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Samedi 2 février 6 02 /02 /Fév 15:37

 

 

Un vampire séduit ses victimes et leur laisse croire qu'il est un humain comme les autres, en plus beau, plus doux, plus doué, mieux doté aussi. Lol  Il laisse ses victimes exangues et condamnées à une errance nocturne,  devenues victimes à leur tour elles mordent leurs proches pour boire leur sang. Caleb en a-t-il conscience ou bien obéit-il à une pulsion suicidaire ? Bien d'autres questions encore.

 Rappel, Caleb et Lucien le vampire sont au lit dans une scène très chaude...

 Il gémit, se cabra haleta sous la caresse intense  et sa respiration s'arrêta à plusieurs reprises  tandis que son souffle devenait sifflant. Son coeur battait à tout rompre vu l'intimité de la situation.

 Croyez-vous qu'il soit facile de se donner à un vampire en oubliant les conséquences pour sa vie ? Croyez-vous que Lucien, dont les liaisons avaient toujours une fin tragique et qui aimait Caleb, ne fût pas ému à l'extrême en faisant le "Don" qui pourrait paraître fatal aux yeux d'un mortel ?  Eros et thanatos avaient toujours été présents dans sa vie de vampire mais là le véritable amour était survenu. 

Caleb cependant était entré de plain pied dans l'érotisme sombre et ardent comme l'enfer de son partenaire surnaturel. Et là, son cerveau en était paralysé, seuls ses sens parlaient et encore ne commandaient-ils plus. Oui, quand même : il ne pensait pas que sa verge puisse durcir encore et, maintenant on aurait pu planter des clous avec !

Les jambes de Caleb reposaient sur le dos de son comagnon tandis que ce dernier continuait à explorer silencieusement sa petite "entrée".

Sa langue tourbillonnait et taquinait, lubrifiant doucement l'orifice secret de Caleb.  Ce trou était propre et chaud et avait conjointement un goût de musc et de savon où Monsieur le vampire aima plonger ses narines. L'érection de Lucien frôla le couvre-lit en coton et cela provoqua chez lui une contraction du diaphragme. Il le désirait violemment maintenant et voulait couler sa bite profondément dans Caleb et baiser l'homme jusqu'à ce qu'il ne puisse plus marcher droit. 

"Lucien, s'il te plaît" murmura Caleb, quand par pure compassion le vampire caressa du bout des lèvres son membre fuyant copieusement de sa mouille.

Ca ce n'était pas bon, il était sur ​​le point de venir, mais son corps ne le laisserait pas faire. Sensation insupportable de séquestration des sens qui augmentait son désir tandis qu'il sentait bien que ses propres actions physiques ne lui permettaient plus de parvenir à l'orgasme, pas maintenant. La caresse sur son sexe lui plaisait hors de toute mesure, ainsi que l'épanchement de sève qu'elle provoquait tout en n'apportant aucun soulagement à sa tension extrême. Caleb arriva au bord des sanglots ce qui ne se serait jamais produit avec un autre partenaire. Seul Lucien Quatermain pouvait le mettre dans un tel état : le surnaturel se conjuguait aux gestes d'excitation ordinaires pour faire sortir de lui-même le mortel vampirisé au bord d'une éjaculation...interdite !  

 

La langue de Lucien traîna encore une fois à l'entrée de Caleb une fois de plus avant de s'installer à l'intérieur pour y faire des va et vient dont seul un serpent serait capable. L'une des jambes de Caleb était autour de la taille de Lucien et lui permit d'attirer au plus près leurs deux érections. Les deux hommes eurent le souffle coupé au contact. C'était un tel pur bonheur que Caleb prit les deux verges dans une main et lentement les caressa, mêlant leurs deux precums. Le contraste de leur corps n'a pas échappé à Lucien. Caleb était bronzé tannée et n'avait que peu de poils tandis que Lucien était imberbe et de la couleur de l'ivoire. Alors que Caleb n'avait pas de cheveux, Lucien avait un petit sentier ombré menant à sa queue. Comme ils étaient tous les deux différents, mais parfaits pour l'autre. Lucien libéra sa queue de l'emprise de Caleb et plaça son gland directement à l'entrée du jeune homme en frottant de haut en bas, puis en avant et en arrière répandant encore plus de liquide séminal sur l'ouverture plissée. Lucien savait que Caleb était prêt du fait du soin particulier qu'il avait apporté à ouvrir  le garçon. Toute cette longue préparation qu'avait faite Lucien pour en venir à ses fins.

Caleb tenta de faire bouger ses hanches et s'empaler lui-même sur la queue du vampire, mais Lucien maintint la taille du garçon en veillant à ce que tout ce qu'il pouvait faire était de se "chatouiller" sur le membre d'acier. 

"Dis-moi combien tu me veux Caleb" demanda Lucien à son ami avec une convoitise non dissimulée de sa voix profonde. Il tira sa queue le faisant glisser sur le trou de Caleb. Notre homme gémit et poings enfoncés dans la couette il pria : "J'ai besoin de toi Lucien, de toi seul; j'ai besoin de toi en moi" Lucien se rapprocha de Caleb, presque prêt à entrer et obtenir ce qui désormais allait être à lui ; "J'ai besoin de toi pour enlever ce mal, j'ai besoin de savoir que je suis à toi"...

 Traduit de l'anglo-américain par claudio

claudemodou@gmail.com

"dis-moi quetu la veux..."

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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Mercredi 30 janvier 3 30 /01 /Jan 06:40

Patrick et Marc profitent de l'invitation de Damien dans l'appartement dont il dispose momentanément

Insatiables ! suite 3 : on tente la double pénétration ! 

La semaine d'après je retrouvai les deux hommes et nous passâmes encore une super après-midi de baise où je jouis merveilleusement.
Ce jour là j'avais je ne devais pas rentrer chez moi et je dis donc aux deux compères "Aujourd'hui si vous voulez, vous pouvez rester plus tard.
- C'est à dire ?
- Je reste ici cette nuit alors si vous le voulez bien vous pouvez rester aussi et s' il vous reste quelques forces on pourra encore baiser.
- Mais ce n’est pas vrai, on vient de t'en mettre plein le cul et tu en demandes encore.
- je vous avais dit que j'étais très gourmande.
- Gourmande ! tu es une vraie pute oui.
- C'est vrai je suis une vraie pute, une vraie salope une chienne même, mais n'empêche que j'ai encore envie de bite.
- Moi je veux bien rester, je ne sais pas si je serais capable de faire quelque chose mais je veux bien essayer et toi Patrick.
- Pourquoi pas.
- Super, alors voilà ce qu'on va faire, on va commander des pizzas et après avoir mangé on verra.
- O.K.
- Bon j'ai une idée, il y quelque chose que j'aimerais essayer avec vous deux.
- C'est quoi ?
- J'aimerais essayer de me faire baiser par vous deux en même temps.
- Comment cela ?
- C'est simple, l'un de vous s'allonge sur le dos, je m'assieds sur lui, je m'empale sur sa bite et je bascule vers lui, pendant le deuxième s'agenouille derrière moi et me met sa pine dans le cul.
- Tu veux dire que tu veux essayer d'avoir les deux bites dans le cul en même temps.
- Oui, je ne sais pas si mon cul va pouvoir se dilater autant mais je veux essayer.
- C'est fou.
- Enfin si ça ne vous dégoûte pas que vos deux bites se frottent l'une et l'autre.
- Non du moment que c'est dans ton cul. Hein Patrick ?
- Pas du tout je ne te branlerais pas mais mettre ma queue dans un cul alors que tu y es déjà je m'en fous et ça peut être amusant.
- Bon comme je l'ai dit c'est un essai si ce n'est pas possible il ne faudra pas insister, si je dis d'arrêter il faudra le faire.
- Bien sûr on ne veut pas te déchirer.
- D'accord mais d'abord il faudra me baiser pour me graisser et m'ouvrir le cul et après on fera ça.
- D'accord.
- Une dernière chose, il vaut mieux que ce soit Patrick qui rentre le dernier. Tu as le zob moins gros que Marc, il rentrera peut-être plus facilement.
- D'accord.
- Bon alors commandons les pizzas et prenons l'apéritif en attendant qu'elles arrivent".
Nous allâmes nous laver puis après avoir passé commande, nous restâmes nus pour boire l'apéritif.
Après nous être restaurés et avoir fait et rangé la vaisselle, je dis à mes deux amants "Maintenant passons aux choses sérieuses, enfin si vous vous sentez d'attaque.
- Avoir mangé m'a fait du bien.
- Moi aussi". dit Marc.
Tout en portant une main sur chacune des bites je dis "je vais vous sucer un peu pour vous faire bander et ensuite on y va".
Avant de m'agenouiller devant mes deux hommes je mis un doigt sur mon anus et constatai que s'il était un peu refermé, il était encore tout mou.
Après avoir pratiqué une lente fellation sur mes deux amants ce qui eut pour effet de les faire bander, je dis à Marc "Allonge-toi".
Mon homme s'exécuta, je m'assis à califourchon sur lui, je pris son sexe dressé dans une main et le guidai en moi, quand je descendis sur la verge je fermai les yeux pour savourer le plaisir de sentir le phallus entrer dans mon canal bouillant en disant "Ah que c'est bon de sentir une grosse bite au fond de moi".
Comme d'habitude avec Marc j'avais la sensation d'être entièrement rempli.
Patrick me dit "mais tu avais dit qu'il fallait d'abord qu'on te baise avant d'essayer ça.
- C'est vrai mais comme mon cul est encore un peu ouvert et tout mou je pense que ça va pouvoir se faire comme ça.
- Tu ne doutes vraiment de rien.
- Quand il s'agit de baise non, je vais monter et descendre un peu sur la pine de Marc pour assouplir ma pastille comme ça tu pourras essayer de me mettre.
- D'accord".
Au bout de quelques allées et venues, mon tunnel s'ouvrit de nouveau pleinement, je me penchai vers Marc et en profitai pour lui lécher le visage puis je dis à Patrick qui nous regardait tout en se masturbant lentement "Crache moi dans la raie et essaye de m'enfiler, fais doucement et écoute ce que je te dis.
- D'accord ma petite poulette".
Patrick s'agenouilla derrière moi, je me relevai afin de ne plus être totalement empalé sur la verge de Marc.
Je sentis de la salive couler le long de ma raie et le doigt de Patrick me badigeonner le haut du canal, il dit "Je ne sais pas si je vais pouvoir entrer.
- Essaye on verra bien, mais je t'en supplie va doucement.
- Bien sur ma chérie, je ne veux pas casser un si bel objet de plaisir".
Je sentis le gland de Patrick de poser à la naissance du sillon de mes fesses et descendre tout le long de ma raie et s'arrêter contre le pénis déjà fiché en moi.
Je tendis ma croupe et dis "vas-y essaye de me prendre".
Mon homme commença à peser sur mon ouverture ce qui me provoqua une douleur épouvantable, je poussai une plainte en disant à Patrick "Arête.
- Tu abandonnes ?
- Non mais arrête un moment que je me remette".
Mon mec suspendit sa poussée et quand je sentis le mal disparaître je lui dis "recommence doucement"
Il fallut plusieurs minutes et beaucoup de pénibles tentatives pour qu'enfin mon anneau s'ouvre un peu plus, Patrick s'en aperçut et me dit 'Je crois que ton cul s'ouvre un peu.
- Oui mais fais tout doucement.
- Bien sur ma poulette, mais avant ça Marc baise la un peu pour lui faire oublier qu'elle a mal".
Marc me donna quelques coups de boutoir qui firent monter un peu de désir en moi, il s'arrêta et dit "vas-y Patrick mets
-lui".
Mon amant positionna son sexe contre ma corolle dévastée et commença à peser dessus, quand le bout durci déflora mes chairs enflammées je ressentis une brûlure aiguë qui me fit crier et dire à Patrick "Aiee !! Arrête.
- Tu veux que je me retire ?
- Non reste en place mais ne pousse plus, laisse mon trou s'habituer".
Mon homme resta immobile et peu à peu la souffrance disparut, me tournant je dis à Patrick "Pousse tout doucement".
Peu à peu millimètre par millimètre mon mec enfonça son phallus érigé en moi, quand je sentis les poils follets de son pubis contre mon fessier bouillonnant je sus qu'il était en moi entièrement.
J'avais les larmes aux yeux et j'avais l'impression que mon trou du cul allait se fendre tant il était écartelé.
Patrick dit "Voilà tu as nos deux bites dans le cul, je n'aurais pas cru ça possible et toi Marc ?
- Moi non plus je n'aurais jamais pensé que ce cul était capable de se dilater autant.
- Je vous en supplie ne bougez pas encore, mon trou de balle est tellement tendu que je crois qu'il va se déchirer.
- veux-tu que l'un de nous se retire.
- Non je crois qu'après quelques instants mon sphincter va se détendre.
- Comme tu veux".
Malgré la douleur que j'éprouvais, le fait de sentir en moi les deux membres érigés palpiter faisait naître au creux de mes reins une douce chaleur.
Peu à peu le mal diminua et une tendre langueur commença à prendre possession de mon corps, je sentis mon anus céder et je dis à mes deux amants "Commencez à bouger mais très doucement".
Marc, de manière mesurée, commença à remuer. Les mouvements de son sexe turgescent me faisaient crier de douleur, chaque fois j'avais l'impression que mon tunnel se coupait et mon amant me dit "Tu as mal, tu veux que j'arrête et qu'on sorte ?
- Non je veux aller jusqu'au bout.
- C'est toi qui décide.
Le supplice ne dura pas longtemps car les frottements des deux priapes comprimés en moi firent jouir très vite mes deux mecs, dans un feulement commun les deux hommes éjaculèrent m'inondant le rectum de semence crémeuse.
Les deux phallus une fois vidés rétrécirent et sortirent de moi.
Cette expérience, à part le fait de savoir que mon cul était capable d'accepter deux membres de taille plus que respectable, ne me laissa aucun plaisir.
J'avais eu trop mal pour prendre le moindre bonheur et je leur dis "Qu'est ce que j'ai eu mal au cul, heureusement que c'est fini.
- Tu ne te rends pas compte de ce que tu as voulu qu'on te mette.
- Si Marc je m'en rends compte mais je ne le ferai plus.
- Tu as raison et même pour nous ça n'a pas été super.
- Je vous crois, la seule chose qu'on peut retirer de ça, c'est que je suis capable de prendre des bites plus grosses que les vôtres.
- Oui c'est sur que tu peux te faire enculer par un noir si tu veux car même très bien monté, jamais un mec n'aura une pine deux fois plus grosse que les nôtres.
- C'est vrai Patrick, et maintenant que faisons-nous ?
- Que veux-tu dire ?
- Eh bien tout simplement que cette petite séance m'a mis en appétit et que j'ai envie de vivre une vraie baise, sans compter que vous n'aurez aucune peine à me baiser tellement mon fion est ouvert.
- Ca tu peux le dire salope, bon puisque tu veux de la bite, mets toi à quatre pattes et tends ton cul qu'on te défonce un peu".
Durant une bonne partie de la soirée les deux hommes se succédèrent dans mon cul, comme il avait tiré pas mal de coups ils furent très long à jouir ce qui me fit avoir plusieurs orgasmes.
Quand ils m’abandonnèrent j'étais rempli de sperme de la tête aux pieds, j'avais l'anus complètement éclaté mais j'étais comblé.
Après m'être lavé, je sombrai dans un sommeil profond.govl: Visit http://govl.tumblr.com/ I show you a lot of Cocks and Balls

à suivre (->4).

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 29 janvier 2 29 /01 /Jan 22:16

 

Ce récit fictif est diffusé dans le cadre prolongé du WE des vampires sur ce blog.

Résumé : Caleb, un jeune de 20 ans, arrive chez lui en se cachant mais il est rejoint par Lucien le vampire dans des conditions mystérieuses. Les deux personnages se connaissent et se désirent, mais l'homosexualité d'homme à vampire devrait poser des problèmes..  

 

------chapitre 2----------------------

-" Ainsi se disait Lucien, "il a voulu me fuir, mais il est très content que je l'aie retrouvé. Je n'allais pas abandonner alors qu'enfin je vais peut-être trouver le compagnon que j'attends depuis des années".

Comment s'expliquer l'élan de Caleb vers celui que tout autre eût redouté mais que lui et lui seulement avait appris à connaître ? Il était sûr que si Lucien acceptait de lui faire le "Don", il allait vers une destination inconnue difficile à imaginer à l'avance. De toutes façons, il avait été si mal accueilli par la vie dès son enfance, il avait eu tant de déceptions, qu'il n'envisageait que le suicide...ou bien alors maintenant le compagnonnage avec son ami vampire... 

Etait-ce pour marquer symboliquement un non-retour ?  Sans regret, Lucien a déchiré et séparé le caleçon du corps du garçon.  Les yeux obscurcis par le désir, il regardait se manifester l'érection palpitante, exubérante et fière de Caleb. Lucien avait souligné, qu' en tant qu'immortel, il était vieux et que Caleb avait tous les avantages provisoires de sa jeunesse. Devant ces agapes sexuelles en perspective, il salivait.

Mais il fallait que le jeune mortel, à son tour, le vît et le regardât afin de confirmer sa détermination. Son corps avait pris une patine mais  était resté aussi beau qu'à vingt ans.

Totalement dépourvu de pilosité, il était lisse, blanc et chaud.

Il en avait eu des amoureux passifs attirés par cette beauté surnaturelle et fatale. Il était fait pour séduire, pour piéger.

Si le sexe de Lucien était un attrait pour certains passifs avides de surdimensions, il se gardait quelquefois de le montrer avant la morsure fatale. Il aurait eu une taille normale, sauf sa longueur. Sa couleur, sa dureté aussi. Il avait des reflets de nickel et d'acier.

Lucien aimait Caleb de cet amour qui ne veut pas asservir et encore moins piéger. Il lui devait la vérité crue du fait que leur prochain rapport sexuel ne prenait ni le sens d'une "consommation" de chair (et de sang) , ni celui d'une union dont on peut se dédire.

Lucien donna donc son sexe à voir à Caleb. Le jeune homme; les yeux rivés sur ce phallus, de la forme et de la longueur d'un petit sabre oriental, n'émit aucun son. Il n'était pas inattendu que le jeune mortel restât silencieux et hypnotisé. Presque une minute se passa avant que Caleb n'avance sa main vers la divine verge pour la caresser.  Et là il fut surpris par la chaleur dégagée et le contact de folie que ce toucher lui procurait. Respect ou effroi passager ? il retira sa main et, confiant toutefois, la posa sur une cuisse de Lucien.

  Dans les coins sombres de l'esprit du vampire se libéraient des images et des souvenirs. Depuis toujours se sentant investi d'une mission maléfique, Lucien avait voulu marquer durement les humains... laisser des contusions et montrer exactement à l'homme avec qui prétendait baiser. Le vampire voulait la douleur, il voulait des cris, qu'il y eût une douleur physique qui  dise qui il était et le type d'altérations de la pulpe dont il était capable. Mais en lui c'était le vampire, la fureur d'un intérieur bouillonnant des forces du mal. Il donnait le fer, le feu, les flammes, puis le froid glacial.

Pendant des années il n'avait pu exercer que cette méchanceté, il avait attendu un compagnon digne de lui et pendant des années il n'avait eu que des amateurs qui honoraient sa couche de leur présence...ils prétendaient ne pas croire davantage aux vampires qu'ils ne croyaient aux fantômes. Un défi pour Lucien, naturellement ! Personne n'avait vraiment envie de lui pour lui-même. Ils voulaient seulement être "activés" pour faire des expériences inédites et bourgeoises... Il n'était attiré que par les hommes et, pour une fois, il trouvait un garçon qui l'aimait.

Lucien se pencha en avant et embrassa Caleb comme on dit "hard", mettant dans ce baiser toute l'émotion refoulée qu'il avait ressenti pendant des mois. Il voulait faire maintenant savoir à Caleb exactement combien il le désirait . Et ce désir, cet amour, luttait contre la part sombre de son "âme"porteuse de malheur. Autant, d'habitude, il voulait déchirer la chair et boire le sang brûlant, autant il voulait que ce jeune homme l'accepte et lui et ce qu'il offrait. Lentement Lucien prit soin de les débarrasser tous deux de leurs vêtements qui glissèrent au sol. Il poussa le  mortel  à plat sur le dos et tout en embrasant le sillon de sa poitrine, il traçait son chemin sur la chair bronzée et lisse. Les poils fins sur la jambe de Caleb chatouillèrent les lèvres du vampire alors qu'il continuait à traîner jusqu'au cul de l'homme. Il prit les globes lisses à pleines mains et déposa un baiser sur chaque joue avant que ses lèvres poursuivent jusqu'à l'anus. Il embrassa le centre interdit, et questionna : -" est-ce que tu te rends compte que le seul anus que j'embrasserai jamais c'est le tien ?" Caleb rougit vivement et avant qu'il ne puisse faire un geste Lucien se mit à le lécher.

------à suivre (si vous voulez bien )---------------

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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Lundi 28 janvier 1 28 /01 /Jan 23:14

Bonsoir, je voulais terminer le WE des vampires gay en beauté 

en diffusant des videos sur ce thème. En fait il y en a beaucoup, mais il n'y a guère que des femmes vampires...

Puis, j'ai cherché des récits...il n'y a rien de satisfaisant...encore des femmes

J'ai fini par trouver ce merveilleux récit en américain

je le traduis par morceaux.

Vous allez être impatients de connaître la suite (enfin j'espère !)

 

LUCIEN VAMPIRISE CALEB 

Chapitre 1

+ Caleb  vampirisé par Lucien +

Caleb courut dans l'allée, tâchant de retourner chez-lui Lucien était dans la ville et le maître vampire n'était pas très content de lui. Contournant l'étalage d'un marchant ambulant, il grimpa rapidement les trois étages de l'escalier de secours jusqu'à sa fenêtre.

Ca n'était pas toujours comme ça. Caleb avait été le

compagnon d'un maître vampire. Le maître de Londres, si vous voulez être plus technique, mais il ne s'était jamais senti à sa place à Londres.  Lucien s'était efforcé de  le mettre à l'aise, mais ça n'avait  jamais trop bien marché. Il avait l'allure moyenne d'un gars de 20 ans avec des piercings sur les deux oreilles, des cheveux brun foncé et orange et de beaux yeux bleus. Il admettait que Lucien l'aimait et qu'il l'aimait assez pour penser qu'il devienne son compagnon. Mais le vampire lui faisait peur et lui proposait des choses que Caleb ne pensait pas mériter. Les foyers d'accueil et 15 ans de théâtre n'avaient pas fait de la confiance sa priorité. C'est son besoin d'amour et ses déceptions successives qui l'avaient porté vers Lucien qui n'avait pas plaint les gestes d'affection.

Caleb se glissa à travers la fenêtre et tranquillement mit le verrou. Il retira sa veste en jean et se rendit à la cuisine où il se servit un verre de vodka. 

il revint dans le salon et rapidement laisser échapper un cri de surprise. Assis dans la petite chaise près de la cheminée il y avait Lucien.

Il était conforme à l'idée que nous en font partager les bandes dessinées. Ses cheveux d'un noir bleuté étaient rabattus vers le bas et il y avait une nuance d'amusement dans son regard doré.

 Les yeux de Caleb enveloppèrent le maître vampire. En réponse Lucien se lécha les lèvres et se leva pour se rapprocher du jeune mortel. Ses longs doigts parcoururent les biceps de Caleb.

Ce dernier frissonna au contact du vampire qui lui avait manqué tout ce temps. Contact auquel il aspirait. Appuyé sur Lucien , Caleb savait maintenant comment ils allaient continuer.  

Lucien et lui avaient un lien : le vampire l' aurait retrouvé aux confins de la terre.

"Pourquoi t'es-tu enfui ? Il y avait plus que de la curiosité dans la question. Caleb se retourna pour regarder le vampire avant de parler "Je ne pouvais accepter de ne représenter qu'un objet pour toi"  Lucien émit un sourd grondement, avant de pousser Caleb sur le canapé. -"Vous me faites tous la même réponse:  je suis trop vieux et tu es trop jeune ". Lucien appuya  sa poitrine avec force contre celle de Caleb et étira ses bras au-dessus la tête du jeune homme. -"Quand puis-je obtenir ce que je veux?" La dernière chose que Caleb a vue c'était les lèvres de Lucien juste avant qu'elles n'écrasent les siennes.  

Caleb lutta quelques instants contre l'emprise de Lucien avant de s'abandonner et répondre par sa passion au baiser du vampire. Il était sûr que Lucien l'aimait. Blotti dans ses bras il avait entendu les paroles de l'homme au lever du soleil. Mais il était égoïste de vouloir poursuivre ce bonheur avec lui. Plusieurs autres hommes étaient tombés amoureux de Lucien et à la fin ils en étaient venus à en vouloir au vampire de son immortalité alors qu'avec le temps eux auraient disparu. Caleb ne voulait pas exposer Lucien à ce type de douleur à nouveau. Demander à Lucien le "Don", c'était juste trop égoïste. Lucien n'avait rien proposé de la sorte, jamais. Et jamais Caleb n'avait estimé justifié de le demander. Lucien interrompit le baiser ce qui les laissa haletants. Caleb se leva et plongea son regard dans les yeux dorés. Il pressa son front contre celui de Lucien, il soupira et se leva et se dirigea lentement vers la chambre à coucher. "D'une manière ou d'une autre, je vais finir par partir" Perdant tout contrôle, il avait eu cette pensée qui se glissa hors de lui alors qu'il disparaissait dans la chambre. Lucien demeura interdit quelques instants alors que la lumière se faisait en lui. Le vampire avec un grognement sourd se dirigea vers la petite chambre. Caleb commença à tirer son t-shirt sur ​​la tête et se retourna pour voir que le vampire le fixait avec insistance. Ses mains s'arrêtèrent à la mi-pull provoquant sa poitrine lisse et abdos pour le montrer. Ses mains s'arrêtèrent à en chemin, laissant volontairement voir sa poitrine imberbe et ses abdos. Lucien baissa les yeux sur la chair exposée et grogna avant de déchirer la chemise de Caleb. Le mortel demeurait silencieux alors que des doigts agiles et gracieux effleuraient la boucle de sa ceinture et défaisaient son pantalon qui se retrouva à ses pieds. Prenant Caleb avec facilité, Lucien commença à l'embrasser doucement tandis que Caleb  entourait de ses jambes la taille du vampire. Lucien força doucement le jeunes jambes à reposer à plat sur le lit et a commença à explorer de nouveau le corps du jeune homme, pinçant et suçant gorge, épaules et mamelons. Caleb rugissait doucement en maintenant la tête de Lucien  contre sa gorge tandis que le vampire entretenait une aspiration possessive sur la chair.

La main en cuillère de Lucien se glissa dans son slip noir faisant encore monter son excitation et son érection.

Une petite tache d'humidité marquait le devant de son slip procurant une délicieuse friction quand Lucien le chauffait à travers la mince étoffe. Caleb saisit alors la main de Lucien et, la plaçant sur son paquet, se mit à la frotter.

Seul Lucien pouvait le faire parvenir incarner ce garçon dévergondé, prêt à se faire prendre.  Le gland de Caleb se libéra au dessus de la bande d'élastique. De son pouce Lucien caressa le membre humide provoquant des sifflements aigus du jeune homme. Le vampire sourit béatement :il avait le pouvoir de subjuguer . Mais, pour un tel jeune homme, le mortel aimé désirait avoir l'illusion d'un contrôle complet. C'était enivrant et Lucien prenait son temps avant de pousser lui-même profondément dans  l'homme qui le désirait maintenant sans conditions... 

A suivre ...

ssfag: from badboy Perfect pussy….just waiting for MASTER déterminé...

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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Samedi 26 janvier 6 26 /01 /Jan 23:20

 

 

Cette semaine là Max me dit qu'il ne pourrait pas venir à l'appartement le mercredi ni le prochain, c'était deux jours fériés et sa femme était à la maison, sur le moment je fus déçu puis je me dis que je pourrais peut être voir avec Patrick et Marc.
Aussitôt les deux furent d'accord, je leur donnai donc rendez-vous pour 14 heures.
Marc et Patrick arrivèrent à 14 heures précises, je leur ouvris et leur dis "Pile à l'heure.
- Tu ne crois pas qu'on allait oublier ou arriver en retard, on sait bien qu'on a un cul qui nous attend.
- Seulement un cul ?
- Non pour être franc, disons un cul, une bouche et surtout une super baiseuse.
- Merci.
- C'est nous qui te remercions car ce n’est pas tous les jours qu'on peut avoir une femelle comme toi.
- Voulez-vous boire quelque chose avant de commencer.
- ça dépend, combien de temps avons-nous avant que l'occupant de cet appart revienne.
- Aucun problème, le propriétaire est absent jusqu'à l'été et en plus comme on n'a pas classe jusqu'à lundi on est tranquille tout l'après-midi.
- Dans ce cas d'accord pour boire un verre.
- Bien".
J'allai dans le frigo chercher le nécessaire et quand je revins dans le salon Marc me dit "Tu sais ce qui va être nouveau ?
- Non.
- Aujourd'hui c'est la première fois qu'on va avoir ton cul fermé, d'habitude le prof est passé avant nous.
- C'est vrai et ça vous plaît ?
- Oui on va tirer au sort pour savoir qui t'ouvrira le cul.
- ça alors.
- Et oui on ne peut pas le faire tous les deux.
- Non mais voilà ce qu'on va faire, celui qui va gagner aujourd'hui laissera l'autre en premier la prochaine fois.
- Mais ce sera quand ?
- La semaine prochaine car Max ne pourra pas venir non plus.
- Super".
Après avoir bus nos verres, Marc sortit une pièce de monnaie et me la donna, il me demanda d'être la main innocente de ce tirage au sort.
Ce fut Patrick qui gagna et il me dit "Ce serait sympa si tu nous faisais un strip-tease et si après tu nous déshabillais.
- Pas de problème".
Sur le rythme langoureux d'une musique orientale j'entrepris de me dévêtir en tournant le dos à mes deux amants, tout en ondoyant j'ôtai mon tee-shirt, je me déchaussai et enlevai mes chaussettes, je fis descendre mon pantalon puis lentement je fis glisser mon string sur mes cuisses fuselées.
Quand je fus nu, je me tournai vers les deux hommes les yeux mi-clos et la langue un peu sortie puis d'une démarche chaloupée je m'avançai.
Je défis les boutons de la chemisette de Marc et lui ôtai tout en lui embrassant le torse, je passai à Patrick le débarrassai de son tee-shirt tout en lui léchant les tétons.
Je délaçai les chaussures de mes deux mecs et les déchaussai puis enlevai leurs chaussettes.
Restant à genoux je pris la fermeture éclair du jeans de Marc entre mes dents et l'ouvris, le pantalon tomba sur ses chevilles.
Me déplaçant devant Patrick je déboutonnai sa braguette et la culotte descendit.
Mes deux amants n'étaient plus que vêtus que de leurs sous-vêtements qui étaient gonflés sur le devant ce qui signifiait que ma petite mise en scène ne les avait pas laissés indifférents.
M'approchant de Marc je soufflai sur le devant de son slip, ce geste eut pour effet de faire se tendre encore plus l'étoffe.
Prenant le slip par l'élastique de la taille je libérai un gros sexe déjà tendu, je déposai un léger baiser sur le bout du membre de Marc et après avoir porté une légère caresse sur les testicules gorgés de sève j'allai vers Patrick.
Après avoir appliqué le même souffle chaud à travers le tissu du short de Patrick je dégageai sa hampe circoncise déjà dressée, du bout de la langue je récoltai une goutte de sperme translucide qui perlait du méat puis je me relevai.
Marc me dit "On savait déjà qu'en baise tu étais la meilleure mais en déshabillage aussi tu es géniale.
- Merci, et maintenant voulez aller dans la chambre et baiser dans le lit ou rester ici ?
- Comme tu veux.
- Pour moi c'est pareil, là bas il y un lit, ici il y a un tapis.
- Alors restons ici, il y a plus de place.
- D'accord, comment voulez vous que je me mette ?
- On voudrait d'abord que tu nous montres ton trou du cul, on voudrait le voir fermé et après ce serait bien si tu te mettais à quatre pattes.
- D'accord".
Je pris un coussin, le posai sur la table et posai mon torse dessus, j'écartai les jambes et prenant mes fesses en mains je les éloignai l'une de l'autre.
Au bout de quelques instants je demandai "ça vous va ou je reste encore comme ça ?
- Tu peux te relever.
- Merci".
Marc me dit "C'est drôle, il est tout petit quand il est fermé, quand je pense comment il est après qu'on t'ai enculé.
- C'est normal il faut bien la place pour laisser passer vos bites et en plus chaque fois que vous me limez il s'agrandit.
- Combien de temps lui faut-il pour reprendre sa forme normale ?
- ça dépend si je ne prends qu'un coup en deux heures c'est fait si c'est comme les jours où je baise avec Max et vous deux, là il lui faut toute la soirée et une bonne partie de la nuit pour qu'il reprenne sa taille.
- Et aujourd'hui si on te baise tout l'après-midi.
- Demain matin il sera normal.
- Putain et ça ne te fait pas mal.
- Non le seul moment où j'ai mal c'est quand on m'ouvre le cul, d'ailleurs Patrick tout à l'heure il faudra que tu fasses doucement car c'est là où j'ai mal, d'ailleurs même si celui qui m'encule fait doucement j'ai toujours mal mais ça ne dure pas longtemps au bout de quelques va et viens mon cul se desserre et après c'est bon.
- ça alors.
- Bon on y va, car moi je commence à avoir le cul en feu.
- Vas-y mets toi en place".
Je pris la position demandée, je me cambrai bien et ouvrit les jambes afin de m'offrir le plus possible, Patrick s'agenouilla derrière moi et me dit "C'est vrai que tu as un beau cul, mais on fait comme ça à sec ?
- Oui enfin tu as deux lubrifiants naturels.
- ...
- C'est à dire, tu as ta salive et ta jute".
Patrick posa ses mains sur mes fesses chaudes et les éloigna l'une de l'autre, il me dit "Que ton trou du cul est petit quand je pense que tout à l'heure ma grosse bite va être dedans".
Il se cracha sur les doigts en me mit de la salive contre l'entrée du canal puis il me pénétra de son pouce.
L'intromission de ce doigt me fit frémir, Patrick me demanda "Ca te plaît ?
- Oui j'aime bien qu'on me prépare avant de m'enculer".
L'homme continua à faire aller et venir son pouce dans mon trou puis il l'enleva et m'enfonça son majeur dans le tunnel et le fit coulisser.
Au bout de quelques instants il dit "Tu verrais Marc je sens que sous mon doigt le trou du cul s'ouvre.
- Je verrai ça la semaine prochaine.
- Pourquoi ne lui donnes-tu pas ta bite à sucer ?
- Parce que je veux l'entendre crier quand tu vas l'enculer.
- ça ne va pas tarder car quand je vois ce cul, j'ai envie de lui mettre tout de suite ma bite.
- Eh bien vas-y n'attends pas".
Je tournai la tête et dit à Patrick "Je t'en supplie ouvre moi encore un peu le cul avec tes doigts, ne m'enfile pas comme ça tu vas me faire très mal.
- Je sais mais j'ai tellement envie de te miser.
- Alors d'accord mais je t'en supplie fais quand même doucement.
- Bien sur ma chatte, mais j'en peux plus je vais te défoncer".
Patrick promena son sexe érigé tout le long de la raie de mon cul s'arrêtant à l'orée de ma corolle, lubrifiant ma porte étroite.
Au bout de quelques instants il positionna son gland turgescent contre ma pastille et me dit "ça y est ma salope, je vais te prendre".
Posant unes main sur mes hanches et guidant sa pine raide de l'autre, mon amant commença à me pénétrer.
Quand le bout durci écarta mes chairs, une brûlure intense me traversa, j'avais l'impression qu'on m'enfonçait un fer porté au rouge dans le ventre et je poussai un hurlement de douleur.
Patrick s'arrêta et me dit "Tu as si mal que ça ?
- Oui mais continue comme ça doucement.
- Si tu veux je peux arrêter.
- Non je veux ta bite dans le cul, continue enfonce toi complètement mais je t'en supplie fais très doucement.
- D'accord".
Lentement centimètre par centimètre mon homme me pénétra, l'intromission fut longue et pénible et quand je sentis contre ma croupe les poils follets de son pubis, je sus qu'il était en moi entièrement.
J'avais les larmes aux yeux tellement j'avais mal, j'avais l'impression que mon trou de balles allait se déchirer tant il était tendu.
Patrick resta immobile me laissant m'habituer à la formidable présence qui m'obstruait le fondement.
Peu à peu je sentis mon anneau se détendre et la douleur devint moins violente, je me tournai vers mon mec et lui dis "vas-y défonce-moi, vas-y doucement mais défonce-moi, fais-moi du bien".
Puis me tournant vers mon deuxième amant je lui dis "Elle est belle, donne-la moi, prends ma bouche".
Marc s'avança et glissa son membre violacé entre mes lèvres, pendant ce temps là Patrick posant ses mains sur mes hanches commença à aller et venir très lentement.
Bien qu'ayant la bouche pleine je ne pus m'empêcher de crier quand la queue raide commença à bouger en moi.
Au bout de quelques va et viens mon anus céda complètement et le superbe phallus pu coulisser en moi plus librement, je pris Marc aux cuisses et me mis à le pomper vigoureusement tout en enroulant ma langue autour de la colonne de chair et en la mordillant.
Peu à peu la douleur s'estompa totalement pour faire place à une douce langueur et je me cambrai encore plus pour m'offrir au maximum.
Soudain Marc plaqua mon visage contre son pubis et éjacula en râlant, un flot de semence crémeuse gicla contre ma gorge et je l'avalai avec délice continuant à cajoler le Priape qui se vidait sur ma langue.
Marc me relâcha et se retira, une fois libéré je pus m'abandonner au plaisir qui lentement prenait possession de mon corps sous les lents coups de boutoir répétés que Patrick m'assénait.
Mon amant me possédait avec une régularité de métronome, son phallus plongeait au plus profond de mes entrailles en feu pour ressortir presque entièrement la seconde suivante.
Mon anneau était complètement dilaté et la grosse pine gorgée de sang coulissait en moi sans gène aucune m'arrachant à chaque passage de lourds gémissements.
Au bout de quelques instants de ce traitement je me mis à râler de bonheur, une boule de feu s'était formé dans mon bas-ventre et remontait vers mon visage pour éclater en mille lumières.
Patrick me pilonnait l'arrière train un peu plus violemment, son ventre plat claquait contre ma croupe en ébullition à me faire mal et je commençais à perdre pied.
J'avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos je savourais le plaisir qui m'envahissait entièrement sous les viriles poussées que je subissais.
Patrick avait posé ses mains sur mes épaules et me tirait vers lui chaque fois qu'il plantait sa verge érigée entre mes lobes charnus.
J'étais tellement excité que je ne vivais plus que pour et par le sexe qui me forait les reins m'ouvrant un peu plus la pastille chaque fois qu'il plongeait au tréfonds de moi.
J'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon rectum affamé et je me mis à rouler des hanches en cadence.
Dans le brouillard où je me trouvais j'entendis la voix de Patrick qui disait "Ah quel cul, mais quel cul, il est vraiment génial, il s'ouvre comme une chatte, c'est géant de baiser cette salope. Regarde Marc comme elle tourne du cul, plus je lui en mets plus elle en veut, quelle salope.
- Oui je vois, plus tu bourres cette pute, plus elle en demande, vas-y Patrick casse-lui le cul, défonce-la cette salope.
- Regarde ce que je lui mets et regarde comment elle tend son fion vers ma bite, quelle pute on a, c'est vraiment de la chair à baiser, je t'assure quelle enculade, ce cul est fabuleux".
Ces paroles me portaient au paroxysme de la volupté et je creusais les reins pour m'offrir plus encore.
J'avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les coups de boutoir répétés que je recevais.
Patrick me besognait maintenant avec des "HAN" de bûcheron, chaque fois qu'il m'enfilait je faisais un bond sur le tapis et dans la pièce en dehors de mes cris de plaisir on entendait le bruit de succion que faisait mon anus chaque fois qu'il avalait le membre démesuré.
Je ne savais plus depuis combien de temps mon amant me baisait, c'était si bon que je ne voulais pas qu'il arrête.
Mon homme me pilonnait le derrière de toute la longueur de son phallus raide et je poussais de petits hurlements de félicité chaque fois qu'il m'enfessait à fond.
J'avais perdu le sens des réalités et je ne vivais plus que pour et par cette superbe queue qui me ramonait le prose.
Un énorme brasier me consumait et je savais que seul ce Priape qui me bourrait pouvait l'éteindre.
Je n'étais plus que jouissance, mon mec me sodomisait maintenant si brutalement que je croyais qu'il allait me déchirer mais je ne voulais pas qu'il s'arrête tant ce que je ressentais était grand.
J'avais atteint le point de non-retour et je me mis à hurler toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon cul Patrick jouit en feulant, un abondant flot de sperme crémeux fusa contre mes parois surchauffées, cela me provoqua un orgasme foudroyant, je tendis ma croupe vers le pénis qui coulait en moi, un hurlement strident pulsa de ma gorge et je tombai à plat ventre sur le tapis entraînant dans ma chute celui qui me montait.
Je sentis Patrick se lever et je restai yeux clos, cuisses écartées savourant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.
Quand je reins à la réalité, les deux hommes me regardaient en fumant, Patrick avait le sexe flaccide et tout maculé de sécrétions anales et séminales alors que Marc arborait une splendide érection, je leur souris et dit à Marc "Alors qu'attends tu pour me sauter dessus, je crois que je suis en position.
- Oui.
- Alors dépêche-toi car moi j'ai le cul en feu, Patrick m'a baisé comme un dieu mais j'ai encore très envie.
- je le sais mais je voulais simplement te laisser le temps de jouir de la baise avec Patrick avant de te sauter.
- C'est gentil ça, mais allez maintenant viens me baiser.
- Tout de suite ma poule, mets-toi sur le dos et lève tes jambes".
Patrick prit le chemin de la salle de bains, je pris la position demandée, Marc écrasa sa cigarette et se leva.
Mon amant s'allongea sur moi, il guida son sexe dressé entre mes fesses et m'enfessa d'un violent coup de reins qui me fit gémir.
Marc et Patrick me prirent 4 fois chacun et je les suçai 3 fois, quand ils m’abandonnèrent il était 19 heures, j'étais rempli de sperme de la tête aux pieds, mes cuisses étaient poisseuses de foutre, mes lèvres étaient enflées à force de sucer et mon trou du cul était complètement éclaté mais comblé.
Alors que je revenais à la réalité Patrick me dit "Eh bien quelle baise, tu nous as vidé complètement les couilles.
Hein Marc.
- Oh oui je crois que je n'ai plus une goutte de jute.
- En tous les cas, moi vous m'avez rempli le cul.
- On le voit d'ailleurs tu fuis.
- je le sais vous m'avez totalement inondé.
- Je me demande comment tu peux accepter autant d'enculades, je ne connais pas une fille capable de se faire baiser autant de fois à la suite.
- Moi j'aime ça.
- Mais tu n'as pas mal au cul.
- Un petit peu mais c'est tellement bon de sentir une bonne grosse bite rentrer et bouger que je ne pense pas au mal.
- je ne sais pas, c'est la première fois qu'on baise une pédale, est ce que toute les pédales sont comme toi ?
- je ne peux pas te répondre car je ne connais pas d'autres pédés mais d'après Max je suis unique.
- C'est bien notre chance, on tombe sur la meilleure, remarque on ne s'en plaint bien au contraire.
- Merci.
- c'est nous qui te remercions de nous donner autant de plaisir.
- Bon si nous allions nous laver.
- Oui tu as raison".
Nous partîmes sous la douche où nous libérâmes nos corps de toutes les toxines et après nous être quittés chacun partit de son côté.

à suivre...


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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