Vendredi 12 avril 5 12 /04 /Avr 06:23

 

 

Je reçois ce matin une proposition d'invitation au "Club des A". Pour m'inscrire, je dois lire, accepter et signer le règlement intérieur que je soumets à votre appréciation:

— 1. Le club n'est ouvert qu'aux personnes invitées ayant signé l'accord ci-joint et présentant toutes les garanties médicales nécessaires (certificat attestant la séronégativité datant de moins de huit jours).

— 2. Les membres du club, au nombre de dix, sont copropriétaires du gymnase spécialement aménagé pour les rencontres sexuelles avec leurs invités: agrès, engins de suspension, salle spéciale scatologie, salle de repos...

— 3. Ils s'engagent à accueillir leurs invités dans les meilleures conditions sanitaires (certificats médicaux mis régulièrement à jour, salle de douches, salle de massage, ménage assuré par eux-mêmes, appareils stérilisés).

— 4. Les invités doivent se plier aux exigences de leurs hôtes.

— 5. Toutes les pratiques sexuelles doivent être acceptées à l'exception de tout débordement portant atteinte à l'intégrité physique des invités: sang, fractures, brûlures, étouffements. La dilatation extrême de leur anus fait partie des risques non interdits.

— 6. Sauf dans le cas d'une séance uro-scato, les invités doivent se présenter en parfait état de propreté externe et interne. Un triple et aondant lavement est imposé.  Les parties sexuelles (couilles, bite, cul) doivent être épilées. Le système pileux du bas-ventre est toléré si les poils sont courts.

— 7. Les séances sont de longue durée, surtout si les dix membres y participent. Les invités doivent donc prévoir une présence minimum de 12 heures. Les invités doivent participer très activement aux échanges sexuels et ne pas hésiter à manifester bruyamment, hurler leur douleur, crier leur plaisir, râler, péter, roter, demander davantage, mais ils ne peuvent pas refuser tout acte difficile à supporter. Les locaux sont parfaitement isolés phonétiquement et géographiquement.

— 8. Ils doivent être prêts à absorber le sperme ou la salive des partenaires, ainsi que leur urine et leur merde, en cas de séquence scato.

— 9. Ils assurent ne jamais colporter ce qu'ils ont subi dans le seul but de nuire aux membres du club. Ils peuvent, par contre, proposer un ami proche et relater leur propre expérience sans divulguer les noms des membres accueillants, ni le lieu des séances.

Rien que de lire ce document, je me mets à bander et je n'hésite pas à signer mon engagement pour me livrer à ces dix membres.

Je dois attendre quelques jours avant de recevoir mon "invitation". Rémi, mon cher petit Rémi, en profite pour me préparer minutieusement à cet événement.

— "Club des A" que peut signifier ce A? demande Rémi.

— Je ne sais pas... Amis... Amours... Acrobates... Appareils? dis-je.

— Anatomistes... Apollons... Avaleurs? suggère Rémi.

— Je crois que c'est Adonis! ajoutais-je.

— Du nom de leurs invités... Pourquoi pas! Tu es un vrai Adonis! me lance-t-il.

Rémi inspecte chaque centimètre carré de ma peau pour traquer le moindre poil disgracieux et il tond avec précision ma jolie toison blonde. Tous ces soins s'accompagnent inévitablement de serrements amoureux et d'éjaculations grisantes. Ah, si j'avais pu l'inscrire avec moi! Ce sera probablement pour une prochaine fois, si j'en reviens ravi!

Le jour fatidique est arrivé. Je me pare de mes plus jolis atours: un mini-slip de coton blanc englobant mon ravissant paquet et cachant à peine la raie de mes fesses, un jean moulant, une chemise aux pans retombant sur le pantalon... Un petit air négligé qui plaît souvent! J'arrive au lieu de débauche avec un trac dissimulé, en tordant légèrement du cul.

Mon entrée fait un effet tel que les mecs restent médusés et n'osent pas entrer dans le vif du sujet. Je me mets à les encourager:

— Je suis là pour vous prêter mon corps! N'hésitez pas!

— Tu nous impressionnes, tu es si beau!

— Alors profitez-en au maximum!

— Pour ça, t'inquiète pas! Un si joli blond, ça ne laisse pas indifférent!

Ils s'approchent, l'un d'entre eux commence à passer ses mains sous ma chemise, à la soulever en dénudant mes reins, mon ventre et mes hanches. Que j'aime ce contact voluptueux! Sa bouche s'approche de la mienne, sa langue commence à me lécher les lèvres que j'écarte pour qu'elle passe sur mes dents puis autour de ma propre langue. Ses lèvres se collent parfaitement aux miennes, il se met à aspirer ma salive...

— Ah! Oh! Mmmm! Quel bon jus!

Une autre langue s'amuse avec mon nombril et monte pour atteindre un de mes tétons. De nombreuses mains commencent à me tripoter les cuisses, les fesses, les hanches et, inévitablement, mon service trois-pièces. Les mecs sont en short et visiblement, ils ne portent pas de slip car leurs bites pointent, leurs couilles ballottent. Le tissu est magnifiquement remuant, je suis très curieux de voir ce qu'il cache et d'en profiter.

— Oh! Putain! Qu'il est superbe! Foutez-le en slip!

En quelques secondes, je ne porte plus que ce dernier rempart de coton. Ma bite, tendue vers le bas, en soulève le tissu. Devant ma tenue très provocante, ils se mettent à gueuler:

— Slip! Slip! Slip! Hourra!

— Monte sur la poutre qu'on voie ça de près!

Je dois alors équilibrer ma démarche et progresser lentement entre deux rangées de spectateurs. Mon bassin encore couvert du slip est à la portée de leurs bouches et ils ne se privent pas à mon passage, de fourrer leur nez ou leur langue sous le tissu, de soupeser mes couilles ou de titiller mon gland décalotté, de lécher mes fesses largement dégagées. Ils admirent ma tenue qui ne cache plus grand-chose:

— Oh! Les jolis bonbons!

— Quelle grâce! ce garçon me fait damner!

J'arrive au dernier de la file, raide comme jamais! En tirant sur le slip, il fait violemment gicler ma bite en dehors du dernier rempart. Mon cache-sexe ne cache plus rien du tout! Il est devenu inutile et se retrouve bien vite à mes chevilles.

— On va se régaler les gars!

— Remonte à l'autre bout de la poutre et fais un deuxième passage.

Cette fois, je suis entièrement nu! Ma bite, mes couilles sont successivement englouties par toutes ces bouches gourmandes. Mon anus est atteint par des langues très fouilleuses. Des mains me palpent partout. Je suis à la limite de l'extase. Heureusement, je suis arrivé au bout de mon parcours et j'ai pu retenir mon envie de jouir.

— Allez les gars, on pose notre bite sur la poutre!

Ils ont quitté leur short, j'admire alors ces grosses queues qui vont bientôt entrer et gicler dans mon corps.

— Allonge-toi sur le ventre, rampe et lèche!

Dix bites de belles tailles constituent un chemin extraordinaire: une échelle horizontale avec dix échelons de chair ferme. J'avance difficilement et je fais une halte à chaque sexe que je dois lécher de sa base à son gland. Pendant cette progression délicieuse, je sens de grandes claques sur mon petit cul bien exposé tandis que certains s'amusent à m'attraper les couilles par dessous et à les triturer. Ma bite se frotte perpendiculairement aux échelons à la fois si durs et si doux et là encore j'ai failli expulser ma liqueur. J'arrive à la dernière bite et j'entends:

— Prêts les mecs? Attention, on soulève!

Je me trouve soudain porté à l'horizontale par dix bites (cinq de chaque côté de mon corps)... un peu aidées par quelques mains... Ils me promènent ainsi dans la salle en hurlant:

— Qui en veut? Il est prêt à consommer!

Ils me posent sur le tapis de sol et m'obligent à marcher jambes très écartées.

— Superbe! Admirez ce paquet bien frais, cet anus encore serré, ces fesses bien rondes et fermes.

Je suis à quatre pattes. Il y en a un qui s'allonge sous moi et qui me dit:

— Si tu chies, j'avale!

Un type, qui semble être le chef intervient:

— Si tu veux sa merde, on le convoquera à une séance spéciale, mais pas ici!

— Dommage, j'en voudrais, pourtant!

— Sois patient, notre petit ami reviendra certainement, n'est-ce pas? Et ses boyaux sont vides... Pour l'instant!

— Contentons-nous de gober ces deux jolis petits fruits roses qui pendouillent et de s'accrocher à cette belle branche!

— Oh les bonnes couilles!

— Robuste cette bite!

— Va faire des roulades aux barres parallèles!

— Bonne idée! On pourra t'admirer d'une autre façon.

Sauf que je n'aime pas ce mouvement qui me fait très mal aux bras! Je m'y résous cependant et leur offre ainsi le spectacle de mon entrejambe largement ouvert à leurs regards concupiscents.

— Que c'est beau! Léchons tout ce qui pend mes amis!

— Regardez ce joli trou! Quand je pense qu'on va l'agrandir... naturellement!

Ils me soulèvent de mon perchoir et me portent sur le lieu de mon premier enculage. Un mec couché sur le dos tient sa grosse bite à la verticale.

— Plantez-le dessus! Visez bien!

Ils m'empoignent, me soulèvent et m'empalent presqu'à sec sur ce pieu bien dur.

— Aie! Salauds! J'ai mal! Aie! Non! Ça rentre... Oui! C'est bon! Plus loin, plus profond!

Je suis assis sur le bas-ventre de mon enculeur.

— Parfait! Remontez-le!

— Agitez-moi! Secouez très fort!

Bien porté par trois mecs qui m'impriment un puissant va-et-vient sur le pal particulièrement fougueux, je sens que la douleur est remplacée par un plaisir immense.

— Ouiiiii! Plus vite! Ça vient! Encore plus vite! Ahhhhhhhhh! Que c'est bon!

Il crie que son foutre m'envahit l'anus; je suis aussitôt retiré du pieu et bien vite placé sur une autre queue en attente. Celle-là est plus longue car je sens qu'elle va plus loin que la précédente. Pendant ce nouvel enculage, un mec mélange sa salive à la mienne et un autre me bouffe la bite. Je sens le plaisir monter dans mon bas-ventre.

— Ne suce pas trop fort, je ne veux pas jouir tout de suite!

— Je veux boire ton foutre.

— Attends un peu, il en faudra pour tout le monde!

Le second enculeur s'est lâché en hurlant son bonheur.

— Ah putain! que c'est bon!

On me pose à terre et on me promène sur le tapis de sol en me tirant par la queue jusqu'au cheval d'arçons contre lequel on me courbe pour me faire subir trois autres assauts. Chaque fois des langues me lèchent partout, des mains me caressent ou me branlent. Chaque fois, je dois saliver dans une bouche ou sucer une bite ou encore lécher un anus. Chaque fois, je me régale. Chaque fois, j'en prends plein le cul. Chaque fois, je risque de jouir.

Ils sont déjà cinq à avoir éjaculé en moi, ceux-là se reposent avant de revenir à l'attaque. Je crois d'ailleurs qu'ils respirent des poppers pour se donner du coeur à l'ouvrage. Il en reste cinq. Le foutre dégouline déjà à l'intérieur de mes cuisses, j'ai eu de fameuses doses dans les boyaux!

— Viens là! Je vais te nettoyer!

C'est à grands coups de langue qu'il récupère le liquide sur ma peau lisse, mais souillée et qu'il me crache cette liqueur dans la bouche. J'aime ça! Une énorme queue vient au fond de ma gorge à m'en faire dégueuler; je la pompe avec ardeur, elle gicle et j'avale.

Une belle mêlée s'ensuit. Ils sont encore quatre à vouloir se vider: deux le font dans mon cul et un troisième dans ma bouche. Je suis ainsi gavé de sperme et mon anus est plus que jamais humecté. J'ai encore les couilles pleines! Qu'est-ce qu'ils attendent pour me les pomper? Je n'en peux plus! J'ai mal aux couilles, il faut que j'explose! Cela se produit lorsque, debout, je dois subir les coups de boutoir du dernier qui me fait ainsi marcher en me tenant la queue. Je ne peux plus me retenir. C'est merveilleux! Ça part! J'inonde le sol en criant ma jouissance.

— Oui... C'est trop bon! Ahhhhhhhhhhhhh!

Je suis épuisé. Mon petit cul accueillant est en feu et il n'a pas fini de supporter des introductions de plus en plus envahissantes... Les premiers jouisseurs sont déjà prêts pour un second jet. Ils profitent du repos de leurs compagnons et de leur victime pour éponger avec leur langue les gouttes du sperme que j'ai lâché sur le tapis de sol.

— Que c'est bon, un foutre si blanc, si abondant et encore tout chaud!

— Ne prends pas tout, sale égoïste!

— Viens le chercher dans ma gueule!

Une mêlée de corps se forme à l'endroit de mon éjaculation, des râles impudiques accompagnent le festin. Un énorme rot retentit... sans doute la bière goulûment avalée en est la cause. J'imagine qu'ils vont bientôt avoir envie de pisser. Je respire à grands coups le poppers destiné à ma remise en forme. Il fait son effet et me voici au centre du tapis dans l'attente de nouvelles attaques.

— Voyez ce trou! Encore trop petit pour la partie finale!

— Une bite c'est peu, et si on passait à deux?

Sitôt dit, sitôt fait... Deux gars s'allongent sur le dos, en sens contraire, entre-cuisses emmêlés, leurs couilles se touchent et leurs queues se dressent l'une contre l'autre à la verticale en formant un énorme pieu sur lequel des costauds me placent sans ménagement, guidé par un voyeur à quatre pattes. La douleur de la pénétration est intense mais je ne hurle que mon bonheur de me voir ainsi bourré.

— C'est gros! Salauds! Bougez-moi! Plus fort!

— T'aimes ça, petit enculé!

— On va t'en donner encore quatre fois.

— Toutes vos bites en même temps si vous voulez!

— Pas possible et c'est bien dommage!

Les frottements dans mon cul et contre la bite du co-enculeur provoquent l'extase de chaque empaleur.

— Aux suivants!

Et ça recommence... Je ne peux retenir un pet retentissant: un véritable gargouillis qui enchante mes enculeurs. Mon corps est assis sur d'autres paires de queues jusqu'à ce qu'ils aient vidé pour la seconde fois leurs couilles inépuisables. Inépuisables, car les voici à nouveau en ordre d'attaque. Cette fois, il semble que le clou de leur orgie est arrivé. Deux types se placent debout face à moi, assez distants l'un de l'autre.

— Pends-toi aux anneaux, lève les cuisses, écarte bien et pose chacune sur leurs épaules.

J'ai ainsi une position extrêmement ouverte, mon anus est parfaitement exposé et ma bite se trouve à la hauteur d'une bouche très avide. Je vois un gars qui joint sa main et son avant-bras d'une graisse blanche. Avec frayeur et envie, je comprends que je vais y passer... Les doigts pénètrent tranquillement... Un, deux, trois, quatre, le pouce. Jusque-là ça va! Des aller et retours augmentent l'ouverture de mon cul. Je sens une pénétration de plus en plus importante, j'ai de plus en plus mal mais je bande quand même et mon suceur y est pour quelque chose! D'autres me caressent le ventre, les fesses, les hanches pour atténuer mon martyr. Deux connaisseurs me sucent les doigts de pied, j'ai du mal aussi à supporter ces chatouilles. Il y en même un qui me fourre un, deux, trois, quatre doigts dans la bouche... comme s'il voulait aller serrer la main qui m'envahit le fondement! Il me fait ainsi saliver, il sort ses doigts pour les donner à goûter à un gourmet.

— Hummm! Qu'ils sont bons tes doigts!

Je sens que le fisteur progresse encore, il doit fermer le poing car j'ai l'impression d'exploser.

— C'est dur... Ouille ouille ouille! Pitié! Tu vas me casser le cul!

— Tu m'appartiens! Je te porte par le cul.

En disant cela, il me soulève au point que ma queue sort de la bouche prête à recueillir le résultat de ma souffrance mais heureusement, je ne lâche pas les anneaux. Le suceur reprend vite ma queue au moment où je lâche mon foutre dans sa gueule. La sortie du pal vibrant hors de mon cul est très difficile car je ne suis plus excité et je ressens davantage la douleur. La durée de l'extraction me fait frémir à la pensée de la longueur totale introduite!

Je reste allongé sur le sol, désarticulé, le cul en l'air, le trou largement offert à la vue de mes tortionnaires. Les voilà qui se mettent à pisser dedans. Pas bien dur de viser tant mon anus est distendu! Je sens leurs jets très drus envahir mes boyaux. J'ai trop mal au rectum pour apprécier le fait d'être leur urinoir et j'ose espérer qu'ils ne vont pas encore m'enculer. Je n'en peux plus, ils s'en aperçoivent et choisissent de m'épargner en se branlant sur moi. Leurs dernières gouttes s'écrasent sur mon visage, ma poitrine et mon bas-ventre.

Mon cul est plein, ça coule partout! Ils me portent alors sous la douche où ils prodiguent des soins attentifs pour me redonner l'éclat que j'avais en entrant chez eux. Ils me portent enfin dans une petite pièce occupée par un grand lit sur lequel ils m'allongent avec précaution. Je suis alors dorloté, caressé, embrassé... Ils guettent mon anus et attendent qu'il retrouve une ouverture raisonnable puis m'enfilent mon slip. Je suis rassuré et je finis par m'endormir.

Je fais un rêve merveilleux, plein de corps mâles enlacés, lorsque je sens une douce, humide et chaude chatouille sous mes couilles. Je me tortille tant j'apprécie ce genre de caresse. C'est une langue très chaude qui s'est frayé un chemin dans mon slip, entre mes cuisses. Je la sens pénétrer davantage à l'intérieur du tissu et remonter jusqu'à la base de ma bite, laquelle commence à réagir à l'appel du lécheur!

Il est seul, je l'attire sur mon lit, mon slip est baissé, ma bite est totalement avalée, humectée, prête à investir le trou qui m'est ensuite présenté. Je l'encule avec joie, j'y ajoute une certaine violence pour me venger un peu de tout ce que j'ai subi... et pourtant adoré. Mon dernier foutre du jour est absorbé par celui qui m'a fisté. En jouissant, j'ai fortement pensé avoir une queue grosse comme son bras.

Rémi, mon petit Rémi chéri, j'ai beaucoup pensé à toi pendant ces ébats; j'espère que tu en seras, la prochaine fois! J'attends la prochaine nuit où je m'endormirai avec ta jolie bite dans la bouche et mon nez enfoncé dans la douceur de la peau de tes couilles...

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Par claudio - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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