand elle a toute ma queue dans son cul. Tu vas voir je vais bien te baiser, je vais te faire gueuler de plaisir ma pute, je vais te casser le fion salope, même si au début ça te fait mal après ton trou sera tellement grand qu'un camion pourra entrer dedans.
- Vas-y défonce-moi, j'ai mal mais je sais qu'après tu vas me faire du bien.
- D'accord morue je vais bien te limer".
Mettant mes jambes sur ses épaules et posant ses mains sur ma taille, mon homme commença à aller et venir en moi lentement m'arrachant à chaque passage des cris de souffrance qui le fit sourire.
Peu à peu mon anus se détendit et le mal diminua faisant place à une douce langueur qui m'envahit de plus en plus à chaque fois que le membre raide plongeait au fond de mon canal en fusion.
Au bout de quelques instants mon anneau céda complètement et le gigantesque phallus put coulisser en moi sans gène aucune me procurant un profond bien être.
Je fermai les yeux et la tête rejetée en arrière je m'abandonnai totalement au raz de marée que je sentais naître au creux de mes reins.
David me possédait avec une régularité de métronome de toute la longueur de son fabuleux pénis.
Chaque fois qu'il s'enfonçait au tréfonds de mes entrailles bouillonnantes je sentais les testicules poilus caresser mon fessier brûlant.
Mon cops n'était plus qu'un énorme brasier et je savais que seule la bite qui me forait les reins pouvait l'éteindre.
Mon homme me baisait en de lents mais non moins viril coups de reins et je me sentais partir un peu plus à chaque poussée.
Une boule de feu avait pris naissance dans mon bas-ventre et remontait vers mon visage pour éclater en mille étoiles.
Sentir l'extraordinaire hampe aller et venir dans mon rectum tuméfié me procurait un plaisir intense et je me mis à rouler des hanches en cadence venant à la rencontre de la merveilleuse verge qui m'ouvrait un peu plus l'anus chaque fois qu'elle se fichait entièrement en moi.
Dans l'univers ouateux où je me trouvais j'entendis la voix de David dire "Quelle salope, regardez comment elle balance du cul et comment elle en veut, quel cul génial, cette salope baise comme une déesse, c'est une vraie pute. Tiens morue prends ça dans ton cul".
Sous les coups de boutoir répétés je me sentis perdre totalement pied, je me mis à râler tout en serrant et relâchant mon sphincter sur la colonne de chair érigée qui me bourrait.
Mon mec me dit "Bien ma salope continue comme ça, trais-moi la bite, c'est bien ma poule tu me donnes du plaisir. Je vous assure les gars que cette pute c'est de l'or si vous saviez comment elle me presse la bite c'est génial, quelle salope, elle est née pour être une baiseuse".
Les vas et viens de David étaient maintenant plus violent, chaque fois que son énorme phallus s'enfonçait en moi tout mon corps remuait et je poussais des petits cris.
J'avais le trou de balles complètement éclaté, tout mon être était en feu et le moindre contact sur ma peau me faisait frémir.
La bouche grande ouverte je râlai maintenant sans discontinuer savourant le bonheur qui montait en moi par vagues successives.
J'avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les coups de bite que je recevais.
Sous les assauts répétés que je subissais je sombrai entièrement dans un monde où seul le plaisir existait, je ne vivais plus que pour et par le superbe Priape qui me ramonait le prose.
David me besognait maintenant avec des "HAN" de bûcheron, seul comptait pour moi la magnifique pine qui m'ouvrait un peu plus le tunnel à chaque poussée.
Ce que je ressentais était divin, tout mon corps était secoué par des spasmes de félicité, cet homme m'enculait comme jamais on ne m'avait enculé et je me tordais comme un damné sous les puissants coups de reins de mon mec.
Dans la pièce en dehors de mes hurlements on entendait les bruits de succion que faisait mon sphincter chaque fois qu'il avalait l'énorme queue.
J'avais atteint le point de non-retour et je me mis à hurler toutes les phases du bonheur par lesquelles je passais.
Un orgasme fulgurant me balaya, mes jambes battirent l'air, mon corps se tendit comme un arc et un hurlement strident pulsa de ma gorge puis je sombrai dans l'inconscience.
Quand je revins à moi, je n'étais plus sur le fauteuil mais allongé à plat ventre sur le sol, David était toujours fiché entre mes fesses et me sodomisait doucement de toute la longueur de son sexe démesuré.
Voyant que j'étais de nouveau conscient il arrêta de me baiser et me dit "Alors poulette tu as pris ton pied.
- Oh oui tu m'as fait jouir comme jamais.
- Je t'avais bien dit que j'allais bien te tringler.
- J'ai tellement pris de plaisir que j'ai cru devenir folle.
- AH AH AH !! Regarde même toi tu parles comme si tu étais une gonzesse.
- Mais qu'est ce que je suis, je suis bien sous toi avec ta bite plantée au fond de mon cul, je ne suis qu'une pute.
- J'aime t'entendre dire ça ma salope.
- Mais toi tu...
- Non je ne t'ai pas encore tiré, je vais encore bien te bourrer avant de lâcher la purée.
- Chouette.
- Salope tu es vraiment un trou à bite.
- C'est vrai mais que tu aimes baiser.
- ça c'est vrai que j'aime te baiser ma pute, tu cul est fantastique.
- Merci.
- De rien car c'est vrai, en plus tu baises vraiment comme une déesse et tu sais j'adore quand tu me trais la bite avec ton petit trou.
- C'est vrai ?
- Oh oui c'est divin.
- Comme ça ?
- Ahh salope oui comme ça.
- Je te le ferai encore.
- je l'espère ma poule, bon dis-moi comment veux-tu que je te baise ?
- Je ne sais pas et les autres ?
- Pour l'instant ils regardent, ils apprennent.
- Pourquoi dis-tu ça ?
- Parce que ils t'ont baisé comme des cons, ils n'ont pensé qu'à se vider les couilles alors qu'une salope comme toi ça se baise à fond comme je le fais en ce moment.
- C'est vrai.
- Voilà donc ils regardent et quand je te tirerai tout à l'heure alors ils auront de nouveau le droit de te monter dessus, mais tu ne m’as pas répondu.
- Ecoute si tu le veux bien et comme pour l'instant je ne suis qu'à toi, j'aimerais que tu me baises de face.
- D'accord".
Sans que nos corps ne se désunissent David me fit mettre à quatre pattes, il passa ses mains sous moi et me souleva du sol puis il me fit tendre les jambes le long de mon corps et enfin me fit pivoter sur sa virilité et me reposa à terre sur le dos.
Je lui souris et ouvris les cuisses, mon amant se coucha sur moi tout en assurant sa prise en moi en se ré enfonçant jusqu'à la garde.
Je nouai mes jambes dans le dos de mon amant, il me sourit et me dit "Tu es vraiment une salope.
- Pourquoi ?
- A peine suis-je sur toi que tu m'enfermes dans l'étau de tes cuisses.
- Tu n'aimes pas.
- Oh si mais ça prouve que tu es la reine des salopes.
- Eh oui.
- Mais ne t'inquiète ça ne me déplaît pas au contraire.
- Ah bon".
Sentir le monstrueux phallus palpiter en moi me procurait un fort désir et je dis à mon homme "Je suis en feu, bouge, baise-moi fort, fais-moi du bien, fais-moi jouir, lime bien ta salope, fais-la crier.
- AH AH AH !! Incroyable je n'ai jamais vu ça, morue tu es franchement une morue.
- Tu as raison mais au lieu de parler si tu me niquais avec ta magnifique queue, si tu me cassais bien le cul, ce serait mieux.
- D'accord salope, je vais te défoncer le fion.
- C'est tout ce que je te demande, sentir ta pine palpiter au fond de mon cul me rend folle de désir.
- C'est vrai tu la sens ?
- Oh oui mais j'aimerais qu'elle bouge.
- Prépare-toi à encaisser une enculade dont tu te souviendras toute ta vie de salope.
- Vas-y explose-moi le derche.
- Je vais d'abord t'amener où je veux".
Prenant appui sur ses coudes, David se pencha sur moi et commença à me pincer la pointe des tétons, aussitôt ceux-ci se dressèrent et durcirent.
Cet attouchement me fit monter encore d'un cran dans le désir et je laissai échapper un gémissement.
Pendant quelques instants mon amant pratique sur moi ses légères caresses, sentir en même temps les mains de mon homme taquiner ma poitrine et son pénis palpiter au tréfonds de moi me procurait un bonheur intense.
Arrêtant ses effleurements mon mec baissa son visage vers moi et entreprit de me lécher et de me mordiller les seins.
Cette douce caresse me mit en émoi et je poussai un lourd gémissement de plaisir.
Longtemps David me suçota les tétons tout en me caressant les cuisses, j'étais en ébullition et de la sueur perlait sur tout mon corps, mon bas-ventre bouillonnait et je sentais autour de mon anneau une exquise sensation inconnue et je dis à David "Tu me rends folle.
- Je le sais.
- J'ai l'impression de mouiller du cul.
- Mais ma salope tu mouilles du cul.
- C'est impossible.
- Mais non, regarde comment tu es en nage, ce qui fait que avec la chaleur que tu dégages c'est comme si tu mouillais du cul.
- Mais...
- Tu sais ma pute, moi aussi c'est la première fois que je vois un pédé jouir comme toi, tu jouis comme une gonzesse, c'est dingue.
- Tu aimes ?
- Oh oui salope car plus tu vas être chaude plus tu vas bien baiser et plus tu vas me donner du plaisir, ce n’est pas un cul que tu as mais une chatte.
- Merci.
- Non tu n'as pas à me remercier.
- Si parce que c'est ce que tu me fais qui me donne un tel plaisir.
- Je le sais.
- Mais tu sais ce que j'aimerais c'est que maintenant tu me baises fort.
- Je vais te baiser fort, je vais te démolir complètement le cul.
- C'est ce que je veux.
- Tu sais ma salope après l'enculade que je vais te mettre jamais tu ne pourras oublier ma bite.
- Casse-moi le cul chéri.
- Oui ma choute".
Prenant appui sur les avants bras David commença à aller et venir lentement en moi.
Les mouvements du puissant phallus au fond de mes entrailles m'amenèrent tout de suite au septième ciel, je posai mes mains sur les épaules musclées de mon amant, fermai les yeux et rejetai la tête en arrière savourant la volupté qui s'emparait de moi.
Sous les coups de boutoir redoublés de mon homme je perdis totalement pied et je me mis à râler langoureusement.
David me possédait de toute la longueur de son sexe démesuré, il le sortit presque entièrement de moi pour le replonger jusqu'à la garde la seconde suivante.
Jamais je n'avais ressenti autant de plaisir, le monstrueux membre me fendait un peu plus l'anus à chaque fois qu'il se fichait au cœur de mon rectum en chaleur.
J'avais le sphincter complètement éclaté et je me cambrai encore plus pour accentuer l'angle de pénétration.
Ce que j'éprouvai était si grand que je serrais mon amant dans l'étau de mes cuisses et de mes bras, David avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me besognait en de larges et virils coups de reins.
Tout en moi bouillonnait, je n'étais plus qu'un immense brasier ne vivant plus que pour et par le fabuleux pénis qui me forait les reins m'ouvrant un peu plus la pastille à chaque poussée.
J'avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les assauts que je subissais.
Mon homme avait glissé ses bras sous mon dos et m'avait attrapé aux épaules et me besognait plus vivement, j'avais l'impression que si il continuait de la sorte il allait me déchirer complètement le cul mais c'était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment à me baiser comme ça.
J'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon fondement dévasté, seul comptait pour moi la magnifique hampe turgescente qui me bourrait.
La bouche grande ouverte je criais maintenant ma joie à chaque enculade.
Celui qui me chevauchait me baisait maintenant à une vitesse folle, chaque fois qu'il plantait sa superbe bite au fond de mon derrière j'avançais sur le sol.
Je ne savais plus depuis combien de temps mon mec me pilonnait l'arrière train, je sentais monter en moi un bonheur immense, dans mon bas-ventre une intense boule de feu avait pris naissance et remontait vers ma figure pour exploser en mille couleurs.
J'étais tellement excité que je me tordais sous mon homme comme une damnée tout en tendant ma croupe vers le colossal phallus qui me creusait les reins.
J'avais complètement perdu le sens des réalités, je n'étais plus que jouissance et chaque fois que la pine raide plongeait au fond de mes entrailles affamées je me sentais défaillir.
David me sodomisait maintenant avec des "HAN" de bûcheron, et je me mis à rouler des hanches en cadence.
Je hurlai maintenant sans discontinuer, le gigantesque membre érigé me faisait basculer complètement dans le plaisir, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer criant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
Soudain s'enfonçant au plus profond de mon canal en fusion David éjacula en feulant, un formidable flot de sperme crémeux m'inonda le fondement me provoquant un orgasme dévastateur.
Mon corps se cambra sous mon amant et je tendis mon cul vers la splendide queue qui se vidait en moi, mes jambes battirent l'air, j'enfonçai mes ongles dans la chair musclée de mon homme, d ma gorge pulsa un hurlement strident et je retombai lourdement sur le sol flottant dans l'univers cotonneux de la jouissance.
Je sentis le pénis flaccide de mon mec sortir de mon antre et son corps se lever et je restai bras en croix, cuisses écartées et les yeux clos savourant les dernières contractions de bonheur autour de ma corolle ravagée.
Quand je revins à la réalité David me dit en souriant "ça y est de retour ?
- Oui, mais tu sais jamais on ne m'a baisé comme tu m'as baisé.
- Merci.
- J'ai joui comme une folle.
- Je le sais j'ai les marques de tes ongles sur mes épaules.
- excuse-moi.
- Non c'est bien la preuve que tu as pris ton pied.
- ça tu peux le dire, tu m'as vraiment détruit le cul mais qu'est ce que ça a été bon, tu es vraiment le roi des baiseurs.
- Je t'avais bien dit que tu allais avoir ton compte.
- On peut dire que tu me l'as donné.
- Je le sais.
- Merci.
- Ce n'est rien car n'oublie pas que toi aussi tu m'as donné beaucoup de plaisir, tu baises comme une déesse.
- Merci.
- Bon maintenant si tu le veux bien les autres ont aussi envie de se vider les couilles, mais si tu es fatigué...
- Non je suis ici pour ça, que celui qui veut baiser vienne, mon cul est là. Comment voulez-vous que je me mette ?
- Reste comme ça, écarte les cuisses et laisse faire, ils vont passer chacun leur tour.
- D'accord".
Pendant longtemps les autres joueurs de l'équipe se succédèrent dans mon cul, je jouis encore mais aucun ne me donna le plaisir que David m'avait donné.
Quand enfin les hommes m'abandonnèrent, j'avais le cul complètement dilaté et douloureux, j'étais rempli de semence de la tête aux pieds mais j'étais comblé.
Je pris une douche, j'avais du mal à marcher et je devais rester les jambes écartées, je me rhabillais et au moment de partir je vis que David était toujours là.
Il me regarda et me demanda "Tu veux boire un verre ?
- Volontiers.
- Je t'invite à la maison.
- D'accord".
Nous allâmes chez lui et après nous avoir servi à boire David me dit "Tu sais j'aimerais te revoir.
- Que veux-tu dire ?
- J'aimerais bien passer une nuit avec toi.
- Tu ne sais pas aujourd'hui, j'ai le cul en compote.
- je sais bien mais...
- Moi je veux bien, comment veux-tu que je refuse de passer une nuit avec un mec qui me baise aussi bien et tu sais si le lendemain je dis avoir le cul aussi cassé qu'aujourd'hui je préfère que ce soit avec toi car ça voudra dire que j'aurais joui toute la nuit.
- Alors c'est d'accord.
- Bien sur mon chéri.
- Alors quand ?
- Ca t'irait jeudi soir ?
- Super.
- Alors d'accord.
Nous nous levâmes, David me prit dans ses bras et m'embrassa avec fougue puis je rentrai chez moi où je passais une partie de la soirée sur le bidet pour soigner mon trou de balles.

à suivre !

 

 

à bientôt ! 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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