Samedi 26 janvier 6 26 /01 /Jan 23:20

 

 

Cette semaine là Max me dit qu'il ne pourrait pas venir à l'appartement le mercredi ni le prochain, c'était deux jours fériés et sa femme était à la maison, sur le moment je fus déçu puis je me dis que je pourrais peut être voir avec Patrick et Marc.
Aussitôt les deux furent d'accord, je leur donnai donc rendez-vous pour 14 heures.
Marc et Patrick arrivèrent à 14 heures précises, je leur ouvris et leur dis "Pile à l'heure.
- Tu ne crois pas qu'on allait oublier ou arriver en retard, on sait bien qu'on a un cul qui nous attend.
- Seulement un cul ?
- Non pour être franc, disons un cul, une bouche et surtout une super baiseuse.
- Merci.
- C'est nous qui te remercions car ce n’est pas tous les jours qu'on peut avoir une femelle comme toi.
- Voulez-vous boire quelque chose avant de commencer.
- ça dépend, combien de temps avons-nous avant que l'occupant de cet appart revienne.
- Aucun problème, le propriétaire est absent jusqu'à l'été et en plus comme on n'a pas classe jusqu'à lundi on est tranquille tout l'après-midi.
- Dans ce cas d'accord pour boire un verre.
- Bien".
J'allai dans le frigo chercher le nécessaire et quand je revins dans le salon Marc me dit "Tu sais ce qui va être nouveau ?
- Non.
- Aujourd'hui c'est la première fois qu'on va avoir ton cul fermé, d'habitude le prof est passé avant nous.
- C'est vrai et ça vous plaît ?
- Oui on va tirer au sort pour savoir qui t'ouvrira le cul.
- ça alors.
- Et oui on ne peut pas le faire tous les deux.
- Non mais voilà ce qu'on va faire, celui qui va gagner aujourd'hui laissera l'autre en premier la prochaine fois.
- Mais ce sera quand ?
- La semaine prochaine car Max ne pourra pas venir non plus.
- Super".
Après avoir bus nos verres, Marc sortit une pièce de monnaie et me la donna, il me demanda d'être la main innocente de ce tirage au sort.
Ce fut Patrick qui gagna et il me dit "Ce serait sympa si tu nous faisais un strip-tease et si après tu nous déshabillais.
- Pas de problème".
Sur le rythme langoureux d'une musique orientale j'entrepris de me dévêtir en tournant le dos à mes deux amants, tout en ondoyant j'ôtai mon tee-shirt, je me déchaussai et enlevai mes chaussettes, je fis descendre mon pantalon puis lentement je fis glisser mon string sur mes cuisses fuselées.
Quand je fus nu, je me tournai vers les deux hommes les yeux mi-clos et la langue un peu sortie puis d'une démarche chaloupée je m'avançai.
Je défis les boutons de la chemisette de Marc et lui ôtai tout en lui embrassant le torse, je passai à Patrick le débarrassai de son tee-shirt tout en lui léchant les tétons.
Je délaçai les chaussures de mes deux mecs et les déchaussai puis enlevai leurs chaussettes.
Restant à genoux je pris la fermeture éclair du jeans de Marc entre mes dents et l'ouvris, le pantalon tomba sur ses chevilles.
Me déplaçant devant Patrick je déboutonnai sa braguette et la culotte descendit.
Mes deux amants n'étaient plus que vêtus que de leurs sous-vêtements qui étaient gonflés sur le devant ce qui signifiait que ma petite mise en scène ne les avait pas laissés indifférents.
M'approchant de Marc je soufflai sur le devant de son slip, ce geste eut pour effet de faire se tendre encore plus l'étoffe.
Prenant le slip par l'élastique de la taille je libérai un gros sexe déjà tendu, je déposai un léger baiser sur le bout du membre de Marc et après avoir porté une légère caresse sur les testicules gorgés de sève j'allai vers Patrick.
Après avoir appliqué le même souffle chaud à travers le tissu du short de Patrick je dégageai sa hampe circoncise déjà dressée, du bout de la langue je récoltai une goutte de sperme translucide qui perlait du méat puis je me relevai.
Marc me dit "On savait déjà qu'en baise tu étais la meilleure mais en déshabillage aussi tu es géniale.
- Merci, et maintenant voulez aller dans la chambre et baiser dans le lit ou rester ici ?
- Comme tu veux.
- Pour moi c'est pareil, là bas il y un lit, ici il y a un tapis.
- Alors restons ici, il y a plus de place.
- D'accord, comment voulez vous que je me mette ?
- On voudrait d'abord que tu nous montres ton trou du cul, on voudrait le voir fermé et après ce serait bien si tu te mettais à quatre pattes.
- D'accord".
Je pris un coussin, le posai sur la table et posai mon torse dessus, j'écartai les jambes et prenant mes fesses en mains je les éloignai l'une de l'autre.
Au bout de quelques instants je demandai "ça vous va ou je reste encore comme ça ?
- Tu peux te relever.
- Merci".
Marc me dit "C'est drôle, il est tout petit quand il est fermé, quand je pense comment il est après qu'on t'ai enculé.
- C'est normal il faut bien la place pour laisser passer vos bites et en plus chaque fois que vous me limez il s'agrandit.
- Combien de temps lui faut-il pour reprendre sa forme normale ?
- ça dépend si je ne prends qu'un coup en deux heures c'est fait si c'est comme les jours où je baise avec Max et vous deux, là il lui faut toute la soirée et une bonne partie de la nuit pour qu'il reprenne sa taille.
- Et aujourd'hui si on te baise tout l'après-midi.
- Demain matin il sera normal.
- Putain et ça ne te fait pas mal.
- Non le seul moment où j'ai mal c'est quand on m'ouvre le cul, d'ailleurs Patrick tout à l'heure il faudra que tu fasses doucement car c'est là où j'ai mal, d'ailleurs même si celui qui m'encule fait doucement j'ai toujours mal mais ça ne dure pas longtemps au bout de quelques va et viens mon cul se desserre et après c'est bon.
- ça alors.
- Bon on y va, car moi je commence à avoir le cul en feu.
- Vas-y mets toi en place".
Je pris la position demandée, je me cambrai bien et ouvrit les jambes afin de m'offrir le plus possible, Patrick s'agenouilla derrière moi et me dit "C'est vrai que tu as un beau cul, mais on fait comme ça à sec ?
- Oui enfin tu as deux lubrifiants naturels.
- ...
- C'est à dire, tu as ta salive et ta jute".
Patrick posa ses mains sur mes fesses chaudes et les éloigna l'une de l'autre, il me dit "Que ton trou du cul est petit quand je pense que tout à l'heure ma grosse bite va être dedans".
Il se cracha sur les doigts en me mit de la salive contre l'entrée du canal puis il me pénétra de son pouce.
L'intromission de ce doigt me fit frémir, Patrick me demanda "Ca te plaît ?
- Oui j'aime bien qu'on me prépare avant de m'enculer".
L'homme continua à faire aller et venir son pouce dans mon trou puis il l'enleva et m'enfonça son majeur dans le tunnel et le fit coulisser.
Au bout de quelques instants il dit "Tu verrais Marc je sens que sous mon doigt le trou du cul s'ouvre.
- Je verrai ça la semaine prochaine.
- Pourquoi ne lui donnes-tu pas ta bite à sucer ?
- Parce que je veux l'entendre crier quand tu vas l'enculer.
- ça ne va pas tarder car quand je vois ce cul, j'ai envie de lui mettre tout de suite ma bite.
- Eh bien vas-y n'attends pas".
Je tournai la tête et dit à Patrick "Je t'en supplie ouvre moi encore un peu le cul avec tes doigts, ne m'enfile pas comme ça tu vas me faire très mal.
- Je sais mais j'ai tellement envie de te miser.
- Alors d'accord mais je t'en supplie fais quand même doucement.
- Bien sur ma chatte, mais j'en peux plus je vais te défoncer".
Patrick promena son sexe érigé tout le long de la raie de mon cul s'arrêtant à l'orée de ma corolle, lubrifiant ma porte étroite.
Au bout de quelques instants il positionna son gland turgescent contre ma pastille et me dit "ça y est ma salope, je vais te prendre".
Posant unes main sur mes hanches et guidant sa pine raide de l'autre, mon amant commença à me pénétrer.
Quand le bout durci écarta mes chairs, une brûlure intense me traversa, j'avais l'impression qu'on m'enfonçait un fer porté au rouge dans le ventre et je poussai un hurlement de douleur.
Patrick s'arrêta et me dit "Tu as si mal que ça ?
- Oui mais continue comme ça doucement.
- Si tu veux je peux arrêter.
- Non je veux ta bite dans le cul, continue enfonce toi complètement mais je t'en supplie fais très doucement.
- D'accord".
Lentement centimètre par centimètre mon homme me pénétra, l'intromission fut longue et pénible et quand je sentis contre ma croupe les poils follets de son pubis, je sus qu'il était en moi entièrement.
J'avais les larmes aux yeux tellement j'avais mal, j'avais l'impression que mon trou de balles allait se déchirer tant il était tendu.
Patrick resta immobile me laissant m'habituer à la formidable présence qui m'obstruait le fondement.
Peu à peu je sentis mon anneau se détendre et la douleur devint moins violente, je me tournai vers mon mec et lui dis "vas-y défonce-moi, vas-y doucement mais défonce-moi, fais-moi du bien".
Puis me tournant vers mon deuxième amant je lui dis "Elle est belle, donne-la moi, prends ma bouche".
Marc s'avança et glissa son membre violacé entre mes lèvres, pendant ce temps là Patrick posant ses mains sur mes hanches commença à aller et venir très lentement.
Bien qu'ayant la bouche pleine je ne pus m'empêcher de crier quand la queue raide commença à bouger en moi.
Au bout de quelques va et viens mon anus céda complètement et le superbe phallus pu coulisser en moi plus librement, je pris Marc aux cuisses et me mis à le pomper vigoureusement tout en enroulant ma langue autour de la colonne de chair et en la mordillant.
Peu à peu la douleur s'estompa totalement pour faire place à une douce langueur et je me cambrai encore plus pour m'offrir au maximum.
Soudain Marc plaqua mon visage contre son pubis et éjacula en râlant, un flot de semence crémeuse gicla contre ma gorge et je l'avalai avec délice continuant à cajoler le Priape qui se vidait sur ma langue.
Marc me relâcha et se retira, une fois libéré je pus m'abandonner au plaisir qui lentement prenait possession de mon corps sous les lents coups de boutoir répétés que Patrick m'assénait.
Mon amant me possédait avec une régularité de métronome, son phallus plongeait au plus profond de mes entrailles en feu pour ressortir presque entièrement la seconde suivante.
Mon anneau était complètement dilaté et la grosse pine gorgée de sang coulissait en moi sans gène aucune m'arrachant à chaque passage de lourds gémissements.
Au bout de quelques instants de ce traitement je me mis à râler de bonheur, une boule de feu s'était formé dans mon bas-ventre et remontait vers mon visage pour éclater en mille lumières.
Patrick me pilonnait l'arrière train un peu plus violemment, son ventre plat claquait contre ma croupe en ébullition à me faire mal et je commençais à perdre pied.
J'avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos je savourais le plaisir qui m'envahissait entièrement sous les viriles poussées que je subissais.
Patrick avait posé ses mains sur mes épaules et me tirait vers lui chaque fois qu'il plantait sa verge érigée entre mes lobes charnus.
J'étais tellement excité que je ne vivais plus que pour et par le sexe qui me forait les reins m'ouvrant un peu plus la pastille chaque fois qu'il plongeait au tréfonds de moi.
J'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon rectum affamé et je me mis à rouler des hanches en cadence.
Dans le brouillard où je me trouvais j'entendis la voix de Patrick qui disait "Ah quel cul, mais quel cul, il est vraiment génial, il s'ouvre comme une chatte, c'est géant de baiser cette salope. Regarde Marc comme elle tourne du cul, plus je lui en mets plus elle en veut, quelle salope.
- Oui je vois, plus tu bourres cette pute, plus elle en demande, vas-y Patrick casse-lui le cul, défonce-la cette salope.
- Regarde ce que je lui mets et regarde comment elle tend son fion vers ma bite, quelle pute on a, c'est vraiment de la chair à baiser, je t'assure quelle enculade, ce cul est fabuleux".
Ces paroles me portaient au paroxysme de la volupté et je creusais les reins pour m'offrir plus encore.
J'avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les coups de boutoir répétés que je recevais.
Patrick me besognait maintenant avec des "HAN" de bûcheron, chaque fois qu'il m'enfilait je faisais un bond sur le tapis et dans la pièce en dehors de mes cris de plaisir on entendait le bruit de succion que faisait mon anus chaque fois qu'il avalait le membre démesuré.
Je ne savais plus depuis combien de temps mon amant me baisait, c'était si bon que je ne voulais pas qu'il arrête.
Mon homme me pilonnait le derrière de toute la longueur de son phallus raide et je poussais de petits hurlements de félicité chaque fois qu'il m'enfessait à fond.
J'avais perdu le sens des réalités et je ne vivais plus que pour et par cette superbe queue qui me ramonait le prose.
Un énorme brasier me consumait et je savais que seul ce Priape qui me bourrait pouvait l'éteindre.
Je n'étais plus que jouissance, mon mec me sodomisait maintenant si brutalement que je croyais qu'il allait me déchirer mais je ne voulais pas qu'il s'arrête tant ce que je ressentais était grand.
J'avais atteint le point de non-retour et je me mis à hurler toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon cul Patrick jouit en feulant, un abondant flot de sperme crémeux fusa contre mes parois surchauffées, cela me provoqua un orgasme foudroyant, je tendis ma croupe vers le pénis qui coulait en moi, un hurlement strident pulsa de ma gorge et je tombai à plat ventre sur le tapis entraînant dans ma chute celui qui me montait.
Je sentis Patrick se lever et je restai yeux clos, cuisses écartées savourant les dernières contractions du bonheur autour de ma corolle ravagée.
Quand je reins à la réalité, les deux hommes me regardaient en fumant, Patrick avait le sexe flaccide et tout maculé de sécrétions anales et séminales alors que Marc arborait une splendide érection, je leur souris et dit à Marc "Alors qu'attends tu pour me sauter dessus, je crois que je suis en position.
- Oui.
- Alors dépêche-toi car moi j'ai le cul en feu, Patrick m'a baisé comme un dieu mais j'ai encore très envie.
- je le sais mais je voulais simplement te laisser le temps de jouir de la baise avec Patrick avant de te sauter.
- C'est gentil ça, mais allez maintenant viens me baiser.
- Tout de suite ma poule, mets-toi sur le dos et lève tes jambes".
Patrick prit le chemin de la salle de bains, je pris la position demandée, Marc écrasa sa cigarette et se leva.
Mon amant s'allongea sur moi, il guida son sexe dressé entre mes fesses et m'enfessa d'un violent coup de reins qui me fit gémir.
Marc et Patrick me prirent 4 fois chacun et je les suçai 3 fois, quand ils m’abandonnèrent il était 19 heures, j'étais rempli de sperme de la tête aux pieds, mes cuisses étaient poisseuses de foutre, mes lèvres étaient enflées à force de sucer et mon trou du cul était complètement éclaté mais comblé.
Alors que je revenais à la réalité Patrick me dit "Eh bien quelle baise, tu nous as vidé complètement les couilles.
Hein Marc.
- Oh oui je crois que je n'ai plus une goutte de jute.
- En tous les cas, moi vous m'avez rempli le cul.
- On le voit d'ailleurs tu fuis.
- je le sais vous m'avez totalement inondé.
- Je me demande comment tu peux accepter autant d'enculades, je ne connais pas une fille capable de se faire baiser autant de fois à la suite.
- Moi j'aime ça.
- Mais tu n'as pas mal au cul.
- Un petit peu mais c'est tellement bon de sentir une bonne grosse bite rentrer et bouger que je ne pense pas au mal.
- je ne sais pas, c'est la première fois qu'on baise une pédale, est ce que toute les pédales sont comme toi ?
- je ne peux pas te répondre car je ne connais pas d'autres pédés mais d'après Max je suis unique.
- C'est bien notre chance, on tombe sur la meilleure, remarque on ne s'en plaint bien au contraire.
- Merci.
- c'est nous qui te remercions de nous donner autant de plaisir.
- Bon si nous allions nous laver.
- Oui tu as raison".
Nous partîmes sous la douche où nous libérâmes nos corps de toutes les toxines et après nous être quittés chacun partit de son côté.

à suivre...


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES
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