à relire dans RECITS FICTIONS (41) thème réalisme sain du sexe gay
Gay, bi ou même hétéro, vous ne pouvez qu'aimer le réalisme sain de ce récit
L’été dernier, je suis parti en Finlande en compagnie d'un couple d’amis invité par mes parents, ils étaient accompagnés de leur fils, Farid, qui venait tout juste de fêter ses 18 ans. Mes parents avaient loué un superbe petit chalet en bordure d’un lac aux alentours de Tempéré, à 4 heures de route d’Helsinki. Cette petite maison, ancien abri de pêcheurs était toute en bois. Les pièces se distribuaient de la façon suivante: une pièce commune et 3 chambres. Les parents avaient pris deux chambres et nous nous sommes retrouvés, Farid et moi dans la petite chambre contiguë à la pièce commune.
La beauté de la nature en été était remarquable, depuis ce chalet nous pouvions admirer le soleil de minuit, écouter le chant des oiseaux, et nous mangions tous les jours les spécialités locales. Nos parents, grands pêcheurs ramenaient tous les jours des superbes pièces de saumon. Nous aimions certes la pêche mais nous aimions aussi surfer sur internet. Les finlandais sont des fanas de nouvelles technologies et le chalet disposait d’un accès libre au net, nous mations en cachette, les filles sur les sites suédois. À cette occasion, nous avons découvert les charmes du sauna et nous aimions beaucoup profiter de celui-ci. Il faut dire qu’en Finlande, les saunas font partie d’un art de vie, tout comme la bonne bouffe chez nous. C’est ainsi que tous les jours, vers 9 heures, dès que nos parents étaient partis à la pêche, nous profitions de ce moment pour prendre un bon sauna. Le premier jour, fut «en tout bien tout honneur». Ce ne fût pas – et heureusement – toujours le cas pendant cette semaine endiablée!
Dès le deuxième jour, nous nous sommes retrouvés, nus, revêtus de nos serviettes blanches dans ce cabanon en bois, adjacent au chalet. La douche s’était transformée en un petit lac d’eau froide, à l’extérieur. Pendant que nous prenions la chaleur, nous échangions des propos badins sur nos copines et Farid me racontait qu’il aurait souhaité qu’elles soient ici, histoire de nous donner un peu d’entertainment. Pendant la séance qui avait duré 40 minutes, nous avions tout le loisir de contempler nos anatomies et nous comparions nos biceps, nos jambes, nos points noirs et... nos sexes. Farid était circoncis tandis que moi, j’arborais fièrement mon prépuce qui s’était pour l’occasion décalotté. Farid n’avait jamais contemplé de près un sexe d’homme et le mien était à la disposition de son regard. Il s’employait à le regarder avec un regard d’anatomiste et voulait voir dans quelle mesure le prépuce recouvrait le gland. Je ne pouvais que lui faire coulisser cette particularité de mon anatomie. Il visualisait le bourrelet, et le frein qui retient le tout. Il trouvait un sexe non circoncis bien plus esthétique et bien plus protecteur.
Il me précisait que sa meuf experte en fellation, était une fana des sexes non circoncis, elle trouvait qu’ils étaient plus sensibles aux caresses buccales. Il voyait aussi mes testicules, bien renflés, poilus à souhait. Curieusement, sous l’effet de nos propos et des démonstrations, mon sexe se mit à gonfler, laissant ainsi entrevoir davantage encore mon gros gland violacé, la hampe de ma bite était irriguée par un réseau veineux imposant. «Bravo, me dit-il, voici une leçon d’anatomie bien pratique» et contre toute attente, il saisit mon sexe tout en précisant qu’il n’avait jamais touché un autre sexe que le sien, il voulait percevoir les sensations que sa meuf avait lorsqu’elle saisissait le sien et instinctivement il se mit à le caresser en souriant, quêtant des yeux mon consentement.
À ce moment précis, il prit conscience qu’il avait franchi une barrière et tout gauche il reposa ma bite comme il aurait reposé un objet délictueux, mais, c’était trop tard, le fait qu’il avait touché à cet objet se manifesta très rapidement par l’apparition de liquide séminal, léger au départ, il devint abondant, inondant aussitôt ses doigts experts. «Tu dois bien t’introduire dans les chattes bien baveuses des meufs toi?» me dit-il il en souriant, il essaya de se dédouaner, mais il avait compris qu’il était tombé dans un piège: ma bandaison était bien là et il me dit tout penaud:
— Je peux te sucer?
— As-tu déjà sucé un mec? lui dis-je.
— Non, me répondit-il.
— Alors, suis bien mes conseils et tu vas voir, c’est super!.
Il se mit à la hauteur de ma bite et il me lécha respectant les conseils que je lui fis.
– Aspire-bien la mouille, plus un mec mouille, plus c’est bon, va plus loin, insiste sur le méat, essaye d’y introduire un bout de ta langue, tire les poils de mes couilles et prends de temps en temps une couille dans ta bouche, caresse-moi l’anus avec ton index...
Tout cela devint pour moi bientôt insupportable et il me précisa en souriant:
— Moi aussi, je bande, mais mon gland est déjà de sortie!
Il se leva et réduit l’intensité de la chaleur du sauna qui devint excessive et dès qu’il revint, il se mit à ré-engouffrer mon sexe dans sa bouche et les mouvements de va-et-vient devinrent difficiles à vivre... Je lui proposai de me mettre à quatre pattes et de suivre les recommandations que j’allais lui donner. Il s’exécuta, je me mis à quatre pattes et il se mit à me faire un anulingus d’enfer, il engouffrait sa langue baveuse sur ma rondelle. Il titillait la couture qui sépare l’anus des testicules, tout en la mordillant, il insista sur mon anus. Il introduisit un index. Je n’en pouvais plus. Il me proposa de le sucer et je le fis immédiatement.
Nous étions en 69. Il était allongé, et moi j’étais sur son sexe. Sa bite, longue et épaisse, était douce, elle sentait un peu une odeur virile de bite pas trop lavée, mais cette odeur était terriblement excitante. Quelques minutes après, n’en pouvant plus, je sentais ses premiers petits spasmes; il m’annonça qu’il voulait jouir. Je lui précisai que j’étais prêt et 6 jets lui permirent de libérer ses couilles. Cela se traduisit par l’arrivée de plusieurs jets chaud qui remplirent ma bouche. Sa jute était très épaisse, très salée, mais aussi crémeuse à souhait. Son foutre était si goûteux, qu’une double ration aurait été la bienvenue. J’en avalais quelques millilitres et je réservais une lampée qui allait me servir de lubrifiant, car mon souhait était de le prendre, de lui casser le pot, car il était puceau de ce côté là.
Il comprit – bien que réticent - mon souhait et s’exécuta, il passa à quatre pattes et je me mis à cracher son propre foutre sur son anus, je tentais aussi d’en introduire une partie à l’intérieur en utilisant mon index. Sa rondelle était prête et je lui fis des déclarations douces, tout en mettant son oreille dans ma gueule. Le reste de foutre pénétrait dans le conduit auditif. Tout cela servait à le décontracter au maximum, je souhaitais vivement qu’il puisse garder un bon souvenir de son dépucelage.
Délicatement, je mis mon index, puis en même temps mon majeur, j’astiquais avec son foutre l’entrée. Il me précisa qu’il était réticent. Je lui fis regarder mon sexe et je lui dis que lorsqu’il dépotait un étron, il n’était pas plus conséquent que le diamètre de ma bite. Il esquissa un sourire et je le pris. Il gémissait, il était heureux, il me dit que jamais, il n’avait ressenti autant de plaisir. Il me fit comprendre qu’il serait honoré de recevoir mon foutre sur lui. Je me retirai de son anus, et par mesure d’hygiène - j’avais quelques petits résidus sur mon gland – je ne souhaitais pas qu’il me suce. Il préféra recevoir mon sperme, plus liquide que le sien sur son visage, et sur sa barbe naissante. Nous sentions l’un et l’autre le foutre et c’était super. En séchant le foutre servit de colle.
Nous étions ainsi près à remettre la chaleur du sauna que nous avions interrompue; nous nous rinçâmes dans le petit lac adjacent à la cabine du sauna. Ce jour là nos vacances avaient pris une autre tournure . Dès le lendemain, je l’initiais à la dégustation du foutre chaud.
Après cette matinée lubrique (le sauna finlandais en Finlande), nous nous sommes promis de reprendre nos activités sexuelles dès que l'opportunité s'en représenterait.
Ce fut le cas ce même soir vers 22 heures. À la fin du repas, nous avions choisi de déserter le gîte et de laisser nos parents seuls, pour nous offrir tous les deux, une petite randonnée de santé. Nous avons prétexté le souhait de faire quelques prises de vidéo, histoire d'immortaliser le soleil de minuit. Nous avons indiqué à nos parents que nous envisagions de rentrer très tard dans la nuit, cette aubaine nous laissait carte blanche...
Rien aux alentours du chalet à plusieurs kilomètres, nous étions seuls, la nature, et... les moustiques très présents en cette saison, nous avons à cet effet emporté le réchaud tue-moustique. Après 60 minutes de marche, vers 23 heures, nous fîmes une pause, et nous nous sommes confondus d'admiration pour cette nature, que soleil éclairait à cette heure avancée comme en plein jour.
Farid avait un peu de difficulté à marcher, il souffrait du posterieur, son anus saignait légèrement: sans doute son dépucelage du matin mais il me déclara tout de même qu'il avait beaucoup apprécié ma compréhension et ma douceur, son dépucelage s'était, malgré cette douleur magnifiquement bien passé, son anus n'avait pas trop emporté avec lui les stigmates souvent inhérents à cette phase. Je lui indiquais qu’en ce qui me concernait, mon dépucelage cela avait été très douloureux j’avais dû avoir recours à des bains de siège, il est vrai que mon compagnon de l’époque avait un vit qui n’avait pas intégré l’étroitesse de mon trou.
— C'était vraiment super, et j'aimerais bien poursuivre sur une autre phase de mon initiation, me dit-il.
— Qu'à cela ne tienne, tu es un bon élève, tu veux apprendre, à propos, aimerais-tu me sucer et me prendre?
Il rougit et accepta cette perverse proposition. Il est vrai que son anus n’aurait pu tolérer de nouvelles pénétrations. Nous avions acquis l'un et l'autre la certitude que nos statuts sérologiques nous permettraient de nous passer de capotes. Le sperme incarne l'apothéose du plaisir masculin et le simple fait de sentir cette semence chaude envahir nos corps dans ce qu'ils ont de plus intime est quelque chose de formidable. J’ai toujours apprécié que mes partenaires éjaculent dans mon cul, ressentir ce lavement intime de crème chaude est toujours un moment privilégié.
J'étais un peu réticent à l'idée que Farid puisse se saisir de mon sexe sans que celui-ci puisse être nettoyé, la macération de ma bite dans le slip pouvait dégoûter notre jeune impétrant, néanmoins, cette odeur naturelle pouvait aussi être pour lui un vrai révélateur de sa nouvelle passion pour la bite. L'odeur n'est elle pas un "signal sexuel"?
Il retira mon short, s'employa à faire descendre mon slip Calvin Klein sur mes mollets. Il ouvrit la bouche pour former un anneau bien serré qui entoura mon sexe, sa bouche lippue de suceur de foutre ne montrait pas de dégoût, mais bien le contraire, il ressentait un réel intérêt à l'odeur que je redoutais, je lui posai directement la question qui me préoccupait et il me précisa tout de go que la sienne était toujours un peu fétide et qu'il aimait les odeurs fortes et fromagères: il est vrai que le smegma ressemble à une sorte de fromage, je pris en compte cet aveu qui était à double sens et je sentis son réel attachement à mon sexe. Il introduisit un index dans mon anus et il vit que cela ne me laissait pas insensible en multipliant les mouvements de va-et-vient dans la toison de mon cul, je suis très poilu -. Son souhait était de me procurer le maximum de plaisir. Il étirait délicatement mes testicules et suçait alternativement l'un et l'autre. Il recalottait et décalottait mon prépuce à l’aide de sa langue agile, il appréciait ma bite à l’état naturel fétide et non circoncise. En riant je lui déclarai que le prépuce est un bon réservoir à fromage!
— J’aime le fromage de chèvre, me dit-il entre deux goulées de bite.
J’ajoutais: "Le fromage de bouc!" De temps à autre, il touchait sa bite qui ne demandait qu'à sortir de son logement! C'est ce qu'il fit quelques minutes plus tard.
Je lui fis comprendre qu'il serait peut-être temps qu'il me prenne et je lui proposai de me mettre sur le dos pour mieux le guider. Mais avant je lui demandais de bien veiller à écarter les poils de mon cul car je ne souhaitais pas qu'il puisse les tirer lors de l’introduction avec son pieu! Il écarta avec sa langue, les poils rebelles, la salive permettait de les "coller" sur les côtés. Nous n'avions pas de gel et la salive devait remplir son rôle. Il cracha sur ses mains et il lubrifia le petit guichet, la petite entrée. Sa langue égalisait les replis crénelés de mon fion, il touchait de temps en temps le méat de mon sexe pour «ramasser» la mouille qui allait servir à garnir l’entrée du petit guichet. Sa mouille était très filante, j’avais remarqué le matin même qu’elle était délicatement salée. Son sexe turgescent arborait un gros gland violacé. Après un léger rictus de douleur, après l’introduction de sa biroute, je remuais mon cul pour donner de la vigueur à cet accouplement naturel, en plein milieu des bosquets de bouleaux. Nos corps entrelacés dans la clarté du soleil de minuit copulaient furtivement. Je lui fis comprendre que je serais très honoré qu'il jouisse dans mon cul. Quelques secondes plus tard, les jets de sperme chaud envahirent mon cul et me permirent de sentir une vraie jouissance, totale sur tous les plans. En se retirant de mon cul, je vis le liquide crémeux et chaud de son foutre, il essuya sa queue sur la toison de mes pectoraux.
Fidèle à son engagement, il reprit mon sexe dans sa bouche et me précisa qu'il voulait enfin voir à quoi pouvait ressembler la jute d’un mec comme moi. Il avait certes goûté sa semence lors de ses branlettes solitaires mais là c’était une autre jute, plus relevée. Tout en criant, je me mis à jouir dans sa gueule et il conserva ma queue dans sa bouche jusqu’à la détumescence complète de celle-ci. En souriant je lui déclarais:
— Moi j’ai pris ta jute dans mon cul, toi la mienne dans ta gueule, nous avons absorbé chacun par des organes différents des vitamines, des sels minéraux.
Lorsque ma bite était encore dans sa bouche, il la recalottait avec sa langue. En souriant, il me fit un patin et j’absorbais dans ma bouche le reliquat de ma jute qu’il avait encore entre sa langue. Il me précisa que mon foutre était très agréable, il était salé mais terriblement suave et goûteux.
Si certains se convertissent à une nouvelle religion, Farid avait choisi la sienne, ce qu’il appréciait par dessus tout c’était l’odeur, le goût, la suavité du liquide blanc qui sortait des mes couilles poilues et pendantes. Farid avait désormais son premier brevet de bonne salope, il devait se rendre compte que les copines appartenaient désormais à son passé sexuel. Il n’a eu au cours de cette semaine de cesse que de jouir et jouir et encore jouir. Pendant ces quelques jours, je me suis efforcé de rectifier sa rondelle car je lui ai précisé que des mecs plus baraqués que moi allaient peut-être dans l’avenir s’occuper de son cul et qu’il fallait agrandir son trou souffreteux aujourd’hui. Ah ce boyau à gourmandise!
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