Samedi 29 juin 6 29 /06 /Juin 06:09

     

 

Au Sénégal je travaillais au sein d'une organisation humanitaire. Je vivais dans un village où j'ai vite rencontré des jeunes noirs sympas avec qui on discutait en grignotant.

Un soir, en fin de soirée, je me suis retrouvé seul avec mon voisin, un des garçons, et il a commencé à me parler de femmes.  Jelui dis que les femmes ne m'intéressaient pas, il avait dû en déduire que j'étais gay car il commença à se rapprocher de moi et à me toucher. Je ne savais plus quoi faire et je bandais gravement. Il s'en rendit compte et m'embrassa. Il avait peur des voisins et me proposa d'aller nous promener.

Il m'emmena dans une maison en construction, on se trouva une pièce et il commença à m'embrasser et à me déssaper. J'en fis de même et nous nous sommes retrouvés rapidement à poil. Il voulait me prendre comme cela mais je lui dis que d'une part j'avais peur de son sexe car il était balaise et que je voulais mettre une capote et que j'en avais pas. Il sortit une capote et se la mit et me dit que pour éviter la douleur, il suffisait d'aller doucement.

Je n'avais pas fait l'amour depuis trois mois et il fit cela avec une douceur qui me ravit. Ce fut formidable et il me prit pendant un bon quart d'heure avant de se retirer et de me branler pour que l'on jouisse ensemble. Ce fut génial, et cela put se reproduire de temps à autre.

Mais j'étais à l'époque de mes 25 ans, un âge où le corps est affamé et j'ai eu d'autres aventures. Comme je n'avais pas de voiture et devais me déplacer en taxi collectif j'avais des occasions de faire des connaissances. Une fin d'après-midi que j'étais à la gare routière de Dakar, le temps menaçant a laissé place à un orage violent. Des pluies diluviennes se sont abattues sur la ville. J'étais trempé quand j'ai pris un taxi de passage presque complet.

Il ne restait qu'une place libre au fond, à côté d'un jeune noir très mignon. Il n'a pas particulièrement apprécié que je me sois assis près de lui car j'étais aussi mouillé que si je sortais tout habillé du bain... En plus, je transportais avec moi un énorme poste radio-cassette qui était fort encombrant. On a quand même fini par discuter. J'ai appris qu'il s'appelait René, qu’il avait 18 ans et qu'il était étudiant. Il baillait fréquemment, découvrant de belles dents blanches.

— Fatigué?

— Oui, je n'ai pas beaucoup dormi cette nuit...

— Pourquoi?

— J'étais avec un ami...

— Et qu'est-ce que t'a fait avec ton ami pour que tu t’endormes ainsi?

Le jeune homme sourit et plaça son index sur sa bouche, des oreilles indiscrètes pouvaient nous entendre. La conversation et surtout la simplicité de mon voisin m'avaient beaucoup excité.

— On reparlera de tout ça à destination? lui dis-je.

Il me fit un signe qui voulait dire qu'il n'en savait rien. Alors j'ai joué le tout pour le tout! En tournant la tête, absolument stupéfait, le jeune homme a découvert ma queue toute raide, hardiment sortie de mon jean mouillé. Protégé par le poste radio-cassette, j'exhibais même les couilles. Le chauffeur qui lançait un oeil dans le rétroviseur ne pouvait rien voir, non plus que les autres occupants. Le poste radio-cassette nous protégeait des regards. Je fis comprendre à mon voisin qu'il pouvait me caresser. Il ne s'en est pas privé, semblant même heureux de le faire. Il me dit en pouffant de rire:

— C’est assez rare pour un blanc d’avoir une si grosse queue

— Elle te plaît alors? Tu pourras en faire ce que tu veux.

Arrivés à destination, très amusé par mon audace, il m'a proposé de poursuivre notre "conversation" quelque part. Il connaissait un petit hôtel qui louait des chambres à proximité. Ce n'était pas cher. Certes, l'endroit était miteux mais ça m'a plu. À peine entrés dans la pièce, il s'est déshabillé très vite. Il avait un corps parfait, mince et musclé, un petit cul à tomber assis et quand il a baissé son slip, j’ai découvert une queue de rêve, bien longue, au moins 25cm et bien grosse lui qui était à peine adulte. Moi qui avant cela me croyais un étalon avec mon 19cm.

Il s’est assis sur le lit et tout en se branlant, il me dit de me déshabiller. Alors que je m’exécutais, il ne cessait pas de me regarder en passant sa langue sur ses lèvres et gémissait doucement. Cela m’excitait terriblement. Une fois nu, il me fit signe de venir le rejoindre sur le lit. Allongés côte à côte, il m’a léché les mamelons qui durcirent tout en caressant mes couilles avec ses doigts. Lentement, il fit glisser sa langue sur mon torse en descendant doucement vers mon bas-ventre. Ouvrant grand la bouche, il y engloutit une bonne partie de ma queue pour me sucer. Ce ne devait pas être sa première pipe car il pompait savamment. Il m'a longuement sucé, gobant mes couilles à plusieurs reprises. Par moments, j'ai dû lui demander d'arrêter tant je craignais d'éjaculer trop vite.

Voulant goûter sa queue moi aussi, je le fis se retourner et commençai à le sucer. Excité par son cul, j'ai passé un doigt dans son anus avec beaucoup de douceur, le plus doucement que j'en étais capable, prenant tout mon temps. M’apercevant qu’il adorait ça, j’y introduit un deuxième puis un troisième. Son anus était bien mouillé et mes doigts s’y glissaient facilement. L’entendant gémir fortement, je lui dis:

— Tu aimes ça hein, te faire fouiller le cul?

— J’aimerais encore plus ça si c'était ta grosse queue qui me le défonçait.

René avait des préservatifs sur lui. Il m'en a enfilé un avec un grand réservoir tout en léchant mes couilles et puis s'est laissé pénétrer sans problème. À chaque va-et-vient, il poussait une espèce de sifflement-soupir qui me rendait dingue. Je l'aidais avec plaisir à prendre son plaisir, en haletant moi aussi comme un fou. J’adorais sentir ma queue entrer et sortir de son cul bien humide. J'appréciais aussi sa maîtrise. À chaque fois que je me trouvais au bord de l'éjaculation, il savait me calmer, je ne sais comment.

Et puis, il changeait de position et c'était reparti. Le jeune homme était vraiment un virtuose de l'amour comme, à mon avis, seuls les Africains peuvent l'être. J'ai toujours pensé que les noirs étaient doués pour le cul parce qu'ils s'y mettent tôt, s'entraînent beaucoup et ont le sang chaud, mais pour son âge, il battait bien des hommes plus vieux que lui

J'ai fini par gicler quand même, par salves, avec de divins gonflements dans la queue à chaque passage du sperme. Je suis resté à l'intérieur de son cul. Mon partenaire contractait son anus pour continuer à sentir la présence de mon membre. Enfin, celui-ci éjacula à son tours.  René a retiré le préservatif qui menaçait de couler sur le couvre-lit et le mit dans la corbeille à papier que j'eus la surprise de voir à moitié remplie d'autres capotes usagées, mêlées à des mouchoirs de papier chiffonnés. Il entreprit de me nettoyer le sexe avec sa langue. Ça me procurait un plaisir indéfinissable d'être lavé aussi simplement que ça. Puis, surpris, après un moment, je me suis remis à bander tout doucement.

Le jeune coquin semblait moins étonné que moi. Nous sommes retournés vers le lit, et là il prit l'initiative de s'asseoir à califourchon sur ma queue bien droite, si dure déjà, habillée d'un préservatif tout neuf. Je me suis mis à faire des mouvements de haut en bas lentement, puis plus rapidement. Le jeune homme avait rejeté la tête en arrière et soupirait à n'en plus pouvoir. J'étais très fier du plaisir que je lui donnais. Surtout que cette seconde fois, je sentais que je mettrais davantage de temps pour jouir. Mais quand j'ai déclenché, ce fut vraiment extraordinaire parce que René s'est violemment agité en poussant des cris vraiment peu discrets, très explicites de nos ébats amoureux. Quand il éjacula de nouveau et s’est calmé, il m'a contemplé en souriant.

Comme il était beau. Je crois que j'aurais pu continuer à lui faire l'amour toute la nuit mais il devait rentrer chez sa famille. Rapidement, nous nous sommes lavés et rhabillés. On s'est quittés en échangeant nos coordonnées.

Je ne sais pas pourquoi je ne lui ai jamais téléphoné. Je ne sais pas pourquoi j'ai baisé qu’avec des blancs par la suite. Mais ce qui est sûr, c'est que ce jeune Sénégalais incarnera toujours ma plus grande jouissance à laquelle je me réfère en me branlant.

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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