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Mercredi 23 janvier 3 23 /01 /Jan 10:44

 

hummmmh  de la baise des décices du cul de la bite et de l'amitié sensuelle

 

Pendant les deux mois qui suivirent je retrouvais Max deux fois par semaine, une fois au gymnase et une fois à l'appartement. 
Aussi étrange que cela vous paraisse, au gymnase mon amant était toujours doux et plein de prévenance tandis qu'à l'appartement il était odieux et me prenait toujours avec sauvagerie. 
Chaque séance me laissait chaque fois plus meurtri mais cette expérience me plaisait et j'en redemandais. 
Ce jour là alors que Max venait de partir, j'étais encore allongé sur le coussin cuisses écartées quand j'entendis la porte du gymnase s'ouvrir. 
Croyant que Max avait oublié quelque chose je dis "C'est toi amour ? "
Mais ce n'était pas Max, les personnes qui venaient d'entrer étaient les deux élèves à qui j'avais fait quelques misères au handball. 
Celui qui s'appelait Patrick dit à celui qui s'appelait Marc "Tu vois ce que je vois ? 
- Oui on dirait que le prof s'amuse bien". 
Je voulus me lever en leur disant "Ce n'est pas ce que vous croyez". 
Patrick fut plus prompt que moi, il me maintint sur le coussin tout en glissant un doigt entre mes fesses puis il me dit goguenard "Nous on croit rien on voit simplement que tu as le cul défoncé et plein de jute et ne me dis pas que ça vient de ta bite on voit bien qu'elle est toute sèche. Qu'en penses-tu Marc ? 
- Comme toi Patrick je vois une salope qui vient de se faire mettre une grosse bite dans son cul de pute. 
- Ca alors je n'aurais jamais cru que tu sois une salope de pédé et toi Marc ?
- Moi non plus mais il faut nous rendre à l'évidence, notre grand sportif est aussi un trou à bite. 
- Est ce que tu crois que cette charmante petite demoiselle consentirait à nous soulager les couilles. 
- Je ne sais pas, nous ne sommes peut-être pas assez bien pour elle, elle préfère donner son cul au prof. 
- Vous n'êtes pas marrants, c'est ridicule. 
- Comment ça ridicule ?  salope! ce n'est que la vérité, on a vu le prof sortir d'ici, on est rentré et on te trouve à poil le cul plein de jute, je ne vois pas ce qui est ridicule de dire que tu donnes ton oignon au prof. 
- Et sa bouche aussi, regarde Patrick elle a de la jute sur les lèvres. 
- Tu as raison, je n'avais pas vu, en plus c'est une pompeuse. 
- Quelle salope 
- Tu as raison. 
- Mais tu sais pour répondre à ta question pourquoi lui demander de nous soulager, il n'y a rien à demander, il n'y a qu'à se servir...

RECONCILIATION 
- Arrêtez, ce n'est pas la peine de prendre les choses comme ça, c'est vrai que je baise avec le prof mais je ne suis pas sa propriété, je peux aussi baiser avec d'autres et pour cela ce n'est pas la peine de vouloir employer la force. 
- Tu veux dire que tu acceptes qu'on te baise ? 
- Non ce que je veux dire c'est que si vous voulez j'accepte de baiser avec vous, de vous offrir mon cul et ma bouche, vous savez j'adore la baise alors je ne vois pas pourquoi je vous refuserais ce que j'accorde à Max. 
- Ça alors !!! 
- Alors vous voulez baiser oui ou non. 
-… 
- Vous vous décidez ou je m'en vais. 
- Non attends, qu'en penses-tu Marc ? 
- Je pense qu'on a une excellente occasion de tirer un coup et qu'il ne faut pas la rater. 
- Si vous en êtes capable, vous pourrez tirer plusieurs coups. 
- Salope. 
- Oui je suis une salope et croyez moi vous ne serez pas déçus de moi, je suis une vraie chatte en chaleur quand je baise.
- Super. 
- Bien pendant que vous vous déshabillez je vais aller prendre une douche, je crois que vous souhaitez que je sois propre plutôt que rempli du foutre de Max. (1)
- Oui va te laver". 
J'allai sous la douche et entrepris de rendre à mon corps une propreté toute suédoise. 
Quand je revins dans le gymnase Patrick et Marc étaient nus et se masturbaient, les deux gars avaient des sexes nettement au-dessus de la moyenne, bien plus imposants que celui de Max, celui de Marc était plus gros que celui de Patrick et était circoncis, celui de Patrick était plus long et devait atteindre les vingt centimètres. 
Quand ils me virent Marc me demanda "Qu'en penses-tu ? 
- Vous avez tous les deux de très belles bites, j'ai hâte de m'en servir. 
- AH AH AH ! ! 
- Comment voulez-vous qu'on fasse ? 
- Que veux-tu dire ? 
- Vous ne pouvez pas me baiser tous les deux en même temps et ça m'étonnerait que l'un d'entre vous attende que l'autre ait fini. 
- ça tu as raison. 
- Donc je pense que pendant que l'un de vous me baisera je sucerai l'autre. 
- Génial. 
- La seule chose que je demande c'est que celui qui m'aura baisé aille se laver la queue avant de me la donner à sucer.(1)
- Bien sûr. 
- Bon je vais me mettre à quatre pattes comme ça je pourrais donner mon cul à l'un et ma bouche à l'autre. 
- Oui dépêche toi de te mettre en position, on a très envie".
Je montai sur les coussins et me mis à quatre pattes, cambré et cuisses écartées, me voyant prendre cette pose Patrick dit à son copain "Regarde ça mon pote comment elle se met, regarde comment elle nous offre son cul. 
- Oui je vois, lequel prend son cul en premier ? 
- Je ne sais pas, comme tu veux. 
- Vous vous décidez, je suis déjà en feu. 
- Vas-y le premier Patrick, moi je vais me faire sucer. 
- D'accord". 
Patrick s'agenouilla derrière moi, il promena son phallus érigé dans la raie de mes fesses, ce qui me fit frémir puis positionnant son gland turgescent contre mon anus il me pénétra jusqu'à la garde d'un violent coup de reins. 
Bien que je sois encore ouvert après l'étreinte avec Max je poussai un petit cri de douleur, Patrick me demanda "Je t'ai fait mal ?" 
- Ce n'est rien mais on ne peut pas dire que tu y aies mis beaucoup de douceur. 
- Excuse-moi. 
- Ce n'est pas grave, maintenant lime, fais-moi du bien".
Posant ses mains sur mes hanches mon amant commença à aller et venir en moi, je fermai les yeux me laissant emporter dans le tourbillon du plaisir. 
Je fus rappelé à la réalité quand je sentis quelque chose de dur et doux contre mes lèvres, j'ouvris les yeux et vis la verge de Marc, j'ouvris tout grand la bouche et l'homme enfonça son membre raide entre mes lèvres, enroulant ma langue autour de la colonne de chair chaude et en la mordillant je commençais une lente fellation sur la pine violacée. 
C'était la première fois que je vivais une telle expérience, jamais je n'avais eu une queue dans mon cul et une autre dans ma bouche. 
Sentir ces deux membres bouger en moi m'excitait au plus haut point et tout à mon plaisir je me mis à rouler des hanches en cadence tout en tendant mon postérieur vers le pénis qui me possédait et en comprimant et relâchant mon sphincter. 
J'avais pris Marc par les cuisses et suçais avec avidité son Priape gorgé de sang. 
Patrick me besognait de toute la longueur de sa hampe érigée, son ventre plat claquait contre mon fessier bouillant tandis que Marc ayant posé ses mains sur ma tête rythmait la cadence à laquelle il voulait que je le pompe. 
Dans le brouillard où je me trouvais j'entendis la voix de Marc qui disait "Qu'est-ce qu'elle suce bien, sa bouche est un vrai trésor, jamais une gonzesse ne m'a pipé comme elle, elle me lèche, me mordille, c'est divin, quelle salope !" (2)
- Et tu verras son cul est tout simplement génial, c'est aussi bien qu'une chatte sans compter qu'elle sait baiser, regarde comment elle remue du cul et comment elle tend bien ses fesses pour que je l'enfile et en plus j'ai l'impression qu'elle me trait la pine. Ah on a eu raison de venir. 
- ça tu peux le dire et en plus on voit qu'elle aussi prend son pied, regarde comme elle met de l'amour à me sucer le dard. 
- Tu as raison, on est tombé sur une sacrée salope. 
- Une vraie pute tu veux dire. 
- Oh oui et je ne suis pas loin de lâcher la purée. 
- Moi non plus". 
Tout en arrêtant les mouvements de mon anus je me mis à sucer la verge de Marc plus vigoureusement, au bout de quelques instants de ce traitement, le sexe commença à tressauter, il me sembla que le gland doublait de volume et le mec plaquant mon visage contre son pubis explosa en râlant. 
Je reçus un flot de sperme crémeux au fond de la gorge que j'avalai avec délice tout en cajolant de la langue la hampe qui continuait à couler dans ma bouche. 
Quand Marc se retira il dit à Patrick qui me sodomisait toujours aussi lentement "Ah la salope, quelle pipe elle m'a faite, j'ai cru que ma bite allait exploser tellement c'était bon". 
Libéré de la présence de Marc je rejetais la tête en arrière et les yeux clos je me laissais aller à une véritable extase. J'avais lâché prise.

SHOOTE PAR MES POTES . 

 
Les coups de boutoir répétés de Patrick me faisaient monter au septième ciel, je me cambrai au maximum pour m'offrir totalement au mâle qui me prenait tout en venant à sa rencontre pour accentuer la pénétration.
J'avais le cul complètement éclaté, chaque fois que le phallus roide s'enfonçait au fond de mon être en feu je montais un peu plus dans l'univers du plaisir. 
Mon mec me pilonnait maintenant l'arrière train avec vigueur, le pénis érigé sortait presque entièrement de mon canal pour replonger entièrement la seconde suivante.  Je ne sais pas si vous faites ça, vous, cher lecteur, mais c'est plus que génial. 
Sous les rudes assauts répétés que je subissais je poussais de lourds râles de félicité. 
Je sombrai peu à peu dans le plaisir psychedélique  ne vivant plus que par le membre qui me forait les reins m'ouvrant un peu plus l'anus à chaque poussée. 
Tout à mon bonheur j'entendis Marc dire à Patrick "Tu as l'air de bien t'amuser. 
- Oh oui tu verras tout à l'heure, ce cul est fantastique et cette salope est nettement mieux que les petites putes qu'on baise d'habitude, c'est la reine de baiseuses, regarde-la remuer son cul et gueuler et si tu savais comment elle me masse la bite, c'est dingue, c'est une vraie morue".(2) 
Les coups de reins que mon mec m'assénait me firent perdre toute retenue, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon rectum enflammé. 
Tout en moi n'était que volupté, seule comptait pour moi la superbe queue qui me ramonait le prose, je reposai maintenant sur les avants bras, le derrière en l'air totalement offert. 
Je ne savais plus depuis combien de temps Patrick me sodomisait mais c'était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment et perdant toute retenue je me mis à délirer.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon tunnel Patrick éjacula en feulant, son flot de semence crémeuse fusant contre mes parois surchauffées me provoquèrent un spasme foudroyant, je tendis mon cul vers celui qui me montait pour accentuer la pénétration et un hurlement strident jaillit de ma gorge puis je m'écroulai à plat ventre sur les coussins entraînant mon amant dans ma chute. 
Je sentis Patrick se retirer lentement et je restai allongé yeux clos et cuisses ouvertes me délectant du merveilleux moment qui venait de se passer. 
Dans la brume où je flottais j'entendis la voix de Patrick qui disait "Bon je vais aller me laver la bite avant de lui donner à sucer, vas-y Marc n'attends pas baise-la. 
- Oh non je ne vais pas attendre car à force de te regarder la mettre je croyais devenir fou, j'ai mal à la bite tellement je bande. 
- Alors vas-y, mets-lui au fond du cul, n'importe comment elle n'attend que ça". 
Marc me retourna sur le dos, il prit mes jambes dans une de ses mains et les releva puis il s'allongea sur moi, de son autre main il guida son phallus gonflé de sève à l'entrée de mon anneau puis, d'un violent coup de reins, m'enfessa jusqu'à la garde.
Le sexe de mon amant plus gros que celui de Patrick entra en moi comme dans du beurre, je me sentais rempli comme jamais je ne l'avais été, j'ouvris les yeux, souris à Marc et lui dis "vas-y fais-moi du bien. 
- T'inquiète pas ma salope tu vas en avoir du bien". 
Posant mes chevilles sur ses épaules et prenant appui sur ses avant-bras Marc commença à aller et venir lentement en moi. 
Je fermai les yeux et me laissai de nouveau emporter vers le plaisir. 
Au bout de quelques instants j'entendis Patrick dire "Ca y est j'ai le zob tout propre. Alors que penses-tu de notre petite femelle ? 
- Son cul est super chaud et accueillant, je sens que je vais longtemps baiser cette salope et qu'elle va me donner un fade du tonnerre. 
- Et tu vas voir le pied aussi qu'elle va prendre". 
Patrick s'allongea en travers de mon corps, son sexe se positionna contre mon visage, j'ouvris mes lèvres et l'embouchai goulûment. 
Le désir un instant retombé après la jouissance que j'avais ressentie avec Patrick reprit entièrement possession de mon corps et je me mis à pomper Patrick vigoureusement tout en le caressant de ma langue et en le mordillant. 
Au bout de quelques instants de ce traitement je sentis le pénis tressauter sur ma langue et le jeune mec jouit en râlant, son flot de liqueur gicla contre ma gorge et je l'avalai avec délice. 
Patrick se retira et je pus donner libre cours au bonheur que je ressentais à sentir le gros membre de Marc coulisser entre mes fesses. 
Sous les coups de boutoir répétés que mon mec m'assénait je me sentis perdre complètement pied, j'avais la pastille complètement dilatée et je sentais une boule de feu prendre naissance dans mon bas ventre et venir exploser en mille lumières vers ma figure. L'extase était de retour.
Tout à ma félicité je me mis à onduler au rythme des assauts de mon amant tout en tendant ma croupe vers lui. 
Marc dit "tu avais raison Patrick, cette salope baise comme une déesse, regarde comme elle se tortille sous moi. 
- Je te l'avais dit, cette poulette est un vrai trésor, c'est la reine des baiseuses". 
J'étais tellement excité que le moindre contact me faisait frémir, Marc avait lové sa tête dans le creux de mon épaule et me besognait en de larges coups de reins qui peu à peu m’amenaient au septième ciel. 
Le gros membre de mon amant frottant contre mes parois embrasées me procurait de délicieuses sensations qui peu à peu me faisaient perdre le sens des réalités. 
J'avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les assauts répétés que je subissais. 
J'avais le cul complètement éclaté et de ma gorge ne sortait plus qu'un sourd et profond râle continu. 
J'avais noué mes jambes dans le dos de mon amant et la tête rejetée en arrière je m'abandonnais totalement à la volupté qui s'emparait de moi. 
Je ne savais plus depuis combien de temps mon mec me possédait, chaque fois que la bite raide m'enfessait jusqu'à la garde je poussai des couinements de bonheur. 
Le plaisir que je ressentais était tel que je me tordais comme un damné sous mon homme tout en griffant les coussins. 
Marc me pilonnait maintenant l'arrière train à une vitesse folle, je me disais que s’il continuait comme ça il allait me déchirer mais c'était si bon que ne voulais pas qu'il arrête. 
Je ne vivais plus que pour et par le fabuleux Priape qui me ramonait le prose et perdant toute retenue je me mis à hurler toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais. 
C'est à cet instant que plantant sa pine au plus profond de mon rectum Marc jouit en râlant, ses abondants jets de sperme crémeux me provoquèrent un orgasme foudroyant, mon corps s'arqua sous mon amant, je tendis ma croupe vers la hampe que je sentais se vider en moi, mes jambes battirent l'air, je plantai mes ongles dans la chair de ses épaules, un hurlement de jouissance pulsa de ma gorge et je retombais lourdement sur le théâtre de nos ébats flottant dans l'univers cotonneux du plaisir. 
Marc se leva et je restai allongé, les yeux clos, cuisses écartées savourant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée. 
Un corps se coucha sur moi et un pénis raide me pénétra et se mit à aller et venir en moi, j'ouvris les yeux et je vis que c'était Patrick, je lui souris et il me dit "J'ai encore envie de t'en mettre un coup. 
- Ne te gêne pas, je suis là pour ça. 
- Merci ma petite salope". 
Aussitôt le désir un instant retombé reprit possession de moi, je nouai mes jambes dans le dos de mon amant et fermant les yeux je me laissais emporter dans un tourbillon de félicité. 
Au bout de quelques instants, alors que, sous les coups de reins de mon homme, je sombrai dans le bien être, j'entendis la voix Marc dire "Tu as remis ça.
- Oui, vas-y maintenant que tu as la bite propre, donne lui à sucer, je suis sûr qu'elle ne demande pas mieux. 
- Non je crois que j'en ai assez pour aujourd'hui. 
- Eh bien moi je vais encore la défoncer une fois. 
- Vas-y ne te gêne pas, en plus elle a l'air consentante. 
- Oh oui elle m'a même dit qu'elle était là pour ça, vraiment elle est super notre petite femelle. 
- Ça tu peux le dire, je ne me souviens pas d'avoir si bien baisé avec les gonzesses qu'on baise d'habitude. 
- Moi non plus, son cul est génial il est aussi bien qu'une chatte et quand on voit la façon dont elle baise, crois-moi notre salope est vraiment la reine des baiseuses. 
- C'est vrai". 
Pendant cette conversation Patrick avait continué à me sodomiser lentement mais néanmoins en de viriles poussées qui m'avaient amenées au bord du gouffre du plaisir. 
Patrick avait pris appui sur les avants bras et me pilonnait l'arrière train de toute la longueur de son membre turgescent, dans la pièce en dehors de mes longs râles de bonheur on entendait le bruit de succion que faisait mon anus chaque fois qu'il enfournait le pénis distendu jusqu'à la garde.
Le ventre musclé de mon mec claquait contre mes fesses bouillantes à me faire mal. 
Chaque fois que mon homme plantait son Priape au fond de ma grotte en feu il poussait un "HAN" de bûcheron. 
Jamais je n'avais ressenti autant de plaisir, le fait d'être baisé sans arrêt me faisait planer continuellement dans un univers brumeux où seule comptait ma jouissance. 
Un énorme brasier couvait en moi et je savais que seule cette magnifique queue pouvait l'éteindre et je me mis à onduler tout en venant à la rencontre de la verge qui me forait les reins. 
J'avais atteint le point de non-retour et tout à ma joie, je commençais à délirer.
Soudain Patrick, s'enfonçant au plus profond de mon puits d'amour, éjacula en feulant, son flot de liqueur séminale m'inonda le fondement, un spasme fulgurant me traversa, je tendis mon postérieur vers la bite qui se vidait en moi, je poussai un hurlement aigu et je retombai lourdement sur les coussins savourant le merveilleux moment qui venait de se passer. 
Je sentis le corps de Patrick se lever  et j'entendis la voix de Marc qui dit "A force de te regarder la baiser et de la voir prendre son pied, je me suis remis à bander, je crois que je vais encore monter cette poulette.
- Mais bien sur mets lui en un coup, je suis sur que cette pute en veut encore. 
- Je ne vais pas me gêner, mais j'ai envie de la prendre en levrette. 
- Tu veux que je t'aide à la mettre à quatre pattes. 
- Non je vais le faire seul. Merci". 
Marc me mit sur le ventre, il replia mes cuisses sous mon corps de telle sorte à ce que je me retrouve le cul en l'air. Ma queue coula alors sa mouille en un long fil transparent sur les coussins.
De moi-même j'écartai les cuisses et cambrai mes reins, Patrick dit "Regarde Marc tu vois comment notre salope tend son cul, tu vois qu'elle a encore envie de prendre de la bite dans son cul. 
- Tu as raison, pourtant regarde comment son trou est ouvert.  

 
- C'est vrai mais ça n'est pas le problème, elle ce qu'elle aime c'est de se faire limer. 
- Et puis comme elle veut bien et que je bande je ne vais pas me faire prier. 
- Tu as raison, vas-y baise-la". 
Marc promena sa bite érigée dans le sillon de mes fesses puis après m'avoir pointé il me pénétra jusqu'à la garde d'un violent coup de reins qui me fit gémir. 
Quand, au bout de quelques minutes, Marc explosa, je pris un plaisir intense. 
Quand je revins à la réalité, mes deux amants étaient allongés près de moi, leurs sexes flaccides et maculés de sécrétion anales et séminales reposaient sur leurs cuisses, je leur souris et leur dis "Quelle baise, je n'avais jamais joui comme ça, vous m'avez baisé comme des dieux. 
- Tu sais si on t'a si bien baisé c'est tout simplement parce que tu es la reine des baiseuses, tu sais toutes les gonzesses qu'on a baisé Patrick et moi ne nous ont jamais donné ce que tu nous as donné. 
- Ah bon. 
- Je te signale qu'on t'a enculé trois fois chacun plus les quelques pipes que tu nous as faites, jamais une gonzesse n'accepte de se faire planter six fois et en plus de sucer.
- En tous cas moi j'ai aimé, d'accord j'ai le cul en chou-fleur, mais qu'est ce que ça a été bon. 
- Pour nous aussi tu sais. 
- Alors tout est bien. 
- Bon si tu veux on peut aller prendre un verre ensemble.

L'AMITIE MAINTENANT 

- D'accord mais avant, au lavage, car moi je suis tout poisseux de jute. 
- Nous aussi et on a les bites pleines de merde.
- Alors allons-y". 
Nous nous lavâmes puis après nous être rhabillés, nous partîmes boire un verre. 
Au café je dis à Marc et Patrick que j'aimerais bien recommencer cette petite séance avec eux, on se mit d'accord pour que chaque semaine ils viennent après le départ de Max. 
Pendant les deux semaines qui suivirent je me partageai entre Max, Marc et Patrick, ce que je vivais était génial mais déjà dans mon esprit une envie de nouveau germait. 
Les trois hommes ne me suffisaient plus je devenais de plus en plus pute et j'avais envie de me faire baiser par toute une bande de mecs.

Je me dis qu'il faudrait qu'un jour j'en parle à mes nouveaux amants.

à suivre...

 

(1) rempli du foutre de Max...non ? se laver ?  quoique...hein?  qu'en pensent certains lecteurs ? 

(2) salope, pute, morue deviennent, dans leus bouches, de véritables compliments 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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Dimanche 20 janvier 7 20 /01 /Jan 14:51

marre de baiser là à la sauvette....


Bien harponné par son prof-baiseur, notre ami va revenir aux réalités  

Pendant les quatre semaines qui suivirent j'attendais avec impatience le jour de gym. 
Bien que chacune de nos étreintes soient pour moi une extase complète je commençais à trouver ces intermèdes trop courts, il m'en fallait plus. 
Ce jour là alors que Max sortait de sous la douche après une séance qui m'avait laissé comblé, j'étais encore allongé, cuisses écartées, sur le coussin, je dis à mon amant "Max il faut qu'on parle. 
- Qu'y a t il mon amour ? 
- Je veux plus. 
- Que veux-tu dire ? 
- Je ne peux plus me contenter d'une baise comme ça une fois par semaine. 
- Mais... 
- Ne t'affole pas, je ne te demande pas de quitter ta femme, seulement je voudrais qu'on passe plus de temps ensemble, j'en ai un peu marre de baiser ici sur ses coussins, j’aimerais tellement baiser dans un bon lit et il n'y a pas que ça, même si c'est super on tire un coup, tu te laves et tu t'en vas, moi ce que je veux c'est baiser plus de temps avec toi, je ne veux pas simplement te faire une pipe et me prendre un coup dans le cul puis au revoir, ce que je veux c'est passer une nuit d'amour avec toi ou tout au moins une journée ou même une après midi entière avec toi. Tu vois je ne suis pas aussi exigeant que ça. 
- Je comprends mais tu sais que ce n'est pas simple. 
- Ne me dis pas que tu n'as pas un après-midi de libre. 
- Je n'ai pas d'après-midi de libre et même si j'en avais un toi tu as tes cours. 
- Tu as raison sauf que le mercredi je n'ai pas classe et que toi tu ne donnes pas de cours, je sais que ta femme travaille dans une entreprise donc elle est au boulot le mercredi et en plus tu m'as dit que ce jour là elle a aussi ses réunions d'association qui font qu'elle rentre que vers 20 h. 
- Oui mais... 
- Ah j'ai compris tu ne veux pas amener ta salope de pédé chez toi. 
- C'est vrai même si je n'aime pas le terme que tu viens d'employer. 
- Excuse-moi. 
- Ce n'est pas grave. 
- D'ailleurs je ne te demanderai jamais de venir chez toi, je ne me vois pas baiser avec toi dans le lit conjugal, ce que je voulais dire, c'est qu'il y a toujours des moyens. 
- Lesquels. 
- N'aie crainte, je ne te demande pas de louer quelque chose pour qu'on puisse baiser ni même qu'on aille à l'hôtel. 
- Ca je ne le pourrais pas. 
- Je m'en doute, mais moi je pense avoir un moyen. 
- C'est vrai ? 
- Oui au moins pendant quelques mois, il y a un ami de mes parents qui a un appartement en ville, il est absent pour le moment, il est à l'étranger jusqu'à cet été, ça nous laisse au moins 7 mois jusqu' à la fin de l'année scolaire.
- C'est vrai que c'est une possibilité. 
- Maintenant il faut savoir si toi tu es disponible sachant que je veux aussi qu'on continue à baiser après chaque cours de gym comme aujourd'hui. 
- Je vais voir. 
- Non il faut que tu me dises oui ou non, tu comprends moi je me consume à attendre le jour où tu daignes m'enfiler, je n'en peux plus, il me faut plus que ça. 
- Ca va j'ai compris, c'est d'accord chaque mercredi à partir de 14h30 on se retrouvera jusqu'à 19h. Tu es contente ?
- Bien sur que je suis content mais je ne veux pas que ce soit contraint que tu fasses ça. 
- Mais pas du tout, moi aussi je préfère avoir plus longtemps ton petit cul que maintenant. 
- Bien alors nous sommes d'accord, allez rentre chez toi. 
- Au revoir ma petite chatte. 
- Au revoir mon mâle". 
Max partit et moi plein de satisfaction je pris la direction des douches. 
Les cinq jours suivants me parurent très longs et enfin le mercredi arriva, toute la matinée je fus incapable de me concentrer sur mes cours, je ne pensai qu'à l'après-midi. 
Enfin arriva midi et je quittai le lycée en courant et moins d'un quart d'heure j'arrivai dans l'appartement, je me déshabillai et pris une longue douche, puis après avoir mangé un sandwich j'attendis la venue de Max. 
Quand la sonnette tinta je sursautais, j'allais voir à l'œilleton, Max était devant la porte, j'ouvris, mon amant était à peine entré dans le hall que je me collai à lui tout en cherchant ses lèvres. 
Me prenant dans ses bras musclés il posa sa bouche sur la mienne, nos dents s'entrechoquèrent, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné. 
Quand mon homme s'écarta de moi j'avais le rouge aux joues, il me dit "C'est vrai que ta bouche est bonne, mais montre-moi comme elle est douce quand elle me suce la queue". 
Je fus surpris du ton employé par mon mec et je lui répondis "Tu ne m'as jamais parlé comme ça. 
- Non mais nous n'avons jamais eu le temps, au gymnase on a juste le temps de baiser. 
- Oui mais là bas tu es doux. 
- Pourquoi tu n'aimes pas que je te parle comme ça ? 
- Non je suis surpris c'est tout. 
- Eh bien tu vas voir attends-toi à être surprise ma petite salope, alors cette pipe ça vient ? 
- Bien sur mon amour". 
Je m'approchai de Max et voulus lui enlever sa chemisette, il arrêta mon geste et me dit "Je t'ai demandé de me sucer pas autre chose, je sais que j'ai une longue bite mais je t'assure qu'il te suffit d'ouvrir ma braguette". 
Amusé par la tournure que prenait les événements je m'agenouillais devant mon amant et ouvrait sa fermeture éclair, ce jour là mon homme n'avait pas mis de slip et son sexe à demi flaccide sortit du pantalon. 
Contrairement à d'habitude le membre n'était pas net, il y avait des traces de sperme séché et une odeur significative, j'eus un mouvement de recul dont mon mec s'aperçut, il me dit "Tu vois comme j'ai deux femmes, je veux qu'elles partagent tout, j'ai baisé ma femme à midi et je ne me suis pas lavé, comme ça tu vas connaître l'odeur et le goût de sa moule.
- Mais tu ne t'es pas demandé si ça me plaisait. 
- Ecoute, je pense que puisque vous aimez toutes les deux ma queue, autant que vous vous connaissiez par odeur interposée. 
- Ce qui veut dire qu'après m'avoir enculé, tu vas lui donner ta bite à sucer. 
- Non pas du tout, tu ne t'es jamais demandé pourquoi je te baise. 
- Euh... 
- Tout simplement parce que Nadine ne suce pas, elle trouve ça déshonorant et elle ne veut pas non plus se faire sodomiser car elle trouve ça écœurant.
- Eh bien. 
- Comme toi tu ne me suffirais pas car tu n'as pas de chatte à vous deux je suis paré, j'ai ton cul et ta bouche et sa chatte, c'est parfait. L'idéal serait de vous réunir toutes les deux dans le même lit mais enfin. Maintenant pour répondre à ta question je peux très bien ne pas me laver la bite après que je t'ai enculé ou bien que tu m'ais fait une pipe et la baiser le soir même.
- Mais... 
- Dis-moi ôte moi d'un doute tu ne pensais quand même pas que je t'aimais. 
-... 
- Non c'est seulement sexuel c'est tout, si Nadine suçait et me donnait son trou du cul jamais je ne t'aurais regardé.
- Au moins cette explication a le mérite de mettre les choses au clair. 
- Oui alors tu me suces oui ou non". 
Surmontant ma répulsion et aussi parce que j'avais très envie de sucer cette pine, je me mis à caresser la hampe. 
Aussitôt le phallus commença à grossir et se redressa, tout en caressant les bourses duveteuses gorgées de sève je portai un coup de langue sur le gland tuméfié. 
Une odeur acide m'agressa et levant les yeux vers mon amant je lui dis "Elle pue de la chatte ta gonzesse. 
- Mais non c'est l'odeur normale des moules. 
- Eh bien ce n’est pas terrible. 
- Parce que tu crois que ma bite sent bon une fois qu'elle est entrée dans ton cul. 
- Non... 
- Et crois-moi je mets ma langue dans une moule ouverte mais je ne la mettrais pas dans ton trou du cul ouvert. Et maintenant fais ton boulot, suce". 
Malgré le sourire affiché le ton de Max était péremptoire et pour appuyer sa demande il me frappa le visage avec son membre dur.
Prenant le phallus à la base j'ouvris tout grand la bouche et engloutis l'objet de ma dévotion. 
Je commençai à monter et descendre lentement dessus tout en enroulant ma langue autour de la hampe turgescente et en la mordillant.
Au bout de quelques instants de ce traitement l'odeur de femelle disparut, mon homme s'était cambré pour offrir totalement son pénis à ma voracité et il me dit tout en posant sa main sur ma tête "Ah là je te retrouve, tu fais bien ce que tu dois faire c'est à dire me pomper le dard. Vas-y ma salope pompe avale ma grosse bite, tète mon sucre d'orge, oui ma pute c'est bon continue, suce putain". 
Excité par ses paroles je me mis à pomper plus vigoureusement le Priape distendu, mon mec poussait de petits grognements chaque fois que j'embouchai totalement le sexe gonflé. 
Au bout de quelques minutes, Max bloqua ma tête et se mit à aller et venir entre mes lèvres me baisant la bouche, voir le phallus entrer et sortir de ma bouche augmenta mon désir et je le caressai de ma langue tout en aspirant le gland. 
Ce traitement ne fut pas long à faire des effets, je sentis la pine tressauter puis il me sembla que le bout durci doublait de volume. 
A cet instant mon homme plaqua mon visage contre son pubis et éjacula en râlant, un flot de sperme crémeux gicla contre ma gorge et je l'avalai avec délice tout en cajolant de la langue le membre qui continuait à couler dans ma bouche. 
Quand mon amant me libéra je m'écartai de lui et levant la tête je lui souris, il me dit "Ah ça va mieux je me sens plus léger, tu es vraiment la reine des pipeuses, je ne crois pas qu'un jour quelqu'un m'a sucé comme toi, tu as vraiment une vraie bouche à pipe. Rien que de penser à comment tu suces ça me fait bander, tu vas voir ce que tu vas prendre dans le cul tout de suite, je me sens comme un taureau en rut. 
- Je suis content que ça te plaise que je te suce. 
- Oui ça me plaît ma salope et maintenant en plus tu as partagé ma bite avec Nadine, tu as sa mouille dans la bouche. 
- Je ne peux pas dire que c'est ce qui me plaît le plus. 
- Peut-être mais il va falloir t'y faire si tu veux continuer à profiter de ma grosse queue. 
- je ferais avec. 
- Bien, allez grimpe sur le lit et mets toi à quatre pattes que je m'occupe de ton petit cul tout chaud. 
- Avec joie. 
- Tu vas voir, je suis dans un tel état que je vais t'éclater la rondelle. 
- C'est tout ce que je veux. 
- Allez en position". 
Je montai sur le lit, me mis à quatre pattes tout en me cambrant et en écartant les cuisses. 
Max s'approcha de moi, il me pelota les fesses et dit "Bien ma petite pute, tu es une vraie femelle, on voit que tu aimes la bite, tu tends ton cul comme une véritable salope que tu es, ah je vais bien t'enfiler tu vas voir". 
Sans prévenir mon amant m'enfonça son majeur dans l'anus, cette violente intromission me fit pousser un petit cri de douleur qui fit rigoler mon homme, il me dit "Qu'est ce que ça veut dire, tu gueules pour un simple doigt, comment vas-tu faire quand ça va être ma bite ? 
- Tu sais très bien que je peux prendre ta bite dans mon cul mais tu ne m'as jamais habitué à faire comme ça.
- C'est à dire ? 
- Chaque fois qu'on a couché ensemble, tu as toujours pris des précautions pour m'ouvrir avant. 
- C'est vrai mais aujourd'hui je n'ai pas envie de faire comme ça, aujourd'hui je veux t'enculer sans prendre aucune précaution, je veux te baiser 'hard'.
- Mais je vais avoir mal. 
- Je m'en fous, ce qui compte c'est que moi je prenne du plaisir à te bourrer et même si tu as mal au début ensuite je sais que tu vas jouir salope". 
Pendant notre discussion mon mec n'avait pas arrêté de faire coulisser son doigt en moi et cet attouchement commençait à m'exciter. 
Max s'en aperçut et dit "Tu es vraiment une pute, rien qu'à voir la manière dont tu tournes ton fion sur mon doigt je me dis qu'une salope comme toi est unique". 
Mon amant s'installa à genoux derrière moi et dit "Tu sais ma salope que tu as un cul de rêve, quelle paire de miches, elles sont bien fermes juste comme j'aime et quand je regarde ce petit trou palpiter ça me donne une gaule pas possible et je pense au moment où je vais le défoncer". 
Mon mec empauma mes fesses et les sépara, je l'entendis se racler la gorge et il cracha, son mollard s'aplatit contre mon œillet, mon homme pressa mes lobes charnus l'un contre l'autre puis me dit "Voilà maintenant tu as le trou du cul graissé, je vais pouvoir te mettre". 
Max fouetta mon postérieur de son sexe dur puis il le glissa dans ma raie, c'était la première fois qu'il ne faisait aucun prémices et j'avoue que vu la taille de son phallus une crainte m'envahit. 
Mon amant positionna son gland turgescent contre l'entrée de ma grotte, j'eus un mouvement de panique et tentait de me soustraire, mon homme posant ses mains sur mes hanches me dit "Ce n'est pas la peine d'essayer de m'échapper, je veux ton cul et je vais le prendre". 
Immobilisé sous sa poigne de fer je ne pouvais que tortiller du cul, ce qui avait pour effet de faire monter le désir en moi sentant le pénis caresser mon antre. 
Mon mec assurant sa prise commença à peser sur ma corolle, quand la tête du membre écarta mes chairs, une douleur effroyable me vrilla le corps. 
Un hurlement strident s'échappa de ma gorge, j'avais l'impression qu'on m'ouvrait en deux et qu'on m'enfonçait un fer porté au rouge dans les entrailles. 
Sans se soucier le moins du monde de moi Max continua à me pénétrer et quand je sentis les poils follets de son pubis contre mes miches je sus qu'il était entièrement en moi. 
J'avais tellement mal au cul que je pleurais à chaudes larmes, alors me mettant une claque retentissante sur la croupe mon amant me dit "Si tu crois que tu vas m'attendrir parce que tu chiales comme une madeleine tu te trompes, tu voulais ma bite dans ton cul eh bien elle est dans ton cul c'est tout, je sais que tu as mal mais tu vas voir tout à l'heure tu vas roucouler de bonheur une fois que je t'aurais bien astiqué. D'ailleurs il va falloir que tu comprennes quelque chose, depuis quelque temps tu veux m'imposer ta loi et ça ne me plaît pas, alors le maître c'est moi tu comprends ça, toi tu es ma pute je te baise je te donne ma bite à sucer et tu le fais mais toi tu ne m'imposes rien. Aujourd'hui j'ai fait ce que tu as voulu je suis venu passer une après-midi avec toi mais il faut que tu te mettes dans la tête que je vais la passer comme moi je le veux et ce que je veux c'est t'enfiler comme ça pour que tu saches que c'est moi qui commande salope et pas toi. Bon maintenant arrête de chialer et prends ton pied, bouge bien ton cul comme tu sais le faire pour que moi aussi je prenne mon pied, allez putain maintenant on baise". 
Me prenant à la taille mon homme commença à aller et venir lentement en moi me faisant hurler de souffrance à chaque mouvement. 
Peu à peu mon anus s'assouplit et le Priape pu coulisser plus librement effaçant le mal pour faire place à une douce langueur. 
Au bout de quelques instant mon anneau céda complètement et la fabuleuse hampe érigée pu aller et venir en moi sans gène aucune m'arrachant au passage de petits cris de bonheur. 
Au bout de quelques minutes de ce traitement je râlai de plaisir chaque fois que le sexe s'enfonçait jusqu'à la garde et je me mis à rouler des hanches en cadence, mon mec me dit "Alors ma pute tu vois que tu aimes ça, ce n'était pas la peine de chialer, regarde toi comment tu roules du cul chaque fois que je te bourre, ton cul aime ma grosse bite, hein ma salope ça te plaît de te faire casser le cul. Tiens prends ça ma pute, prends ma grosse queue au fond de ton trou à merde". 
Ayant posé ses mains sur mon dos Max me besognait de toute la longueur de son fantastique membre, chaque fois que le pénis érigé se plantait au tréfonds de mes entrailles je poussai un râle de bonheur. 
Je ne sais pendant combien de temps mon amant me posséda de la sorte, ses mouvements lents mais non moins virils qui m'éclataient un peu plus la pastille à chaque poussée me faisait monter de plus en plus dans le désir. 
J'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon rectum en feu, mes fesses étaient bouillantes et un plaisir intense prenait petit à petit possession de mon être enfiévré. 
Sous les coups de boutoir redoublés que mon homme m'assénait je me sentais sombrer un peu plus chaque fois dans le bien-être, j'avais l'anus complètement éclaté et je bramais sans arrêt. 
Posant ses mains sur mes épaules Max se mit à me baiser avec violence, son ventre musclé claquait contre mes miches brûlantes à me faire mal. 
Chaque fois que mon mec plantait sa pine tuméfiée au fond de mon cul en fusion je poussai des cris de volupté tendant ma croupe au maximum pour m'offrir encore plus. 
Mon amant me besognait avec des 'HANS' de bûcherons, j'avais atteint la plénitude rectale, pour moi seul comptait le Priape raide qui me forait les reins. 
J'avais l'anneau entièrement dilaté et dans la pièce en dehors de mes gémissements on entendait le bruit de succion que faisait mon trou de balle chaque fois qu'il avalait le Priape gorgé de sang. 
Je ne savais plus depuis combien de temps Max me possédait mais c'était si bon que je ne voulais pas qu'il arrête, je ne vivais plus que pour et par le membre qui me défonçait m'ouvrant un peu plus la pastille à chaque assaut. 
Max me pilonnait l'arrière-train en de violent coups de reins m'amenant au septième ciel, j'étais tellement excité que je tremblait au moindre contact avec ma peau. 
J'avais fermé les yeux et rejeté la tête en arrière savourant l'extraordinaire fade qui montait en moi, des boules de feu naissaient dans mon bas ventre pour venir exploser en mille couleurs sur mon visage. 
Je n'étais plus que jouissance, de ma gorge ne sortait plus qu'un "Aaaaaahhh" continu et je m'abandonnai totalement à celui qui m'enculait si bien. 
A chaque fois que la hampe turgescente se fichait entre mes fesses je tendais mon cul pour accentuer la pénétration, tout mon corps reposait maintenant sur les avants bras afin d'avoir le fion tendu le plus possible. 
Max me baisait avec ardeur tout en me giflant les fesses et en me disant "Alors salope, tu vois que tu prends ton pied, sens ma queue comme elle t'encule, ah tu aimes ça te faire défoncer morue, tiens prends ma grosses queue dans ton cul, je vais complètement te le démolir ton fouinedé tu vas voir, je vais t'aléser comme jamais tu ne l'as été pute". 
Les assauts de mon amant étaient tellement violents qu'à chaque poussée j'avançai sur le lit, s’il continuait comme ça il allait me déchirer mais c'était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment. 
J'avais perdu le sens des réalités, cette bite qui m'enfilait me rendait fou et je mordais les draps pour ne pas hurler comme un dément tant le plaisir que je ressentais était grand. 
Nos corps étaient couverts de sueur et Max semblait infatigable, il me baisait toujours avec la même fougue, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à clamer toutes les phases du plaisir par lesquelles je passai. 
Soudain un spasme vertigineux m'emporta, je hurlai à plein poumons, je tendis ma croupe vers celui qui m'enfilait puis je perdis connaissance. 
Quand je revins à moi, j'étais allongé à plein sur le lit cuisses écartées et Max me sodomisait toujours, ses mouvements étaient lents comme pour ne pas jouir. 
Voyant que j'étais de nouveau éveillé mon amant me dit "Bienvenue au pays des vivants, allez remets toi à quatre pattes ma petite salope et on recommence". 
Encore abasourdi par le plaisir que je venais de prendre j'obéis, sans que nos corps ne se disjoignent je pris la position demandé. 
Aussitôt mon homme recommença à me posséder avec une violence inouïe de toute la longueur de son fantastique sexe. 
Le désir un instant retombé après ce que je venais de vivre se mit aussitôt à renaître en moi et je recommençai à rouler des hanches en cadence, mon mec me dit "Ah salope, à peine revenu des vapes que déjà tu tournes ton cul sur ma bite, quelle putain tu es, une affamée de la bite, ah tu en veux et bien tu vas en avoir salope, roulure". 
Ces paroles m'aiguillonnèrent et la volupté s'empara de mon être embrasé. 
Les poussées que je recevais me faisaient avancer sur la couche, jamais Max ne m'avait baisé de la sorte, c'était bestial mais ce que je ressentais était immense, je jouissais de tous les pores de la peau.
Chaque fois que le pal s'enfonçait au plus profond de mes entrailles dévastées je sentais le plaisir monter d'un cran, j'avais le cul complètement éclaté et la pine roide de mon homme entrait dedans comme dans du beurre. 
Sous les rudes assauts répétés je tombai la tête sur la couche et le cul en l'air, mon mec me prit par les cuisses et continua à me posséder brutalité. 
Je me dis que s'il continuait de la sorte il allait me déchirer mais ce que je ressentais était tellement fort que je voulais que jamais il ne s'arrête et je commençai à pousser de lourds râles de félicité. 
Sans que nos corps ne se disjoignent mon homme me fit tourner sur son membre démesuré et me mit sur le dos, il prit mes jambes et les replia jusqu'à ce qu'elles touchent mon visage. 
Dans cette position j'avais l'anus complètement ressorti et Max se remit à me besogner de toute la longueur de sa bite turgescente. 
Chaque fois que son pubis tapait contre mes fesses enflammées je poussai de petits cris qui firent dire à mon mec "Ah salope tu aimes ça la baise, tiens prends donc ça dans ton cul pute, je vais te casser complètement le derche morue". 
Tout à mon plaisir j'avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos je savourai l'intense volupté qui montait en moi avec fureur et je me mis à venir à la rencontre du phallus qui me forait pour accentuer la pénétration.
Max me pilonnait l'arrière train avec une frénésie incommensurable, chaque fois que son pénis raide se plantait au plus profond de mon cul en ébullition je hurlais de bonheur. 
Je ne savais plus depuis combien de temps Max me baisait, jamais je n'avais ressenti un tel plaisir au cours d'une enculade, j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon rectum. 
J'étais tel un pantin désarticulé sous mon amant, j'avais saisi mes jambes de mes mains et les écartai le plus possible tout en me cambrant pour m'offrir au maximum à celui qui me montait. 
Mon homme me dit "Quelle putain tu es, regarde moi ça comment tu m'ouvres ton fion, vas-y écarte-toi bien que je démolisse ce trou du cul, ah salope, salope, cul à bite".
J'avais atteint la plénitude rectale, seul comptait pour moi cette fabuleuse pine qui m'ouvrait un peu plus la corolle chaque fois qu'elle se fichait au tréfonds de mes entrailles. 
J'avais perdu tout sens des réalités, je ne vivais plus que pour et par cette queue qui me ramonait le prose jusqu'à plus jouir. 
Dans la pièce, en dehors de mes halètements, on entendait le bruit de succion que faisait mon anneau chaque fois qu'il avalait le superbe priape. 
Je me tordais comme un damné sous les terribles coups de boutoir que je recevais, j'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passai. 
A cet instant s'enfonçant en moi jusqu'à la garde, Max explosa en feulant, un abondant flot de semence crémeux m'inonda le fondement me provoquant un spasme foudroyant.
Un orgasme dévastateur me balaya, mon corps s'arqua sous mon homme, je tendis ma croupe vers le sexe qui coulait en moi pour augmenter la pénétration, un hurlement strident pulsa de ma gorge et je retombai lourdement sur le théâtre de nos ébats sombrant dans l'univers cotonneux de la jouissance.
Je sentis mon mec se lever et je restai yeux clos, cuisses écartées savourant les dernières contractions de l'extase autour de ma corolle ravagée. 
Quand je rouvris les yeux, Max était assis en face de moi et me regardait, son pénis à demi flaccide reposait sur sa cuisses, il était maculé de sécrétions intimes, il me dit "Ca y est enfin parmi nous. 
- Oui. 
- Eh bien ma salope, on peut dire que tu aimes la bite, plus je te bourrais plus tu en voulais. 
- C'est comme ça, j'aime me faire baiser. 
- Je m'en suis rendu compte. 
- Tu sais que tu m'as bien fait jouir. 
- Oui et ce n'est pas fini. 
- Je l'espère mais tu sais que tu m'as fait mal. 
- Et alors ça ne t'a pas empêché de prendre ton pied. 
- Non c'est vrai mais tu ne m'avais jamais traité comme ça. 
- C'est vrai mais aujourd'hui j'ai envie de te traiter comme une grosse pute que tu es et comme je viens de te le dire ça ne t'a pas empêché de prendre un bon fade. Tu ne crois pas que je n'ai pas vu comment tu écartais tes cuisses et comment tu tendais ton fion vers ma bite. 
- Tu as raison mais je ne comprends pourquoi tu es méchant avec moi. 
- Parce que tu es ma pute c'est tout et que j'ai envie de te traiter comme une pute, maintenant si ça ne te plaît pas je peux partir. 
- Noon. 
- Quoi ? 
- Reste je ferais ce que tu voudras, tu as raison je suis une pute, une salope mais je t'en prie reste. 
- Voilà qui est mieux. 
- Fais-moi l'amour. 
- D'abord tu vas me laver la bite. 
- D'accord viens allons dans la salle de bains. 
- AH AH AH ! ! Comment ça la salle de bains, tu vas me laver la bite avec ce qui te sert de langue. 
- Mais... 
- Tu as bien dit que tu ferais tout ce que je voudrais ? 
- Oui mais... 
- Il n'y a pas de mais, je veux que tu me lave la bite avec la langue et tu vas le faire morue. 
- Oui je vais le faire. 
- Tu vois quand tu obéis c'est mieux". 
Je me rendais bien compte que mon mec m'humiliait et qu'en acceptant de faire ce qu'il voulait je m'avilissais, que je me comportais comme une véritable putain mais j'aimais tellement cette bite que j'aurais fait n'importe quoi. 
Maîtrisant mon écœurement je me levai du lit et vins m'agenouiller devant Max, celui-ci me dit "C'est bien ma salope, allez rends tout propre mon gros sucre d'orge". 
L'odeur que dégageait la hampe de mon amant était pestilentielle et je ne pus réprimer un haut le cœur mais rassemblant tout mon courage je pris le sexe dans ma main et commençai à le caresser doucement. 
La verge réagit aussitôt et se redressa, bloquant ma respiration j'ouvris la bouche et descendis sur le pénis sale. 
Après quelques mouvements de mes lèvres la virilité de mon mec était de nouveau propre et avait retrouvé sa taille maximale. 
Mon homme me repoussa et me dit "Bien ma petite salope, tu as bien fait ton travail. 
- Mais. 
- Non je ne veux pas que tu me suces, ce que je veux c'est ton trou du cul. 
- D'accord mais est-ce que je peux aller me laver la bouche. 
- AH AH AH ! ! Pourquoi veux-tu te laver la bouche ? 
- Parce qu'elle pue. 
- Mais elle pue ton cul c'est tout. 
- Oui mais... 
- Allez assez discuté mets toi à quatre pattes le cul en position que je te tringle. 
-… 
- Je me fous que ta bouche pue, je n'ai pas l'intention de te rouler une pelle, allez en position". 
D'une bourrade Max me projeta sur le lit, je tombai à plat ventre, mon amant me saisit sous le ventre et me souleva, il replia mes jambes sous moi de telle sorte que je me retrouvais à genoux le visage dans les draps et le cul tendu. 
Mon mec écarta mes jambes et dit "Voilà ma petite morue, là tu es comme je le veux, le cul offert prêt à recevoir ma grosse banane". 
Mon homme se hissa sur le matelas, il s'agenouilla derrière moi et se mit à me fesser de sa pine raide. 
Au bout de quelques instants ce fut sa main qui remplaça sa verge, la claque fut forte et je poussai un petit cri de douleur qui fit rire mon mec qui me dit "Allons salope, une petite fessée n'a jamais fait de mal à personne, tu vas voir après tu jouiras encore plus sous mes coups de bite". 
Pendant plusieurs minutes une pluie de coups tomba sur mes fesses et quand mon tourmenteur arrêta je pleurais à chaudes larmes et j'avais l'impression qu'on m'avait brûlé le fessier. 
Max me dit "Allez arrête de chialer salope, tu as eu ta raclée, ça t'apprendra à ne pas m'obéir au doigt et à l'œil, mais c'est marrant si tu voyais ton cul il est tout rouge, on dirait une tomate bien mure". 
Mon amant promena son phallus le long de ma raie puis d'un brutal coup de reins me pénétra jusqu'à la garde, bien que je sois bien ouvert par nos étreintes précédentes je ne pus m'empêcher de pousser un cri de douleur qui fit rire mon homme qui me dit "Tu as mal à ton petit cul ma pute, ne t'inquiète
pas après tu vas jouir salope". 
Posant ses mains sur mes hanches mon mec se mit à me besogner avec une violence inouïe m'arrachant à chaque passage des couinements. 
Au bout de quelques instants de ce traitement la douleur fit place à une douce langueur et je recommençai à pousser de profonds soupir de félicité. 
Max me mit une claque sur la fesse droite et me dit "Alors tu vois salope que tu aimes te faire mettre HARD, ton cul accepte tout tu es vraiment la reine des morues. Tiens ma pute prend ça dans ton cul". 
Les paroles de mon amant m'excitaient encore plus et je tendais mon prose au maximum pour accentuer la pénétration. 
Mon homme me pilonnait l'arrière en de virils coups de boutoir qui me faisaient avancer sur le lit chaque fois que le splendide phallus s'enfonçait au plus profond de moi. 
J'avais complètement basculé dans l'univers du plaisir, seul pour moi comptait ce magnifique membre qui me forait les reins m'ouvrant encore plus l'anus à chaque plongée dans mon fondement en feu. 
Mon mec avait les mains crispées dans la chair tendre de mes hanches et me possédait vigoureusement. 
Je hurlai maintenant sans discontinuer sous les assauts répétés que je subissais, j'avais fermé les yeux me laissant emporter par la lame de fond que je sentais naître dans mon bas ventre. 
Dans la pièce, en dehors de mes cris, on entendait le bruit de succion que faisait mon sphincter chaque fois qu'il avalait la bite raide qui me fourrait. 
Je ne savais plus depuis combien de temps Max me baisait mais c'était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment. 
Afin de m'enculer encore plus fort mon amant avait posé ses mains sur mes épaules et m'attirait à lui à chaque violent coups de reins qu'il m'assénait J'avais perdu totalement le sens des réalités, je ne vivais plus que pour et par le sexe qui me limait la rondelle et je me mis à rouler des hanches en cadence tout en me cambrant le plus possible. 
Longtemps mon mec m'enfila de la sorte, son ventre musclé tapait contre mon fessier porté au rouge tout en ponctuant ses ruades d'un "HAN" de bûcheron. 
J'avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer hurlant mon bonheur. 
C'est à cet instant que plongeant sa pine turgescente au fond de mon cul dévasté mon homme éjacula en râlant, ses abondants jets de semence crémeuse fusant contre mes parois surchauffées me déclenchèrent un orgasme foudroyant, mon corps se tendit comme un arc, de ma gorge pulsa un hurlement strident puis je tombai lourdement à plat ventre sur la couche entraînant dans ma chute celui qui me montait. 
Je sentis Max se lever et je restai allongé cuisses écartées savourant le merveilleux moment qui venait de se passer. 
Quand je refis surface je me mis sur le côté et vis mon amant sortir de la salle bains, il me sourit et me dit "Alors salope tu es de retour parmi nous ? 
- Oui. 
- Bien, j'espère que tu as aimé. 
- Oh oui j'ai superbement joui. 
- Je m'en suis rendu compte, tu tortillais du cul comme une affamée et tu tendais ton fion tellement que je croyais que tu voulais une pine d'éléphant. 
- c'est vrai je crois que j'avais complètement pété les plombs. 
- Ca tu peux le dire ma petite pute, tu vois que ce n'était pas la peine de chialer quand je t'ai un peu dérouillée car après tu as pris un pied d'enfer. 
- C'est vrai. 
- Tu sais, tu es faite pour la baise mais pas la baise pépère et je peux te dire que plus jamais je ne te baiserais pépère, à partir de maintenant ce sera toujours HARD. Ton cul accepte tout, on peut tout lui faire et je vais tout lui faire. 
- Mais… 
- Il n'y a pas de mais, tu es une salope, que dis-je une sale pute, la seule chose qui compte pour toi c'est d'en prendre plein ton cul et même si au début tu gueules comme une truie qu'on égorge après tu brailles comme une grosse pute en chaleur, d'ailleurs tu le dis toi-même quand tu hurles ton fade que tu es une grosse pute à bourrer. A partir de maintenant je vais te traiter comme ce que tu es c'est à dire une pétasse à défoncer. 
- Tu es méchant. 
- Non, pouffiasse c'est toi qui es comme ça, on ne te fait pas l'amour, on te baise comme une grosse morue que tu es c'est tout. 
- N'importe comment du moment que je jouis. 
- Tu vois pute, tu ne penses qu'à te prendre une grosse queue dans ton fion pour reluire. 
- C'est vrai. 
- Alors fous-toi à quatre pattes que je t'en remette un bon coup dans ton derche à bite". 
Cet après midi là Max me prit encore deux fois de manière brutale mais me faisant jouir superbement. 
Quand il m'abandonna j'étais rempli de sperme de la tête aux pieds, j'avais le cul complètement défoncé, j'étais rompu de fatigue mais j'étais comblé. 
Longtemps après le départ de mon amant je pensais à ce qu'il avait dit et j'en vins à la conclusion qu'il avait raison, la seule chose qui comptait pour moi était de me faire baiser, peu importe comment et à la limite par qui du moment que je jouisse.

à suivre 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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Vendredi 28 décembre 5 28 /12 /Déc 06:52

 

 

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Petit frère et gros engin

Voici une petite histoire amusante qui date de Noël dernier. 

C'est le réveillon et toute la famille est réunie. Tout le monde s'amuse, certains ont même un peu trop bu. Soudain il est minuit, ma tante criE "Joyeux noël"... Bref, c'est l'heure d'ouvrir les cadeaux, des sous et des chocolats pour ma part. Mon petit frère (en fait il s'agit de mon beau frère ou demi-frère suivant les versions, nos parents s'étant remariés ensemble il y a 5 ans)Ulrich, 18 ans depuis un mois à peine à reçu un petit cadeau un peu spéciale de son parrain : une boîte de capotes. Il semble tout gêné, d'autant que son parrain lui a fait le même cadeau un mois plus tôt... Il lui dit :"Oh toi, t'es mon filleul, je me doute bien que ceux du moi dernier ont fait écarter les cuisses à plus d'une demoiselle" (il avait beaucoup bu en effet)
Cette phrase me fait sourire et je dis :" Sa demoiselle à lui s'appelle Mme Main, les seules jambes qu'il a écartées c'était les siennes"

Mon beau-père qui n'a pas apprécié ma réflexion me dit d'arrêter de dire des âneries, et que c'est pas parce que moi je ne trouve pas de filles que je dois empêcher les autres de s'amuser (mes parents me croient vierge, et croient que je vais attendre le mariage...). Ulrich est très gêné par ce que j'ai dit, je me sens coupable, mais par fierté je ne m'excuse pas tout de suite. Il sait, lui, que ce sont plutôt les garçons qui m'attirent.

Le lendemain matin réveil tardif sur les coups de midi, je vais à la salle de bains, Ulrich prend sa douche dans la baignoire, le rideau fermé, pendant que je me brosse les dents comme d'habitude. Je m'excuse pour la veille en disant que je ne pensais pas ce que j'avais dis, et que vu comment il est beau (ça c'est vrai !) je croyais qu'il avait déjà de l'expérience... Je ne sais pas quoi faire tellement je suis désolé. Il ne répond pas, et après un long silence j'entends comme des sanglots. J'ai envie de le serrer dans mes bras pour le consoler, je n'aime pas qu'il pleure. J'écarte donc le rideau, après tout j'ai déjà vu bien des queues. Là, surprise ! Les bruits que j'entendais n'étaient pas des sanglots, mais des gémissements de plaisir, il se caressait ! Il se retourne pour cacher sa belle hampe que je ne lâchais plus des yeux, et me demande de sortir, c'est privé. Putain qu'elle est belle sa bite !  Elle a bien 20 cm si ce n'est plus !  Je ne me contrôle plus.

Je monte dans la baignoire. Je l'attrape par les fesses et le retourne. Il met ses mains devant mais son sexe tendu ne veut pas se cacher. Je monte dans la baignoire et referme le rideau, l'eau continue à couler, mon boxer et mon T-shirt sont gorgés d'eau,. Je commence à le caresser doucement, je décalotte son gros gland. Il est surpris : il n'a jamais retiré son prépuce de là. Chaque effleurement de son gland hyper sensible lui provoque une sensation particulière entre douleur et plaisir.
Après quelques secondes, je me met à genoux et prend ce gland puceau en bouche. Il n'en faudra pas plus à ce bel adonis pour gicler son jus sur ma langue.
Sa queue commence à redescendre... Mais bientôt  elle est prête à recommencer. Je remonte doucement en embrassant son beau torse imberbe et musclé. Je glisse en frottant mes fesses contre son bel organe déjà retendu.

 Mon petit frère reste les yeux fixés sur mon torse, je demande donc à ce blondinet de me sucer les tétons, il les mordille tendrement. Je lève ma jambe sur le bord de la baignoire ce qui écarte mes fesses, ma rosette est déjà dilatée par l'excitation. Il se met à genoux et donne quelques coups de langue maladroits sur mon petit anus. Je n'ai jamais été aussi excité. Il rapproche sa queue, la place sur mon orifice. Son gland est si sensible qu'il ne sait pas s'il arrivera à me pénétrer. On se regarde dans les yeux pendant de longues secondes... Je pose mes mains sur ses fesses et tire vers moi. Sa y est, il est en moi. Il commence timidement quelques va-et vient et voyant qu'il y prend du plaisir mais ne jouit pas il accélère... Vite, vite encore plus vite ! Ses petits testicules tapent sur mon fessier à chaque coup... Je jouis !!! Je ne peux retenir un cri de plaisir, que le bruit de l'eau dans la douche ne parvient pas à cacher. Ma tante restée dormir vient dans la salle de bain voir "ce qui se passe", mais moi je ne veux pas qu'Ulrich s'arrête, je le retiens en moi ! Il a peur de se faire prendre comme ça avec son frangin, sa peur se transforme en excitation et je sens son fluide bouillant couler de mon petit cul tout écarté. 

Ma tante entrouvre le rideau et me voit nu. Je referme vite le rideau faisant mine d'être gêné, ouf elle n'a pas vu mon frère.
Depuis ce jour j'ai remarquée que mon frère avait ouvert sa boîte de capotes... Hier il a même ouvert la deuxième... Ce beau petit blondinet n'a pas fini de faire jouir les petites coquines qui croiseront son chemin. Maintenant quand il prend sa douche il ferme la salle de bains. De peur que je le rejoigne encore ?

 

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Samedi 22 décembre 6 22 /12 /Déc 11:33

 

gay-couple 1


Denis et moi sommes collègues depuis six mois, dans un lycée d’un quartier populaire de Paris. Il est professeur de mathématiques et j’enseigne l‘Histoire. Nous avons à peu près le même âge, ayant tous deux passé la trentaine depuis peu et nous sommes l’un comme l’autre célibataire. C’est sans doute ce qui nous a rapprochés, car par ailleurs nous n’avions rien de commun
Lui est un grand blond, aux beaux cheveux ondulés, mi-courts, les yeux bleus, portant lunettes à fine monture, toujours habillé d’un strict costume, avec chemise et cravate, assez timide et effacé, perpétuellement perdu dans ses pensées. Ses constantes distractions lui valent bien des mésaventures et il a de grandes difficultés avec ses classes en matière de discipline. Assez conventionnel, il vit seul dans un studio proche du lycée, mais il a une petite amie, qu’il voit surtout les week-ends et quelquefois le soir.
Moi je suis de taille moyenne, bien découplé, brun aux yeux marron, les cheveux coupés ras, ayant une allure plutôt décontractée, portants pantalons de toile, chemises ouvertes et blouson. Je suis très sociable et ouvert, aimant plaisanter et je n’ai aucun mal à tenir mes élèves, souvent les mêmes que les siens. Je suis homosexuel et ne m’en cache pas et cela passe assez bien parmi collègues et élèves, la première surprise passée. Je n’ai pas de petit ami attitré pour le moment, mais je ne compte pas les aventures, fréquentant saunas et sexe clubs gays de la capitale.
Dans la salle des professeurs, il m’arrivait d’encourager Denis, lorsqu’il avait eu une heure de cours particulièrement difficile. Certains jours, à midi, nous déjeunions ensemble dans un petit restaurant des environs, parlant du lycée, des élèves, plus rarement de nous et très exceptionnellement de notre vie affective. Pour tout dire nous n’étions pas particulièrement proches, tout en sympathisant.

Au retour des vacances de printemps, je le trouvais abattu. La reprise des cours l’effrayait et il m’avouait qu’il n’en dormait plus depuis plusieurs nuits. Effectivement son premier cours s’est très mal passé et il a dû punir un élève insolent, qui troublait la classe. Au lieu de se calmer, ce dernier s’est rué sur Denis et l’a frappé au visage, brisant ses lunettes. Complètement déstabilisé, mon collègue n’a pas su réagir de manière adaptée et a brusquement quitté la classe. Aussitôt un chahut monstre s’est déclenché. Alerté par le bruit, je suis allé remettre de l’ordre dans cette salle et j’ai envoyé un élève prévenir le censeur.
Cet incident a soulevé beaucoup d’émotion dans le lycée et nous avons recherché Denis à plusieurs. Mais il avait quitté l’établissement précipitamment. Je savais vaguement où il habitait et en fin d’après-midi, après mes cours, j’ai décidé de passer le voir, pour m’enquérir de son état. Bien m’en a pris. Parvenu à la porte de son studio, j’ai frappé, puis sonné, sans obtenir de réponse. Inquiet, j’ai frappé plus fort et j’ai senti alors que la porte n’était pas fermée, mais simplement repoussée. Je suis entré en l’appelant. Les volets étaient fermés et les rideaux tirés. Dans l’obscurité de la pièce, rien ne bougeait. En tâtonnant j’ai cherché l’interrupteur et allumé la lumière.
Je l’ai vu alors. Le corps étendu au travers du lit, immobile, la tête renversée, les bras et les jambes écartés. Il n’était vêtu que d’un caleçon court en coton blanc, un peu retroussé, par l’entrejambe duquel apparaissait le gland du sexe. La ceinture dissimilait mal une toison blonde fournie, remontant jusqu’au nombril. Ses épaules larges et sa poitrine musclée luisaient à la lumière électrique, laquelle lui faisait un halo des poils clairs qui ornaient celle-ci. Mon Dieu qu’il est beau ! Ce fut ma première pensée. Sous ses costumes de confection, je ne l’imaginais pas ainsi. À vrai dire il me laissait de marbre. Mais l’image de ce corps d’homme, respirant la force, la virilité et la grâce, devait rester gravée dans mon esprit. Ma seconde pensée fut plus pragmatique : « téléphoner au SAMU pour les secours ». Heureusement j’avais mon téléphone mobile sur moi et cela fut rapidement fait.
En attendant l’arrivée des secours, je tentais de ranimer Denis en lui passant de l’eau sur le visage, le secouant, lui parlant. Rien n’n’y fit. Je redressais son corps en le faisant pivoter par les épaules et en tirant ses jambes pour les remettre à l’alignement. Ce contact avec ses muscles fermes et encore tièdes fit monter en moi un trouble étrange, mélange de tendresse amoureuse et de désir violent. Je tirai sur la jambe de son caleçon pour dissimuler l’extrémité de son sexe et j’attendis près de lui, assis sur le bord du lit, ébranlé par le tumulte subit de mes sentiments... Je vis sur la table de nuit un verre vide et des boîtes de comprimés et je compris qu’il avait sans doute absorbé des barbituriques. À côté du verre, il y avait un mot gribouillé sur une feuille arrachée à un carnet « Je n’en puis plus. Je m’en vais. Adieu ».
Je fus arraché à mes pensées par l’arrivée du médecin du Samu, qui prit les choses en main. Un quart d’heure plus tard, nous étions aux urgences de l’hôpital Saint-Antoine. J’attendis une bonne heure, avant qu’un interne vienne me rassurer. Ils lui avaient fait un lavage d’estomac et il était hors de danger, mais il resterait en observation jusqu’au lendemain.
J’ai mal dormi cette nuit-là, hanté par la vision d’un grand corps blond, demi-nu, la sensation de sa peau douce et poilue sur mes mains et le détail de la bosse faite par le sexe sous le caleçon et celui surtout du gland dépassant entre les jambes. J’ai eu plusieurs érections dans mon sommeil et j’ai même éjaculé spontanément, tant j’étais excité.
Au réveil, j’ai dû m’avouer que j’en pinçais sérieusement pour Denis, qui sous des dehors effacés et assez quelconques était en réalité un superbe mâle, respirant la virilité et avec lequel j’aurais aimé partager mon lit.
J’avais deux cours ce matin-là et je décidais de me rendre à l’hôpital, dès la fin du second. Je le trouvais toujours couché, mais éveillé, encore assez faible. À ma vue, un triste sourire illumina un instant son visage encore blême.
« Bonjour, Adrien. Tu sais, je voulais vraiment mourir. Pourquoi m’as-tu tiré de là ? »
« Allons Denis, un beau jeune homme comme toi, qui a toute la vie devant lui, ne peut pas réellement vouloir mourir. Ce n’est pas dans l’ordre des choses. Tu as eu un moment de déprime et cela va passer. »
En disant cela, sans même y penser, je lui pris la main gauche sur le drap et la tins dans la mienne. Ses doigts se serrèrent contre les miens et je sentis comme une flamme m’envahir et ma verge se durcir dans mon slip. Il du s’apercevoir de mon trouble, car je le vis rougir et retirer sa main brusquement.
Pour détourner l’attention, je lui demandais alors s’il avait pu prévenir son amie. Avec un mince sourire, il m’indique que celle-ci est en voyage professionnel au Japon et ne reviendra que dans six jours. À sa demande, je l’aide à se redresser dans son lit, lui relevant ses oreillers. Ces contacts physiques ravivent mon trouble, de même que la vue de son torse maintenant découvert, avec ses mamelons bien dessinés encadrant une touffe blonde et ses aréoles d’un beau rose vif, cernées de poils dorés.
Heureusement qu’une infirmière entre à ce moment. Elle nous indique que le patient pourra sortir à 17h. Je m’engage à venir le chercher en voiture. Denis m’interroge alors : « Tu as gardé les clés de mon studio ? » Je lui réponds que oui et il reprend : « Peux tu alors m’apporter des vêtements. Je ne vais tout de même pas sortir en caleçon, si d’ailleurs je le retrouve, car on me l’a enlevé ici ». Je ris et lui promets de lui apporter tout ce qu’il faut. « Merci » me dit-il en me prenant à son tour les mains, qu’il enferme dans les siennes et en me fixant de ses yeux bleus.
Je le quittais rapidement, pour ne pas lui laisser voir mon désir, en m’interrogeant sur ses dispositions à mon égard. Eprouve-t-il des sentiments pour moi ? J’en doute car c’est un hétéro et il a une maîtresse. Ais-je une petite chance de le séduire ou va-t-il me prendre en horreur si je me découvre ? Il connaît mes tendances sexuelles. Cela ne le gênait pas, tant qu’il restait en dehors. Mais si je lui fais des avances ou des propositions, il risque de changer d’attitude.
Je n’avais pas de cours cet après-midi-là. Après le déjeuner, je prenais une bonne douche froide pour calmer mes désirs et enfilais un slip propre, un pantalon court et un tee-shirt blanc. Puis je passais chez Denis, regrouper dans un sac un caleçon écossais, une chemisette bleue et un pantalon de coton beige, des chaussettes blanches et une paire de chaussures d’été. Ainsi chargé, je prenais la route de l’hôpital.
Il m’attendait, toujours un peu pâle et faible. Il rejetait son drap pour se relever. Je le voyais tout nu pour la première fois et mon regard se dirigeait malgré moi vers son sexe. Ses couilles roses, couvertes de poils blonds, sa verge allongée, terminée par un prépuce étroit qui dissimulait le gland assez épais, la mousse blonde qui ornait son pubis et remontait en une mince traînée jusqu’au nombril, tout cela formait un ensemble particulièrement érotique qui me mit le feu au bas-ventre. Pendant que je le contemplais, Denis s’assit sur le rebord du lit et me demanda de l’aider à s’habiller.
Je lui passais ses chaussettes, en essayant de ne pas regarder ses attributs virils exposés sous mes yeux, puis l’aidais à se mettre debout, pour enfiler son caleçon. Je le lui remontais le long des jambes, jusqu’à la ceinture, heurtant au passage ses bourses et sa verge avec le tissu, avant qu’ils disparaissent dans l’enveloppe de coton. Chemise, pantalon, chaussures suivirent et enfin prêts, nous avons quitté la chambre, lui s’appuyant sur mon épaule. J’étais tout ému de le sentir ainsi dépendant de moi.
Parvenu à son domicile, j’envisageais de le laisser lorsqu’il m’a retenu d’une main posée sur mon bras. « Ne me laisse pas seul, je t’en prie. Je ne suis pas bien et j’ai peur de m’effondrer et d’attenter à nouveau à ma vie. Je ne pourrai jamais reprendre mon métier, après ce qui m’est arrivé. Ma vie est fichue. Mon amie, lorsqu’elle saura ce qui s’est passé va me mépriser ou pire me considérer avec pitié. Je ne le supporterai pas ». Il se mit alors à pleurer. Dans un élan instinctif, je le pris par les épaules et il se serra contre moi, la tête posée sur mon épaule, sanglotant. Je ne me maîtrisais plus que difficilement et je me mit à lui caresser les cheveux en lui disant doucement : « Calme toi mon ami. Le pire n’est jamais certain et je suis là pour t’aider. Si tu le veux, je vais rester. Demain c’est samedi et je n’ai pas de cours. Nous pourrons partir tous les deux quelque part à la campagne ou à la mer. Cela te changera les idées ».
Ma main maintenant lui caressait le cou, les épaules, le dos. Je me raidissais pour ne pas descendre plus bas, vers ses reins et ses fesses, dans le pantalon bien tendu, qui me fascinaient. Je sentis qu’il se calmait peu à peu et ne semblait pas s’étonner de mes gestes. Le relâchant enfin et m’écartant, je lui dis : « Allons, cela va mieux. Tu devrais t’allonger sur ton lit pour te reposer un peu. Ces deux journées t’ont secoué ».
Plus tard nous avons dîné vite fait, d’une omelette et de pâtes, puis de fruits et nous avons regardé les informations à la télévision, assis côte à côte sur le canapé. Je regardais plus souvent ses jambes et son entrejambe que l’écran, le désir toujours en éveil. Lorsqu’un garçon me plaît vraiment, je trouve toujours l’occasion et le moyen de l’avoir. Mais pour Denis, je ne sais pas encore comment faire. Sa gentillesse, sa timidité, sa confiance, me paralysent.
Pendant que je commençais à regarder un film, il s’est levé et est allé se coucher. J’avais promis de dormir chez lui, sur le canapé, pour le veiller. Nous nous sommes donc souhaité le bonsoir. Le film une fois terminé, je me suis déshabillé, ne conservant que mon slip et je me suis étendu sur le canapé, me recouvrant d’un plaid qui était posé sur le dossier. Je me suis rapidement endormi, d’un sommeil lourd.
Un hurlement m’a réveillé et j’ai entendu crier : « Adrien, Adrien, ou es-tu ? ». je me suis précipité vers le lit et j’ai vu que Denis était dressé sur son séant, les yeux hagards, les cheveux en bataille, gesticulant des bras. Je me suis assis près de lui pour le calmer et il s’est jeté dans mes bras, encore tremblant de peur :
« J’ai eu un cauchemar affreux. J’étais mort et j’étais précipité dans un grand feu par des monstres horribles. Reste à côté de moi Adrien, ne me quitte pas, ne t’éloigne pas ».
« Tu veux que je dorme avec toi, dans ton lit ? Tu seras plus rassuré ? » lui dis-je avec une certaine hypocrisie, car je venais de trouver la faille pour parvenir à mes fins. Sur son signe approbateur, je me glissais rapidement sous les draps, à côté de lui, pur ne pas laisser voir mon érection qui déformait mon slip.
Il se serrait encore plus contre moi en disant « Merci…Merci ». J’avais mon bras droit coincé sous ses épaules et ma main gauche est retombée naturellement sur son flanc droit. J’ai senti qu’il était nu, pratiquement livré à mon désir de plus en plus violent. J’ai caressé de cette main sa hanche, son aine, sa fesse, en évitant habilement son sexe, lui murmurant : « Tout est bien. Tu peux dormir. Je suis là et je veillerai. Dors …Dors ». Il s’est calmé et s’est vite assoupi, son beau corps musclé livré entre mes bras. Mon sexe tendu et durci au maximum, me faisait mal, comprimé par le tissu et l’élastique de mon slip. Je dégageais doucement mon bras pris sous les épaules de Denis et parvenais à retirer mon slip en deux mouvements, genoux, puis pieds, pour le balancer vers le canapé. Enfin à l’aise, le sexe libéré, collé contre mon ami dont je respirai l’odeur mêlée d’eau de Cologne et de sueur et entendais la respiration régulière près de mon visage, je m’endormis à mon tour. ,
J’étais réveillé le lendemain par mon érection matinale habituelle et je réalisais aussitôt ma situation. Denis dormait encore, étendu sur le flanc gauche, face à moi, les draps rejetés vers nos pieds. Son sexe si désirable était là, à 10cm de ma main, offert comme un fruit mûr. Je n’ai pas hésité et, délicatement, je l’ai effleuré d’un doigt sur la verge, depuis sa naissance, jusqu’au prépuce. J’ai recommencé dans l’autre sens, du prépuce au pubis, puis j’ai glissé mes doigts sur ses bourses, velouteuses et légèrement humides de sueur, avant de revenir caresser son membre. J’ai senti celui-ci se tendre et gonfler lentement et j’ai entrepris de le masturber avec lenteur, jusqu’à ce qu’il soit entièrement dressé. Ses couilles que je palpais à nouveau s’étaient contractées, formant deux boules dures. J’avais le feu au ventre et je poursuivais mes mouvements de mes mains sur son ventre plat et musclé, sur ses jambes aux poils si doux, sur ses fesses duveteuses.
Tout au plaisir du contact de ce corps et de mes fantasmes en cours de réalisation, je ne m’aperçus pas du réveil de Denis, qui retenait son souffle et découvrait sous mes caresses des jouissances inconnues. Soudain j’ai senti une de ses mains se poser sur mon vit bandé et son visage chercher le mien. J’ai gémi de surprise et de joie et ma bouche a cherché et trouvé la sienne. Nous nous sommes embrassés avec fougue, couchés l’un sur l’autre, nos sexes tendus, comprimés l’un contre l’autre, dans un enlacement passionné, libérés de toute réticence et de tout amour-propre.
Ce matin merveilleux, j’ai redécouvert le véritable amour avec un homme de mon âge. Lui, initié par moi aux plaisirs du sexe entre mecs, a été conquis. C’était en effet pour Denis une véritable révélation, révélation des possibilités de son corps, révélation de sa véritable nature, révélation de son attirance pour moi.
Nous avons fait l’amour sauvagement toute la matinée, nous pénétrant réciproquement, dans la bouche, dans le cul, multipliant les fellations et les masturbations, pour nous rendormir, épuisés, vers 11h, nos corps et les draps inondés de nos spermes mêlés. L’après-midi, nous sommes partis tous les deux pour La Baule, dans ma voiture, où nous avons passé un week-end torride dans un petit hôtel discret.

Depuis ces jours chauds, Denis a rompu avec son amie et est venu vivre chez moi. Au lycée, tout le monde est désormais au courant et ses élèves n’osent plus le chahuter, sachant qu’ils s’exposeraient à des rétorsions de ma part.
Je l’aime et il m’aime, que souhaiter de plus ? Je ne fréquente plus les saunas et les sexe clubs gay car je lui suis fidèle, comme il m’est fidèle.

 

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Lundi 17 décembre 1 17 /12 /Déc 00:00

Attention : ce récit met en scène un mineur, ce que je désapprouve formellement.

Posté par Boumba05 le 25-09-2011 à 01:03:27  answer
 

 



Toccata et fugue en ré-mineur !


Aie, aie, aie !!! Il en est tombé … ah oui, facile 50 centimètres de toute la nuit … Pour un Noël blanc, cela va être réellement un Noël blanc cette année. Cela faisait bien longtemps que les cimes alentours ne s’étaient pas couvertes de ce blanc manteau pour la Noël, bien vingt ans, au moins, aux dires des anciens. Et on dit que le terre se réchauffe ! Moins dix au thermomètre ce matin à 8h00, c’est dire si ça doit cailler les miches par là.

Par ma fenêtre, je vois une file ininterrompue de véhicules roulant au pas, certains glissant en tout sens, d’autres ne parvenant pas seulement à décoller. On n’a pas idée de prendre sa bagnole par un temps pareil. Les rares passants dans la rue sont emmitouflés comme au pôle nord, se protégeant comme ils le peuvent des épines du froid intense qui règne au dehors. Et là, je me pense : « qu’est ce que tu es bien, chez toi, au chaud, devant cette superbe flambée ! »

J’en suis déjà à mon quatrième café pour la matinée. Et il y en aura sûrement deux fois autant jusqu’à ce soir. Et après je me plains que je fais des bonds dans le lit toute la nuit et que le matin, je suis réveillé avec des yeux en forme de bille à moins de quatre du mat’, va falloir que je fasse un sérieux effort de ce côté-là … un de ces jours !

Ma foi, je ne dérange personne, je vis seul, pas de femme, pas d’enfant, rien que la solitude pour me tenir compagnie. Alors, changer ? Pour qui ? Pour quoi ? Bon, ce n’est pas le tout, mais va quand même falloir que je sorte de ma tanière, il me reste quelques courses à faire avant que les magasins ne soient pris d’assaut, comme de coutume, juste quelques heures avant le réveillon.

Mon réveillon ? Ce sera vite expédié, vous pouvez me croire. Quand on est seul à manger, on ne fait pas dans les fioritures. Cela dit, je ne vais rien me refuser, mangera toujours été pour moi un réel plaisir. Alors, le menu : foie gras du Périgord sur toast, pâté de lorraine en croûte aux champignons forestiers, truite meunière à ma façon, bûche glacée, café et petit pousse pour digérer l’orgie papillonnaire. La cerise sur le gâteau, c’est que je prépare tout moi-même … au moins je sais ce que je mange ! J'ai beau n'avoir que 19 ans, mais la bouffe pour moi, c'est sacré.

Bon, c’est décidé, je sors avant d’être pris dans la marée humaine des attardés de préparation de réveillon. Çà va, je n’ai pas loin jusqu’à la grande surface du coin, environ quatre cent mètres, mais avec la couche de neige qui encombre les trottoirs, cela va relever de la course de fond en raquettes.

Bon sang, c’est vrai qu’on se les pèle dur ! Le froid mordant me lacère le visage. Heureusement que ma parka me protège au maximum, je finirais bien par ressembler à un esquimau congelé.

Rhaaa, c’est toujours la même chose, on se dit qu’on va faire trois courses et on revient avec le caddy complet …. Enfin, pour ce qui me concerne, ce n’est qu’un sac à provision, mais tout de même, c’est lourdingue. Malgré le froid, je commence à transpirer et à souffler comme un phoque en rut…. On ne peut pas impunément fumer plus d’un paquet de clopes par jour à minima et n’en pas souffrir. Ca aussi, faudrait que j’y mette la pédale douce !

Brrrrr !! Ça fait du bien de se retrouver au chaud chez soi. Plus question de sortir pour aujourd’hui. Je déballe mes courses, réserve ce dont je vais me servir pour terminer de me mitonner mon petit réveillon en tête à tête avec moi-même et range le reste au frigo. J’en ai bien encore pour trois heures de préparation, mais qu’importe, ça va me passer le temps.

…/…

Et voilà le travail ! Tout est prêt, archi-prêt. Je n’ai plus qu’à faire le ménage de mon appartement. Hé oui, je ne suis pas comme certains moi, je n’ai pas de femme de ménage, manquerait plus que cela, une femelle dans ma tanière ! Pas envie qu’elle découvre mes petits secrets de jeune « vieux garçon ». Bon, la machine à laver pour commencer, le tour de la salle de bain … Mon dieu, qu’est ce que je peux être bordélique ! Si ma mère voyait ça, elle me tuerait, c’est sûr. Voilà, la baignoire est nickel, les produits rangés, les serviettes et le linge sale dans la machine, ça ressemble à nouveau à une salle de bain et plus à un champ de bataille.

Au salon maintenant. Là, ça va, comme c’est la pièce à vivre, je la laisse toujours dans un état de rangement et de propreté acceptable, on ne sait jamais, une visite à l’improviste d’un voisin, d’un collègue de travail …

La cuisine, petite mais largement suffisante pour moi, c’est ok, j’ai déblayé au fur et à mesure tout à l’heure. Reste la chambre …. Retendre les draps, replacer les couvertures, ramassez le linge qui traîne à terre, ranger les affaires propres et repassées, zou, vite fait bien fait ! Voilà, en une petite heure, mon appartement a retrouvé un aspect « normal ».

Je me pose dans mon canapé pour un petit moment, un énième café brûlant devant moi sur la table basse. Par la baie vitrée, je peux voir la neige tomber finement. La météo nous a annoncé de nouvelles chutes de neige pour la soirée et la nuit. Gare ! Je pense à ceux qui vont se trouver à l’extérieur de chez eux pour réveillonner, rentrer ne va pas être coton ! La nuit commence déjà à tomber sous le ciel plombé de nuages.

Tiens ! Qui c’est celui-là ? Qu’est ce qu’il a à tourner autour des voitures sur le parking en bas ? Il ne me paraît pas très âgé ! Et vas-y que nonchalamment, avec un petit air de sainte Nitouche, je tourne et tripote les serrures … Hé, mais c’est ma bagnole qu’il entreprend, là !! Ce petit con va m’obliger à sortir par un froid pareil !! Je vais te lui botter le cul moi, lui faire passer l’envie de jouer bêtement.

Non mais, je rêve, là !!! Ah ben, ça y est, il est entré dans ma bagnole. C’est sûr qu’il va me taxer mon auto-radio !!

Fissa, j’enfile ma parka et mes après skis. Trois étages à descendre, j’arrive sur le parking. A pas de loup, je m’approche de ma voiture, coincée entre deux autres. Il a bien choisi le gaillard, comme ça il est à l’abri des regards. Je ne sais pas comment il a pu faire ça, mais le fait est qu’il y est entré aussi facilement qu’un couteau dans une motte de beurre traînant depuis trois jours hors du frigo.

Tiens, c’est curieux, je ne le vois pas ! Serait-il déjà reparti avec son butin ? Ah oui, il est vraiment très fort ce mouflet. Je m’approche de la vitre passager … Surprise ! Mon autoradio est toujours bien en place et … pas trace du gamin ??? Est-il possible que je me sois fourvoyé ? Pourtant, j’ai bien vu la portière s’ouvrir et se refermer sur lui. Un coup d’œil à l’arrière, une forme recroquevillée sous le plaid, il est là ! Je m’interroge ! S’il n’a pas volé, que fait-il là, sous la couverture, à l’arrière ?

Je ne veux pas l’apeurer, il a probablement une excellente raison de vouloir squatter ma bagnole. Il n’a rien dégradé, du moins en apparence, alors je ne vais pas le brutaliser. Je glisse la clef dans la serrure comme si de rien n’était et j’entre en faisant semblant de n’avoir rien vu de ce qui se cachait à l’arrière. Clef de contact, contact, je mets le moteur en marche, comme si je voulais m’assurer qu’après la neige et le froid intense de la journée, ma bagnole se trouvait encore dans la capacité de démarrer. À l’arrière, pas un geste. Je surveille dans mon rétroviseur intérieur que je déplace subtilement pour avoir pleine vue. J’enclenche le chauffage … Ben oui, je vais quand même pas me cailler les miches pendant que Môssieur se trouve relativement bien au chaud sous la couette !!

J’allume une cigarette. Et j’attends ! La chaleur envahit progressivement l’habitacle … et toujours pas un mouvement à l’arrière, ou si peu ! Au moins une chose est sûre, il est toujours en vie le loustic, et il doit commencer à trouver le temps long. Ma cigarette terminée, je me décide à ne pas prolonger plus que nécessaire la chose. Je crois que je l’ai assez fait flipper comme ça. Il est temps maintenant d’en savoir un peu plus sur mon squatter !

- Tu dois avoir sacrément chaud là-dessous, tu devrais sortir ta tête et respirer un bon coup avant de t’étouffer

Pas de réaction ! Je poursuis.

-Tu penses que tu vas passer la nuit dans ma voiture ? Tu te trompes mon gars. Je vais devoir appeler les flics.

Le mot miracle le fait s’extirper de sous la couverture et me supplier :


- Pas les flics, monsieur, s’il vous plaît, j’vous ai rien pris, j’vous jure !

L’apparition dans mon rétroviseur d’un visage rouge pivoine, sur lequel je peux deviner, malgré l’obscurité seulement trouée par la faible lueur du plafonnier, une traînée de larmes, m’émeut. Une gueule d’ange sur le corps d’un jeune démon qui se croit tout permis … Je me retourne pour mieux apprécier la stature du bonhomme. Il tremble de peur et continue de me supplier de ne pas appeler les flics.

-Qu'est ce que tu fais dans MA voiture ?

-J’voulais juste …


-Tu voulais juste quoi … piquer mon autoradio pour te faire un peu d’argent de poche ?


- Non M’sieur, j’vous jure, j’voulais rien prendre, juste … pouvoir dormir …


Dormir, simplement dormir ? Le soir du réveillon de Noël ? J’en crois pas mes oreilles. Il se fout de moi ce morpion ! Mais non, plus je le regarde bien en face et plus je le trouve sincère dans ce qu’il me dit. Bon, on ne va pas rester là plus longtemps. Je fais quoi ? Je le vire … Ou je l’invite à monter chez moi, histoire de faire un brin de causette plus à l’aise.

- Je pense que nous serions mieux, au chaud chez moi, pour discuter de tout cela, qu’est ce que tu en dis ?

- …

-Décides toi, c’est ça ou les flics et le panier à salade, je te fais quand même remarquer que si tu veux sortir de cette voiture, il va te falloir repasser par devant et là, ben moi, j’y suis ... alors ???


- D’accord …
 Finit-t-il par concéder, enjambant le siège passager pour s’installer à l’avant.


Pour être certain qu’il ne se carapate pas par la portière passager, je le prends par le poignet et le tire vers moi, doucement quand même, je ne veux pas le brusquer. Il se laisse entraîner et sort derrière moi. Il referme même la portière sans la claquer !

Docile, il me suit et grimpe les escaliers à mes côtés. Peut être que, finalement, il doit penser que passer la nuit dans une voiture en stationnement, par ce froid, ce ne devait pas être une aussi bonne idée que cela et la perspective de se retrouver dans un appartement, bien au chaud, doit maintenant lui paraître un peu plus séduisante.... Même s’il va lui falloir donner quelques explications.

Je le fais entrer et lui demande de retirer son anorak. Je prends évidemment soin de refermer la porte à clef et … de prendre lesdites clefs dans ma poche de pantalon. Il a suivi mes mouvements et je le vois se crisper.

- N’aies pas peur, je ne te veux aucun mal, c’est juste pour m’assurer que tu ne te tireras pas après m’avoir délesté de mon portefeuille avant que je ne puisse réagir, ça m’ennuierait fortement.

- Mais j’vous jure …


- Oui, je sais, c’est pas ton intention ! Allez viens, passons au salon, on a à causer un peu tous les deux.


Je lui propose de s’installer au plus près de l’âtre pour qu’il puisse se réchauffer complètement. Puis je lui demande si un chocolat chaud lui ferait plaisir. Il acquiesce. Je vais donc le lui préparer tout en conservant un œil sur lui. Il ne bouge pas et attend très sagement mon retour, tout de même pas très rassuré.

Je dépose la tasse de chocolat sur la table basse devant lui, avec mon énième café. Puis je me pose, assis à même la moquette afin de lui montrer que je suis conciliant et le mettre en confiance. Il doit se trouver un peu couillon sur le fauteuil et me rejoint sur la moquette, plus pratique pour être à bonne hauteur et siroter lentement le chocolat bouillant.


- Comment t’appelles-tu ?

- …..

Mutisme !

- Quand on arrive chez quelqu’un la politesse veut que l’on se présente. Moi c’est Jérôme … Jérôme SERVIER et toi ?


- Loïc !


- Loïc quoi ?


- LETANNEUR !


- Bien ! Alors bonjour Loïc LETANNEUR …. Peux-tu me dire ce que tu fiches le soir du réveillon dehors à vouloir squatter une voiture et particulièrement … la mienne.


- J’vous l’ai dit, j’voulais juste pouvoir dormir.


- Et pourquoi ne rentres tu pas chez toi pour … dormir ?


- ….


- Tu es en fugue, c’est ça ?


- Oui !
 Finit-il par me répondre d’une petite voix fluette en baissant les yeux.


Et bien, me voilà beau, avec un fugueur sur les bras. Et soudainement, il me revient en mémoire cet avis entendu aux infos de la veille, ce garçon qui n’est pas réapparu chez lui depuis … 8 jours !! Mais Loïc, ce n’est pas le prénom que j’ai entendu ! Je fouille ma mémoire … ça y est, j’ai retrouvé … Sébastien, 16 ans tout juste, de Marseille … et sa bouille ressemble assez à la photo qui a été montrée. Je veux voir jusqu’où il va aller dans le mensonge.

- Et tu es en fugue depuis quand ?

- Aujourd’hui. J’me suis engueulé avec mon daron et j’ai mis les bouts, y m’prenait trop la tête.


- Et tu habites où ?


- Par là, dans les cités …


Il ne se démonte pas le gaillard ! Je ne peux m’empêcher tout de même de l’admirer, mentir avec un tel aplomb, chapeau. Bon, faut que je casse ça, sinon, on ne va pas s’en sortir.

- Il y a bien une chose que je veux croire dans ce que tu me dis … Loïc … c’est que tu cherchais certainement un endroit pour dormir et pas forcément pour voler. Par contre, quand on s’appelle Sébastien, qu’on a tout juste 16 ans et qu’on se pointe de Marseille après 8 jours de cavale …

Si vous pouviez voir son visage ?

Complètement abasourdi le gaillard, percé au grand jour !! Il s’incline et … c’est reparti pour les grandes eaux. Va finir par me faire chialer s'il continue comme ça lui.

- Je vois que nous sommes d’accord sur la nouvelle version de ton histoire. Allons, sèches tes larmes, je ne vais pas te bouffer.

Je lui laisse un moment de répit, le temps qu’il digère et se calme. Puis je reprends tranquillement :

- Si tu m’en disais un peu plus de ta réelle histoire, peut être que je réviserais ma position quant à appeler les flics !

- Pas les flics, j’vous en supplie M’sieur, j’veux pas aller en taule !


- En taule ? Mon Dieu, pourquoi irais-tu en taule, on ne met pas des jeunes de ton âge en taule pour une fugue !


- C’est mon daron qui l’a dit que si j’me taille la zone, il me colle les flics au cul et qu’ils me mettraient en taule …


- Ben, je crois que c’était surtout pour te fiche la trouille !


- Z’êtes sûr ?


- À peu près comme deux et deux font quatre.


Le garçon semble rassuré par ces propos et commence à se détendre. Il s’ensuit une réelle discussion entre lui et moi. Et il se lâche vraiment. C’est ainsi que j’apprends que sa mère les a quitté il y a un peu plus d’un an avec son amant, que son père, devenu alcoolique, rentre tous les jours à la maison complètement bourré et ne cesse de lui gueuler dessus, que sa vie est devenue un tel enfer qu’il s'est résigné à fiche le camp avant que ça ne tourne mal.

Et plus la discussion dure et plus il se rapproche de moi, pour finir entre mes bras, le corps secoué de sanglots. Là, c’est sûr, son histoire tient debout et ses larmes en traduisent la terrible vérité.

Et là, je sens que je vais craquer, que je vais faire la connerie de ma vie !

- Tu as envie de rester ici avec moi ce soir, je serais heureux d’avoir au moins un … invité pour me tenir compagnie !

Et voilà, la connerie est faite. Recueillir un garçon en fugue alors qu’il est recherché par toutes les polices de France et de Navarre … il n'en faut pas plus pour s’attirer de sérieux ennuis. D’une autre côté, je ne peux ni le dénoncer et le livrer, moins encore le remettre dans la rue …

Ouais, ben… vous êtes bien malins, vous, vous auriez fait quoi à ma place !! Le trahir, pire l’abandonner ? Mais c’est non assistance à personne en danger ça !!!

Sébastien me regarde comme pour s’assurer que ma proposition n’est pas du pipeau. Je la réitère pour qu’il la comprenne bien. Comment il l’accepte ? Simple… en se pendant à mon cou et en me donnant un bisou sur la joue tout en me remerciant !! J’en suis … tout retourné.

Finalement, sous son petit air canaille et macho, j’ai en face de moi un garçon hyper fragilisé. C’est alors que je commence vraiment à faire attention à lui, à le détailler des pieds à la tête. Il doit faire dans les un mètre soixante cinq à tout casser, une petite cinquantaine de kilos, maigre mais pas chétif, un corps bien proportionné, un visage reflétant encore la douceur de l’enfance dont il semble être à peine sorti, des cheveux noirs de geai, des yeux noisettes, un air résolument méditerranéen de toute beauté.

Enfin presque, car je m’aperçois qu’il est aussi crade sur ses habits, ses mains et dans une moindre mesure sur son visage, que le reste doit être à l’avenant. C’est sûr que huit jours de cavale, ça laisse des traces. Je me pose alors la question de sa subsistance ! Il m’avoue avoir fait la manche et avoir rapiné un peu en grande surface pour pouvoir se nourrir.

Parlant de bouffe, je le vois saliver ! Merde, il doit être affamé ce pauvre garçon. De fait, il ne refuse pas les deux belles tranches de cake aux fruits confits que je lui présente et les dévore à pleines dents.

- Dis moi Sébastien, depuis quand ne t’es tu pas lavé ?

- Ben … depuis que je suis parti !

- C’est bien ce que je pensais. Dis-moi, un bon bain, ça te tente ?


- Heu … oui … je veux bien !

Pas très rassuré sur ce coup là, l’ami Sébastien. Il doit se demander s’il n'est pas finalement tombé sur un horrible pervers qui va vouloir le violer …

- O.k. Alors, termine tranquillement ton chocolat, je vais te faire couler un bain. Et si tu le souhaites, je passerai tout ton linge à la machine, il est vraiment… très sale.

- Heu… oui, ok … merci !


J’abandonne un moment le garçon. Je prépare tout ce qu’il faut dans la salle de bain pour qu’il puisse être tranquille. Je prends donc soin de mettre à sa portée, gant de toilette, serviette, et mon peignoir court.

Ainsi, il sera présentable et ne sera pas trop intimidé de revenir prêt de moi en se trouvant nu sous le peignoir. Je le mène jusqu’à la salle de bain et lui dis de me passer ses affaires en entrouvrant la porte dès qu’il les aura retirées. Il entre et ferme à clef. Je m’y attendais.

Derrière la porte, je peux percevoir le bruissement des vêtements qu’il enlève un à un, puis un tour de clef, la porte qui s’entrouvre, un bras qui s’insinue dans l’entrebâillement avec un paquet informe duquel je remarque de suite qu’il y manque une pièce : son slip ou caleçon !! Je toque et le lui demande.

- Ben c’est que … il est vraiment trop … sale !!

- T’inquiètes pas pour ça, donne-le moi quand même !


Une main me tend un slip, taille basse, qui avait du être à l’origine d’un blanc immaculé … Mais là …. Huit jours de campagne !!! Ça bat tous les records, pas étonnant qu’il n’ait pas eu envie de me le donner. Et pour tout dire, il pue ! Il pue la sueur, le pipi et même … ben oui, sans doute pas de papier dans la nature…

Je balance tout ça dans la machine et je la mets à tourner. Un tour dans le sèche-linge et dans trois petites heures, il pourra se rhabiller, s'il le souhaite, et se sentir à nouveau bien dans sa peau.

Je repasse près de la salle de bain, je l’entends barboter … C’est sûr que ce bain doit lui faire rudement plaisir. Tiens, il chantonne même … Un régal de l’entendre ! Je suis heureux pour et avec lui.

Je retourne à la cuisine pour enfourner le pâté à la lorraine. Une petite heure de cuisson et nous pourrons passer à table. Le bain s’éternise. Je repasse devant la salle de bain … aucun bruit. J’appelle tout doucement … pas de réponse … allons bon, j’espère qu’il ne s’est pas noyé ce couillon … je pose la main sur la poignée … s’il a refermé à clef, je suis chocolat, bon pour aller chercher un tournevis et démonter le bazar.

Non, c’est ouvert … Ouf ! J’entre et le trouve … endormi dans le bain, la tête reposant sur son bras en équilibre sur le bord de la baignoire. Pour un peu, je le prendrais bien en photo dans cette posture. Allez, je vais chercher mon appareil … Aller – retour rapide, il n’a pas bougé. Je fais trois ou quatre photos vite fait, sans le flash pour ne pas l’éveiller tout de suite. Je pose l’appareil sur le petit meuble de côté et je me dirige vers lui.

Je ne peux m’empêcher de l’observer encore quelques secondes, admirer ce corps que je devine à peine par transparence dans cette eau plus brune que limpide où la mousse du gel douche n’est plus qu’une ombre par endroit ….

Allez, je dois me décider. Doucement, je lui caresse la joue et l’appelle. Il ouvre les yeux et met quelques secondes à se rappeler de l’endroit où il se trouve.

- Oh pardon, je crois que je me suis endormi, j’étais si fatigué !

- Pas grave Sébastien, prendre un bon bain, c’est d’abord pouvoir se prélasser et se reposer, ça détend. Je te laisse terminer, je vais surveiller le repas.


Il arrive parfois que le bain soit trop délassant si bien que l’équilibre en devient instable. Je n’étais pas plus tôt à la porte de la salle de bain que j’entends Sébastien s’écraser littéralement de tout son long dans la baignoire, projetant une tonne de flotte à l’extérieur. Il avait du glisser en tentant de se relever. Je me précipite vers lui et le récupère par les aisselles … Il a bu la tasse et tousse comme un pendu. Un petit cri, sa main se dirige vers sa hanche, il a du se cogner fort.

- Tu … enfin, vous pouvez m’aider, je crois que je me suis fait très mal en tombant.

J’apprécie le dérapage, non pas sa gamelle, son dérapage verbal, ce "tu" qui résonne en moi …

Je l’aide donc à se relever. Putain qu’il est beau et ne semble pas pudique pour deux sous le gaillard ! J’assure la position et l’aide à enjamber la baignoire. Je lui tends la serviette de bain. Mais il se rend compte soudainement qu’il est entièrement nu devant moi et pique un fard de première. Je révise mon jugement un peu hâtif et comme je ne veux pas ajouter au malaise, je sors de la salle de bain en lui désignant le peignoir dont il pourra se couvrir une fois séché.

Depuis la cuisine, je l’entends remuer dans les tiroirs à la recherche d’une brosse ou d’un peigne sans doute. Puis je l’entends se laver les dents et comme je n’ai qu’une brosse … c’est qu’il se sert de la mienne !!!

Le voici qu’il me rejoint dans la cuisine. Même court, mon peignoir lui descend presque à mi-mollets et le pan de devant se retrouve pour partie dans son dos. Il est si fin … pas tout à fait comme moi qui suis un peu… enrobé ! En même temps, serré comme il est à l’intérieur, je devine la jolie protubérance entraperçue tout à l’heure sur le devant ainsi que le galbe admirable de ses fesses. Bon sang de bonsoir, il est d’un sexy comme ça … Je dois avoir un air superbement idiot à m’extasier ainsi devant lui car il me regarde bizarrement.

Je descends de mon petit nuage, bredouille un truc comme :« ça va être prêt, installes toi à la table du salon ». Il tourne les talons et s’y dirige en boitillant légèrement.

Et là, je me prends au jeu du Maître d’Hôtel … « Monsieur est servi ! Monsieur désire t’il un verre de vin (juste trois gouttes hein !) ! Monsieur apprécie t’il le menu ? … Il rit à gorge déployée à chacune de mes pitreries … Comme je suis heureux de le voir rire d'aussi bon cœur.

C’est drôle, ça ne fait pas trois heures qu’il est là, chez moi et j’ai l’impression que nous vivons ensemble depuis toujours … Une impression qu’il semble bien partager. Mon Dieu, comme il va être dur de nous séparer après cela !!

Une petite goutte de champagne pour terminer la soirée. Sébastien est aux anges et moi … je ne sais plus où je suis. Reste un léger détail à régler… le couchage ! Alors, je lui prépare un lit à même le canapé. Il me regarde faire. Je lui concède l’un de mes oreillers, puis je lui conseille de conserver sur lui le peignoir, il aura ainsi plus chaud car la cheminée ne donne plus tellement de chaleur à présent. En s’allongeant dans ce lit de fortune, je le vois grimacer.

- Tu as mal ?

- Ouais, j’ai pris une belle gamelle tout à l’heure, j’crois que j’dois avoir un sacré bleu.

Et tout en me disant cela, il remonte le peignoir jusqu’à la hanche, découvrant par là même ses si jolies fesses qui me font inévitablement fantasmer. En effet, le coquard est beau, déjà bien violacé. Je vais chercher une pommade dans mon armoire à pharmacie et lui propose de se masser avec jusqu’à ce qu'elle ait bien pénétré.

- Tu peux me le faire ?

- Si tu veux ! Ça ne te gène pas ?


- Non, non vas y ! Je ne suis pas… trop pudique.


Vous aurez remarqué, bien sûr, que le " vous " est définitivement abandonné au profit du " tu ". Alors je lui dépose une belle noix de crème sur la hanche et commence à le masser en douceur. Ses grimaces me font bien voir qu’il a réellement très mal, un bel hématome en perspective qui va durer un bon moment.

Le sommeil a raison de lui avant même que la pommade n’ait entièrement pénétré sa peau. Je rabats le peignoir et le couvre du drap et de la couverture, puis lui dépose un baiser furtif sur la joue, lui murmurant à l’oreille un « bonne nuit petit lapin apeuré ». J’éteins la lampe et me dirige vers mon lit….

Un ange dort, pas loin de moi, la vue de son visage reposé et serein dans son sommeil soudain va accompagner mes rêves.

../…

Au milieu de la nuit, je sens mon drap se soulever, un corps s’insinuer tout contre moi avec précaution, infiltration digne d’un sioux, se pelotonner contre moi, passer un bras en travers de ma poitrine, la tête au creux de mon épaule, un soupir de soulagement après tant d’efforts pour ne pas m'éveiller, le souffle qui redevient profond et régulier … je suis heureux.

Je me rendors presque aussitôt en serrant un peu plus contre moi ce corps doux et chaud.

…/…

Au petit matin, je m’éveille le premier et, sous mes yeux ébahis, je le vois tout à côté de moi, couché sur le ventre, le peignoir en vrac remonté presque à hauteur de ses omoplates, les fesses à l’air pour cause de drap repoussé dans son sommeil, la jambe droite repliée devant lui, laissant apparaître son attirail de jeune adolescent presque au grand complet … Je n’y résiste pas.

Me levant avec précaution, je vais me saisir de l’appareil photo, lequel a beaucoup servi la veille tout au long de la soirée, et là, je le prends sous toutes les coutures dans cette posture de complet abandon. Génial, cet appareil, qui me permet de le photographier sans utiliser le flash à la seule lueur des premiers rayons du soleil.

Puis je me recouche tout aussi discrètement, du moins le croyais-je, car Sébastien se tend à côté de moi, pivote sur lui-même, ouvre un œil, me voit, me sourit, se blottit contre moi, referme l’œil, cale sa tête au creux de mon épaule, passe son bras en travers de ma poitrine et reste ainsi quelques minutes sans bouger. Je sais, à sa respiration, qu’il ne dort plus. Sans doute juste l’envie de prolonger un petit moment encore de douces sensations de bien être.

Dans son pivotement, le peignoir est resté derrière lui, ce qui fait que je peux sentir son corps entièrement nu contre moi, que je peux sentir son sexe prendre de l’ampleur contre ma cuisse. Sans doute s’en rend t'il compte car il se dégage un peu de moi, probablement par peur d'une éventuelle réaction négative de ma part.

Si tu savais mon petit ange comme j’aime à sentir ton corps tout contre moi, même ton si joli sexe que je sens maintenant poindre et prendre tout son essor, ta respiration plus courte m’indiquant un certain degré d’excitation que tu ne parviens plus tout à fait à contrôler.

Alors, pour bien te faire comprendre que ton érection est un ravissement pour moi, je pose le bras sur lequel repose ta tête le long de ton dos et je viens flatter le haut de tes fesses, je laisse l’un de mes doigts s’insinuer dans ta raie tiède et légèrement moite, et je pousse, doucement pour que tu te colles à nouveau tout contre moi… Tu ne résistes pas longtemps à cette pression …

Ton sexe vibre au contact de ma peau, je le sens palpiter contre ma cuisse. Et ce mouvement de ton bassin que j’encourage et affermit, que j’accompagne en venant maintenant te caresser tendrement le visage, les cheveux … ton souffle qui prend de l’ampleur, ton haleine chaude comme la braise qui se répand sur ma poitrine, ta main qui me palpe les pectoraux, les tétons, qui s’y agrippe, me les triture…

Déjà, tu n’es plus là, tu grimpes de plus en plus haut, vers des nuées si délicieuses en lesquelles tu t’abandonnes en te crispant tout entier contre moi, entièrement accaparé par ta jouissance en devenir …. Et ce jus de jeune mâle qui s’écoule par saccades et s'écoule sur ma cuisse, chaud et savoureux comme du miel, un ultime soupir accompagne ton abandon, et puis l'apaisement, le relâchement total ….

Enfin le retour à la réalité, la conscience de ce qui vient de se produire et ton visage sur lequel je peux lire à présent la honte, voire même la peur, peur de ma réaction, peur d’avoir peut être gâché quelque chose, peur de te voir retourner dans la rue, pire, d’être livré aux flics …

Petit lapin apeuré, je te prends dans mes bras et te serre fort en te murmurant les mots les plus doux de la terre pour que ton corps et ton esprit cessent de se torturer, je te dis comme je t’aime, comme je suis heureux que tu sois là à côté de moi, comme j’aimerai qu’un tel moment dure … une éternité !

Petit lapin réconforté qui comprend que jamais, de ma part, tu n’auras à souffrir, qui t’allonge sur moi de tout son long et me couvre de ses larmes tout autant que de ses baisers chastes sur mon visage, qui croise ton regard dans le mien, qui y lit comme en un livre ouvert…

Nos yeux qui se ferment, nos lèvres qui se cherchent et se trouvent… ce premier baiser d’amour que nous échangeons, mes mains qui s’égarent sur la surface de ton dos, de tes fesses qu’elles pétrissent goulûment, nos sexes qui se tendent entre nos ventres soudés, ce simulacre d’accouplement qui intensifie encore nos sensations, cette éruption qui s’apprête à jaillir de nos membres en feu, qui se répand en cataracte, projetant avec elle des effluves si grisants, si puissants, qu’ils en décuplent encore nos sens et nous mènent vers des terres lointaines d’irréalité…

Le bonheur à l’état pur, un état duquel on ne peut sortir sans éprouver toutes les réticences du monde …. Longtemps, nous restons ainsi, sans bouger, à seulement apprécier encore et encore jusqu’aux dernières, les miettes évanescentes de ce réel acte d’amour.

…/…

Il est midi passé lorsque nous décidons ensemble d’aller nous prendre une douche vivifiante pour nous sortir de cette somnolence … Autres instants de volupté où nos mains, couvertes de gel douche se font caressantes à souhait, déclenchant de nouvelles ardeurs … Et ce sexe auquel j’ai envie de goûter, ce nectar dont je ne veux plus qu’il se perde ailleurs qu’entre mes lèvres, dont je veux me rassasier à profusion, que tu m’offres généreusement en vacillant sur tes jambes, cette douce caresse que, sans hésitation, tu me rends au centuple …

…/…

À regret, il nous faut redescendre sur terre, reprendre pied dans la réalité, non sans nous promettre de repartir vers l’Olympe dans quelques heures …

…/…

Je prépare un encas, l’amour, ça donne les crocs. Sébastien dévore tout ce que je lui présente sous le nez. Il n’a pas jugé utile de réclamer ses vêtements, je n’ai pas jugé utile de me couvrir, ne fusse que d’un simple caleçon. Notre nudité est belle à voir, à contempler, à s’en repaître à profusion et jusqu’à satiété.

Je lui propose d’aller nous dégourdir deux ou trois heures en ville, même si je sais qu’il n’y aura sans doute rien d’ouvert, jour de Noël étant. Qu’importe, il accepte bien volontiers et finit par me réclamer ses vêtements sur lesquels je donne en vitesse un coup de fer à repasser. Il s’habille prestement, j’en fais de même et c’est presque bras dessus, bras dessous, comme tous les couples amoureux de la terre que nous dévalons les escaliers et que nous nous retrouvons à l’extérieur sous une température finalement bien plus clémente que la veille. Le soleil est radieux, nous aussi. La météo s’est encore trompée, pas de flocons à l’horizon.

Sur le trajet, nous échangeons quelques boules de neige, nous prenons à parti quelques gamins qui traînent leurs savates dans le coin, heureux que l’on s’occupe un peu d’eux, puis, ô bonheur, un troquet ouvert, où nous allons nous réchauffer un moment en dégustant un merveilleux cappuccino, un vrai de vrai avec la chantilly, et nous empiffrer de quelques succulentes pâtisseries.

Si cette journée ne pouvait jamais se terminer …

…/…

Plateau repas devant la télé, collés l’un à l’autre comme s’il nous était devenu complètement insupportable d’avoir le moindre centimètre de distance entre nous.

Le programme est à chier, comme d’habitude !! Alors je sors un DVD enregistré sur les conseils avisés d’un vieil Ami, Julien, « l’histoire sans fin » comme pour prolonger le réel par le virtuel. Un régal !!

…/…

Pas question de refaire le lit d’appoint sur le canapé. Sébastien s’installe d’autorité dans mon lit … Notre lit ??!! Quelques minutes d’hésitation … Oserons-nous repartir dans nos délices du matin ? Dois-je prendre l’initiative ? Sébastien semble le souhaiter… Et puis … ne nous le sommes-nous pas promis ?

Alors, à bas ces barrières que nous impose cette société de merde qui ne fait que si peu cas de l’Amour, qui joue les vierges effarouchées quand il s’agit d’un Amour « hors norme » quel qu’il fut, parce que le verbe « aimer » est de trop dans le vocabulaire courant, qu’il n’y a pas sa place car il suppose une puissance telle qu’il dérange, qu’il perturbe, qu’il fait peur depuis l’antiquité … Les amazones, fortes de l’amour qui les unissaient les rendaient si tant redoutables à leurs ennemis … les grecs qui magnifiaient l’amour entre garçons et adultes les rendaient tout aussi redoutables …

Rien n’a changé dans notre société basée, pour l’essentiel, sur le seul pouvoir de l'argent et d'une pudibonderie tellement mal placée !!

Alors, pour dépasser cela, pour le transcender, pour l’exorciser, je veux que ce verbe prenne, une fois de plus, tout son sens originel. Mes doigts, mes mains, mes bras, tout mon corps, participent de ce projet fusionnel … et Sébastien y répond de si admirable façon qu’il m’est impossible, impensable même, de le décevoir.

Cette soirée est la nôtre, complètement la nôtre, elle va nous mener au-delà de ce que nous ne pouvions même imaginer il y a seulement 24 heures.

Fusion des sens, fusion des corps, fusion d’un Amour impensable, inconcevable, mais si tant extraordinaire que nous ne puissions concevoir, au terme de ce que nous sommes en train de vivre, qu’il ne fut pas possible. Une nuit au cours de laquelle, il ne sera place qu’au seul bonheur, ou seul l’instant présent vécu au plus intense n’a d’importance, sans nous soucier de ce qu’il adviendra demain.

…/…

Ce 26 décembre nous rappelle pourtant aux dures et intangibles réalités. Ce que nous venons de vivre durant presque 48 heures a été si émotionnellement soutenu que c’est un véritable crève-cœur que d’essayer, ne serait-ce qu’un instant, d’appréhender la réalité et ses suites… incontournables.

Sébastien ne peut demeurer avec moi éternellement, il ne peut être, au moins deux années durant, le proscrit, l'emmuré pour protéger cet Amour que nous souhaitons tant défendre et affermir. Il a cette lucidité d’esprit de dire, non pas qu’il faut y mettre un terme, ce dont il ne se résout pas et moi non plus, mais de l’aménager différemment.

Après discussion, il se décide finalement à appeler son père et le mettre en quelque sorte, au pied du mur : soit il change radicalement de comportement vis-à-vis de lui, soit il disparaît à tout jamais de son existence, le reniant irrémédiablement comme géniteur.

Sa décision est ferme et mûrement réfléchie. Les conditions pour un retour à la maison : qu’il le laisse vivre sa vie comme il le souhaite, avec qui il le souhaite, qu’il n’y ait aucune question de posée sur ces huit jours écoulés, que les flics soient tenus à l’écart de tout cela et qu’il accepte que moi, qu'il ne connait pas, j’intervienne dans son existence en qualité de "tuteur".

Le coup de fil passé, le père semble accepter les conditions non négociables et imposées par Sébastien. Fort de son accord, il me demande si je peux le ramener jusque chez lui. Bien qu’il m’en coûte énormément, à lui aussi sûrement, nous prenons le chemin du retour.

Nous trouvons son père, assit au salon, le regard vissé sur la télévision. Trône devant lui une tasse à café, signe qu’il ne semble pas avoir bu plus que de raison. Il se lève et nous accueille avec prudence, sachant l’équilibre instable et la volonté de son fils inflexible.

Il lui promet de changer, d’être le père qu’il n’aurait jamais du cesser d’être au départ de sa femme, lui demande de lui pardonner son attitude abjecte et l’assure de ce qu’il accepte sans réserve, même s'il n'en comprend pas vraiment le pourquoi, le fait que j’intervienne dans sa vie.

Et pour fêter ces retrouvailles, il nous invite au resto. L’avenir dira si son père tiendra toutes ses promesses. En attendant, il est décidé que Sébastien passera désormais toutes ses vacances chez moi. Rendez-vous donc en février prochain pour, je l’espère, 15 jours de pur bonheur.

Sur le chemin de mon retour à la maison, seul, je ne peux m’empêcher de me repasser en mémoire cette dernière phrase prononcée par Sébastien juste avant que je ne démarre :

- Tu es ce qu’il m’est arrivé de mieux dans ma vie, je t’aime et te demande d’être patient car, lorsque je serai majeur, bientôt, c’est avec toi que je veux faire ma vie entière !! Jures moi que tu sauras m’attendre !

- Je te le jure … mon Amour !


FIN

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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