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Mercredi 27 février 3 27 /02 /Fév 14:22

Merci de ton message. Je viens d'y répondre sur ton blog. Dans les commentaires je ne sais pas comment faire pour trouver celui de Vicenzo que tu m'as envoyé. Je le vois dans les correspondance du blog, mais rien sous les textes au niveau des commentaires. Je dois être un peu novice mais avec ton aide je vais devenir pro :-))

 

Comme promis je te fais parvenir un autre texte, en espérant que tu aimeras autant que les deux premiers.

Gros bisous à toi et régalez-vous dans les commentaires, j'adore ça :-))

Gros bisous du lutteur suisse

Fabien

JULIEN ET ALEX

Nous sommes en plein mois de juillet, il fait très chaud, la ville s’est petit à petit vidée de ses habitants, tous partis en direction du sud. Je sors de mon club de lutte où je viens de battre Hugo, le seul lutteur de l’équipe à n’avoir jamais perdu de combat, avant aujourd’hui. Je l’ai vaincu grâce à un double leg grapevine où j’ai réussi à le plaquer dos au sol, bien installé sur le haut de son corps, mon bassin placé juste sur son ventre, mes jambes écartées, je glissais mes mollets sous le creux de ses genoux et calais mes pieds contre son tibia. Le haut de mon corps plaquait sa tête et ses épaules sur le sol. Il se retrouva écartelé sous moi dans une position de soumission des plus humiliantes. 
Il m’a félicité mais j’ai bien senti qu’il avait la rage. Je ne l’aime pas trop, il est laid, trapu et j’avoue que ma victoire d’aujourd’hui m’a fait un plaisir énorme. 
Mais cette victoire je l’ai méritée, j’ai 24 ans, 1m85 pour 84kg de muscles. Mes épaules sont larges, ma poitrine bien bombée, mes abdominaux bien dessinés et des jambes en acier. Mais pour ça, je soulève pas mal de fonte. Arrivé devant chez moi, petit immeuble de deux étages, avec un beau terrain gazonné devant et une piscine gonflable au milieu, j’entends des cris. 
— Attends, je vais t’avoir ! 
— Que tu crois, Jonathan ! 
Mes deux jeunes voisins Jonathan et Alex, viennent de sortir de la piscine. Le corps ruisselant ils se font face. Ils ont tous deux 18 ans. Ils ne m’ont pas remarqué, alors je m’arrête pour les regarder. 
Mon Jonathan... Je sais qu’il est amoureux d’Alex, il me l’a avoué il y a peu de temps, mais Alex est hétéro. Jonathan et moi nous nous connaissons depuis longtemps, je l’ai aidé à l’école, je l’ai défendu quand les gosses du quartier l’embêtaient. Nous sommes comme deux frères l’un envers l’autre. Nous nous connaissons si bien. Je me suis même épanché sur son épaule lorsque j’ai quitté Nicolas. Il a été compréhensif et est resté avec moi toute la soirée pendant que je pleurais, nous avions passablement bu ce soir-là. Il m’a consolé et a posé ses lèvres sur les miennes. Et ce qui devait arriver, arriva. Ses mains se sont posées sur moi, les miennes l’ont caressé, et sans se poser de question, on a fait l’amour tendrement et longtemps, c’est un moment auquel je repense souvent. Et qui restera gravé dans ma mémoire. 
Ils sont tous les deux en maillot de bain et soudain ils se jettent l’un sur l’autre. C’est le jeu favori de ces deux jeunes mâles, mesurer leur force pour savoir qui est le plus fort. Jonathan passe un bras autour du cou de son ami et commence à serrer, Alex ne se laisse pas faire, ses bras se lancent en avant pour entourer la taille de son assaillant puis il pousse en avant. Déstabilisés, ils tombent tous deux au sol bras et jambes emmêlés et comme le terrain est légèrement en pente, ils se mettent à rouler l’un sur l’autre en prenant de la vitesse. Je ne peux pas détacher mes yeux de ces deux jeunes corps bronzés et transpirants collés l’un à l’autre. Une légère chaleur envahit mon bas-ventre. Un court instant, Jonathan prend le dessus, mais Alex réagit en enroulant ses cuisses autour de la taille de son adversaire et serre, ses muscles de footballeur roulent sous sa peau, puis, d’un puissant coup de bassin, il le déséquilibre. Jonathan éjecté, roule et tombe sur le dos, Alex en profite pour se ruer sur lui et commence à l’écraser de tout son poids. Légèrement plus musclé et plus grand que Jonathan, il prend le dessus. Tout en maintenant son adversaire au sol, ses muscles se gonflent, ses bras déjà bien développés attrapent les poignets de Jonathan pour les lui maintenir au-dessus de la tête. Je vois mon petit voisin se tortiller sous lui pour essayer de lui échapper. Mais Alex ne le laisse pas faire, je vois même ses fesses se durcir sous son speedo lorsqu’il écrase son bassin contre celui de son copain pour l’empêcher de bouger. Il est même complètement vautré sur lui et ne se prive pas de donner de grands coups de bassins répétés en mimant une scène de sexe. Rien que de les regarder, mon sexe se tend aussitôt sous la toile de mon pantalon. Tout en lui immobilisant les poignets, Alex se positionne de manière à se retrouver assis sur le torse de son copain en lui bloquant les épaules au sol avec ses genoux. Il arrache une bonne poignée d’herbe et la lui frotte sur le visage. Jonathan est vaincu. C’est vrai qu’il est un peu plus chétif qu’Alex, il a de longues jambes fines et imberbes, un torse glabre et mince. Son visage de type asiatique, de par sa mère coréenne, est adorable. Il porte de petites lunettes qui lui donnent un air touchant. Je le trouve très beau. Alex, lui, est plutôt du genre petite frappe qui n’a peur de rien, corps ferme et musclé avec un joli visage encadré par des cheveux blonds. 
Je me ressaisis tout en m’approchant d’eux. 
— Salut Fabien, j’ai encore perdu, me dit Jonathan. Il est trop fort pour moi. 
— Tu n’as qu’à te muscler un peu, lui répond Alex 
— Essaie de faire la même chose avec Fabien, que je te voie mordre la poussière ! 
Alex se lève et me défie du regard. 
— Qu’en dis-tu, je n’ai jamais lutté avec un vrai lutteur, on essaie. 
Pour toute réponse, j’enlève mon débardeur. Comme il n’y a personne dans les parages et que mon envie de lui montrer ce que je vaux au combat grandit de plus en plus, je me réjouis de sa proposition et j’ai très envie de le battre. Jonathan s’assoit, les jambes en tailleur et nous regarde nous défier. 
On se met l’un en face de l’autre, en position. J’attends qu’Alex bouge le premier. Alors il me fonce dessus, je suis bien ancré sur mes deux jambes. Dès que son corps entre en contact avec le mien, je le ceinture aussitôt. Je maintiens son corps plaqué contre moi tout en serrant mes bras. Comme je suis plus grand que lui, il est obligé de se mettre sur la pointe des pieds pour suivre le mouvement. Je serre un peu plus mais pas trop car je sais que cette prise, le bearhug, est très douloureuse si elle est faite dans les règles de l’art. Je ne veux surtout pas lui faire mal. Sa poitrine humide de transpiration due à son combat avec Jonathan est pressée contre la mienne, je sens mes tétons se durcir sous ce contact. Je pousse encore davantage mon corps en avant contre le sien jusqu’à ce qu’il se plie en peu plus en arrière, le contact entre nos bassins poussés l’un contre l’autre devient insoutenable, je dois me concentrer pour ne pas bander. Il commence à se tordre entre mes bras pour essayer de se dégager de ma prise, je sens nettement le frottement de tout son corps contre le mien, je suis électrisé, je ne vais plus résister très longtemps, mes sens sont en ébullition et mon sexe commence à durcir. J’ai un peu peur qu’il ne s’en aperçoive, car nos bassins sont exactement au même niveau et un rien sépare nos deux sexes, j’ai même l’impression de sentir une certaine dureté dans ce contact. Ses genoux commencent à se plier et j’en profite pour le jeter au sol. Alex se retrouve couché sur le dos. Je le regarde, il est luisant de sueur, sur le dos les bras écartés, il reprend son souffle. Mes yeux parcourent son corps, ses pectoraux luisants où perlent de fines gouttes de transpiration, ses abdos bougeant au rythme de sa respiration, ses cuisses allongées et, sous son maillot de bain, un renflement qui trahit quelque peu l’excitation que lui a procurée ce corps à corps et qui confirme mes impressions. Je me penche vers lui pour lui tendre la main et l’aider à se relever, il se redresse pour attraper ma main et... me tire vers lui de toutes ses forces, je sens des mains derrière moi me pousser en avant. Je tombe sur Alex, Jonathan, n’attendant que ce moment-là, me saute dessus. Il a certainement apprécié le spectacle de notre duel car je sens contre mes reins, une érection très forte à travers son maillot blanc. L’endroit a beau être désert, ça n’est franchement pas le lieu idéal pour ce genre de fantaisie. Prenant appui sur Alex je me relève, sans oublier de presser un peu plus mon bassin contre le sien pour sentir la dureté de son sexe contre la bosse qui doit déformer mon pantalon. Nos yeux se croisent et je le vois rougir pendant que Jonathan chute et roule sur le sol en riant. Ils se relèvent tous les deux et courent vers la piscine pour se tremper une dernière fois et enlever tous les brins d’herbe qui collent à leur peau. J’ai juste le temps de poser les yeux sur leurs maillots qui moulent avantageusement leurs sexes durs, avant qu’ils ne plongent dans l’eau pour refroidir leur ardeur. Lorsqu’enfin ils sortent, je ne peux qu’admirer ces deux petits mecs qui s’essuient mutuellement le corps avec un linge. Le maillot blanc de Jonathan est devenu presque transparent en se mouillant et on devine même la couleur de ses fesses et le renflement que fait son sexe sous le tissu. Ils reviennent vers moi. 
— Comment fais-tu pour gagner tous tes combats ? 
— Oui, faudra que tu nous apprennes. 
— Ben si vous êtes libres venez chez moi on va faire un peu de sport et je vous montrerai quelques prises 
— Génial, on te suit, me répondirent-ils. 




Arrivé dans mon appartement, je les laisse dans le salon où une bonne moitié fait office de salle de sport. J’ai tout un choix d’haltères, un banc de musculation, un gros ballon de 60 cm de diamètre et deux matelas de gym sur le sol. Je vais dans ma chambre pour me changer. Je sors ma tenue de lutte rouge en lycra. J’enlève mon pantalon et mon slip et je l’enfile. J’aime le contact du lycra sur ma peau, c’est très sensuel. Je me regarde dans la glace, elle moule parfaitement mon corps, l’échancrure descend assez bas et laisse ressortir le haut de mes pectoraux gonflés à bloc. Le bas s’arrête à mi-cuisses et la bosse de mon sexe se dessine sous le tissu. Je sors de la chambre et les rejoins. Je les trouve dans un corps à corps couché sur mes tapis de gym, ils n’ont pas perdu de temps… En m’entendant arriver, ils se relèvent et me regardent avec de grands yeux. 
— ouaahh, quelle tenue et quel corps 
— Avant de vous montrer quelques prises de lutte on va faire un peu de musculation. On va commencer par une série de pompes avec le corps lesté, je vais vous montrer. Les pompes c’est facile, mais pour accroître la difficulté il faut du poids supplémentaire. Et pour ça je vais t’utiliser Jonathan. 
Il me regarde sans comprendre, son maillot toujours un peu humide et toujours aussi transparent, un bonheur pour mes yeux et je ne peux m’empêcher d’admirer sa jolie petite queue moulée dedans. 
— En fait, tu vas simplement te coucher sur mon dos pendant que je fais mes pompes. 
Je me mets en position, les mains posées sur le sol, le corps allongé et le dos bien droit. Jonathan s’approche de moi, se mets à genoux et se couche sur mon dos en gardant les pieds au sol. C’est lourd, mais je commence à descendre sur mes bras, jusqu’à ce que mon corps soit parallèle au sol, mes pectoraux sont tendus à l’extrême et mes triceps se gonflent. Je commence mes répétitions, un... deux...trois... le corps de Jonathan contre mon dos se fait de plus en plus lourd, quatre... cinq... six... son bassin se trouve au niveau de mes fesses, je sens son sexe se durcir sous son maillot, sept... huit... neuf... mes muscles tétanisés s’épuisent tandis que ma queue se gonfle de désir, dix... onze... douze... je m’allonge sur le sol, son corps toujours soudé au mien, son sexe de plus en plus raide contre mes fesses. Doucement, Jonathan se détache de moi et on se relève. Alex a les yeux braqués sur nous, il regarde nos deux slips déformés par la grosseur de nos sexes, mais ne dit rien 
— À ton tour Jonathan et c’est Alex qui se couchera sur toi. 
Il se met en position, je regarde Alex s’approcher et se coucher sur lui, j’en reviens pas, une bosse énorme tend son speedo. Il se positionne de manière à ce que son sexe en érection se calle entre les fesses de Jonathan, j’ai même l’impression que son gland commence à pointer hors du maillot. Jonathan tremble sous le poids de son ami et commence à descendre... un... je vois les mains d’Alex se glisser sous le corps de Jonathan, deux... ses doigts se dirigent vers la bosse énorme qui étire son maillot... trois... Jonathan s’écroule sous le poids d’Alex où ses mains restent coincées sous cette formidable érection. Ils restent allongés quelques instants l’un sur l’autre. Je vois même Jonathan écarter légèrement les cuisses et je vois les doigts d’Alex ressortir par-dessous et envelopper la bosse du maillot. 
— Eh les gars vous voulez pas qu’on se mette un peu plus à l’aise avant d’attaquer le prochain exercice ? 
Ils se relèvent et enlèvent leurs maillots qui ne cachaient plus rien de leur excitation. Je vois leurs bites enfin libérées pointer fièrement leur gland en l’air. A mon tour j’enlève ma tenue de lutte où une légère tache s’est formée au niveau de mon sexe raide. 
Comme deuxième exercice je leur propose une série d’abdominaux sur ballon. C’est Alex qui s'y colle en se couchant sur le ballon, cuisses écartées pour garder l’équilibre, les mains derrière la tête. Son sexe est toujours aussi raide et il me semble voir une petite goutte perler sur le bout de son gland. Comme si de rien n’était, en contractant ses abdominaux, il remonte le haut de son corps. Puis il se recouche sur le ballon en arquant son corps de manière à épouser la forme du ballon. C’est magnifique à regarder, les muscles roulent sous sa peau. Je touche son corps ici et là pour corriger quelque peu sa position. Plus il s’étire en arrière sur cette surface sphérique, plus son sexe se tend au dessus de son corps. Ma main s’applique à appuyer sur le bas de ses abdominaux, pour que son ventre reste le plus plat possible. Cela semble avoir des effets bénéfiques sur le volume de sa queue, qui grossit encore plus. Mais Alex continue bravement toutes ses répétitions. Je jette un coup d’œil vers Jonathan, il est assis en tailleur et nous regarde, sa main distraitement posée sur son sexe qui n’a rien à envier à celui de son copain. Une fois l’exercice terminé Alex s’arrête et se relève du ballon. 
— Va-t-on être capable de lutter dans cet état là ? nous dit-il en riant. 
— On a qu’à essayer lui répond Jonathan. 
Je leur demande de me rejoindre sur les matelas. 
— Je vais vous montrer une prise qui va vous plaire, qui veux essayer ? 
— Moi ! me dit Alex, j’ai une revanche à prendre. 
— OK, mets toi en position. 
Penchés, le buste en avant, on se tourne autour comme deux lions prêts à se sauter dessus. L’excitation est palpable, nos queues dressées ne cachent rien de nos intentions. Alex se rue en avant, je fais un pas de côté en laissant mon pied sur sa trajectoire. Il culbute en avant en roulant et se retrouve sur le dos, les bras en l’air. À ce moment tout va très vite, je me jette sur lui et m’assois à l’envers sur le haut de ses pectoraux de façon à ce que mes fesses se retrouvent au niveau de son visage. Ses bras se retrouvent coincés en arrière entre mes cuisses, je me relève un peu sur mes genoux, me penche en avant et mes mains attrapent ses chevilles. Son sexe est toujours dressé, je tire sur ses jambes en arrière pour les ramener vers moi et le bas de son corps suit le mouvement. Je continue à tirer en arrière afin que ses jambes passent de chaque côté de mon corps et que ses pieds touchent le sol derrière moi. Nos sexes se touchent. Si je penche mon buste en avant, ma tête se trouvera au-dessus de ses fesses. L’envie est trop forte, pendant que nos queues raides se frottent l’une à l’autre, je plonge mon visage entre ces deux lobes bien fermes. Ma bouche ouverte se pose juste sur son anus et ma langue s’écrase sur sa rondelle. Elle commence à tourner autour en y déposant un maximum de salive puis se fait plus insistante forçant encor un peu plus contre l’entrée de son trou pour en écarter les parois. 
— Fab qu’est-ce que tu fais ? 
— Ce que tu attends depuis un moment lui répond Jonathan, qui s’approche de nous. 
Il commence à carresser les fesses d’Alex, les écarte un maximum afin que ma langue devenue dure puisse le pénétrer un peu. La queue d’Alex tressaute et se mouille de plus en plus, nos deux glands l’un contre l’autre. Ma langue fouille ses entrailles, je sens même Jonathan essayer d’y glisser un doigt. Les râles qui sortent de la bouche d’Alex nous prouvent que sa jouissance n’est pas loin. Le doigt a rejoint ma langue et nous nous activons de plus en plus vite et plus fort, je sens les parois de son anus se resserrer autour de ma langue, je la ressors pour laisser entrer ce doigt plus profondément, Jonathan et moi avons trouvé notre rythme, chacun de nous se plongeant avec bonheur entre les fesses d’Alex. Sa respiration se fait de plus en plus saccadée, son gland se gonflant à l’extrême. J’enfile ma langue à l’intérieur de son cul une dernière fois quand je sens son sexe se vider en longues saccades contre ma queue. On se détache les uns des autres, nos corps moites, dans une odeur de sperme et de sueur. 
Alex est aux anges. 
— Dieux que c’était bon, j’en avais envie depuis longtemps, mais je n’ai jamais osé en parler. 
— Tu en veux plus ? lui dis-je. 
— Oui, souffle-t-il. 
Alex se met à quatre pattes, je me couche sous lui pour gober son sexe qui pendouille. Ma bouche l’avale tout entier et se délecte de sa semence qui finit de s’écouler. Je commence à le pomper doucement, en faisant bien tourner ma langue autour de son gland. Au bout de quelques secondes une légère érection se fait sentir. Pendant ce moment, Jonathan se glisse derrière lui et après s’être mouillé les doigts, il commence à introduire son majeur dans son anus encore bien humide de ma salive. Je sens la queue d’Alex se gonfler encore davantage tandis que mes lèvres coulissent le long de sa hampe. Il donne quelques légers coups de bassin pour pénétrer ma bouche plus profondément et se recule afin de s’empaler sur le doigt d’Alex, qui en profite pour y glisser un second doigt. Une fois que je le sens prêt, nous changeons de position. Je me positionne derrière Alex, pendant que Jonathan prend ma place. Alex comprend aussitôt ce qui va se passer et ses lèvres s’écartent dans un sourire gourmand. Son sexe toujours aussi raide s’enfonce dans la bouche de Jonathan qui ne demande que ça. Et moi je continue à préparer son anus en espérant y faire pénétrer quelque chose de plus gros que mes trois doigts qui s’activent à l’intérieur de ses entrailles. Les parois de son cul s’assouplissent de plus en plus pendant qu’il se fait sucer la queue par son copain. J’enlève délicatement mes doigts et positionne mon sexe durci par l’envie. Mon gland se presse contre son anneau qui s’écarte légèrement sous la pression. Tout doucement je commence à pousser et je sens ses parois s’écarter pendant que mon gland en force l’entrée. 
— Aie, ça fait un peu mal. 
— Détends toi un max, je me retire si tu veux. 
— Non, non mais vas-y doucement 
Tout en se masturbant avec avidité, Jonathan continue de plus belle à pomper ce sexe dont il rêvait depuis pas mal de temps. Mes mains se posent sur les fesses d’Alex et je l’attire délicatement contre moi, mon sexe avance encore un peu, il ne dit rien, je l’entends même râler sous la langue experte de Jonathan. J’en profite pour faire pénétrer ma queue encore un peu plus, le plus dur est passé. Je commence tout doucement à reculer mon sexe pour l’enfoncer de plus belle, les râles d’Alex deviennent un peu plus rauques. Son anus, mouillé et dilaté par son envie, avale ma queue sous la poussée que fait Alex pour venir s’y empaler le plus loin possible. Mon excitation devient des plus fortes, je me retire d’un coup pour le pénétrer à nouveau, mon bassin s’écrasant contre ses fesses. J’accélère la cadence avec de longs et rapides mouvements de bassin, où je me retire quelquefois entièrement pour le pénétrer avec encore plus de force. Ses râles deviennent gémissement, mon plaisir devient difficilement contrôlable tandis que Jonathan s’étouffe avec cette queue qui le ravit. Mes mouvements s’accélèrent encore un peu et son cul s’empale de plus en plus violemment et de plus en plus profondément sur ma queue qui n’en peut plus de durcir. Nous sommes tous les trois trempés de sueur sous l’effort, j’entends Alex crier de bonheur, pendant que son anus se resserre autour de ma queue. Il éjacule avec un cri de jouissance et je suis sûr que Jonathan n’en perd pas une goutte. Pris dans cet écrin soyeux et de plus en plus serré mon sexe se vide en de longes giclées dans ses entrailles. 
Après avoir repris notre souffle, nous nous séparons, sur le matelas une grosse tâche de sperme que Jonathan avait répandu en avalant le sperme d’Alex. Nous nous allongeons tous les trois sur le dos, les mains dans les mains, un sourire béat sur les lèvres en fermant doucement les yeux. 
Fabien
wrestlers

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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Dimanche 24 février 7 24 /02 /Fév 22:46

 

suite 2 Ses fesses semblent respirer en rythme....

Il était assez tard avec tout ça et il ne restait plus grand monde. Après m’être changé, enfin après avoir mis mon bermuda, je me suis dit que je pouvais très bien leur rendre la serviette tout de suite et je suis retourné au bureau des surveillants. En chemin, je n’en ai croisé aucun. J’entre dans la première pièce, qui est vide. Ni une ni deux, je me dirige vers la porte vitrée pour regarder dans la deuxième pièce, et là... re-belotte. Alex au beau cul me tourne le dos et j’ai encore droit au spectacle de tout à l’heure: le bel athlète en mouvement, tous ses muscles des cuisses aux épaules en passant par ses fesses qui semblent respirer en rythme.

Dans un état second, j’ouvre la porte et m’approche. Quelqu’un est à genoux devant Alex. Je vois des mains qui s’accrochent à ses cuisses. Alex est en train de se faire sucer, ou plutôt il est en train de baiser la gueule de, ben oui, d’un mec, à poil à ses genoux, la queue dressé par ce qu’il subit. Je m’accroupis pour voir entre les cuisses d’Alex le blond. Je vois ses belles couilles se balader, heurter le menton du gars, un ado de mon âge, peut-être un peu plus jeune, blond décoloré oui. De voir la queue d’Alex rentrer et sortir de la bouche du jeunot par en dessous me fait un effet de coup de bélier! Le bermuda c’est bien gentil, mais on est mieux à poil ici! Je lève les yeux, et je vois là, à quelques centimètres de moi, ce petit trou rose entouré de fins poils blonds à peine visibles qui apparaît par intermittence entre ces fesses musclées qui s’embrassent en se creusant puis bayent en reculant décontractées...

J’oublie les bruits bizarres que fait le mec de l’autre côté, mes mains en coupe se posent sur ces fesses pour accompagner leur mouvement, mon nez se glisse entre elle pour sentir... le jeune mâle qui n’a rien de l’odeur ou la froideur d’une statue de marbre! Il s’est arrêté de bouger je crois, il tourne la tête et se cambre pour voir qui est là, il me sourit, une main passe dans mes cheveux pour me flatter et le mouvement reprend, plus ample à mon intention. Je suis obligé d’écarter ses fesses pour ne pas perdre de vue son œillet au fond de sa raie si profonde; chaque fois qu’il recule je l’embrasse, je pointe ma langue. Ce n’est vraiment pas facile, il bouge trop et ses fesses sont trop musclées, en tout cas quand il est debout!

Je décide de me lever et de caresser son dos, ses épaules. Je me colle à lui, me frotte contre lui. Je suis plus petit mais justement, le bout de ma queue raide dressée à la verticale se glisse entre ses fesses et pointe sur son œil humide. Alex se cambre, il se baisse doucement et je sens une pression soyeuse sur mon gland. Je m’accroche à son torse comme pour l’escalader. J’empoigne ses pectoraux et ma bite s’enfonce dans, dans ses fesses musclées, dans ce cul viril doux et chaud, si accueillant. Rapidement, je me mets à m’agiter. Je l’encule un peu dans tous les sens, tout en caressant ce corps musclé et puissant qui se contracte sous mes coups. Il se cambre pour que je puisse m’enfoncer plus facilement. Puis il se met à genoux sans que j’arrête de le pistonner. En fait, l’ado qui le suçait s’est allongé par terre sur le dos et les jambes relevées invitent Alex à venir enfoncer sa propre queue qui n’a pas débandé d’un millimètre sous mes coups, bien au contraire!

Je repense aux fesses musclées d’Alex qui poussent et tirent sa queue d’athlète dans le cul imberbe du petit blond décoloré. Cette fois-ci je suis au dessus d’Alex, je ne vois pas ses fesses, mais je les sens autour de ma bite. Je sens tous ses muscles sous mon corps et mes mains, j’ai l’impression de me battre avec lui pour continuer à bien le besogner car nos mouvements sont un peu désordonnés. Ça m’amuse aussi de dérégler son rythme et de lui imposer le mien en même temps que je l’impose à l’ado gémissant, par son intermédiaire! Alex est beaucoup moins bruyant, il respire juste bien intensément, jusqu’à ce qu’il rugisse comme un lion au moment de jouir. Son anus me serre la queue, m’emprisonne et me fait décharger bien à fond.

Quand Alex et moi nous relevons, je vois que le petit mec s’est bien giclé dessus, et il se met à essuyer son foutre et son cul avec un slip de bain bleu rayé de blanc.

Ce n’est que lorsque que nous regagnons tous les deux les vestiaires que je réalise qu’il a mon maillot de bain dans la main... il va me le payer!  Fin

 

 PROMESSE 9

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : only-gay
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Dimanche 24 février 7 24 /02 /Fév 18:12

 

 

1 J'ai perdu mon maillot en piscine

       tous des vicieux ces surveillants de piscine...840 1000

J’habite une petite ville de banlieue. C’est l’été et il fait très chaud. La piscine où je vais d’habitude est fermée pour travaux, alors je suis allé à la piscine de la ville voisine, à quelques kilomètres. Je ne connais personne là-bas. Je suis un peu perdu, mais c’est drôle l’ambiance est différente de chez moi. Je trouve les garçons plus beaux, les hommes plus virils... il suffit d’un peu de distance pour que tout change!

Je nage un bon moment pour me défouler. J’ai 17 ans, taille moyenne, les cheveux bruns mi-longs un peu bouclés vers l’extrémité, ils retombent sur mes yeux bleus des mers du sud. Je suis assez mince, fin mais tout de même musclé. Je porte un maillot de bain bien moulant, bleu acier avec des rayures verticales blanches qui mettent bien en valeur mes fesses étroites et très rebondies!

J’imagine que le surveillant sur sa chaise au bord du grand bain me mate pendant que je fais mes longueurs. Il est arrivé pendant que je nageais alors je ne l’ai pas bien vu. Mais je me sens à l’aise ici. Je suis si peu poilu, même sous les aisselles c’est à peine visible. Dans le maillot bien sûr j’ai une petite touffe brune mais c’est caché! Ici à la piscine la peau imberbe est un avantage. Il n’y a qu’à voir les sportifs du club qui s’entraînent: pas un poil. Et les surveillants non plus. Ça change des moqueries dont je suis victime dans les vestiaires du lycée.

Ça va vous surprendre, mais depuis cette année je n’ai pas beaucoup grandi. Par contre j’ai perdu du ventre à force de faire de la natation. Et même si j’adore ce maillot, même s’il a du mal à passer mes fesses musclées, en fait à la taille il est un peu grand. Ça m’amuse de le sentir glisser un peu trop! de toute façon, avec le peu de poils que j’ai ça ne risque pas d’être indécent!

Sauf qu’au moment où je fais demi-tour en fin de longueur... mon maillot fout le camp! C’est un peu gênant de nager avec le maillot autour des jambes. Je panique un peu, me dégage et reprend le contrôle de mes mouvements. Mais je n’ai plus de maillot du tout, il est parti au fond de la piscine.

Je suis rouge de honte. Si je nage sur le ventre, on va voir mon cul! Évidemment j’aurais dû plonger... mais il y a quand même du monde dans cette piscine, notamment ceux qui me suivent sur ma ligne. Et puis je déteste plonger sous l’eau...

Bref je rejoins le côté du bassin fissa. Je m’accroche au bord, sous le nez du surveillant. On dirait qu’il n’a rien remarqué! C’est un très beau mec, 20-25 ans, grand, athlétique. Nageur évidemment mais il doit pratiquer d’autres sports. On voit ses abdos dessinés. Il est châtain, les cheveux assez courts, un visage carré. Il a un slip de bain rouge pas bien grand! J’ai le temps de le mater, je ne sais pas quoi faire à poil dans cette piscine publique où je ne connais personne!

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Comme par hasard, au moment où je réalise que de le mater comme ça risque de me faire bander, il remarque que je suis là, mal à l’aise.

— Ça va? Tu as eu une crampe?

— Non non, ça va, je souffle...

— Normalement c’est de l’autre côté pour souffler. Ici c’est la ligne des crawleurs compétition.

— Euh en fait je voudrais sortir mais j’ai un problème, je...

Et je n’ai pas le temps d’en dire plus. Le surveillant – Fred, il y a écrit Fred sur son maillot de bain rouge mini, à gauche –, Fred donc se lève d’un bond, m’attrape par les bras et me tire à l’arrachée pour me poser debout sur le bord de la piscine, nu comme un vers, dégoulinant de flotte!

— Ah, je vois!

Tu parles qu’il voit! Heureusement je ne bande pas (ou plus?). Il me pousse dans le dos et me force à avancer vers les bureaux des surveillants où je me retrouve en un clin d’œil, à l’abri.

— Bon, tu as perdu ton slip dans le bassin je suppose. Il y a 5 minutes, je pense que tu l’avais, j’aurais remarqué sinon, dit-il en me souriant légèrement pour me mettre à l’aise.

Moi je suis paralysé. Il est vraiment grand, très impressionnant. Tous ces muscles vus de près en contre plongée...

— Je ne vais pas pouvoir t’aider tout de suite, il faut que je retourne à mon poste, je suis tout seul. Bouge pas.

Et il ressort en refermant la porte.

L’avantage d’être sauvé par un croisement entre un nageur olympique et une statue d’athlète grec, c’est que j’ai complètement oublié que des dizaines de mecs et de filles ont pu me voir! Qu’ils ont peut-être même les yeux rivés sur la porte à attendre que je sorte! Non, je ne pense qu’à Fred le rouge, à tout ce que j’ai vu, à ce que j’ai deviné sous le lycra et à tout ce qu’il a vu de moi!

Finalement je suis ramené à la réalité par un frisson. Je m’assois contre le mur le plus loin de la porte. C’est en fait une paroi en bois dans le bas et vitrée en haut. Je crois entendre quelque chose derrière. Mince! il y a quelqu’un. En tendant l’oreille, j’entends comme un murmure, rythmé. Non, plutôt une respiration. Et des bruits humides. Oui on est dans une piscine. Moi-même je suis plutôt trempé...

Je me lève doucement, et par-dessus les dossiers qui s’empilent de l’autre côté de la paroi vitrée, au fond du bureau, je vois une silhouette, une tête aux cheveux blonds, un dos, large et musclé, en V, des hanches étroites, et un cul, mais un CUL! Ces petits creux au bas du dos, ces joues de chaque côté des fesses, une cambrure, un volume, un arrondi! Et il bouge. Ces fesses avancent et reculent, se gonflent et se creusent. Se serrent et s’écartent... je n’ai jamais vu ça! Je suis bouche bée, hypnotisé par le spectacle. Cette entrée secrète bien enfouie au fond de ces deux monticules mais qui se dévoile à chaque fois qu’il envoie son bassin en arrière! Tout s’emballe, ses mouvements, mon rythme cardiaque, ma perception du temps. Puis tout s’arrête. Enfin, il s’arrête. Il se retourne. Je plonge derrière les meubles pour qu’il ne me voit pas, je m’accroupis emprisonnant ma bite entre mes jambes et mon ventre, bandée à fond vous vous en doutez bien.

La porte du bureau s’ouvre, et j’entends des pas qui traverse la pièce où je suis. Une ou deux personnes? Je ne sais pas. Deux sans doute. Je crois qu’il y avait des jambes relevées aussi... mais je n’ai pas fait gaffe. La porte qui donne sur la piscine se referme. Me voilà seul, avec l’image de ce cul dans la tête et une sacrée trique que la peur d’être surpris n’a pas du tout calmée!

Je prends ma bite dans ma main et je me mets à me branler, doucement d’abord en repensant à ce cul en mouvement. Je suis là caché derrière une table, nu sur le carrelage tout trempé par ma sortie de piscine. Je ferme les yeux pour revoir ce beau blond, la tête contre le mur en bois.

— Hummm hum! On dirait que tu as surpris Alex... Je viens de le voir sortir avec une de ses conquêtes. Je suis désolé, je ne savais pas qu’il était là. Mais dis-donc, t’as un sacré morceau! Heureusement qu’Alex ne t’as pas vu, lui qui croit avoir la plus grosse bite de la ville!

Fred est revenu. Il est là devant moi, c’est pire que tout à l’heure, car je suis assis par terre. Il a des jambes musclées... son maillot rouge paraît encore plus petit que tout à l’heure. C’est horrible, j’ai lâchée ma queue bien sûr, mais elle ne débande pas. Je me lève tant bien que mal sans glisser et essaye de cacher mon manche, mais comment voulez vous faire!

— Je m’appelle Fred et toi?

— Bruno.

— Bruno, avec ou sans maillot, c’est pas comme ça que tu vas pouvoir ressortir d’ici.

Et il m’écarte les mains pour venir attraper ma queue directement pleine main.

— Ouah, elle est super large!

Et il commence à me branler doucement comme pour sentir tout le volume de ma bite. Il est certain qu’elle n’a jamais dû être aussi raide!

— Y a pas, t’es mieux monté que moi ou Alex. Tu mérites une récompense.

C’est dingue ce que les mecs inventent. Il se met à genoux, me caressent les cuisses. Cette fois-ci c’est moi qui le vois de haut. Il a des épaules si larges, et ses bras musclés qui me palpent et me branlent! Il m’embrasse les cuisses. Puis l’intérieur des cuisses. Je sens son souffle chaud sur mes couilles, qu’il lèche l’une après l’autre.

— C’est dingue, t’as qu’une petite touffe avec une queue si grosse!

Il m’excite à parler de ma bite comme ça. Il me masse le pubis. Sa langue remonte le long de ma queue, il s’arrête de temps en temps pour l’embrasser, puis il continue à remonter et pose ses lèvres sur mon gland décalotté. On dirait qu’il essaie de l’aspirer tout en serrant les lèvres. Slurp! Mon gland se retrouve dans sa bouche chaude et humide. Je gémis doucement.

Fred le surveillant de la piscine au mini slip rouge me taille une de ces pipes! Avec la langue, il me la suce dans tous les coins. Ses lèvres serrées descendent tout le long de ma queue et je la vois disparaître entièrement dans sa gueule virile! Il va s’étouffer, il va s’étouffer! mais non, c’est moi qui vais mourir... Comme il a ma tige bien en bouche, il en profite pour baisser son slip et libérer sa propre queue qui est bien dure. Ça m’excite encore plus de savoir que c’est ma queue qui le fait bander comme ça! Il a une petite toison bien fournie qui fait comme une moustache au dessus; on voit qu’il doit se raser. Sa bite est belle, longue, plus longue que la mienne mais peut-être moins large, légèrement courbée vers le haut, elle pointe un gland en ogive vers moi. Il a de grosses couilles bien rondes et pendantes. Il se branle d’une main, me pompe de sa bouche et son autre main m’encourage à faire de petits mouvements du bassin en appuyant sur me reins. Puis elle me palpe les fesses ou bien joue avec mes couilles. Un doigt se glisse dans ma raie. Ses yeux se lèvent vers moi. Putain! comment il fait pour me faire autant de bien sans me faire jouir?

Soudain la porte s’ouvre. Un surveillant rentre et s’arrête net en nous voyant. Bien sûr, je ne suis pas dans mon état normal, mais je le trouve trop beau! Il est roux, les cheveux tout bouclés, de grands yeux de braise. Il a des tâches de rousseurs un peu partout sur sa peau laiteuse. Il est musclé et je suis sûr de voir son sexe large tourné vers le haut dans son slip de bain noir avec écrit "Éric" devant à gauche. D’ailleurs il se passe la main dessus rapidement, puis se retourne et sort en refermant la porte sans bruit. Fred ne s’est aperçu de rien, si ce n’est que je couine plus fort et que je donne des coups de reins un peu violents qu’il doit amortir en me retenant par les hanches. Ça le fait gémir autour de ma queue!

La porte s’ouvre à nouveau et Éric le roux entre, suivi d’un grand blond. Le grand blond au torse de bombe de toute à l’heure, en slip de bain vert à deux bandes blanches sur les côtés avec écrit "Alex" devant à gauche. Éric bande maintenant, son sexe commence à sortir du slip. Il l’enlève avant de s’approcher par ma droite. C’est la première fois que je vois un roux à poil. Il a une belle toison aussi rousse et bouclée que ses cheveux. Son sexe est aussi blanc que sa peau. Sa queue est complètement dressée contre son ventre. Alex baisse son slip vert de son côté. Je ne l’avais pas vu de face tout à l’heure. Il est plus poilu que les autres mais ça se voit à peine tant ses poils sont clairs. Il bande dur lui aussi, son sexe est bizarre: très trapu. Il est super large par rapport à la longueur. Il a quand même l’amplitude pour se courber un peu vers la gauche, vers moi comme une tête chercheuse!

— C’est le gosse qui a perdu son maillot?! Il a une sacrée queue pour son gabarit! Alors Fred, il fait quelle taille? dit Alex en se marrant.

Le gosse! Ils n’ont pas dix ans de plus que moi! Ma pine est plus large que celle de Fred ou Éric. Et elle est plus longue que celle d’Alex. Alors qu’ils doivent bien faire 1m85-1m90 contre mes 1m75! Éric s’approche de moi, contre moi. Je sens sa queue contre ma hanche. Il me caresse le torse. Alex se branle devant nous. Il me regarde droit dans les yeux.

— C’est de ta faute, il t’a vu baiser la blonde décolorée tout à l’heure! lui répond Fred qui a abandonné ma bite.

Éric le roux en profite pour se jeter à genoux et me gober la queue, d’un coup jusqu’à la garde. Il manque s’étouffer. Ça fait un bruit bizarre mais une sensation pas désagréable sur ma bite surchauffée! Il a un sacré appétit. Il manque me faire tomber en arrière tant il met de fougue à m’aspirer. Il faut dire que j’ai les jambes un peu flageolantes à force aussi. Fred me soutient par derrière. Il est plaqué contre moi. Je sens ses cuisses contre les miennes. Son torse contre mon dos. Il frotte ses couilles contre mes fesses et sa queue dans le creux de mes reins. Il m’embrasse dans le cou. Alex lui est monté sur le bureau qui est à ma gauche et sur lequel j’essaie de m’appuyer. Il est debout et sa bite en obus s’approche de ma bouche alors qu’il m’a pris la tête par les cheveux. J’ai un super mâle blond au dessus et un viking musclé à genoux devant moi en train de me pomper.

Comme la queue d’Alex s’approche, ma bouche s’ouvre. Elle est trop large! Oui, non, elle rentre en m’écartant les lèvres et se pose sur ma langue. Dans le même temps Fred s’est agenouillé derrière moi et me saisit les fesses à pleines mains pour les écarter. Sa langue se pose sur mon petit trou rose et imberbe. Je gémis en me cambrant vers l’avant sous Ce contact inédit. Et j’avale la queue d’Alex qui me remplit la bouche tant elle est large, sans atteindre trop loin heureusement, je n’ai pas l’expérience de Fred ou Éric!

Je ne sais pas si Éric me suce aussi bien que Fred. En fait je sens surtout la queue d’Alex sur laquelle je me déchaîne et Fred qui s’est mis à me doigter le cul après me l’avoir bien bouffé. Au bout d’un moment, Fred m’attire en arrière pour que je m’empale sur son manche. Je suis obligé de laisser la queue d’Alex le blond. J’attrape la tête d’Éric le roux pour qu’il suive le mouvement et je sens la pine raide et chaude de Fred pointer ma rosette. Il me tient par les hanches et donne des petits coups de reins. Je me détends, tout ça n’est pas vraiment nouveau pour moi et il s’enfonce lentement pour ne pas me faire mal, ce qui a pour résultat de bien me faire sentir ses 20 cm rentrer en moi, m’écarter le cul progressivement. Je gémis longuement et me retrouve assis sur Fred presque allongé sur lui qui est à genoux par terre. Je ne contrôle rien. Fred me tient tout en m’enculant doucement mais profondément.

Éric est toujours sur ma queue et il me tient par les jambes. Alex est revenu au dessus de nous jambes bien écartées et il me remet sa queue si large dans la gueule, peut-être pour éviter que je fasse trop de bruit. Je m’agrippe à ses hanches, mes mains se perdent sur ses fesses super musclées, ces fesses qui m’ont fait bander tout à l’heure, à cause desquelles j’en suis là! Je crois que c’est ce qui me fait jouir, penser à son cul qui bouge pour me défoncer la gueule comme quand il baisait je ne sais quelle pétasse. Et j’explose dans la bouche d’Éric le roux, serrant mon anneau sur la pine de Fred en quelques spasmes qui lui arrachent un long orgasme puissant d’une douzaine de jets brûlants au fond de mon cul. Comme Éric a fini de me nettoyer la queue, il se met à me lécher le trou béant que Fred a abandonné et il jouit à son tour en gémissant dans mon cul!

Les athlètes se rhabillent, le regard ailleurs. Fred mon sauveur remet son slip rouge, Éric le gourmant son slip noir et Alex au beau cul son slip vert. Tiens, d’ailleurs il a plus de mal que les autres. Vous l’avez vu jouir vous? Fred m’apporte une serviette de bain que je mets autour de ma taille.

— Tu vas pouvoir regagner les cabines. Tu nous la rendras la prochaine fois.

— Ok, merci. Vous êtes vraiment...

Ils me sourient tous les trois. J’adore!

---------------suite 2. Ses fesses semblent respirer en rythme....

 

 

 SPEEDO 16

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : only-gay
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Mercredi 20 février 3 20 /02 /Fév 06:22

 

— Qu’y a-t-il, fiston ? 
Et là d’un trait je me lançai : 
— Je suis gay. 

COMBAT AVEC MON PERE

coming out

 

Il était 17 heures lorsque je rentrai à la maison, mon père devait être en train de faire de la musculation au sous-sol. Nous vivions seuls tous les deux depuis que ma mère était partie de la maison. Mais aujourd’hui j’étais un peu inquiet. Amoureux d’un mec de ma classe j’avais décidé de le dire à mon père. Je ne savais pas quelle allait être sa réaction, mais je devais le faire. 
— Papa, je suis rentré. 
— Salut, fiston, rejoins-moi je suis au sous-sol. 
— Je me prépare et j’arrive. 
Dans ma chambre, je quittai pantalon et chemise et passai rapidement un short sur mon slip. Devant le miroir je me regardai, j’étais plutôt bien foutu pour mes 18 ans, très sportif, mon corps s’était rapidement étoffé ces derniers mois. Et c’est torse nu que je descendis rejoindre mon père. 
Allongé sur le sol, torse nu et en slip, celui-ci terminait une série d’abdominaux, ses muscles se dessinaient sous sa peau, de la sueur dégoulinait de son front. Tout son corps brillait de transpiration, les poils de sa poitrine étaient humides et collés à son torse massif et son slip humide, mouillé par l’effort, moulait son sexe épais. À la fin de sa série, il s’assit en me suivant des yeux. 
Je fis quelques étirements et commençai une série de pompes à côté de lui. Pendant que mes pectoraux et mes triceps se contractaient sous l’effort je pensais à ce que j’allais lui dire. Il fallait que je le fasse le plus vite possible, sinon j’allais me dégonfler une fois de plus. Me redressant pour me mettre sur mes genoux, je regardai mon père droit dans les yeux. 
— Papa ? 
— Oui Fabien ? 
— Faut que je te parle... 
— Qu’y a-t-il, fiston ? 
Et là d’un trait je me lançai : 
— Je suis gay. 
Il me regarda sans répondre, n’osant plus dire un mot, je scrutai la moindre émotion sur ses traits. Une légère crispation au niveau de sa bouche. Son regard ne me quitta pas. Assis en tailleur, les cuisses écartées, Il se redressa légèrement en prenant appui sur ses mains. Dans ses yeux, je n’y vis que de l’incompréhension puis de la colère. 
— Alors comme ça mon fils est un pédé !!! 
J’en eus le souffle coupé, la phrase s’insinua dans mon cerveau et provoqua une brusque montée d’adrénaline. Comment osait-t-il me parler de cette manière, il n’avait donc aucun respect ? Je sentis mon corps bouillonner de fureur, mon cœur battait la chamade en expulsant le sang à travers mes artères et mes veines pour venir gonfler mes muscles. En répondant à une pulsion dévorante, je me jetai sur lui avec un grand cri de rage et une violence extrême. 
Il me reçut comme un boulet de canon, mon corps percuta le sien et ses bras plièrent sous le choc. Tout l’air de ses poumons se vida d’un coup. J’accusai également le coup et la violence du contact entre nos deux torses se cognant l’un à l’autre résonna dans ma cage thoracique. Je voulais l’humilier car les mots qu’il m’avait dit m’avaient profondément choqué. Et qu’est-ce qui était le plus humiliant pour mon père ? Perdre la face et s’avouer vaincu. Je me retrouvai couché sur lui, mes mains s’emparèrent de ses poignets pour les amener au-dessus de sa tête pendant que mes cuisses s’écartaient pour ne pas lui laisser le temps de m’enserrer entre les siennes. Mon visage surplombait le sien, il me regardait avec un air mauvais. 
— Tu crois que tu vas t’en tirer comme ça. Je vais te montrer ce que c’est qu’un homme, un vrai… 
Au même instant j’ouvris la bouche pour laisser tomber un filet de salive qui atterrit sur ses lèvres encore entrouvertes. Il rugit, je sentis son corps se tendre sous le mien, pendant que tous ses muscles se gonflaient. Une force surhumaine grandissait en moi. Mes abdos contractés s’écrasaient contre les siens pendant que mon bassin le clouait au sol. Prenant appui sur ses pieds, il ruait comme un taureau pris au piège. Aussitôt je poussai mon bassin contre le sien en me faisant le plus lourd possible. Son visage était rouge et ruisselant sous l’effort, ses pectoraux luisants et gonflés à bloc se frottaient contre les miens. Une douce chaleur commença à envahir mon corps, la domination que j’avais sur mon père à cet instant m’excita au plus haut point. À l’intérieur de mon short, mon sexe commença à se tendre, je ne pus m’empêcher de frotter ma bosse grossissante contre le paquet bien épais de mon père. Je sentis un léger frémissement me répondre à travers le tissu de son slip, ma queue durcie par cette excitation qui me gagnait s’écrasa contre le sexe épais de mon père qui répondit en grossissant de plus en plus. 
— Alors papa, t’aimes pas les pédés ??? 
Ce jeu commençait à me plaire, mon père m’excitait comme un dingue. Le fait de le sentir se débattre sous le poids de mon corps provoqua en moi un sentiment étrange, comme si j’en avais rêvé depuis toujours. C’est vrai que depuis très longtemps j’aimais regarder son corps fort et viril se couvrir de sueur lors des efforts répétés qu’il faisait pendant ses longues séances de musculation. Mon regard se posait immanquablement sur son slip afin de dévorer des yeux le volume de son sexe qui se dessinait sous le tissu. Le contact chaud de ses mains lorsqu’il corrigeait ma position quand j’effectuais un mouvement qu’il venait de m’apprendre. Quand j’étais plus jeune, il me prenait dans ses bras puissants pour m’emmener dans ma chambre, et arrivé devant mon lit, il me lançait sur le matelas. Aussitôt il se jetait sur moi, me recouvrant doucement de son corps pour ne pas me faire mal et me chatouillait de longues minutes pendant lesquelles je frétillais sous lui en hurlant de rire. Mon bonheur était complet. Maintenant, quelque chose était en train de se passer au plus profond de moi. J’étais allé trop loin pour arrêter ce que j’étais en train de faire. Il fallait finir ce qui était commencé. 
Les ruades de mon père devenaient de plus en plus fortes, ses yeux, dans son visage impénétrable me regardaient fixement. Je ne pus résister à l’envie puissante de poser mes lèvres sur sa bouche poissée par ma salive. Son corps remua de plus belle, ma langue força sa bouche qui s’entrouvrit légèrement. Son souffle pénétra dans ma gorge et je sentis sa salive se mêler à la mienne. Nos deux langues se touchaient et rapidement se livrèrent un duel chaud et humide. Mon slip se mouilla instantanément lorsque quelques gouttes d’excitation commencèrent à perler de mon sexe raide. Profitant de cet instant, il concentra toute sa force dans ses bras et d’un coup réussit à se libérer les poignets de mes mains glissantes. Ses bras se refermèrent violemment autour de mon corps et il commença à serrer. J’étais pris dans un étau, mes pectoraux se gonflèrent pour résister à cette étreinte, mes mains s’appuyèrent sur ses épaules et j’essayai de me soulever en poussant fortement sur mes bras. Je sentis les mains de mon père trembler dans mon dos et au bout de quelques secondes de combat féroce, la pression se relâcha d’un coup. Je roulai sur le côté en me redressant pendant que lui faisait de même et nous nous retrouvâmes à genoux l’un en face de l’autre. 
— Alors, mon petit pédé, tu croyais m’avoir aussi facilement. Regarde-toi, ta queue déborde de ton short. Je te fais tant d’effet que ça ? 
— Et toi alors, regarde la forme de ton slip, il est prêt à craquer ! 
Il baissa les yeux vers son sexe et, furieux de voir son corps le trahir, se rua sur moi. Nous nous sommes attrapés mutuellement à bras le corps comme deux ours se livrant bataille. C’est à celui qui serrerait le plus fort, nos corps humides étaient collés l’un à l’autre. Mes mains s’étaient rejointes dans le bas de son dos et je l’attirai de toutes mes forces contre moi. Mon père avait sa tête appuyée contre mon épaules et j’entendais son souffle de plus en plus fort, Nous nous agrippions l’un à l’autre. 
Soudain, une de ses mains agrippa le bord de mon short et tira de toutes ses forces. N’étant plus très solide le short se déchira rapidement libérant mon slip gonflé à bloc. Ce nouveau contact entre nos deux slip déformés par deux sexes en érection me fit frissonner de plaisir. Mais j’en voulais plus, apparemment lui aussi. Cédant à une impulsion irrépressible, chacun glissa une main sous le slip de l’autre et le dernier rempart qui empêchait nos queues d’entrer en contact céda d’un coup. La chaleur et la dureté de sa tige contre la mienne m’arracha un gémissement de bonheur. La sensation était telle qu’il me fallait toute ma concentration pour ne pas jouir sur le champ. Du côté de mon père, son bâton de chair vibrait contre le mien, mais il faisait tout son possible pour assourdir les gémissements qui remontaient du plus profond de ses entrailles. Je continuai de pousser mon torse contre le sien de manière à le faire tomber en arrière, mais cramponné à moi, il résistait avec puissance. La musculation lui avait forgé un corps d’athlète et malgré mes 20 ans de moins j’avais toute les peines du monde à le faire plier. Mais ma jeunesse m’apportait ce qu’il avait un peu moins, la résistance. Au bout de 5 minutes d’un combat acharné il glissa et tomba sur le dos, m’entraînant avec lui. 

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Aussitôt au sol, il enroula ses cuisses autour de mon bassin pendant que ses bras se refermèrent autour de mon torse. Glissant mes mains sous lui je le ceinturai étroitement à mon tour. Il posa ses pieds à plat sur le sol et poussant sur ses cuisses volumineuses décolla son bassin du sol et nous souleva. Le poids de mon corps contrait son effort, son sexe dur comme du bois s’écrasait contre le mien. C’en était douloureux mais mon excitation était à son comble. Me décollant légèrement, je me laissai retomber violemment sur lui. Ses cuisses lâchèrent aussitôt et je m’écroulai sur lui. 
Il essaya d’imprimer un mouvement de balancier à nos deux corps enlacés afin de nous faire basculer sur le côté. Je contrai ce mouvement en me plaquant le plus lourdement possible à son corps. Son visage devenait rouge, mais il ne voulait rien lâcher. Dans un sursaut de désespoir il donna un grand coup de rein qui nous fit basculer sur le côté et il se retrouva enfin sur moi. Mes cuisses entourèrent aussitôt sa taille et doucement, par la force de mes abdominaux, je montai mon bassin contre le sien qui essayait de me maintenir au sol. 
— Tu vois bien Fabien, tu n’auras jamais le dessus sur moi ! 
Sans lui répondre, je resserrai mon étreinte et son torse se retrouva fortement comprimé contre le mien. Sa respiration se fit plus difficile. Prenant appui sur ses mains, il essayait de se libérer, mais à bout de souffle, il se laissa tomber contre moi. 
— Alors on fatigue papa ? 
Son visage tout près du mien, il ruisselait sur moi, sa poitrine était trempée de sueur et nos tétons glissaient l’un sur l’autre. Je ne pus empêcher ma queue de se durcir davantage. Celle de mon père répondit aussitôt. 
— Tu aimes ça, avoue ! 
— Jamais, je ne suis pas pédé comme toi... 
— Alors pourquoi tu bandes ? 
Sans répondre, il se mit à gesticuler comme un forcené entre mes bras. Mais je ne relâchai pas, c’était si jouissif de le tenir à ma merci, sentir son corps puissant s’agiter sur moi, pendant que son sexe continuait à s’affoler contre le mien. Dans ses yeux je décelai une détresse infinie de ne pas arriver à me soumettre à sa force, mais il y avait quelque chose d’autre, c’était certain. Je commençai à bouger doucement mon bassin en le soulevant légèrement afin que le contact entre nos deux queues soit encore plus fort. J’ondulai sous lui de manière à masser son bas-ventre. 
— Fabien, ne fais pas ça, je t’en prie ! 
Dans un dernier effort il réussit à se dégager en roulant sur lui-même pour éviter ce contact si charnel. Nos deux corps se retrouvèrent séparés, il eut juste le temps de se mettre à quatre pattes lorsque je me jetai sur lui l’enserrant entre mes bras. Sous le choc on bascula sur le côté, nous roulâmes ensemble et je finis par me retrouver couché sous lui, mes bras se glissèrent sous ses aisselles et je croisai mes mains derrière sa nuque. J’écartai mes cuisses pour les enrouler autour de sa taille. Ma queue humide et durcie par cette envie folle de lui faire l’amour, se retrouva coincée sous ses fesses. Il remuait sur moi et ses deux lobes bien fermes frottaient sur ma verge, cette sensation décupla mon excitation et mon gland laissa perler quelques gouttes de plaisir. Profitant de mon excitation, il réussit à me faire lâcher prise et grâce à nos deux corps trempés de sueur, glissa entre mes bras pour se tourner face à moi. D’un coup de bassin je nous fis rouler au sol, le privant d’une position dominante. 
Mon père ne remua même pas, je me retrouvais sur lui, le bloquant de mes bras et mes cuisses contre moi. Ses yeux étaient suppliants, sa bouche luisante. Ma bouche se posa tendrement sur ses lèvres chaudes et humides. Dans ma poitrine, mon cœur battait comme un fou. Il répondit à mes baisers en s’ouvrant à ma langue qui s’engouffra dans cette cavité humide et chaude. Elles fondirent l’une contre l’autre pour se caresser langoureusement, son sexe de plus en plus dur se frottait contre le mien. Un profond râle de plaisir remonta le long de sa gorge pendant qu’il aspirait ma langue au plus profond de sa bouche. Je relâchai la pression de mes bras et jambes et commençai à parcourir ses flancs de mes doigts avides de sa peau. Que son corps était beau, viril et tellement excitant. Je me dégageai délicatement de lui pour admirer ce père tant adoré. Il était là sous moi, me regardant avec ses yeux humides, sa main se glissa derrière ma tête pour m’attirer à lui et m’embrasser sauvagement. Il me dévorait littéralement, sa langue envahissait ma bouche où nous échangions nos salives. Me tirant doucement par les cheveux, il plongea ses yeux dans les miens. 
— Oh mon Fabien, comment ai-je pu te cacher cela jusqu’à maintenant. C’est pour cette raison que ta mère est partie. Toute ma vie j’ai réfréné ces envies qui me consumaient depuis si longtemps. 

gay naked wrestling 2


— Tais toi papa, on va rattraper le temps perdu, j’en ai trop envie ! 
Il me serra dans ses bras et mes derniers mots se perdirent dans sa bouche. D’un coup il nous retourna, je me laissai faire. Une fois sur moi, il me plaqua au sol avec force. Son corps se faisait lourd sur le mien, tous ses muscles étaient en action, son bassin donnait de grand coup et je sentais sa barre d’acier se cogner à la mienne. Toute sa peau était en contact avec la mienne, et nos corps ondulaient avec passion. D’une main décidée il m’écarta les cuisses afin de me caresser l’entrejambe, un de ses doigts se posa sur mon anus et commença à me masser le trou par des mouvements circulaires. Appuyant un peu plus, une première phalange perfora mon œillet pendant que des spasmes de bonheur traversaient tout mon corps. Son doigt allait et venait de plus en plus vite, de plus en plus profondément, je râlais de plaisir. 
— Oh, papa, prends moi… 
— Tu vas voir fiston, comme ton père va bien s’occuper de toi... 
Après un dernier passage, son doigt se retira. Il se redressa et je l’entendis cracher dans sa main, un instant plus tard je sentis la dureté de son sexe se cogner contre mon trou. J’écartais les jambes un peu plus pour lui laisser de la place. 
- Viens vite, j’en peux plus ! 
Son gland lubrifié par sa salive, en força l’ouverture. Lentement il fit coulisser sa hampe pour me faire découvrir toute la longueur et la puissance de sa queue énorme, je la sentis m’envahir totalement. Il resta ainsi un long moment. Mes mains s’agrippaient à ses fesses et je l’attirai violemment contre moi pour sentir toute la longueur de sa bite. Il se retira tout doucement jusqu’à ce que son gland sorte et avant que mon anus ne se referme, il s’enfonça à nouveau au plus profond de moi. Aux coins de ses yeux, des larmes de bonheur apparurent, il souriait et était heureux, tout comme moi. 
Il fut prit d’une frénésie et commença à me pénétrer de plus en plus fort, de plus en plus vite. À chaque allée et venue sous cet assaut, je m’accrochais à ses épaules et me laissais envahir par le plaisir en m’offrant totalement à lui, sans aucun barrage, sans aucune résistance, avec une soif de lui tellement immense. Nos yeux ne se quittaient plus, sa bouche se rua sur la mienne pour m’embrasser goulument. Empalé sous la violence de ses coups de boutoir, je sentais ses couilles claquer contre mes fesses à chaque pénétration, ce qui m’arrachait des cris de plaisir. Une douce chaleur irradiait mon ventre lorsque son membre caressait mes entrailles de toute sa longueur. De profonds gémissements sortaient de sa bouche, il se cambra un peu et sa queue s’enfonça encore plus profondément. Chaque fois que son membre quittait la chaleur de mon ventre, un manque insoutenable me submergeait. Mes mains cramponnées à ses fesses le ramenaient aussitôt au plus profond de moi. Mon sphincter dilaté par son volume, se resserrait autour de sa hampe pour en sentir tout les reliefs. 
Son souffle s’accélérait tandis que je sens la chaleur de mon sperme remonter le long de ma queue. Mon gland cracha de longs jets de semence pendant que des cris de jouissance ininterrompus sortaient de ma gorge. Un dernier coup de rein me fit hoqueter de bonheur, et dans un dernier râle mon père inonda mon conduit d’un bouillonnement de sperme chaud. 
Et voilà, en espérant que mes récits vous plairont 
Fabien

GAY WRESTLERS 1

Les commentaires sont les bienvenus pour encourager Fabien ! 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : les jeunes exhibes
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Mardi 19 février 2 19 /02 /Fév 23:38

C'est bien connu : la lutte rapproche les corps plus que tout autre sport 

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Lutte avec mon cousin

Mon cousin Marc vient passer la soirée chez moi, mes parents sont partis en week-end et nous avons souvent l’habitude de passer la nuit chez l’un ou chez l’autre. Faut dire que nous sommes inséparables, nous avons tous les deux 16 ans et les gens nous prennent souvent pour des frères. C’est vrai que l’on se ressemble beaucoup. Tous les deux noirauds aux yeux bleus, assez fins mais avec des muscles bien dessinés. Au sous-sol de la maison j’ai un banc de musculation avec quelques haltères ainsi qu’une douche, Marc vient souvent soulever de la fonte avec moi, mais notre passe-temps favori, c’est la lutte. Et dans un coin de la pièce, contre le mur se trouvent deux grands matelas de gym posés l’un à côté de l’autre d’une surface de 5 m2. 
Après avoir mangé deux gros sandwiches devant un film insipide, nous décidons de faire un petit combat, torse nu et en short. Avec comme but, celui d’enlever le short de l’autre et l’immobiliser au sol. Nous descendons au sous-sol et commençons à nous déshabiller. Je détaille mon cousin avec attention, il me plait beaucoup. J’ai toujours eu un faible pour lui. Depuis très longtemps, je n’ai d’yeux que pour les garçons. Marc ne me parle jamais de filles et je ne sais pas grand-chose sur ses goûts sexuels. Nous sommes tous les deux, très secrets, sur ce sujet là. Il a mis son slip blanc, celui qui est très moulant... Par-dessus, il enfile un short Nike rouge qu’il laisse ici pour nos séances de musculation. N’ayant pas de short sous la main, je passe rapidement par-dessus mon slip un training bleu. On s’installe sur le tapis et le corps-à-corps commence. Je prend rapidement le dessus et mes mains essayent de tirer son short vers le bas. Marc résiste tout en essayant de me faire basculer sur le côté. 
N’arrivant toujours pas à lui enlever son short, je décide de coincer son bras gauche avec mon genou tandis que ma main droite bloque son autre bras. Je n’ai plus qu’à tirer sur ce short avec mon autre main. Le tour est joué. Profitant de sa position je me glisse derrière lui tout contre le mur en me positionnant sur mes genoux, cuisses écartées, le soulève du matelas en passant mes bras sous ces aisselles et en calant mes mains derrière sa nuque, je le tire contre moi. Il se retrouve en position assise le dos collé contre mon torse, mes cuisses lui enserrant la taille et mes mollets calés à l’intérieur de ses cuisses. Il ne peut plus bouger, il essaye vainement de bouger son bassin pour se libérer, je vois très nettement le relief de son sexe sous le tissu de son slip. Un léger frémissement me laisse entrapercevoir un début d’érection ? Cela me fait tellement d’effet que mon sexe se tend sous mon training. De peur qu’il ne sente quelque chose, je le relâche. Aussitôt il se retourne, me fait face et profitant de ma gêne, tire sur le bas de mon training et me l’enlève. 
Je me redresse à mon tour, on se regarde un long moment, son regard glisse sur la bosse qui déforme mon slip, mais il ne dit rien. Regardant son slip à mon tour, je constate que sa queue a encore pris du volume. Nous sommes face à face en position de lutte, le corps penché en avant, prêt à se jeter l’un sur l’autre. La tension est palpable, nos yeux ne se lâchent plus, tous nos muscles bandés dans l’attente d’un assaut. L’excitation est visible, comme le prouve nos deux sexes tendant le tissu de nos slips. L’adrénaline monte dans nos muscles, tout mon corps se tend et frissonne d’excitation et d’envie. Et dans un même élan, comme si un gong avait sonné, on se rue l’un sur l’autre. 
Nos deux corps s'entrechoquent... Immédiatement on se colle l'un à l'autre, bras et jambes se mêlent, nos têtes se collent l'une à l'autre. Chacun essaye de mettre la pression maximale sur l'autre... Je crois qu'à ce moment là, personne n’aurait été capable de nous séparer... C'est comme une fusion de nos deux corps qui s'établit... La lutte commence, elle s'annonce chaude et terriblement excitante... mais tellement incertaine... 
Nos deux corps s'affrontent, nous sommes soudés l'un à l'autre. Je serre Marc contre moi le plus fort possible, mes mains sont croisées dans son dos. Les muscles de mes bras sont tétanisés tellement la tension est grande. Nos deux torses sont écrasés l'un contre l'autre, je sens la dureté de ses pectoraux contre les miens. Ses bras m'enserrent également de plus en plus fort, ses mains croisées au bas de mon dos m'attirent de plus en plus contre lui. Tout en poussant ses pectoraux contre les miens, Marc essaie de me faire plier en arrière. Mes abdos se raidissent pour contrer son attaque. Je sens son sexe se durcir encore sous son slip et venir se plaquer contre ma bosse entre nos deux ventres. Je manque arrêter le combat, tellement l’excitation me gagne, mais je me reprends car l'issue de ce combat est plus importante à mes yeux car je veux le vaincre, lui montrer ma supériorité. Mes mains glissent plus bas au niveau du haut de ses fesses et cette fois c'est moi qui pousse mon torse contre le sien tout en l'attirant contre moi pour pouvoir le soulever du sol. Je sens ses abdos trembler de plus en plus fort. Le point de rupture est proche... Je pousse encore un peu. Je sens son corps qui commence légèrement à se plier en arrière. Nos deux têtes sont l'une contre l'autre, toujours appuyées sur l'épaule de l'autre. Je l'entends râler et souffler de plus en plus fort. Mes muscles commencent également à trembler, il va falloir que Marc tombe au sol le plus vite possible, je ne vais pas pouvoir tenir encore très longtemps. Son étreinte se relâche un peu plus, son corps se cambre en arrière. Mon corps suit le mouvement et le contact entre nos deux bosses se fait encore plus fort. Je glisse un de mes pieds derrière lui et avec une dernière poussée je le sens enfin partir en arrière. Toujours accroché à moi, il m'entraîne dans sa chute. Il atterri sur le dos, mais très vite il noue ses jambes autour de ma taille et croise ses mains dans mon dos. Je me retrouve couché sur lui. emprisonné entre ses bras et ses cuisses. J'essaye de me libérer mais mes bras sont coincés le long de mon corps. Marc réussi à nous faire rouler sur le côté, tout son corps se durcit pour essayer de me faire rouler sur le dos, mais je résiste et on se retrouve couché sur le côté, les yeux dans les yeux, le visage dégoulinant de sueur, nos deux paquets érigés l'un contre l'autre... Il faut que je me concentre car l’envie de mettre ma main à l’intérieur de son slip et de prendre sa queue raide devient irrepressible. Je ne sais pas ce qu’il en est de lui, il n’a jamais manifesté la moindre envie sexuelle envers moi, mais ce que je sens contre moi me laisse imaginer d’autres combats d’un autre genre... Coupant court à mes idées, d'un coup de rein il arrive à me retourner. Il est sur moi... et son envie de gagner est grande... 
Je sens le poids de son corps s'alourdir contre le mien, ses bras sont toujours croisés dans mon dos. Je sens qu’il essaie de les déloger, alors je plaque mon dos au sol pour lui bloquer les mains sous moi. Son regard est planté dans le mien, ses yeux me disent je VEUX GAGNER. Nos visages se touchent carrément, et sa bouche frôle la mienne. Et là je sais que ce qui devra arriver arrivera, car son sexe de plus en plus raide écrase le mien tout aussi dur et gonflé de désir et sans le concerter je sens que nous ne voulons pas aller plus loin, pas encore du moins, car le combat se joue en ce moment même... Ses cuisses essaient d'immobiliser les miennes... J'arrive à replier un peu les jambes et prenant appui sur mes pieds j'élève doucement mon bassin, c'est épuisant car il se fait de plus en plus lourd et je dois le soulever comme si je voulais faire le pont. Marc essayes de contrer le mouvement en forçant avec son bassin à faire redescendre le mien. Son sexe écrase ma queue et me fait presque mal... Mais comme il n'a pas de point d'appui j'arrive à le soulever. On se regarde intensément, un sourire se dessine sur sa figure car il a toujours le dessus. Mais en y mettant toutes mes forces, j'arrive à le soulever encore un peu plus et nous sentons tous les deux en même temps le point d'équilibre se rompre. Dans ses yeux une lueur d'inquiétude, dans les miens un air de victoire. Dans un dernier effort, nous tombons sur le côté. 
Avec l'élan, nous roulons l'un sur l'autre plusieurs fois, en nous étreignant bras et jambes liés, chacun voulant reprendre le dessus. Le mur de la pièce nous stoppe... et par chance, je me retrouve au-dessus de lui... Je l'écrase à mon tour de tout mon poids, essayant de le plaquer au sol définitivement... Je le veux, je veux le vaincre, mon sexe est tellement tendu qu’il me semble sur le point d'exploser, je sens d’ailleurs que mon slip est un peu humide. Le sexe de Marc comprimé par le mien est tout aussi dur et tendu... 
Mes mains s'agrippent à ses poignets pour les lever au dessus de sa tête. Je suis complètement plaqué sur lui, nos visages s’approchent l’un de l’autre. Dans ses yeux une drôle de lueur se dessine, il me sourit et soulève un peu sa tête. Et là, ne réfléchissant à plus rien d’autre qu’à cette future explosion de plaisir ma bouche fond sur la sienne. Ses lèvres s’entrouvrent et je m’y aventure avec douceur. Tout d’abord timidement nos langues se caressent pour finalement se livrer un combat à l’intérieur de sa bouche, nos salives se mélangent. Ma bouche quitte la sienne et une envie subite me fait me redresser. Je m’assois sur le haut de ses pectoraux et je cale mes genoux de chaque côté de sa tête. La bosse humide et en forme de barre de fer qui déforme mon slip se tend vers sa bouche. Marc me regarde, il a compris. Sa langue sort de sa bouche et commence à suivre le contour de ma queue puis s’attarde sur le gland où une tache s’étale sur le tissu. Tout mon corps se tend, quand je sens les dents de Marc commencer à mordiller légèrement cette protubérance. Je sens l’excitation monter encore d’un cran et si je le laisse faire je vais finir par éjaculer. Je me recouche sur son corps en me plaquant à lui. Nos deux bouches se collent à nouveau l’une à l’autre, nos langues se mélangent, tandis que nos bassins se frottent furieusement et sans retenue l’un à l’autre. Nos langues se mélangent nous ne faisons plus qu'un, l’excitation est à son comble. Je sens les pulsations de son sexe à travers le tissu. Nos yeux ne se quittent plus, nos mouvements deviennent de plus en plus saccadés et je sens son sexe se tendre à l’extrême. Nous commençons à gémir, le rythme s’accélère et dans un dernier râle je sens son slip s’emplir d’un liquide chaud tandis que mon gland explose en se vidant à longs jets, souillant nos deux slips. 
Nous sommes restés comme ça, couchés l’un sur l’autre, seules nos respirations faisaient bouger nos corps. Au bout d’un long moment, je me décolle de lui, le regarde, il est magnifique avec ses yeux brillants plantés dans les miens, un sourire qui en dit long sur ce qu’il vient d’éprouver. Les mots ne sont pas nécessaires pour l’instant, je l’embrasse amoureusement, lui caressant doucement le visage. Me relevant, j’enlève mon slip. Marc soulève le bassin pour que fasse la même chose avec le sien, le tissu glisse sur ses jambes et je le jette au loin. Je regarde ce sexe tant convoité, reposer au milieu d’une touffe noire tachée de sa semence. Une envie folle me prend... 
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Je veux ressentir les émotions de ce corps à corps mais cette fois, sans aucun tissu pour entraver le contact entre nos deux peaux. Ce combat m’a montré à quel point Marc me plait, à quel point j’ai envie de lui et surtout que cette envie est réciproque. Maintenant je veux aller plus loin, beaucoup plus loin. 
Je me relève pour monter à l’étage 
— Où vas-tu ? me dit Marc 
— Je reviens, ne bouge pas 
— Reviens vite ! 
Je me dirige vers la salle de bains de mes parents et ouvre l’armoire où ma mère range ses produits. Une grande bouteille d’huile de massage est posée en évidence, celle qu’elle utilise pour les massages que mon père lui fait. Je m’en empare et redescends rejoindre Marc. Je m’approche de lui et me mets à genoux à ses côtés 
— Que veux-tu faire avec ça ? 
— Laisse-toi faire, ne dis plus rien 
J’ouvre délicatement la bouteille et laisse couler un fin filet d’huile sur son corps, Marc tressaute lorsque l’huile atteint la ligne entre ses pectoraux qu’elle suit suavement, avant de s’insinuer à l’intérieur de son nombril. Je m’attarde un peu plus lorsque le filet arrive au niveau de son sexe lové au milieu de sa broussaille noire, éclaboussée de quelques gouttes de sperme. Je continue le trajet le long de ses cuisses pour finir par ses pieds et je referme la bouteille. 
— Et maintenant place au massage ! 
— Mmmhhhh… 
Il est à moi, mes mains se posent sur le haut de ses pectoraux en s’imbibant d’huile, je commence mon massage en laissant courir mes doigts sur la surface de sa poitrine, je titille ses petits tétons bruns qui se durcissent légèrement. Les paumes de mes mains épousent le relief de son torse en étalant bien l’huile sur les côtés, j’arrive au niveau de son ventre et mes doigts suivent le contour de ses abdominaux. Dans son nombril un petit lac d’huile, j’y trempe un doigt pour dessiner une ligne imaginaire descendant vers la toison de son pubis. Son corps se tend, son sexe commence légèrement à s’épanouir. Je le contourne délicatement en entamant ma descente le long de ses cuisses. Arrivé au bout de ses pieds, je remonte doucement le long de son corps, arrivé à son entrejambe, mes doigts se retrouvent collés à ses bourses , je les malaxe doucement. Son sexe se tend et des gémissements s’échappent de sa bouche. Mes doigts agacent son gland en l’effleurant à peine, son sexe se tend encore plus à la rencontre de ma main, mais elle s’en éloigne aussitôt. Je serre la base de sa queue de ma main gauche et de la droite je le branle lentement pour lubrifier sa queue sur toute la longueur et je stoppe le mouvement. Sa queue reste là, toute raide d’excitation, une goutte translucide perle sur le bout de son gland. Marc me regarde et je vois dans ses yeux toute l’envie qu’il a de jouir de mes mains. Ma queue est raide elle aussi. Je me couche sur lui et je me frotte tendrement contre son corps glissant afin d’huiler tout le mien. Ma bouche se pose sur la sienne et nos langues entrent en fusion dans de grands mouvements humides pendant que nos sexes se frottent frénétiquement l’un sur l’autre. Mais je ne veux pas jouir maintenant, je veux plus. Alors je lui dis : 
— T’en as envie autant que moi, non ? 
— Oui je te veux ! 
— Ok mais nous allons lutter de nouveau et le gagnant prendra le perdant. 
— Chiche, je vais t’avoir. 
D’un coup, je me redresse et glisse en avant, j’écarte ses deux bras de chaque côté de son corps et je me positionne au-dessus lui afin que sa tête se retrouve entre mes cuisses. J’abaisse mon bassin vers son visage et ma queue tendue se presse contre ses lèvres. Marc refuse d’ouvrir la bouche, le combat vient de repartir de plus belle et il ne veut pas le perdre. Toujours bien assis sur lui, je lâche ses bras pour essayer d’ouvrir sa bouche avec mes mains. Il en profite aussitôt et me pousse de toutes ses forces avec ses mains libres, je tombe en arrière et me retrouve couché sur le dos, mon sexe toujours en érection se tend vers le plafond. Marc se lance sur moi et de tout son poids me plaque au sol. Mes bras s’enroulent autour de son corps, je le sens glisser contre le mien. Mes mains se plaquent sur ses fesses que j’écarte au maximum. Mon majeur se presse contre son anus. Je sens Marc se trémousser sur moi pour essayer d’échapper à mon doigt. Je commence à lui masser le bord de son trou et en pressant un peu plus fort, mon doigt commence à se frayer un passage dans ce conduit humide et chaud. Aussitôt son sexe se durcit et se presse encore d’avantage contre le mien. Sa bouche se plaque sur la mienne, nos souffles se mélangent, tandis que nos corps tanguent l’un contre l’autre au rythme des mouvements de mon doigt qui coulisse en lui. Je sens que je vais jouir, mais le combat n’est pas terminé. 
Au prix d’un effort surhumain, je tente de me dégager, mais avec l’huile les mouvements ne sont plus aussi précis et je ne fais que glisser sous lui pour me retrouver sur le ventre. Marc se redresse légèrement, pose ses mains de chaque côté de mes fesses et les écarte. Je sens son sexe dur comme un roc venir se placer entre mes deux fesses. Il commence à pousser et sa queue pousse contre mon anus et commence à me pénétrer. Sous l’effet d’une légère douleur, je réagis aussitôt. En prenant appui sur mes mains je me soulève et je me mets sur les genoux, son corps toujours accroché au mien. Je sens son sexe ressortir et venir se plaquer contre le bas de mon dos. Poussant sur mes pieds, j’essaie de me redresser encore en peu, notre équilibre devient précaire, nos corps sont trop glissants pour tenir dans cette position. Marc tombe sur le sol et on se remet aussitôt debout, face à face, nos yeux ne se quittant pas, on essaie de reprendre notre souffle. La tension dans l’air est palpable, tout son corps est tendu comme un arc, ses muscles tétanisés roulent sous sa peau et son sexe raide et rouge est prêt à éclater. Je sens qu’en une fraction de seconde il peut bondir sur moi comme un félin. Tous mes sens sont en alerte, mon corps est prêt, tendu à l’extrême. 
Dans un même cri, on fonce l’un sur l’autre. Marc démarre une fraction de seconde avant, et de son bras gauche, m’attrape par le cou. Je ne peux rien faire, je me retrouve la tête coincée par son bras. Il se baisse pour me faire plier. Courbé en deux, ma tête se retrouve au niveau de sa queue. Il me force à avancer mon visage vers son sexe tendu. Sa bite cogne contre ma bouche fermée, je ne veux pas me faire avoir si vite… Il serre davantage mon cou avec son bras, je commence à étouffer et je suis obligé d’ouvrir la bouche pour mieux respirer. Sa queue s’y engouffre jusqu’à la garde et cogne au fond de ma gorge. Je ne peux que sentir son sexe entrer et sortir de ma bouche, c’est chaud, doux comme de la soie et dur à la fois, mes lèvres se resserrent autour de sa tige et ma langue s’active autour de son gland. Mes deux mains viennent se poser sur ses fesses, je l’attire encore plus fort contre moi pour que ma bouche s’empale encore plus profondément sur cette barre d’acier vibrante. Les poils de son pubis me chatouillent le nez, je respire son odeur, je suis en transe. Je sens mon sexe devenir de plus en plus raide. Son bras desserre doucement son étreinte, son plaisir reprend le dessus. Son sexe entre et sort de ma bouche de plus en plus vite. Son souffle s’accélère, il commence à gémir. Sur ma langue je sens le goût de son plaisir. Mais je veux que mon plaisir soit différent, ma bouche se referme d’un coup sur sa queue et l’immobilise. Je sens les pulsations sanguines à travers son sexe. Mes dents prennent sa bite dans leur étau et je commence à serrer. Marc commence à ressentir de la douleur, il libère aussitôt mon cou de son bras. C’est le moment que j’attendais… Mes bras lui ceinturent le haut des cuisses et en poussant je le fais tomber en arrière. Il se retourne sur le ventre pour se remettre à genoux, mais pas assez vite… Je lui saute sur le dos et le plaque au sol. Pendant que mon bras droit le maintient dans cette position, mon autre main se glisse sous son corps et attrape son sexe encore raide et mouillé de ma salive. Je commence doucement à le masturber, il soulève de lui-même son bassin afin que ma main soit plus libre de ses mouvements. Il a l’air d’aimer ça… J’insère mes cuisses à l’intérieur des siennes pour les lui écarter, ma main gauche part à l’aventure, et cette fois je le pénètre directement de deux doigts. Son anus se resserre mais au bout de quelques instants se relâche un peu, mes doigts coulissent sans problème dans ce fourreau humide. Marc commence à donner de furieux coups de bassin pendant que sa queue s’active dans ma main gauche. C’est le moment que je choisis pour me soulever un peu, je retire mes doigts et place mon sexe entre ses fesses. Je me recule un peu pour placer mon gland contre son anus palpitant. Tout doucement mon bassin se met en marche. Mon gland pénètre très légèrement son trou et y reste quelques secondes sans bouger. Les coups de bassin de Marc se sont stoppés, il ne bouge plus pendant un moment. Puis tout doucement il recule ses fesses afin que mon sexe le pénètre un peu plus. Centimètre par centimètre, son trou avale en douceur la moitié de ma queue. Il s’arrête encore quelques secondes, il recule un peu ses fesses tandis que je pousse tout en douceur mon bassin en avant, jusqu’à ce que mes testicules cognent contre ses fesses. Nous ne bougeons plus, pendant que son trou s’habitue à mon sexe. C’est moite, c’est chaud, mais je sens les parois de son anus se détendre. La sensation est merveilleuse, mon corps entier est traversé par des spasmes qui me coupent le souffle. Alors doucement je commence à bouger, mon sexe coulisse délicatement entre les fesses de Marc. Mon plaisir est intense, jamais je n’avais ressenti une telle excitation. Son anus se resserre autour de ma queue afin d’augmenter notre plaisir et je sens Marc vibrer de désir. J’accélère le mouvement et les miens se font plus sûrs, mon sexe sort complètement de ses fesses pour y plonger de plus belle avant que son anus se referme. Il monte son bassin à la rencontre de ma bite afin qu’elle s’enfonce encore plus profondément en lui. Je ralentis le mouvement afin de faire durer notre plaisir puis j’accélère à nouveau en le pilonnant de plus en plus violemment. Nos gémissements se transforment en râles de plus en plus bruyants, je veux que ce moment dure une éternité, mais je sens une chaleur me traverser tout le corps, et dans un dernier assaut, mon sexe se vide en de violentes saccades à l’intérieur de mon cousin. Au même moment il se tend comme un arc pendant que sa queue se vide sur le matelas. On se tourne sur le côté et je reste en lui encore quelques instants jusqu’à ce que mon sexe débandé ressorte de lui-même. Marc se couche sur le dos, on se regarde tendrement avant que nos bouches viennent sceller ce secret qui vient de naître. 
Je m’allonge à moitié sur lui une jambe entre les siennes, ma tête sur ses pectoraux et je ferme les yeux. Et dans cette odeur de sperme et de sueur, je me sens bien, complètement détendu. Que se passera-t-il demain, dans les jours à venir, les années. Que de questions me tombent dessus. Je regarde encore une fois Marc, il s’est déjà endormi, son sexe n’est pas totalement au repos, pense-t-il à une revanche ? Et en voyant cet adorable sexe prometteur de tant de plaisir, je pense à cette revanche que je lui offrirai sûrement et aux nombreux moments qu’on partagera ensemble.¤ 20/02/2013 Fabien  

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Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : les jeunes exhibes
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