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Dimanche 9 juin 7 09 /06 /Juin 08:38

à relire dans RECITS FICTIONS (41)  thème réalisme sain du sexe gay 

 

Gay, bi ou même hétéro, vous ne pouvez qu'aimer le réalisme sain  de ce récit

 

L’été dernier, je suis parti en Finlande en compagnie d'un couple d’amis invité par mes parents, ils étaient accompagnés de leur fils, Farid, qui venait tout juste de fêter ses 18 ans. Mes parents avaient loué un superbe petit chalet en bordure d’un lac aux alentours de Tempéré, à 4 heures de route d’Helsinki. Cette petite maison, ancien abri de pêcheurs était toute en bois. Les pièces se distribuaient de la façon suivante: une pièce commune et 3 chambres. Les parents avaient pris deux chambres et nous nous sommes retrouvés, Farid et moi dans la petite chambre contiguë à la pièce commune.

La beauté de la nature en été était remarquable, depuis ce chalet nous pouvions admirer le soleil de minuit, écouter le chant des oiseaux, et nous mangions tous les jours les spécialités locales. Nos parents, grands pêcheurs ramenaient tous les jours des superbes pièces de saumon. Nous aimions certes la pêche mais nous aimions aussi surfer sur internet. Les finlandais sont des fanas de nouvelles technologies et le chalet disposait d’un accès libre au net, nous mations en cachette, les filles sur les sites suédois. À cette occasion, nous avons découvert les charmes du sauna et nous aimions beaucoup profiter de celui-ci. Il faut dire qu’en Finlande, les saunas font partie d’un art de vie, tout comme la bonne bouffe chez nous.   C’est ainsi que tous les jours, vers 9 heures, dès que nos parents étaient partis à la pêche, nous profitions de ce moment pour prendre un bon sauna. Le premier jour, fut «en tout bien tout honneur». Ce ne fût pas – et heureusement – toujours le cas pendant cette semaine endiablée!

Dès le deuxième jour, nous nous sommes retrouvés, nus, revêtus de nos serviettes blanches  dans ce cabanon en bois, adjacent au chalet.  La douche s’était transformée en un petit lac d’eau froide, à l’extérieur. Pendant que nous prenions la chaleur, nous échangions des propos badins sur nos copines et Farid me racontait qu’il aurait souhaité qu’elles soient ici, histoire de nous donner un peu d’entertainment. Pendant la séance qui avait duré 40 minutes, nous avions tout le loisir de contempler nos anatomies et nous comparions nos biceps, nos jambes, nos points noirs et... nos sexes. Farid était circoncis tandis que moi, j’arborais fièrement mon prépuce qui s’était pour l’occasion décalotté. Farid n’avait jamais contemplé de près un sexe d’homme et le mien était à la disposition de son regard. Il s’employait à le regarder avec un regard d’anatomiste et voulait voir dans quelle mesure le prépuce recouvrait le gland. Je ne pouvais que lui faire coulisser cette particularité de mon anatomie. Il visualisait le bourrelet, et le frein qui retient le tout. Il trouvait un sexe non circoncis bien plus esthétique et bien plus protecteur.

Il me précisait que sa meuf experte en fellation, était une fana des sexes non circoncis, elle trouvait qu’ils étaient plus sensibles aux caresses buccales. Il voyait aussi mes testicules, bien renflés, poilus à souhait. Curieusement, sous l’effet de nos propos et des démonstrations, mon sexe se mit à gonfler, laissant ainsi entrevoir davantage encore mon gros gland violacé, la hampe de ma bite était irriguée par un réseau veineux imposant. «Bravo, me dit-il, voici une leçon d’anatomie bien pratique» et contre toute attente, il saisit mon sexe tout en précisant qu’il n’avait jamais touché un autre sexe que le sien, il voulait percevoir les sensations que sa meuf avait lorsqu’elle saisissait le sien et instinctivement il se mit à le caresser en souriant, quêtant des yeux mon consentement.

À ce moment précis, il prit conscience qu’il avait franchi une barrière et tout gauche il reposa ma bite comme il aurait reposé un objet délictueux, mais, c’était trop tard, le fait qu’il avait touché à cet objet se manifesta très rapidement par l’apparition de liquide séminal, léger au départ, il devint abondant, inondant aussitôt ses doigts experts. «Tu dois bien t’introduire dans les chattes bien baveuses des meufs toi?» me dit-il il en souriant, il essaya de se dédouaner, mais il avait compris qu’il était tombé dans un piège: ma bandaison était bien là et il me dit tout penaud:

— Je peux te sucer?

— As-tu déjà sucé un mec? lui dis-je.

— Non, me répondit-il.

— Alors, suis bien mes conseils et tu vas voir, c’est super!.

Il se mit à la hauteur de ma bite et il me lécha respectant les conseils que je lui fis.

– Aspire-bien la mouille, plus un mec mouille, plus c’est bon, va plus loin, insiste sur le méat, essaye d’y introduire un bout de ta langue, tire les poils de mes couilles et prends de temps en temps une couille dans ta bouche, caresse-moi l’anus avec ton index...

Tout cela devint pour moi bientôt insupportable et il me précisa en souriant:

— Moi aussi, je bande, mais mon gland est déjà de sortie!

Il se leva et réduit l’intensité de la chaleur du sauna qui devint excessive et dès qu’il revint, il se mit à ré-engouffrer mon sexe dans sa bouche et les mouvements de va-et-vient devinrent difficiles à vivre... Je lui proposai de me mettre à quatre pattes et de suivre les recommandations que j’allais lui donner. Il s’exécuta, je me mis à quatre pattes et il se mit à me faire un anulingus d’enfer, il engouffrait sa langue baveuse sur ma rondelle. Il titillait la couture qui sépare l’anus des testicules, tout en la mordillant, il insista sur mon anus. Il introduisit un index. Je n’en pouvais plus. Il me proposa de le sucer et je le fis immédiatement.

Nous étions en 69. Il était allongé, et moi j’étais sur son sexe. Sa bite, longue et épaisse, était douce, elle sentait un peu une odeur virile de bite pas trop lavée, mais cette odeur était terriblement excitante. Quelques minutes après, n’en pouvant plus, je sentais ses premiers petits spasmes; il m’annonça qu’il voulait jouir. Je lui précisai que j’étais prêt et 6 jets lui permirent de libérer ses couilles. Cela se traduisit par l’arrivée de plusieurs jets chaud qui remplirent ma bouche. Sa jute était très épaisse, très salée, mais aussi crémeuse à souhait. Son foutre était si goûteux, qu’une double ration aurait été la bienvenue. J’en avalais quelques millilitres et je réservais une lampée qui allait me servir de lubrifiant, car mon souhait était de le prendre, de lui casser le pot, car il était puceau de ce côté là.

Il comprit – bien que réticent - mon souhait et s’exécuta, il passa à quatre pattes et je me mis à cracher son propre foutre sur son anus, je tentais aussi d’en introduire une partie à l’intérieur en utilisant mon index. Sa rondelle était prête et je lui fis des déclarations douces, tout en mettant son oreille dans ma gueule. Le reste de foutre pénétrait dans le conduit auditif. Tout cela servait à le décontracter au maximum, je souhaitais vivement qu’il puisse garder un bon souvenir de son dépucelage.

Délicatement, je mis mon index, puis en même temps mon majeur, j’astiquais avec son foutre l’entrée. Il me précisa qu’il était réticent. Je lui fis regarder mon sexe et je lui dis que lorsqu’il dépotait un étron, il n’était pas plus conséquent que le diamètre de ma bite. Il esquissa un sourire et je le pris. Il gémissait, il était heureux, il me dit que jamais, il n’avait ressenti autant de plaisir. Il me fit comprendre qu’il serait honoré de recevoir mon foutre sur lui. Je me retirai de son anus, et par mesure d’hygiène - j’avais quelques petits résidus sur mon gland – je ne souhaitais pas qu’il me suce. Il préféra recevoir mon sperme, plus liquide que le sien sur son visage, et sur sa barbe naissante. Nous sentions l’un et l’autre le foutre et c’était super. En séchant le foutre servit de colle.

Nous étions ainsi près à remettre la chaleur du sauna que nous avions interrompue; nous nous rinçâmes dans le petit lac adjacent à la cabine du sauna. Ce jour là nos vacances avaient pris une autre tournure . Dès le lendemain, je l’initiais à la dégustation du foutre chaud.

Après cette matinée lubrique (le sauna finlandais en Finlande), nous nous sommes promis de reprendre nos activités sexuelles dès que l'opportunité s'en représenterait.

Ce fut le cas ce même soir vers 22 heures. À la fin du repas, nous avions choisi de déserter le gîte et de laisser nos parents seuls, pour nous offrir tous les deux, une petite randonnée de santé. Nous avons prétexté le souhait de faire quelques prises de vidéo, histoire d'immortaliser le soleil de minuit. Nous avons indiqué à nos parents que nous envisagions de rentrer très tard dans la nuit, cette aubaine nous laissait carte blanche...

Rien aux alentours du chalet à plusieurs kilomètres, nous étions seuls, la nature, et... les moustiques très présents en cette saison, nous avons à cet effet emporté le réchaud tue-moustique. Après 60 minutes de marche, vers 23 heures, nous fîmes une pause, et nous nous sommes confondus d'admiration pour cette nature, que soleil éclairait à cette heure avancée comme en plein jour.

Farid avait un peu de difficulté à marcher, il souffrait du posterieur, son anus saignait légèrement: sans doute son dépucelage du matin mais il me déclara tout de même qu'il avait beaucoup apprécié ma compréhension et ma douceur, son dépucelage s'était, malgré cette douleur magnifiquement bien passé, son anus n'avait pas trop emporté avec lui les stigmates souvent inhérents à cette phase. Je lui indiquais qu’en ce qui me concernait, mon dépucelage cela avait été très douloureux j’avais dû avoir recours à des bains de siège, il est vrai que mon compagnon de l’époque avait un vit qui n’avait pas intégré l’étroitesse de mon trou.

— C'était vraiment super, et j'aimerais bien poursuivre sur une autre phase de mon initiation, me dit-il.

— Qu'à cela ne tienne, tu es un bon élève, tu veux apprendre, à propos, aimerais-tu me sucer et me prendre?

Il rougit et accepta cette perverse proposition. Il est vrai que son anus n’aurait pu tolérer de nouvelles pénétrations. Nous avions acquis l'un et l'autre la certitude que nos statuts sérologiques nous permettraient de nous passer de capotes. Le sperme incarne l'apothéose du plaisir masculin et le simple fait de sentir cette semence chaude envahir nos corps dans ce qu'ils ont de plus intime est quelque chose de formidable. J’ai toujours apprécié que mes partenaires éjaculent dans mon cul, ressentir ce lavement intime de crème chaude est toujours un moment privilégié.

J'étais un peu réticent à l'idée que Farid puisse se saisir de mon sexe sans que celui-ci puisse être nettoyé, la macération de ma bite dans le slip pouvait dégoûter notre jeune impétrant, néanmoins, cette odeur naturelle pouvait aussi être pour lui un vrai révélateur de sa nouvelle passion pour la bite. L'odeur n'est elle pas un "signal sexuel"?

Il retira mon short, s'employa à faire descendre mon slip Calvin Klein sur mes mollets. Il ouvrit la bouche pour former un anneau bien serré qui entoura mon sexe, sa bouche lippue de suceur de foutre ne montrait pas de dégoût, mais bien le contraire, il ressentait un réel intérêt à l'odeur que je redoutais, je lui posai directement la question qui me préoccupait et il me précisa tout de go que la sienne était toujours un peu fétide et qu'il aimait les odeurs fortes et fromagères: il est vrai que le smegma ressemble à une sorte de fromage, je pris en compte cet aveu qui était à double sens et je sentis son réel attachement à mon sexe. Il introduisit un index dans mon anus et il vit que cela ne me laissait pas insensible  en multipliant les mouvements de va-et-vient dans la toison de mon cul, je suis très poilu -. Son souhait était de me procurer le maximum de plaisir. Il étirait délicatement mes testicules et suçait alternativement l'un et l'autre. Il recalottait et décalottait mon prépuce à l’aide de sa langue agile, il appréciait ma bite à l’état naturel fétide et non circoncise. En riant je lui déclarai que le prépuce est un bon réservoir à fromage!

— J’aime le fromage de chèvre, me dit-il entre deux goulées de bite.

J’ajoutais: "Le fromage de bouc!" De temps à autre, il touchait sa bite qui ne demandait qu'à sortir de son logement! C'est ce qu'il fit quelques minutes plus tard.

Je lui fis comprendre qu'il serait peut-être temps qu'il me prenne et je lui proposai de me mettre sur le dos pour mieux le guider. Mais avant je lui demandais de bien veiller à écarter les poils de mon cul car je ne souhaitais pas qu'il puisse les tirer lors de l’introduction avec son pieu! Il écarta avec sa langue, les poils rebelles, la salive permettait de les "coller" sur les côtés. Nous n'avions pas de gel et la salive devait remplir son rôle. Il cracha sur ses mains et il lubrifia le petit guichet, la petite entrée. Sa langue égalisait les replis crénelés de mon fion, il touchait de temps en temps le méat de mon sexe pour «ramasser» la mouille qui allait servir à garnir l’entrée du petit guichet. Sa mouille était très filante, j’avais remarqué le matin même qu’elle était délicatement salée. Son sexe turgescent arborait un gros gland violacé. Après un léger rictus de douleur, après l’introduction de sa biroute, je remuais mon cul pour donner de la vigueur à cet accouplement naturel, en plein milieu des bosquets de bouleaux. Nos corps entrelacés dans la clarté du soleil de minuit copulaient furtivement. Je lui fis comprendre que je serais très honoré qu'il jouisse dans mon cul. Quelques secondes plus tard, les jets de sperme chaud envahirent mon cul et me permirent de sentir une vraie jouissance, totale sur tous les plans. En se retirant de mon cul, je vis le liquide crémeux et chaud de son foutre, il essuya sa queue sur la toison de mes pectoraux.

Fidèle à son engagement, il reprit mon sexe dans sa bouche et me précisa qu'il voulait enfin voir à quoi pouvait ressembler la jute d’un mec comme moi. Il avait certes goûté sa semence lors de ses branlettes solitaires mais là c’était une autre jute, plus relevée. Tout en criant, je me mis à jouir dans sa gueule et il conserva ma queue dans sa bouche jusqu’à la détumescence complète de celle-ci. En souriant je lui déclarais:

— Moi j’ai pris ta jute dans mon cul, toi la mienne dans ta gueule, nous avons absorbé chacun par des organes différents des vitamines, des sels minéraux.

Lorsque ma bite était encore dans sa bouche, il la recalottait avec sa langue. En souriant, il me fit un patin et j’absorbais dans ma bouche le reliquat de ma jute qu’il avait encore entre sa langue. Il me précisa que mon foutre était très agréable, il était salé mais terriblement suave et goûteux.

Si certains se convertissent à une nouvelle religion, Farid avait choisi la sienne, ce qu’il appréciait par dessus tout c’était l’odeur, le goût, la suavité du liquide blanc qui sortait des mes couilles poilues et pendantes. Farid avait désormais son premier brevet de bonne salope, il devait se rendre compte que les copines appartenaient désormais à son passé sexuel. Il n’a eu au cours de cette semaine de cesse que de jouir et jouir et encore jouir. Pendant ces quelques jours, je me suis efforcé de rectifier sa rondelle car je lui ai précisé que des mecs plus baraqués que moi allaient peut-être dans l’avenir s’occuper de son cul et qu’il fallait agrandir son trou souffreteux aujourd’hui. Ah ce boyau à gourmandise!

Si vous avez aimé cette petite histoire, dites-le moi par email!

claudemodou@gmail.com

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 5 juin 3 05 /06 /Juin 00:26

 à relire dans la rubrique RECITS FICTIONS FANTASMES  (40)  

 

L'apprentissage d'André.

Quand nous étions enfants, on respectait les adultes et en particulier, nos parents. Nous n'étions pas plus malheureux que maintenant où les jeunes ne connaissent plus l'obéissance, faute de l'apprendre! L'obéissance est la base de la discipline, sans laquelle, rien ne fonctionne. Tout ceci pour dire qu'aujourd'hui, le fait de donner une bonne fessée à un enfant qui l'a méritée est presque un scandale! Cela remet pourtant les idées en place et permet de se situer.

Enfin, si je vous parle de cela, c'est pour vous raconter la magistrale fessée dont je me souviens encore et que j'avais reçu étant apprenti. Cela ne m'empêcha pas de grandir et de découvrir mon monde d'adolescent.

Vers 15 ans et demi, j'étais déjà bien formé pour mon âge, pratiquant volontiers plusieurs activités sportives, mon corps musclé suscitait l'envie ou la jalousie des mes copains. J'excellais particulièrement en gymnastique.  Mon corps se transformait, je remarquais, une pilosité nouvelle sur mon bas ventre, un peu autour de mon sexe et sur les jambes. Je me souviens même avoir pris un miroir de poche à la salle de bain, un soir, pour voir si j'en avais autour du trou du cul!   

Encore peu au courant des choses de la chair, je n'avais pas encore eu de relations sexuelles - avec qui l'aurais-je fait? Je savais néanmoins une ou deux choses de par les discussions avec les copains. Bien sûr, il y avait beaucoup de vantardise, mais enfin l'on disait que si on avait du poil au cul, on était un homme! Je commençais donc à en être un!

Les filles ne me branchaient pas vraiment. Mon univers tournait surtout de bons copains, des camardes de jeux. Bien que quelquefois nous eussions comparé nos anatomies à la douche, après le sport, je n'avais pas vraiment cherché à en savoir d'avantage. Bien sûr, je savais comment l'on faisait des enfants, mais c'était assez flou dans ma tête sur le détail que je ne visualisais pas. Habitant la campagne, j'avais déjà vu le taureau grimper sur une vache! Mais c'était la nature... Et l'immense pine du cheval me laissait songeur...

Avec la nouvelle année scolaire j'eus un nouveau patron qui avait remplacé le précédent parti à la retraite. Tout jeune homme, il me semblait à peine plus âgé que moi! Il avait 23 ans et venait de confirmer son professionnalisme. Pas très grand, blond, les cheveux bouclés, il émanait de lui une gentillesse, une douceur renforcée par une voix calme et onctueuse. L'on aurait dit un garçon qui n'avait pas encore mué! Son regard était comme des lacs de montagne: d'un bleu dans lequel on pourrait se noyer et que l'on ne pouvait fuir. Au début, on a chahuté et on ne prenait pas les choses au sérieux ! Mais avec son calme, il ensorcelait et savait se faire respecter.

Pour la première fois de ma vie, je me sentais subjugué par quelqu'un, mieux encore émoustillé ! Quand il me fixait, je ne pouvais que baisser les yeux et je tremblais à l'intérieur. Mon coeur se mettait à battre plus vite et je sentais des frissons dans les reins... Rien que pour lui plaire, j'ai fait de notables progrès et je me faisais apprécier de lui et de nos clients. 

Un jour, pourtant, sans savoir pourquoi, j'ai commencer à déranger ce beau maître, à le contrarier, voire même à lui manquer de respect! Alors que tout allait bien! Probablement que je recherchais son attention? De plus en plus souvent, je le fixais avec défi et insolence! Et c'est lui qui passait à autre chose, me quittant du regard. Dans ces moments-là, je me sentais fort, une nouvelle sensation naissait en moi et en plus des picotements, je sentais ma verge bouger dans mon slip de coton si peu sexy quand j'y pense !  On était en été et je portais des culottes courtes de velours côtelé, laissant ainsi mes jambes nues. Il en était de même pour tous les garçons, à l'époque et je regrette souvent cette mode aujourd'hui, quand je vois les jeunes dans leurs survêts trop vastes dans lesquels l'on a toujours l'impression qu'il ont fait leurs besoins!!

Mon anatomie adolescente était donc offerte à l'admiration  des chaussettes jusqu'aux cuisses. 

Ce jour-là, mon insolence alla trop loin et après plusieurs avertissements, le patron me signifia que j'aurais à rester après l'heure pour balayer et ranger tout l'atelier.  Cette punition était d'ailleurs presque un plaisir...

Pendant qu'il travaillait aux factures dans son bureau, je plaçais les outils et les tabourets sur les établis et et soudains j'en laissai tomber un avec fracas!

— Patatras!

— Fais- donc attention! Tu  tu es un vrai diable aujourd'hui!

— Le diable vous emmerde  ! ai-je rétorqué.

— Insolent! Toi qui es si gentil d'habitude, pourquoi es-tu aussi agressif?

— P'têtre ben que j'ai envie de vous emm..nuyer!

— Cette fois c'en est trop, viens ici immédiatement!

Le sourire aux lèvres, je suis venu vers lui en me dandinant, ce qui a fini de l'exaspérer.

— Tu cherches vraiment une fessée, André eh bien tu vas l'avoir!

Il a reculé sa chaise, m'a empoigné par les cheveux, s'est rassis et m'a obligé à me pencher en avant avec une poigne insoupçonnée, en travers sur ses genoux. Bien que je me laissais faire, je sentis bien que si j'avais voulu me débattre, je n'aurais pas gagné. Sa main gauche sur ma nuque, il commença à me fesser avec la droite!  

Vlan! Vlan! Vlan! Vlan! reflectionsfromaretreat: Yep, spank the bitch until he squeals for you to stop then grab his balls and squeeze them until he begs to be spanked again instead, do that cycle several times over then pass him round your friends for fucking…

Un et deux, trois, quatre et ça continuait. Il ne faisait pas semblant et malgré la culotte les fesses me faisaient mal!

— Aie, aie! Ça fait mal!

J'en avais le rouge aux joues de honte et aussi quelques larmes dans les yeux, mais en même temps, il me semblait bien que l'ayant recherché, j'en retirais du plaisir! Impossible à décrire, ce n'était pas un plaisir physique, mais l'aboutissement logique de mon désir.

— Tu fais moins le mariole, hein!

— C'est vrai, M'sieur, arrêtez, je m'excuse.

— Tu fais bien de t'excuser et à mon tour, je regrette de t'avoir frappé, mais tu l'as bien cherché!

Sa main ne frappait plus, mais restait sur mes fesses endolories, et commençait même à les caresser. Très vite, je sentis mon sexe gonfler dans ma culotte et le sang battre mes tempes. J'ai un peu écarté les jambes et je sentais ses cuisses contre ma verge dure.

— Je t'ai frappé un peu fort, est-ce que tu as mal?

— Ça me brûle un peu.

— Viens avec moi au bureau on va arranger ça.

— Ce n'est pas la peine...

— Allez viens!

Je me relevai et je l'ai suivi. Il a éteint la lumière et fermé la porte   À cette heure làon n'attendait aucun client. Il a ouvert la porte et allumé et je suis entré dans cette petite salle et il a ouvert l'armoireà pharmacie qui sentait l'embrocation et les médicaments. Au centre, il y avait une table . Il y avait encore au fond, un lavabo en faïence blanche et ébréchée.

Le patron, qui s'appelait Jean, ferma la porte à clé en disant:

— On va voir ce derrière endolori! Baisse ta culotte et étends-toi à plat ventre sur la table .

Je dois reconnaître qu'à ce moment-là, je tremblais un peu et j'obéis en devinant qu'il allait se passer quelque chose, mais sans bien deviner quoi? Je déboutonnais ma culotte de velours à la braguette, ouvris ma ceinture et la laissais tomber sur mes chaussettes. Mon sexe encore en peu gonflé faisait une bosse qui me gênait. Le coton blanc était ouvert sur le côté et béait un peu. Je m'étendis sur le lit, les bras repliés sous ma tête, les jambes un peu écartées. Le maître ouvrait et refermait les petits tiroirs de la pharmacie.

— Où donc est cette crème? Ha! Voilà du gel, ce qu'il me faut!

Un sourd désir me travaillait et tendait à nouveau ma verge qui se mouillait du bout. Le maître revint vers moi:

— Et bien tu ne crois pas que je vais masser tes fesses à travers ton caleçon!

Il tira sur l'élastique et descendit le caleçon sur mes genoux. La verge tendue le retenait un peu et je l'aidai de ma main droite.

— Oh! C'est vrai qu'elles sont bien rouges ces fesses-là!  Eh bien attention c'est froid!

Il mit du gel abondamment sur mes fesses et commença à les masser.

— Ce n'est pas trop froid?

— Non ça va bien. Et j'ajoutais par réflexe: C'est bon!

Ses mains, avec douceur me massaient régulièrement et une tendre douceur m'envahit. Mieux je commençais vraiment à chauffer et un sentiment nouveau s'emparait de moi: le désir et le plaisir. Ses mains passaient de plus en plus sur mes fesses et repassaient et caressaient et je gémissais:

— C'est bon!

La douleur avait totalement disparu, mais je me tortillais de plaisir, ma verge mouillait mon ventre et je me tenais à deux mains à la table. Maintenant, Jean me massait des pouces vers l'intérieur des cuisses, me touchant, me caressant les bourses à chaque passage en me faisant me pâmer encore plus.

— Haaa!    Sexy Young Boy Butts smmoth ass  

       

Cette fois mes fesses dures et tendues n'étaient plus que désir et soudain, je sentis un changement : il avait bougé et sa langue (je ne le compris pas immédiatement) me léchait le périnée, les couilles, allant de l'un à l'autre, mouillant, la pointe forçant aussi mon oeil de bronze. Maintenant je l'appelle comme ça, à l'époque c'était mon trou du cul! C'est moins joli!

J'écartais de plus en plus les jambes, je ne me sentais plus et soudain, ma queue lâcha un peu de sperme, comme quand je me branlais dans mon lit! Est-ce qu'on peut jouir ainsi? Comme c'était contre mon ventre, je ne pouvais vérifier, mais je le sentis bien. De plus en plus cette langue me fouillait et il me mordillait même sur les cuisses en m'arrachant des cris de bonheur!

Soudain, je sentis un doigt me pénétrer, je ne fus pas surpris, inconsciemment je le désirais et voilà encore un nouveau plaisir que j'apprenais. Il me tira par les jambes au bout de la table, me fis mettre à quatre pattes. Je savais cette fois ce qu'il allait m'arriver, mais parfaitement détendu, je me laissais faire. Ma queue toujours raide pointait en avant en dégoulinant.

Je sentis à peine quand il me pénétra, puis il s'anima avec force et je dégustais totalement. Sa bite qui me fouillait l'intérieur, qui poussait contre ma prostate, encore une chose que j'ai apprise, ses coups contre mes fesses, ses couilles touchant les miennes, son sexe, tout me procura un immense plaisir et sa main agitait ma verge en même temps. Il jouit en moi avec un grand cri dans la même seconde ou j'ai giclé jusqu'au bout de la table!

Maintenant que je repense à tout cela, mon corps est parfaitement détendu. Couché sur le dos, j'ai la tête de Jean sur mon coude droit, son corps contre le mien, respirant au même rythme. Nous venons de faire l'amour et je suis heureux. Pleinement! Heureux d'aimer, Jean devenu mon amant et mon compagnon depuis plus de 15 ans et c'est tous les jours la fête! Du sexe!

image of gay web video André 2013

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 26 mai 7 26 /05 /Mai 00:31
RECITS FICTIONS FANTASMES (39) 
ça ne sort pas de la famille...entre frères et ami en visite 
  je me suis penché sur Marc pour l’embrasser à pleine bouche. J’avais envie de goûter le mélange de nos foutres.
Hello, je m’appelle Yehan, j’ai 19ans, 1m85, 75 kg, cheveux châtains, yeux marrons, torse et cuisses imberbes et j’ai un frère qui va avoir 18 ans.
L’histoire qui m’est arrivée s’est déroulée il y a un peu plus de six mois. Nos parents étaient partis au chalet pour le weekend et mon frère Mathieu avait invité un de ses amis, Marc, à venir passer le weekend chez nous. De mon côté j’étais sorti le samedi soir  avec des potes.
Lorsque je suis rentré, il devait être 2h du matin et tout le monde dormait. J’étais fatigué mais j’avais envie de prendre une douche et de me branler un coup étant donné que ma copine n’avait rien voulu faire ce soir. Je suis donc rentré dans la salle de bain et j’ai commencé à me doucher.
Une fois ma douche finie, je me suis essuyé et j’ai remarqué que la porte de la salle de bain était entre ouverte, alors que j’étais sûr de l’avoir fermée. Je regardais dans la glace et vis que Marc, le pote de mon frère, me matait par la porte. J’ai donc décidé de lui montrer ce qu’était une vraie bite de grand...
Je dois dire que je suis assez fier de ma queue: elle fait presque 20 cm pour un diamètre de 6 cm, j’en suis fier et ma copine l’adore. Enfin bref, j’ai donc commencé à me regarder dans la glace et à me caresser la queue, jetant toujours un œil pour voir ce que faisait Marc. Et il se caressait le caleçon la petite salope.
Je me suis donc retourné et l’ai appelé:
— Si tu voir mieux faut ouvrir la porte Marc!
Pas de réponse.
— Entre Marc!
Et là la porte s’est ouverte, Marc était debout, le caleçon tendu.
— Eh ben, Marc, on n’arrive pas à dormir? Je te plais comme ça on dirait, petit p<d<?
— Ouais, t’es bandant Yehan, encore plus que ton frère!
— Alors viens voir de plus près. Viens ou je dis à tout le monde que t’es un pédé!
Marc s’est approché de moi, il a posé sa main sur sa queue et m’a souri. Je n’avais jamais pensé à baiser avec un mec mais là, je dois dire que je bandais comme un âne et que j’avais envie de sexe.
J’ai posé ma main sur son épaule et je l’ai fait s’accroupir devant ma queue, et il a pas hésité une seule seconde. Il a sorti sa queue et a commencé à me lécher la bite. Ma queue me faisait mal tellement je bandais fort. Et Marc qui me léchait de haut en bas, j’ai commencé à soupirer et j’ai guidé mon gland vers sa bouche. Je l’ai fait glisser centimètre par centimètre entre ses lèvres, je sentais ses lèvres chaudes entourer ma queue. J’ai caressé ses cheveux et il a commencé à me pomper. C’était trop bon de se faire sucer par un petit mec. J’ai donné des coups de reins et j’ai commencé à m’échauffer.
— T’aimes ça mon petit Marc, t’aimes ma queue!
— Hmmmm, Hmmmm.
— Oui suce moi bien petit p<d<, pompe moi fort.
Il aspirait ma queue comme une glace! Je matais ses fesses imberbes et j’avais envie de son cul bien chaud. J’ai passé un doigt dans sa raie et j’ai commencé à lui titiller la rondelle. Il s’est mis à soupirer, j’ai salivé sur mon doigt et je lui enfonçai dans le cul. C’était assez peu serré, mais ce n’était que mon doigt après tout.
Marc a lâché ma queue et il s’est mis à quatre pattes devant moi.
— Viens Jehan, baise moi! J’ai envie de ta queue! J’ai envie de ta grosse bite!
— Putain faut pas me le dire deux fois Marc, je vais t’éclater le cul ma salope!
Je n’arrivais pas à croire que c’est moi qui disait ça. Avec ma copine, je suis plutôt doux en principe, mais là je voulais du sexe, que du sexe.
J’ai craché sur sa rondelle et je l’ai doigté quelques minutes, puis j’ai passé une capote et j’ai posé mon gland sur sa rondelle.
— Tu la veux ma queue? Tu veux que je te baise?
Il n’a rien dit mais a poussé son cul vers moi, alors j’ai écarté ses fesses à fond et j’ai poussé ma queue dans son cul. Doucement au début, puis plus fort car elle ne rentrait pas. Et là, le pied divin: sa rondelle s’ouvrait pour me laisser passer. Je l’ai senti se crisper puis soupirer. Je suis resté au fond de lui quelques secondes puis j’ai commencé à le ramoner, doucement au début puis de plus en plus vite. Marc a tourné la tête pour me fixer dans les yeux et j’ai accéléré la cadence.
— Oh oui, Yehan, vas-y. Donne moi bien ta grosse queue, elle est trop bonne.
— T’aimes ça mon petit Marc, t’aimes ma bite on dirait. T’aimes aussi celle de mon frère?
— Nan ton frère il est trop timide, mais j’aimerais qu’il me défonce comme toi tu le fais!
J’allais de plus en plus vite dans son cul je sentais que j’allais jouir assez vite, alors j’ai sorti ma queue de son cul. Sa rondelle est restée bien ouverte quelques secondes et je l’ai retourné sur le dos. J’ai monté ses jambes sur son torse, et j’ai enfoncé ma queue d’un coup.
— Ah, putain elle est bonne Yehan! Défonce moi le cul!
— T’inquiètes, la soirée ne fait que commencer.
J’ai pris appui sur ses jambes et je me suis mis à lui bourrer cul comme jamais je l’avais fait avec une meuf. Ma queue faisait un bruit d’enfer dans son cul, je le voyais parfois sourire, parfois grimacer. Il bandait fort aussi alors j’ai pris sa queue dans ma main et je l’ai branlée à fond. Là, il s’est mis à soupirer comme un petit chien, moi je transpirais de partout. Il s’est tendu, m'a fixé dans les yeux.
— Je vais gicler Yehan!
Je l’ai branlé encore plus vite en serrant fort sa queue. J’ai sorti ma bite de son trou et au moment où il s’est tendu pour gicler sa sauce, je lui ai défoncé le cul encore une fois.
— Oooouuuuuuiiiiiii!
J’ai cru qu’il allait réveiller tout l’immeuble. J’ai donné encore quelque coups de reins dans son cul. Ma main a étalé son foutre sur son ventre et son torse et j’ai senti qu’il était temps que je gicle. J’ai sorti ma bite rouge et gonflée de son cul, j’ai enlevé la capote et je lui ai dit que j’allais jouir. Et là il a fait ce que même ma meuf ne fait pas: il s’est relevé et a ouvert la bouche en grand. Le rêve pour tout mec quoi!
— Oh putain oui Marc, je vais t’inonder la gueule.
Je me suis rapproché de lui, j’ai dirigé mon gland vers sa bouche et je me suis branlé à fond. Quelques secondes plus tard, je me vidais dans sa bouche et sur son visage. Je lui ai innondé la face de 8 bons jets de foutre épais. Il en avait partout, ça coulait sur son menton. Je l’ai fixé dans les yeux et je me suis couché sur lui, histoire de reprendre mon souffle.
— Eh ben! On s’emmerde pas mes salops, vous pensiez que j’arriverais encore à dormir avec le bruit que vous faites?
Mon petit frère se tenait devant la porte, son caleçon tendu....
— Salut Mathieu, tu savais que c’était un petit pd ton copain?
— Je m’en doutais, il arrête pas de ma mater dès qu’il le peut.
— Je crois qu’il aimerait bien que tu t’occupes un peu de lui aussi...
— Allons dans ma chambre.
On s’est levé et on s’est dirigé les trois vers la chambre de mon frère. Mathieu a enlevé son caleçon, il ne bandait plus et moi non plus. Alors on s’est mis l’un à côté de l’autre et Marc est venu se mettre à genoux devant nous. Il a commencé par prendre nos queues en mains et les a caressées doucement. Ça n’a pas mis long pour que mon frère et moi ayions à nouveau la queue raide. Marc passait d’une bite à l’autre, léchant le gland, les couilles, la hampe. Je regardais mon frère et lui souris:
— À toi l’honneur Mathieu, lui dis-je en montrant les fesses de Marc.
Mon frère s’est mis à genoux derrière Marc et a commencé à lui caresser la rondelle. Moi j’ai mis mes mains sur ses cheveux et j’ai enfoncé ma bite dans sa bouche.
— Vas-y Mathieu, baise-le il adore ça!
— T’inquiète pas grand frère, je vais bien m’occuper de son petit cul.
Mathieu a pris sa queue en main et a pointé son gland sur la rondelle de Marc, et il a commencé à pousser. J’ai vu sa queue glisser dans ce petit trou et ça m’a à nouveau excité à fond. J’avais déjà eu l’occasion de me branler devant un porno avec mon frère mais là, je le voyais baiser et ça me faisait triquer à mort. J’ai commencé à pincer les tétons de Marc et je me suis mis sous lui pour faire un 69. J’ai senti sa langue sur ma rondelle, j’ai eu des frissons mais j’ai adoré ça. Je me suis mis à lui pomper la queue, serrant fort sa bite entre mes doigts. J’avais les couilles de Mathieu qui frottait mon visage et de temps en temps, je lui donnais un coup de langue sur ses couilles. Marc a laissé ma queue et s’est lâché lui aussi.
— Vas-y Mathieu, baise-moi! Baise-moi comme ton frère, vous êtes deux queues sur pattes mes salops!
— T’aimes nos bites Marc, t’aimes te faire enculer par deux bonnes grosses queues !
— Oh oui j’adore ça, continue Mathieu, encule-moi à fond!
Mathieu a sorti sa queue et est venu se coucher à côté de moi. Je l’ai regardé et j’ai souri. J’ai pris Marc par la taille et je l’ai guidé pour qu’il vienne s’empaler sur mon frère. J’ai pris la queue de Mathieu en main et je l’ai guidée sur la rondelle de Marc, et il s’est assis d’un coup sur sa bite raide. Moi je suis venu à côté de mon frère, à genoux, et j’ai recommencé à baiser la gueule de Marc. Ce salop me pompait comme un fou; mon frère gémissait de plus en plus. Il lui écartait les fesses pour mieux l’enculer. Je suis passé derrière et comme un petit chien, j’ai commencé à laper les couilles de mon frère, qui allaient et venaient sa bite disparaissant tour à tour dans le cul de Marc puis je montais sur sa rondelle , puis à nouveau les couilles de mon frère. J’aurais jamais cru pouvoir sucer mon frère mais c’était trop bandant comme situation.
— À moi frérot, laisse moi la place!
J’ai soulevé Marc, j’ai pris la chaise avec les accoudoirs de l’ordinateur et j’ai porté Marc, puis l’ai assis de façon à ce qu’il ait le torse face à la chaise et les jambes sur les accoudoirs, je l’ai penché en avant pour qu’il puisse sucer mon frère et j’avais une magnifique vue sur sa rondelle pleine de sueur et de mouille.
— Putain Marc, je vais t’éclater le fion mon salop!
— Oui Yehan, viens, défonce moi le cul, c’est le plus beau jour de ma vie!
— Vas-y grand frère, bourre lui le cul.
Ses fesses étaient bien écartées, ma queue bien raide. Je me suis collé à lui et je la lui ai enfoncée d’un trait. Ça l’a fait hurler et ça m’a excité encore plus, du moins si c’était possible. J’ai posé mes mains sur ses hanches et j'ai commencé à le ramoner à fond, sortant ma queue à chaque coup de reins pour lui enfoncer encore plus vite et encore plus fort. Marc hurlait comme dans un film porno.
— Fais-le taire Mathieu ! Donne lui ta queue à sucer!
Je défoncais le cul de Marc, Mathieu lui bourrait la gueule, j’avais l’impression que ma queue allait exploser mais je continuais à lui défoncer le cul avec de grands coups de reins. La pièce était remplie d’odeurs de bite et de mâles, des soupirs de mon frère, des gémissement de Marc, de ma respiration rapide et du bruit que faisait le cul de Marc et sa bouche.
— Je vais bientôt gicler! dit Mathieu.
— Attends-moi, qu’on lui innonde la face ensemble!
Mathieu s’est éloigné, caressant ses couilles, moi je continuai encore quelque minutes à défoncer Marc qui se laissait aller à soupirer comme une chienne. Puis j’ai sorti ma bite et j'ai rejoint mon frère. Marc est venu à genoux jusqu’à nous, un magnifique sourire aux lèvres. Ils nous a fixés dans les yeux l’un après l’autre et on a commencé à se branler à fond en visant son visage de nos glands. Après quelques secondes:
— Oh putain ça vient, je vais gicler!
— Aâaaaaaaaaaaaaaaah!
J’ai vu la bite de mon frère exploser et des jets de foutre atterrir sur le visage de Marc, sur ses lèvres et sur sa langue. J’ai pas tenu le choc et j’ai aussi joui.
— À moi, prends tout, avale tout ma salope!
Et j’ai à nouveau joui comme un fou, un courant électrique me traversait le corps des pieds à la tête tandis que ma queue se vidait de 5 jets de foutre chaud et épais, innondant les cheveux et la bouche de Marc. Cette salope luisait de tout le visage. Il donnait des coups de langue d’une bite à l’autre et se frottait nos glands sur son visage. Il nous a sucé encore une minute ou deux et s’est couché par terre, passant ses doigts sur son visage puis les mettant dans sa bouche. Mon frère s’est couché sur le lit et moi je me suis penché sur Marc pour l’embrasser à pleine bouche. J’avais envie de goûter le mélange de nos foutres.
 — Bon les mecs, on se prend une petite douche? dit Mathieu. Enfin surtout toi Marc!
 — Oh oui, dit Marc, j’en ai bien besoin.
On s’est retrouvé les trois sous la douche à se caresser et à s’embrasser, puis on est parti à la cuisine pour boire un coup et nous reposer 5 minutes. Marc n’arrêtait pas de nous sourire.
— Bon ben moi je vais me coucher. Qui m’aime me suive!
On a ainsi passé la nuit tous les trois dans mon lit. Jusqu’au réveil ! Et quel réveil puisque Marc et Mathieu étaient les deux en train de me sucer la queue. Je les ai regardés et:
— Si j’ai bien compris, on ne sort pas aujourd’hui? On reste là!
J’ai alors posé mes mains sur leur deux têtes et j’ai guidé leur mouvement sur ma bite. Je me suis laissé aller, la tête penchée en arrière et j’ai fini par gicler toute la sauce que j’avais dans mes couilles sur mon ventre et mon torse.
On a passé la journée à baiser, et je dois dire que j’ai pas eu beaucoup d’énergie la semaine suivante pour m’occuper de mes études.
 
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 je me suis penché sur Marc pour l’embrasser à pleine bouche. J’avais envie de goûter le mélange de nos foutres.
Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 20 mai 1 20 /05 /Mai 10:36

  classé dans RECITS FICTIONS FANTASMES  (38) 

une intrigue qui nous change des récits gnan gnan 

  Par tendresse il m'appelait Babacar comme dans la chanson de France Gal. Mais, salaud et cynique,  lui,  il ne m'a pas adopté.   

Regardez-moi quand j'étais encore libre  ( fake)

aujourd'hui ça va mieux je travailleà la bibliothèque de la centrale...ils m'ont mis là pour bonne conduite... 

Un mineur de 16 ans a été incarcéré entre fin février et début mai dans la prison pour adultes de Bois-d'Arcy (Yvelines), condamné pour vol par des magistrats qui ont cru qu'il avait 18 ans révolus, a-t-on appris mercredi auprès de l'Observatoire international des prisons (OIP). - Anne-Christine Poujoulat/AFP La centrale vous savez pas ce que c'est.     

________________________________________________________________________________________________ 

À 13 ans j'ai commencé les conneries dans ma cité. Je séchais régulièrement les cours dès cette époque-là, et, l'année de mes 15 ans, je quittais mes vieux pour squatter, avec mes potes, des appart dans lesquels on faisait notre musique sur des guitares et des batteries. On vivait de larcins: vols d'autoradios, effractions dans les appartements ou dans les boutiques pour piquer les matériels vidéos, PC, télés, ou plus simplement pour bouffer. On se marrait en volant des caisses pour organiser des rodéos dans les rues et en provoquant les habitants du quartier. On est des Sauvageons comme a dit l'autre con à la télé... Quand j'ai eu 17 ans, j'avais plusieurs fois été arrêté par les gendarmes, ramenés à mes parents qui, chaque fois, me rejetaient car je leur causais trop de soucis qu'il disaient... Mon père parlait alors de m'envoyer en Afrique pour m'éduquer. Moi demi-black de banlieue, né en France m'envoyer en Afrique? Il était vraiment trop nul ce vieux-là.

Je dis que j'avais été pris par les gendarmes car, dans ma banlieue, cité-dortoir, pas de police, et ce sont les gendarmes qui font appliquer la loi, ça paraît compliqué pour les non-initiés, mais policiers et gendarmes ce sont fait deux mondes différents, l'un d'entre eux est nettement plus con et vachard que l'autre, je vous laisse deviner lequel... C'est selon que vous aurez eu affaire à l'un ou à l'autre...

Donc à 17 ans je passais devant le juge pour le troisième fois... Une femme teigneuse... chignon... la haine aux plis des lèvres...

J'ai eu une "admonestation"... Ca veut dire : "Fais gaffe à la prochaine... et je t'ai à l'oeil..." Et cette mal-baisée d'ajouter: "Si tu reviens, tu es bon pour une maison d'éducation surveillée."

La fois suivante, ça n'a pas été long: huit jours après, je faisais le guet pendant que les copains dévalisaient une camionnette de hi-fi venue stationner dans nos rues, un véritable appel à la fauche! À croire que c'était un piège. La veille j'étais tombé avec un scooter volé et je tirais la jambe, j'étais dans l'encoignure d'une porte quand "Ils" sont arrivés, de partout... mes potes se sont carapatés, moi, patte folle, j'ai été épinglé comme une fleur... Embarqué dans le fourgon qui est arrivé tout de suite... à la brigade... La honte... Une fois de plus...

J'ai été foutu à poil dans une cellule à la vue de tous les gendarmes qui se foutaient de ma gueule:

— Tu bandes pas trop là... Hein... Bamboula...

J'essayais en vain de cacher mon sexe avec mes mains. J'avais la haine. Il m'a fallu dormir enroulé dans une pauvre couverture qui puait la cloche et suait le graillon. Le lendemain, la juge était "un" juge, plutôt gentil. Il a lu mon dossier en faisant des "Hou! là là..." et des "Ho! ho!", et en s'adressant à moi:

— Vol en bande organisée, je pourrais te mettre au dépôt, mais je vais te donner une chance.

C't'abruti... En fait, j'avais réfléchi, il n'avait pas de preuve de quoi que ce soit, je volais rien. J'étais là... Par hasard... Et alors...

Il m'a confié à une structure qui, il disait, "va s'occuper un peu de ton avenir." Les gendarmes m'ont ramené au poste d'où ils devaient me conduire dans cette fameuse "maison" qui était dans la lointaine campagne. Dans la cage, un peu plus tard, l'un d'entre-eux, est venu m'apporter à manger. J'ai été tout de suite étonné de voir qu'il pouvait exister des "jeunes" gendarmes.

Ryan Sheckler buzz cut.(fake)

Ahtlétique, cheveux blonds coupés ras, il était vêtu d'un treillis kaki qui serrait sa taille en faisant ressortir de larges épaules et son étroitesse des hanches, je me méfiais instinctivement de ce genre de mec que je classais "nazi" dans mon for intérieur. Il m'a installé à une table et a posé le plateau, à ce moment, provocateur, d'un geste brusque du bras, j'ai balayé l'assiette qui s'échoua sur ses jambes. Dégoulinant de nouilles à la tomate, son treillis changea de couleur.

Un silence... une seconde... Et... une magistrale paire de gifles s'abattit sur mes deux joues. De celles qui font allumer des éclairs flashant le cerveau de l'intérieur comme une guirlande de Noël. Je crus ma dernière minute arrivée tant la douleur fut vive, je me recroquevillais dans un coin le visage envahi de larmes de souffrance.

— T'as pas le droit de me taper... Salaud...

— Tu peux toujours le dire au juge gros nul... En attendant, si tu veux manger, tu nettoies... et que ce soit nickel...

Il referma la porte et, me retrouvant seul, un incommensurable désespoir m'envahit, c'était la première fois depuis des années qu'un adulte portait la main sur moi. Au cours de mes virées, j'avais connu la castagne mais ça avait été avec des mecs de mon âge, donc pas trop costaud, et les coups étaient vite oubliés. Je m'effondrais sur le lit et, pris par un véritable chagrin d'enfant, je me mis à sanglotter. J'aurais voulu alors suçer mon pouce et tripotter les vieilles oreilles déchirées de mon ancien nounours comme du temps où ma mère me prenait dans ses bras, quand elle m'aimait encore, pour me consoler.

Je pleurais de désespoir à la pensée d'être enfermé... De dépit pour m'être fait frapper sans avoir oser, lâche que j'étais, répondre à ses coups... Et fâché de sauter un repas qui aurait calmé un peu une faim de loup qui ne me quittait jamais. Honteux, je me levais et décidais de ramasser les reliefs du plat encore à terre. Le jeu n'en valait pas la chandelle, les pâtes, refroidies, brunes, me coupaient un appétit que j'avais pourtant particulièrement développé.

Une demi-heure après, le même gendarme ramenait un nouveau plat:

— Ho là! c'est mal nettoyé ça! Tu va me prendre une éponge et m'astiquer tout ça!

La faim me tenaillant, vaincu d'avance, je fis ce qu'il demandait. Il posa le plateau et, me quittant, il lança:

— T'es bien une vraie gonzesse, deux baffes et tu chiales... Une petite faim et tu fais le ménage... Et si j'insiste tu me suces pour avoir une glace?

C'était le comble de l'humiliation, je réussis à bredouiller:

— Je suce pas les pédés!

Ce qui me valut une autre giffle que je réussis tout de même à amortir du bras mais qui me renversa tout de même à terre. Maté, je m'asseyais et mangeais à même le sol, sous le regard amusé de ce grand connard qui continuait à me narguer à travers les grilles.

Le soir même je couchais au centre d'accueil où je fis preuve, pendant une quinzaine de jour, d'un mauvais esprit et d'un allant dans la méchanceté qui me conduisirent plusieurs fois au cachot.

Quelques jours, puis, un matin, les éducateurs nous réunirent et nous firent une déclaration:

— Dans le cadre de la réinsertation par le sport, nous organisons un camp d'hiver à la montagne avec pour objet: course dans la neige, ski en altitude, et bivouac dans le froid.... Faut dix volontaires.

Puis en s'adressant à moi:

— Toi Babacar, t'es inscrit d'office car t'es devenu insupportable ici.

Les fumiers, encore un truc pour se débarrasser de moi comme à la maison:

— Pourquoi moi, j'ai pas été puni depuis cinq jours.

— Le responsable du groupe a demandé ta présence, paraît qu'il te connaît.

— Je connais personne à part mes potes, qui c'est donc celui-là?

— Un gendarme détaché pour encadrer ce groupe, c'est un prof d'éducation physique qui connaît bien la montagne et les voyous comme toi.

J'avais compris et je passais mon temps à alimenter ma rancoeur, sans aucun doute c'était ce grand enfoiré qui m'avait baffé par deux fois et qui me foutait une trouille bleue quand j'y repensais...

Trois jours plus tard, un bus franchissait le péage de Fontenaibleau, direction Bourg-Saint-Maurice où nous devions toucher un équipement pour les deux semaines que nous allions passer à la montagne. Tous, nous n'étions jamais sorti de notre banlieue et le voyage nous fit énormément plaisir, on a quand même un peu déconné et foutu le bordel dans les selfs pendant les arrêts, sur l'autoroute, mais découvrir les aspects changeants de la campagne, puis les premières montagnes, les neiges sur les cimes. Tout cela nous embrûmait l'esprit... On avait l'impression de vivre nos premières vacances.

Le gendarme s'était présenté: "Vous pouvez m'appeler Erik", puis chacun de nous lui a donné son prénom. Arrivé à moi il a dit:

— Toi je te connais, je suis sûr qu'on va devenir les meilleurs amis du monde, qu'est-ce que tu en penses?

Moi, renfrogné:

— Je serai jamais ami avec un mec comme toi...

— On verra... On verra...

Les potes étaient jaloux: "Il t'a à la bonne dis-donc." J'aurais jamais voulu leur avouer qu'il me faisait peur depuis qu'il m'avait collé une trempe.

— Faites gaffe à lui, c'est un dérangé, il m'a violé pendant que j'étais à la gendarmerie.

Immédiatement je me rendis compte de la connerie que je venais de proférer sachant, que parmi mes compagnons de voyage, quelques-uns seraient trop heureux de fayotter un brin en rapportant ce que je venais de dire à ce connard...

Près de Bourg, un immense chalet nous attendait, ça avait été une ancienne colonie de vacances désaffectée de l'armée ou je ne sais trop quoi, les chambres furent distribuées, c'était de petites pièces, pas trop chauffées, on tenait à deux maximum, certaines n'avait qu'un lit. On se répartit selon les affinités, les uns ne voulant pas quitter un pote de toujours, d'autres avaient décidé de copiner avec un nouvel ami, d'autres encore, dont moi, tenaient absolument à ne pas partager, quand c'était possible, une pièce qui préservait tout de même un peu d'intimité.

On a eu quelques heures où chacun pu déballer ses maigres affaires ainsi que pour se doucher, c'était des douches individuelles, ça m'allait... j'avais horreur d'être nu avec les autres. Mon long corps mais dépourvu de poil, ma queue de taille diabolique pour mon âge, mes fesses rondes et brillantes attiraient toujours quelques railleries et, parfois, des oeillades de connivence que je faisais semblant d'ignorer mais qui me flattaient quand les mecs en question étaient mignons. Rien dans eux ne m'attirait, me semblait-il, mais je ne dédaignais pas de jouer les charmeurs.

Je traînais sur mon lit à écouter mon baladeur et le temps passa, si bien que je fus surpris quand un surveillant vint me taper sur l'épaule et me dit:

— Magne-toi, tout le monde a choisi ses affaires... Reste plus que toi... Allez, fissa...

Il m'a amené dans une pièce assez grande à la tête de laquelle était inscrit "Economat". J'eus un coup au plexus. Le grand con était là qui m'attendait en souriant:

— En retard Bab'... Tu va avoir une punition...

— J'm'en tape de tes punitions, mais tu ne me cognes plus sinon je porte plainte.

— Voyez-vous ça... Le petit Bab' qui me menace... Paraît même que je t'ai déjà violé à ce qu'on m'a rapporté, tu le signaleras aussi dans ta plainte.

Même un black peut rougir, promis, ça se voit moins sur le visage, mais de dedans, c'est pareil, ma tête a pris immédiatement quelques degrés de chaleur en plus.

— Tu m'excuses? (Je ne me reconnaissais plus!) J'ai dit ça un peu vite. C'est pas vrai...

— Il est temps de dire ça maintenant que tout le monde est au courant...

— Je m'excuse... J'peux pas dire plus... J'aurais pas dû dire ça... T'es content...

— OK, j'accepte, à condition qu'on se serre la main et qu'on supporte tous les deux... On peut devenir copains, tu crois pas.

— On n'est pas du même monde, ça le fera jamais...

J'étais un peu ému de cette main tendue et de la gentillesse qui émanait d'Erik, il ne semblait pas aussi sournois que je l'avais pensé, après tout je risquais quoi de marcher dans cette combine ?... Rien... Au contraire, j'étais tellement seul affectivement qu'il me sembla naturel d'accepter d'aller vers celui qui avait fait un pas dans ma direction. Je serrai la main tendue et le bras d'Erik me flatta l'épaule:

— C'est bien de me faire confiance, tu ne le regretteras pas, tu verras je te sortirai des embrouilles.

Les quinze jours se passèrent rapidement, nous faisions une course tous les jours, sauf les dimanches, et nous découvrions les merveilles des Alpes. À la fin, j'étais devenu inséparable d'Erik, je ne le quittais pas. Il était devenu un grand frère... un père... un copain... à qui je pouvais tout dire. La veille du départ on fit une petite fête, je grattais une guitare désaccordée avec laquelle j'accompagnais les copains dans des chansons dont nous avions détourné les paroles. On était d'une tristesse infinie et les plus jeunes pleuraient sans retenue. Étant devenu une sorte de leader du groupe, mes potes m'avaient chargé de prononcer quelques paroles pour remercier les moniteurs, je le fis malhabilement car ému, et je m'écroulai en sanglots sur la poitrine d'Erik qui me consola en me tapant dans le dos.

On se coucha tous avec un moral à zéro. Je tournais dans mon lit, déchiré, sans trouver le sommeil quand quelqu'un cogna la porte et entra, c'était lui:

— J'ai une bonne nouvelle pour toi, je t'ai trouvé une place dans un centre où tu vas pouvoir apprendre un métier, faudrait qu'on discute un peu de ce que tu veux faire plus tard.

Il s'est assis sur le bord du lit et nous parlâmes de mon avenir ce qui eut pour effet de m'attrister un peu plus:

— On va rentrer et je ne te verrai plus... J'suis sûr que je vais recommencer les conneries si t'es pas là à me surveiller...

Il me prit par les épaules:

— Voyons Bab', je ne laisserais pas tomber, je viendrais te chercher les week-ends, on ira faire de la voile sur la Seine, tu verras c'est super et, cet été je fais le moniteur aux Glénans, je t'inscrirais à un stage, mais faut que tu sortes de cette vie de naze avant que tu plonges sérieusement.

Mektoub, c'était écrit !

Et c'est à ce moment précis que tout a dérapé...

Ma tête reposait contre sa poitrine... Dieu est témoin que nous n'avions rien prémédité... C'est venu tout naturellement... Comme si ça devait arriver... À même se poser la question pourquoi ce n'était pas arrivé plus tôt... Ma bouche, mes lèvres métisses ont commencé à embrasser le torse carrosé de muscles plats, puis remontant le cou, le visage et ont trouvé une bouche parsemée d'une barbe du jour qui piqua ma peau adolescente. Sa bouche s'est offerte sans retenue, une bouche d'homme que je goûte pour la première fois et que je trouve large et profonde, le baiser est viril et Erik s'est couché sur moi après avoir baissé les draps, nous sommes des lutteurs qui ne veulent pas perdre le contact avec leur adversaire, mes bras, ses bras, enserrent les bustes et collent les corps, coupant les respirations, les coeurs battent, les têtes s'échauffent, les queues se frottent, monstreuses, noire et chair que nos mains triturent et flattent.

Je suis vite dévêtu, Erik se lève pour mettre le verrou et quitter son survêt... Il exécute une sorte de strip-tease, pliant et rangeant soigneusement ses vêtements sur une chaise. En ombres chinoises, je découvre son corps, musclé, ses petites fesses hautes, sa poitrine dépourvue de pilosité, et cette queue, remontant vers l'abdomen, qui attire mon regard et que je devine destinée à ma bouche car il s'approche de ma tête et propose le morceau à la dégustation de ma langue, je la prend comme habitué à d'un tel repas alors que j'improvise un à un les gestes qui, je le pressens, le raviront.

Je suce son membre et Erik se couche et se met en devoir de déguster le mien, quand il est enfourné et que je ressens la chaleur de sa bouche sur mon gland je redouble d'activité pour lui donner pareille sensation. Sa bite est longue mais pas de taille extraordinaire, ma queue est plus longue et plus épaisse bien que je sois beaucoup plus jeune que lui. Mais j'aime tenir cette bite entre mes lèvres, j'ai l'impression de posséder un trésor beaucoup plus valeureux que les quelques chattes que j'ai possédées. Je suce comme un gourmand cette sucette qui ne fond pas sous la dent, bien au contraire, elle durcit, semble s'allonger, et perle des gouttes de sperme que je me force à avaler, je ne le trouve pas agréable mais il a le goût d'un certain interdit et j'aime contrarier ce qui est dans l'ordre des choses.

Erik a la bouche remplie de ma queue, il essaie bien de l'enfourner entièrement mais c'est au-dessus de ses possibilités, je goutte comme un malade et ses lèvres et sa bouche sont noyées de sperme et de salive qui filamentent entre la langue et les dents, il quitte mon sexe et s'insère dans ma raie qui s'imbibe de mes sécrétions, puis mon cul est à son tour débarbouillé et violé par une langue virile: quelle extraordinaire sensation de douceur dans mon anus, que j'ouvre, et qui est léché et écartelé avec tant d'ardeur.

Je fais de même avec son cul, nous nous tournons et je me retrouve sur lui, il se prête au jeu et, ouvrant ses jambes, il m'ouvre la porte de son trésor, je le découvre nu comme celui d'un ado, je n'avais jamais pensé que des mecs puisse se raser les poils du cul, c'est beau, je le vois de près cet oeil brun avec ses petits plissements en toile d'araignée, je crache un peu de salive et mon doigt étale sur le pourtour et comme victime d'une diablerie, je le vois qui s'ouvre littéralement pour que je puisse y glisser un, puis deux doigts qui le lubrifient et l'assouplissent, bientôt j'y mets mes deux index et je l'écartelle presque sans effort et je vois son intérieur rose, ma langue entre comme chez elle dans ce terrier accueillant.

Erik agit en professeur mais son attitude est soumise, il geint comme un chiot quand je lui dévore l'intérieur et il recule afin que ma bouche puise à son trou et en retire satisfaction.

Je suis novice sexuellement et mes expériences réduites à de courtes étreintes dans les caves d'HLM, sur des matelats humides, machurés de spermes séchés, de souillures et de vomi d'ivrognes. Ce fut toujours hétéro, même quand nous baisions, en clients, un jeune de la cité, travesti des fringues de sa grande soeur, pute au grand coeur, qui se faisait enculer pour des clopes ou quelques thunes. Nous agissions alors comme de vrais petits mecs fiers de nos bandaisons déraisonnables, et, pour nous, un trou était un trou, qu'il fut féminin ou masculin, et il n'ôtait pas, selon nous, une parcelle de virilité aux mâles que nous étions. "Sale pédale"... ou "Enculé" restaient des insultes pour nos ennemis.

Erik se releva et me mit sur le dos, il me chevaucha et je commençais à penser qu'il voulait me baiser, je n'avais jamais subi cette intrusion et je la redoutais un peu y étant peu préparé aussi bien physiquement qu'intellectuellement. Mais je me trompais sur ses intentions, je sentis bien, un peu, son gland qui se traîna sur mes fesses pareil à un escargot qui laisse un chemin de bave. Son intention était autre, il ramena son cul à mes lèvres afin que je l'humecte:

— Mouille-moi bien le cul.

Je déposais alors le maximum de salive sur la rondelle et tentais de la faire pénétrer. Il se glissa sur mon corps et ses fesses se trouvèrent à la hauteur de ma queue qu'il saisit d'une main et dont la tête fut bientôt à l'entrée de son trou, il recula, lentement, mais sans faire de pause, et enfourna toute la longueur de ma bite qui se trouvait alors dans un état d'érection maximale.

— Je t'aime petit con... Tu as la plus belle et la plus grosse queue que j'ai jamais vue... Tu es mon bourreur...

Je n'avais pas l'esprit à parler, et sentir, le long des 22 cm de mon pénis, une telle caresse, m'extasiait au plus haut point et me donnait une jouissance que je ne supposais pas qu'elle puisse exister. Le cul d'Erik montait et descendait le long de ma tige et à chaque mouvement je sentais ses sphincters lui appliquer un serrement musclé que je distinguais de bas en haut et de haut en bas. Je planais dans un bonheur que je découvrais et jusqu'à ce soir je n'aurais jamais pensé qu'il puisse m'être donné par un homme.

Enfourné, Erik m'enserra de ses bras et m'enleva comme un brin de paille pour s'allonger sur le dos, je me posais alors en dominateur, il écartais les jambes et je limais son cul sans contrainte, je me penchais vers lui et je l'embrassais longuement. Ce contact de nos bouches stimulait mes sensations, mon corps vibrait, et cette vibration transmise par ma queue libérait alors une charge émotionnelle qui sublimait la masse de ce corps et le rendait léger, aérien, jusqu'à ce que, pareille à une explosion, l'énergie se libère sous forme d'une jouissance qui se dissipa en éjaculation. Des jets puissants poussèrent mon sperme dans le cul d'Erik, remplirent son intérieur, je continuais à le limer encore mais je sentais bien que ma bite entrait et sortait enduite de la forte quantité de semence  que je venais de lui injecter.

Erik, au moment où il sentit la chaleur de mon foutre lui échauffer le trou, poussa un cri qu'il se força à contenir, il me serra contre sa poitrine, et je perçus, sur mon abdomen qui serrait sa queue, la puissance des jets qui s'étalèrent entre nos peaux.

Plusieurs minutes après ce séisme, je ne parvenais pas à débander, jeune chiot, mon besoin d'affection se transformait en machine à baiser, Erik semblait repu, lui:

— Il faut que je te soulage une autre fois afin que tu parviennes à dormir.

Il me laissa couché et se mit devant ma queue, entre mes jambes, il prit celle-ci dans sa bouche et, d'une manière douce, entreprit de me sucer, je relevais les jambes pour me permettre de jouer de mes reins et lui pénétrer dans l'arrière-gorge:

— Je veux te jouir dans la bouche.

Le petit futé mouilla ma raie et sa main s'égara vers mon cul, il me suçait et ses doigts forçaient le passage vierge de mon anus.

Je ne souhaitais pas me faire baiser car j'étais toujours dans un état d'esprit hétéro où celui qui se fait enculer n'est qu'une chochotte complètement efféminée. Pourtant je venais de baiser Erik et il ne me serait pas venu à l'idée de lui retirer un tant soit peu de sa virilité. Je ne voyais pas encore, à ce moment-là, cette contradiction dans mes pensées. Il me faut avouer que je n'avais en tête qu'une chose unique: jouir, jouir et encore jouir.

Le bonheur donné par la bouche de mon ami me libérait la tête des réflexions sur ce qui se faisait et sur ce qui ne se faisait pas et quand sa main commença à me travailler la rondelle, j'écartai les jambes afin qu'il trouve ses aises. Je sentais ses longs doigts qui me pénétraient doucement et je commençais alors à ressentir une autre plaisir, inconnu, sublime, incontrôlable, interdit, inconvenant, divin...

J'étais dans l'antichambre du paradis.

Sa langue remplaça ses doigts, c'était plus doux mais aussi plus superficiel, et seule ma rondelle s'excitait, ces caresses survenant après que j'ai senti les bienfaits d'un ramonage plus profond, j'étais un peu déçu et je demandais:

— Recommence avec tes doigts.

— Attends mon loup, je vais te niquer et tu vas apprendre ce qu'est véritablement jouir.

Un coup au plexus ne m'aurait pas mis plus K-O, j'étais tout près de me faire enculer comme une salope, je le désirais, et, sûr, j'allais aimer ça... Erik mis son noeud en contact de l'épiderme de mon trou, il mouillait fortement et ce liquide lubrifiait naturellement mon entrée, la tête entrait, plus facilement que je l'aurais supposé:

— Détends-toi Chouchou.

Je ressentais des sensations provenant de l'intérieur de mon corps, elles me faisaient contracter l'anus ce qui nuisait à un profond empalement, j'avais mal au cul et le lui dis. Il ralentit un peu mais repris par ses désirs, il continuait à me baiser comme un cosaque qui prend sa part de butin pendant un pillage.

Bien pris, la queue d'Erik parfaitement enfoncée, quand il ne resta plus un pouce de celle-ci qui ne soit pas dans mon trou et qu'il commença ses profonds va-et-vient, c'est à cet instant-là, précisément dans ma mémoire, que je commençai à défaillir, j'étais emporté comme dans les flots tourbillonnants d'un torrent des montagnes, je suffoquais, perdant ma respiration, craignant de m'engloutir noyé jusqu'au moment où, au bord de l'asphyxie, telle une tornade libérant son énergie je ressentis une jouissance irréelle surclassant tous les meilleurs shoots que j'avais pu expérimenter.

Le calme retrouvé je maintenais Erik en moi désirant que, lui aussi, prenne sa part du bonheur que je ressentais, ça ne tarda pas, il m'agrippa nerveusement et je voyais sa face se contracter, il me planta au plus profond et, alors, mon cul palpa ses soubressauts qui accompagnèrent de puissants jets de foutre qui m'inondèrent le rectum. Comme c'était bon, comme je regrettais de ne pas l'avoir expérimenté plus tôt. Comme j'aimais Erik maintenant que s'était passé cet échange, combien je serais déçu quelques mois plus tard !

 

Nous sommes rentrés le lendemain, pendant le voyage je n'ai pas osé aller m'asseoir auprès de mon ami, je le surveillais du coin de l'oeil jalousant le petit con assis à côté de lui qui n'arrêtait pas de la ramener. J'ai réintégré le centre où les surveillants ne m'ont pas reconnu tant je paraissais triste et calme. Quinze longs jours plus tard, le directeur m'a fait venir dans son bureau:

— Le rapport de ton stage est très élogieux aussi le juge a décidé de te libérer car il pense que tu es capable de te réinsérer. Il a nommé un tuteur pour te suivre pendant ta réinsertion, c'est ton moniteur de montagne.

J'avais le coeur qui cognait et j'étais limite de pleurnicher. Erik est venu me chercher le vendredi suivant, il m'a installé dans un foyer pour ados où on avait une grande liberté à condition de respecter quelques règles (pas de drogues et quelques interdictions du même genre), le loyer était pris en charge par l'assistance sociale et au lieu de m'envoyer dans un centre d'apprentissage, il m'a mené à la mairie où il m'avait trouvé un job, c'était à l'imprimerie d'un petit journal de quartier où je commençais dès le lundi suivant.

Dès le premier soir Erik vint me rejoindre dans ma chambre et, à partir de ce moment, ce ne fut que baise sans retenue pendant plusieurs mois. Tous les instants furent bons pour nous prendre dans toutes les positions possibles, pour nous sucer d'innombrables fois, en des rencontres qui nous laissaient morts de fatigue, bite rapetissée comme de vieux malabars remâchés, incapable d'ébaucher le moindre sursaut d'érection. Nous sommes allés aux Glénans au mois de juillet, la voile n'a plus de secret pour moi. Et puis, parfois, dans la nature nous nous enlacions pour le simple bonheur de se toucher et nous nous glissions à l'oreille de banals petits mots d'amants.

Une pure histoire d'amour...

Cette félicité s'est détruite à la rentrée, Erik a commencé à délaisser ma chambre, puis un jour il m'a annoncé qu'il ne pouvait plus venir, pas assez de temps, il a fini par me dire:

— Tu sais combien je t'aime Chouchou, mais maintenant tu n'as plus besoin de moi, je dois m'occuper d'autres petits gars comme tu étais quand je t'ai rencontré, un peu paumé, près à toutes les conneries.

Il m'a même présenté son nouveau protégé:

— C'est Michel, j'ai réussi à le sortir de prison, faut que je lui trouve un boulot.

J'aurais voulu lui hurler:

— Salaud, vous allez vous enculer comme des malades, c'est ce que t'as fait avec moi, t'as besoin de changement, après un black tu veux te sauter un vrai blanc.

Au lieu de cela j'ai serré la main de Michel:

— Enchanté.

J'étais maintenant un civilisé qui sait cacher ses sentiments.

Désespéré, j'avais perdu le goût de tout et je m'enfermais plusieurs jours dans ma chambre, malade, ruminant ma haine contre l'ami qui m'abandonnait. Les larmes se séchèrent finalement et la faim me fit reprendre vie, je me levai et repris le chemin de l'atelier en vrai travailleur que j'étais devenu. Mon orgueil m'aida a reprendre le dessus mais je me découvrais ombrageux ne riant plus du tout.

Faudrait aimer personne...

Et puis, un jour, longtemps après, un nouveau venu dans la chambre d'à-côté: l'enfoiré de Michel, petit blond joli comme un ange, il m'a fait un petit signe:

— J'ai un message d'Erik pour toi.

Je suis rentré, il a fermé la porte sur mes talons et m'enlaçant de derrière en se frottant à mon dos, ses mains ont commencé à me peloter les seins sous mon maillot et à me caresser la queue. Il demanda:

— Erik m'a dit que t'étais un super coup, t'en penses quoi?

Je me suis retourné vivement et mes mains ont enserré son cou velouté. Quand il s'est affalé sur le parquet, comme un sac de montagne à demi vide qu'on lâche brusquement, il était bien trop mort pour entendre le chuchotement ma réponse.

— T'étais trop beau... Chouchou.

___________________________________________________________

Mektoub, c'était écrit ! Je subis mon destin ! Je vous passe le procès, ma condamnation à 15 ans de réclusion, celle d'Erik pour viol de mineur aggravé.  Ne parlons pas de mon rêve déçu de vivre avec lui : je ne croyais pas être capable de tuer par amour. J'ai de grands remords bien sûr.  Il faut bien reconnaître qu'on ne joue pas avec la passion d'un jeune comme j'étais alors. Ca m'a rendu fou. Je crois qu'au bout je m'en sortirai mieux que lui mais c'est dur quand même. 

Grâce à ma conduite exemplaire, ma docilité, mon physique, je n'ai eu que des sympathies et, dans le milieu carcéral, être devenu homo par le fait d'Erik, m'a procuré des occasions, des aides, et des protections.

J'ai payé. Quand je sortirai, dans quelques mois, je serai avocat. J'ai déjà mon stage...et aussi mon patron : mon mec !        

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 19 mai 7 19 /05 /Mai 00:14

Le Sokoto existe. Vous allez aimer cette intrigue réaliste mêlée d'un romantisme GAY.

Dédié à Fabien ( le narrateur est suisse ! )

Dédié à Michel :  c'est l'Afrique, même si ce n'est pas le Cameroun ! 

classé dans RECITS FICTIONS (37)

 

     

Je me demande comment ces diables d'africains ont encore le courage de s'entre-tuer. L'Afrique équatoriale connaît une vague de chaleur comme elle n'en a encore rarement subie. Les températures de l'après-midi sont depuis plus de 15 jours supérieures à 45 degrés et atteignent dans les régions déboisées les 52 ou 53 degrés à l'ombre d'un rocher en feu. Le Sokoto est à nouveau à feu et à sang. Des cadavres jonchent le sol de Kaduna sa capitale.    

Les uburus, petit oiseaux éboueurs, attendent à l'ombre des feuillages, la nuit pour s'approprier leur proies. Ils évitent celles tuées au petit matin. Elles ont passées toute la journée au soleil et la peau déjà desséchée offre une plus grande résistance à leur bec crochu.

Le soleil est un poêle rougi au feu, posé à quelques centimètres au dessus de nos têtes. De 10 heures du matin à 5 heures du soir tout le monde reste prostré chez soi, suffocant et délirant dans la fournaise. Le soir, les africains ressortent de chez eux pour se massacrer. La communauté européenne reste chez elle, hébétée prise entre deux fléaux.  

La bière est rationnée. La source qui alimente l'usine de production est tarie à cause de la sécheresse. Malgré les incessants allers et retours des camions citernes, la production a légèrement chuté alors que la consommation atteint des records. Les Wambaras, communauté ethnique majoritaire du pays, reprochent au pouvoir de mieux approvisionner en bière importée les quartiers Bamouléwés, minorité dont est issu le gouvernement.

Personnellement, je ne bois plus de bière. La situation est devenue trop dangereuse pour en posséder quelques bouteilles à l'ambassade. Les militaires livrent à la communauté blanche le nombre de caisses qu'elle souhaite. Le gouvernement a besoin de son soutien. Je connais même certaines délégations faisant un trafic important de bouteilles. Se servir de l'ambassade comme entrepôt de simple transit peut rapporter une fortune en quelques jours. Mais cette pratique est réservée aux diplomates peu scrupuleux dont le rôle au Sokoto est des plus incertains. La contrebande de pierres précieuses à été l'occasion pour certains pays d'ouvrir leur ambassade. Les relations économiques et politiques que ces derniers peuvent avoir vis à vis d'un pays aussi petit que le Sokoto ne justifiaient pas l'ouverture de relations diplomatiques.

L'ambassade de Suisse n'est d'ailleurs composée que d'un seul membre, moi. J'essaye dans cette guerre tribale de calmer les esprits car la Suisse, réputée pour sa neutralité, est un pays qui peut encore arborer son drapeau en face de chacun des camps. Bien que la croix blanche représentée sur ce dernier soit évidente, de nombreuses personnes prennent notre drapeau pour l'emblème de la croix rouge. Pour tous, j'ai aussi une rare qualité, malgré la chaleur torride, je ne bois plus de bière. Ces jours-ci, une bière économisée, c'est un Sokoto vivant de plus.  

Chaque soir vers onze heures, je prends ma vieille Land Rover et fonce en direction du palais du gouvernement pour réfléchir avec le président à la façon de relancer la production de bière. La production n'est pas des plus homogène c'est vrai, mais la raison de cette tuerie est surtout que la production de la boisson nationale des Sokotos ne suit pas.  

L'Europe s'émeut. On annonce depuis une semaine qu'Heineken affrète un 747 cargo pour le Sokoto. Kronembourg, face à une saison catastrophique des ventes en France à cause d'un climat estival pluvieux, propose au gouvernement français de lui vendre son surplus de production. La bataille publicitaire entre les grandes marques de bière en Europe exacerbe le Président du Sokoto. Il ne voit rien venir et n'a pas les moyens financiers e s'approvisionner suffisamment dans les pays voisins à peine mieux lotis. Le président et moi nous nous rappelons ces journées d'il y a trois ans où un problème d'approvisionnement en capsules avait déjà failli renverser le gouvernement. A cette époque, les Sokotos devaient aller directement à l'usine avec leurs propres capsules récupérées s'ils voulaient être servis. Le prix d'une capsule non détériorée valait plus que le prix d'une bière avant la crise. Toutefois l'usine étant située dans le quartier Wambaras, les émeutes n'avaient pas pris comme aujourd'hui un caractère racial.

 

Après de longues palabres souvent inutiles et des décisions à court terme, je retournais à l'ambassade chaque jour au petit matin pour me coucher.

Ce matin là, matin, alors que je rentrais en Jeep, j'aperçois un jeune homme blanc courir à perdre haleine. C'était dans un terrain vague situé entre l'université et le quartier des ambassades. Je quitte la route pour aller à sa rencontre. L'ayant rejoint, j'ouvre la portière droite. Tout en continuant à conduire, je lui intime l'ordre de monter. Complètement essoufflé ce dernier plonge dans la voiture en marche. Il était temps, un groupe de guérilleros Wambaras débouche de l'université. Le temps de regarder aux alentours s'il n'y a pas d'éventuels témoins, ils se mettent à nous canarder. Je fonce à toute allure dans le terrain vague pour retrouver le chemin de terre, l'ambassade n'est qu'à quelques centaines de mètres. Je klaxonne pour qu'on m'ouvre le portail. Les Wambaras, je le sais n'attaqueront pas l'ambassade. Le monde entier en serait averti.

L'ambassade est une maison entourée d'un grand jardin, ceinturée par un haut mesure qui offre une protection réelle en cas de trouble. Je ne sais pas qui est ce jeune homme, mais il devra bénéficier de la protection de la Suisse. Visiblement les émeutiers souhaitent l'avoir entre leurs mains. Je l'interroge, c'est un photographe comme l'atteste son appareil qu'il tient précieusement dans ses mains.

— Je suis Grand Reporter, me dit-il, je travaille pour l'agence Oméga à Paris.

— Quel âge avez-vous?

— Vingt cinq ans.

— Je vois que la valeur n'attend pas le nombre des années. Vous avez raison de commencer jeune, on se sait jamais à quel âge on est forcé d'arrêter un métier comme le votre. Qu'avez-vous fait pour déclencher la fureur des Wambaras?

— Devinez, je leur ai piqué une de leur foutue bouteille de bière, ils n'ont pas apprécié. Merci pour votre ironie concernant mon âge.

Son sourire est sarcastique. Ce jeune homme est totalement inconscient. Je ne dis rien et attend qu'il veuille bien me dire la vérité.

— J'ai photographié des scènes dont les Wambaras n'ont pas à se vanter, le cannibalisme n'est pas mort au Sokoto.

L 'affaire est beaucoup plus grave que je ne le pensais. Si photographier des morts peut faire parti d'un jeu macabre accepté par les africains. Les scènes de tueries ou de cannibalisme sont tabou car trop dangereuses pour n'importe quelle communauté.

Je téléphone à quelques ambassadeurs de mes amis pour les avertir de cette nouvelle situation explosive. IL faut faire savoir au Wambaras que toute la communauté européenne sait ce qu'ils ont fait, mais que rien ne sera divulgué sur le plan international. C'est pour ce photographe et pour moi notre seule chance de salut. Un coup de téléphone à la Présidence m'assure d'une production permanente de l'ambassade par des soldats.

Me retournant devant mon hôte, je lui dit sur un ton un peu amer.

— Le Président est furieux, il estime ne pas avoir besoin de ce problème. Ilne veut pas entendre parler de vous pour l'instant. Vous êtes sous la protection de la Suisse. Cette information sur le cannibalisme peut étendre les tueries jusqu'au fin fond de la brousse au lieu de les cantonner à la capitale. Cette affaire est bien plus grave que le manque de bière qui peut se résoudre en une ou deux semaines.

— Ecoutez, je n'ai tué personne que je sache, je suis simplement témoin, cen'est pas un crime?

— Ce qui est un crime est d'être la cause d'une guerre civile. Vous. Vousêtes arrivés au Sokoto depuis combien de temps, il ne me semble pas vous avoir vu ici auparavant?

— Depuis hier matin.

— Vous êtes particulièrement doué pour dénicher l'information.

La fureur me gagne, ce jeune con arrive droit de son pays pour foutre le bordel dans un pays qui n'a pas besoin de lui pour ça.

— Ecoutez, il est tard, onze heures du matin, il commence à faire chaud,allez-vous coucher dans ma chambre, moi j'attends les soldats, de toute façon les Wambaras ne feront plus rien avant ce soir, il fait déjà trop chaud.

Assommé de fatigue par son voyage, le changement de climat et par ses émotions de la nuit, le jeune homme préfère obéir. Je ne souhaite pas créer entre nous une tension que l'on retrouve portée à son paroxysme au delà des murs de l'ambassade.

J'attends de mon côté allongé sur le transatlantique du salon que les militaires veuillent bien venir jusque chez moi. Je tombe de sommeil et maudit ma générosité d'avoir laissé mon lit au jeune reporter. Outre la moustiquaire qui le protège des attaques incessantes des moches, il a un énorme ventilateur qui accroché au plafond brasse lentement l'air surchauffé.

Au milieu de l'après-midi, ne tenant plus d'attendre, je décide d'aller voir dans ma chambre comment se porte mon pensionnaire. Je suis en eau et me lever me demande un courage que je remets à trois reprise à l'instant d'après.

Je le retrouve avec surprise nu, les fesses à l'air. Une légère transpiration coule de ses tempes, ses cheveux sont mouillés, mais le reste de son corps reste sec. L'air lourd que le ventilateur fait lentement glisser sur son corps balaie à grande peine sa sueur. Sa position sur mon lit est sensuelle. Afin de mieux faire profiter sa peau du contact de l'air, ce dernier a largement écarté ses cuisses. En me penchant au dessus de lui, je peux aussi bien voir une partie de ses testicules que le trou de son cul. Il y a longtemps que je n'ai pas eu l'occasion de voir le trou d'un homme, je le regarde attentivement. Niché au fond de la crevasse, il n'est pas facile à voir. Le seul fait de l'apercevoir entouré de quelques poils me fait immédiatement bander. J'examine les plis de son anus et m'étonne qu'ils aient la même couleur que le reste de sa chair. Je les aurais pensé roses ou plus foncés. Mon regard passe de ses fesses relativement plates au trou de son cul. A chaque fois que mes yeux accrochent ce dernier, mes pulsions sexuelles augmentent.

Ce jeune homme a la peau mat, bronzée partout sauf sur les fesses. Ses cheveux son collés sur son visage. Sa respiration est lourde et régulière. Il dort terrassé de fatigue. Je souris en pensant que je ne connais même pas son prénom.

Je ne tiens plus debout, je décide de m'endormir sur mon lit puisque celui-ci est double. C'est presque le cas de le dire, à la guerre comme à la guerre. Si son corps occupe la partie droite de son lit, il n'en va pas de même pour ses jambes largement écartées. Je lui prends le pied gauche et tout doucement le ramène sur le côté. Ce mouvement ne le réveille pas, mais le fait se retourner. Il montre alors son sexe qui pend sur sa cuisse. Il n'est pas circoncis, mais son gland est naturellement décalotté. Je m'allonge sur le lit après avoir ôté mon pantalon, je n'aurais pas supporté de dormir avec. Mon slip est tellement fin qu'il est presque transparent, le coton est si lâche que mon sexe ressort de tous les côtés bien que j'essaye de le cantonner au milieu. Je bande tellement que je ne peux cacher mon état. Si j'avais eu quelques forces physiques je serais allé me branler dans la salle de bains, mais je n'en ai pas le courage..

Je m'allonge et ferme les yeux pour m'endormir, mais une douce odeur envahi mes narines, elle est très agréable. Mon esprit lent prends un instant pour en déterminer la provenance. C'est une odeur de fauve, de sexe. Je pense que ça vient de mon sexe qui bande encore mollement. Je me redresse pour vérifier. Je le sens puis me penche sur celui du jeune garçon. C'est le sien, il transpire et les pales situées au dessus de son sexe répartissent sur le lit sa mâle odeur. Je jette encore un coup d'oeil sur ce dernier avant de m'écrouler vaincu par la fatigue.

Le soir même, c'est le reporter qui me réveille en me secouant.

— J'ai soif, tu n'as pas une bière?

— Non, je hurle ce mot, aucune phrase ne m'aurait réveillé si brutalement que celle-là. Ce jeune garçon est véritablement un inconscient.

— Excuse moi, j'avais oublié, je débarque quasiment de Paris, tu sais.

Il est encore allongé près de moi, nu. ses larges épaules penchées au-dessus de moi, il me regarde.

— Maintenant qu'on est camarade de chambrée, tu peux te foutre carrément à poil, me dit-il. T'auras moins chaud et t'auras moins l'air con qu'avec ce slip ridicule.

Je suis un peu vexé, mais puisque mon slip est ridicule, je le retire. pour se moquer gentiment de moi, il siffle d'admiration en me regardant à poil. J'en suis gêné et mon sexe se gonfle, et ça, ça le fait rire.

— T'as quel âge, me demande t'il?

— Trente quatre.

— Où là, jeune pour être ambassadeur, même au Sokoto.

— Tu t'appelles comment?

— Marc

— Enchanté, Philippe.

— Philippe, tu as de la glace? Est-ce que je peux en mettre dans un Thermos et en rapporter?

Je m'éclipse quelques instants dans la cuisine pour lui chercher des glaçons. A ce moment là les soldats arrivent. le temps de me rhabiller, je sors pour aller discuter avec eux. Ils resteront à l'extérieur autour de l'enceinte. Je rentre suivi de quelques soldats. Chacun d'eux porte une caisse de bière dans les bras. Je ne peux leur refuser de garder leur bière fraîche bien que cette situation me gêne. Arrivés dans le salon, ils sont tous aussi étonnés que moi de croiser Marc nu. Cette situation m'embarrasse encore plus. Très naturellement ce dernier déclare:

— Ah de la bière fraîche, quelle bonne idée.

— Cette bière n'est pas pour nous, je ne fais que de la leur garder, c'est compris?

Marc me fait un signe d'approbation, mais il en piquera une dès que les soldats seront repartis.

— Ca ne vaut pas une bonne Carlsberg, mais ça se boit.

J'ai envie de le massacrer et prie le seigneur que personne ne se mettent à compter ses fichus bouteilles.

— Alors ces glaçons, tu les as? Apportes les dans la chambre.

Marc s'est de nouveau allongé sur le lit, toujours nu. Il me demande de lui passer un glaçon sur le dos pour le rafraîchir. Je me suis calmé et exécute sa demande. J'en passe un sur sa peau. Son dos est large et mon glaçon fond rapidement. je dois rapidement en prendre un autre du thermos. Amusé, je joue avec son corps, je laisse le glaçon fondre tout seul sur sa peau et observe ses réactions. J'en passe un autre sous ses aisselles, il ne réagit pas, son cou est l'objectif d'une nouvelle tentative pour le faire protester mas sans grand succès. Visiblement, il prend plaisir à ce jeu. Il ne dit toujours rien lorsque l'un d'entre eux placé sur la chute de ses reins fond en inondant son entrefesse. Au contraire il écarte les cuisses de plus belle. Une première goutte coule lentement jusqu'à son anus et s'arrête là. Une seconde la rejoint aussitôt en suivant le lit tracé par la première. Ces deux gouttes d'eau commencent à former un mini lac sur son anus. Une troisième le fait presque déborder. Une quatrième précipite le tout sur ses testicules d'où les gouttes éclatent sur l'intérieur de ses cuisses.

Marc à ce moment soulève son bassin et passe rapidement la main sur son sexe. Ce dernier gonflé à bloc, le gêne, il le déplace. Le mien aussi bande comme celui d'un taureau. allongé sur le côté je ne le cache même pas.. Marc le visage enfoui dans son oreiller ne le voit pas.

Je décide de lui enfoncer dans l'anus un glaçon à peine fondu, sa forme me fait penser à un suppositoire. Celui-ci glisse avec facilité et mes doigts appliquent une caresse furtive sur cette douce partie de son anatomie. Marc hurle mais ses cris restent étouffés par l'oreiller. il ne relève pas la tête et se contente d'éjecter le glaçon et de serrer les fesses. Ces dernières se rouvrent toutefois presque aussitôt. Ils me semblent qu'elle s'offrent. je repasse délicatement un doigt glacé sur son anus, celui-ci s'entrouvre légèrement. J'enfile à nouveau un glaçon, Marc ne réagit cette fois pas.

Je n'en peux plus, je monte sur Marc qui ne réagit pas. Je le pénètre, il hurle. Mon gland s'enfonce tendrement dans ce havre de fraîcheur. Enserré dans ce trou je sens mon sexe plus gros qu'il ne l'a jamais été. Le bout de mon gland enfonce à chaque va et vient le reste du glaçon encore plus profondément. Celui-ci disparaît vite, j'en remet un gros à sa place. Marc geint doucement, moi je fais un effort de volonté pour me retenir. Je ne sais pas quelles sont les sensations qui habitent mon corps. Il y a la fournaise de la pièce, la fraîcheur relative de son dos que je continue à caresser d'un glaçon et sur lequel mon ventre se rafraîchit. Il y a aussi sa muqueuse serrée autour de mon sexe et le froid de la glace que mon gland repousse à chaque instant.

N'en pouvant plus, je mords son épaule. Sa peau est douce est élastique, elle s'enfonce dans ses muscles sous la pression de mes dents. D'un coup de canine je raye sa peau qui devient rouge et je m'attaque à son cou que je mordille de ma bouche ouverte. Jamais pulsion ne m'a étreint comme ça. Mes mouvements se font de plus en plus rapides et brutaux. Marc déjà raidit se retient d'hurler à chacune de mes poussées. Je ne veux pas l'abîmer, mais je ne peux plus me contenir. L'odeur de son corps me rend fou.

J'explose en de nombreuses vagues de sperme. A la fois exténué et apaisé. Un océan de bien-être m'envahi. J'aimerais rester là des heures si je ne savais quel monument de souffrance c'est pour moi que de m'avoir sur lui. Je glisse mon énorme sexe en dehors de son anus qui n'a même plus la force de se refermer. La vue de mon gland sortant de ce trou béant me ferait presque bander de nouveau.

Je décolle lentement le visage de Marc collé par la sueur à l'oreiller. La transpiration lui marque le visage, ses yeux restent fermés collés. Il ne bouge plus, totalement abandonné à la chaleur. Je pose lentement mes lèvres sur ses paupières et les lèche consciencieusement, mais Marc préfère garder les yeux fermés. Ma langue glisse alors doucement entre ses dents. Les faibles mouvements de sa bouche contre la mienne m'indique tout le plaisir qu'il a eu de moi.

La chaleur continue, Marc et moi sommes consignés à l'intérieur de l'ambassade. Nous n'avons pas grand chose à faire. Il n'y a qu'un seul lit à occuper. Marc, impudique reste toute la journée nu. Son sexe pend, je le regarde.

Il n'y a ni amour, ni romantisme possible en Afrique. Elle est une maîtresse, jalouse beauté qui n'accepte aucune rivale, ni aucun rival. Elle ne nous donne ni la force, ni le courage d'aimer, mais elle exacerbe nos sens. Ici, l'homme est un animal en rut qui assouvit ses besoins primaires et l'acte sexuel est purement instinctif.

Le métier de Marc lui colle au corps. Il à l'air d'un baroudeur toujours en escale. De son corps large se dégage une très grande présence que son esprit frondeur vérifie. Maintenant comment pourrais-je me passer de lui et vivre à nouveau seul? Il doit rester le plus longtemps possible auprès de moi, pour moi. Mon corps s'est attaché au sien. Pourtant comment l'aimer alors que je le connais depuis si peu de temps. L'Afrique est un enfer, elle rend fou.

— Marc, le Président souhaite que tu lui donnes les films que tu as pris à l'université. Tu devrais les lui donner, ça ne sert à rien de mettre le Sokoto encore plus à feu et à sang.

— Non mon métier est de rapporter l'information, je compte l'exercer.

— Je ne peux ni te juger, ni t'obliger. Pour l'instant tu restes sous la protection de l'ambassade? Ca peut durer quelques temps.

— J'attendrai, je ne pense pas qu'on s'ennuie tous les deux, me dit-il avec un clin d'oeil.

Cette phrase me blesse. Marc est à moi et non moi à lui. Je lui dénie le droit de profiter de mon plaisir. Moi seul peut tirer jouissance de lui et décider quand je voudrais l'entreprendre.

J'ai honte de moi et de ma réaction. Voilà ce que l'Afrique fait de moi, un être d'égoïsme, de sexe sans amour. Pourquoi dans ces conditions ne deviendrais-je pas bientôt un ardent défenseur de l'excision. Je veux me racheter.

— Tu veux me prendre maintenant?

— Tu sais hier, heureusement que tu ne m'as pas demandé de jouir, j'en aurais été incapable. La chaleur m'avait complètement anéanti, mais je sais prendre un rôle actif.

— Montre moi ça.

— Tu as refait de la glace?

— C'est ta technique la glace?

— Non mais au Sokoto, ça s'impose je crois, dit-il en s'essuyant le front.Si tu veux que mon sexe retrouve quelques vigueur.

Le temps d'aller chercher de la glace au réfrigérateur, je retrouve Marc allongé sur le lit. Son sexe est différent, il n'est plus dormeur. Il se redresse, des veines apparaissent. Elles irriguent un gland à demi-décalotté. Les bras relevé au dessus de sa tête. Marc joue les divas et attend qu'on s'occupe de lui. Je cale le bol rempli de glaçons sur le lit et m'approche de ce sexe entrouvert. Je veux le glisser et fait glisser la peau pour en faire apparaître totalement un gland rouge carmin. A ce moment, une odeur que la chaleur ambiante rend enivrante se dégage de ce dernier. Je ferme les yeux, et mes lèvres proche de son sexe arrêtent leur mouvement conquérant pour me laisser m'emplir de ces fragrances capiteuses.

Marc relève les cuisses, il fait apparaître au niveau de mon visage, à la fois son sexe, mais aussi ses testicules et son anus. Je me positionne en face d'eux, il pose ses jambes sur mes épaules et me serre le cou m'obligeant à m'approcher plus près encore de son intimité.

— Nettoie mon anus avec un glaçon, me dit-il, et suce-le.

A tâtons je retrouve le bol et plonge mes doigts dans un bain froid duquel j'extraie un morceau de glace. Sous ces caresses, l'anus de Marc palpite, se détend et se contracte au rythme de ses gémissements. Ma langue remplace rapidement la glace et s'enfonce dans le pli entrouvert. Mes va-et-vient l'excite au plus haut point. Il écarte ses cuisses pour être encore plus offert. Je laisse un morceau de glace commencer de nouvelles découvertes spéléologiques pour moi. Celui-ci nettoie les parois et ne laisse à ma langue que la douce sensation des muqueuses protégées.

Ma langue est trop courte et il y a encore beaucoup à explorer. Je me redresse d'un coup et plonge mon sexe dans ce terrain préparé. Marc à les genoux à la hauteur de mes épaules, son cul est en l'air et je le tiens solidement dans mes bras. Mes cuisses cognent fort contre ses fesses, et à chaque instant le choc s'amplifie. Marc ne gémit plus, il crie, je jouis.

Nous sommes en eau, et lorsque je m'effondre sur lui, nos corps glissent l'un sur l'autre. Je l'embrasse fougueusement et saisis son sexe humide de la main. Je le caresse pour qu'il reprenne consistance. Je le sèche avec un pan du drap et frotte partout. Marc veut jouir, il bande, son sexe est incroyablement rouge. Je saisis la base de sa verge et la serre pour faire refluer le sang sur son gland. Celui-ci devient énorme, prêt à craquer. Les bords se séparent de la hampe, chaque trait de sa peau se précise. Je colle mon nez à la naissance du gland, là où naissent les parfums enivrants. Après avoir empli mes poumons de ses senteurs, je reprends un morceau de glace et le passe sur sa verge. Son gland nettoyé brille sous la pure luminosité africaine.

La peau est séchée en un instant par la douce brise du ventilateur. Mes lèvres glissent sur elle, je les laisse se promener afin d'en sentir la délicate texture. Sentir le moelleux et la rondeur de son contact. Enfin ma langue passe sous les bords du gland, puis ma bouche le recouvre entièrement. C'est mouillé, ça glisse, ma langue s'agite, tourne, plonge et se redresse à nouveau. Elle essaye de pénétrer son canal urinaire et repart pour un tour circulaire, c'est la fête.

Marc est agité, totalement essoufflé, les yeux clos. Il semble à demi-inconscient. Il tourne violemment la tête de droite à gauche. Il perd ses esprits. Son bassin commence à se soulever en cadence. Sa force est telle que j'ai du mal à continuer mon travail et je dois appuyer mes mains sur ses hanches pour le maintenir plaqué sur le lit. Dans une série de souffles rauques il jouit. Il lâche en plusieurs coups une quantité de sperme étonnante. Mon visage est arrosé, son corps l'est jusqu'à sa poitrine et le lit est maculé de toute part.

J'aimerais moi-même replonger dans l'extase lorsque j'aperçois une ombre furtive disparaître de la fenêtre. Notre secret vient d'être trahi. Tout peut arriver. Est-ce l'un de mes serviteurs, un garde de l'armée qui s'est aventuré à l'intérieur de la propriété ou encore un guérillero qui tente de s'emparer des films de Marc? La situation n'est plus sure. Je veux téléphoner à mon collègue de l'ambassade de France pour qu'il nous apporte son secours mais la ligne est coupée, je crains le pire.

    

La journée s'écoule dans une attente angoissante que la chaleur rend encore plus oppressante. Ma respiration est difficile. Marc ne dit rien, il soupire et transpire. Mon boy n'est pas venu faire la cuisine et le jardin est désert. J'ai bien entendu une cavalcade en fin de soirée, mais le temps de vaincre ma peur et d'aller voir, il n'y avait plus rien. Marc et moi avons fermé toutes les issues, les fenêtres et les entrées. Mais cette protection est illusoire. La nuit tombée, lorsque les chacals et les hyènes mêlent leurs cris plaintifs en une longue mélopée sinistre, le moment de la vérité est venu.

— Ouvrez! S'écrie une voix inconnue.

— Sortez d'ici, l'ambassade est fermée, son accès est interdit, vous êtes en territoire suisse.

La voix d'origine africaine reprend.

— Nous sommes témoins de vos agissements. ceux-ci sont interdits au Sokoto,vous devez vous soumettre à nos lois. Sortez!

— La loi du Sokoto n'a pas cours dans l'enceinte de l'ambassade, c'est vousqui vous mettez hors la loi en la franchissant.

Cette discussion me semble tellement vaine que j'en pleurerai.

— Remettez-nous vos films et nous vous laisseront tranquilles;

— Qui êtes-vous?

Nous n'obtenons aucune réponse. Dix minutes se passent en attente fiévreuse. La voix reprend soudain.

— Au nom du Sokoto, rendez-vous pour être jugé sévèrement par le peuple dupays.

Soldats du pouvoir ou guérilleros, tous ces hommes sont des mercenaires dangereux. Le sang qui coule dans la capitale les excitent. Nous ne pourrons pas les raisonner.

Marc prend la parole.

— Je vous donne les films, mais nous laisserez-vous en paix?

Je le remercie de ses mots, sa prudence est preuve d'intelligence.

— C'est d'accord vous aurez la vie sauve, j'entrerai seul et sans arme pourprendre les films. Ouvrez ou nous mitraillons la porte.

Les risques sont grands mais nous n'avons pas le choix. Un soldat galonné entre, je reconnais tout de suite en lui un Bamouléwé, ethnie du président du Sokoto. C'est un géant de près de deux mètres. Je respire car cette tribu est plus riche, plus éduquée et plus sage.

— Où sont les films?

— Les voilà. Marc tend à ce géant au corps massif trois rouleaux de pellicules.

— Avez-vous d'autres films?

Marc lui montre un sac rempli de pellicules et signale au militaire que celles qui restent sont vierges.

— Vierges? Vous osez parler de virginité après ce que vous avez fait dans ce lit. Ca fait longtemps que plus rien, ni personne n'est vierge ici. Tiens mets une de ces pellicules dans l'appareil, si elle est vierge, elle ne le sera plus longtemps.

Les paroles du soldats nous inquiètent, que veut-il dire, que veut-il faire?

— Tu es photographe, tu aimes prendre des photos étonnantes et bien vas-y.

Cet immense noir commence à dégrafer son pantalon. En baissant sa culotte, un cri d'effroi sort instinctivement de ma gorge. Grand Dieu, le sexe de cet homme est monumental. J'en défaille, pour que mon esprit intègre une telle chose. J'essaye de le comparer à quelque chose. Tous les animaux de la brousse défile devant mes yeux. Lequel d'entre eux possède un tel braquemart? J'ai trouvé, cet homme a un sexe aussi gros que celui d'un tapir. C'est le seul animal dont le sexe traîne littéralement par terre lorsqu'il bande. Le problème de ce noir est qu'il ne bande visiblement pas.

Je suis poussé d'un coup brutal sur le lit. L'homme se jette sur moi, déchire d'un coup de paluche le pantalon de coton léger que je porte, ainsi que ma chemise. En un instant je me retrouve comme à mon premier jour. J'hurle.

— Non vous ne pouvez pas, je suis citoyen suisse, vous allez...

Je ne peux pas terminer, sa grosse paluche se plaque sur ma bouche. Je la reçois comme une gifle, mes gencives saignent et un goût salé envahi ma bouche. Sa pogne est large et épaisse, elle m'empêche de respirer. Son autre main fouille mon sexe.

— Toi là-bas, prends des photos, sinon tu passes aussi au lit.

Marc ne se le fait pas dire deux fois, la menace est trop grande. Je ne sais pas trop ce qu'il a photographié. Je suis bloqué et ne peux même pas tourner la tête pour voir Marc, j'entends seulement les déclics de son appareil.

Le noir me caresse le façon vive et n'obtient de moi qu'une semi-érection douloureuse. Il veut me branler et me secoue dans tous les sens. Je pousse des cris de douleur qui sont étouffés par le bâillon de sa main.

Il me retourne comme une crêpe et plaque ses deux mains sur mes fesses les écartant. Ma bouche libérée un instant hurle de peur. Ce monstre ne peut me pénétrer, jamais je ne pourrais le contenir. Il remet aussitôt sa main sur ma bouche mais se sent gêné pour m'écarter les fesses que je ferme de toutes les forces de mes muscles. Pour m'obliger à les ouvrir, il me frappe, je sens mes fesses devenir toutes rouges. Dans le claquement sec de ses coups, j'entends encore les déclics de l'appareil de Marc. Je résiste encore mais la volée de bois vert que je reçois me meurtrit; mes forces déclinent et bientôt je n'ai plus la force de résister. Lorsqu'il essaye enfin de me pénétrer, je ne suis plus que plaies et sanglots.

Son sexe ne passe pas, la voie est trop étroite. Le soldat est contrarié, il bougonne et commence à m'étrangler. Ma respiration est coupée. Mes râles ne passent plus, je me sens pris de convulsions.

— Arrêtez, pour vous tous les blancs se ressemblent n'est-ce pas, alors sodomisez-moi.

Marc vient à mon secours au moment où je tournais de l'oeil. Peut-être essaye-t-il de gagner du temps, car personne ne peut se faire pénétrer par une telle bite. Marc se dénude rapidement et s'allonge sur le lit à mes côtés.

— Je suis un adepte du fist-fucking me chuchote il à l'oreille, ça devrait aller.

Le noir n'a aucune pitié pour moi. Plus mort que vivant il me prend par le cou, me relève et me demande prendre les photos à la place de Marc.

— Je ne pense pas que les cadrages seront excellents, parvins-je naïvement à dire.

— Cadre le cul, c'est tout, gueule l'africain.

Le cul de Marc est violemment écarté à son tour. Son anus s'est ouvert et forme un entonnoir que le gland africain gros comme une prune cherche à pénétrer.

— Rentre doucement, qui veut voyager loin ménage sa monture, dit Marc calmemais grimaçant.

Etonné par cette attitude à laquelle il ne s'attendait pas, le sergent obtempère. Son pieu glisse lentement dans le corps de Marc. Ce dernier serre les dents, mais encaisse.  Le noir qui pèse une tonne, l'écrase et le recouvre presqu'entièrement.

— On ne voit rien, dis-je idiotement encore complètement perturbé par cette agression.

— Prends moi par derrière, dit l'africain, en écartant les cuisses. Le spectacle est étonnant, ses énormes testicules montent et descendent. En fait seule la peau se tend et se détend, car ces dernières restent osées sur celles de Marc et s'écroulent de chaque côté à chaque fois que le militaire est en pénétration profonde. Le spectacle vaut effectivement une photo que j'empresse de réaliser.

Prends-moi par derrière? Cela signifie-t-il seulement de prendre une photo ou aussi de le prendre par derrière? N'a-t'il pas entrouvert les fesses à ces paroles? Son énorme fondement est-il réceptif à un sexe de taille standard?

Plutôt que de laisser ces questions sans réponses, je décide de m'informer en mettant les mains à la pâte. Celle-ci, en l'occurrence la peau de ses fesses, est flasque, molle sans énergie. Il réserve toute sa puissance de feu dans le pal que mère nature, généreuse en Afrique Equatoriale, lui a offert. Je lui fais du rentre dedans. Ma verge glisse doucement le long de l'anneau circulaire de son muscle anal. Sa majesté éléphantine ne bronche pas. J'ai un peu de mal à accorder mon mouvement au sien, mais je trouve rapidement le rythme. Je n'ai pas l'habitude de parties à plusieurs et imprimer un mouvement dans un corps lui-même en action exige une très forte concentration.

Je ne sais pas ce que deviens Marc sous ce tonneau de graisse, mais j'essaye de ne pas ajouter mon poids à sa peine. Il ne dit rien, j'ai peur de le retrouver écrasé. La montagne de chair est hospitalière, ça fait du bien à mon sexe. Rapidement j'ai envie de jouir et je ne me retiens pas espérant accélérer par là la fin du supplice de Marc. J'ai raison, les tremblements, que mon lit supporte avec de plus en plus de mal, arrivent à leur comble. Le sergent barrit ses derniers râles. Dieu, merci au lieu de s'effondrer sur un être inanimé, il se retire. Marc est dans un triste état, il me semble que le passage l'a aplati.

— Je respire, a-t-il tout de même la force de prononcer.

Il lui faut quelques minutes avant de retrouver l'usage de tous ses membres.

— Pas mauvais, dit-il au sergent qui se rhabille, revenez quand vous voulez.

Le soldat a le sens de l'humour.

— A part ma femme, vous êtes la seule personne que j'ai pu baiser, ça fait du bien de tromper cette drôlesse, c'est qu'elle m'en a fait voir de toutes les couleurs parce qu'elle croit que je ne pourrais jamais la tromper à cause de mon engin de terrassement. Mais les photos vont lui rabattre son caquet.

Je lui donne la pellicule. J'espère que Marc n'a pris que des gros plans et non des photos en pied. Il serait regrettable pour ma carrière qu'on puisse me reconnaître.

— Maintenant que j'ai ce que je voulais, j'ai ordre de vous raccompagner à l'aéroport, il y a un vol pour la France dans quelques heures.

Lorsque nous sortons, l'aube point. Marc et moi sommes amenés en Jeep au pied de l'Airbus d'Air France.

Dès que l'avion décolle nous pouvons pousser un ouf de soulagement.

— Marc tu as vraiment fait un fantastique travail cette nuit. Sais-tu quelle étymologie de ce mot nous enseigne qu'il veut dire torturer au tripalium ou trois pieux. Le dard du noir, si l'on veut bien utiliser cet euphémisme, lorsqu'il est au pieu vaut bien trois pals.

Marc se passe la main sous la fesse pour évaluer les dégâts. Ca a l'air d'aller.

— Dommage pour toi que tu n'ai plus tes photos, mais c'est sans doute mieux ainsi.

— Je les ai mes photos, j'ai donné 50 000 F CFA à l'un de nos gardes-chiourmes pour qu'il porte une enveloppe à mon nom au bureau Air France de l'aéroport. J'ai eu peur qu'il ne l'aie pas fait. Mais la somme a du être suffisante pour lui ôter ses dernier scrupules.

— Je te crois, avec ça, il va pouvoir faire vivre sa femme, ses enfants, ses parents, ses oncles et tantes, ses cousins et ses neveux pendant des mois. Je m'inquiète quand même de ces photos prises au milieu de nos ébats, tu es sûr que je ne serais pas reconnaissable?

— Il n'y a aucune chance, j'ai fait un réglage pour que toutes les prises de vues soient sous-exposées. Vu la clarté de la nuit et celle du sujet principal des prises, on pourra autant intituler les clichés "combat de tirailleurs Sokotos dans un tunnel".

 

 

 

FIN

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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