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1 J'ai perdu mon maillot en piscine
tous des vicieux ces surveillants de piscine...
J’habite une petite ville de banlieue. C’est l’été et il fait très chaud. La piscine où je vais d’habitude est fermée pour travaux, alors je suis allé à la piscine de la ville voisine, à quelques kilomètres. Je ne connais personne là-bas. Je suis un peu perdu, mais c’est drôle l’ambiance est différente de chez moi. Je trouve les garçons plus beaux, les hommes plus virils... il suffit d’un peu de distance pour que tout change!
Je nage un bon moment pour me défouler. J’ai 17 ans, taille moyenne, les cheveux bruns mi-longs un peu bouclés vers l’extrémité, ils retombent sur mes yeux bleus des mers du sud. Je suis assez mince, fin mais tout de même musclé. Je porte un maillot de bain bien moulant, bleu acier avec des rayures verticales blanches qui mettent bien en valeur mes fesses étroites et très rebondies!
J’imagine que le surveillant sur sa chaise au bord du grand bain me mate pendant que je fais mes longueurs. Il est arrivé pendant que je nageais alors je ne l’ai pas bien vu. Mais je me sens à l’aise ici. Je suis si peu poilu, même sous les aisselles c’est à peine visible. Dans le maillot bien sûr j’ai une petite touffe brune mais c’est caché! Ici à la piscine la peau imberbe est un avantage. Il n’y a qu’à voir les sportifs du club qui s’entraînent: pas un poil. Et les surveillants non plus. Ça change des moqueries dont je suis victime dans les vestiaires du lycée.
Ça va vous surprendre, mais depuis cette année je n’ai pas beaucoup grandi. Par contre j’ai perdu du ventre à force de faire de la natation. Et même si j’adore ce maillot, même s’il a du mal à passer mes fesses musclées, en fait à la taille il est un peu grand. Ça m’amuse de le sentir glisser un peu trop! de toute façon, avec le peu de poils que j’ai ça ne risque pas d’être indécent!
Sauf qu’au moment où je fais demi-tour en fin de longueur... mon maillot fout le camp! C’est un peu gênant de nager avec le maillot autour des jambes. Je panique un peu, me dégage et reprend le contrôle de mes mouvements. Mais je n’ai plus de maillot du tout, il est parti au fond de la piscine.
Je suis rouge de honte. Si je nage sur le ventre, on va voir mon cul! Évidemment j’aurais dû plonger... mais il y a quand même du monde dans cette piscine, notamment ceux qui me suivent sur ma ligne. Et puis je déteste plonger sous l’eau...
Bref je rejoins le côté du bassin fissa. Je m’accroche au bord, sous le nez du surveillant. On dirait qu’il n’a rien remarqué! C’est un très beau mec, 20-25 ans, grand, athlétique. Nageur évidemment mais il doit pratiquer d’autres sports. On voit ses abdos dessinés. Il est châtain, les cheveux assez courts, un visage carré. Il a un slip de bain rouge pas bien grand! J’ai le temps de le mater, je ne sais pas quoi faire à poil dans cette piscine publique où je ne connais personne!
Comme par hasard, au moment où je réalise que de le mater comme ça risque de me faire bander, il remarque que je suis là, mal à l’aise.
— Ça va? Tu as eu une crampe?
— Non non, ça va, je souffle...
— Normalement c’est de l’autre côté pour souffler. Ici c’est la ligne des crawleurs compétition.
— Euh en fait je voudrais sortir mais j’ai un problème, je...
Et je n’ai pas le temps d’en dire plus. Le surveillant – Fred, il y a écrit Fred sur son maillot de bain rouge mini, à gauche –, Fred donc se lève d’un bond, m’attrape par les bras et me tire à l’arrachée pour me poser debout sur le bord de la piscine, nu comme un vers, dégoulinant de flotte!
— Ah, je vois!
Tu parles qu’il voit! Heureusement je ne bande pas (ou plus?). Il me pousse dans le dos et me force à avancer vers les bureaux des surveillants où je me retrouve en un clin d’œil, à l’abri.
— Bon, tu as perdu ton slip dans le bassin je suppose. Il y a 5 minutes, je pense que tu l’avais, j’aurais remarqué sinon, dit-il en me souriant légèrement pour me mettre à l’aise.
Moi je suis paralysé. Il est vraiment grand, très impressionnant. Tous ces muscles vus de près en contre plongée...
— Je ne vais pas pouvoir t’aider tout de suite, il faut que je retourne à mon poste, je suis tout seul. Bouge pas.
Et il ressort en refermant la porte.
L’avantage d’être sauvé par un croisement entre un nageur olympique et une statue d’athlète grec, c’est que j’ai complètement oublié que des dizaines de mecs et de filles ont pu me voir! Qu’ils ont peut-être même les yeux rivés sur la porte à attendre que je sorte! Non, je ne pense qu’à Fred le rouge, à tout ce que j’ai vu, à ce que j’ai deviné sous le lycra et à tout ce qu’il a vu de moi!
Finalement je suis ramené à la réalité par un frisson. Je m’assois contre le mur le plus loin de la porte. C’est en fait une paroi en bois dans le bas et vitrée en haut. Je crois entendre quelque chose derrière. Mince! il y a quelqu’un. En tendant l’oreille, j’entends comme un murmure, rythmé. Non, plutôt une respiration. Et des bruits humides. Oui on est dans une piscine. Moi-même je suis plutôt trempé...
Je me lève doucement, et par-dessus les dossiers qui s’empilent de l’autre côté de la paroi vitrée, au fond du bureau, je vois une silhouette, une tête aux cheveux blonds, un dos, large et musclé, en V, des hanches étroites, et un cul, mais un CUL! Ces petits creux au bas du dos, ces joues de chaque côté des fesses, une cambrure, un volume, un arrondi! Et il bouge. Ces fesses avancent et reculent, se gonflent et se creusent. Se serrent et s’écartent... je n’ai jamais vu ça! Je suis bouche bée, hypnotisé par le spectacle. Cette entrée secrète bien enfouie au fond de ces deux monticules mais qui se dévoile à chaque fois qu’il envoie son bassin en arrière! Tout s’emballe, ses mouvements, mon rythme cardiaque, ma perception du temps. Puis tout s’arrête. Enfin, il s’arrête. Il se retourne. Je plonge derrière les meubles pour qu’il ne me voit pas, je m’accroupis emprisonnant ma bite entre mes jambes et mon ventre, bandée à fond vous vous en doutez bien.
La porte du bureau s’ouvre, et j’entends des pas qui traverse la pièce où je suis. Une ou deux personnes? Je ne sais pas. Deux sans doute. Je crois qu’il y avait des jambes relevées aussi... mais je n’ai pas fait gaffe. La porte qui donne sur la piscine se referme. Me voilà seul, avec l’image de ce cul dans la tête et une sacrée trique que la peur d’être surpris n’a pas du tout calmée!
Je prends ma bite dans ma main et je me mets à me branler, doucement d’abord en repensant à ce cul en mouvement. Je suis là caché derrière une table, nu sur le carrelage tout trempé par ma sortie de piscine. Je ferme les yeux pour revoir ce beau blond, la tête contre le mur en bois.
— Hummm hum! On dirait que tu as surpris Alex... Je viens de le voir sortir avec une de ses conquêtes. Je suis désolé, je ne savais pas qu’il était là. Mais dis-donc, t’as un sacré morceau! Heureusement qu’Alex ne t’as pas vu, lui qui croit avoir la plus grosse bite de la ville!
Fred est revenu. Il est là devant moi, c’est pire que tout à l’heure, car je suis assis par terre. Il a des jambes musclées... son maillot rouge paraît encore plus petit que tout à l’heure. C’est horrible, j’ai lâchée ma queue bien sûr, mais elle ne débande pas. Je me lève tant bien que mal sans glisser et essaye de cacher mon manche, mais comment voulez vous faire!
— Je m’appelle Fred et toi?
— Bruno.
— Bruno, avec ou sans maillot, c’est pas comme ça que tu vas pouvoir ressortir d’ici.
Et il m’écarte les mains pour venir attraper ma queue directement pleine main.
— Ouah, elle est super large!
Et il commence à me branler doucement comme pour sentir tout le volume de ma bite. Il est certain qu’elle n’a jamais dû être aussi raide!
— Y a pas, t’es mieux monté que moi ou Alex. Tu mérites une récompense.
C’est dingue ce que les mecs inventent. Il se met à genoux, me caressent les cuisses. Cette fois-ci c’est moi qui le vois de haut. Il a des épaules si larges, et ses bras musclés qui me palpent et me branlent! Il m’embrasse les cuisses. Puis l’intérieur des cuisses. Je sens son souffle chaud sur mes couilles, qu’il lèche l’une après l’autre.
— C’est dingue, t’as qu’une petite touffe avec une queue si grosse!
Il m’excite à parler de ma bite comme ça. Il me masse le pubis. Sa langue remonte le long de ma queue, il s’arrête de temps en temps pour l’embrasser, puis il continue à remonter et pose ses lèvres sur mon gland décalotté. On dirait qu’il essaie de l’aspirer tout en serrant les lèvres. Slurp! Mon gland se retrouve dans sa bouche chaude et humide. Je gémis doucement.
Fred le surveillant de la piscine au mini slip rouge me taille une de ces pipes! Avec la langue, il me la suce dans tous les coins. Ses lèvres serrées descendent tout le long de ma queue et je la vois disparaître entièrement dans sa gueule virile! Il va s’étouffer, il va s’étouffer! mais non, c’est moi qui vais mourir... Comme il a ma tige bien en bouche, il en profite pour baisser son slip et libérer sa propre queue qui est bien dure. Ça m’excite encore plus de savoir que c’est ma queue qui le fait bander comme ça! Il a une petite toison bien fournie qui fait comme une moustache au dessus; on voit qu’il doit se raser. Sa bite est belle, longue, plus longue que la mienne mais peut-être moins large, légèrement courbée vers le haut, elle pointe un gland en ogive vers moi. Il a de grosses couilles bien rondes et pendantes. Il se branle d’une main, me pompe de sa bouche et son autre main m’encourage à faire de petits mouvements du bassin en appuyant sur me reins. Puis elle me palpe les fesses ou bien joue avec mes couilles. Un doigt se glisse dans ma raie. Ses yeux se lèvent vers moi. Putain! comment il fait pour me faire autant de bien sans me faire jouir?
Soudain la porte s’ouvre. Un surveillant rentre et s’arrête net en nous voyant. Bien sûr, je ne suis pas dans mon état normal, mais je le trouve trop beau! Il est roux, les cheveux tout bouclés, de grands yeux de braise. Il a des tâches de rousseurs un peu partout sur sa peau laiteuse. Il est musclé et je suis sûr de voir son sexe large tourné vers le haut dans son slip de bain noir avec écrit "Éric" devant à gauche. D’ailleurs il se passe la main dessus rapidement, puis se retourne et sort en refermant la porte sans bruit. Fred ne s’est aperçu de rien, si ce n’est que je couine plus fort et que je donne des coups de reins un peu violents qu’il doit amortir en me retenant par les hanches. Ça le fait gémir autour de ma queue!
La porte s’ouvre à nouveau et Éric le roux entre, suivi d’un grand blond. Le grand blond au torse de bombe de toute à l’heure, en slip de bain vert à deux bandes blanches sur les côtés avec écrit "Alex" devant à gauche. Éric bande maintenant, son sexe commence à sortir du slip. Il l’enlève avant de s’approcher par ma droite. C’est la première fois que je vois un roux à poil. Il a une belle toison aussi rousse et bouclée que ses cheveux. Son sexe est aussi blanc que sa peau. Sa queue est complètement dressée contre son ventre. Alex baisse son slip vert de son côté. Je ne l’avais pas vu de face tout à l’heure. Il est plus poilu que les autres mais ça se voit à peine tant ses poils sont clairs. Il bande dur lui aussi, son sexe est bizarre: très trapu. Il est super large par rapport à la longueur. Il a quand même l’amplitude pour se courber un peu vers la gauche, vers moi comme une tête chercheuse!
— C’est le gosse qui a perdu son maillot?! Il a une sacrée queue pour son gabarit! Alors Fred, il fait quelle taille? dit Alex en se marrant.
Le gosse! Ils n’ont pas dix ans de plus que moi! Ma pine est plus large que celle de Fred ou Éric. Et elle est plus longue que celle d’Alex. Alors qu’ils doivent bien faire 1m85-1m90 contre mes 1m75! Éric s’approche de moi, contre moi. Je sens sa queue contre ma hanche. Il me caresse le torse. Alex se branle devant nous. Il me regarde droit dans les yeux.
— C’est de ta faute, il t’a vu baiser la blonde décolorée tout à l’heure! lui répond Fred qui a abandonné ma bite.
Éric le roux en profite pour se jeter à genoux et me gober la queue, d’un coup jusqu’à la garde. Il manque s’étouffer. Ça fait un bruit bizarre mais une sensation pas désagréable sur ma bite surchauffée! Il a un sacré appétit. Il manque me faire tomber en arrière tant il met de fougue à m’aspirer. Il faut dire que j’ai les jambes un peu flageolantes à force aussi. Fred me soutient par derrière. Il est plaqué contre moi. Je sens ses cuisses contre les miennes. Son torse contre mon dos. Il frotte ses couilles contre mes fesses et sa queue dans le creux de mes reins. Il m’embrasse dans le cou. Alex lui est monté sur le bureau qui est à ma gauche et sur lequel j’essaie de m’appuyer. Il est debout et sa bite en obus s’approche de ma bouche alors qu’il m’a pris la tête par les cheveux. J’ai un super mâle blond au dessus et un viking musclé à genoux devant moi en train de me pomper.
Comme la queue d’Alex s’approche, ma bouche s’ouvre. Elle est trop large! Oui, non, elle rentre en m’écartant les lèvres et se pose sur ma langue. Dans le même temps Fred s’est agenouillé derrière moi et me saisit les fesses à pleines mains pour les écarter. Sa langue se pose sur mon petit trou rose et imberbe. Je gémis en me cambrant vers l’avant sous Ce contact inédit. Et j’avale la queue d’Alex qui me remplit la bouche tant elle est large, sans atteindre trop loin heureusement, je n’ai pas l’expérience de Fred ou Éric!
Je ne sais pas si Éric me suce aussi bien que Fred. En fait je sens surtout la queue d’Alex sur laquelle je me déchaîne et Fred qui s’est mis à me doigter le cul après me l’avoir bien bouffé. Au bout d’un moment, Fred m’attire en arrière pour que je m’empale sur son manche. Je suis obligé de laisser la queue d’Alex le blond. J’attrape la tête d’Éric le roux pour qu’il suive le mouvement et je sens la pine raide et chaude de Fred pointer ma rosette. Il me tient par les hanches et donne des petits coups de reins. Je me détends, tout ça n’est pas vraiment nouveau pour moi et il s’enfonce lentement pour ne pas me faire mal, ce qui a pour résultat de bien me faire sentir ses 20 cm rentrer en moi, m’écarter le cul progressivement. Je gémis longuement et me retrouve assis sur Fred presque allongé sur lui qui est à genoux par terre. Je ne contrôle rien. Fred me tient tout en m’enculant doucement mais profondément.
Éric est toujours sur ma queue et il me tient par les jambes. Alex est revenu au dessus de nous jambes bien écartées et il me remet sa queue si large dans la gueule, peut-être pour éviter que je fasse trop de bruit. Je m’agrippe à ses hanches, mes mains se perdent sur ses fesses super musclées, ces fesses qui m’ont fait bander tout à l’heure, à cause desquelles j’en suis là! Je crois que c’est ce qui me fait jouir, penser à son cul qui bouge pour me défoncer la gueule comme quand il baisait je ne sais quelle pétasse. Et j’explose dans la bouche d’Éric le roux, serrant mon anneau sur la pine de Fred en quelques spasmes qui lui arrachent un long orgasme puissant d’une douzaine de jets brûlants au fond de mon cul. Comme Éric a fini de me nettoyer la queue, il se met à me lécher le trou béant que Fred a abandonné et il jouit à son tour en gémissant dans mon cul!
Les athlètes se rhabillent, le regard ailleurs. Fred mon sauveur remet son slip rouge, Éric le gourmant son slip noir et Alex au beau cul son slip vert. Tiens, d’ailleurs il a plus de mal que les autres. Vous l’avez vu jouir vous? Fred m’apporte une serviette de bain que je mets autour de ma taille.
— Tu vas pouvoir regagner les cabines. Tu nous la rendras la prochaine fois.
— Ok, merci. Vous êtes vraiment...
Ils me sourient tous les trois. J’adore!
---------------suite 2. Ses fesses semblent respirer en rythme....
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