Merci de ton message. Je viens d'y répondre sur ton blog. Dans les commentaires je ne sais pas comment faire pour trouver celui de Vicenzo que tu m'as envoyé. Je le vois dans les correspondance du blog, mais rien sous les textes au niveau des commentaires. Je dois être un peu novice mais avec ton aide je vais devenir pro :-))
Comme promis je te fais parvenir un autre texte, en espérant que tu aimeras autant que les deux premiers.
Gros bisous à toi et régalez-vous dans les commentaires, j'adore ça :-))
Gros bisous du lutteur suisse
Fabien
JULIEN ET ALEX
Nous sommes en plein mois de juillet, il fait très chaud, la ville s’est petit à petit vidée de ses habitants, tous partis en direction du sud. Je sors de mon club de lutte où je viens de battre
Hugo, le seul lutteur de l’équipe à n’avoir jamais perdu de combat, avant aujourd’hui. Je l’ai vaincu grâce à un double leg grapevine où j’ai réussi à le plaquer dos au sol, bien installé sur le
haut de son corps, mon bassin placé juste sur son ventre, mes jambes écartées, je glissais mes mollets sous le creux de ses genoux et calais mes pieds contre son tibia. Le haut de mon corps
plaquait sa tête et ses épaules sur le sol. Il se retrouva écartelé sous moi dans une position de soumission des plus humiliantes.
Il m’a félicité mais j’ai bien senti qu’il avait la rage. Je ne l’aime pas trop, il est laid, trapu et j’avoue que ma victoire d’aujourd’hui m’a fait un plaisir énorme.
Mais cette victoire je l’ai méritée, j’ai 24 ans, 1m85 pour 84kg de muscles. Mes épaules sont larges, ma poitrine bien bombée, mes abdominaux bien dessinés et des jambes en acier. Mais pour ça,
je soulève pas mal de fonte. Arrivé devant chez moi, petit immeuble de deux étages, avec un beau terrain gazonné devant et une piscine gonflable au milieu, j’entends des cris.
— Attends, je vais t’avoir !
— Que tu crois, Jonathan !
Mes deux jeunes voisins Jonathan et Alex, viennent de sortir de la piscine. Le corps ruisselant ils se font face. Ils ont tous deux 18 ans. Ils ne m’ont pas remarqué, alors je m’arrête pour les
regarder.
Mon Jonathan... Je sais qu’il est amoureux d’Alex, il me l’a avoué il y a peu de temps, mais Alex est hétéro. Jonathan et moi nous nous connaissons depuis longtemps, je l’ai aidé à l’école, je
l’ai défendu quand les gosses du quartier l’embêtaient. Nous sommes comme deux frères l’un envers l’autre. Nous nous connaissons si bien. Je me suis même épanché sur son épaule lorsque j’ai
quitté Nicolas. Il a été compréhensif et est resté avec moi toute la soirée pendant que je pleurais, nous avions passablement bu ce soir-là. Il m’a consolé et a posé ses lèvres sur les miennes.
Et ce qui devait arriver, arriva. Ses mains se sont posées sur moi, les miennes l’ont caressé, et sans se poser de question, on a fait l’amour tendrement et longtemps, c’est un moment auquel je
repense souvent. Et qui restera gravé dans ma mémoire.
Ils sont tous les deux en maillot de bain et soudain ils se jettent l’un sur l’autre. C’est le jeu favori de ces deux jeunes mâles, mesurer leur force pour savoir qui est le plus fort. Jonathan
passe un bras autour du cou de son ami et commence à serrer, Alex ne se laisse pas faire, ses bras se lancent en avant pour entourer la taille de son assaillant puis il pousse en avant.
Déstabilisés, ils tombent tous deux au sol bras et jambes emmêlés et comme le terrain est légèrement en pente, ils se mettent à rouler l’un sur l’autre en prenant de la vitesse. Je ne peux pas
détacher mes yeux de ces deux jeunes corps bronzés et transpirants collés l’un à l’autre. Une légère chaleur envahit mon bas-ventre. Un court instant, Jonathan prend le dessus, mais Alex réagit
en enroulant ses cuisses autour de la taille de son adversaire et serre, ses muscles de footballeur roulent sous sa peau, puis, d’un puissant coup de bassin, il le déséquilibre. Jonathan éjecté,
roule et tombe sur le dos, Alex en profite pour se ruer sur lui et commence à l’écraser de tout son poids. Légèrement plus musclé et plus grand que Jonathan, il prend le dessus. Tout en
maintenant son adversaire au sol, ses muscles se gonflent, ses bras déjà bien développés attrapent les poignets de Jonathan pour les lui maintenir au-dessus de la tête. Je vois mon petit voisin
se tortiller sous lui pour essayer de lui échapper. Mais Alex ne le laisse pas faire, je vois même ses fesses se durcir sous son speedo lorsqu’il écrase son bassin contre celui de son copain pour
l’empêcher de bouger. Il est même complètement vautré sur lui et ne se prive pas de donner de grands coups de bassins répétés en mimant une scène de sexe. Rien que de les regarder, mon sexe se
tend aussitôt sous la toile de mon pantalon. Tout en lui immobilisant les poignets, Alex se positionne de manière à se retrouver assis sur le torse de son copain en lui bloquant les épaules au
sol avec ses genoux. Il arrache une bonne poignée d’herbe et la lui frotte sur le visage. Jonathan est vaincu. C’est vrai qu’il est un peu plus chétif qu’Alex, il a de longues jambes fines et
imberbes, un torse glabre et mince. Son visage de type asiatique, de par sa mère coréenne, est adorable. Il porte de petites lunettes qui lui donnent un air touchant. Je le trouve très beau.
Alex, lui, est plutôt du genre petite frappe qui n’a peur de rien, corps ferme et musclé avec un joli visage encadré par des cheveux blonds.
Je me ressaisis tout en m’approchant d’eux.
— Salut Fabien, j’ai encore perdu, me dit Jonathan. Il est trop fort pour moi.
— Tu n’as qu’à te muscler un peu, lui répond Alex
— Essaie de faire la même chose avec Fabien, que je te voie mordre la poussière !
Alex se lève et me défie du regard.
— Qu’en dis-tu, je n’ai jamais lutté avec un vrai lutteur, on essaie.
Pour toute réponse, j’enlève mon débardeur. Comme il n’y a personne dans les parages et que mon envie de lui montrer ce que je vaux au combat grandit de plus en plus, je me réjouis de sa
proposition et j’ai très envie de le battre. Jonathan s’assoit, les jambes en tailleur et nous regarde nous défier.
On se met l’un en face de l’autre, en position. J’attends qu’Alex bouge le premier. Alors il me fonce dessus, je suis bien ancré sur mes deux jambes. Dès que son corps entre en contact avec le
mien, je le ceinture aussitôt. Je maintiens son corps plaqué contre moi tout en serrant mes bras. Comme je suis plus grand que lui, il est obligé de se mettre sur la pointe des pieds pour suivre
le mouvement. Je serre un peu plus mais pas trop car je sais que cette prise, le bearhug, est très douloureuse si elle est faite dans les règles de l’art. Je ne veux surtout pas lui faire mal. Sa
poitrine humide de transpiration due à son combat avec Jonathan est pressée contre la mienne, je sens mes tétons se durcir sous ce contact. Je pousse encore davantage mon corps en avant contre le
sien jusqu’à ce qu’il se plie en peu plus en arrière, le contact entre nos bassins poussés l’un contre l’autre devient insoutenable, je dois me concentrer pour ne pas bander. Il commence à se
tordre entre mes bras pour essayer de se dégager de ma prise, je sens nettement le frottement de tout son corps contre le mien, je suis électrisé, je ne vais plus résister très longtemps, mes
sens sont en ébullition et mon sexe commence à durcir. J’ai un peu peur qu’il ne s’en aperçoive, car nos bassins sont exactement au même niveau et un rien sépare nos deux sexes, j’ai même
l’impression de sentir une certaine dureté dans ce contact. Ses genoux commencent à se plier et j’en profite pour le jeter au sol. Alex se retrouve couché sur le dos. Je le regarde, il est
luisant de sueur, sur le dos les bras écartés, il reprend son souffle. Mes yeux parcourent son corps, ses pectoraux luisants où perlent de fines gouttes de transpiration, ses abdos bougeant au
rythme de sa respiration, ses cuisses allongées et, sous son maillot de bain, un renflement qui trahit quelque peu l’excitation que lui a procurée ce corps à corps et qui confirme mes
impressions. Je me penche vers lui pour lui tendre la main et l’aider à se relever, il se redresse pour attraper ma main et... me tire vers lui de toutes ses forces, je sens des mains derrière
moi me pousser en avant. Je tombe sur Alex, Jonathan, n’attendant que ce moment-là, me saute dessus. Il a certainement apprécié le spectacle de notre duel car je sens contre mes reins, une
érection très forte à travers son maillot blanc. L’endroit a beau être désert, ça n’est franchement pas le lieu idéal pour ce genre de fantaisie. Prenant appui sur Alex je me relève, sans oublier
de presser un peu plus mon bassin contre le sien pour sentir la dureté de son sexe contre la bosse qui doit déformer mon pantalon. Nos yeux se croisent et je le vois rougir pendant que Jonathan
chute et roule sur le sol en riant. Ils se relèvent tous les deux et courent vers la piscine pour se tremper une dernière fois et enlever tous les brins d’herbe qui collent à leur peau. J’ai
juste le temps de poser les yeux sur leurs maillots qui moulent avantageusement leurs sexes durs, avant qu’ils ne plongent dans l’eau pour refroidir leur ardeur. Lorsqu’enfin ils sortent, je ne
peux qu’admirer ces deux petits mecs qui s’essuient mutuellement le corps avec un linge. Le maillot blanc de Jonathan est devenu presque transparent en se mouillant et on devine même la couleur
de ses fesses et le renflement que fait son sexe sous le tissu. Ils reviennent vers moi.
— Comment fais-tu pour gagner tous tes combats ?
— Oui, faudra que tu nous apprennes.
— Ben si vous êtes libres venez chez moi on va faire un peu de sport et je vous montrerai quelques prises
— Génial, on te suit, me répondirent-ils.
Arrivé dans mon appartement, je les laisse dans le salon où une bonne moitié fait office de salle de sport. J’ai tout un choix d’haltères, un banc de musculation, un gros ballon de 60 cm de
diamètre et deux matelas de gym sur le sol. Je vais dans ma chambre pour me changer. Je sors ma tenue de lutte rouge en lycra. J’enlève mon pantalon et mon slip et je l’enfile. J’aime le contact
du lycra sur ma peau, c’est très sensuel. Je me regarde dans la glace, elle moule parfaitement mon corps, l’échancrure descend assez bas et laisse ressortir le haut de mes pectoraux gonflés à
bloc. Le bas s’arrête à mi-cuisses et la bosse de mon sexe se dessine sous le tissu. Je sors de la chambre et les rejoins. Je les trouve dans un corps à corps couché sur mes tapis de gym, ils
n’ont pas perdu de temps… En m’entendant arriver, ils se relèvent et me regardent avec de grands yeux.
— ouaahh, quelle tenue et quel corps
— Avant de vous montrer quelques prises de lutte on va faire un peu de musculation. On va commencer par une série de pompes avec le corps lesté, je vais vous montrer. Les pompes c’est facile,
mais pour accroître la difficulté il faut du poids supplémentaire. Et pour ça je vais t’utiliser Jonathan.
Il me regarde sans comprendre, son maillot toujours un peu humide et toujours aussi transparent, un bonheur pour mes yeux et je ne peux m’empêcher d’admirer sa jolie petite queue moulée
dedans.
— En fait, tu vas simplement te coucher sur mon dos pendant que je fais mes pompes.
Je me mets en position, les mains posées sur le sol, le corps allongé et le dos bien droit. Jonathan s’approche de moi, se mets à genoux et se couche sur mon dos en gardant les pieds au sol.
C’est lourd, mais je commence à descendre sur mes bras, jusqu’à ce que mon corps soit parallèle au sol, mes pectoraux sont tendus à l’extrême et mes triceps se gonflent. Je commence mes
répétitions, un... deux...trois... le corps de Jonathan contre mon dos se fait de plus en plus lourd, quatre... cinq... six... son bassin se trouve au niveau de mes fesses, je sens son sexe se
durcir sous son maillot, sept... huit... neuf... mes muscles tétanisés s’épuisent tandis que ma queue se gonfle de désir, dix... onze... douze... je m’allonge sur le sol, son corps toujours soudé
au mien, son sexe de plus en plus raide contre mes fesses. Doucement, Jonathan se détache de moi et on se relève. Alex a les yeux braqués sur nous, il regarde nos deux slips déformés par la
grosseur de nos sexes, mais ne dit rien
— À ton tour Jonathan et c’est Alex qui se couchera sur toi.
Il se met en position, je regarde Alex s’approcher et se coucher sur lui, j’en reviens pas, une bosse énorme tend son speedo. Il se positionne de manière à ce que son sexe en érection se calle
entre les fesses de Jonathan, j’ai même l’impression que son gland commence à pointer hors du maillot. Jonathan tremble sous le poids de son ami et commence à descendre... un... je vois les mains
d’Alex se glisser sous le corps de Jonathan, deux... ses doigts se dirigent vers la bosse énorme qui étire son maillot... trois... Jonathan s’écroule sous le poids d’Alex où ses mains restent
coincées sous cette formidable érection. Ils restent allongés quelques instants l’un sur l’autre. Je vois même Jonathan écarter légèrement les cuisses et je vois les doigts d’Alex ressortir
par-dessous et envelopper la bosse du maillot.
— Eh les gars vous voulez pas qu’on se mette un peu plus à l’aise avant d’attaquer le prochain exercice ?
Ils se relèvent et enlèvent leurs maillots qui ne cachaient plus rien de leur excitation. Je vois leurs bites enfin libérées pointer fièrement leur gland en l’air. A mon tour j’enlève ma tenue de
lutte où une légère tache s’est formée au niveau de mon sexe raide.
Comme deuxième exercice je leur propose une série d’abdominaux sur ballon. C’est Alex qui s'y colle en se couchant sur le ballon, cuisses écartées pour garder l’équilibre, les mains derrière la
tête. Son sexe est toujours aussi raide et il me semble voir une petite goutte perler sur le bout de son gland. Comme si de rien n’était, en contractant ses abdominaux, il remonte le haut de son
corps. Puis il se recouche sur le ballon en arquant son corps de manière à épouser la forme du ballon. C’est magnifique à regarder, les muscles roulent sous sa peau. Je touche son corps ici et là
pour corriger quelque peu sa position. Plus il s’étire en arrière sur cette surface sphérique, plus son sexe se tend au dessus de son corps. Ma main s’applique à appuyer sur le bas de ses
abdominaux, pour que son ventre reste le plus plat possible. Cela semble avoir des effets bénéfiques sur le volume de sa queue, qui grossit encore plus. Mais Alex continue bravement toutes ses
répétitions. Je jette un coup d’œil vers Jonathan, il est assis en tailleur et nous regarde, sa main distraitement posée sur son sexe qui n’a rien à envier à celui de son copain. Une fois
l’exercice terminé Alex s’arrête et se relève du ballon.
— Va-t-on être capable de lutter dans cet état là ? nous dit-il en riant.
— On a qu’à essayer lui répond Jonathan.
Je leur demande de me rejoindre sur les matelas.
— Je vais vous montrer une prise qui va vous plaire, qui veux essayer ?
— Moi ! me dit Alex, j’ai une revanche à prendre.
— OK, mets toi en position.
Penchés, le buste en avant, on se tourne autour comme deux lions prêts à se sauter dessus. L’excitation est palpable, nos queues dressées ne cachent rien de nos intentions. Alex se rue en avant,
je fais un pas de côté en laissant mon pied sur sa trajectoire. Il culbute en avant en roulant et se retrouve sur le dos, les bras en l’air. À ce moment tout va très vite, je me jette sur lui et
m’assois à l’envers sur le haut de ses pectoraux de façon à ce que mes fesses se retrouvent au niveau de son visage. Ses bras se retrouvent coincés en arrière entre mes cuisses, je me relève un
peu sur mes genoux, me penche en avant et mes mains attrapent ses chevilles. Son sexe est toujours dressé, je tire sur ses jambes en arrière pour les ramener vers moi et le bas de son corps suit
le mouvement. Je continue à tirer en arrière afin que ses jambes passent de chaque côté de mon corps et que ses pieds touchent le sol derrière moi. Nos sexes se touchent. Si je penche mon buste
en avant, ma tête se trouvera au-dessus de ses fesses. L’envie est trop forte, pendant que nos queues raides se frottent l’une à l’autre, je plonge mon visage entre ces deux lobes bien fermes. Ma
bouche ouverte se pose juste sur son anus et ma langue s’écrase sur sa rondelle. Elle commence à tourner autour en y déposant un maximum de salive puis se fait plus insistante forçant encor un
peu plus contre l’entrée de son trou pour en écarter les parois.
— Fab qu’est-ce que tu fais ?
— Ce que tu attends depuis un moment lui répond Jonathan, qui s’approche de nous.
Il commence à carresser les fesses d’Alex, les écarte un maximum afin que ma langue devenue dure puisse le pénétrer un peu. La queue d’Alex tressaute et se mouille de plus en plus, nos deux
glands l’un contre l’autre. Ma langue fouille ses entrailles, je sens même Jonathan essayer d’y glisser un doigt. Les râles qui sortent de la bouche d’Alex nous prouvent que sa jouissance n’est
pas loin. Le doigt a rejoint ma langue et nous nous activons de plus en plus vite et plus fort, je sens les parois de son anus se resserrer autour de ma langue, je la ressors pour laisser entrer
ce doigt plus profondément, Jonathan et moi avons trouvé notre rythme, chacun de nous se plongeant avec bonheur entre les fesses d’Alex. Sa respiration se fait de plus en plus saccadée, son
gland se gonflant à l’extrême. J’enfile ma langue à l’intérieur de son cul une dernière fois quand je sens son sexe se vider en longues saccades contre ma queue. On se détache les uns des autres,
nos corps moites, dans une odeur de sperme et de sueur.
Alex est aux anges.
— Dieux que c’était bon, j’en avais envie depuis longtemps, mais je n’ai jamais osé en parler.
— Tu en veux plus ? lui dis-je.
— Oui, souffle-t-il.
Alex se met à quatre pattes, je me couche sous lui pour gober son sexe qui pendouille. Ma bouche l’avale tout entier et se délecte de sa semence qui finit de s’écouler. Je commence à le pomper
doucement, en faisant bien tourner ma langue autour de son gland. Au bout de quelques secondes une légère érection se fait sentir. Pendant ce moment, Jonathan se glisse derrière lui et après
s’être mouillé les doigts, il commence à introduire son majeur dans son anus encore bien humide de ma salive. Je sens la queue d’Alex se gonfler encore davantage tandis que mes lèvres coulissent
le long de sa hampe. Il donne quelques légers coups de bassin pour pénétrer ma bouche plus profondément et se recule afin de s’empaler sur le doigt d’Alex, qui en profite pour y glisser un second
doigt. Une fois que je le sens prêt, nous changeons de position. Je me positionne derrière Alex, pendant que Jonathan prend ma place. Alex comprend aussitôt ce qui va se passer et ses lèvres
s’écartent dans un sourire gourmand. Son sexe toujours aussi raide s’enfonce dans la bouche de Jonathan qui ne demande que ça. Et moi je continue à préparer son anus en espérant y faire pénétrer
quelque chose de plus gros que mes trois doigts qui s’activent à l’intérieur de ses entrailles. Les parois de son cul s’assouplissent de plus en plus pendant qu’il se fait sucer la queue par son
copain. J’enlève délicatement mes doigts et positionne mon sexe durci par l’envie. Mon gland se presse contre son anneau qui s’écarte légèrement sous la pression. Tout doucement je commence à
pousser et je sens ses parois s’écarter pendant que mon gland en force l’entrée.
— Aie, ça fait un peu mal.
— Détends toi un max, je me retire si tu veux.
— Non, non mais vas-y doucement
Tout en se masturbant avec avidité, Jonathan continue de plus belle à pomper ce sexe dont il rêvait depuis pas mal de temps. Mes mains se posent sur les fesses d’Alex et je l’attire délicatement
contre moi, mon sexe avance encore un peu, il ne dit rien, je l’entends même râler sous la langue experte de Jonathan. J’en profite pour faire pénétrer ma queue encore un peu plus, le plus dur
est passé. Je commence tout doucement à reculer mon sexe pour l’enfoncer de plus belle, les râles d’Alex deviennent un peu plus rauques. Son anus, mouillé et dilaté par son envie, avale ma queue
sous la poussée que fait Alex pour venir s’y empaler le plus loin possible. Mon excitation devient des plus fortes, je me retire d’un coup pour le pénétrer à nouveau, mon bassin s’écrasant contre
ses fesses. J’accélère la cadence avec de longs et rapides mouvements de bassin, où je me retire quelquefois entièrement pour le pénétrer avec encore plus de force. Ses râles deviennent
gémissement, mon plaisir devient difficilement contrôlable tandis que Jonathan s’étouffe avec cette queue qui le ravit. Mes mouvements s’accélèrent encore un peu et son cul s’empale de plus en
plus violemment et de plus en plus profondément sur ma queue qui n’en peut plus de durcir. Nous sommes tous les trois trempés de sueur sous l’effort, j’entends Alex crier de bonheur, pendant que
son anus se resserre autour de ma queue. Il éjacule avec un cri de jouissance et je suis sûr que Jonathan n’en perd pas une goutte. Pris dans cet écrin soyeux et de plus en plus serré mon sexe se
vide en de longes giclées dans ses entrailles.
Après avoir repris notre souffle, nous nous séparons, sur le matelas une grosse tâche de sperme que Jonathan avait répandu en avalant le sperme d’Alex. Nous nous allongeons tous les trois sur le
dos, les mains dans les mains, un sourire béat sur les lèvres en fermant doucement les yeux.
Fabien
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