QUELLES EXPERIENCES ? Ben vous allez voir
Bisex marié se fait aimer par un Antillais de 1ère catégorie...(Bon ! le black se prénomme Claudio ! hum
!).
À quarante-deux ans, marié depuis 18 ans, ma vie rangée est consacrée à l’éducation des enfants. Ma femme est beaucoup plus préoccupée par son
travail que par ma personne. Sexuellement, c’est presque le point mort. J’en suis réduit à me faire jouir en me branlant en fantasmant sur des jeunes mecs que je rencontre ici et là. Bisexuel
depuis ma naissance, mes envies de mecs n’ont malheureusement jamais dépassé le stade du fantasme. Cette année, nos vacances se déroulent dans un sympathique village de vacances. Ce soir je viens
de raccompagner ma femme qui reprend son travail une semaine plus tôt.
Le TGV vient de s’ébranler et je traverse le hall pour reprendre ma voiture. Un conducteur tente vainement de démarrer son véhicule. Mais,
vraisemblablement, la batterie vient de rendre l’âme. Je le reconnais: c’est Claudio, le professeur de gym et le maître nageur du village. Antillais, environ 17 ans, athlétique, ses belles dents
blanches, son sourire enjôleur, sa grande stature lui confèrent une aura auprès de la gent féminine.
— Laissez votre voiture dis-je! Je vous ramène au village!
— Bonsoir Christian, merci de m’éviter une longue marche à pied.
Son regard perçant a repéré la bosse de mon entrejambe, sous mon jeans. Je suis à la fois flatté et gêné.
— Vous avez de la chance, je viens de déposer ma femme à la gare.
— C’est elle qui a de la chance d’être avec un homme si charmant.
— Hélas! C’est son travail qui l’intéresse avant tout
— C’est bien dommage! Si j’étais à sa place...
Claudio me dévore des yeux. Je n’ose pas croire ce que je viens d’entendre. Ai-je rêver ou s’agissait-il vraiment d’une proposition? Cela fait bien
longtemps qu’un homme ne m’a pas regardé ainsi. Je suis d’abord surpris
— À votre âge et mignon comme vous l’êtes, les jeunes femmes doivent vous tomber dans les bras. Moi j’ai quarante-deux ans! Alors...!
— Pas seulement les femmes, les hommes aussi. Moi ce qui compte, c’est le plaisir, peu importe le sexe. Et détrompez-vous, j’aime autant les hommes
murs.
— Vraiment, qu’est-ce qu’ils ont de plus que ceux plus jeunes?
— Ils sont plus gourmands, souvent insatisfaits, enclins à tenter de nouvelles expériences
— Quelles expérience?
— Je ne sais pas. Disons avoir une aventure avec un partenaire plus jeune ou un homme de couleur.
Son allusion coquine réveille en moi le vieux fantasme de beaucoup d’hommes mariés, bi ou gay. Sont-ils aussi bien montés et aussi bons amants que
le dit la légende? Mon esprit est tiraillé entre mes scrupules d’époux fidèle, la crainte que ma femme n’apprenne une éventuelle incartade. Le constat est pourtant amer: cette derniere n’est plus
capable de me procurer du plaisir!
Malgré moi, je jette un regard sur Claudio et plus particulièrement sur la bosse imposante qui déforme son pantalon. Ainsi, mon âge parvient encore
à troubler un autre homme. Je le regarde, amusé.
— Tu oublies une chose: je suis marié.
— Tu ne serais pas la premier homme marié à tenter l’expérience, rétorque malicieusement mon interlocuteur.
Je deviens rouge de confusion. Le silence s’installe pendant le reste du trajet.
— Je ne t’ai pas choqué au moins?
— Non, pas du tout.
La voiture s’arrête devant le gîte désert.
— Merci beaucoup! Viens prendre un verre.
— Je vais voir ce que font mes enfants et je te rejoins.
Comme l’équipe d’animation organise une soirée dansante pour les adolescents, je suis donc tranquille. Sous la douche, tandis que l’eau glisse sur
ma peau, des pensées inavouables s’emparent de mon esprit: une petite voix me suggère: "Profite-en mon gars, l’occasion ne se présentera pas de si tôt." En effet, je rentre samedi et ma femme
pourrait le savoir. Je travaille à la mairie de notre petite ville et les ragots courent très vite. Trop risqué. "Tu as un fantasme et l’occasion inespérée de le réaliser, Profite-en," me
conseille la petite voix.
J’enfile un pantalon de coton ouaté et décide de ne pas porter de slip dessous. J’enfile une camisole et alors que le miroir de la chambre me renvoi
mon reflet, je me sens ainsi beau et désirable. À mesure que je m’approche du bungalow du beau prof de gym, une douce chaleur commence peu à peu à envahir mon corps. Mon cœur s’est mis a battre
la chamade. Je me dit: "Merde, quest-ce que je fais là?" Je frappe discrètement, jetant un oeil inquiet aux alentours.
— Entre!
Claudio porte un short et une chemisette à fleur à demi ouverte sur un poitrail musclé. Il est vraiment craquant. À la faveur d’un punch bien frais
puis un autre, l’alcool commence à me griser gommant mes inhibitions. Rapidement la conversation glisse vers le sexe et les allusions coquines.
— Ta femme a de la chance.
— Elle ne me regarde presque plus.
— Je peux la remplacer si tu veux! en posant ses mains sur mon torse.
Je reste paralysé par son sourire aguicheur et attendrissant. La chaleur envahit mon entrejambe. La pointe de mes seins se tend sous ma camisole.
Claudio s'en est aperçu. Ses mains, plus pressantes, se faufilent et se promènent sous celle-ci. Ses doigts s'attardent sur mes mamelons. Les yeux clos je m’abandonne. Il me retire ma camisole et
sa main explore mon ventre et glisse doucement vers le bas tout en léchant mes mamelons. Je tremble d’excitation, je n'en peux plus.
J’ouvre mes jambe, sa main s’immisce dans mon jogging. Claudio caresse doucement ma queue devenue bien dure et mes couilles. Il m'enlève
délicatement mon pantalon et m'embrasse dans le cou en me branlant doucement. Pendant que je le débarrasse de sa chemisette, la bosse de son short frotte contre ma cuisse. Ses mains douces
caressent mon dos. Ses doigts descendent et caresse mes fesses. Complètement excité, je pense à sa queue, je l´imagine grosse, épaisse, prête à me faire jouir. C’est plus fort que moi, je veux
savoir.
Mes mains plongent dans son slip. Je ne suis pas déçu: une longue verge que ma main n'arrive pas à entourer complètement. Je ferme les yeux
imaginant un tel engin dans mon anus. Je l’embrasse à mon tours tandis ma main masturbe doucement la longue tige de chair qui grossit sous mes caresses. Les doigts de Claudio s'attardent sur mes
fesses et l’entrée de mon anus. Il me sourit:
— Tu as envie?
— Oh oui! Mais ta queue est si grosse, j’ai peur d’avoir mal. Tu es mon premier et cette nuit j'assouvis un fantasme. Tu es comme dans mes
rêves.
— Laisse-moi faire. Après tu ne pourras plus t’en passer.
Il s'accroupit et entreprend de lécher mon anus. Cette langue est si bonne, elle tourne autour de mon trou, descend vers mes couilles. Mmmmh!
J’adore. Mon anus mouille de plaisir alors que j’écrase mon cul sur sa bouche gourmande. Il me boit en insinuant sa langue dans mon trou. Ses mains me prennent les fesses, les palpes sans
ménagement. Jamais je n’ai gémi aussi fort, jamais je n’ai vu mon corps qui ondulait si violemment sous le plaisir. Je râle de plaisir pendant de longues secondes. Oh quel amant! Je mets de
longues secondes à reprendre mes esprits. Mon amant m’embrasse doucement attendant que je revienne à moi.
— Oh Claudio! C'était génial!
Pendant que nous échangeons un baiser goulu où nos langues s’entremêlent fougueusement, je descends fébrilement son short, libérant son sexe qui se
plaque contre mon ventre.
— Tu es prêt?
Pendant qu’il achève de se déshabiller, je suis fasciné par cette verge imposante droite et tendue, prête a me faire jouir. Couché sur le dos, je
ferme les yeux subissant un délicieux supplice. N'en pouvant plus, il écarte mes jambes et il presse son sexe a l’entrée de mon anus. Sa queue investit complètement mon trou. Il recule, revient. À chaque poussée il
va un peu plus loin. Puis délicatement, sa verge fraye son chemin où seul lui peut aller. C'est divin. Mon anus se dilate pour l'accueillir. Mon amant achève de me pénétrer. Ses testicules
viennent toucher les miennes. C´est incroyable comme il me remplit, j´ai l´impression d´avoir le cul complètement distendus par cet engin d´une grosseur phénoménale. Je savoure cet instant en
caressant son dos. nos langues se mêlent pour un baiser qui n’en finit plus tandis que mes mains se posent sur ses fesses musclées.
Me sentant prêt, Claudio commence son va-et-vient. D'abord lentement puis le mouvement s'accélère. Je me colle à lui. Son long bâton de chair
laboure mon anus en feu. Je ne croyais jamais être rempli ainsi. Je ne pense plus qu´à ce sexe énorme qui me laboure. C´est doux, c´est chaud. Chaque coup de butoir augmente mon plaisir. je sens
monter au fond de mon ventre des sensations inconnues. Mon cul se contracte violemment Je ne suis plus qu´un sauvage en rut en train de se faire monter et mon corps tressaute de plaisir.
Jamais je n’ai joui autant avant. Il continue à me besogner et comme je trouve ça bon, mes jambes enlacent mon partenaire pour mieux le sentir en
moi. Sa queue profondément enfoui au fond de mes entrailles, il triomphe:
— Alors ton premier black?
— C’est super, ta bite me rend fou, continue!
Encouragé, il continue à me besogner avec vigueur. Puis il se dégage, s'assoit sur le divan. Je m'empale en lui tournant le dos. Ses belles mains
sombres se posent sur mon ventre et accompagne le mouvement de mon bassin qui glisse sur sa tige. Je me colle à lui je sens son souffle chaud contre mon cou. Il me mordille une oreille. Je ne
peux résister très longtemps à cette caresse. Il l'a deviné. Une main se plaque doucement sur mon sexe. Ma respiration devient haletante. Son pénis accélère son mouvement. Je n'en peux plus
retenir. Une vague de plaisir m'inonde et je ne peux que crier ma jouissance en éjaculant. Alors que plusieurs jets de mon sperme se retrouve sur le plancher, je sens le sien emplir mon ventre.
Alors que je me relève et que je fais quelque pas en avant, il me demande:
— Et puis, satisfait?
— Et comment, jamais je n’ai joui comme ça.
— Tu crois que ça se termine ainsi, regarde...
Je me retourne et m’aperçois que sa queue est toujours bien dure.
— Désolé chéri mais je suis insatiable!
— Je vois ça, mais moi bien que j’en ai encore envie, j’ai bien peur de ne plus être capable de bander de nouveau.
— Tu crois vraiment ça, ça paraît que tu ne connais pas les ressources insoupçonnés des Antillais. Laisse-moi faire!
D’un coup, il s'allonge sur moi tête-bêche pour saisir mon sexe. Une main caresse ma queue et son autre main joue avec ses testicules. Il s´applique
en le titillant avec sa langue tout en le massant avec sa main. Il me suce avec application, caressant mes couilles puis mes fesses. Très vite ma queue grossit dans ma bouche.
— Oh oui, continue!
Mon gland distend maintenant sa mâchoire. Il tourne sa langue avec délicatesse tandis que sa main continue à jouer avec mes couilles. Ma respiration
devient rapide. Mon sexe remplit totalement sa bouche. Ses grandes mains se posent sur mes fesses.
Je sens son doigt s'insinuer dans mon anus, agile, doux. C'est divin. Il serre mon sexe dressé devant lui. Il masturbe ma longue tige de chair puis
sa langue l’explore sur toute sa longueur. Je me redresse un instant pour contempler l’effet produit. À nouveau, sa langue tourne autour de mon gland puis l'aspire, titille les points
sensibles.
— Tu suces divinement, mais ce que je préfère c'est sentir ta grosse queue en moi...
D’un seul coup, il me prend en levrette avec une violence inouïe. Ses testicules heurtent mes fesses avec un clapotement indécent. Je ne vois plus
sa queue, mais la sensation est intense. Son pénis cogne contre ma prostate m’arrachant un hurlement de plaisir à chaque assaut. Le plaisir en est presque douloureux. C´est incroyable d’être
pilonné ainsi par cet engin d´une grosseur phénoménale.
— Tu me sens bien? me crie Claudio dans un souffle.
— Oh oui! Bien à fond! Encore plus fort!
Mon amant force encore son mouvement; l'orgasme arrive à nouveau violent, spectaculaire. Mon anus se contracte sur la longue verge de chair. Un flot
de sperme déclenche un orgasme encore plus violent que les précédents parcourant mon corps en vagues successives... Nous jouissons de nouveau tous les deux bruyamment.
Au petit matin, je regagne mon gîte, certes un peu a la fois honteux mais heureux. Claudio m’a comblé. Mon cul est un peu douloureux d’avoir été
tant malmené, mais je recommencerais n’importe quand.
Heureux ceux qui comme moi ont pu assouvir leur désir! ¤
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