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Lundi 22 juillet 1 22 /07 /Juil 21:38

RECITS FICTIONS FANTASMES thèmes défloration candaulisme crypto homosexualité(46)

Du fait du véritable chantier de remise en état que ça m'a coûté cette histoire est peu connue depuis sa 1ère publication. Je suis sûr que vous allez adorer.Enjoy !

 

 

 candaulisme ...de la défloration  à la vie commune Ne comptez pas sur moi pour faire de la morale. Selon moi on n'aura jamais assez de liberté(s). A quoi bon écrire et lire des récits conformistes ? Surtout si on est, en surface comme au fond, totalement conformiste soi-même !  J'ai effleuré ou évoqué le nomadisme sexuel hétéro en vous parlant de cet ami vauclusien qui fait de l'échangisme en club et dont la compagne le pousse à se faire sodomiser par ses amants de rencontre. Je vous ai parlé de Max,cet ami, qui voulait, il y a très longtemps qu'on monte ensemble une pute de la rue Thubaneau à Marseille. Ce type d'hétéros, un psy m'a dit :  "ce sont des homos camouflés" 

    Le scénario ci-dessous m'a emballé car il a choisi une liberté totale et affolante tant il crée une surprise pour less concepts sociaux sexuels, sans oublier notre libido désorientée pour la circonstance puisque nous allons aimer ...ce qui ferait scandale !

Considèrerons-nous Ahmed et sa cinquantaine hyper sexuée, Daniel et son irrésolution complaisante, Isa et sa curiosité libérée comme des personnages négatifs ?  Sûrement pas !

(1)
Nous étions tous deux au lycée Marcel Pagnol à Marseille. Isabelle avait 2 mois de moins que moi ( Daniel ). 17 ans tous les deux. Je suis de juin et elle est d'août.
Nous fréquentions les bars à proximité du lycée. Nous étions très proches et aussi très amoureux ... Je suis brun aux yeux bleus et elle est blonde aux yeux verts.
Déjà ses seins étaient plus gros que la moyenne et elle en était très fière.
Ses parents habitaient à La Pomme  et les miens à Saint Loup. De ce fait nous étions presque voisins.
Nous nous connaissions depuis la 6ème et maintenant nous étions en 1ère dans un lycée "pilote".
L'histoire commence au mois d'avril 2003.
Comme d'habitude nous sommes au café. Il fait bon, presque chaud. Avec le printemps les filles se sont dénudées ....
Isabelle, elle, toujours en avance sur les autres a revêtu une légère robe courte, sans soutien gorge.
Nous sommes installés dans un box au fond du bar. Les copains et copines sont dans la salle de jeux.
Ahmed, un homme dans la cinquantaine, nous salue. Il a toujours été sympa avec nous.
Il nous propose un verre, nous acceptons. Il s'assoit avec nous. Nous discutons comme d'habitude de choses et d'autres, surtout de son cabanon et de son bateau, qui sont aux Goudes, la calanque la plus pittoresue de la côte.
Marseillais, nous aimons la mer et nous y sommes souvent.
Ahmed, nous invite .... En fait il a surtout besoin d'aide pour préparer le cabanon pour l'été. Il vit seul, il est divorcé et ses enfants sont à Paris.
C'est un immigré, il est arrivé jeune à Marseille comme beaucoup d'autres. C'est un Marseillais .... Pure souche, maintenant.
Il est au chômage et il se débrouille .... Il fait quelques travaux ... au black.
Il pêche et il plonge, aussi, et vend sa production à quelques restaurateurs et mareyeurs.
Il est grand et fier ... il est d'origine Kabyle. Ses yeux sont noisette. Il est musclé. blastedheath: Jean Vimenet (French, 1914-1999), Autoportrait au chiffon rouge [Self-portrait with red cloth], 1954. Oil on canvas, 86 x 58.5 cm.
Il nous a toujours intrigués, impressionnés même.
Samedi à 7 heures, nous nous retrouvons tous les trois dans sa voiture ... A 8 h 30, nous sommes devant son cabanon.
Nous l'aidons à déballer son matériel.
Très vite, nous avons fait un gros travail de propreté et, vers midi, nous avons pratiquement fini.
Ahmed nous propose d'aller nous baigner.
Nous voici à l'Espiguette, une petite plage déserte ... nous longeons la petite falaise et nous nous installons sur une bande de sable de 10 m.
Nous y sommes seuls. ( il faut connaître ) Nous sommes en maillot, Isabelle porte un deux pièces très petit et ses seins sortent de chaque coté de son haut.
Nous nous baignons et nous amusons.
Puis nous rejoignons sur le sable.
Nous nous allongeons. Isabelle est au milieu.
Ahmed :- Alors les enfants, ça se passe bien entre vous, je vous vois ensemble depuis longtemps ? Moi- Oui, nous nous entendons bien et je crois qu'Isabelle ne me démentira pas Isa : - Non, c?est vrai, j'aime Daniel, il est différent des autres, calme et réservé - C'est vrai que tous les deux vous êtes plutôt réservés - Oui mais nous savons aussi nous amuser, tu sais Ahmed ... - J'espère pour vous ...  Isabelle semble assoupie. Ahmed lit La Provence.
Je décide de plonger pour ramasser quelques oursins. Je mets mon masque et les palmes et, armé d'une fourchette et d'une épuisette je plonge.
Le courant m'entraîne quelque peu et 30 mn plus tard, je sors de l'eau quelques mètres trop loin de la petite plage.
Je franchis quelques rochers en surplomb et me voilà au dessus d'eux.
Je m'apprête à descendre lorsque je vois Ahmed qui met de l'ambre solaire sur les cuisses d'Isabelle. Elle est couchée sur le dos, elle a mis ses lunettes de soleil.
Ahmed caresse ses cuisses pour en faire pénétrer l'huile solaire.
Il demande à Isabelle de se tourner. Il masse maintenant son dos, mais gêné par le soutien gorge il lui demande de le dégrafer. Ainsi il peut masser la totalité du dos.
Je reste à les observer. Je ne suis qu'à 5 mètres d'eux, bien caché par quelques arbustes de garrigue. Je me demande comment Isabelle a pu permettre à Ahmed de la toucher ainsi ? -Tu sais Isa, je crois que tu devrais opter pour le bronzage intégral - Je ne crois pas que ça plairait à Daniel ... moi je n?y vois pas d'inconvénient -Je crois au contraire que ça lui ferait plaisir, tous les hommes aiment voir leur petite amie à poil à la plage -Tu crois vraiment ?
-Tu peux toujours essayer et tu verras ... ? Sans hésiter, Isabelle se tourne et enlève le soutien gorge. Ses seins, encore, blancs apparaissent dans leur splendeur.
Elle regarde alentour, sans me voir, et assurée de ne voir personne, elle fait descendre sa culotte de bain. Elle est nue devant Ahmed qui la regarde. Elle se tourne et expose son dos et ses fesses.
Ahmed reprend son massage solaire. Il observe la mer, cherchant sans doute ma présence.
Doucement, doucement sa main atteint les fesses ... il ne s'arrête pas et continue ... maintenant il masse les fesses l'une après l'autre. Isabelle ne réagit pas. Elle le laisse faire.
Mes yeux fixent cette main qui caresse ma fiancée.
Soudain Ahmed change de coté et il change aussi de main.
Je peux voir, non sans surprise, que son maillot accuse une énorme proéminence ... Il bande le salaud ! ... De sa main gauche il passe l'ambre solaire et de sa main droite il se masturbe à travers le tissu.
-Ahmed, ce n'est pas juste  -Quoi ? ?
-Moi je suis à poil et toi non  -Tu veux que j'enlève mon maillot ?
-C'est normal ... je pense ? -Si tu veux ! Ahmed enlève son slip de bain. Il est assis. Il ne bouge plus.
-Veux-tu que je continue .... ?  Oui ?

Ahmed enjambe alors les cuisses d?Isabelle, il masse maintenant son dos à deux mains. Ce faisant, je peux voir son sexe. Je n'en ai pas beaucoup vu ... mais celui d'Ahmed me semble énorme. Il est long est très gros.
Ses couilles touchent les fesses d'Isabelle. Il masse toujours son dos et ses épaules.
Je remarque qu'il est quasiment assis sur les fesses et que son sexe se frotte dans le sillon. Il lève la tête, regarde le ciel et s'allonge à coté d'Isabelle.
-Il faut que j?arrête .... ?
Pas de réponse.
C?est le moment que je choisis pour me remettre à l'eau et revenir par la plage comme si de rien n'était.
Je m'étonne de les voir nus ... -Vous êtes à poil? -C'est plus naturel, tu devrais en faire autant me dit Ahmed  -Oui, tu devais essayer, c'est super, ajoute Isabelle. -Non ... la prochaine fois ... -J'espère que tu ne m'en veux pas au moins, demande Isabelle. -Non pas du tout, tu as très bien fait -Et j'espère que tu ne m'en veux pas à moi non plus? demande Ahmed -Non, non, chacun est libre! Là-dessus nous avons ouvert et mangé les oursins.
Isabelle se promène nue, sans honte et sans complexe.
Ahmed aussi et je ne peux m'empêcher d'observer sa bite qui pend entre ses cuisses.
Elle est énorme et 2 fois plus grosse que la mienne en érection.
Nous décidons de rentrer.
Après un dîner au restaurant (La Marine), nous regagnons le cabanon.
Deux pièces et la terrasse.
Nous sommes assis sur les fauteuils de la terrasse et regardons la télé, qui se trouve dans le salon cuisine. Nous sommes tous les trois en maillot. Mais Isabelle n'a que le bas et les seins nus.
Il est près de minuit.
-Bon, les enfants .... Si nous allions dormir .... ?
-Comment est-ce qu'on s'arrange ?
-Ah ... ce n-est qu'un cabanon et je n'ai qu'un lit. J'espère que ça ne vous gêne pas de dormir à trois ? -Moi non, mais Isa, je ne sais pas ? -C?est pas grave, répond-elle. Comme il fait relativement frais, Ahmed, jette juste un drap pour nous couvrir.
Cet homme a toujours exercé une étrange fascination sur nous deux. S?il est vrai que notre jeunesse y est probablement pour beaucoup, il n'en demeure pas moins que le charisme de cet homme, grand et fort, au faciès d'arabe, nous en impose.
Mais j'ignorais jusqu'à quel point, avant que je voie, ma petite amie être sous son influence en se laissant caresser nue sur la plage.
Nous sommes allongés dans la pénombre, les volets et la fenêtre sont ouverts, la lumière de la lune éclaire la chambre.
Isa se blottit contre moi. Nul ne parle, le silence ....
Je caresse ma fiancée en repensant à ce que j?ai observé sur la plage. Je la revois nue caressée par Ahmed.
Elle m'embrasse, nous nous excitons. Pourquoi aujourd'hui alors que nous n'avons jamais été jusque là ? Jamais nous n?avons été nus, l'un contre l'autre.
Doucement elle murmure à mon oreille :
-Je suis toute bizarre, je coule entre mes jambes -Tu es excitée et tu as envie ... - C'est la première fois que je me sens comme ça. -C'est parce que tu es nue, non ... ? -Sans doute. Soudain, elle fait un mouvement vers moi. Puis un autre ... Elle murmure à nouveau dans mon oreille :
- En fait Ahmed a touché mes fesses -Comment ! ?
-Je te dis qu?il a touché mes fesses. -Non, il doit dormir ... Non, il ne dort pas, maintenant il a ma fesse dans sa main ... il me caresse, je ne suis pas folle ... qu'est que je dois faire ?
-Je ne réponds pas, mon sexe est dur ....
-Alors ... maintenant il me caresse les deux fesses .... Je sens bien qu'il est réveillé ... -Tu veux faire quoi ?
-Je ne sais pas mais il continue ... Oh ... il baisse ma culotte .... Oh .... Il touche mon cul ... Daniel .... Ah .... C'est bon .... Daniel .... Daniel ... ? -C'est bon ?
-Oui, sa main est douce ... il a descendu ma culotte et ses doigts sont entre mes cuisses, il touche mon sexe ... Je ... je vais ... Oh que c'est bon. Isabelle s'écarte de moi légèrement de sorte que seule sa tête demeure sur mon épaule. J'observe le drap qui bouge et se soulève.
-J'ai plus ma culotte ... il l'a faite glisser et je l'ai enlevée ... il me caresse de partout ....
Je l'embrasse ... -Daniel ... il est contre mes fesses, je le sens, il est nu lui aussi, je sens son sexe contre mon cul ... Oh Daniel qu?est-ce qui m'arrive, qu'est-ce qui nous arrive ? -Je ne sais pas moi... ?

Soudain Isabelle m?abandonne, elle s'allonge sur le dos. Le drap bouge de plus en plus. J'entends :
-Ahmed ... qu'est-ce que tu fais ? qu'est-ce que tu veux ... ? -Je te donne du plaisir, petite Isabelle ? -Mais ... Daniel ... ? -Il doit dormir, non ? ?
-Non, je ne crois pas. ? -Il dort, j?en suis sûr -Tu crois, ment-elle. -Oui, laisse-toi faire, laisse- toi aller. Le silence à nouveau et le lit qui bouge fortement, puis j'entends ma fiancée gémir avec des Oooohhhh et des Aaaaaahhhhhh et des Oooouuuiiii Mes yeux sont entrouverts, je vois très bien Ahmed qui embrasse Isabelle, elle répond à son baiser, il rejette le drap et je vois leur corps ... Une main d'Ahmed est entre les jambes écartées d'Isa.
D'un seul coup, il se couche sur elle, il est entre les cuisses de ma fiancée ... qui s'affole maintenant.
-Non, non, non, Ahmed, non, je t'en prie, non ne fais pas ça ...  Pas de réponse ... Elle doit sentir combien toute résistance est inutile. Il ne s'agit pas de force mais de savoir-faire, d'envoûtement par le sorcier beur .  -Ah, Oh, Ahmed ... Ahh, Ahhh, Ahhh,Oooooooooh Un cri étouffé ...  Plus rien ne bouge. J'entends Ahmed qui dit à mi-voix :
-Je t'ai prise petite salope, y a longtemps que j'en avais envie, tu sais ....Sa queue a dû déchirer sans pitié l'hymen précieux qu'elle me réservait.
Isa doit avoir très mal. Je prends sa main. Elle me serre. Mais aucune vraie plainte. Juste un gémissement ininterrompu et légèrement modulé plaisir et douleur mêlés dans un souffle.  -mmmmmmhhhhhh ? -Je suis dans toi, Isa, je te baise ... -c'est bon ... ma bite est entièrement dans ta chatte, je suis au fond de toi. Je ne peux qu'imaginer combien c'est gros, très gros pour le petit vagin tout neuf de mon Isa.
Ahmed bouge sur le corps d'Isa, je vois ses fesses monter et descendre, comme dans les films pornos. Je dis ça car je suis puceau. Je n?ai jamais couché avec une femme.
- Tu la sens bien ma queue ? ... elle est plus grosse que celle de ton fiancé, hein ? .... Tu coules comme une fontaine, je le sens bien ... -Durant bien 5 mn Ahmed s'agite sur Isa ... j'imagine son gros sexe dans le ventre de ma fiancée.
-mmmmoooohhhh Ahmed, Ahmed ....(Elle a lâché ma main elle étreint Ahmed aux hanches. -Ah...nooooon Je vais mourir...je meurs .... Holala .... Aaaaahhhhh je meurs .... AAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHH  Isa a crié mais Ahmed l"a embrassée, fermant ainsi sa bouche et étouffant son cri.
Puis j'entends encore :
-Ooohhhh yayaie, oooohhhh moi aussi je viens. Oui ma chérie, oui .... Je décharge mon sperme dans toi ....tu sens ?  Ahhhhhhhhhh ? Encore quelques râles et gémissements et Ahmed s'écroule ... à sa place sur le lit. Sa main reste négligemment accrochée au sein droit d'Isa.
Isa ne dit rien, je la laisse ainsi, livrée à elle-même. L'affaire est faite. Tout à fait consommée. Comme pour me guérir du choc je me suis endormi avec mes pensées. Isa avait eu du plaisir. Son premier plaisir. Et c'était par un autre. Je me sentais humilié, frappé d'impuissance comme d'un handicap.
Plus tard, le réveil fut brutal ... Je revécus tout ....
Isa et Ahmed dormaient. Le drap était jeté au sol.
Isa était en recroquevillée sur elle-même en chien de fusil. Ahmed, était sur le dos, jambes écartées et sexe tendu. Ce sexe que j'admirais tant il était énorme. Je voyais ainsi bien ses couilles dont la grosseur était proportionnelle au sexe.
Je me levai, sans bruit, doucement. Je couvris ces corps nus qui me donnaient la nausée.
Je trouvai un verre de cognac et m'installai sur la terrasse. Il était près de 9 heures.
Verre vide et sombres pensées, Isabelle apparue devant moi. Elle avait revêtu mon T-shirt. J'observais également qu?elle avait remis son slip de bain.
- Bonjour, dit-elle, en se penchant pour me donner un baiser

 -Bonjour ? -Dan .... ?
Sa phrase fut interrompue par la voix de Ahmed, dont la silhouette à contre jour apparut dans la fenêtre. Il avait repris son ton protecteur et paternaliste :
-Salut les mômes ... belle journée pour la baignade ... j'apporte le café. Nous n'avons pas parlé avec Isa, et Ahmed et venu avec un plateau. Café, lait, jus d'orange et biscuits.
-Allez ... bon appétit les enfants ...  Nous prenions le petit déjeuner et Isa et moi étions mal à l?aise ... Ahmed s'en rendit compte.
- C'est quoi ? Qu'est-ce qu'il y a .... Vous vous êtes levés du pied gauche ou quoi .... Vous faites la gueule ?
Pas de réponse.
-Eh ... qu'est-ce qui se passe ?

Isa s'enfuit, elle courut vers la chambre et s'y enferma.
-Qu?est-ce qu'elle a ... Y a un problème ?

-Oui et même un sacré problème, Ahmed ? -Ah ... je peux vous aider ? - Tu nous a déjà aidés, enfin façon de parler, ce serait plutôt le contraire ? -Oh ! Tu m'inquiètes, garçon, dis ?  C'est à cause d'hier soir ? Je redoutais de parler de ça à Ahmed, cet homme si fort que je respectais.
-Je m'en doutais bien ... excuse moi, je ne sais pas ce qui m?a pris et puis bon ... tu dormais et Isabelle n'a pas réagi, alors ... enfin voilà quoi ... je m'excuse ....
Un comble : Ahmed assumait alors que moi pas du tout !  

-C'est pas tout à fait ça ? Explique alors ...-C?est pas facile, tu sais  -Ah bon ... mais écoute, fiston, vas-y ... balance ... ?         -Ouais ... en fait il faut te dire que moi et Isa ... ben on est fiancés mais on a jamais ... enfin tu vois ... on a jamais couché ensemble, quoi -Oh ... pas possible, c'est vrai et pourquoi ?       - On se contente de flirter et bon ça allait sûrement arriver ... mais ... -Je suis désolé ... j'espère que tu ... ? -En fait c'est pas tout -Quoi ? ?
-Hier soir je ne dormais pas et pour tout te dire j'étais bien réveillé et ... - Et ? ?
-Et figure toi qu'Isabelle est vierge ... enfin .... Etait vierge ...    -Merde ... c'est pas possible ... Qu'est-ce que tu dis ... C'est quoi ce film ... ? -C'est vrai, je te jure ! -Attends, attends .... Hier soir Isa était vierge et toi tu ne dormais pas ?
-Oui, c'est ça. -Alors, pourquoi toi tu n'as rien dit et elle non plus, pourquoi vous m'avez laissé faire ? ?
-Pour Isa, franchement, je ne sais pas ... mais pour moi, j'en sais trop rien non plus, j'étais excité par ce que je voyais ... et ce que j?ai vu aussi hier après midi sur la plage -Tu veux dire que ça t?excitait de me voir baiser ( hum) ta nana ?
-Oui beaucoup. Mais le plus important c'est Isa ... - Oui tu as raison gamin ... Merde de merde de putain de con ... qu-est-ce que j?ai fait là ... Je ne m'en suis même pas aperçu ... Quel con. Elle doit être dans un état terrible, je comprends mieux maintenant la gueule de tout à l'heure ... Qu?est-ce qu'on fait ?
-Qu?est-ce qu'on fait ???.... ? Ben je sais pas, je réfléchis ....    -Oooouuu, on est mal, là ? -Il faut aller la voir ... - Tu as raison, vas y et dis lui que je ne savais pas, que je m'excuse -Ah non, pas moi, toi vas y  - Moi ? ?
-Oui, c?est mieux et tu es plus expérimenté que moi - Oh la galère où je me suis foutu - Merci Ahmed - Merci, tu me dis merci alors que j?ai fais la connerie de ma vie ... Et toi aussi, couillon, pourquoi tu as fait semblant de dormir ... Eh merde ? ? -J'ai voulu laisser Isa décider ... - Bon j?y vais ... attends ... si elle est trop marquée, je reviens et je vous ramène à Marseille,  C'est bon ?

Ahmed est allé voir Isa, dans la chambre.
J'attendais et m'impatientais ... quand soudain la voix d'Ahmed :
-Daniel, viens il faut que tu voies ça ... ? Je me dirigeai vers la chambre .... Stupéfaction. Isabelle, à genoux, suçait l'immense queue de notre ami. D?une main elle pressait les couilles et de l'autre elle saisissait la hampe.
La bouche grande ouverte, elle aspirait la queue.
 Je t'expliquerai, t'inquiète ... regarde plutôt ...

la suite va arriver très très vite. Je suis obligé de couper à cause du propriétaire du logiciel Erog Merci de votre compréhension. Illustrations en cours de construction.

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 4 juillet 4 04 /07 /Juil 00:10

à relire dans RECITS FICTIONS FANTASMES (45)

 

De: claudemodou@gmail.com

à: lutteurgay@xxx.fr

Bonsoir. Merci. Ca va paraître immédiatement.

Je suis ressorti essoufflé de la lecture de ton chef d'oeuvre érotique.

Tantôt je voulais être ce Hakim et tantôt Fabien. Tantôt le vainqueur

pris de vertige et tantôt l'heureux vaincu reconnaissant.

Hummmh...relire ces pages côte à côte, nos mains caressant nos dos,

nos poitrines, s'égarant dans nos boxers...Dis, Fabien, tu viens bientôt

à Cavaillon prendre le soleil  au bord de la Durance ?

Tu me fascines et je t'aime. De gros baisers bien profonds.

claudio 

_____________________________________________________________________
De: Fabien                                                       il y a 4 heures                    19 h 13
à :  claudio
Hello mon tout doux,

Débordé, une fois de plus. Mais la c'est pour la bonne cause... J'ai terminé le récit que je voulais écrire à 4 mains avec toi... (mais trop compliqué)

En voici la primeur pour mon Claudio et ensuite fais-la vite lire aux autres. J'ai hâte de lire les commentaires

Bisous

 

Combat en forêt

 

Enfin les vacances, au volant de ma nouvelle voiture que mon père m’avait offerte pour mon diplôme de fin d’année. Histoire de me ressourcer, je quittai la ville pour aller passer un long week-end réparateur dans la campagne de Provence où mes grands-parents avaient une petite maison bien loin de la pollution parisienne. Ils ne seraient pas là pour m’accueillir, ils étaient partis chez une vieille tante malade et ne rentraient que le lendemain soir. J’avais la maison pour moi tout seul.

 

Après avoir garé la voiture, je sortis la clé qu’ils m’avaient donnée et pénétrai dans la maison. Ayant transpiré lors du trajet, je décidai de prendre une douche. J’enlevai mes vêtements en les laissant tomber au sol tout en me dirigeant vers la salle de bain. Le jet d’eau chaude me fit du bien, je relevai la tête pour sentir l’eau couler sur mon visage, je me cambrai en arrière pour mieux profiter de ce jet d’eau puissant s’écrasant sur ma poitrine bombée et  sur mes cuisses musclées. Des heures en salle de musculation et de course à pied avaient sculpté mon corps. Me reculant légèrement, les picotements de l’eau  frappèrent puissamment mon sexe non circoncis au repos. Mon membre de dix-huit centimètres se tendit  en s’arquant sous cette caresse tonique. J’aspergeai mon corps d’une bonne giclée de gel douche et mes mains commencèrent à caresser ma poitrine en faisant de lents mouvements circulaires. Continuant leur chemin, mes mains s’arrêtèrent un instant sur mon ventre musclé où un doigt s’aventura à l’intérieur de mon nombril pour le nettoyer. Je frissonnai lorsque la caresse de mes doigts se posa  sur le haut de mon pubis et que mon sexe gorgé de sang s’épanouit en se redressant pour venir cogner le dos de ma main. Prenant mon sexe bandé à pleine main, je fis coulisser la peau le long de ma verge pour en décalotter le gland jusqu’au frein et la remontai en un lent mouvement. L’eau et le gel faisant un formidable lubrifiant, encouragèrent ma main à continuer en un va-et-vient de plus en plus rapide. Mon autre main se déplaça pour venir se plaquer contre mes fesses. Appuyé contre la paroi de la douche, j’écartai mes cuisses un maximum, afin que la pulpe de mes doigts se colle contre mon anus. Deux doigts pénétrèrent aussitôt à l’intérieur de mon conduit en un délicieux pilonnage pendant que mon gland gonflé de désir disparaissait et réapparaissait à l’intérieur de mon poing serré. Mes testicules remontèrent d’un coup et quatre jets de sperme s’écrasèrent contre la paroi vitrée.  L’eau qui continuait à couler fit disparaître toutes traces de jouissance. Heureux et comblé, je sortis de la douche et me séchai. Devant la glace, j’arrangeai mes cheveux blonds bouclés avec mes mains, et me souris en me regardant. J’avais les yeux bleus de ma mère et la bouche charnue de mon père.

 

La serviette de bain nouée autour de la taille, je sortis sur le balcon surplombant le petit jardin. De l’autre côté de la haie délimitant le terrain, la maison des voisins. J’entendis le bruit d’une tondeuse à gazon et, sortant de derrière un massif de fleurs, un mec  torse nu, dans un short moulant apparut aux commandes de l’engin. Quelle ne fut pas mon excitation lorsque je pris conscience de ses formes et de ses atouts physiques… Je levai une main pour le saluer, il me regarda à peine et continua à tondre l’herbe. Je m’assis sur une chaise en faisant semblant de me plonger dans un journal. Pourquoi n’a-t-il pas daigné répondre à mon salut, peut-être un peu gêné qu’on le surprenne aussi peu vêtu ? Il ne devrait pas, il avait un corps à damner un saint. Une peau halée et cuivrée par le soleil de juin, des cheveux noirs et des mèches rebelles légèrement frisées qui encadraient  un visage d’ange avec des lèvres sensuelles et charnues, un splendide petit beur. Mes yeux ne pouvaient se détacher de ce corps de rêve imberbe, de ses muscles bien dessinés roulant sous sa peau dorée tandis que des gouttes de sueur coulaient le long de son torse puissant. Une sangle abdominale en forme de plaque de chocolat contractée luisait sous l’effort. Je continuais à le dévisager et mes yeux descendirent légèrement plus bas pour se fixer sur le renflement imposant de son short, qui tressautait de gauche à droite au rythme de son déhanchement.  Je vis le galbe de ses épaules se gonfler lorsqu’il amorça un demi-tour pour repartir dans l’autre sens.  Un joli petit cul bombé dans son short serré se présenta à moi. Quelles fesses ! Du béton ! Je bandais comme un taureau en le regardant s’éloigner. Sa tête pivota vers moi et il me fixa d’un regard mauvais. Je fis mine de ne rien remarquer et rentrai à l’intérieur. Il n’avait pas apprécié que je le regarde comme ça, il fallait que je fasse un peu plus attention si l’occasion se présentait à nouveau.

 

Après avoir vidé ma valise et rangé mes affaires, je décidai d’aller courir un peu, c’était le moment idéal. J’enfilai mon short avec slip incorporé, qui me moulait parfaitement les fesses,  un débardeur légèrement trop petit et mes baskets, puis je sortis de la maison. L’air était plus frais et le soleil commençait sa descente vers l’horizon. Un peu plus loin, au bout du chemin, un chemin pédestre serpentait dans la campagne. D’une foulée souple et légère je parcourus cinq bons kilomètres sans m’arrêter. L’air était frais en cette fin d’après-midi et le ciel très clair. J’adorais sentir le vent sur mon visage, cette bonne odeur de champs et d’herbes qui chatouillaient mes narines. Au loin une forêt, je piquai un sprint pour y arriver le plus vite possible. Une envie de pisser pressante commença à se faire sentir. Je m’arrêtai épuisé, posant mes mains sur mes cuisses légèrement humides et tétanisées par l’effort, mon cœur cognait à l’intérieur de ma poitrine. Après avoir repris mon souffle, je m’enfonçai dans la forêt et me glissai derrière un arbre, à l’abri d’éventuels regards. Je fis glisser mon short sur mes cuisses et tenant mon sexe d’une main distraite, je me soulageai en dirigeant le jet contre le tronc de l’arbre.

 

Des feuilles derrière moi bruissèrent, je n’eus pas le temps de me retourner, des mains puissantes me poussèrent en avant et je me retrouvai  le visage collé contre le tronc de l’arbre, mon jet continuant à couler le long de mes cuisses en maculant mon short d’urine. Un corps musclé se plaqua contre le mien et des mots jaillirent d’une bouche inconnue.

 

- Alors comme ça tu matais mon cul, petit pédé ? Ça t’excitait de me voir tondre le gazon tout à l’heure ?  Et là, tu la sens ma queue contre ton petit cul de mateur ?

 

Effectivement, contre mes fesses, à travers ce qui devait être un jeans, je sentais une bosse dure se frotter contre moi. Mon beau petit beur m’avait suivi jusque là. D’un coup il s’éloigna de moi, ses mains s’agrippèrent à mes épaules et me retourna violemment avant de me pousser en arrière. Déséquilibré, les jambes entravées par mon short descendu, je m’affalai lourdement sur le dos.

 

- Tu fais moins le malin maintenant avec ta petite bite qui te pisse dessus

 

Il s’approcha en se plaçant au-dessus de moi , jambes écartées.  Il me regarda droit dans les yeux, sans aucun sourire. J’étais tétanisé, lui, me surplombant de toute sa hauteur, mon regard ne put s’empêcher de se poser sur la bosse qui déformait son entrejambe. Il déboutonna son short en jeans, et d’une main sortit un sexe imposant.

 

-Ben tu vois, moi aussi j’ai aussi envie de pisser

 

Et il se mit à l’œuvre en urinant tout en dirigeant le jet sur mes parties génitales. Je voulu réagir mais il ne m’en laissa pas le temps. Il se laissa tomber à genoux et s’assit violemment sur moi. Mes couilles furent écrasées par ses fesses pendant que son jet finissait de couler contre mon débardeur. Je tentai de le repousser en arrière, mais sa main me claqua la joue violemment. Puis il arracha une poignée d’herbe couverte d’urine qu’il me frotta contre le visage, ensuite ses deux mains s’agrippèrent à l’encolure de mon débardeur et en tirant un grand coup, j’entendis le tissu se déchirer sur toute sa longueur. Là c’en était trop, mon bras se raidit et je l’envoyai de toutes mes forces contre son flanc gauche. Il accusa le coup en basculant sur le côté. J’en profitai pour me redresser mais mon short m’entravant les jambes m’en empêchait. Agitant mes cuisses je m’en débarrassai et je pus enfin me remettre debout.  De son côté mon tortionnaire s’était également relevé. Face à face, moi à moitié nu avec mon débardeur qui pendait lamentablement d’un côté et lui, dans son short à la braguette ouverte, le sexe pendant, fier et sûr de sa force me regardait avec un sourire mauvais.

 

Il s’approcha de moi et me poussa violemment. Bien campé sur mes jambes, je reculai néanmoins de quelques pas, un poing énorme me percuta les abdos, je ressentis une légère douleur, mais la régularité de mes entraînements me permit de digérer le coup sans broncher. Je répondis aussitôt avec une série de coups de poing bien placés, un léger frémissement des lèvres du beur trahit une petite sensation de douleur,  sa sangle abdominale était en béton. En me voyant à moitié nu, la confiance de l’arabe s’était renforcée,  cinq uppercuts dans mes abdos me furent assénés. La douleur se fit plus vive.  Reculant légèrement, j’enchaînai une série des coups de poing avec toute la puissance de mes bras et de mes épaules, il accusa le coup. J’en profitai pour me ruer sur lui, mon corps percuta le sien en l’enserrant dans mes bras. Plaqués l’un à l’autre, nos pectoraux se touchaient, nos abdominaux bougeaient l’un contre l’autre sous le rythme de nos respirations saccadées. Des gouttes de sueur commençaient à perler le long de mon ventre. Ses mains s’agrippaient au reste du tissu qui me couvrait très légèrement le corps et finirent par l’arracher complètement. Mes mains s’activèrent sur son short pour le faire tomber et d’un coup de pied il l’enleva. Nus, enlacés fiévreusement, nos yeux se fixaient avec hargne.

 

Je l’attirai contre moi pour essayer de l’étouffer dans un bearhug, mais il était fort, très fort. Il contrait mes mouvements et réussit même à nous séparer pour me placer un coup de genou dans les flancs qui me laissa le souffle coupé.

 

- Alors le PD, tu ne tiens plus la route, ta bite se ramollit ? Je ne te fais plus d’effet

 

Recroquevillé sur moi-même, je le vis prendre un peu de recul pour essayer de me percuter avec son pied droit, dans un sursaut d’orgueil, ma jambe droite se détendit d’un coup et lui faucha la jambe gauche, son seul appui au sol. Surpris, il n’eut que le temps de sentir son corps massif tomber sur le dos. Ne laissant pas passer ma chance, je me jetai sur lui et le recouvris de mon corps. Sous le choc, nos deux cages thoraciques se vidèrent de l’air qu’elles contenaient d’un seul coup. Je sentis cette formidable musculature qui se gonflait sous moi et mon sexe, écrasé contre le sexe mou du rebeu, se mit à grossir rapidement.

 

Je sentis ses bras me ceinturer sans pitié, tous ses muscles tendus à l’extrême faisant saillir ses veines à  de nombreux endroits. Il décida en même temps de tirer profit de mon excitation, mon sexe se durcissant de plus en plus maintenant que l’affrontement avait tourné au corps à corps.  Pour l’instant, il tirait profit de sa domination au niveau du bas du corps : ses jambes s’entrelacèrent au miennes, puis exercèrent une forte pression pour les forcer à s’écarter au maximum, exposant ainsi encore plus mon sexe au frottement du sien, toujours au repos. Ayant bien immobilisé le haut de mon corps, il commença à balancer de légers coups de bassin pour accentuer le contact  entre son corps et le mien, dont l’érection durcit encore…

 

Tels des boas, ses bras resserraient progressivement leur étreinte autour de mon torse, m’emprisonnant à hauteur d’épaule, ne me laissant plus écarter les bras pour me libérer. Cette situation m’excita au plus haut point, j’eus beaucoup de mal à contrôler ma queue grossissant de plus en plus au contact de ce sexe lourd et mou qui se frottait contre le mien. Une petite partie de mon cerveau espérait qu’avec le frottement de sa queue contre la mienne, il allait commencer enfin à réagir. D’ailleurs ne sentis-je pas une légère contraction de son bas-ventre contre moi ? Pilonnant toujours de ses reins et de son sexe ma queue en érection, il commença à y éprouver un léger plaisir. Sa queue ayant ressenti une certaine excitation commença à se déployer contre mon corps, sans qu’il ne puisse rien y faire.

 

Voulant à tout prix me libérer, je décollai légèrement mon bassin du sien, glissai mon avant-bras droit entre nos deux corps et ma main ferme se referma sur  les testicules de mon tortionnaire. Et je serrai… Sentant une douleur aigüe partir de son bas-ventre pour monter jusqu’à son plexus solaire, il poussa un gémissement plaintif. Lui malaxant douloureusement les couilles, son sexe continua à maintenir son début d’érection. Il força sur ses bras en resserrant son étreinte d’un cran mais aussitôt je le remis à l’ordre par une pression encore plus forte contre ses boules.

 

 - Desserre tes bras ou je te broie les couilles !

 

L’étreinte se desserra, je me dégageai doucement, ses couilles toujours écrasées par ma main droite. Ses jambes se dénouèrent des miennes, il se redressa pour se mettre à genoux entre mes cuisses ouvertes et me regarda. Une grimace déformait ses traits, une légère sueur recouvrant son corps et le volume de ses muscles contractés brillait sous sa peau. Son sexe n’était plus exactement au repos, une légère érection était visible. De mon côté, sentant le combat basculer, ma verge se gonfla encore un peu avec ce changement de situation. Je me redressai en le forçant à me suivre, au moindre mouvement suspect mes doigts pressaient douloureusement ses noisettes. Une fois debout, je resserrai mes doigts une dernière fois en m’écartant rapidement de lui. Épuisé par tant de douleur et finissant de se relever, il eut juste le temps de voir ma jambe le faucher à nouveau et il s’écrasa au sol. Il se redressa encore une fois, les yeux fous de colère et de douleur, se rua sur moi mais encore une fois je l’envoyai au sol et cette fois-ci il chuta lourdement sur le ventre.

Dans un grand cri rauque, le corps bandé, je plongeai sur ma proie, mon bras droit glissa sous son cou et se mit en position d’étranglement tandis que ma main gauche força le chemin sous son bassin afin de reprendre possession des bijoux de familles encore endoloris. Mon sexe érigé écrasé entre deux lobes bien bombés…

- Alors le rebeu, tu ne fais plus le malin maintenant !

 

Malgré la douleur qu’il devait ressentir au niveau de ses testicules, son sexe devenait de plus en plus dur et quelques gouttes de liquide séminal se collèrent à mon avant-bras.

 

- Je te lâche et on continue à se battre au sol à la loyale. Vu ton état je te propose que le premier à juter perd le combat

- Comme tu veux, mais tu vas cracher le premier, fais confiance à Hakim, je vais te faire mouiller comme une gonzesse.

Je le lâchai et on se retrouva à genoux l’un en face de l’autre, nos deux queues bandées pointant à l’horizontale. Dans un même élan, avec les dernières forces qui nous restaient nos deux torses se plaquèrent et nos deux bras s’enroulèrent autour de nos deux corps réunis dans une étreinte sauvage. Mes mains croisées dans son dos, mon torse poussant le sien, j’essayai de le faire plier en arrière. Tels deux glaives, nos deux sexes bandés collés l’un à l’autre s’affrontaient. Le liquide séminal de la queue de l’arabe suintait de son méat et se répandait sur ma tige, la lubrifiant et rendant les frottements encore plus délicieux. Je ne fus pas insensible aux pectoraux puissants qui se frottaient sans relâche aux miens, à ses bras massifs qui m’étreignaient le torse, plus pour m’exciter désormais que pour me couper le souffle. Et dans un dernier sursaut d’orgueil, je donnai une dernière impulsion à mon corps contre le sien.

Lorsque je sentis son corps partir en arrière, je me laissai aller contre lui. Pendant le temps que dura la chute, une multitude de sensations m’emplit la tête. Lors de la chute j’avais bien senti nos deux sexes gonflés et durcis par l’envie se presser l’un contre l’autre. Allais-je réussir à ne pas me laisser envahir par cette envie dévastatrice qui m’enflammait les sens ?

En m’écrasant contre son corps, je sentis aussitôt qu’il était dans le même état que moi. Sa queue était dure au contact de la mienne. Large et longue elle dominait la mienne et une couche de liquide séminal coulant de son gland me lubrifiait délicieusement la tige. Je ne pus m’empêcher de laisser s’échapper un filet de liqueur de ma queue rigide en sentant le massage terriblement excitant que me prodiguait celle du rebeu. Le massage divin provenant du frottement langoureux de ce totem en bois bandé contre mon sexe dressé menaçait de faire monter mon taux de testostérone de jeune mâle en rut plus haut que jamais.

Il ne se privait pas d’onduler son corps sous le mien afin d’essayer de  m’emmener vers l’extase, sa propre excitation continuait d’augmenter au fur et à mesure que la pression entre nos deux mâts de chair bouillonnants devenait incontrôlable. Le précum qui s’échappait de sa queue témoignait d’une irrépressible envie de plaisir sexuel. Mon corps écrasé contre le sien, le frottement de nos peaux moites étaient en train de le faire dériver vers la berge d’un torrent qu’il n’avait encore jamais franchi. 

 

Je sentis les pulsations de ma verge s’affoler tandis que mes testicules s’écrasaient contre celles de Hakim. Il fallait réagir, le feu qui me brûlait le bas-ventre allait déferler comme le geyser d’un volcan. En écartant les cuisses,  je me décollai légèrement du corps de mon « amant » en rajustant ma position plus en hauteur. Le sexe tendu d’Hakim, privé de contact, se redressa et s’engouffra entre mes cuisses douces et fermes.

 

 

Sa queue se retrouva prise dans un fourreau humide et chaud. J’ondulai sur lui de manière à  créer un va-et-vient le long de sa verge tendue. Mon mouvement s’accéléra pour redevenir d’une lenteur infinie. Cette sensation torturante de sentir son sexe happé par un frottement de soie était amplifiée par le précum abondant coulant de son gland-

 

Son membre coulissant sous le rythme de mon bassin terminait sa course le long de mon pli fessier. Je sentais à chaque fin de mouvement son gland dur et humide venir cogner contre mon anus. Emporté par le plaisir, mon sexe se mit à suinter de plus belle. Un plaisir inavoué lui lubrifia la verge. Nos yeux se regardèrent, d’abord indécis, puis sans réflexion commune, sa bouche se rua sur la mienne. J’écartai les lèvres et un déferlement de langue et de salive se transvasa d’une bouche à l’autre. Nos langues se mêlaient sauvagement, le combat se poursuivit dans nos bouches, mais un combat centré désormais sur le plaisir. 

Tout en poursuivant le baiser, Hakim se redressa lentement, jusqu’à ce qu’on se trouve presque assis. Son sexe fut finalement libéré dans ce mouvement, mais il comptait bien le réutiliser rapidement. Mobilisant ses dernières forces, Hakim se saisit de mon torse et me souleva des 30 centimètres nécessaires pour que sa bite puisse se dresser à l’horizontale contre mon fessier, le gland suintant de mouille pointa vers mon anus.

 

Décollant finalement ses lèvres, Hakim se mit à me fixer, le regard mi-apeuré, mi-excité par la situation, mais ne tenta pas vraiment d'échapper à cette envie qui lui martelait les sens.  Il  y vit une invitation à pousser son avantage, et utilisa sa force pour m’empaler littéralement sur son membre érigé. D'abord réticent en me faisant imposer le mouvement par Hakim, je me mis bientôt à participer pleinement, et mes premiers gémissements témoignèrent de l'effet que le glaive de mon basané produisait déjà dans mes entrailles. 

 

Le cognement de son pubis contre mon anus, à chaque coup de boutoir qu’il me donnait, me remplit de bonheur, mon sexe de plus en plus tendu se pressait et glissait contre les monstrueux abdos d’Hakim. Mon méat délivrait un torrent de mouille qui enduisit ma hampe sur toute sa longueur tout en poissant délicieusement le ventre de l’arabe. Mais c’était sans compter sur la puissance de ce gland qui s’enfonçait en moi pour mieux en ressortir et qui y déposait à chaque poussée, une trainée de mouille qui reliait mon orifice affamé à ce membre suintant avec un long fil épais et transparent de liquide séminal.

J’étais tout près d’une défaite cuisante tant ces plaisirs nouveaux ressentis dans tout mon être me mettaient dans un état de pure jouissance. Le sang pulsait en de furieux battements à l’intérieur de ma tige et mon anus lubrifié par tant de liqueur frémissait voracement à chaque coup de bélier. 

Je  l’étreignis avec une passion dévorante et de nombreux gémissements lui enchantaient les oreilles. Incroyablement mon sexe se gonfla encore plus, d’autres gémissements se firent entendre. Le plaisir d’Hakim était entier, sentir mes parois très étroites lui masser sa tige sur toute sa longueur le laissait dans un délire sexuel indescriptible.

 

Pris dans un délire de sensations chaudes et humides qui lui engloutissait la queue, il accéléra le mouvement et son sexe prit possession de ce fourreau doux comme de la soie et si magnifiquement étroit. Jamais son envie de jouir n’avait été si forte et il commença à gémir puissamment. 

Mes muqueuses enveloppant ce sexe indomptable s’électrifiaient et de petits frissons de plaisir remontèrent de mon bas-ventre. Mon corps soulevé par ses mains puissantes se relâcha pour mieux sentir cette pénétration. Sa queue se retira complètement de mon trou, un terrible manque me vrilla les entrailles. Le mouvement s’inversa et son gland perfora à nouveau mon anneau de chair pour s’enfoncer jusqu’à la garde. Cette fois mes gémissements se muèrent en cris de plaisir, mon sexe se redressa d’un coup. Participant activement au travail passionné d’Hakim, je resserrai légèrement mon anus pour mieux sentir le relief de cette dague titanesque qui me fouillait le ventre. Mon arabe sentait sa résistance s’affaiblir de plus en plus, les sensations autour de sa bite étaient trop divines. Un flot ininterrompu de jute annonciateur d’une jouissance imminente, inondait mon canal vorace. Nous rapprochâmes nos visages et nos lèvres se soudèrent  à nouveau, pendant que nos cris de plaisir s’étouffaient à l’intérieur de nos bouches. Nos testicules gonflées  se contractèrent pendant qu’un geyser bouillonnant remontait dangereusement de nos bites.

 

Au bout de quelques minutes, une légère inquiétude scintilla dans les yeux d’Hakim. Le baiser s’éternisait et lui affolait les sens. Les va-et-vient incessants qu’il m’imposait à grands coups de bassin devenaient à chaque fois plus effrénés. Nos bouches soudées assourdissaient les gémissements passionnés pendant que nos langues se livraient un duel chaud et humide. Mes quadriceps me brûlaient tant mes cuisses montaient et descendaient pour s’empaler le plus loin possible sur ce mât brûlant. Mon anus serrait et desserrait en rythme ce sexe qu’il tenait étroitement prisonnier, et qu’il astiquait habilement, en faisant varier les angles et la profondeur de la pénétration.

 

Hakim, dominé jusque dans le baiser que je lui imposais toujours, sa langue même semblait battre en retraite sous mes assauts buccaux vigoureux. Il fut trahi par ce sexe en qui il avait une confiance absolue, Il perdit le contrôle de son corps musculeux qui se tendit comme un arc. Les contractions montèrent de ses couilles, envahirent son bas ventre, et je sentis son jus remplir mon rectum. Sans pitié, je continuai mes mouvements de va-et-vient sur son gland devenu hypersensible pour traire l’arabe jusqu’à la dernière goutte. J’arrêtai la torture que je lui infligeais que lorsque son membre massif finit par ramollir pour s’échapper de mes entrailles. Relâchant le baiser que j’avais maintenu jusqu’au bout, je me relevai, contemplant mon Hakim déchu, la bite molle, et me branlai quelques secondes. Ce temps suffit pour que ma queue qui n’attendait que cet ordre, lâche des puissants jets de foutre que j’orientai vers son visage.

 

- Si tu veux on fait la revanche chez moi

 

Sans répondre, Hakim laissa ses lèvres s’écarter en un magnifique sourire.

 

 

 

   

 

    

 

That’s it cunt boy take my cock

 

 

illustrations en images à la libre initiative de claudio...enjoy !

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 29 juin 6 29 /06 /Juin 06:09

     

 

Au Sénégal je travaillais au sein d'une organisation humanitaire. Je vivais dans un village où j'ai vite rencontré des jeunes noirs sympas avec qui on discutait en grignotant.

Un soir, en fin de soirée, je me suis retrouvé seul avec mon voisin, un des garçons, et il a commencé à me parler de femmes.  Jelui dis que les femmes ne m'intéressaient pas, il avait dû en déduire que j'étais gay car il commença à se rapprocher de moi et à me toucher. Je ne savais plus quoi faire et je bandais gravement. Il s'en rendit compte et m'embrassa. Il avait peur des voisins et me proposa d'aller nous promener.

Il m'emmena dans une maison en construction, on se trouva une pièce et il commença à m'embrasser et à me déssaper. J'en fis de même et nous nous sommes retrouvés rapidement à poil. Il voulait me prendre comme cela mais je lui dis que d'une part j'avais peur de son sexe car il était balaise et que je voulais mettre une capote et que j'en avais pas. Il sortit une capote et se la mit et me dit que pour éviter la douleur, il suffisait d'aller doucement.

Je n'avais pas fait l'amour depuis trois mois et il fit cela avec une douceur qui me ravit. Ce fut formidable et il me prit pendant un bon quart d'heure avant de se retirer et de me branler pour que l'on jouisse ensemble. Ce fut génial, et cela put se reproduire de temps à autre.

Mais j'étais à l'époque de mes 25 ans, un âge où le corps est affamé et j'ai eu d'autres aventures. Comme je n'avais pas de voiture et devais me déplacer en taxi collectif j'avais des occasions de faire des connaissances. Une fin d'après-midi que j'étais à la gare routière de Dakar, le temps menaçant a laissé place à un orage violent. Des pluies diluviennes se sont abattues sur la ville. J'étais trempé quand j'ai pris un taxi de passage presque complet.

Il ne restait qu'une place libre au fond, à côté d'un jeune noir très mignon. Il n'a pas particulièrement apprécié que je me sois assis près de lui car j'étais aussi mouillé que si je sortais tout habillé du bain... En plus, je transportais avec moi un énorme poste radio-cassette qui était fort encombrant. On a quand même fini par discuter. J'ai appris qu'il s'appelait René, qu’il avait 18 ans et qu'il était étudiant. Il baillait fréquemment, découvrant de belles dents blanches.

— Fatigué?

— Oui, je n'ai pas beaucoup dormi cette nuit...

— Pourquoi?

— J'étais avec un ami...

— Et qu'est-ce que t'a fait avec ton ami pour que tu t’endormes ainsi?

Le jeune homme sourit et plaça son index sur sa bouche, des oreilles indiscrètes pouvaient nous entendre. La conversation et surtout la simplicité de mon voisin m'avaient beaucoup excité.

— On reparlera de tout ça à destination? lui dis-je.

Il me fit un signe qui voulait dire qu'il n'en savait rien. Alors j'ai joué le tout pour le tout! En tournant la tête, absolument stupéfait, le jeune homme a découvert ma queue toute raide, hardiment sortie de mon jean mouillé. Protégé par le poste radio-cassette, j'exhibais même les couilles. Le chauffeur qui lançait un oeil dans le rétroviseur ne pouvait rien voir, non plus que les autres occupants. Le poste radio-cassette nous protégeait des regards. Je fis comprendre à mon voisin qu'il pouvait me caresser. Il ne s'en est pas privé, semblant même heureux de le faire. Il me dit en pouffant de rire:

— C’est assez rare pour un blanc d’avoir une si grosse queue

— Elle te plaît alors? Tu pourras en faire ce que tu veux.

Arrivés à destination, très amusé par mon audace, il m'a proposé de poursuivre notre "conversation" quelque part. Il connaissait un petit hôtel qui louait des chambres à proximité. Ce n'était pas cher. Certes, l'endroit était miteux mais ça m'a plu. À peine entrés dans la pièce, il s'est déshabillé très vite. Il avait un corps parfait, mince et musclé, un petit cul à tomber assis et quand il a baissé son slip, j’ai découvert une queue de rêve, bien longue, au moins 25cm et bien grosse lui qui était à peine adulte. Moi qui avant cela me croyais un étalon avec mon 19cm.

Il s’est assis sur le lit et tout en se branlant, il me dit de me déshabiller. Alors que je m’exécutais, il ne cessait pas de me regarder en passant sa langue sur ses lèvres et gémissait doucement. Cela m’excitait terriblement. Une fois nu, il me fit signe de venir le rejoindre sur le lit. Allongés côte à côte, il m’a léché les mamelons qui durcirent tout en caressant mes couilles avec ses doigts. Lentement, il fit glisser sa langue sur mon torse en descendant doucement vers mon bas-ventre. Ouvrant grand la bouche, il y engloutit une bonne partie de ma queue pour me sucer. Ce ne devait pas être sa première pipe car il pompait savamment. Il m'a longuement sucé, gobant mes couilles à plusieurs reprises. Par moments, j'ai dû lui demander d'arrêter tant je craignais d'éjaculer trop vite.

Voulant goûter sa queue moi aussi, je le fis se retourner et commençai à le sucer. Excité par son cul, j'ai passé un doigt dans son anus avec beaucoup de douceur, le plus doucement que j'en étais capable, prenant tout mon temps. M’apercevant qu’il adorait ça, j’y introduit un deuxième puis un troisième. Son anus était bien mouillé et mes doigts s’y glissaient facilement. L’entendant gémir fortement, je lui dis:

— Tu aimes ça hein, te faire fouiller le cul?

— J’aimerais encore plus ça si c'était ta grosse queue qui me le défonçait.

René avait des préservatifs sur lui. Il m'en a enfilé un avec un grand réservoir tout en léchant mes couilles et puis s'est laissé pénétrer sans problème. À chaque va-et-vient, il poussait une espèce de sifflement-soupir qui me rendait dingue. Je l'aidais avec plaisir à prendre son plaisir, en haletant moi aussi comme un fou. J’adorais sentir ma queue entrer et sortir de son cul bien humide. J'appréciais aussi sa maîtrise. À chaque fois que je me trouvais au bord de l'éjaculation, il savait me calmer, je ne sais comment.

Et puis, il changeait de position et c'était reparti. Le jeune homme était vraiment un virtuose de l'amour comme, à mon avis, seuls les Africains peuvent l'être. J'ai toujours pensé que les noirs étaient doués pour le cul parce qu'ils s'y mettent tôt, s'entraînent beaucoup et ont le sang chaud, mais pour son âge, il battait bien des hommes plus vieux que lui

J'ai fini par gicler quand même, par salves, avec de divins gonflements dans la queue à chaque passage du sperme. Je suis resté à l'intérieur de son cul. Mon partenaire contractait son anus pour continuer à sentir la présence de mon membre. Enfin, celui-ci éjacula à son tours.  René a retiré le préservatif qui menaçait de couler sur le couvre-lit et le mit dans la corbeille à papier que j'eus la surprise de voir à moitié remplie d'autres capotes usagées, mêlées à des mouchoirs de papier chiffonnés. Il entreprit de me nettoyer le sexe avec sa langue. Ça me procurait un plaisir indéfinissable d'être lavé aussi simplement que ça. Puis, surpris, après un moment, je me suis remis à bander tout doucement.

Le jeune coquin semblait moins étonné que moi. Nous sommes retournés vers le lit, et là il prit l'initiative de s'asseoir à califourchon sur ma queue bien droite, si dure déjà, habillée d'un préservatif tout neuf. Je me suis mis à faire des mouvements de haut en bas lentement, puis plus rapidement. Le jeune homme avait rejeté la tête en arrière et soupirait à n'en plus pouvoir. J'étais très fier du plaisir que je lui donnais. Surtout que cette seconde fois, je sentais que je mettrais davantage de temps pour jouir. Mais quand j'ai déclenché, ce fut vraiment extraordinaire parce que René s'est violemment agité en poussant des cris vraiment peu discrets, très explicites de nos ébats amoureux. Quand il éjacula de nouveau et s’est calmé, il m'a contemplé en souriant.

Comme il était beau. Je crois que j'aurais pu continuer à lui faire l'amour toute la nuit mais il devait rentrer chez sa famille. Rapidement, nous nous sommes lavés et rhabillés. On s'est quittés en échangeant nos coordonnées.

Je ne sais pas pourquoi je ne lui ai jamais téléphoné. Je ne sais pas pourquoi j'ai baisé qu’avec des blancs par la suite. Mais ce qui est sûr, c'est que ce jeune Sénégalais incarnera toujours ma plus grande jouissance à laquelle je me réfère en me branlant.

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 17 juin 1 17 /06 /Juin 14:29

àrevoir dans recits fictionsTHEME SM  (44)

LE PREMIER WEEK- END SCATO SM et la 

première journée de Sodome ! 

 

MAXIME & JULIEN 1 (SM & scato)

Depuis la visite de Julien "venu se faire enculer", j'ai des relations très suivies avec lui: il vient me voir chaque weekend, que nous passons nus et chauds. Un jour, Julien me propose:

— Gégé m'a indiqué un type qui organise des partouzes. Il lui a demandé de nous embaucher un prochain vendredi soir jusqu'au dimanche soir.

— Tu peux m'en dire un peu plus?

Il nous propose 1000 euros chacun si nous acceptons d'être totalement soumis aux désirs de ses "clients".

— C'est intéressant mais dangereux, non?

— C'est vrai que les acteurs risquent de ne pas être très doux avec nos corps mais je t'affirme qu'ils sont contrôlés médicalement: ils doivent produire un certificat récent pour démontrer leur séronégativité. Nous aussi d'ailleurs!

— Ce sera donc du bareback?

— Tout à fait!

— Pourquoi pas... puisqu'on aime ça!

— J'appelle ce type...

Il revient quelques instants plus tard...

— Voilà, c'est réglé; nous avons rendez-vous demain soir pour un premier contact.

— C'est un examen de passage?

— En quelque sorte; il doit vérifier certaines choses avant de nous mettre à la disposition de mecs très salauds.

Nous nous préparons méticuleusement afin de réussir cette première entrevue: chacun explore attentivement le corps de l'autre afin de découvrir et d'éradiquer le moindre poil disgracieux, le moindre petit bouton... Nous choisissons soigneusement nos vêtements, blancs immaculés bien sûr!

L'organisateur, qui ne nous avait jamais vus, est surpris:

— Putain! Que vous êtes beaux!!! Entrez, mes jolis que je vous examine de plus près!

Il nous fait enlever tous nos vêtements; nous nous allongeons sur une grande table et les parties importantes de nos anatomies sont systématiquement tripotées. Il remarque la bonne élasticité de nos sphincters et la bonne dimension de nos bites bien dures sous les caresses! Tout est inspecté, jusqu'à notre langue et nos dents.

— Physiquement, vous êtes parfaits; vous avez tout ce qu'il faut pour plaire; il reste à savoir quels obstacles pourraient se dresser devant les désirs souvent insensés de mes clients. Le prix qu'ils payent demande à fournir des prestations haut de gamme.

— Expliquez-vous!

— Pas de capote.

— OK, s'ils ne présentent aucun danger.

— Ce sera contrôlé. Ils sont uro et scato.

— On s'y fera!

— Ils aiment les petits culs très dilatés.

— Ils veulent nous fister?

— Peut-être...

Je regarde Julien qui me dit l'avoir déjà subi, que ça fait mal au début mais qu'ensuite une étrange sensation s'empare de ses entrailles... comme s'il jouissait du cul... et que son anus met peu de temps à retrouver sa forme initiale.

— Vous êtes jeunes! vos petits trous seront bien graissés et se refermeront facilement!

— Alors d'accord... s'ils font ça gentiment!

— Il reste certains détails à régler: vous serez enfermés, nus jusqu'à la fin du séjour. Vous subirez les assauts sexuels quand mes clients le voudront. Vous aurez le devoir de tout nettoyer après chaque orgie. Vous aurez une douche à votre disposition. Le frigo sera plein de bière et de biscuits secs; ce seront vos seules nourritures... en dehors des émissions éventuelles dans vos jolies bouches... Vous aurez un grand lit sur lequel vous aurez le droit de vous reposer... quand vous le pourrez! Les clients disposeront de poppers pour vous maintenir en pleine forme.

— En somme, nous serons des lopes esclaves!

— Exactement... mais vous aimez ça!

— Oui!

— Oui!

La date du séjour est fixée et nous attendons ce jour avec impatience mais aussi quelques craintes!

— Tu crois qu'on a bien fait d'accepter ça?

— Une belle petite somme d'argent; ça vaut le coup!

— Oui, mais s'ils nous estropient?

— Ils vont nous sucer, nous enculer, nous attacher, nous faire pisser,

 nous faire chier...

— Nous faire chier, tu l'as dit!

— La merde ça ne me gêne que par son odeur mais si nous avons fait un bon lavement, nous n'aurons à chier que des biscuits secs; tu sais, comme dans les "120 journées de Sodome", la merde est claire et peu odorante.  

— Pourvu que cela ne se termine pas comme dans ce bouquin de Sade!

— T'inquiète pas; ces homos sont quand même des gens civilisés; si tu les rencontres dans la rue ou dans leurs activités professionnelles, tu ne les imagines pas nus en train de soumettre de jeunes hommes aux pires tourments sexuels.

— C'est bien ce qui me fait peur!

— On saura se défendre si on sent que cela va trop loin!

— Mais on sera pieds et poings liés!

— Oui, mais quel intérêt présenterait une séance SM si on était sûr de ne rien risquer ?  C'est déjà le point le plus important : n'oublie pas qu'ils auront laissé un certificat médical à leur nom. Ils ne se risqueraient pas à dépasser les limites!

Me voilà rassuré; mais ce Julien, quel tempérament sexuel!!! Il a tout vu, tout connu avant moi...et il veut qu'on en apprenne encore !

Le jour fatidique est arrivé! nous nous présentons sur le lieu de nos futurs ébats: l'organisateur nous intime l'ordre de nous foutre à poil et de déposer nos vêtements dans une corbeille devant l'entrée de la salle de jouissances.

— Vous les retrouverez dimanche soir!

Nous pénétrons, nus, dans une salle sombre: elle n'a qu'une petite lucarne munie de gros barreaux. Deux slings pendent au milieu de la pièce. 

HUMMMMH ! place à notre imagination ! et ...savoir ce qu'on va nous faire  ?

 Toutes sortes d'instruments sont accrochés au mur ou posés sur un établi. Du matériel de nettoyage, des chiottes, une cabine de douche, un frigo, une grande table en bois épais et un grand lit couvert d'une alaise en plastique complètent l'ameublement.

— Je dois vérifier l'état de vos jolis culs: posez vos poitrines sur la table et écartez bien les jambes.

Une giclée de produit lubrifiant nous refroidit l'anus et les doigts du mec entrent profondément pour inspecter la propreté de nos intérieurs. Que j'aime me faire fouiller le cul!!!

— Parfait, les petits, vous voilà prêts. Prenez connaissance des lieux et des instruments. Bientôt, on va s'occuper de vos corps!

Nous sommes seuls dans cet antre un peu sinistre. Nous nous étreignons en pensant que nous ne pourrions guère le faire pendant ces deux nuits et deux jours.

Le soir tombe. Nous sommes nus dans l'attente d'invités avides de nos corps. Une lumière orangée éclaire nos jolies peaux dorées et sans poil; même nos pubis sont rasés; ainsi nos suceurs n'auront pas de "cheveux sur la langue". Une forte odeur de camphre titille nos narines: elle provient d'un gros flacon de poppers prêt à encourager nos ébats. Des poutres, des rails, des chaînes garnissent le plafond. Des godes dont un à prépuce et à couilles, des plugs, des spéculums, des écarteurs, des laisses, des cordes; un double dong, des pots de graisse, un baillon en cercle, des martinets, des sondes urinaires, des boules anales garnissent les rayons du mur, des gamelles pour chiens... de quoi nous faire frémir... et bander!

Un magnifique bouquet d'orties trône au milieu de la grande table... brrrrr! On a encore le temps de jouer avec les deux slings qui pendent du plafond et qu'on peut placer côte à côte ou face à face selon les exercices imposés...

Un haut parleur nous fait sursauter:

— Vos deux premiers invités arrivent; Allez ! à genoux devant la porte, mains dans le dos et bouches grandes ouvertes!!!

Nous obéissons immédiatement; nos coeurs battent très fort; notre soumission commence.

Deux mecs se présentent: chacun se dirige vers une bouche accueillante; ils sont nus et je n'ai d'yeux que pour leurs paquets volumineux! Soudain le type qui s'approche de moi m'attrape par les cheveux et me tire la tête en arrière:

— Maxime!

Je vois son visage et je suis stupéfait de reconnaître mon prof de gym des années collège!

— Monsieur Lepage!

— Si je m'attendais à voir, dans de telles conditions, l'élève qui m'a tant fait envie!

Je me souviens en effet que ce prof, bel homme d'ailleurs, avait les mains baladeuses; il aimait beaucoup s'occuper de moi... et de très près... chaque fois qu'il fallait assurer une parade ou m'apprendre une position!

— Quel bonheur! Je vais pouvoir faire tout ce que je veux de toi! Enfin!!! Tu m'as trop fait bander et j'ai vidé des litres de foutre en pensant à toi!

Il approche son paquet de ma bouche et j'avale une magnifique bite encore toute molle. J'ai le nez dans ses poils et je suce de toutes mes forces un morceau de choix à la peau fine et gluante de ma salive. Je sens, avec délices, le morceau de chair grossir, durcir, s'allonger. Lepage maintient sa bite en entier dans ma bouche en appuyant fortement ma tête contre son bas-ventre. Sa queue s'enfonce profondément dans ma gorge; je déglutis pour ne pas dégueuler. Cette fois, elle est parfaitement raide.

— En avant pour venger ma privation! Mets-toi debout que je te regarde!

Lepage m'examine de la tête aux pieds, avec un bon malaxage de mes couilles et une grande claque sur les fesses.

— Tu es toujours magnifique! Et cette fois, je vois tout!

— Tout ce que vous voulez, Maître!

— On va commencer par un peu de gymnastique; cela me rappellera de bons moments... jamais entièrement satisfaits!

Je jette un oeil à Julien qui, après avoir fait bander son partenaire, se trouve déjà sur un sling. Le type lui attache la bite et les couilles et commence à explorer son petit cul avec un écarteur...

— Tu t'allonges à terre et tu pédales en l'air avec beaucoup d'amplitude.

J'ai le souvenir de cette forme d'abdos, mais cette fois je ne cache rien! Lepage pose son pied sur mon bas-ventre et presse fortement ma bite et mes couilles; j'ai un peu mal mais c'est bon quand même!

— Maintenant tu vas faire des pompes. Attention; tu ne triches pas sinon, gare à la punition!

Il se couche au sol sur le dos et je dois me placer au-dessus de lui.

— Tu tires la langue et tu descends jusqu'à ce qu'elle touche la mienne... pas plus bas!

J'exécute et je prends un plaisir énorme à ce contact d'autant qu'en même temps, ma bite vient effleurer la sienne!

— Mets beaucoup de salive sur le bout de ta langue!

Ma salive s'écoule sur sa langue gourmande et ma queue s'allonge d'avantage. Après une vingtaine de pompes, je commence à fatiguer et je finis par m'effondrer de tout mon long sur ce corps viril.

— Tu dois être puni! À quatre pattes que je te fouette!

Les coups de martinet tombent sur mon cul; j'adore ça même quand certains coups sont plutôt orientés entre mes cuisses; les lanières atteignent mes couilles et me causent de drôles de douleurs.

— Aie! Aie!

J'entends en même temps Julien qui hurle; j'ai le temps de voir son bourreau lui enfoncer un énorme gode dans le derrière.

— Tu feras attention car la prochaine punition sera encore plus terrible!

— Je vous le promets, Maître!

— Tu vas faire un magnifique poirier.

Je sais faire ce mouvement, c'est Lepage qui me l'a appris; je me rappelle qu'il passait beaucoup de temps au-dessus de moi surtout quand il fallait écarter les jambes à l'horizontale! Le salaud, il louchait sur les éventurelles ouvertures de mon slip! Là, il a une vue complète.

— Écarte au maximum!

Aussitôt il se met à me bouffer tout le paquet puis à me lécher l'anus bien offert. Je ne tiens pas longtemps et je m'écroule!

— Je ne t'ai pas dit d'arrêter la position! Recommence!

Je ressens alors une violente brûlure au bas-ventre. Le salaud s'est amusé à me passer des orties sur les couilles et la bite! C'est dur à supporter mais l'excitation est renforcée! Il me frotte vigoureusement; ça me soulage mais il n'y va pas de main morte et j'ai les couilles meurtries.

— Maintenant, voyons ce trou!

    Il me place sur l'autre sling, à côté de Julien qui me fait un clin d'oeil pour me rassurer. L'autre est en train de l'enculer! Je présente ainsi la totalité de la raie de mon cul. Il n'attend pas; il n'en peut plus; il faut qu'il jouisse et dans un cul comme le mien, ça vaut le coup!

Le fameux bout que j'ai fait durcir dans ma bouche pénètre violemment; cela m'arrache un cri vite réprimé quand toute la longueur y est passée et quand les va-et-vient ont commencé. Que j'ai aimé cette introduction et la possession de mes entrailles par un aussi gros noeud! Lepage a en même temps la délicatesse de m'empoigner la bite et de la branler avec force. Je gicle mon foutre avant lui; il en profite pour lécher les nombreuses gouttes qui s'étalent sur mon ventre. Cela finit par un râle très long:

— Ouiiii! Oui!!! Oui!!! Maxime!!! Enfin je t'ai!!!

Il décule aussitôt et me promet de me revoir demain.

— Ce sera différent, joli petit esclave!

Julien a fini aussi avec son enculeur!

Nous buvons beaucoup de bière et croquons des biscuits... en attendant les clients suivants...

JULIEN  2

_ Nous nous remettons de nos émotions.

— Alors Julien, comment vas-tu?

— Oh Maxime! Je pense que ça commence pas mal. J'en ai pris plein le cul et je n'ai presque pas senti la bite du mec tant il m'avait dilaté avec son énorme gode... Je suis prêt pour un bon fist... regarde!

— Ton petit trou est déjà bien refermé; pour le fist tu attendras un peu!

— Et toi?

— La surprise passée, j'ai beaucoup apprécié ce Lepage... surtout les pompes par dessus lui! Même les coups de martinet et les orties m'ont vraiment excité. Incroyable, cette onde brûlante qui m'a parcouru la bite et les couilles! Elles ne sont pas trop rouges?

— Parfaitement roses; prêtes à l'emploi!

Nous avons juste le temps de nettoyer l'écarteur et le gode que le haut-parleur annonce une nouvelle arrivée:

— En place! Les coudes sur la table! Les jambes très écartées et le cul bien cambré!

Nous nous positionnons de façon à offrir la plus jolie vue possible de notre petit derrière et de sa raie. Deux types entrent; comme les précédents, ils sont entièrement nus...

— Regarde ces beaux culs! On en a pour notre argent!

— T'as vu ces jolis trous bien roses?

— Et les beaux bonbons qui pendent?

— Deux jolis mâles avec une peau de jeune garçon!

— C'est vrai! Ils n'ont pas un seul poil! Même sur les cuisses! Qu'est-ce qu'on va se mettre!

— Allez mes jolis; écartez bien qu'on vienne s'y frotter!

Je sens un paquet bien chaud et volumineux; la bite du mec commence à prendre de l'ampleur et se place tout au long de ma raie. Il attrape mes couilles qu'il presse avec les siennes toutes proches:

— Y'a du bon jus la dedans!

S'écartant légèrement, il enfonce un doigt dans mon anus puis, le retirant:

— Y'a du bon jus aussi la dedans! Ça va glisser tout seul!

L'autre type est déjà en train de bourrer le cul de Julien.

— Ça rentre comme dans du beurre!

Mon client n'attend pas plus pour m'enfoncer d'un seul coup un dard de belle taille; je le prends avec joie jusqu'au fond de mon cul.

 

— Eh! Michel, on va leur en foutre encore une bonne dose; ça aidera pour la suite!

Leurs ventres claquent sur nos fesses; leur rythme s'accélère. Mon enculeur m'empoigne violemment le paquet pendant qu'il jouit.

— Tiens prends ça, petit salaud!

— Ouille! Tu me fais mal!

— C'est rien à côté de ce qui t'attend!

J'entends mon voisin qui crie sa jouissance tandis que Julien accepte sans bruit le jet de jus lubrificateur.


Une pause bière et nous voici en place sur les slings. Les appareils de suspension sont placés de façon que nos culs soient bien en face l'un de l'autre.

— Tiens Patrick, commence à lui enfoncer ça!

Mon bourreau prend le fameux double gode, impressionnant surtout pour sa longueur (je dirais: 40cm). Je sens l'objet pénétrer profondément dans mon cul, jusqu'à ce qu'il m'arrache un cri de douleur en passant le premier virage de mes boyaux.

— Branche le dessus!

L'autre bout du gode entre dans le cul de Julien jusqu'à ce que nos deux culs se touchent. Julien n'a pas crié; il est résistant mon copain!

  

— Oh! que c'est bon! T'en as pas un autre un peu plus long?

— Tu vas moins rire tout à l'heure, petit con!

Ils se placent derrière nos têtes légèrement renversées vers l'arrière et fourrent leurs bites encore molles et couvertes de sperme dans nos bouches gourmandes. Chacun empoigne la bite de son esclave et crée en tirant et en poussant un mouvement de va-et-vient faisant sortir et entrer le gode qui nous envahit les entrailles: une super branlette! Tous nos trous sont occupés et nos bites sont agitées de belle façon...que demander de mieux? Nous nous accoutumons à la douleur sur cette balançoire originale; nos bites sont bien raides et celles de Patrick et Michel prennent une bonne consistance grâce à la chaleur de notre accueil buccal. Nos culs s'entrechoquent chaque fois que le gode est entièrement entré de chaque côté. Le supplice devient un véritable plaisir. Le double godage est de plus en plus violent mais on tient bon! Les deux sucés finissent par cracher leur foutre que nous avalons avec délectation:

— Humm!!! Quelle bonne giclée!

Je ne sais pas si Julien a joui mais je vais bientôt le savoir en examinant sa poitrine. Moi j'ai envoyé de beaux jets jusque sur mon menton. Le double gode est arraché de nos petits culs meurtris.

— Regarde! Ton môme a de la merde pas loin!

En effet, un bout est légèrement coloré.

— C'est normal, je n'ai pas chié ce matin; je suis constipé!

— Bravo! on va en profiter!

Nos anus sont très près l'un de l'autre.

— Pousse! Chie-lui dans le cul!

Julien fait de gros efforts pour évacuer un étron certainement de belle taille; je sens cette matière dure arriver et forcer mon trou. Incroyable et sublime! Je me fais enculer par la merde de mon copain! Les deux mecs aident à faciliter cette pénétration pour le moins insolite. L'étron est énorme; il dépasse les dimensions de pas mal d'enculeurs! Que Julien a dû souffrir pour chier ça! Des doigts puissants achèvent la pénétration.

— T'en as encore! dit l'un d'eux en fouillant l'anus largement ouvert de Julien.

— Il va chier ça dans la bouche de l'autre!

Mon sling fait un mouvement de 180° et ma bouche, maintenue de force grande ouverte, accueille un petit étron plutôt mou et très odorant!

— Respire une bonne rasade!

Patrick me passe sous le nez le flacon de poppers; je sursaute et le désagrément de la puanteur s'efface instantanément. Je suis prêt à tout!

— Mâche la merde de ton chéri!

Je mastique cette matière presque avec délice.

— Ouvre grand ta belle petite gueule!

J'avale la bite sans apréhension: il a vite fait de jouir, le salaud! Il donne alors sa queue à nettoyer à la langue de Julien qui vient de respirer une bonne quantité de poppers. Il n'hésite pas à lécher, le petit cochon! Michel en profite pour m'enculer et ainsi bourrer mes boyaux déjà fort occupés. J'attends la délivrance car là, je n'en peux plus: j'ai mal au ventre! Il jouit heureusement très vite et donne sa bite toute merdeuse à Julien qui s'en sert comme d'un bâton chocolaté.

Tout est dit! Nos foutreurs se douchent et nous quittent en nous remerciant pour notre docilité. Ils espèrent bien nous retrouver dans de telles conditions. Nous aussi; pourquoi pas?

Un bon lavement me libère de la merde de Juju et des spermes de Lepage et de Michel; deux gargarismes à la bière nous enlèvent le goût plutôt amer de cette merde. Enfin une bonne douche efface les traces de cette soirée. La douche se fait sans savon "pour que votre peau conserve son odeur et son goût naturels".

Il est trois heures du matin; personne n'est attendu cette nuit. Il nous faut reprendre des forces pour affronter les épreuves du lendemain. D'autres invités, aux goûts variés, vont prendre possession de nos corps. Je crois même que Lepage va revenir plus vite que prévu...

Julien s'endort dans mes bras et je le rejoins bien vite dans le repos absolu.

 à suivre ...

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 15 juin 6 15 /06 /Juin 05:35

à lire ou relire dans RECITS FICTIONS (42)

c'est ma vie... 

Introduction...lol ! n'allez pas vous plaindre : c'est une LONGUE introduction ! le récit suit.

C'estmoi, Maxime ! Je me remets de mes émotions chez Gérard; mon anus retrouve des dimensions plus raisonnables et mes couilles se rechargent. Il fait un soleil magnifique et je me prélasse, nu, comme d'habitude, sur ma pelouse au bord du lac.

Soudain j'entends la cloche de la porte de d'entrée! J'enfile un caleçon et je vais voir qui ose m'importuner pendant cette période de repos. Quel bonheur de voir que c'est Julien!

— Salut Maxime!

— Quelle bonne surprise! lui répondis-je.

— Je viens me faire enculer.

— Après tout ce qu'on a fait cette nuit, tu en veux encore?

— Justement, on a tout fait sauf ça!

— C'est vrai! Je ne t'ai pas enculé! Entre, beau gosse!

Malgré cette période de récupération, je ne vais certainement pas faire la fine bouche. Julien est un merveilleux garçon; vicieux certes, mais si tendre, si bien foutu, si entreprenant!

Une fois la porte fermée, notre étreinte est puissante. Nos lèvres se joignent, nos langues s'enlacent, nos mains partent en exploration. Celles de Julien n'ont aucun mal à investir l'intérieur de mon caleçon tandis que les miennes doivent d'abord ouvrir la braguette et écarter la ceinture du slip. Elles parcourent nos parties les plus sensibles et ont le plus grand effet sur nos bites. Je n'oublie pas de m'intéresser à la raie de son joli cul et je n'hésite pas à lui fourrer un doigt puis deux... à sec!

— Oui! Vas-y! Fort! Plus fort!

— Tu en veux? Tu auras bientôt 18cm de chair dure et chaude dans ton antre!

Il est vite à poil et mon caleçon voltige sur le tapis de la chambre. Je mets Julien sur le ventre, lui soulève légèrement les hanches pour mieux faire pénétrer ma bite déjà baveuse dans sa rosette déjà ouverte. Je m'allonge entièrement sur lui et je l'encule de toutes mes forces. En même temps, j'arrive à glisser une main et à le tripoter entre son ventre et le matelas.

— C'est bon!

— Julien, je t'aime de toute la longueur de ma queue!

— Je jouis!

— Moi aussi! Prends tout ça mon chéri! Dans tes entrailles!

Après cette double extase et quelques instants d'immobilité, je tente de me retirer de ce cul si accueillant. Impossible! Julien retient ma bite en serrant bien fort son sphincter!

— Reste en moi! On va recommencer!

— Pas tout de suite!

— Ne bouge plus et attends qu'on ait encore envie...

— OK!

Je demeure collé à Julien et j'entreprends de rouler sur le lit tout en restant branché. Cette fois, je suis sur le dos et Julien est allongé sur mon côté face; sa bite devient toute molle et les traces de sperme rendent collant son ventre que je ne manque pas de caresser.

— Raconte-moi comment tu es devenu homo! lui demandais-je.

— Tu sais, Maxime, je crois que je suis né pédé! Dès que j'ai ressenti des choses bizarres au niveau de mon bas-ventre, je me suis mis à regarder les hommes... surtout leur braguette! J'étais fasciné par la grosseur des paquets cachés... J'ai d'ailleurs beaucoup fréquenté la piscine pour les voir en slip!

— Et alors?

— J'ai décidé de les provoquer en me baladant souvent la braguette ouverte!

— Qu'espérais-tu? Tous les hommes ne sont pas pédés!

— Oui mais il y en aurait bien un qui s'intéresserait!

— C'est sûr, mais tu savais qu'ils risquaient la prison si tu avais des rapports sexuels avec eux!

— Je n'y pensais pas!

— Alors?

— Un jour c'est un voisin qui m'a fait remarquer que ma braguette était déboutonnée; j'ai fait celui qui était surpris et j'ai vite refermé le pantalon. Le lendemain, même situation: le même voisin me demande si je le faisais exprès. J'ai osé lui répondre que ça devait lui plaire s'il regardait cet endroit-là; il a vite avoué que oui et m'a invité chez lui.

— Tu l'as suivi?

— Je le connaissais bien et j'avais trop envie!

— Qu'est-ce qui s'est passé?

— Il m'a fourré sa main dans la braguette et m'a tripoté. Il m'a déshabillé entièrement et, me laissant debout, les jambes écartées, il m'a léché ma bite raide, mes bonbons roses et la raie de mon cul.

— Tu as aimé?

— Tu parles! Surtout sa langue sur mon trou! C'était génial!

— Ensuite?

— Il m'a renversé sur son lit et m'a sucé, sucé, sucé... jusqu'à ce que je lui envoie mon jeune foutre dans la bouche.

— C'est tout?

— Non! j'avais très envie de voir une bite d'homme. Il l'a bien compris et je lui ai ouvert la braguette, j'ai saisi son gros morceau poilu et je l'ai branlé... J'ai eu droit à de beaux jets sur ma poitrine. Voilà le début de ma vie sexuelle!

— Il ne t'a pas enculé?

— Il m'a fait comprendre qu'il en avait envie et que ce ne serait pas plus difficile que de chier une grosse merde en période de constipation mais j'ai eu peur, étant donnée la taille de l'engin qu'il voulait m'enfoncer.

— Dis-donc, Julien, tu bandes!

— Toi aussi, je la sens bien!

— On y va?

— Oh oui!

Et l'enculage recommence; les râles de plaisir sont à leur paroxysme... heureusement les voisins sont loin!

— Tu reviendras Julien!

 

__________________________________________________

JULIEN VIOLé    

   

Je vois régulièrement Julien et c'est toujours l'occasion de merveilleuses galipettes! Ce jeune garçon de dix-sept ans n'a vraiment pas froid aux yeux et sa grande beauté ajoute au désir qu'il inspire! Parfois, nous évoquons le passé; d'ailleurs celui de Julien est déjà fort chargé... depuis qu'il aguichait les hommes en se promenant la braguette ouverte! J'ai voulu savoir comment il a fait connaissance avec notre ami commun Gégé.

— C'était l'année dernière et ma rencontre avec Gégé fut le fait du hasard.

— Raconte!

— J'étais apprenti et mes parents m'avaient loué un studio pour être près de mon travail; ce fut formidable car je vivais en toute liberté... et j'ai su en profiter!

— Petit cochon! Tu pouvais draguer les mecs comme tu le voulais et tu n'avais pas de compte à rendre!

— Ce qui m'est arrivé un soir de juillet est plutôt terrible.

— Vas-y! Accouche!

— Je faisais régulièrement, le soir, un footing pour me détendre d'une dure journée de boulot. J'aimais toujours emprunter le même parcours: un chemin qui traversait le bois près du lac. J'en avais pour une bonne demie-heure. Il est vrai que je souhaitais y faire des rencontres... mais pas tout à fait comme celle que j'ai faite ce soir-là!

— Tu as vu le diable?

— Pire! Je m'étais arrêté pour pisser lorsqu'une main s'est posée sur ma bouche, une autre m'a empoigné la bite et d'autres mains m'ont immobilisé: "Tu fermes ta jolie petite gueule ou je t'arrache le zob!" J'ai eu peur, d'autant que je n'avais ni vu ni entendu quelqu'un. "Avance dans le bois et ne résiste pas!" me dit une voix rude et déterminée.   Deux types cagoulés m'ont poussé loin dans le bois en me tenant fermement par le short jusqu'à un gros tronc d'arbre allongé. Je me suis débattu comme un fou... rien à faire. Ils me tenaient trop fermement et me giflaient. "Tu peux gueuler maintenant! Personne ne t'entendra. Tu nous appartiens et tu vas payer cher ta beauté!"

— Ça sent le viol, ça!

— Je n'en menais pas large, tu sais! Les types m'ont arraché le short, le tee shirt et le slip. "Regarde comme il est joli! Je ne t'ai pas menti; c'est une sacrée affaire!" "Quel beau cul!" Ils m'ont forcé à m'allonger à plat-ventre en travers du tronc, jambes écartées, cul bien offert. Ils m'ont attaché les mains et les pieds; je ne pouvais pas me soustraire à leur lubricité. Leurs braguettes étaient ouvertes et deux grosses queues bien dures me passaient à tour de rôle sous le nez. "Lèche, petit salaud! Suce! Attention, je ne veux pas sentir tes dents!" Je crois que j'ai dû me crisper sur une bite qui allait trop loin dans ma gorge et j'ai reçu un grand coup de pied dans le cul. "Je t'ai prévenu! Laisse-toi faire sinon tu vas avoir très mal!" Ils m'ont donné de grosses claques sur les fesses; ils m'ont craché sur l'anus. "Voilà, le terrain est prêt! Fous-lui déjà tes doigts." J'ai senti des doigts me fouiller le rectum; ils ont aussi tripoté mes couilles qui étaient comprimées sous mes cuisses.

— La totale!

— J'ai senti un gland entrer dans mon trou bien malaxé; le corps de la bite m'a ensuite défoncé d'un seul coup; j'ai crié très fort tant ça m'a fait mal. "Ta gueule!" m'a dit mon enculeur pendant que je pompais l'autre avec l'ardeur exigée; il me tirait les cheveux pour bien me positionner la bouche sur son membre. L'enculeur a joui violemment et l'autre a vite pris la place dans mon trou bien chaud. L'introduction m'a fait souffrir mais j'ai vite compris qu'un doigt était enfoncé en même temps que sa bite. C'était une façon de se chatouiller dans mon cul! J'ai encore pris une autre dose de foutre et les deux violeurs, avant de remballer leurs instruments de torture, ont pissé en visant mon trou encore béant. Je sens encore ce liquide chaud qui rentre dans mon anus et qui dégouline dans la raie de mon cul, le long de mes cuisses et jusque dans mes chaussettes!

— Ils t'ont relâché?

— Foutre non! Ils sont partis en rigolant et en me laissant nu, lié et couvert de pisse! J'ai pensé que je pourrais peut-être les reconnaître car ils étaient au courant de mes habitudes sportives. J'ai décidé de ne rien dire, d'autant que j'ai bandé pendant le viol!

— Comment tu t'en es sorti?

— En me tortillant, j'ai réussi à défaire les liens de mes mains puis ceux des pieds. Je me suis essuyé avec mon tee shirt en lambeaux. Mon short était déchiré mais j'ai pu l'enfiler et le maintenir avec ce qui restait de mon slip: son élastique. J'avais piètre allure quand j'ai rejoint le chemin! Je me suis assis dans l'herbe et je me suis mis à pleurer.

— Pauvre chéri! Tu es rentré chez toi dans cet état?

— Non! Un homme assez âgé faisait un footing. En me voyant, il s'est arrêté et m'a demandé s'il pouvait faire quelque chose pour moi. J'ai tout de suite pensé qu'il ne se serait pas intéressé à moi si j'avais été moche. Je lui ai avoué que j'avais été violé par deux salauds masqués. "Voilà le risque d'être aussi beau!" m'a-t-il dit en connaisseur. Pourtant je n'étais guère présentable mais comme j'étais à moitié nu, je ne pouvais pas laisser indifférent un amateur de jeunes garçons. Je n'avais rien qui puisse cacher mes couilles sous mon short et j'étais torse nu.

— Il t'a raccompagné chez toi?

— Non! Sa voiture était à deux pas. Il s'est inquiété pour mes parents. Quand je lui ai dit que je vivais seul, une lueur s'est allumée dans ses yeux et il m'a proposé de m'emmener chez lui et de "réparer les dégâts". J'ai accepté sans hésiter tant j'avais besoin de quelqu'un qui prenne soin de moi et qui me fasse oublier les assauts que j'avais subis. Un petit lavement sous la douche, un bon bain bien chaud m'ont permis de reprendre mes esprits tandis que mon hôte ne cessait de m'admirer. Il m'a ensuite enveloppé dans une grande serviette de bain, pris dans ses bras robustes et allongé sur un grand lit. "Il faut que je te soigne." En effet, mon ventre et ma bite étaient écorchés par les frottements contre l'écorce, mes fesses et mes reins étaient rouges et griffés. Mon sauveur a donc écarté la serviette et a ainsi découvert mon corps. Côté pile et côté face: tout a été passé en revue avec un coton imbibé d'un produit désinfectant; j'ai apprécié ces caresses et il n'a eu aucun mal à s'en apercevoir en voyant ma queue prendre des dimensions... honorables!

— Et alors?

— Alors il m'a donné un baiser discret sur le coin de la bouche puis, voyant que je n'opposais aucune résistance, il a approfondi son étreinte buccale. Sa langue a ensuite parcouru mon ventre, mon bas-ventre, mes couilles jusqu'à la naissance de mon cul. Elle s'est attardée sur ma bite de plus en plus raide. Il m'a sucé avec gourmandise; j'ai tout lâché dans sa bouche et il a avalé ma liqueur. J'étais bien dans ses bras! Je me suis endormi, je crois, pendant qu'il me léchait l'intérieur des cuisses.

— Alors, ce sauveur providentiel, c'était Gérard?

 

 

   

 

 

 

— Eh oui! J'ai dormi longtemps; heureusement je ne travaillais pas le lendemain! Gérard s'est chargé de me trouver un slip, un short et un maillot qu'il a tenu à me mettre lui-même. Il m'a gardé toute la journée. Je lui ai raconté ma vie, il a manifesté un grand intérêt à mon écoute tout en me caressant et m'a promis de me revoir... pour faire l'amour.

— Tu ne l'as pas vu à poil?

— Non, ce n'est que plus tard qu'il a bien voulu me laisser explorer son intimité. Il est d'ailleurs vachement bien foutu, le salaud... Pour un mec qui frise la soixantaine, il est performant!

— Moi aussi, je n'ai vu son sexe qu'à la troisième fois! Mais qu'est-ce qu'il m'a mis!

— C'est un excellent enculeur et il a beaucoup d'imagination!

— Sais-tu qu'il a fait un gâteau avec ma pisse, mon sperme et ma salive? En ajoutant du lait en poudre et du sucre, il a réussi un bel exploit culinaire!

— Il m'en a fait un aussi! En plus, je t'ai connu chez lui grâce aux magnifiques photos qu'il a faites de toi! C'est là que j'ai eu envie de te rencontrer! Je sentais que tu serais mon meilleur ami sexuel!

— C'est le cas! Grâce à toi, je vis des moments exceptionnels...

— Un viol a été le déclencheur d'un grand bonheur!

— Heureusement que tes agresseurs ne t'ont pas plombé!

— J'ai eu beaucoup de chance!

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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