Samedi 15 juin 6 15 /06 /Juin 05:35

à lire ou relire dans RECITS FICTIONS (42)

c'est ma vie... 

Introduction...lol ! n'allez pas vous plaindre : c'est une LONGUE introduction ! le récit suit.

C'estmoi, Maxime ! Je me remets de mes émotions chez Gérard; mon anus retrouve des dimensions plus raisonnables et mes couilles se rechargent. Il fait un soleil magnifique et je me prélasse, nu, comme d'habitude, sur ma pelouse au bord du lac.

Soudain j'entends la cloche de la porte de d'entrée! J'enfile un caleçon et je vais voir qui ose m'importuner pendant cette période de repos. Quel bonheur de voir que c'est Julien!

— Salut Maxime!

— Quelle bonne surprise! lui répondis-je.

— Je viens me faire enculer.

— Après tout ce qu'on a fait cette nuit, tu en veux encore?

— Justement, on a tout fait sauf ça!

— C'est vrai! Je ne t'ai pas enculé! Entre, beau gosse!

Malgré cette période de récupération, je ne vais certainement pas faire la fine bouche. Julien est un merveilleux garçon; vicieux certes, mais si tendre, si bien foutu, si entreprenant!

Une fois la porte fermée, notre étreinte est puissante. Nos lèvres se joignent, nos langues s'enlacent, nos mains partent en exploration. Celles de Julien n'ont aucun mal à investir l'intérieur de mon caleçon tandis que les miennes doivent d'abord ouvrir la braguette et écarter la ceinture du slip. Elles parcourent nos parties les plus sensibles et ont le plus grand effet sur nos bites. Je n'oublie pas de m'intéresser à la raie de son joli cul et je n'hésite pas à lui fourrer un doigt puis deux... à sec!

— Oui! Vas-y! Fort! Plus fort!

— Tu en veux? Tu auras bientôt 18cm de chair dure et chaude dans ton antre!

Il est vite à poil et mon caleçon voltige sur le tapis de la chambre. Je mets Julien sur le ventre, lui soulève légèrement les hanches pour mieux faire pénétrer ma bite déjà baveuse dans sa rosette déjà ouverte. Je m'allonge entièrement sur lui et je l'encule de toutes mes forces. En même temps, j'arrive à glisser une main et à le tripoter entre son ventre et le matelas.

— C'est bon!

— Julien, je t'aime de toute la longueur de ma queue!

— Je jouis!

— Moi aussi! Prends tout ça mon chéri! Dans tes entrailles!

Après cette double extase et quelques instants d'immobilité, je tente de me retirer de ce cul si accueillant. Impossible! Julien retient ma bite en serrant bien fort son sphincter!

— Reste en moi! On va recommencer!

— Pas tout de suite!

— Ne bouge plus et attends qu'on ait encore envie...

— OK!

Je demeure collé à Julien et j'entreprends de rouler sur le lit tout en restant branché. Cette fois, je suis sur le dos et Julien est allongé sur mon côté face; sa bite devient toute molle et les traces de sperme rendent collant son ventre que je ne manque pas de caresser.

— Raconte-moi comment tu es devenu homo! lui demandais-je.

— Tu sais, Maxime, je crois que je suis né pédé! Dès que j'ai ressenti des choses bizarres au niveau de mon bas-ventre, je me suis mis à regarder les hommes... surtout leur braguette! J'étais fasciné par la grosseur des paquets cachés... J'ai d'ailleurs beaucoup fréquenté la piscine pour les voir en slip!

— Et alors?

— J'ai décidé de les provoquer en me baladant souvent la braguette ouverte!

— Qu'espérais-tu? Tous les hommes ne sont pas pédés!

— Oui mais il y en aurait bien un qui s'intéresserait!

— C'est sûr, mais tu savais qu'ils risquaient la prison si tu avais des rapports sexuels avec eux!

— Je n'y pensais pas!

— Alors?

— Un jour c'est un voisin qui m'a fait remarquer que ma braguette était déboutonnée; j'ai fait celui qui était surpris et j'ai vite refermé le pantalon. Le lendemain, même situation: le même voisin me demande si je le faisais exprès. J'ai osé lui répondre que ça devait lui plaire s'il regardait cet endroit-là; il a vite avoué que oui et m'a invité chez lui.

— Tu l'as suivi?

— Je le connaissais bien et j'avais trop envie!

— Qu'est-ce qui s'est passé?

— Il m'a fourré sa main dans la braguette et m'a tripoté. Il m'a déshabillé entièrement et, me laissant debout, les jambes écartées, il m'a léché ma bite raide, mes bonbons roses et la raie de mon cul.

— Tu as aimé?

— Tu parles! Surtout sa langue sur mon trou! C'était génial!

— Ensuite?

— Il m'a renversé sur son lit et m'a sucé, sucé, sucé... jusqu'à ce que je lui envoie mon jeune foutre dans la bouche.

— C'est tout?

— Non! j'avais très envie de voir une bite d'homme. Il l'a bien compris et je lui ai ouvert la braguette, j'ai saisi son gros morceau poilu et je l'ai branlé... J'ai eu droit à de beaux jets sur ma poitrine. Voilà le début de ma vie sexuelle!

— Il ne t'a pas enculé?

— Il m'a fait comprendre qu'il en avait envie et que ce ne serait pas plus difficile que de chier une grosse merde en période de constipation mais j'ai eu peur, étant donnée la taille de l'engin qu'il voulait m'enfoncer.

— Dis-donc, Julien, tu bandes!

— Toi aussi, je la sens bien!

— On y va?

— Oh oui!

Et l'enculage recommence; les râles de plaisir sont à leur paroxysme... heureusement les voisins sont loin!

— Tu reviendras Julien!

 

__________________________________________________

JULIEN VIOLé    

   

Je vois régulièrement Julien et c'est toujours l'occasion de merveilleuses galipettes! Ce jeune garçon de dix-sept ans n'a vraiment pas froid aux yeux et sa grande beauté ajoute au désir qu'il inspire! Parfois, nous évoquons le passé; d'ailleurs celui de Julien est déjà fort chargé... depuis qu'il aguichait les hommes en se promenant la braguette ouverte! J'ai voulu savoir comment il a fait connaissance avec notre ami commun Gégé.

— C'était l'année dernière et ma rencontre avec Gégé fut le fait du hasard.

— Raconte!

— J'étais apprenti et mes parents m'avaient loué un studio pour être près de mon travail; ce fut formidable car je vivais en toute liberté... et j'ai su en profiter!

— Petit cochon! Tu pouvais draguer les mecs comme tu le voulais et tu n'avais pas de compte à rendre!

— Ce qui m'est arrivé un soir de juillet est plutôt terrible.

— Vas-y! Accouche!

— Je faisais régulièrement, le soir, un footing pour me détendre d'une dure journée de boulot. J'aimais toujours emprunter le même parcours: un chemin qui traversait le bois près du lac. J'en avais pour une bonne demie-heure. Il est vrai que je souhaitais y faire des rencontres... mais pas tout à fait comme celle que j'ai faite ce soir-là!

— Tu as vu le diable?

— Pire! Je m'étais arrêté pour pisser lorsqu'une main s'est posée sur ma bouche, une autre m'a empoigné la bite et d'autres mains m'ont immobilisé: "Tu fermes ta jolie petite gueule ou je t'arrache le zob!" J'ai eu peur, d'autant que je n'avais ni vu ni entendu quelqu'un. "Avance dans le bois et ne résiste pas!" me dit une voix rude et déterminée.   Deux types cagoulés m'ont poussé loin dans le bois en me tenant fermement par le short jusqu'à un gros tronc d'arbre allongé. Je me suis débattu comme un fou... rien à faire. Ils me tenaient trop fermement et me giflaient. "Tu peux gueuler maintenant! Personne ne t'entendra. Tu nous appartiens et tu vas payer cher ta beauté!"

— Ça sent le viol, ça!

— Je n'en menais pas large, tu sais! Les types m'ont arraché le short, le tee shirt et le slip. "Regarde comme il est joli! Je ne t'ai pas menti; c'est une sacrée affaire!" "Quel beau cul!" Ils m'ont forcé à m'allonger à plat-ventre en travers du tronc, jambes écartées, cul bien offert. Ils m'ont attaché les mains et les pieds; je ne pouvais pas me soustraire à leur lubricité. Leurs braguettes étaient ouvertes et deux grosses queues bien dures me passaient à tour de rôle sous le nez. "Lèche, petit salaud! Suce! Attention, je ne veux pas sentir tes dents!" Je crois que j'ai dû me crisper sur une bite qui allait trop loin dans ma gorge et j'ai reçu un grand coup de pied dans le cul. "Je t'ai prévenu! Laisse-toi faire sinon tu vas avoir très mal!" Ils m'ont donné de grosses claques sur les fesses; ils m'ont craché sur l'anus. "Voilà, le terrain est prêt! Fous-lui déjà tes doigts." J'ai senti des doigts me fouiller le rectum; ils ont aussi tripoté mes couilles qui étaient comprimées sous mes cuisses.

— La totale!

— J'ai senti un gland entrer dans mon trou bien malaxé; le corps de la bite m'a ensuite défoncé d'un seul coup; j'ai crié très fort tant ça m'a fait mal. "Ta gueule!" m'a dit mon enculeur pendant que je pompais l'autre avec l'ardeur exigée; il me tirait les cheveux pour bien me positionner la bouche sur son membre. L'enculeur a joui violemment et l'autre a vite pris la place dans mon trou bien chaud. L'introduction m'a fait souffrir mais j'ai vite compris qu'un doigt était enfoncé en même temps que sa bite. C'était une façon de se chatouiller dans mon cul! J'ai encore pris une autre dose de foutre et les deux violeurs, avant de remballer leurs instruments de torture, ont pissé en visant mon trou encore béant. Je sens encore ce liquide chaud qui rentre dans mon anus et qui dégouline dans la raie de mon cul, le long de mes cuisses et jusque dans mes chaussettes!

— Ils t'ont relâché?

— Foutre non! Ils sont partis en rigolant et en me laissant nu, lié et couvert de pisse! J'ai pensé que je pourrais peut-être les reconnaître car ils étaient au courant de mes habitudes sportives. J'ai décidé de ne rien dire, d'autant que j'ai bandé pendant le viol!

— Comment tu t'en es sorti?

— En me tortillant, j'ai réussi à défaire les liens de mes mains puis ceux des pieds. Je me suis essuyé avec mon tee shirt en lambeaux. Mon short était déchiré mais j'ai pu l'enfiler et le maintenir avec ce qui restait de mon slip: son élastique. J'avais piètre allure quand j'ai rejoint le chemin! Je me suis assis dans l'herbe et je me suis mis à pleurer.

— Pauvre chéri! Tu es rentré chez toi dans cet état?

— Non! Un homme assez âgé faisait un footing. En me voyant, il s'est arrêté et m'a demandé s'il pouvait faire quelque chose pour moi. J'ai tout de suite pensé qu'il ne se serait pas intéressé à moi si j'avais été moche. Je lui ai avoué que j'avais été violé par deux salauds masqués. "Voilà le risque d'être aussi beau!" m'a-t-il dit en connaisseur. Pourtant je n'étais guère présentable mais comme j'étais à moitié nu, je ne pouvais pas laisser indifférent un amateur de jeunes garçons. Je n'avais rien qui puisse cacher mes couilles sous mon short et j'étais torse nu.

— Il t'a raccompagné chez toi?

— Non! Sa voiture était à deux pas. Il s'est inquiété pour mes parents. Quand je lui ai dit que je vivais seul, une lueur s'est allumée dans ses yeux et il m'a proposé de m'emmener chez lui et de "réparer les dégâts". J'ai accepté sans hésiter tant j'avais besoin de quelqu'un qui prenne soin de moi et qui me fasse oublier les assauts que j'avais subis. Un petit lavement sous la douche, un bon bain bien chaud m'ont permis de reprendre mes esprits tandis que mon hôte ne cessait de m'admirer. Il m'a ensuite enveloppé dans une grande serviette de bain, pris dans ses bras robustes et allongé sur un grand lit. "Il faut que je te soigne." En effet, mon ventre et ma bite étaient écorchés par les frottements contre l'écorce, mes fesses et mes reins étaient rouges et griffés. Mon sauveur a donc écarté la serviette et a ainsi découvert mon corps. Côté pile et côté face: tout a été passé en revue avec un coton imbibé d'un produit désinfectant; j'ai apprécié ces caresses et il n'a eu aucun mal à s'en apercevoir en voyant ma queue prendre des dimensions... honorables!

— Et alors?

— Alors il m'a donné un baiser discret sur le coin de la bouche puis, voyant que je n'opposais aucune résistance, il a approfondi son étreinte buccale. Sa langue a ensuite parcouru mon ventre, mon bas-ventre, mes couilles jusqu'à la naissance de mon cul. Elle s'est attardée sur ma bite de plus en plus raide. Il m'a sucé avec gourmandise; j'ai tout lâché dans sa bouche et il a avalé ma liqueur. J'étais bien dans ses bras! Je me suis endormi, je crois, pendant qu'il me léchait l'intérieur des cuisses.

— Alors, ce sauveur providentiel, c'était Gérard?

 

 

   

 

 

 

— Eh oui! J'ai dormi longtemps; heureusement je ne travaillais pas le lendemain! Gérard s'est chargé de me trouver un slip, un short et un maillot qu'il a tenu à me mettre lui-même. Il m'a gardé toute la journée. Je lui ai raconté ma vie, il a manifesté un grand intérêt à mon écoute tout en me caressant et m'a promis de me revoir... pour faire l'amour.

— Tu ne l'as pas vu à poil?

— Non, ce n'est que plus tard qu'il a bien voulu me laisser explorer son intimité. Il est d'ailleurs vachement bien foutu, le salaud... Pour un mec qui frise la soixantaine, il est performant!

— Moi aussi, je n'ai vu son sexe qu'à la troisième fois! Mais qu'est-ce qu'il m'a mis!

— C'est un excellent enculeur et il a beaucoup d'imagination!

— Sais-tu qu'il a fait un gâteau avec ma pisse, mon sperme et ma salive? En ajoutant du lait en poudre et du sucre, il a réussi un bel exploit culinaire!

— Il m'en a fait un aussi! En plus, je t'ai connu chez lui grâce aux magnifiques photos qu'il a faites de toi! C'est là que j'ai eu envie de te rencontrer! Je sentais que tu serais mon meilleur ami sexuel!

— C'est le cas! Grâce à toi, je vis des moments exceptionnels...

— Un viol a été le déclencheur d'un grand bonheur!

— Heureusement que tes agresseurs ne t'ont pas plombé!

— J'ai eu beaucoup de chance!

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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