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Lundi 25 mars 1 25 /03 /Mars 14:42

Voir les chapitres de 1 à 8  dans Récits  On n'aurait jamais attendu que Damien passif "droit dans ses bottes" baiseur maintenant très expérimenté, éprouve un sentiment de honte à mon avis c'est injustifié. Enjoy, les amis ! 

 

J'avais  quelques heures avant de prendre l'avion quand je suis entré dans ce cinéma porno entre midi et deux heures pour y passer le temps.
Une envie de baiser me tenaillait, j'espérais faire une rencontre agréable.
J'étais le seul de ma rangée, il n'y avait d'ailleurs presque personne dans la salle et je me suis dis que le type qui venait de s'installer juste à coté de moi allait avoir une bonne surprise s'il tentait quelque chose.
Je ne savais pas s'il était pédé et je voulais voir ce qu'il allait faire.
L'homme ne bougea pas pendant un moment assez long, je me dis que je perdais mon temps.
J'allais m'en aller quand je sentis une légère pression de son genou droit sur ma cuisse gauche. 
Afin de voir si c'était une coïncidence ou pas, je laissai ma cuisse collée à son genou avec l'envie d'aller plus loin qui me tenaillait le ventre. 
Il accentua sa pression et je maintins ma jambe, enhardi par ma bonne volonté manifeste, il ouvrit la fermeture de sa braguette, extirpa sa bite puis se mit à s'astiquer.
Je le laissai faire le regardant fixement, je savais qu'il voulait que je le touche mais je ne le faisais pas.
Il n'y avait pas grand monde dans la salle mais quand même une dizaine de spectateurs, cela ne l'a pas empêché d'ouvrir mon pantalon.
Il insinua une main sous mes fesses en suivant la raie, me titilla l'anus d'un de ses doigts et l'enfonça dedans.
Cette intrusion m'électrisa, je trouvais la situation complètement folle, j'avais deux de ses doigts qui me fouillait le cul devant des inconnus.
Ce n'était pas la première fois que je faisais l'amour avec un mec mais jamais je n'avais fait cela devant des personnes qui n'étaient pas partie prenante et j'avoue que cela me provoqua un trouble.
Il m'a dit "Si tu veux que je t'encule, tu n'as qu'à me suivre aux chiottes".
Il se leva et partit sans attendre ma réponse.
Incapable de réagir dans l'instant, je me rajustai avec la ferme intention d'oublier ce petit épisode.
Je ne me voyais pas me faire enculer comme ça, bestialement, dans des chiottes de ciné qui devaient être sales et puer.
Je me remis à penser à ce qu'était ma vie depuis que je baisais avec des hommes et je me dis qu'après tout je n'étais qu'une vulgaire salope, un trou à bite.
Tout en pensant à ça l'envie de baiser me reprit plus fort encore.
J'avais une espèce de fourmillement, des contractions de l'anus, un manque, je ressentais toujours l'agréable sensation de la présence des doigts de l'homme.
Je désirais que quelque chose me rentre dans le cul, en fait, j'avais envie de me faire enculer, j'avais envie de jouir.
Laissant tomber mes scrupules, je me levai et me dirigeai vers les toilettes.
Je tremblais de désir, je ressentais des frémissements dans le derrière.
Tout alla très vite, l'homme m'attendait dans les toilettes, il me poussa dans une des chiottes et verrouilla la porte derrière lui.
Il baissa mon pantalon et mon slip, puis en fit de même, il bandait très dur et je vis que son membre était court et épais.
Il me mit sa hampe dans la main et je me mis à le masturber.
Jugeant que mon branle avait assez duré, l'homme me força à me mettre à genoux pour le prendre dans la bouche
Le sexe de mon amant sentait fort et j'eus un haut-le-cœur mais surmontant mon dégoût je me mis à pratiquer une lente fellation sur ce membre violacé.
Je recueillis quelque gouttes de liqueur translucide qui perlait du méat et les avalai.
Le mec me laissa le sucer quelque temps puis il me dit "Relève toi salope".
Il me retourna en me faisant pencher le buste en avant, je me tenais au mur, le dos courbé, la tête appuyée sur le coude gauche, jambes écartées tendant mon derrière pour m'offrir.
Mon partenaire se baissa pour me lécher le trou de balle puis je sentis son gland se pointer sur l'anus.
Il m'écarta les fesses et appuya un peu plus.
Son nœud me pénétra lentement, je sentais mon anus s'ouvrir délicieusement sous la poussée.
Ma pastille se dilatait sous l'intrusion, je m'ouvrais de plus en plus, il ne me faisait pas mal malgré sa grosseur.
Je voulais au contraire, que cette bite s'enfonce en moi et j'allais au devant de sa verge.
J'ondulais du croupion, je me tortillais du postérieur pour lui faciliter l'introduction.
Il poussa encore plus fort et je sentis sa pine me rentrer progressivement dans le rectum.
Me prenant par les hanches, il donna un violent coup de rein et me pénétra à fond.
Son ventre claqua sur mes fesses et je poussai un cri de douleur.
Mon partenaire se mit à me posséder en de larges coups de boutoir.
Ses rudes assauts me pétaient la rondelle, je venais à la rencontre de ce pieu raide sur lequel j'étais empalé.
Il n'y avait aucune douceur dans cette étreinte et j'aimais ça, l'homme me défonçait le fion se ruant dedans avec une rudesse peu commune.
La pine fichée dans mon cul, il me ramonait durement de toute la longueur de son priape, il me pistonnait sans ménagement.
Ses va-et-vient étaient rapides, profonds, je le sentais aller et venir, sortir et rentrer dans mon conduit anal.
Il me dilatait les muqueuses en me limant délicieusement.
Ses coups de butoirs me bourraient sans ménagements, c'était bon, Mon partenaire me défonçait le cul me procurant des sensations érotiques incroyablement jouissives.
Il me sodomisait à fond, j'avais sa bite qui me pilonnait et qui m'explosait l'anus.
Je me faisais transpercer la rondelle tandis qu'il me traitait de tous les noms m'excitant encore plus "sale pute, salope, enculée, petite vicieuse, femelle en chaleur pédale".
Il me disait aussi "ton cul est comme le con d'une femme mais je préfère t'enculer plutôt que de baiser une gonzesse".
Quand il sentit qu'il allait jouir, il me pressa contre lui pour me pénétrer et s'enfoncer le plus loin possible.
Il était très profondément planté en moi, sa queue me remplissait incroyablement le cul qui était excessivement dilaté.
Il a joui, il a éjaculé dans mes intestins en râlant, je le sentais gicler, il m'inondait le rectum de foutre, j'en avais plein le cul.
Ses jets de sperme me provoquèrent un orgasme insensé, je jouis du cul pendant qu'il se vidait de tout son foutre dans mon ventre
J'avais le cul en feu, bourré, débordant de sperme gluant, l'anus explosé, le rectum écartelé.
Satisfait, il se rhabilla vite, me donna une claque sur les fesses en me disant "Tu es un bon coup salope, à la prochaine".
Il sortit en refermant la porte derrière lui.
Je me retrouvai seul dans les chiottes, les fesses douloureuses avec du foutre qui me coulait sur les cuisses.
Je connus une énorme frayeur en voulant m'essuyer, d'abord il n'y avait presque plus de papier, mon anus était tellement ouvert, complètement dilaté qu'on aurait pu y mettre une balle de ping-pong sans difficulté.
Il était trop plein de sperme pour que je puisse me nettoyer entièrement. 
Inquiet, je me rajustai comme je pus, le cul encore barbouillé de foutre je sortis alors que des mecs se lavaient les mains.
Ils me regardèrent sortir de la même chiotte que l'autre.
Ils commencèrent par se marrer en comprenant ce que je venais de subir, puis ils se foutèrent de moi en me traitant d'enculé et en me demandant si j'en voulais encore un coup dans l'oignon.
Une fois dehors j'avais encore l'impression que tout le monde me regardait et que les gens voyaient que j'avais le cul plein de semence.
J'allais dans un supermarché où j'achetais un slip ainsi qu'une boite de papier puis j'allais dans une sanisette où je pus tant bien que mal m'assécher le fion.
Quelques heures après alors que j'étais dans l'avion, je sentais encore les contractions, autour de ma rondelle et je me dis que cette expérience aussi étrange qu'elle ait été valait le coup d'être vécue.

à suivre évidemment !

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Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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Mardi 19 mars 2 19 /03 /Mars 01:46

DAMIEN  (suite N° 8)

Résumé: Max le prof de gym initie Damien, un lycéen de terminale, à l'homosexualité et à la sodomie passive. Damien aime tellement ça qu'il en devient "obsédé. Bientôt Max ne lui suffit plus et c'est Marc et Patrick qui s'unissent à lui pour former un fameux trio. Mais Damien est devenu insatiable. L'équipe de hand-ball y passe en entier dans un gang-bang d'enfer. A  la fin de l'année une grande fête sexuelle est organisée dans le cabanon des parents de David et c'est la fin d'une époque.  Damien s'engage dans l'armée...là, il n'y a que des hommes ...hummmmh

Le voilà maintenant libéré des obligations militaires et il vogue vers de nouvelles aventures ... 

Cela faisait une semaine que j'avais été libéré de mes obligations militaires et j'avoue que je trouvais le temps long à Paris où il faut l'avouer je n'avais rien à faire et j'avais encore une semaine à tuer avant de rentrer au Maroc.
J'avais envie de faire l'amour avec un homme, je sentais mon anus qui battait la chamade, il se contractait et s'humidifiait dans l'attente d'une intrusion, c'était clair, j'avais envie d'un mec.
J'étais prêt à tout, le désir était trop fort, trop impérieux, je sortis.
Depuis longtemps, l'idée d'aller au sauna m'attirait.
J'avais lu dans des revues de sexe des récits de types se faisant sodomiser.
À chaque fois, je constatais que ces lectures me procuraient un sentiment indicible, j'étais tout chose, pantelant.
J’allais au Continental près de l'Opéra, bien que j'ai une grande habitude de la baise homosexuelle, je ne sais pas ce qui me prit mais j'avais le ventre noué en rentrant, j'avais l'impression d'être rouge de honte.
Je payais, pris la serviette et la clé de mon casier.
Je me dévêtis et une fois nu, j'attachais la courte serviette autour de mes reins et lançai à la découverte de l'établissement.
Il se déclinait sur plusieurs étages, il y avait des couloirs sombres avec des cabines ouvertes pour certaines.
À l'intérieur, un type attendait un amant éventuel, d'autres étaient occupées avec des couples qui se caressaient à la vue de tous.
Enfin, des cabines étaient fermées, de celles-ci, on entendait des gémissements et des halètements de plaisir accompagnés de bruits sourds et rythmés, manifestement des mecs se faisaient baiser à l'intérieur.
Cette manifestation sonore provoqua en moi un trouble vivace.
L'endroit me plaisait, j'étais sur de trouver un ou plusieurs amants.
En découvrant au fur et à mesure les installations, l'excitation montait inexorablement en moi, je sentais les palpitations de mon anus qui devenaient de plus en plus impérieuses.
Je découvrais le sauna où je restais quelques minutes.
Ce n'était pas trop mon truc, ou plutôt, je pressentais d'autres lieux de plaisir.
Ce fut le tour du hammam, tout de suite, je sus que c'était mon endroit préféré.
Avec cette vapeur qui envahissait la pièce au point qu'on ne voyait pratiquement pas les occupants.
Il fallait s'approcher pour voir un visage, une silhouette.
La chaleur humide saisissait tout le corps.
C'était éminemment sensuel comme impression.
Je remarquais des types en train de se caresser et de se sucer.
Je m'installai sur une des banquettes de faïence blanche je me mis nu, le corps semi allongé, les cuisses ouvertes, offert aux regards.
Je n'attendis pas longtemps, un homme d'une quarantaine d'année se présenta devant moi.
Je lui souris, il posa sa main sur ma poitrine, à plat, il caressa successivement mes deux seins.
Il se pencha pour m'embrasser à pleine bouche, brûlant de désir je répondis à son baiser.
Son autre main partit en exploration sous mes fesses, il titilla doucement mon œillet avant d'enfoncer un doigt et puis deux dans mon anus humidifié par la vapeur.
Je le laissais faire, mieux je soulevais mon bassin pour qu'il puisse me pénétrer le plus loin possible.
Il me pénétrait toujours avec deux puis trois doigts.
L'homme me proposa d'aller ailleurs, dans la salle vidéo.
On s'installa dans le fond sur une banquette, dans une semi obscurité.
La vidéo qui tournait où un type enculait un jeune mec me permit de voir que nous n'étions pas tout seul.
Je me suis assis sur les cuisses de mon amant, son sexe se glissant entre mes fesses, nous nous sommes embrassés langoureusement.
Ses mains, ses doigts partaient à la découverte de mon corps, je sentais sa chaleur, il mordilla la pointe de mes seins, je n'en pouvais plus de désir, c'était trop bon.
Je soulevais mes fesses, l'homme comprit le message, empoignant sa queue, il darda son gland vers mon petit trou.
Son gland s'enfonça doucement, le gland progressa, il passa l'obstacle du sphincter sans que je ne ressente la moindre douleur, le sexe libéré, se projeta d'un coup au plus profond de mon cul.
On s'embrassa à nouveau, longuement tandis que je montais et je redescendais sur la tige de mon mec.
Le baiser, la pénétration, et les caresses sur tout mon corps me firent défaillir, je perdis pied, j'étais pantelant de plaisir.
Ma jouissance montait progressivement, elle irradiait tout le corps, le cul, le ventre.
L'homme éjacula, je sentis dans mon cul, un puissant jet de foutre et nous restâmes quelques minutes ainsi, lui encore en moi.
Quand il se dégagea, le sperme coula de mon trou ouvert, portant encore la marque de la queue du type qui venait de m'enculer.
J'aimais cette sensation, d'avoir le cul ouvert aux yeux de tous.
L'homme se dégagea, il m'embrassa d'un léger baiser sur la bouche en me donnant une légère tape sur les fesses puis il me dit "J'aime ton petit cul, on se voit tout à l'heure ?
- Pourquoi pas.
- J'ai le sentiment que tu as l'intention de te faire prendre plusieurs fois, n'est-ce pas ?".
- Tout à fait.
- Tu as raison, à ton âge, il faut en profiter et puis, ces petites fesses sont faites pour être découvertes".
Je découvris pour mon plus grand plaisir que c'était facile de se faire sauter dans un sauna comme le Continental.
Tous ceux qui venaient dans l'établissement avaient bien l'intention d'avoir des relations sexuelles avec un partenaire, voire plusieurs.
Cela me convenait parfaitement et j'avais bien l'intention d'en profiter.
Je me suis installé dans une cabine qui ressemblait à celle d'un sous-marin ou à ces espèces de cellules japonaises construites en raison du manque de place pour les habitations.
Elle était toute blanche, plutôt étroite et très peu haute. On ne pouvait pas tenir debout et il fallait entrer accroupi.
J'ai laissé la porte ouverte, je me suis allongé sur le ventre, les cuisses écartées laissant apparaître mon trou distendu pour montrer que j'étais offert.
Plusieurs fois, j'ai senti que des types regardaient mais ils n'insistaient pas.
Je commençais à être déçu quand j'ai senti une présence.
Un homme venait me rejoindre, je plongeais mon visage dans mes bras repliés offert.
Dans le petit espace, l'inconnu me rejoignit, il me caressa la nuque ce qui eut le don de me faire frissonner.
Il fit de même avec sa bouche tout en me caressant les fesses.
Les caresses me procurèrent un intense plaisir.
Il me glissa un doigt dans le cul, satisfait par le trou dilaté, il se positionna sur moi, pesant de tout son poids.
Son sexe s'enfila sans problème dans l'anus lubrifié par le foutre de mon précédent amant.
L'homme se mit à me pilonner avec vigueur ma faisant gémir de plaisir.
Il me souleva pour que je me mette à quatre pattes, en levrette puis il se mit à me chevaucher, ses cuisses entourant ma croupe.
La pénétration était profonde, puissante, je râlais de plaisir.
Un autre homme, attiré par mes gémissements, nous avait rejoints.
Il s'était glissé devant moi, m'offrant son sexe.
Je le pris en bouche, le suçant au rythme des coups de butoir de l'autre inconnu qui me défonçait littéralement.
J'étais aux anges, les deux types éjaculèrent en même temps, comme s'il s'était donné le mot.
Les deux jets de sperme dans ma bouche et mon cul me tétanisèrent littéralement.
Un orgasme d'une sauvagerie intense déferla sur moi, je tendis ma croupe enflammée vers la bite de mon amant pour accentuer la pénétration, un hurlement pulsa de ma gorge.
Je ne bougeais plus, le cul toujours plus ouvert, évasé par les deux queues qui m'avaient pénétré.
Les deux inconnus m'abandonnèrent et je restai allongé savourant autour de ma corolle ravagée les dernières contractions du plaisir.
Plus tard, je découvris la backroom, elle était petite avec des matelas posés à même le sol.
J'étais à l'entrée, tentant de regarder à l'intérieur et hésitant à entrer.
Un type était derrière moi, je le sentis se rapprocher, je fis glisser ma serviette, la plaçant autour de mon cou, lui offrant mon cul nu.
Il comprit, il mit sa queue entre mes fesses, la faisant coulisser.
Il pointa son gland sur l'œillet humidifié par le désir.
Le gland s’introduit légèrement puis l’homme continua sa pression très lentement comme pour mieux apprécier la découverte de mon cul.
Le sexe glissa millimètre par millimètre, m'enculant totalement, son ventre contre mes fesses, ses couilles plaquées contre l'anus.
C'était bon et totalement excitant, J'étais là debout en train de regarder l'entrée de la backroom et je me faisais enculer avec des gens debout autour de moi.
Nous restâmes là quelques minutes, lui complètement en moi et moi me sentant comme une chienne en chaleur.
Je me contractais, bougeant doucement mon cul, pour mieux ressentir la pénétration et lui donner envie de me fourrer totalement avec fougue.
Il me poussa légèrement me faisant comprendre d'avancer.
Nous rentrâmes dans la pièce obscure, lui toujours en moi.
J'étais aux anges, je me sentais vraiment obscène, le cul dilaté totalement par une bite sublime, en train de marcher à petit pas pour ne pas déculer.
Il me dirigea vers le fond de la pièce plutôt qu'un matelas.
Il se plaqua contre un mur et là il commença à me limer avec vigueur.
Ses mains parcouraient mon torse, ses doigts titillaient mes seins.
Mon amant m'entraîna sur un des matelas où il y avait un autre homme.
Sans trop avoir le temps de tout comprendre, je me retrouvai sur mon mec en 69, les fesses offertes.
L'autre homme me pénétra jusqu'à la garde d'un seul coup de reins, mon cul était un vrai boulevard à bites, le sperme poissant mon trou de balle.
Le type me sodomisa divinement, sa queue était longue et épaisse et surtout, il allait au plus profond, alternant pénétration lente et rapide.
Il m'amena à l'ultime jouissance, tout mon corps tressauta, tellement ce fut puissant.
Les deux hommes s'écartèrent de moi et partirent, je restais quelques instants les yeux clos, cuisses écartées savourant le merveilleux moment que je venais de vivre.
Au bout de quelques minutes, je me suis levé, suis retourné aux vestiaires pour me rhabiller et rentrer à l'hôtel.
Arrivé dans ma chambre, j'ai pris une longue douche puis je me suis couché sombrant aussitôt dans un profond sommeil peuplé de rêves érotiques.
La veille de mon départ, je suis retourné au sauna.
J’arrivai au sauna dès 16h avec la ferme intention de continuer mon exploration, je poussais la porte du sauna rouge d'excitation, je prenais à nouveau un ticket.
Comme la première fois j'avais comme une boule dure au niveau du bas ventre, bizarre pour un habitué de la baise mais je crois que c’était l’atmosphère étrange de ce genre de lieux où on se fait enculer par des mecs qu’on ne connaît pas qui ne se présente pas, tout est anonyme.
Mon anus lui battait littéralement la chamade.
J'avais envie d'être pris à nouveau, d'être sodomisé bien profondément par plusieurs partenaires.
L'autre fois, quatre inconnus avaient investi mon cul, ils m'avaient superbement fait jouir et je voulais recommence.
Je voulais être pantelant, épuisé par une baise totale en écumant les lieux jusqu'à la fermeture, jusqu'à 23h.
Je me repassais le film de cette aventure, je me revoyais en train de sucer une queue en 69 dans la backroom tout en me faisant enculer ou coincé debout entre les deux hommes dans le fond de la salle obscure.
Le type de la caisse me donna la serviette et le collier avec la clé d’un casier.
J'étais déjà moins hésitant, j'avais l'avantage maintenant de connaître en partie les locaux et surtout de mieux connaître les us et coutumes de ce lieu de plaisir.
Je me déshabillais totalement, une fois nu, je nouais la mince serviette blanche autour de mes hanches.
Je commençais par un premier tour de piste, je repérais les endroits stratégiques que je n'avais pas totalement mémorisés en raison des niveaux différents, du dédale dans ce véritable labyrinthe.
Il y avait le jacuzzi avec son eau bouillonnante, la piscine, les cabines, objets de désir avec leurs portes ouvertes donnant sur des corps allongés, en attente d'un éventuel amant, ou portes fermées avec des gémissements à l'intérieur qui me faisait frémir de désir.
Des types se caressaient et s'enculaient manifestement avec force.
Il y avait tous ces types qui passaient et repassaient ou qui se positionnaient en attente le long des murs, en train de mater ce qui se passait.
Je restai ainsi à regarder dans une des cabines, où la porte était restée ouverte, un jeune gars comme moi se faisait caresser par un homme d'une soixantaine d'années.
Le jeune était en extase tant les effleurements prodigués semblaient délicieux.
L'homme le caressa longuement, embrassa sa peau millimètre par millimètre.
Il lui ouvrit le cul avec science, mêlant sa langue avec ses doigts, préparant le sphincter à s'ouvrir sur son sexe.
Puis il le pénétra, en levrette, son sexe entra doucement, lentement, jusqu'à la garde.
En même temps qu'il le sodomisait avec art, il caressait tout le corps du garçon.
Le visage du jeune homme était extatique, j'en étais littéralement fasciné et jaloux tant j'aurais voulu être à sa place, je sentis une douce chaleur se propager dans mon corps et mes fesses devenir bouillantes.
Je repartis dans mon exploration, je mémorisais bien le sauna et le hammam avant de repartir vers le jacuzzi situé à quelques mètres de la petite piscine.
Je me glissai dedans, l'eau était chaude, les bouillonnements de l'eau caressaient mes fesses.
Un homme d'une trentaine d'années aux cheveux noirs vint me rejoindre.
Il me regarda en souriant puis je sentis un pied me frôler l'intérieur de ma cuisse, je ne bougeai pas.
Satisfait, il vint me rejoindre et m'embrassa d'emblée.
Nos corps s’enlacèrent, c'était bon ce contact dans l'eau.
Je pris son sexe dans mes mains, flattant son membre et ses couilles.
Il m'invita à le suivre dans une des cabines, trop heureux je l'ai suivi.
J'aimais trop cette sensation d'offrir mon cul à de multiples queues qui m'investissaient, d'être en attente, le cul ouvert, de la queue qui allait me pénétrer jusqu'au plus profond de moi.
Je me sentais une vraie salope exhibitionniste et ce pouvoir de séduction en tant que chair fraîche m'enivrait totalement.
Il y avait aussi le coté obscène des possessions, des enculades qui me séduisait, être un autre dans cet antre obscure.
S'offrir en repliant sur soi ses cuisses son anus ouvert aux regards des autres était proprement sublime.
S'offrir, à quatre pattes, en levrette, la tête bien calée entre les bras sur le matelas de skaï humide, était pour moi, un plaisir psychologique proprement libérateur et je ne parle pas de mon bonheur de sentir le gland s'enfoncer lentement en moi aux yeux de tous.
Dans la cabine, porte ouverte, aux yeux de tous ceux qui passaient dans le couloir, l'homme m'enlaça virilement tout en m'embrassant à pleine bouche.
Son baiser qui me fit chavirer, nus, debout, serrés fiévreusement l'un contre l'autre, je me sentis devenir tout chose.
Ses mains caressaient tout mon corps, s'attardaient sur mes fesses.
Il comprit vite que j’adorais ces attouchements tant je remuais mon bassin sous ses paumes bien placées à plat.
Je gémis quand un doigt se posa sur mon anus et me pénétra.
Le mec me positionna à plat ventre sur le petit matelas recouvert d'une housse en plastique.
J'écartai mes bras et mes jambes au maximum, pour bien l'épouser avec mon corps mouillé.
Je cambrai mes fesses pour qu'il puisse me préparer.
Il posa sa bouche sur mon anus, sa caresse m'électrisa, elle me fit frissonner.
Il darda sa langue dans l'œillet pour l'ouvrir, il l'humecta bien avec sa salive.
Son index commença à rentrer doucement avec des mouvements rotatifs.
Un deuxième puis un troisième s'enfoncèrent à l'assaut du sphincter, pour bien le détendre.
J'avais la tête enfouie dans mon aisselle gauche, je geignais doucement tout en me laissant faire, cuisses ouvertes.
L’homme jugea que la préparation était suffisante, il se plaça sur moi, positionnant son gland à l'orée de mon cul.
Je frémis de plaisir, il allait s'enfoncer en moi et je l’invitais en remuant des hanches.
Il m'encula d'un coup, la douleur me vrilla la tête, j'aurais préféré plus de délicatesse.
Le souffle coupé, le corps écrasé par mon partenaire, je tentais de reprendre ma respiration.
Enfoncé totalement en moi, ses couilles contre l'œillet, le type attendit un peu que je m'habitue à son membre.
Puis, il démarra doucement son mouvement de va-et-vient avant d'accélérer.
Je le sentais m'envahir totalement, me dilater, et le plaisir succéda à la douleur.
Il me souleva pour m'installer à quatre pattes, sa pénétration devenait de plus en plus profonde, je m'ouvrais totalement sous ses coups de boutoir.
Le plaisir était sublime, je ne pouvais plus me retenir, je me suis mis à gémir sans retenue au rythme de ses assauts.
La jouissance progressa de mon cul à mon bas ventre, mon anus se contracta spasmodiquement autour du sexe enfoui en moi, provoquant son éjaculation à grands traits.
Les jambes flageolantes, je me suis écroulé sur le matelas avec lui toujours en moi.
Nous sommes restés ainsi durant plusieurs minutes, son sexe devenant flaccide.
Mon partenaire de baise se souleva, posa un baiser léger au creux de ma nuque et me dit "T'as un beau petit cul bien accueillant, on se reverra tout l'heure, j'aimerais bien baiser avec toi dans le backroom, tu sembles plutôt chaud".
Il me laissa seul dans la cabine, la porte ouverte, mon cul offert d'où dégoulinait son foutre.
Je n'eus pas le temps de respirer que déjà un autre homme me rejoignit.
Il avait dû nous observer tandis que le premier inconnu m'enculait avec vigueur.
Il s'allongea sur moi tout en me pénétrant d'un coup, sa queue entra en moi sans coup férir, profitant de mon anus dilaté, distendu et lubrifié par le foutre précédent.
L'homme dont je ne voyais pas le visage me lima vigoureusement.
Son bassin claquait sur mes fesses tandis que le rythme de sa queue provoquait un bruit de succion chaque fois que mon anus l’avalai, j'étais devenu femelle, je m'offrais totalement.
Je voulais que mon amant me sodomise vigoureusement.
Ce désir devenu était de plus en plus violent, de plus en plus impérieux.
Soudain l'homme sortit sa queue de mon cul et éjacula sur mes fesses puis, il s'en alla sans même me dire un mot.
Je sentais mon anus encore entrouvert et surtout palpitant de désirs inassouvis.
Les reins et les fesses poisseuses de sperme, je me dirigeai vers les douches pour me nettoyer.
Des hommes se savonnaient, je fis de même, je pris soin de me laver l'anus, pour le rendre désirable, en me pénétrant avec les doigts savonnés.
Des regards se posèrent sur moi et j'imaginais aisément que mon petit trou devait encore porter la marque des deux queues qui m'avaient sodomisé.
La porte du hammam était près des douches, je me décidais à y aller.
Je poussais la porte et comme la veille je fus surpris par la bouffée de chaleur humide qui enveloppa tout mon corps.
C'était trop bon, pleinement sensuel, j'allais vers le fond, près de la petite fontaine d'eau froide.
Mes yeux essayaient de s'habituer au mur de vapeur qui envahissait la pièce.
Sur les banquettes de faïence blanche des hommes se suçaient ou s'embrassaient.
J'entendais des gémissements sur un des cotés de la pièce mais je n'apercevais pas leurs auteurs.
Un homme manifestement quinquagénaire, plutôt bien de son physique, avec son sexe en parfaite érection, émergea des volutes de vapeur devant moi.
Je ne pus résister, je me soulevais pour m'asseoir et je flattais son membre de tout son long avec mes mains réunies.
Il se pencha sur moi pour m'embrasser, le baiser de ce type me fit chavirer.
Ses mains avaient glissé sous mes fesses tandis que ses doigts me pénétraient facilement.
Sur la banquette de faïence blanche, il me replia sur moi-même, cuisses contre mon torse, le cul bien offert.
Il m'encula d'un coup, bien au fond, ses couilles bien plaquées contre l'iris distendu, il entama un long va et vient, accélérant, ralentissant ses coups de butoir.
Je perdais pied, en même temps, je percevais plusieurs types qui s'étaient rapprochés autour de nous.
Il s'arrêta, et bien au fond de moi, il me souleva sur sa pine, debout.
Après quelques minutes dans cette position, il me positionna à quatre pattes sur le carrelage.
Il m'encula avec force durant de longues minutes tandis que je prenais en bouche et en mains les queues qui se présentaient à moi.
Le quinquagénaire se déversa en moi, en plusieurs longs jets qui fusèrent le long de mes parois surchauffées me faisant jouir bruyamment.
A peine mon amant retiré, un autre se glissa à l'intérieur de mon cul accueillant tandis que les queues face à moi m'éjaculaient sur le visage.
Dans le hammam, je fus enculé successivement par cinq hommes.
J'étais couvert de foutre, le visage dégoulinant de sperme.
C'est un grand black qui m'acheva, avec sa longue queue bien large, j'ai eu le sentiment d'être ouvert en deux.
Ce fut douloureux dans les premiers instants mais diablement bon par la suite.
Mon fourreau anal s'habituant progressivement à bien envelopper la totalité de son sexe.
J'étais tellement surpris de l'accueillir intégralement en moi, que je vérifiais que ses couilles étaient bien plaquées contre mon anus complètement distendu.
Au bout de quelques instants il me proposa de continuer à baiser dans la backroom.
Une fois arrivé dans la backroom je lui ai offert mon cul, debout, cambré face à un mur.
J'ai écarté mes fesses dans une pose obscène, pour dégager l'anus d'où dégoulinait le sperme.
Il était grand, immense, avec une longue queue, large et puissante.
Il m'a enfilé d'un coup, je l'ai avalé au fond de moi sans problème tant mon cul était lubrifié.
Lui aussi s'amusa à me soulever, empalé complètement sur sa queue.
Mes fesses sur son ventre, il me soulevait sur toute la longueur de son sexe, jusqu'au gland, puis d'un coup il me laissait retomber sur ses couilles.
C'était prodigieux, j'étais en littéralement en transe.
Il m'a ensuite placé en levrette sur un des matelas, à côté d'un jeune homme qui se faisait prendre dans la même position par un type plus âgé.
Avec le jeune gars, nous nous faisions enculer tandis que nous nous embrassions à pleine bouche.
Les hommes dans la backroom se sont rapprochés, ils nous ont entourés.
Certains se sont avancés pour nous caresser, je pris en bouche celle du type qui était en dessous de moi.
Excité par cette orgie, le black derrière moi enfourcha ma croupe, me pilonnait le plus vigoureusement possible, telle une pouliche.
Epuisé, pantelant, je me suis allongé bien à plat sur le matelas.
Mon amant m'a couvert complètement de tout son corps ruisselant de transpiration.
C'était agréable de sentir nos deux épidermes humides et moites l'un sur l'autre.
Avec une impression de ne plus pouvoir réagir, d'être vraiment possédé totalement.
J'ai joui comme jamais, du cul au bas ventre, sans me toucher.
Le plaisir est monté, immense, incroyable, mon anus s'est contracté, offrant à mon partenaire de sexe, des spasmes de plus en plus violents autour de sa queue.
Il éjacula longuement, à longs traits, nous restâmes de longes minutes ainsi.
J'étais bien, lui aussi manifestement, je sentis son sexe regrossir puis recommencer à glisser en moi.
C'était prodigieusement bon, j'appréciais qu'il continue à me transpercer avec sa bite.
Il m'a possédé encore plus longuement, je croyais être exsangue de sperme mais j'avais tort.
Sous ses coups de butoir, il m'a propulsé encore à mille lieux dans le plaisir.
Toujours sous le regard des types qui baisaient dans la backroom, le black s'est déchaîné, pilonnant mon cul à grands coups de bassin.
Telle une poupée de chiffon, mon corps tressautait sous ses assauts puissants et vigoureux jusqu'à l'éjaculation finale qui me provoqua un orgasme dévastateur me portant aux portes de l’inconscience.
Le black partit me laissant seul savourant le merveilleux moment qui venait de se passer.
Au bout de plusieurs minutes, je me levais plutôt chancelant, pour aller me doucher.
J'étais venu pour me faire enculer, j'avais été exaucé au centuple.
Une fois propre je repris le chemin de mon hôtel.

 

 

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Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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Samedi 9 mars 6 09 /03 /Mars 16:23

Nouvelle de Guillaume Gustan. Copyright

Les yeux fixés sur l'aiguille du compteur de vitesse...sweetarsenium: http://sweetarsenium.tumblr.com/

 

Défonce certes, mais ça reste bandant et hallucinant...et pour cause !

 

On l’a rencontré au Queen, assez tard, à l’heure où il n’y a pratiquement plus que les enragés. Un peu chauve. Un mètre quatre-vingt-cinq, quatre-vingts kilos. Hyper bien foutu. Un sourire perpétuel à base de dents blanches et régulières. Suffisamment jeune. Belle gueule. Visiblement explosé à un truc de très bonne qualité. D’abord on s’est regardés. Puis j’ai dansé en me collant à Stéphane pour l’exciter. Il s’est aggloméré. On s’est donnés en spectacle sur la piste, en faisant semblant de tous se baiser. Ça l’a fait gon?er. J’ai senti qu’il y avait la quantité. Après on s’est décollés. On a échangé trois mots dans le vacarme de la musique. J’ai envoyé Stéphane nous chercher à boire. Je lui ai dit Putain j’ai super envie de te pomper. Il a dit Pas de problème. Il m’a entraîné vers les chiottes. Je me suis dit C’est cool il sait ce qu’il veut. J’ai suivi sans résistance. Aux chiottes ça bloquait, il y avait la queue pour entrer. J’ai dit Bon on fait quoi. Il m’a emmené dans l’angle mort juste à côté de l’entrée. Il a tourné le dos à la piste. Je me suis laissé glisser à genoux par terre. Il a sorti sa super belle bite et je l’ai prise dans la gueule en me branlant pendant cinq minutes. C’était cool. Après j’ai dit Bon il y a mon mec qui nous attend il faut qu’on y aille ok? Il a dit Ok. Stéphane attendait au bar avec les verres, toujours très cool comme d’habitude.
On s’est assez rapidement mis d’accord sur la marche à suivre. D’abord on passe chez lui prendre une nouvelle drogue américaine que je ne connais pas et qui est paraît-il super pour baiser, et après on va à la maison puisque chez nous il y a du matos et pas chez lui. Je suis déjà à peu près persuadé que ça va être une galère à cause de ce dernier détail, mais il est tellement canon que je ne peux pas imaginer une seule seconde de ne pas me le faire alors que c’est possible.
Chez lui c’est top. Appart style loft. Télé et baffles dans les chiottes. Meubles classe. Une enveloppe adressée par une chaîne de télé traîne sur le plan américain extra-large de la cuisine. Il met de la trance très fort. Le son est super. On goûte sa poudre. Au bout de dix minutes on est ultra explosés. Il faudrait filmer. On se dessape. Il est sublime. Super bite, très large et longue, grosses couilles pleines de peau. Je le suce. Je lui bouffe les couilles. Il me claque le dos, le cul. Il joue au macho. Ça me plaît. Il fait Tu es une vraie salope, toi, une vraie. Tu me fais bander. Je véri?e. Il exagère. Je suis sûr qu’il ne va pas me sauter mais tant pis. Aux chiottes il y avait une vieille boîte de prophyltex pleine, et prophyltex c’est beaucoup trop serré pour une queue comme la sienne, s’il s’en servait régulièrement dans un cul il aurait des manix large. Ce qu’il y a de bizarre aussi c’est une paire d’escarpins très classe par terre à côté du miroir dans sa chambre. Mais c’est la seule trace de femme dans l’appart. Il est peut-être bi ce con prétentieux. Il me regarde dans les yeux. Je le regarde pareil. On sourit. Il me dit Me regarde pas comme ça, sinon je vais t’épouser. Je lui dis C’est pas de ma faute, c’est comme ça. Il fait Wow wow wow! en tapant dans ses mains pendant que je claque le cul du chouchou pour mettre une ambiance un peu plus sexe. Et puis le chouchou est trop stone et s’endort sur le parquet son fute en cuir aux chevilles. C’est sûr que ce Serge me plaît, c’est comme si j’étais amoureux. Le problème c’est qu’évidemment il ne me baise pas. Juste un coup de queue ou deux, sans capote, comme ça, dans la cuisine aux fenêtres ouvertes, après avoir cassé l’antenne de son téléphone sans ?l en essayant de me la mettre dans le cul. Visiblement ce mec n’a pas l’habitude de baiser. Il est vrai qu’on ne peut pas tout faire dans la vie. Il me dit plusieurs fois qu’il est désolé qu’il est trop stone. Je lui dis C’est pas grave.
Il s’endort sur le canapé pendant que je le suce. La chaîne joue de l’opéra maintenant, ça doit être ce qu’il écoute d’habitude. Je reste seul, je vais dans sa chambre, je mate les quelques livres, une méthode pour avoir un corps parfait et comment l’entretenir sous la table de chevet, les k7 vidéo sous la télé en face du lit, pas de pornos ou alors ils sont bien cachés, une commode de slips, caleçons, chaussettes, foulards. Tout est parfait. Les slips sont parfaits. Les caleçons sont parfaits. Les chaussettes sont parfaites. J’essaye un slip bleu pas mal, puis un jock-strap, j’avais presque le même, pas bien, puis un vieux nikos hyper bien coupé qui me va super bien. Je le mets dans mon blouson, puis je cherche un contenant pour la poudre. Je trouve une boîte de pellicules vide sur son bureau. Je prélève mon petit cadeau. Je bouffe une tranche de pain de son. Il n’y a rien d’autre dans le frigo. L’opéra tourne toujours. Je réveille Stéphane. Ça va ? Il est ok. Je laisse un mot pour le beau Serge, avec notre numéro de téléphone. Dehors il fait beau. Je mets mes lunettes de soleil. Les rues s’animent déjà. On rentre. Stéphane conduit. Parking. Pains au chocolat. Croissants. Le fils du boulanger est toujours notre fan. C’est bon de rentrer à la maison. Alors on fume un pétard. Et je baise Stéphane.
Il appelle vers sept, huit heures du soir. Allo, c’est Sergio man. C’est comme ça que je l’avais appelé dans le mot. Il va à un dîner mais on peut se retrouver plus tard. Il est bizarre. Il dit Je rappelle à minuit. Bon c’est normal, à trois c’est toujours un peu compliqué. Pour une fois qu’il y a quelqu’un qui m’intéresse. Qui m’impressionne. Le salaud. Je suis sûr qu’il ne va même pas rappeler.
Il rappelle, mais à une heure et demie. Ça s’annonce mal. Il s’excuse. J’abrège. Son dîner n’est pas fini, est-ce qu’on peut se retrouver à trois heures aux Folies, en fait non plutôt à trois heures et demie ? Je dis Ok. Je raccroche. Je dis à Stéphane Bon j’ai trop envie de baiser juste une fois pour de vrai avec lui. Il faut que j’y aille. Stéphane dit que ça n’est pas un problème.


2. Rendez-vous

Je suis aux Folies Pigalle. Il y a une fille très belle avec un t-shirt rose vif ultra moulant marqué Babie en argenté. Elle danse hyper bien. Elle est aussi flash qu’un pédé ou qu’un black. Il est trois heures. J’ai pris un quart d’acide, trois lignes de coke, fumé deux pétards et bu une bière à la maison avant de sortir. Défoncé, mais pas trop. Je cause avec le taxi. A la porte des Folies, il y a un mec avec qui on avait fait un plan à trois avec Quentin il y a des années. Il me dit Salut t’es avec quelqu’un ? J’ai un coup de parano, je ne comprends pas ce qu’il veut dire, je lui dis Non je suis seul, tu me laisses entrer ? Il a l’air un peu surpris, mais il doit voir que je suis stone. Une fois rentré je me dis Evidemment qu’il ne va pas jeter quelqu’un qu’il connaît, et je me dis Putain c’est sympa, je connais le portier des Folies. Ce genre de truc m’impressionne. Je sais c’est nul. Après à l’entrée, il y a un des organisateurs, un chinois hyper grand et maigre qui fait par ailleurs des t-shirts provoc. Je l’ai croisé à un fashion show où m’a emmené mon copain Georges. Le chinetoque se plie en deux sur moi pour me faire une bise molle. Salut ! Je me paye une bière. Je fume une clope. Je danse.
Ce soir je ne connais absolument personne à l’intérieur. Aucun pote, coup, personne avec qui j’aie déjà échangé plus de deux phrases. Ça me stresse un peu. En plus l’acide est fort. Ça me fait mal au dos et ça me tire sur les zygomatiques et je suis hyper speed et de temps en temps j’ai un peu le souffle court et des bouffées de chaleur. Je me calme en me disant que c’est toujours comme ça l’acide. Il y a aussi les côtés positifs, la lumière et les couleurs sont à peu près dix fois plus réelles qu’en réalité. Comme je fais un bon trip je ne peux pas penser plus de deux secondes à quoi que ce soit de désagréable. Ma seule véritable préoccupation c’est ce que je ressens et la nécessité absolue de bouger pour me décharger de l’énergie vraiment excessive que ça me donne.
Trois heures seulement. J’ai décidé d’y aller à deux heures et demie pour être sûr de ne pas le rater. Ça me plaît de faire la midinette. La musique est bonne, le son est meilleur qu’avant, alors je danse. Quand je prends de l’acide ça me détend le dos de danser. D’abord je me chauffe, et puis quand je suis bien chaud je monte sur le podium, j’enlève mon t-shirt, je danse torse nu, en jean, bretelles sur les cuisses, rangers. C’est bien d’avoir de grosses chaussures quand on a tendance à tituber.
Et puis la musique devient moins bonne, trop hardcore. Je redescends. Je suis trempé de sueur. Je vais aux chiottes me rafraîchir. Long couloir rose. Il y a des beurettes qui excitent d’autres beurs. Une nana prétend qu’elle peut pisser comme un mec, à l’urinoir. Je n’arrivais pas à pisser de toute façon, alors je me dégage pour qu’elle nous montre. Elle y va, elle se débraguette, et puis elle se dégonfle. Ça jacasse un peu agressif, c’est la drague beur. Je vais me vider dans les chiottes fermées qui se dégagent à ce moment-là. Je me dis qu’ils n’auraient pas dû les laisser entrer, ça ambiance bizarre avec les beurs.
La soirée est hyper réussie je trouve. Il n’y a que des beautiful people qui dansent bien, tout le monde a l’air émerveillé, total défoncé ou bien très nouveau dans le monde de la nuit, ou même les deux. Rien à draguer. Trop fashion. Enfin sous acide ça passe. L’acide je n’aime pas trop ça, je trouve que c’est trop fort, mais bon il faut reconnaître que ça donne bien la pêche. Dès que la musique est un peu moins trance hardcore, je redanse à fond. Le dj est hyper fort, il enchaîne deep disco remue-du-cul, trance plus poussée, jusqu’à ce que ça soit vraiment un peu trop, on commence à se démobiliser, hop ça recommence. Les mecs crient de douleur quand il casse le rythme exprès au milieu du mix. Je fais une pause. Escaliers. Coursive. Bar. Je suis couvert de sueur, un peu hard pour l’endroit, on ne me sert pas tout de suite, mais finalement c’est ok, le gin-get est copieux.
A quatre heures moins dix il n’est pas venu. Je ressors seul. Je fais le tour de la place Pigalle. J’ai la rage. A l’entrée du Transfert le portier me sourit. Stéphane est là, avec ses grands yeux doux et un débardeur de salope échancré jusqu’aux tétons. Je lui roule une pelle et puis je dis Ça va minet ? Il dit Non, je m’emmerdais un peu. C’est le bordel. L’anniversaire du Transfert. Rien de pire que la fête dans un endroit sm. Du gâteau passe dans des petites assiettes en papier. Personne n’en veut, mais les mecs les plus près du bar se forcent pour être polis. Le barman fait sa crise Vous n’en voulez pas du gâteau messieurs ? Eh bien je vous signale qu’il y a plein de gens dehors qui en voudraient.
Je fais un tour au fond de la backroom, je suce un peu le skin qui traîne à poil dans le lavabo à pisse, mais en fait ce qu’il veut c’est que je lui pisse dessus, et j’ai pas envie de pisser. Je me casse. Je me fais un peu embrasser, faire les seins par deux autres mecs. Je fais pareil. Le mec en face de moi me met deux doigts dans le cul. Je me reculotte. Je me retourne. Il y a un mec en face de moi que je connais, mais ça ne s’est pas fait. Il sort tout le temps mais il ne baise pas beaucoup je crois. Il regarde ma queue, je me branle un peu devant lui pour me marrer. Après ça je discute avec un petit skin qui ressemble à une souris. Il est hyper doux. Je lui dis Tu me donnes envie d’être méchant. Il fait Ah oui ?, plein d’espoir. Mais je ne suis pas très convaincu, je ne le trouve pas assez salope. Il le sent aussi, et on se laisse. Je retrouve Stéphane au bar. On se prend des giclées de champagne dans la gueule. Ça commence à devenir lourd. On décide de se casser.
Je suis nase dans la voiture. Stéphane me dit cinq ou six fois qu’il a envie de sexe. Je ne réponds pas. A la maison quand on se dessape, la moquette autour du lit se couvre de confettis. Je dis à Stéphane Si tu veux te faire baiser je peux le faire. Il n’a pas l’air d’y croire. Je demande Est-ce que t’as le cul propre ? Il dit Oui. J’attrape une olla, on n’a plus de manix large, mais olla j’aime bien, c’était celles qu’on utilisait du temps de Quentin. Elles sont assez épaisses, mais très souples et douces. Je le tire d’abord dans les chiottes, debout devant la cuvette, je lui fais mettre la tête dedans et je le baise. Puis je le ramène dans la chambre et je le baise au lit par-devant, puis par-derrière. Ça dure longtemps, et c’est vraiment pas mal, je rentre et je sors, son cul fait flotch, flotch, flotch très fort, il râle, ramassé sous moi. Je commence à débander parce qu’il est trop large. Je continue encore un moment. Et puis il faut qu’on arrête parce que j’ai trop débandé. On va se laver les mains. Je lui propose de me baiser. Il dit qu’il a envie de pisser. Je me fous dans la baignoire et il me pisse dessus et puis je ne me lave pas et on retourne sur le lit, de toute façon le drap est déjà bien avancé. La baise est super. Profonde. Longue. Je me laisse baiser comme jamais. Je trouve qu’il assure de plus en plus. Et puis il devient évident qu’on est trop stone pour arriver à jouir comme ça. Je cherche ma montre. Il est dix heures, ça fait quatre heures qu’on baise. On se finit à la paresseuse, il me bouffe les couilles, je jouis et puis je lui propose de lui travailler le cul de la main gauche parce que la droite est pleine de sperme. Il explose. On fait un câlin. Je roule un dernier pétard. Il s’endort. Je fume la moitié et puis je me rends compte que je perds conscience alors je pose le pétard et je m’endors.
Au réveil je suis vert du lapin d’hier. On regarde la télé. J’essaye de résister et puis je finis par appeler Serge vers sept heures du soir. Répondeur. Je parle au cas où il filtre. Il décroche.
–Oui ?
–Salut c’est Guillaume.
–Salut, ça va ?
–Non.
–Ah... Je suis avec des gens là. Avec ma maman.
–C’est bien.
–C’était bien hier soir ?
Je réfléchis.
–C’était décevant. C’est-à-dire que je ne savais pas que tu n’allais pas venir.
–Moi non plus je ne savais pas que je n’allais pas venir.
Silence.
–Bon, je reprends, tu es avec du monde et puis je n’ai pas grand-chose d’autre à te dire. C’est à toi de voir.
–Je te rappelle.
–Ok.
Je raccroche. Ce mec m’écœure. Je dis à Stéphane Tu te rends compte qu’il me pose un lapin et que c’est moi qui le rappelle ? Mais c’est aussi ça qui est bon. D’être impressionné. De le montrer. Comme une salope. Mais pas trop. J’étais content de C’était décevant. J’espérais qu’il avait compris que je voulais dire à la fois qu’il était décevant et que j’avais été déçu. Je voulais qu’il ait un peu les boules. Mais en même temps je voulais toujours me le faire. Sa peau ultra douce. Ses muscles parfaits, ni trop ni trop peu. Beau.

© Guillaume Dustan

Dans ma chambre © P.O.L éditeur , Paris. 1996

 

biographie de l’auteur

G. DustanGuillaume Dustan, de son vrai nom William Baranès, né à Paris le 28 novembre 1965 et mort à Paris le 3 octobre 2005, est un écrivain et éditeur français, magistrat de profession. Son œuvre littéraire, pour l'essentiel autobiographique, est en grande partie centrée sur la pratique et la problématique de l'homosexualité.

Guillaume Dustan est né en 1995, ou 96, en écrivant, puis en publiant, Dans ma chambre (P.O.L, septembre 1996). Avant, il y avait une autre personne, très malheureuse. Dépressive, séropositive. Après il y avait toujours la dépression et la séroposition, mais ça allait déjà mieux. Une appréciation paranoïaque et mégalomane du retentissement de son premier ouvrage ayant conduit Guillaume à quitter son emploi, il se hâta d'écrire pour faira avancer sa nouvelle carrière. Je sors ce soir (P.O.L, septembre 1997) ne fut pas le best-seller pour lequel il avait si souvent consulté l'oracle, mais contribua à affermir son image de jeune écrivain gay à suivre. Ayant dépensé en extasys et en téquilas-champagne tout l'argent de la bourse qu'il avait reçue du Centre national du livre, Guillaume se trouva bien dépourvu à la fin de l'année (et en plus il avait une grosse bronchite qui ne se soignait pas à cause de ses excès). Sans se décourager, il proposa à son éditeur, P.O.L, de créer une collection de livres gay qui pourrait le faire bouffer (lui, Guillaume). P.O.L le dirigea vers Balland, maison amie. Nouvelle casquette pour G.D. Retiré chez sa mère, à la campagne, G. écrivit son troisième roman, tout aussi purement autobiographique que les deux premiers: Plus fort que moi parut en juin 1998 (toujours chez P.O.L). A l'automne, G.D. lançait les grandes manoeuvres pour le centre communautaire qu'il voulait créer, la Gaie maison pour tout le monde. En janvier 1999 il publiait Nicolas Pages, son premier véritable succès de librairie. En février de la même année, la collection chez Balland (Rayon Gai) démarrait. En 2000, G.D. réalisait son premier film, centré sur la figure dudit Nicolas Pages, écrivain et artiste conceptuel (et ami de G.D.), ainsi que sur celle de Nan Goldin (R House, coproduit par Postmodern classic videos et Arte). L'an 2000 fut une grande année pour G.D., d'abord avec la sortie d'Innocente, son premier best-seller (400 000 ex.). Puis avec l'ouverture de la Gaie maison, sous les auspices éclairés d'Elisabeth Lebovici, sa première présidente. G.D. annonça sa décision de renoncer à l'écriture. En 2003 sortit son premier long-métrage, Rajneesh, produit par Jodie Foster

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Gay infos
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Mercredi 6 mars 3 06 /03 /Mars 21:20

Les Dunes de Maspalomas Recoucou
Un autre texte pour toi et pour nos potes


Enfin les vacances, le soleil et le farniente. Je suis sur un transat au bord de la piscine de l’hôtel tout en matant les gens. D’ailleurs il y a un petit mec, noiraud et bien foutu qui se bronze à quelques chaises de moi. Il est étendu sur le dos en feuilletant une revue. Je le dévore des yeux, il doit avoir dans les 25 ans, imberbe et bronzé par le soleil canarien. Des abdos bien dessinés et des pectoraux gonflés à bloc. Un joli visage aux traits fins encadré par des cheveux noirs. Mon regard se promène le long de son corps et s’arrête au niveau de son maillot de bain. C’est prometteur, la bosse qui se dessine sous le tissu de son slip ne cache rien de la forme et du format de son sexe. Je me demande même si il n’est pas légère érection car son volume est conséquent. Il continue de lire et ne remarque rien de qui se passe autour de lui. 
Je continue à la détailler librement, mais à force d’admirer ce corps bronzé et huilé mes sens commencent à s’échauffer. Je sens une chaleur envahir mon bas-ventre, tandis que mon sexe se réveille quelque peu. Je me tourne aussitôt sur le ventre, pour ne pas laisser voir mon érection. À plat ventre je peux le regarder plus librement, légèrement cachés par mes bras, mes yeux sont scotchés sur cette magnifique bosse. Ma queue se tend de plus en plus sous mon speedo et le contact avec le transat en devient presque douloureux. 
Je ferme les yeux en imaginant mes mains glisser le long de la surface de ses pectoraux en descendant explorer le dessin de ses abdominaux. Elles s’écartent légèrement pour masser ses flancs et continuent leur chemin jusqu’au bas de ses cuisses. Doucement je remonte lentement mes mains le long des ses quadriceps jusqu’à ce qu’enfin je puisse effleurer son maillot et poser la paume de ma main sur ce paquet qui occupe tout mon esprit depuis de longues minutes. Le résultat ne se laisse pas attendre, je sens sous mes doigts ce sexe qui vibre en se tendant sous l’étoffe. 
Je glisse ma main à l’intérieur de son slip pour en mesurer les dimensions. Elle est énorme. Je sens une veine pulser le long de sa hampe tandis que mon autre main vient soupeser ses couilles bien rondes et fermes. Je ne peux m’empêcher de commencer à le masturber. Mes gestes sont lents et doux, un léger gémissement parvient à mes oreilles, j’accélère la cadence, son sexe coulisse le long de ma paume et à chaque passage mon pouce masse son gland qui s’humidifie de plus en plus. Sa queue s’agite de plus en plus frénétiquement à l’intérieur de ma main. De la paume, je sens la douceur et la chaleur de son membre de plus en plus dur. Ses gémissements deviennent sauvages et dans un grand cri je sens le flot de son sperme inonder mes doigts. 
Mes yeux s’ouvrent d’un coup. Il fait presque nuit et je me retrouve seul au bord de la piscine. Je sens une certaine humidité sous mon slip de bain. Je me relève pour regarder les dégâts. Il est complètement maculé de sperme. J’ai éjaculé en fantasmant sur ce mec, heureusement que la piscine est déserte. Je m’entoure de mon linge et rejoins ma chambre afin de prendre une douche. J’enfile un débardeur et un short et je sors afin de manger quelque chose. 
Après avoir dégusté des langoustes grillées accompagnées d’un bon rosé espagnol, je rentre à l’hôtel. Il est 22h30 et il fait toujours aussi chaud. Je n’ai pas sommeil. L’hôtel est idéalement situé au bord des dunes de Maspalomas derrière lesquelles s’étend la mer. Je décide d’aller les voir de plus près. La lune est haute et éclaire ces montagnes de sables. Je gravis une dune, mes pieds s’enfoncent dans le sable encore tiède, en arrivant en haut je découvre que je ne suis pas seul. Un mec est assis au sommet et regarde la mer. Le mec de la piscine, j’en crois pas mes yeux. En m’entendant arriver il se retourne et me regarde. 



— Salut, tu viens admirer la mer ? 
— Euhhh oui, j’avais envie de marcher un peu. 
— Je t’ai vu cet après-midi, tu étais au bord de la piscine. 
— Oui, apparemment on est au même hôtel. 
— Tu es arrivé aujourd’hui ? 
— Oui, je reste 1 semaine et après retour en Suisse et toi ? 
— Moi, je pars demain matin pour la France, c’est mon dernier soir. Au fait je m’appelle Nicolas. 
— Super, moi c’est Fabien. 
— Viens je vais te montrer quelque chose. 


Nicolas se lève, enlève son t-shirt et se couche en haut de la dune. D’une poussée du bassin il se met à rouler le long de la dune pour s’arrêter une dizaine de mètres plus bas. 


— Fais comme moi, tu verras c’est génial 


Sans hésiter une seconde j’enlève mon débardeur, et comme lui je dévale la pente en roulant sur le sable. La sensation est grisante… Arrivé en bas j’éclate de rire, je suis heureux. 


— Alors tu as aimé ? 
— Oui c’est génial. 
— Alors on y retourne. 


On gravit la pente en courant, arrivé en haut, le souffle court il me dit : 


— Cette fois on enlève le bas et on roule tout nu. 
— T’es sûr ? Et si on nous voit. 
— T’inquiète il n’y a personne de ce côté-là. 
— OK, je te suis. 


Nicolas fait glisser son short le long de ses jambes, il ne porte pas de slip. Il me fait face, son sexe est comme je me l’imaginais sur mon transat. Une longue queue pas trop épaisse se terminant par un joli gland tout bronzé (il doit faire de l’intégral) repose sur ses deux boules bien rondes. 


— Allez Fabien, à ton tour 


En quelques secondes je me retrouve nu en face de lui. Je remarque que son sexe commence à avoir quelques signes d’excitation. 


— Au fait, tu me matais pas un peu au bord de la piscine ? 
— Euhhh, tu m’as vu ? j’ai cru que tu lisais. 
— Bien évidemment que je t’ai vu, tu es canon et en plus tu n’étais pas très discret. Et à un moment tu t’es couché sur le ventre, je sais bien pourquoi. D’ailleurs regarde-toi, me dit-il en pointant son doigt vers mon sexe. 


Le temps que je regarde ma queue, Nicolas me pousse en arrière. Je tombe sur le dos, il s’élance sur moi, le poids de son corps me plaque au sol. Je sens ses muscles se tendre contre les miens. 


— Au fait, j’adore la lutte au sol, me dit-il. 
— Ça tombe bien, moi aussi. 


Le combat s’engage, mes bras s’enroulent autour de son corps pour le serrer contre moi. Il résiste en prenant appui sur ses mains, mais le sable s’échappe sous ses doigts. Je sens son bassin s’écraser contre le mien pour essayer de m’immobiliser. Son sexe se raidit complètement au contact de ma queue durcie. La sensation est géniale. J’écarte les jambes afin que mes cuisses puissent s’enrouler autour de son bassin. De son côté il continue à pousser son bassin contre le mien, je serre mes cuisses un peu plus fort en essayant de le faire basculer sur le côté. Il réagit en posant ses deux mains sur mes épaules pour essayer de les plaquer au sol. Je sens les grains de sable s’incruster dans mon dos et sous mes fesses. Je dénoue mes jambes et pose mes pieds sur le sable. Je pousse mon bassin vers le haut, comme si je voulais faire le pont. Mes fesses se décollent du sol. Doucement le bas de son corps se trouve porté par le mien, il pousse son bassin contre le mien encore plus fort pour ne pas se retrouver déséquilibré. Nos deux sexes gorgés de sang et pulsant l’un contre l’autre se livrent un joyeux combat. Le sable aidant je sens nos corps en équilibre instable. Son regard rivé au mien, son sourire conquérant d’il y a quelques secondes se crispe. En poussant encore plus fort avec un de mes pieds, l’équilibre se rompt. Nous nous mettons à rouler l’un sur l’autre, bras et jambes liées. Nos deux corps ruisselant de sueur collés l’un à l’autre. Prenant de la vitesse, agrippés l’un à l’autre, nous essayons tant bien que mal à garder le contrôle. Arrivés en bas de la dune, nous restons collés l’un à l’autre en reprenant notre souffle, je sens les battements de son cœur contre ma poitrine. Nous nous relevons et nous nous défions du regard. La tête me tourne un peu, Nicolas s’approche de moi en vacillant sur ses jambes comme un boxeur un peu sonné. J’en profite pour me ruer sur lui, mon corps se heurte au sien. Je le ceinture aussitôt à la taille en le pressant contre moi et d’un coup de bassin je nous fais basculer sur le sol. Mon corps s’écrase sur le sien tandis que ses poumons se vident d’un coup. Très vite, je me hisse sur lui en m’asseyant sur le haut de ses pectoraux. Mes genoux bloquent ses épaules au sol, mon sexe toujours aussi gorgé de sang pointe son gland humide en l’air. Je glisse une main sous sa tête et de l’autre attrape ma queue que je dirige vers sa bouche. Il ne se laisse pas faire, je le sens se cabrer sous moi, ses lèvres refusant de s’écarter. Soudain sa bouche s’entrouvre pour laisser passer sa langue qui commence à s’activer sur mon prépuce pour en dégager entière mon gland, après avoir tourné longuement autour, elle descend le long de ma hampe et la lèche sur toute la longueur. Ses lèvres s’écartent encore un peu et, doucement mon sexe pénètre sa bouche. Nos yeux ne se lâchent plus. Ma queue s’agite frénétiquement dans cette bouche chaude et soyeuse. Mon corps se tend en arrière tout en poussant mon bassin en avant, Nicolas avale ma queue jusqu’à ce qu’elle touche le fond de sa gorge. Je commence doucement à gémir pendant qu’il me dévore avec passion, je sens que je suis pas loin de l’explosion, pendant que ses lèvres coulissent sur mon membre. J’écarte mes genoux et me redresse légèrement afin qu’il puisse m’engloutir encore mieux. Je suis très proche de la jouissance. C’est tellement bon que j’en ferme les yeux. 
Libéré de mes genoux qui l’immobilisaient au sol, Nicolas relâche mon sexe et se redresse d’un coup en s’appuyant sur ses coudes, sa tête s’appuye fortement contre mon ventre tout en me poussant en arrière. Ne m’y attendant pas, je suis déséquilibré et mon corps bascule. Je me retrouve allongé sur le dos, entre ses cuisses écartées, que je sens aussitôt s’enrouler autour de moi. Ma queue toujours raide pointe vers le ciel et je sens dans le bas de mon dos son sexe aussi dur que le mien. Nicolas se dégage encore un peu et se retrouve assis entre mes cuisses, les miennes allongées de chaque de sa taille. Sa main se rue sur mon membre et il commence à me masturber frénétiquement. 



— Le premier qui jute à gagné le combat, me dit-il. 
— Pas question, t’y arriveras pas... 



De mon côté j’essaie, malgré ma position inconfortable, de frotter le bas de mon dos contre son sexe, mais sa main est beaucoup plus adroite et je sens mon ventre frémir en sentant ses doigts coulisser le long de mon bite en feu. Pour mettre fin à ce supplice qui menace de me faire exploser à tout moment, je serre autour sa taille que je commence à faire basculer de gauche à droite. Je glisse mes bras entre ses cuisses et parviens à me libérer. Nous roulons sur le côté. Je me mets à genoux pour me relever, mais plus rapide que moi, je sens son corps me percuter de tout son poids. Le souffle coupé, je me retrouve à plat ventre, il tombe sur moi et se retrouve couché sur mon dos. Ses cuisses s’écartent pour enserrer mes jambes et ses mains se plaquent contre mes épaules pour me plaquer au sol. Je suis vraiment dans une mauvaise posture, d’autant plus que son sexe dur se colle à mes fesses. Une de ses mains se retire de mon épaule, l’autre se place entre mes omoplates, je l’entends cracher dans sa paume. Il remue un peu et le contact entre sa queue s’écarte de mes fesses. Il est en train de lubrifier son sexe ! Il le place entre mes deux globes et commence à pousser. Je serre de toutes mes force, je ne veux pas me laisser faire, mais sa tige est si dure et mon excitation si grande, que je sens mon anus se dilater sous la puissance de sa poussée. Je résiste mais centimètre par centimètre, son gland s’enfonce en moi. Malgré le combat, Il le fait tout en douceur, avec tendresse, sa chaleur m’envahit. Sa seconde main quitte mon dos pour se glisser sou mon corps, je soulève mon bassin pour lui faire de la place et ses doigts s’enroulent autour de mon sexe gonflé à bloc. Sa queue grossit encore en moi et s’enfonce jusqu’à ce que je sente ses couilles rondes venir se cogner contre mes fesses. Il commence son va-et-vient délicieux, le massage de son sexe coulissant à l’intérieur de mes entrailles me fait gémir de plaisir. J’ondule du bassin pour accompagner son mouvement qui devient de plus en plus raide, pendant que sa main s’active frénétiquement sur mon sexe en folie. 



Au fond de moi, une petite étincelle jaillit, je ne veux pas perdre de cette manière. Je veux le baiser et surtout gagner ce combat. Mon anus se resserre d’un coup, son sexe se retrouve bloqué par mon muscle anal. Surpris je l’entends gémir, Je ressens une légère douleur lorsqu’il tire plus fort pour libérer sa queue. Mon muscle se relâche d’un coup et son membre quitte aussitôt mes entrailles et sa main mon sexe. Je réagis immédiatement, je me retourne sur le dos, me colle à lui l’enserrant de mes bras et de mes cuisses, nous roulons sur le sable jusqu’à la dune contre laquelle nous nous arrêtons. Par chance je suis au-dessus de lui où il se retrouve bloqué entre mes bras et mes cuisses. Son regard plonge dans le mien, nous restons haletants l’un contre l’autre, nos deux sexes tendus à l’extrême pressés l’un contre l’autre. Mon visage s’approche du sien, et tout doucement mes lèvres se posent sur les siennes. Tellement soudés l’un à l’autre, nous ne faisons plus qu’un. Il écarte ses lèvres et nos langues se rencontre enfin. Doucement je goûte sa bouche, sa salive, pendant qu’un long frisson de plaisir parcourt tout mon corps. Fiévreusement mes mains parcourent son corps pendant que je dévore littéralement sa langue. Mes cuisses se desserrent pour laisser les siennes s’écarter, mes doigts s’approchent de ses fesses, les caressent et un de mes doigts se pose sur son anus. Je tourne autour de sa rosace en appuyant légèrement, ses parois s’écartent et mon doigt s’enfonce dans sa moiteur. Nos bouches toujours collées, nos langues se livrant un duel sans merci, j’entends un léger gémissement remonter de sa gorge. Mon doigt continue à le ramoner de plus en plus profondément, mon second doigt se joint au premier et je sens son anus s’assouplir encore davantage. Je retire mes doigts de ses entrailles et de l’autre main j’accumule un peu de sable pour que son bassin se surélève un peu. Je m’agenouille devant lui pendant qu’il écarte les cuisses et pose ses mollets sur mes épaules. Je prends mon sexe gorgé de sang et le frotte le long de sa raie, mon gland humide glisse sur son anus et le lubrifie en même temps. N’y tenant plus, je positionne ma queue contre sa rosace et d’un grand mouvement de bassin je m’enfonce violemment en lui. Il hurle de plaisir pendant qu’un long cri rauque sort de ma bouche. Je reste là, sans bouger, pour qu’il s’habitue à la dureté et à la chaleur de mon organe. Je l’embrasse fougueusement pendant que nos langues se frottent divinement l’une à l’autre. Je me retire de lui avec lenteur, afin qu’il sente toute la longueur de ma hampe glisser le long de ses muqueuses, jusqu’à ce que mon gland sorte entièrement. Juste avant que son anus ne se referme, ma queue repart à l’assaut de son trou vorace. Ses mains se posent sur mes fesses et m’attire brutalement contre lui pour que mon sexe s’enfonce encore d’avantage et que mes couilles se cognent contre ses fesses. La sensation est divine, je sens la succion de son anus m’aspirer dans sa moiteur. Nos deux corps soudés ondulent l’un contre l’autre dans un va-et vient de plus rapide. Je sens sa cavité se resserrer un peu plus et ce contact étroit m’arrache un gémissement de plaisir. Mes mouvements se font de plus en plus frénétiques et violents pendant que ses mains se cramponnent à mes fesses. Mon sexe brûlant est à la limite de l’explosion, le sien tendu à l’extrême tressaute à chacun de mes coups de boutoir. Dans un long gémissement son visage se crispe, ses abdos se contractent et de longs jets de sperme giclent par saccades de son gland. Ma queue ressent sa jouissance par la pression exercée par son anus, mon souffle s’accélère et en m’enfonçant une dernière fois, je me répands longuement en lui. Ses cuisses glissent le long de mes flancs, épuisé je m’affale contre son corps dans un grand soupir de satisfaction, mon sexe toujours enfoncé en lui. Ce moment est divin je sens son cœur battre contre ma poitrine et son sexe humide poisser nos deux ventres. Doucement ma queue débande, glisse hors de son anus et laisse couler les dernières gouttes de mon sperme sur le sable fin. 

J'espère que cela plaise toujours autant... 

Ton lutteur préféré

Fab

 

wrestlers 2

 Le repos des lutteurs

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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Vendredi 1 mars 5 01 /03 /Mars 07:24

 Le professeurKean avait-il quelque idée de l'orientation sexuelle de ces deux jeunes...?

a-t-il prémédité cette soirée ? Et jay a t-il une idée derrière la tête en les faisant passer par le parc et devant les toilettes publiques ?

BOBEUR 23   Du haut de la terrasse blanche, la

ville écrasée par la chaleur s'étale devant lui. Il n'est en Égypte que depuis quelques heures, mais déjà il ressent le poids du soleil sur ses épaules. Rentrant dans la chambre climatisée de l'hôtel, il ferme soigneusement la fenêtre pour échapper à l'ambiance torride et quitte ses vêtements humides pour s'étendre sur son lit. Un étrange sentiment d'excitation monte en lui, et il laisse sa main droite, comme douée d'une volonté propre, descendre lentement sur son entrecuisse alors que la gauche effleure avec sensualité son torse musclé. Sa main droite masse maintenant la longue barre qui vient de s'éveiller dans son boxer noir, soulignant les moindres coutures, faisant courir des frissons de plaisir le long de sa colonne vertébrale grâce à la sensation de ses doigts sur le tissu fin et sur ce qu'il cache avec de plus en plus de difficulté. Mais le voyage a été épuisant, et le décalage horaire se fait sentir, et doucement, sa main parcourant toujours la zone érogène de son entrecuisse, ses yeux se ferment, amenant sur son visage un doux sourire qui en dit long sur le contenu de ses rêves.

Mais après quelques minutes de repos, quelqu'un tape à la porte de sa chambre. Passant rapidement son jeans pour dissimuler une érection tenace, il va ouvrir la porte et se trouve face à son professeur d'archéologie.

— Mr Kean? Que se passe-t-il?

— Je viens d'être appelé par un collègue de l'Université Royale du Caire. Je suis désolé Peter, mais nous devrons remettre la découverte de la ville à un autre soir. Mais je m'en voudrais de te laisser seul. Je te confie aux bons soins de Jay, le fils de l'ami qui m'a appelé.

S'écartant légèrement de l'embrasure de la porte, le professeur laisse apparaître un jeune homme de 18 ou 19 ans, au visage bronzé encadré par des mèches brunes ou ressortaient deux éclats de ciel bleu. Il arbore un large sourire révélant une dentition parfaite. Peter se sentit immédiatement pris sous le charme de son nouveau guide, et lui retourna son plus beau sourire, sensuel et enjoleur.

— Bien. Je crois que vous allez vous entendre. Je vous laisse donc. Nous nous reverrons sûrement demain au petit déjeuner Peter. Amusez-vous.

Le professeur était en train de partir lorsqu'il se retourna et lança avec un clin d'oeil:

— Sans faire n'importe quoi s'entend! *

Même après qu'il eut disparu au coin du couloir parcouru par un petit air frais bienvenu, les deux garçons se faisaient toujours face sans rien dire. Enfin Peter sembla sortir de sa contemplation fort peu discrète, et tendit la main à son nouveau camarade en se présentant:

— Salut... Jay, c'est ça?

— Oui, Jay Colins. Tu es l'élève du professeur Kean...

Proférer de telles évidences les fit sourire, ce qui tissa immédiatement entre eux des liens de connivence. Peter fit entrer le garçon dans sa chambre, et s'assit sur le lit tandis que Jay se mettait à la fenêtre pour regarder la ville.

— Parfait. Le soleil va se coucher dans une petite demi-heure. Nous pourrons enfin sortir.

— Tu ne sors pas de la journée? demanda Peter.

— Maintenant si, mais ça fait plus de deux ans que je vis ici avec mon père. Je ne pense pas que tu tiendrais longtemps le coup sous un soleil comme celui que nous avons ici. Les touristes préfèrent de loin sortir la nuit au Caire. C'est pour ça que la ville est presque plus active à partir du crépuscule.

Les deux garçons discutèrent un moment de leurs passions, puis de leurs pays respectifs:

— Mon père tombe toujours dans les excès: nous habitions le Nord de l'Angleterre, à Newcastle, où il pleuvait 360 jours par an les bonnes années, et maintenant, l'Égypte où le soleil ne quitte jamais le ciel!

Ils se regardèrent en riant, sentant que quelque chose se nouait entre eux, mais Jay mit fin à cet instant par trop sensuel en se levant d'un bond, et en déclarant que l'heure était venue de sortir.

— Mais tu ne peux pas sortir comme ça, constata le jeune homme en détaillant Peter. Le soleil s'est peut-être couché, et la chaleur sera supportable, mais pas pour toi si tu portes un jeans et un t-shirt genre expédition Antarctique!

La grimace de son ami était éloquente, et Jay résolut de prendre son copain en main. Tous deux se retrouvèrent bien vite dans les rues surchauffées du Caire, entourés d'une population hétéroclite qui se bousculait et criait à tue-tête. Ils se frayèrent tant bien que mal un passage vers le centre de la ville, si tant est qu'il put en exister un, et, poussant et tirant, se dégagèrent de la cohue. Peter poussa un petit cri, et Jay se retourna pour lui demander ce qui se passait.

— On vient de me mettre la main au...

— Ça prouve que quelqu'un t'aime bien. Allez, ne traînons pas.

Enfin ils débouchèrent dans les rues marchandes où des échoppes diverses étaient encore ouvertes et regorgeaient de marchandises hétéroclites qui jetaient des touches de couleur dans la ville autrement terne, recouverte d'un voile de poussière qui couvrait façades et chaussées, laissant parfois à peine deviner les peintures recouvertes. Jay ne laissa pas Peter s'émerveiller trop longtemps devant la ville qu'il découvrait, et le fit pénétrer dans une boutique de vêtements. Le conduisant à travers les rayonnages, il choisissait pour le jeune homme un tas de vêtements divers, que Peter se retrouva en train d'essayer en un rien de temps. Devant la cabine, si Peter tout à son habillage avait levé les yeux, il aurait vu Jay le dévorer des yeux, dans lesquels dansait justement une flamme aussi éloignée de l'amitié que la lune l'était du soleil. Retirant son t-shirt effectivement trempé, Peter dévoila un corps bien fait.

Jay ne perdait pas une goutte du spectacle, c'était le cas de le dire puisqu'il observait les perles de sueur dévalant la forte pente des pectoraux saillants, et continuant leur route sur les abdominaux sans conteste travaillés dans une salle de sport. Puis, quand vint le tour d'essayer les pantalons, Jay serra les jambes afin de cacher à Peter la bosse qui déformait ostensiblement la fine toile de son short, peu approprié pour masquer une telle bandaison. Mais Peter ne remarquait rien, en faisant descendre son jeans le long de ses cuisses musclées, et au contraire de sa poitrine imberbe, recouvertes d'une toison blonde du plus bel effet. Le regard enfiévré de Jay s'attarda sur le boxer noir apparemment fort bien rempli, et lorsque Peter se retourna pour mesurer dans la glace au fond de la cabine l'élégance de sa tenue, Jay eu des vapeurs à fixer les deux globes fermes de son ami. Il remit de l'ordre dans ses pensées en secouant des mèches brunes, afin de chasser des images trop suggestives tandis que Peter se tournait vers lui à nouveau pour lui dire qu'il avait fait son choix. Jay ne pouvait qu'approuver le choix de la chemise largement ouverte, d'une fine toile rouge très seyante, et du bermuda de tissu noir qui mettait certes plus en valeur qu'il ne cachait. D'ailleurs, Jay prit bien soin de rester derrière son ami, pouvant ainsi observer à loisir le petit cul rebondi se trémousser langoureusement sans que Peter se doute le moins du monde de ce qui se passait.

Après avoir achevé leurs emplettes, les deux garçons se dirigèrent un peu au hasard dans les rues bondées, Jay racontant ce qu'il savait des endroits où ils passaient. Cette ville était l'une des plus anciennes du monde, et chacun des bâtiments ou presque possédait sa propre histoire. Leur balade dura un bon moment, et ils sentaient presque la fraîcheur, lorsqu'ils débouchèrent sur les jardins de la Tour du Caire. Lorsqu'il s'en rendit compte, Jay hésita entre faire demi-tour et continuer dans les allées sombres. Le bruit du Nil entourant cette île naturelle rattachée au reste de la ville par de nombreuses passerelles ouvragées donnait à cet endroit une impression de fraîcheur et de paix, les pelouses protégées par les ramures tombantes invitaient le promeneur à se poser et écouter le chant des étoiles. Rien ne laissait supposer ce qui s'y déroulait véritablement, excepté de légers bruits dans le fond du parc, dans les bosquets les plus épais. Jay allait retenir Peter, mais celui-ci était déjà trop près. Déjà les ténèbres de la nuit laissaient apparaître des formes plus claires. Peter venait de s'arrêter au milieu du petit sentier et regardait fixement un couple allongé sous les frondaisons d'un saule. Les deux hommes nus étaient en train, sans équivoque possible, de se livrer totalement l'un à l'autre. La scène qui se passait à trois ou quatre mètres de Peter le paralysait. En voyant la bouche du premier se coller avidement au bas-ventre de son amant, Peter frissonna. Mais objectivement, il ne ressentait aucun dégoût. Juste de la surprise, et, il devait bien s'avouer qu'il sentait monter en lui un plaisir indicible à observer le couple peu discret dans ses ébats. Mais Jay l'avait rejoint et il se détourna rapidement, espérant que la nuit masquerait la rougeur de ses joues.

— Je suis désolé Peter. Je n'avais pas remarqué que nous nous dirigions vers le parc.

— C'est... un endroit connu?

— Disons que dans la culture orientale, ce genre de rapports est beaucoup mieux toléré que chez nous. Mais pas au grand jour.

— Donc ils viennent ici.

— Choqué?

— Moi?... Non. Mais j'aimerais partir.

Jay, qui n'avait effectivement pas vu la rougeur des joues de son compagnon, s'interrogeait pour savoir que penser de la réaction de son ami. Rien n'était plus ambigu, alors qu'il avait inconsciemment conduit Peter ici pour savoir de quel côté penchaient ses goûts. Il en était pour ses frais!

De retour dans l'agitation de la ville, les deux amis ne se parlèrent plus. Peter semblait perdu dans ses pensées. Et Jay le regardait à la dérobée, se posant lui aussi beaucoup de questions. Finalement, les deux garçons s'arrêtèrent à la terrasse d'un café. Durant un long moment, ils gardèrent leurs yeux plongés dans leurs boissons, sans rien oser dire. Puis, relevant les yeux, Jay se rendit compte que Peter le détaillait sans vergogne, se repaissant du visage de son ami comme un fauve en quête de nourriture, déjà tout fixé sur sa proie. Surpris en pleine action, il détourna honteusement les yeux, alors qu'à la faveur d'une pièce tombée Jay se penchait sous la table et constatait l'état d'excitation passablement avancé dans lequel se trouvait Peter, au vu de la bosse déformant son mince short. Mais leurs esprits encombrés d'à priori ne leur permettaient pas de percevoir les invitations mutuelles. Même un signe aussi évident que la déformation du short de son camarade ne convainquit pas Jay. Pourtant, leur destin se nouait par devant eux.

Un marchand ambulant, pas plus âgé que les deux garçons, passa dans les travées pour proposer aux nombreux touristes des babioles rappelant un voyage en Égypte. Parmi les diverses pyramides de toutes tailles, les Sphinx modèles réduits ou les flacons de sable du désert, Peter remarqua une fine dague ouvragée, représentant les corps étroitement entrelacés d'un homme et d'une femme à tête de chat. L'arme, dédiée aux sacrifices pour jeter des charmes d'amour, leurs précisa le vendeur, plut immédiatement à Peter qui la fixa longuement, comme envoûté. Alors qu'il allait lever les yeux de l'objet pour payer le vendeur, il se rendit compte que celui-ci avait disparu, et Jay lui dit qu'il n'avait pas fait attention. Quelques secondes plus tard, il n'y pensait plus tandis que Jay lui demandait en riant à qui il voulait jeter un charme d'amour.

— Qui sait, je trouverais peut être quelqu'un avant la fin de la soirée! répondit Peter laissant son ami mi-figue, mi-raisin. Allez, montre moi un endroit animé, j'ai envie de bouger!

— Tu ne trouves pas la ville assez animée? s'étonna Jay ahuri en regardant le foule toujours aussi dense qui arpentait les rues effectivement bondées.

— Je ne trouve pas ça très animé non. On devrait bien pouvoir trouver une boîte où s'amuser!

Jay suivit son camarade, de plus en plus surpris. Le professeur lui avait dit que son élève était assez timide, voire renfermé, et que ça lui ferait du bien de sortir avec quelqu'un de son âge. C'était bien la première fois que Jay voyait un changement pareil. Peter s'était vite débarrassé de sa timidité, et Jay ne savait pas s'il devait vraiment s'en féliciter.

Ils repérèrent la boîte de nuit à la foule de jeunes amassés devant l'entrée. À l'intérieur, on pouvait respirer une forte odeur de tabac, des odeurs plus volatiles d'alcools parfumés émanant des verres aux couleurs bariolées circulant dans les mains, mais aussi une odeur plus forte, une odeur d'excitation qui ressemblait beaucoup à celle d'hormones mâles en effervescence. La partie réservée aux consommateurs surplombait les pistes de danse multiples, aussi Jay et Peter passèrent-ils un moment à regarder en silence les danseurs se trémousser sur la piste face à eux. La boîte était essentiellement occupée par des garçons, et seules quelques silhouettes pouvaient être identifiées comme des femmes. À croire que la nuit appartenait aux hommes!

Jay se rendit aux WC. Face aux toilettes turques, il entendait des gémissements de plaisir dans les cabines voisines. Il se disait que certains s'en donnaient à coeur joie, et lorsqu'il sortit, il tomba nez à nez avec deux hommes dans les bras l'un de l'autre. Il les évita en souriant, les laissant à leur occupation, et pénétra dans la salle bondée. Il chercha la table des yeux un instant et découvrit que Peter était en compagnie d'un jeune homme particulièrement séduisant. Il se dirigea vers la table en bousculant toute personne sur son chemin, une étincelle étrange dans les yeux.

En attendant Jay, Peter continua de regarder la salle. Il suivit des yeux un serveur un instant, avant de replonger dans ses pensées. Étrangement, il se sentait plus sûr de lui-même depuis qu'il avait acheté la dague. Et repensait sans cesse à la visite au parc. Est-ce que Jay ne l'avait pas conduit exprès là-bas?... Mais non!

Il découvrit le sourire que lui adressait un jeune homme en face de lui, sûrement la vingtaine, et se surprit à lui répondre. Décidément, il ne se reconnaissait pas! Après quelques instants, le jeune homme s'approcha de la table:

— Un aussi beau garçon resterait seul à sa table? Décidément, les filles n'ont plus aucun goût de nos jours!

— Peut-être pas... Qui vous dit que je ne suis pas accompagné?

— Rien. J'en avais peut être simplement envie. Puis-je m'asseoir?

— Non... Je veux dire, je voudrais bien, mais mon ami va revenir.

— Ton ami? C'est intéressant. Ne t'inquiète pas, je ne te mangerai pas... du moins... pas tout de suite!

— Et bien alors, pourquoi pas.

Peter se demandait encore pourquoi il avait accepté que cet inconnu s'asseye à sa table lorsque Jay revint. Ce n'était pas du tout son genre de faire des avances de cette façon! Mais pourtant, il sentit un sentiment de satisfaction naître en lui lorsqu'il vit le visage de Jay. Décidément, c'était une drôle de soirée. Quand Jay fut assis, Peter lui présenta Alexander, un jeune architecte s'occupant de travaux d'urbanisation du centre du Caire pour remplacer les bâtiments vétustes.

— Très intéressant, répondit un Jay pas du tout convaincu. Bien, je crois qu'il va falloir y aller Peter.

— Ne joue pas les rabat-joie. Nous n'allons pas laissez Alexander si tôt!

— Restez, c'est moi qui paie la tournée.

Jay avait visiblement de plus en plus de mal à supporter Alexander, au grand plaisir de Peter, que son regard avait déjà envoyé ad patrès une bonne centaine de fois. Il aurait volontiers étranglé le bel "Alex" qui était en train de draguer ouvertement Peter, qui semblait ravi de la situation. Une fois le Don Juan de service parti chercher des boissons, Jay regarda intensément Peter avant de lui demander ce qui lui avait pris d'inviter le bellâtre à leur table.

— Pourquoi, ça te dérange?

— Oui, énormément, répondit Jay qui avait haussé la voix.

— Et on peut savoir pourquoi? demanda Peter qui s'énervait lui aussi.

Il n'avait pas fini sa phrase que Jay avait déjà collé ses lèvres aux siennes. Peter, un instant décontenancé passa ses bras autour des épaules de Jay et s'abandonna à la langue qui fouillait sa propre bouche. Quand Jay retira ses lèvres, Peter se sentit, durant un instant, complètement perdu, et trouva prise dans le regard de son ami, bientôt amant. Ils se levèrent d'un commun accord, alors qu'Alexander refaisait son apparition. Peter lui lança un regard plein de malice en lui lançant un "salut" enjoué, laissant le séducteur comme deux ronds de flanc, bouche bée avec ses deux verres à la main.

Dehors, dans la ville ayant enfin pu s'endormir dans une fraîcheur éphémère, la foule s'était dispersée. Jay tenait par la main un Peter écroulé de rire au souvenir de la tête d'Alex. Jay mit fin à cette crise par un long baiser où deux langues jouèrent un ballet endiablé, mélangeant les deux salives dans un eucharistie beaucoup trop sensuelle.

Ils prirent leur temps, jouant de l'atmosphère électrique, pour ne pas dire sexuelle, qui régnait entre eux. Ils profitaient de ces instant sensuels pour regarder les étoiles, mais dans la main, et profiter de l'air presque frais. Dans une rue proche de leur hôtel, ils s'arrêtèrent, et s'enlacèrent tendrement, Peter dos au mur, les mains passées autour des épaules de Jay, qui découvrait pour la première fois sous le t-shirt de son ami la douceur brûlante de la peau que des mains n'avaient encore jamais effleurées. Ils jouèrent de leurs corps un long moment, trop conscient que ce qui se déroulerait après, dans la nervosité du premier contact, ne leur laisserait peut être pas le temps de savourer aussi longtemps la complicité amoureuse qui venait de se créer.

Effectivement, sitôt la porte refermée, ils se jetèrent l'un sur l'autre, affamés de chair et d'amour. Peter avait retiré sa chemise, et Jay s'attaquait maintenant au short, à genoux, baissant lentement le tissu qui le séparait de l'objet désiré. Enfin il tomba à terre, révélant la bosse monumentale qui tendait le boxer noir. Une tâche sentant le sperme frais ne laissait aucun doute sur l'excitation de Peter, qui augmenta encore lorsque Jay entreprit de lécher consciencieusement le rempart de tissu imprégné de l'odeur intime qui faisait bouillir ses hormones. Peter gémissait de plus en plus fort, et dos au mur se caressait lentement son corps, effleurant son torse musclé, pinçant la pointe sensible de ses seins dressés. Pendant ce temps, à l'aide de ses dents, Jay venait de descendre le caleçon qui libéra la queue trop comprimée. Jay leva la tête pour sourire à Peter, un peu crispé, puis replongea dans l'entrecuisse.

Peter sentit d'abord l'haleine chaude contre son sexe, puis le bout d'une langue venant effleurer son gland. Jay avait l'eau à la bouche, à regarder ce beau gourdin de chair non circoncise, qui battait devant sa bouche. Sans plus attendre, Jay tira la langue pour laper les bourses poilues contenant deux oeufs de beau calibre, avant de les engloutir successivement, à défaut de pourvoir les gober toutes les deux. Sa langue remonta et vint flatter la colonne turgescente. Il se gavait de l'odeur de cette bite tendue pour lui, et après ces hors d'oeuvres, passa au plat de résistance en engloutissant le sexe tendu à en être douloureux. Peter avait posé ses mains sur la tête avançant et reculant en rythme, affolé par la sensation de la caverne chaude autour de son membre. Au creux de ses cuisses, Jay le sentit venir et accélérant la cadence attendait la venue de la délivrance. Le corps de Peter se tendit à se rompre, et dans la gorge de Jay se déversaient les chutes du Niagara, les giclées successives de foutre arrosant ses amygdales. Jay, les lèvres toujours serrées autour de la queue, n'en perdait pas une goutte, avalant le nectar de son ami.

Peter, ivre d'amour, se laissa glisser contre le mur, et Jay vint partager avec lui dans un long baiser la semence offerte. Toujours en douceur, Jay conduisit Peter sur le lit. Encore vêtu de son jeans cachant mal sa queue, il se frotta au corps chaud couvert d'une pellicule fine de transpiration odorante. Il fit glisser son pantalon, révélant immédiatement sa queue libre de tout sous-vêtement, et caressa doucement le corps de Peter. Arrivé aux hanches fermes, il mit Peter sur le dos et laissa sa langue découvrir lentement sa nuque tandis que son index s'enfonçait délicatement dans le sphincter contracté. D'un mouvement patient mais inexorable, Jay agrandit le muscle jusqu'à pouvoir passer son majeur, vite suivi d'un troisième doigt qui acheva de dilater le petit cul encore vierge. Peter laissait échapper de petits cris de douleur tandis que Jay forçait de ses doigts son trou intact. Enfin Jay jugea que Peter était assez ouvert. Il approcha alors son sexe, chuchotant ses recommandations à l'oreille de Peter:

— Ne te retiens pas. Quand tu sentiras que c'est un peu douloureux, pousse un bon coup.

Enfin Peter sentit le membre dressé de Jay à l'orée de son cul, et se crispa un peu quand le gland se posa dans son sillon. Il sentit ensuite la poussée puissante, et étouffa un cri de douleur. Il poussa de toutes ses forces, les larmes aux yeux, et sentit la bite s'enfoncer d'un coup en lui. À la douleur succéda alors la satisfaction de se sentir comblé par la présence dans son ventre. Les cris qu'il laissait échapper n'étaient plus que de la jouissance de sentir le piston de chair aller et venir en lui. Un jus chaud inondait le haut de ses cuisses, et facilitait la pénétration qui lui semblait, à son grand ravissement, de plus en plus profonde. Jay allait et venait, et après avoir comblé Peter par sa présence sentit lui aussi sa jouissance monter, son membre de plus en plus serré par les muqueuses du petit cul qui avait cessé d'être vierge. Dans un cri de délivrance, il libéra sa crème qui jaillit dans les profondeurs de Peter, qui lui aussi, une main crispée sur sa queue, venait de lâcher une nouvelle fois des flots de sperme sur les draps.

Jay s'écroula aux côtés de son amant, et le serra contre lui en l'embrassant, heureux d'avoir été le premier. Il savait que Peter lui rendrait bientôt la pareille, et il sentait sa bite se tendre à nouveau au contact du corps chaud contre le sien.

Peter avait posé sa tête sur la poitrine de Jay, et venait de fermer les yeux, épuisés par ces jouissances nouvelles. Jay allait l'imiter lorsqu'un éclat d'argent attira son attention. Sur la table de chevet reposait l'étrange dague. Mais Jay ne la reconnaissait pas. Soudain, il comprit. Le manche ne représentait plus un homme et une femme enlacés, mais bien deux mâles, dont l'un d'eux était sans aucun doute possible le jeune homme endormi! La tête pleine de questions, Jay ferma les yeux, se laissant aller contre le corps délicieux lové contre lui.

 les commentaires sont ouverts...votre braguette aussi sans doute ! 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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