Mardi 12 février 2 12 /02 /Fév 06:14

Résumé: Max le prof de gym initie Damien, un lycéen de terminale, à l'homosexualité et à la sodomie passive. Damien aime tellement ça qu'il en devient "obsédé. Bientôt Max ne lui suffit plus et c'est Marc et Patrick qui s'unissent à lui pour former un fameux trio. Mais Damien est devenu insatiable. L'équipe de hand-ball y passe en entier dans un gang-bang d'enfer. Voici la fin de l'année et David invite tous les amis à faire la fête au cabanon de ses parents... 

 

 

La fête de fin d'année 

[...fais-nous un strip... vous m'avez complètement démoli le trou...]

Ce jour là était un jour spécial, j'allais au lycée voir les résultats du baccalauréat.
Mon nom était sur la liste et j'étais très heureux car malgré ma vie mouvementée j'avais 
quand même bossé comme un dingue.
Je vis arriver Marc et Patrick qui sautèrent de joie quand ils virent qu'eux aussi avaient 
réussi.
Nous étions contents, nous nous tapions dans la main tout en poussant des cris de joie.
Après avoir essayé de consoler quelques-uns de nos copains qui étaient recalés, Patrick 
me dit "Que penses-tu si nous allions faire un tour à l'ORT, eux aussi ont leurs résultats 
aujourd'hui.
- C'est une bonne idée".
Nous partîmes tous les trois rejoindre l'autre lycée.
Comme pour nous il y avait des visages radieux et d'autres tristes, de la fameuse équipe 
de hand-ball, seuls David, Eoud, Elie et Ariel avaient réussi, les autres avaient échoué.
Après avoir apporté quelques paroles de réconfort aux battus nous partîmes tous les sept 
fêter ça dans un café.
Après avoir bu quelques verres David dit "On a aujourd'hui réussi la première étape, 
maintenant, c'est le second cycle qui nous attend. Que veux-tu faire Eoud ?
- Je vais certainement partir pour les Etats Unis faire médecine.
- Bien et toi Elie ?
- Je vais rester ici faire math sup et spé.
- Bien et toi Ariel ?
- Je vais partir en Israël bosser dans un kibboutz.
- Un retour au pays, c'est bien et toi Marc ?
- Comme un jour ou l'autre je devrais reprendre l'entreprise de mon père, je crois que je 
vais rentrer en France pour entamer des études de gestion, disons jusqu'au master.
- Très bien et toi Patrick.
- Je pense que je vais retrouver Elie car je veux faire sup et spé avant de me lancer dans 
des études d'ingénieur en physique.
- Un courageux, bravo, et toi Damien ?
- Je n'en sais rien, j'avoue que je voulais avoir mon bac mais maintenant je n'ai aucune 
idée car la seule chose qui m'obsède pour l'instant ne nécessite pas d'étude.
- Et c'est quoi ?
- Le cul tout simplement, je ne crois pas que pour devenir pute, il y a besoin de faire un 
second cycle à l'école et je crois que c'est ce que je veux faire.
- AH AH AH !! Effectivement.
- Et toi David ?
- je vais faire comme Marc à la différence près que je vais continuer ici, il y a une école 
supérieure de gestion juive qui vient de s'ouvrir.
- Ah bon et est-ce que les non juifs sont acceptés.
- Bien sur Marc, en plus le directeur général est un oncle à moi, je peux lui en parler tu 
sais.
- J'aimerai bien car c'est vrai que rentrer en France où je ne connais personne ne me 
passionne pas du tout.
- Apporte-moi ton dossier et je te donnerai une réponse dans le courant de la semaine 
prochaine mais normalement il n'y a aucun problème.
- Je vais te donner tout ça.
- D'accord.
- Bon je crois qu'on devrait fêter tout ça.
- Où ça ?
- Ecoutez les gars, voilà ce que je vous propose, mes parents possèdent un cabanon aux 
Tamaris, je vais leur demander et on peut aller y passer la soirée et la nuit pas de 
problème.
- C'est super.
- Et sans vouloir forcer personne, mais d'après ce que je viens d'entendre il y a une petite 
pute parmi nous et si cette petite pute voulais pour cette petite fête nous prêter son cul et sa 
bouche ce serait super. Qu'en pensez-vous ?
- Tu as raison David.
- Alors Damien.
- Je n'y vois aucun inconvénient, c'est vrai que je suis une pute, je sais que vous êtes des 
supers baiseurs et je vous aime bien tous les six alors si vous le voulez bien je vous 
servirai de femme pendant cette soirée et cette nuit, je sens que je vais être bien défoncé, 
rien de tel pour fêter mon bac que de me faire casser le cul par une bande telle que vous.
- Bon puisque tout le monde est d'accord je vous propose qu'on se retrouve ici vers cinq 
heures ce soir".
Nous partîmes chacun de notre côté apporter la bonne nouvelle aux familles.
Sur le chemin de chez moi je pensais à la soirée et la nuit qui allaient venir, j'étais sur que 
les six mecs qui étaient des baiseurs infatigables allaient de démolir la rondelle comme 
jamais et cela me rendait heureux.
Tout en pensant à cela je pris une décision, comme je ne savais pas quoi faire, j'allais tout 
simplement partir pour l'armée comme ça je serais au moins de ça et après on verrait bien.
A cinq heures nous nous retrouvâmes tous devant le café et nous prîmes le chemin du 
cabanon des parents de David.
David avait amené de quoi boire et manger, quand nous arrivâmes chacun voulut aller se 
baigner, nous nous mîmes en maillot et partîmes nager et jouer dans l'eau pendant une 
bonne heure.
Quand nous revîmes au cabanon David dit "Bon je crois que maintenant il est temps de 
commencer la soirée, premièrement tout le monde à poil".
En un clin d'œil tout le monde fut nu et je vis plusieurs paires d'yeux lorgner vers mon beau 
petit cul cambré.
Pour provoquer un peu tout le monde je me mis à marcher en ondulant tout en me 
caressant les fesses.
Il ne fallut pas longtemps pour voir les membres de mes amis se dresser.
David qui avait vu le manège dit "Un peu de calme les gars, notre petite salope attendra 
encore un peu, on va d'abord boire un verre. Damien et si tu commençais à faire ton rôle 
d'hôtesse et si tu nous servais à boire.
- Pas de problème, je peux aussi vous faire à manger si vous voulez.
- ça nous va parfaitement.
- Bien alors que voulez-vous boire ?
- Il n'y a pas beaucoup de choix, whisky, martini et jus d'orange pour toi.
- D'accord alors qui veut du whisky et qui veut du martini".
Je servis tout le monde et nous dégustâmes nos verres tout en fumant et en discutant.
Après plusieurs tournées, je me levai et dit "Je vais aller faire à manger".
J'allai dans la cuisine et préparai le dîner.
Une fois tout prêt, je mis la table, chacun s'assit et nous mangeâmes en plaisantant.
Quand le repas fut terminé je débarrassai la table et revins dans la pièce principale.
Le gars n'étaient pas restés inactifs, ils avaient fait de la place, ils avaient ôté les chaises et 
étendu un tapis au milieu de la pièce.
Je compris tout de suite de quoi il retournait, ils avaient l'intention que je me mette à quatre 
pattes sur le tapis pour qu'ils aient la possibilité de m'enculer et se faire sucer sans que 
quelque chose ne les gènes.
David me dit "Tu sais ce qui serait bien.
- Non ?
- Que tu te rhabilles et que tu nous fasses un strip-tease avant de passer aux choses 
sérieuses.
- Pourquoi pas.
- Vas-y pendant que je cherche un disque".
Je remis mes vêtements pendant que David mettait sur le tourne disque le slow "when a 
man loves a woman".
Je me mis au milieu du tapis et me copains se mirent tout autour.
Puis sous la lente mélopée j'entamai un savant effeuillage.
Je tournai langoureusement sur moi-même en remuant mon petit cul.
Je pris mon tee-shirt à la base le faisant passer par-dessus ma tête et le jetai au public 
Une fois torse nu je tirai la langue de manière aguichante tout en me caressant les seins.
Je mis les pouces dans la ceinture de mon pantalon de survêtement et commençai à le 
faire descendre doucement sans mon slip tout en donnant des coups de bassin 
provocateurs.
Les mecs regardaient en riant et applaudissaient.
J'ôtai enfin le pantalon que je jetai à mes copains.
Tout en dansant, j'enlevai mes chaussettes, un mini slip noir constituait à ce moment mon 
seul vêtement.
Je continuai à danser en cambrant mes fesses, je regardai les mecs en ouvrant la bouche 
et en passant ma langue sur mes lèvres.
Une première fois, je fis mine de descendre mon slip et m'arrêtai pour juste découvrir le 
début de mon sillon.
Je vis que tous les mecs se caressaient la bite.
Je montrai mon cul bien cambré aux copains en écartant les jambes.
Je tirai sur le slip pour qu'il me rentre dans la raie des fesses faisant ainsi découvrir les 
deux lobes charnus, imberbes et rebondis.
Je descendis lentement le slip le long de mes cuisses fuselées et le fit tomber sur mes 
chevilles.
Je me penchais en avant pour le ramasser de telle manière à ce que mes fesses s'ouvrent 
offrant ainsi à mes camarades une vue imprenable sur mon œillet plissé.
Je jetai le slip à la figure de David et entamai une danse très suggestive tout en ondoyant, 
remuant lascivement mes hanches, rejetant la tête en arrière et en caressant mon 
postérieur.
Quand la musique s'arrêta, j'étais bien excité, je commençai à avoir les miches brûlantes et 
je sentais un léger picotement au creux de mes reins.
J'ouvris les yeux et ce que je vis me grisa, les six hommes étaient complètement en 
érection.
J'avais devant moi six phallus gonflé et tendus à bloc prêts à s'occuper de moi.
J'adressai un grand sourire gourmand à mes compagnons et David dit "Tu es superbe 
petite salope, tu nous fais bien bander, ton joli petit cul est toujours aussi beau. Bon 
maintenant tu vas t'installer à quatre pattes au milieu du tapis les cuisses bien écartées et 
la bouche grande ouverte".
Je pris la position demandée, j'écartai les cuisses au maximum et me cambrai pour m'offrir 
le plus possible.
J'entendis dans la pièce quelques murmures et David dit "Bon lequel d'entre nous va avoir 
le privilège d'ouvrir le cul de notre petite pute".
Après un bref conciliabule il fut décidé que ce serait David qui m'enculerait le premier.
J'étais content qu'il en soit ainsi, ça me faisait plaisir que ce soit David qui me tire le 
premier il était celui que je préférais, je dirais même que je l'aimais.
David se positionna derrière moi et me caressa la raie de son énorme gland turgescent, 
cet attouchement me provoqua une étrange sensation de plaisir, un gémissement 
s'échappa de ma bouche, un doigt de mon amant pesa sur mon œillet et me pénétra, je 
fermai les yeux et savourai la caresse, un autre doigt vint rejoindre le premier puis un 
troisième et un quatrième, je planai littéralement sous ces allées et venues qui lentement 
m'ouvraient le sphincter.
Mon homme prolongea très longtemps ce préliminaires si bien que quand ses doigts 
m'abandonnèrent, j'avais les fesses brûlantes et je laissai échapper des petits râles de 
bonheur, le gros bout durci se posta contre ma pastille et mon mec entreprit de m'enfesser 
en de petits coups de reins, bien que largement ouvert, le passage du gland m'arracha un 
cri de douleur, mais une fois qu'il fut passé au lieu de s'enfoncer à fond en moi, David 
commença à m'assouplir la rondelle par de petits va et viens, au début je me mordais les 
lèvres pour ne pas hurler tant ça me faisait mal, j'avais l'impression d'avoir le cul coupé en 
deux, puis peu à peu la souffrance fit place à une douce sensation de bien-être, je sentis 
mon fondement se décontracter, s'ouvrir totalement, c'est le moment que choisit mon 
amant pour s'enfoncer dans mon arrière-train jusqu'à la garde.
Quand les poils follets de ses couilles touchèrent ma croupe, je sus qu'il était entièrement 
en moi, je sentais palpiter au fond de mes entrailles ce pénis qui m'emplissait 
complètement.
Je soupirai de plaisir et tendis mes fesses vers mon homme pour accentuer la pénétration, 
me prenant aux hanches, mon mec se mit à me limer avec douceur me faisant perdre 
totalement pied, ce formidable phallus qui me forait les reins me procurait à chaque allée 
et venue des éclairs de jouissance qui remontaient par vagues de mon bas-ventre, je 
m'abandonnai corps et âme à cette bite roide qui me faisait tant de bien, je rejetai la tête en 
arrière et fermant les yeux, je laissai le plaisir prendre possession de mon être.
Soudain je sentis contre ma joue quelque chose de dur et doux, j'ouvris les yeux et me 
trouvai en présence d'une queue dressée, j'ouvris la bouche et avalai l'objet de ma 
dévotion, pendant ce temps le troisième s'allongea à mes côtés et posa sa verge érigée 
dans une de mes mains, je me mis à la branler doucement.
Celui que je suçai m'immobilisa la tête et se mit à me tringler les lèvres comme si il 
s'agissait de mon cul, celui que je masturbai jouit et je reçus ses jets abondants dans la 
paume de la main.
Tout à coup, plaquant mon visage contre son pubis, Eoud car c'était lui juta en râlant, son 
sperme crémeux coula dans ma gorge et je l'avalai avec délice.
Je ne savais plus depuis combien de temps David me possédait, j'avais atteint le point de 
non-retour et roulant des hanches en cadence, je me mis à délirer.
C'est à cet instant que, s'enfonçant au plus profond de moi, mon amant éjacula en râlant, 
ses jets de semence épaisse fusants contre mes parois surchauffées me déclenchèrent 
un spasme foudroyant, je me cambrais et un "aaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh" pulsa de 
me lèvres.
Mon homme se retira et aussitôt, une pine raide força l'orée de mon anus m'arrachant un 
gémissement.
Marc car c'était lui, se mit à me besogner à une vitesse folle, je croyais qu'il allait me 
déchirer le cul si il continuait comme ça, son membre sortait presque entièrement de moi 
pour replonger la seconde suivante au fond de mon anus, le plaisir ne fut pas long à refaire 
surface en moi, je me mis à gémir sous les coups de boutoir que mon amant 
m'assenaient, son ventre musclé claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, sa 
pine coulissait sans aucune gène dans ma grotte bien ouverte et lubrifiée par les assauts 
de David.
Soudain, Marc s'arrêta et me prenant à la taille, me fit basculer, je me retrouvai allongé sur 
le dos, mon amant sous moi continuant à me pilonner le rectum avec des "HAN" de 
bûcheron.
Une verge érigée força mes lèvres, j'ouvris la bouche et me mis à la sucer avec avidité 
tandis qu'une autre se posai sur ma main, j'enroulai mes doigts autour de la colonne de 
chair et commençai à la traire.
Ariel, car c'était lui déchargea, sa liqueur gicla sur mon ventre, je lâchai la biroute à demi 
flaccide et entrepris de me masser la poitrine avec le foutre qui la maculai.
Je sentis sur ma langue la bite de Patrick tressauter, il colla mon visage contre son pubis 
et explosa en feulant, ses longs jets de semence se déversèrent dans ma gorge et je les 
bus avec un plaisir évident, pendant ce temps là, Marc me possédait toujours avec la 
même fougue m'amenant au septième ciel, je ne vivais plus que pour et par la hampe qui 
me défonçait le fondement, mon fessier brûlait, je voulais que ce priape dur reste 
éternellement en moi tant le plaisir qu'il me donnait était grand, mon corps sautait chaque 
fois que mon mec me bourrait, je me sentis perdre totalement le sens des réalités, je 
sombrai dans l'univers cotonneux où seul compte le bonheur physique, la tête rejetée en 
arrière, les yeux clos, je me mis à hurler toutes les phases du fade par lesquelles je 
passai.
Plongeant au plus profond de mon être, Marc éjacula en râlant, ses traits de sperme 
fusants le long de mes parois en fusion me déclenchèrent un fabuleux orgasme, mon 
corps se tendit comme un arc, mes jambes battirent l'air et de ma gorge pulsa un 
hurlement de jouissance "aaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhh" puis je retombai lourdement 
sur mon amant les yeux clos, cuisses écartées.
Marc se retira et aussitôt, on me releva les cuisses pour les mettre sur des épaules et un 
formidable pénis me pénétra et se mit à aller et venir entre mes fesses avec lenteur, bien 
que je fus très ouvert par les assauts que je venais de subir, je poussai un petit cri de 
douleur quand le gland de Elie déflora ma corolle.
Mais sous les mouvements répétés de cette virilité dans mon tunnel intime le mal 
s'évanouit pour une fois de plus faire place à une douce langueur, qui je le savais allait se 
transformer en un plaisir intense.
Au bout de quelques instants de ce traitement, je me mis à rouler des hanches en cadence 
creusant mes reins pour venir à la rencontre du membre qui m'enfilai, je tendais mon cul 
pour recevoir encore plus, je voulais qu’Elie tout entier entre en moi, je n'étais plus qu'un 
cul gigantesque affamé.
Mon homme enleva mes jambes de ses épaules et les releva vers ma tête, de sorte que 
mon trou ressorte plus encore favorisant l'angle de pénétration, de cette manière mes 
fesses n'étaient plus un rempart, tout le phallus pénétrait dans ma grotte, c'était 
merveilleux.
Je ne savais plus depuis combien de temps, mon mec était en moi mais je voulais qu'il y 
reste pour me procurer sans fin ce plaisir qui m'envahissait.
Soudain, je sentis des gouttes humides pleuvoir sur mon corps, David, Eoud, Marc, Ariel et 
Patrick s'étaient astiqués et déchargeaient sur moi, quand ils eurent terminés, ils 
essuyèrent leurs sexes sur moi, du bout de la langue, je récupérais le foutre qui me 
maculait le visage.
Les coups de boutoir d'Elie étaient tellement brutaux que je décollais du tapis chaque fois 
qu'il me défonçait la raie.
J'avais le cul complètement éclaté, et sous les assauts répétés de mon amant, je me 
tordais sous lui comme un damné griffant ses épaules de mes ongles, ma tête ballottait de 
gauche à droite, je n'étais plus que jouissance, seul pour moi comptait le formidable pal 
qui me ramonait le rectum, je me mis à délirer.
Elie planta sa pine au plus profond de mon cul en fusion et explosa en feulant, son épais 
liquide séminal inondant mon canal bouillonnant me provoqua un orgasme dévastateur, 
mon corps se tendit comme un arc, mes doigts griffèrent les tapis, je me cambrais pour 
offrir encore plus mon cul à ce magnifique phallus, je hurlai de jouissance puis je retombai 
lourdement au sol, mon mec me décula et aussitôt un autre corps s'allongea sur moi et 
m'enfessa d'un violent coup de reins me faisant gémir.
Je nouai mes jambes dans le dos d'Eoud et posai mes mains sur ses épaules, prenant 
appui sur les coudes il commença à me besogner à une vitesse folle me faisant décoller 
de sur le lit chaque fois qu'il me bourrait l'intimité, son ventre musclé claquait contre mes 
fesses en fusion à me faire mal, c'était si bon que sans aucune retenue je lui labourais les 
épaules de mes ongles, je me tordais comme un damné sous celui qui me montait, ma 
tête ballottant de droite à gauche j'étais au septième ciel, sous ses virils coups de phallus 
j'avais atteint le point de non-retour et me mit à délirer hurlant toutes les phases du plaisir 
par lesquelles je passai.
A cet instant, s'enfonçant au plus profond de mes entrailles, Eoud déchargea en râlant, ses 
puissants jets de semence crémeux fusants le long de mes parois intimes surchauffées 
me déclenchèrent un orgasme dévastateur, mon corps s'arqua je tendis ma croupe vers 
mon amant pour accentuer la pénétration, mes ongles se plantèrent dans les épaules de 
celui qui me chevauchait, mes jambes battirent l'air, un hurlement pulsa de ma gorge, je 
retombai lourdement sur le sol bras et cuisses écartés savourant les dernières contraction 
du bonheur autour de ma corolle ravagée.
Ariel prit mes jambes et les posa sur ses épaules, il écarta mes fesses brûlantes et guida 
sa bite entre elles contre mon antre béante, quand je sentis son gland contre mon 
sphincter affamé, je lui dis "Vas y défonce moi".
Il pesa sur ma corolle largement ouverte et entra en moi comme dans du beurre me faisant 
gémir, puis prenant appui sur ses avant-bras, il commença à me marteler en de lents va et 
vient qui ne tardèrent pas à me faire perdre pied.
Je fermai les yeux et me laissai sombrer dans le désir avec tous les assauts répétés que 
j'avais pris dans le cul depuis le début, le sexe de mon amant coulissait en moi sans 
aucune gène, chaque poussée m'ouvrait un peu plus le cul, j'avais du mal à respirer tant le 
plaisir qui affluait en moi était grand, j'avais rejeté la tête en arrière et tendais ma croupe 
vers ce fabuleux pénis qui me cassait encore plus la pastille chaque fois qu'il plongeait en 
moi jusqu'à la garde.
Mon fessier se soulevait au rythme des coups de boutoirs que mon homme m'assenait, le 
cul complètement éclaté je remuais la tête de gauche à droite et griffai le tapis, chaque fois 
que la pine roide se fichait au tréfonds de mon fondement je poussais de petits cris de 
plaisir, je voulais que mon mec entre chaque fois plus profondément en moi, repliant 
encore plus mes jambes de telle sorte que mes genoux touchent presque ma tête, faisant 
ressortir plus mon anneau et accentuant l'angle de pénétration, Ariel se coucha sur moi et 
se mit à me posséder de toute la longueur de son impressionnant pénis, sous ses coups 
de bite, je ne tardais plus à atteindre le point de non-retour, hurlant toutes les phases du 
plaisir par lesquelles je passais.
C'est à cet instant, que s'enfonçant au plus profond de mes entrailles, Ariel éjacula en 
feulant, ses puissants jets de foutre crémeux fusants le long de mes parois intimes 
surchauffées me déclenchèrent un orgasme dévastateur, un spasme foudroyant traversa 
mon être, je me cambrais sous mon amant, mon corps s'arqua je tendis ma croupe vers 
ce magnifique phallus qui continuait de se vider en moi pour accentuer la pénétration, mes 
ongles se plantèrent dans les épaules de celui qui me chevauchait, mes jambes battirent 
l'air, un hurlement pulsa de ma gorge, je retombai lourdement sur le sol bras et cuisses 
écartés flottant dans l'univers cotonneux de la jouissance.
Ariel se retira de mon cul, deux mains me saisirent et me firent mettre à quatre pattes puis 
Patrick me pénétra d'un violent coup de reins.
Me prenant aux hanches, mon amant se mit à me sodomiser me faisant aller et venir sur 
toute la longueur de son phallus.
Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon corps enfiévré, mon homme 
m'éclatait de plus en plus la pastille avec une régularité de métronome, j'étais secoué de 
frissons de désir, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait de mon tunnel 
enflammé, lâchant mes hanches mon mec me prit par les épaules et se mit à me pilonner 
l'arrière-train à une vitesse folle, son ventre musclé claquait contre mes miches en feu à 
me faire mal, la bouche grande ouverte je hurlais sans discontinuer sous les puissantes 
poussées de Patrick, tout mon corps tremblait tant j'étais excité chaque fois que mon 
amant m'enfilait jusqu'à la garde, j'étais obligé de me cramponner pour ne pas tomber 
sous les violents assauts que mon doux tourmenteur me faisait subir, je n'étais plus que 
jouissance, chaque fois que la monstrueuse pine plongeait au tréfonds de mes entrailles, 
je me sentais partir un peu plus, je suppliais mon homme de décharger car seule sa 
semence pouvait éteindre l'incendie qui couvait en moi, mais lui sourd à mes cris 
continuait à me défoncer la raie avec précision, le traitement que mon mec m'affligeait me 
faisait monter au septième ciel, je tendais ma croupe vers ce pénis qui me cassait si bien 
le cul pour accentuer la pénétration, des vagues de plaisir prenaient naissance dans mon 
bas ventre et remontaient vers mon visage pour éclater en mille étoiles, jamais je n'avais 
autant joui au cours d'une enculade, je voulais qu'il me démolisse complètement le fion, 
qu'il me déchire pour qu'il puisse entrer entier en moi, sous les virils coups de queue je 
tombai en avant de telle sorte que je reposai sur les avant-bras le cul en l'air entièrement 
écartelé, Patrick m'ayant agrippé aux cuisses me ramonait avec des "HANS" de bûcheron, 
j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
Un orgasme fulgurant me transperça, la tête rejetée en arrière je hurlai mon bonheur en 
tendant mon derrière vers la merveilleuse verge plantée au plus profond de mon cul, mes 
cuisses se dérobèrent sous moi et je m'affalai à plat ventre sur le sol, flottant dans l'univers 
cotonneux du plaisir physique, c'est à cet instant que je sentis au tréfonds de ma grotte 
ravagée, l'immense verge tressauter et un important flot de sperme épais investit mon 
intestin.
Je ne sais ni combien de fois ni combien de temps je fus enculé, mais quand les six 
hommes m'abandonnèrent, je me couchai en chien de fusil pour récupérer ma respiration, 
j'étais rempli de sperme de la tête aux pieds, mon fondement était complètement éclaté et 
la semence coulait tout le long de mes cuisses, j'avais les lèvres gonflées à force de sucer.
Quand je revins à moi, David, Eoud, Marc, Ariel, Patrick, et Elie étaient en train de boire.
David me dit "Et bien ma salope, tu as vraiment un cul superbe, tu nous as donné 
beaucoup de plaisir avec ton trou à bites et ta bouche à pipe, viens te rafraîchir avec nous 
pour reprendre un peu de force.
- Merci, mais se faire tringler par six bites comme les vôtres, c'est une chance incroyable, 
vous m'avez fait prendre des pieds superbes.
- On s'en est rendu compte, mais on voudrait te demander quelque chose.
- Oui ?
- As-tu encore la force de continuer ?
- Là n'est pas la question, j'ai encore très envie de me faire tringler.
- Bien dans ce cas, après un petit quart d'heure de repos, on recommence, voilà on 
voudrait que tu te mettes debout contre cette table, le corps reposant dessus et ton cul bien 
tendu. O.K ?
- D'accord mais avant cela, je vais aller pisser et nettoyer un peu mon trou du cul.
- Profites-en pour te laver aussi les fesses, les cuisses et même la gueule car tu 
dégoulines de sperme.
- C'est vrai, une bonne douche s'impose".
Je me levai, j'avais l'anus douloureux, pour marcher je fus obligé de garder les jambes 
écartées, c'est dire s'ils m'avaient distendu le trou.
Après avoir uriné, je pris une douche réparatrice, puis allai les rejoindre dans la pièce de 
baise où ils m'avaient préparé un verre.
Après avoir bu, fumé une cigarette, je m'aperçus que les six pines violacées pointaient vers 
le plafond, je me levai, pris un coussin que je posai sur la table puis je me courbai dessus 
en écartant les jambes.
Un corps se colla à moi, aussitôt une bite se positionna face à mon anus et le membre 
m'investit me faisant gémir, puis se mit à me ramoner vivement.
Au bout de quelques instants, le plaisir prit possession de mon corps montant de mon 
bas-ventre par vagues tumultueuses, je me mis à onduler sous les coups de boutoir que 
mon amant m'assenaient.
Les mains posées sur mes hanches, mon homme me défonçait le fondement, il me faisait 
décoller de terre chaque fois qu'il s'enfonçait au fond de mon cul, son ventre musclé 
claquait contre mes fesses en fusion, j'étais tellement excité que j'avais l'impression que 
de la lave s'échappait de ma grotte affamée, je savais que seul ce phallus qui me pilonnait 
la lune saurait éteindre l'incendie qui couvait en moi, les reins cambrés à l'extrême, 
m'offrant totalement aux assauts répétés, j'attendais l'explosion salvatrice, de ma bouche 
ne sortait plus qu'un "aaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh" continu.
Soudain se plaquant contre mon fessier, mon mec éjacula en feulant, ses jets de sperme 
m'atteignirent au tréfonds de mes entrailles me faisant hurler de bonheur.
L'homme se retira et aussitôt, une autre verge érigée me pénétra et se mit à me besogner 
lentement faisant monter d'un cran le plaisir qui me ravageait le corps.
Chaque fois que le pénis tuméfié m'empalait, je sombrai un peu plus, dans la pièce 
hormis mes râles de bonheur on entendait un bruit de succion que faisait mon cul 
abondamment lubrifié en avalant totalement le membre qui me possédait.
Je ne savais plus depuis combien de temps cette hampe me limait le prose, jamais je 
n'avais ressenti autant de plaisir au cours d'une enculade, j'avais la vue brouillée tellement 
je jouissais, j'avais atteint la plénitude rectale, seule comptait pour moi, la queue qui me 
forait les reins, je sentais monter en moi les prémices d'un orgasme dévastateur et je me 
mis à délirer.
S'enfonçant au plus profond de moi, mon mec déchargea en râlant, son flot de semence 
m'inonda le rectum me provoquant un spasme foudroyant, je dus me tenir à la table pour 
ne pas tomber sous l'impact de la jouissance, la bouche grande ouverte, je hurlai mon 
plaisir.
Je sentis le sexe en pleine détumescence sortir de ma rosette et aussitôt une autre pine 
roide m'enfessa et se mit à me ramoner à une vitesse folle, sous ses coups de boutoir 
répétés mon délire reprit.
Plaquant son corps contre mon arrière-train, mon amant juta en feulant, ses jets de liqueur 
crémeuse m'inondèrent le canal en fusion, je tendis mon cul encore plus vers lui pour 
accentuer la pénétration, je hurlai de plaisir puis tombai lourdement au sol essayant de 
retrouver ma respiration.
On m'allongea sur le ventre tout en glissant deux coussins sous ma taille de manière à ce 
que mon derrière soit relevé, puis un homme s'étendit sur moi et me prit d'un violent coup 
de reins.
Je ne sais combien de fois ni combien de temps les trois se succédèrent sur moi, mais 
quand ils m'abandonnèrent, je restai longtemps sans bouger, le cul complètement éclaté 
mais comblé, j'étais rempli de foutre de la tête aux pieds mais jamais je n'avais joui autant.
Quand je repris conscience des réalités, je vis qu'il était sept heures du matin, nous avions 
baisé toute la nuit, les six hommes portaient les stigmates de la grande fatigue qu'ils 
éprouvaient, leurs sexes étaient totalement flaccides, je partis dans la salle de bains, 
quand je passai devant la glace, je vis que des cernes énormes, témoins des fades que 
j'avais pris, marbraient mes yeux.
Je me lavai et quand je ressortis tout le monde dormait dans cette pièce où tant de fois 
j'avais hurlé mon plaisir.
Il flottait dans cet endroit une odeur de sperme et de merde mélangés, j'étais perclus de 
douleur et ivre de fatigue, j'allais m'allonger tout contre David qui grogna, il ouvrit un œil, me 
sourit et me dit "Tu as un cul superbe ma salope, tu nous as vidé les couilles.
- Et vous vous m'avez complètement démoli le trou.
- Ca je m'en doute".
Il me fit tourner pour que mes fesses touchent son ventre, il posa une main autour de ma 
taille et nous nous endormîmes d'un sommeil profond.

à suivre (7)

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Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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