Lundi 8 avril 1 08 /04 /Avr 02:10

http://www.ewriters.it/leggi.asp?W=69456  ma matière première en italien (les italopithèques sont de sacrés baiseurs! )

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  x Il n'a ni baguette ni costume trois pièces mais dans la vigne c'est lui le chef d'orchestre. L'oenologue supervise toutes les étapes de la vinification (la fabrication du vin), et par ses choix, en améliore la qualité. Il privilégie tel cépage, conseille le traitement de la vigne, choisit la date de vendange, le mode de conservation du jus de raisin, l'assemblage entre les différents cépages... jusqu'à la mise en bouteilles. C'est lui aussi qui garantit la sécurité alimentaire du fameux breuvage. Un rôle technique donc, mais pas seulement, puisqu'il encadre l'ensemble des ouvriers et des techniciens (maîtres de chai, cavistes...) mobilisés pendant et après les vendanges. Image à droite : Suggestive en diable : une cave en Champagne ressemble à un trou du cul dans lequel...

 


Image associéeJe vous écris sur une couleur lie de vin. Claudio était ce que j'appelle « un crypto gay » c'est à dire qu'à aucun prix il n'aurait accepté de révéler publiquement son homosexualité taboue dans son milieu familial et professionnel. Rien d'exceptionnel en cela et moi non plus, puisque je me considère comme bi et que je mange 'aux deux râteliers', me nourrissant tour à tour de mecs et de nanas. Un vrai faux cul, quoi ! Mais lui, Claudio, a développé un sens du double langage si difficile à suivre pour les non initiés et qui atteint au surréalisme !  Merci de votre fidélité ! Cavaillongay

 

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Je n'avais jamais imaginé que ça pourrait être comme ça, je n'avais jamais imaginé que je finirais par être baisé par mon bon ami. Mais il a une bite si puissante et sait s'en servir. 

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x Image associée de moins en moins de gens permettent qu'on fume...et vous ?

C'est tout un art de créer ou recréer de bons vins concurrents internationaux de vins de renommée mondiale.  

 Je savais que Claudio, fils d'amis de la famille, était depuis longtemps considéré comme un œnologue établi et réputé, qui suivait de nombreuses entreprises vinicoles dans toute l'Italie. Je l'avais perdu de vue depuis le lycée, quand un jour ma copine m'a demandé de l'accompagner chez un de ses amis dont le mari dirigeait la cave près du centre où nous habitons. Claudio avait toujours vécu à Milan, avant de 'descendre' dans le sud pour les vacances et avait été l'invité de mes parents, mais cette fois il n'était venu que pour s'occuper des entreprises dont il gérait les intérêts .
Je l'ai donc retrouvé après des années. Et là, je vous l'annonce, il m'a fait mourir. Il avait alors trente ans et parcourait la maison sans relâche, en short ou en maillot de bain. Mes yeux radiographiaient son entrejambe, et il l'avait remarqué. Alors il me demanda si j'avais une femme ou des maîtresses et, en ce cas, combien j'en avais baisé, si j'avais du temps de loisir, de musique et de variétés et que sais-je encore, moi ! Il se mettait toujours dans des positions comme pour dire: "Qu'est-ce que tu attends? Suce ma bite! "
Je le désirais comme vous pouvez imaginer et j'étais sûr que lui aussi, mourait d'envie de me baiser: je le trouvais dans tellement de demi-phrases, un clin d'œil et grâce à une caresse sur son derrière pas vraiment décontracté.
Nous étions encore au lycée quand, une fois, il m'avait surpris sur la terrasse avec une serviette de bain et une bouteille d'huile de bronzage. Claudio s'était étendu à côté de moi et avait commencé à pulvériser et à frotter de l'huile sur tout mon corps. S'étant mis en slip à son tour, à genoux, il me massa les épaules et les hanches, puis, sans attendre, glissant sa main dans son boxer et enfonçant un doigt dans mon anus. Vu mon accord tacite, libérant son 'oiseau' en pleine érection, déjà décalotté, il s'était allongé sur moi, me serrant dans ses bras. Me croyant vierge, après m'avoir calmé, il avait glissé sa bite brillante d'huile  entre l'élastique du slip et ses couilles et avait commencé à me limer les fesses ! Excité, j’étais extatique, je jouissais pendant qu’il me chuchotait: "Je vais te baiser ! Tu es ma chienne! "
 

  Il m'avait relevé la tête, il avait pris sa grosse tige gonflée et palpitante, il l'avait frottée sur mon petit trou maintenant mouillé par les humeurs pré éjaculatoires, après quoi il avait eu une éjaculation sur moi. Il ne m'avait plus jamais approché depuis et j'étais resté sur ma faim.
Mais les années avaient passé et les choses avaient changé. Je n'étais plus au lycée je n'étais plus vierge, ni de  la bite ni du trou du cul et il était un célibataire excentré de 30 ans.
Comme dit le proverbe: le vin vieilli est toujours le meilleur. Si, dans sa jeunesse, il avait essentiellement le charme de son gros concombre, Claudio avait acquis au fil des ans un charme inexplicable. Certes, il se sentait très cool avec sa chemise déboutonnée et son jean blanc. Il a d'abord fait semblant de ne pas se souvenir de moi, puis s'est attardé devant un café, allongé sur sa chaise de bureau d'une manière presque indécente. Finalement, nous commençons à parler très doucement.

 "Eh bien, pour les assemblages de vins, il faut de l’intuition. Au départ j'ai une première structure de vin en tête, puis la configuration. Le mélange des vins c'est comme une baise. Je pense à la baise, au cul, à la baise, et, au Poste de Commande des tuyaux et des cuves, j'essaie d'y arriver avec mon imagination. En bref, j'imagine le vin, puis "- là il sourit -" je réfléchis à la façon de le faire, mais sans avoir à limer, c'est la seule différence avec la baise. " La métaphore eût été incompréhensible à d'autres que moi, mais je voyais très bien à quoi il voulait en venir.
En prétendant ne pas comprendre, j'ai essayé de changer le ton de la conversation: "Selon toi, les connaissances techniques sont-elles aussi importantes que l'expérience?"
- «La technique, à mon âge, est maintenant bien au point et nous savons donc ce qu'il faut faire si nous voulons atteindre l'objectif. En jouant avec l'imagination entre les différents appareils, vous obtenez un vin original ou ... "- Là il allume une cigarette -" Une bonne baise! "
Embarrassé, avec nos épouses respectives derrière moi, je suis devenu rouge et j'ai continué mon 'script' officiel comme si j'étais journaliste : "Travaillez-vous avec des vignes du pays ou internationales?" Claudio poursuivit avec le même double langage :
- «Cela dépend: si les offres internationales sont offertes au palais, pourquoi les abandonner?- En avez-vous essayé beaucoup ces dernières années? "
- "Je préfère la qualité nationale, corsée, épaisse ... - Mais choisissez-vous de rester plus dans le vignoble ou dans la cave?"
Un employé est entré et lui a fait signer un document, mais il a poursuivi avec désinvolture: "J'aime tout ... l’important est de percer le marché! Le décomposer ! Tout casser! Vous devriez voir comment ma production s'est améliorée ... même si elle a toujours été très dense et épaisse! "
De plus en plus gêné et incrédule, je poursuivis: - "J'imagine ... Mais travaillez-vous avec des barriques ou avec de gros fûts?"

 
- "La controverse sur la barrique contre le gros tonneau est un argument du passé. J'utilise ce que j'ai ... disponible. Personne ne s'est jamais plaint et ce qui en sort est toujours copieux et d'excellente qualité ; du moins les usagers le disent ... "
Il se toucha le paquet. De sa main il accompagna sa queue dressée et emprisonnée par le jean. J'ai senti une boule se serrer dans ma gorge. Rapidement Claudio glissa sa chaise sous la table de la salle de réunion. Ma partenaire est entrée dans la chambre et est venue à côté de moi, se demandant si c'était du passé dont nous parlions. Sans me retourner et restant immobile sur ma chaise, je répondis oui, tandis que Claudio me sourit et me demanda très naturellement si j'étais d'accord pour continuer à bavarder à la cave. Embarrassé mais piqué par la curiosité, j'ai demandé à sa femme si elle venait aussi, mais elle m'a répondu que ce n'était pas un espace adapté aux femmes en talons et a souri, clignant de l'oeil  à ma compagne en connaissance de cause.
- "Tu verras que c'est beau en bas. Je vais te faire goûter mon meilleur produit directement de la barrique ».
Tandis que Claudio essayait de me convaincre, affirmant que peut-être, sans jamais lui dire, que je voulais goûter son nectar depuis des années, il tendit la main sous la table et me doigta la bite par le haut. Je me sentis presque défaillir. Ma femme a été appelée dehors par la femme de Claudio qui, lui, m'a pris la main et l'a mise sur la bite dure de Claudio. Superbe bite c'est certain !
- "Allez, on bouge un peu."
Il se leva et, son pantalon blanc ne recouvrant pas son érection, il mit la main dans sa poche et demanda qu'on aille chercher les clés de la cave privée.
En fait il ne m'a pas emmené à la cave, mais dans une petite pièce dans laquelle se trouvaient des étagères avec du vin. Dès que la porte s'est refermée, j'avais déjà sa langue dans la bouche. Il s'est approché de moi, a mis sa main sur mon cul, m'a dit de me dépêcher et nous avons eu une question en suspens.
- «Allons à la cave. Alors qu'est-ce que je te dis ... "
- «Que je t'ai fait goûter mon jus directement de la bouteille! Allez, dépêche-toi, ou je vais te violer! "
Je suis descendu et ai embrassé sa belle bite gonflée sur son jean blanc  
Je pouvais sentir son parfum, l'odeur de la cigarette qu'il avait encore dans la bouche, sa poitrine avec des tétons durs.
La braguette était déboutonnée. Il avait une bite vraiment superbe, dure et violacée, prête pour moi. Je tendis la main et la trouvai déjà humide.
Comme s'il n'attendait rien d'autre, il a poussé ma tête entre ses jambes et m'a demandé de le sucer. Le goût et l'odeur de bite ont rempli ma bouche et mes narines, j'ai respiré et bu du sexe. J'ai longtemps léché la tige, puis la tête et les couilles, et il m'a encouragé à continuer. Je l'ai léché sur le gland et j'ai fourré ma langue dans le petit trou sensible du méat. Il a gémi ... Puis je l'ai pris dans ma bouche pouce par pouce, l'avalant de toutes parts. Il a maintenu ma tête fermement alors qu'il me la fourrait dans la gorge et bougeait dans ma bouche sans pitié, sans me permettre de reprendre mon souffle. Et je n'ai pas protesté. Je viens de le sucer. C'est lui le maître du jeu. J'ai mal à la bouche. Il l'a ensuite frottée sur mon visage. Il m'a bifflé, puis l'a remise dans ma bouche avec plus de violence et de désir qu'auparavant. J'ai eu des hauts-le-coeur, mais il a continué à me baiser. Ce n'était pas moi qui lui faisais une pipe mais lui qui me baisait la bouche.
Il l'a sortie brusquement sans prévenir.
- "Je veux te baiser!"
Restant habillé, je ne laissai tomber que mon pantalon et mon caleçon, me mis à quatre pattes, m'appuyant sur l'étagère. De ses mains il a écarté mes deux globes , les a léchés en abondance et a testé mon antre avec deux doigts. J'étais assez serré, dit-il, malgré qui sait combien de bites j'avais pris dans le cul. Il m'a fait lécher son sexe une dernière fois, puis il a posé son gland. Je retins mon souffle pendant un instant, même si ce n'était pas la première baise que je prenais. Avec force il m' écarta les fesses sans peur de me faire mal puis cracha sur le trou. Il reposa son gland sur mon anus, puis le poussa d'un seul coup.
C'était bon, la douleur a disparu presque immédiatement. Je sentais sa queue adhérer parfaitement aux parois de mes intestins. Il changeait constamment de rythme, en s'extrayant et en s'insérant alternativement et de nombreuses fois, avec des coups déterminés et puissants, sans aucune pitié. J'ai apprécié comme un cochon.
Je l'ai entendu venir. J'essayai de me dégager, mais m'arrêtai alors qu'il  haletait comme un loup et que les éclaboussures de son sperme me remplissaient le ventre. Il éjaculait à l'intérieur, émettant un jet de semence qui semblait durer éternellement. Après cette douche de sperme, toujours bandé, il a continué à me baiser lentement.
Il haleta quelques instants, puis sortit sa canne et la frotta sur mes fesses pour la nettoyer. Je me suis agenouillé devant lui. Je l'ai nettoyée pendant qu'il allumait une cigarette, en disant qu'il était désolé de ne pas pouvoir pisser dans ma gorge. Pendant que je m'occupais de lui, je me masturbais comme un fou. Au moment où je suis entré en transe avec des jets violents, son sperme est sorti de mon cul. Une sensation vraiment indescriptible.
Nous sommes sortis. Nous sommes montés et ma femme m'a annoncé que nous avions été invités à Milan. Claudio avec un air malicieux m'a dit que, là-bas, il me présenterait plusieurs amis qui travaillaient dans le secteur. Tous des "grands coups".
Nous nous sommes salués chaleureusement, nous nous sommes précipités à la maison où je me suis enfermé dans la salle de bain.
 

 


 

  commentaire : "Putain il t'a bien tronché ! c'est un champion de la baise! Et d'ailleurs il ne fait qu'en parler"l (leonar)

 

 

 

 

NOTES :

 

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Par cavaillongay - Publié dans : DECOMPLEXER les BISEXUELS -&- PERES LIBERTINS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 8 avril 1 08 /04 /Avr 01:41

 CHEM OUV P (1BL) non ce n'est pas qui vous avez cru reconnaître

 

J'affectionne les moyens originaux, non conventionnels qui n'appartiennent qu'à moi (ou à peu d'hommes je pense), ces méthodes privées qui décorent mon jardin secret et qui m'excitent rien qu'à y repenser, qui embrasent mon imaginaire et mes sens quand mon sang de jeune taureau commence à bouillir. Max.

 merci de votre fidélité ! Cavaillongay

 

article transcrit en relais de http://confidences-viriles.erog.fr/30-index.html#

Le moyen très personnel d'un homme

pour se procurer du plaisir...

 

Inutile d'aller chercher bien loin la meilleure façon de se procurer un plaisir intense...

Pas besoin de gadget sophistiqués ni même de poupée plastifiée...

Nul besoin non plus de tous ces articles que l'on trouve à prix d'or dans les magasins spécialisés...

Non, chez vous, à quelques pas de votre lit ou de votre canapé se prélasse un compagnon discret qui sera devenir votre complice et vous donnera un plaisir raffiné...


J'aime les choses excentriques, les moyens originaux, non conventionnels qui n'appartiennent qu'à moi (ou à peu d'hommes je pense), ces méthodes privées qui décorent mon jardin secret et qui m'excitent rien qu'à y repenser, qui embrasent mon imaginaire et mes sens quand mon sang de jeune taureau commence à bouillir.


Bien sûr ce que je vais vous confier pourra peut-être étonner bien des personnes, voire même les choquera puisque mon jeu n'est pas ordinaire. Je prends le risque.

 

J'habite dans un minuscule studio dans une banlieue morne et mes journées sont remplies de ces interminables cours à la Fac. Cet univers ne me laisse que peu de temps pour suivre un bonne relation humaine. J'attends avec patience cette future ère où je vivrai en couple dans une relation où le sexe sera partagé, sans tabou, vecteur de découvertes lubriques et sans préjugés.

Pour l'heure je me satisfais comme beaucoup de mecs de mon âge et ma condition à des plaisirs solitaires qui me satisfont l'espace d'un instant seulement mais que je vis si intensément. Comme j'aime jouir, je ne manque jamais l'occasion de m'éclater !

 

Souvent, quand je suis allongé dans mon lit, au LIT B (2) matin, après une bonne nuit de repos et que ma queue raide, réveillée bien avant mon corps, forte, impérieuse de ma vigueur de tout jeune homme, me tire de ma torpeur et m'impose que je m'occupe d'elle. Car elle, elle est déjà prête la garce à donner de sa puissance car elle sait bien que je suis faible avec elle !

Comme si cela ne lui suffisait pas, elle réitère bien naturellement ses ordres le soir, alors que je suis fatigué de ma journée, capricieuse et autoritaire détenant le sésame qu'elle me donnera pour mon repos du guerrier.

 

Alors, à chaque fois je me touche pour la satisfaire et continue à gonfler et grossir comme un grain de maïs qui devient pop-corn. Comme lui j'éclaterai moi aussi !

 

Bien sûr je pourrais continuer à me tripoter le dard et me branler classiquement. Mais j'ai mieux, j'ai mon truc à moi. Un stratagème qui allie sensations, interdits et fantasme et qu'elle aussi aime beaucoup vu l'extase que y trouve et qu'elle partage avec moi.

 

HOME (18) Judicieusement posé à côté de mon lit, distant de moi d'une longueur de bras m'attend... mon aspirateur !!!

 

C'est un vieux modèle de chez Miele, avec un tube en plastique souple, un embout tellement pratique pour mon jeu ! Il offre aussi un autre tube en métal... Vous imaginez je pense ce que je peux en faire ??!!

 

Lorsque ma queue est bien droite et raide, que j'ai une énorme envie de pénétrer, de la fourguer dans un trou bien profondément et de ressentir des sensations plus fortes que celles que me procure ma main, je glisse mon manche dans celui de mon "ami" et le délire sexuel commence...

 

Le diamètre des tuyaux est parfait, comme étudié pour ma bite ! Je vois en eux de beaux culs à remplir, des bouches avides et voraces à envahir, des lèvres suceuses et insatiables qui inlassablement veulent aspirer mon membre et en tirer son jus !

 

Je tends lentement, soigneusement, comme un rituel profane ma bite trempée de mouille vers ce trou libidineux. Je la vois luisant dans la lumière de ma chambre, je la devine provocante, dominatrice, prête à combler le vide noir qui se présente à elle de sa masse...

 

La puissance de l'appareil est réglée au minimum. C'est idéal pour un début. Je sens l'air aspiré passer autour de mon gland qui ruisselle de précum.

La sensation est divine. C'est un peu comme une brise marine qui vient le caresser délicatement, un souffle qui humer ma fraise complètement décalottée...

Le courant d'air vient renifler mes odeurs de mâle, chatouiller mes parois, affoler plus encore mon braquemart incandescent.

Ma branle sera comme à chaque fois un orgasme total.

 

J'introduis lentement mon arme dans le fourreau. La colonne d'air devient de plus en plus ténue en raison de sa grosseur. Le bruit de l'aspiration aussi s'énerve et l'impatience évidente d'avaler mon monstre ameute mon imaginaire. Cette "bouche" mécanique dévore ma bite, s'empale sur elle et je joue de sa fougue.

8467-1-170x115 Je pénètre et me retire, recommence avec impertinence ce divin supplice.

En soumission à mes désirs, j'augmente ou réduis à volonté la puissance d'aspiration de sorte à moduler ma délectation. Le tube est comme un esclave aux ordres de mon bon plaisir

À chaque fois je sens mes poils les plus proches de ma pine être happés par l'air frais et je les vois se coucher. Ma peau du pubis aussi est avalée ce qui fait hurler le moteur de l'aspirateur et ce son aigu m'enfièvre.

 

Quelques fois, par envie de piment dans mes branles, je pisse un peu dans le tuyau. Je sais le jet inonder le tunnel et ensuite le liquide chaud dégoulinant au long du tube baigne ma queue, mes poils, mon cul alors le vent aspirant est attisé comme l'est mon plaisir.

De plus cette folie facilite les va-et-vient comme une baise imaginaire. Ma queue coulisse à merveille et je pilonne, je défonce, j'encule comme une bête...

Ensuite j'augmente un peu la force de l'inspiration du souffle et j'aime à penser que ma pisse souille mon ami électrique...

 

BRANLE ALG (37) Ah putain que c'est bon de voir ma bite rougie quand je la libère de cet "enfer" mécanique ! Elle est comme martyrisée et pourtant elle en redemande !! Je me secoue la tige avec vigueur et tous mes muscles se crispent sous l'excitation absolue. De la sentir dure comme de l'acier me ferait presque lâcher ma purée.

Il faut savoir varier dans la recherche de l'orgasme souverain. En cela j'adore aussi, pendant que ma queue est infatigablement bouffée par la gaine flexible, m'amuser quelques instants avec le tuyau métallique. J'écarte mes cuisses, le passe sur mes couilles, dans l'aine, le frotte tendrement entre mes fesses, je le presse savamment... sa froideur rigide enflamme ma rondelle intime qui se contracte comme apeurée. Il est vrai que son bon gros diamètre posté si près de mon fion, sa raideur implacable, sa longueur monstrueuse pourraient bien y faire des dégâts ! Je titille mes fesses et le faux membre fait rouler mes poils de cul qui réchauffent sa matière...

Je bande comme un cheval en rut !!

 

À force de ressentir ces ravages sur mon colosse malmené, à force d'imaginer des baises enragées, victime de mes pulsions et de mon désir, je n'ai qu'une seule fin : juter !

NU P ALG (39)Oui éjaculer sans limite, s'abandonner à la jouissance parfaite tandis que l'aspirateur continuera à avaler à la fois ma bite et ma lave. Sentir les jets immédiatement engloutis ! Je me laisse aller et je délivre mes flots de sève dans le tuyau qui doit en être encore gorgé... Mon corps délivré se décrispe, je  m'affale sur la lit. J'attends quelques minutes le temps de récupérer mes forces pour arrêter l'appareil...

 

 

Si vous aussi vous aimez vous branler de la sorte, ou si vous avez vous aussi une façon différente de vous faire cracher votre plaisir, si vous désirez connaître ou transmettre ces joies, venez en parler avec moi !

Je m'appelle Max !

 

 

 

 

 

 

Par MAX CONFIDENCES VIRILES - Publié dans : RELAIS - ZAPPINGS- PARTAGES photo expo - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 8 avril 1 08 /04 /Avr 00:13

Résultat de recherche d'images pour "porn close up figs suggesting man's testicles"     La castration volontaire : une solution radicale pour maîtriser ses pulsions

Le 08/06/11, par Julien Massenet (fake photo)https://www.ouvertures.net/cat/articles/societe-articles/
 

 

 
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et couic ! Résultat de recherche d'images pour "2 figs close up in a tree"

 

A l´heure où les frasques sexuelles d’hommes politiques font la une des journaux dans le monde entier, Ouvertures s’est intéressé à cet acte extrême qui consiste, pour un mâle, à supprimer la cause physique de ses ennuis : la castration volontaire.

La pulsion sexuelle peut être vécue comme une souffrance ou une soumission insupportable à l’impératif naturel par certains hommes. D’où leur désir de recourir à la castration chimique (réversible) ou physique (définitive).

La question de la castration est rarement évoquée publiquement, sauf quand il s’agit de l’imposer ou de la proposer à des pédophiles ou des violeurs. L’acte volontaire, lui, est rare.

De récentes études éclairent un peu un phénomène que l’on comprend généralement mal. Il existe une grande variété de profils d’hommes qui choisissent cette solution. D’âges très différents, ils commencent généralement à envisager la possibilité aux alentours de 20 ans et passent à l’acte en moyenne vers 40 ans.

Les conséquences de la castration

Les conséquences les plus connues de la castration, physique ou chimique, sont une chute de la libido (mais pas sa disparition totale), un rétrécissement génital, un certain gain de poids et une diminution de la pilosité. Le fait est que ce sont précisément ces manifestations qui sont recherchées.

Dans un article paru dans Quasimodo, Philippe Liotard raconte la difficulté d’accès aux informations sur ce sujet : « Le caractère secret de la démarche comme la volonté de conserver une identité sociale honorable ne pousse pas à la confidence. Cependant, avec l’avènement d’Internet, des communautés virtuelles se sont constituées qui permettent des échanges mondiaux sur la question ».

Selon de nombreux interlocuteurs, le fondement de la décision doit reposer sur la certitude qu’a la personne que la castration entraînera bien une amélioration de sa vie.

J. est un des rares Français assidus sur les différents forums (anglophones) de discussion consacrés aux eunuques. Dans des propos recueillis par Philippe Liotard, il explique que, pour lui, « l’idéal ce serait de ne plus être rien. Ni homme, ni femme ».

« Les effets principalement espérés de la castration ne se réduisent pas à des questions d’anatomie, note P. Liotard. Bien au contraire. Les témoignages des eunuques (témoignages qui alimentent les désirs de ceux qui aspirent à le devenir) privilégient un état de bien-être, un calme qu’ils ressentent peu de temps après l’opération. »

Au centre du désir de devenir eunuque se situe la volonté d’accéder à une nouvelle sexualité, mieux maîtrisée, moins “animâle”, la volonté aussi d’échapper aux comportements attendus des hommes en matière de sexualité.

La pression des normes morales

Mais, pour J., la question principale reste de trouver quelqu’un qui puisse réaliser l’opération. En effet, l’acte castrateur, en raison notamment de son irréversibilité, fait peur.

Les médecins sont réticents (voir encadré), à tel point que sont apparus des « cutters », autrement dit des « coupeurs ». Il s’agit de non médecins qui réalisent ce type d’intervention, le plus souvent en dehors de toute structure hospitalière. Avec tous les risques que cela comporte, comme les faiseuses d’ange dans les pays où l’avortement est interdit. Une extrémité à laquelle J. ne se résout pas : « Avec un cutter : moi je le ferai pas. Je regrette de ne pas trouver en France un médecin qui accepte de m’opérer. Ce serait une manière d’avoir le choix. Là, on ne me laisse pas le choix ».

Les médecins sont réticents
Voici ce qu´écrit un internaute sur le forum du site sante-medecine-commentcamarche :« Je n´ai pas l´âme paisible et le self-contrôle d´un moine capable de balayer ses pulsions sexuelles. Je n´ai pas la chance d´être naturellement asexuel. Je regarde du porno pour combler mon manque ce qui ne fait probablement que l´augmenter et me fait terriblement honte (j´ai 100 fois essayé en vain d´arrêter, c´est une vraie addiction).
Les rencontres d´un soir ne m´intéressent pas, et je n´envisage pas non plus de recourir à une “professionnelle”, l´idée même me dégoute.
Je sais qu´il existe des traitements des traitements dits de “castration chimique” qui éliminent les pulsions sexuelles de façon hormonale. Si ils sont utilisés pour les pervers et autres pédophiles, je ne vois par pourquoi ça ne marcherait pas sur un homme “normal”. Un tel traitement me permettrait de me débarrasser de toute frustration et probablement d´être heureux. »La réponse du site :« La notion de “castration chimique” ne peut se concevoir que dans 2 cas: certaines formes de délinquance, comme signalé plus haut, et dans le cadre du traitement du cancer de la prostate.
L´envisager dans la problématique de [l´internaute] ne me parait pas possible. L´éthique médicale française interdit d´attenter à l´intégrité physique ou physiologique d´un individu sain de corps et d´esprit, même sur sa demande. De plus, libéraliser cette pratique serait la porte ouverte à bon nombre d´abus condamnables.
En bref, il ne faut pas “jouer” avec la normalité physiologique, ce n´est pas très sain et peut engendrer des regrets trop tardifs.
Bien sûr, il existe des médecins moins “regardants” ou avec une morale plus élastique. Mais dans ce domaine là, ils ne doivent pas être très nombreux. »La réaction de l´internaute un peu plus tard :« Je retombe un peu par hasard sur mon message près d´un an après. Merci à ceux qui m´ont répondu, certains messages m´ont bcp éclairé.  Avec le temps, j´ai compris que si le désir était physique et hormonal, la frustration, elle, est cognitive, et aucun produit chimique ne m´en débarrassera. »

 

“Cognitive” et… “affective ou émotionnelle”, comme le dit bien une intervenante dans la discussion.

À sa connaissance, il n’y a pas d’eunuque volontaire en France. La quasi totalité des eunuques “réalisés” vivrait en Amérique du Nord. Sans doute en raison de la forte pression des normes morales qui y sont à l’œuvre. « Le tiraillement est tellement douloureux entre les pulsions sexuelles ressenties et l’exigence de maîtrise que la castration apparaît un moyen radical d’entrer dans le droit chemin », écrit le rédacteur de l’article.

Pour en savoir plus

Pour faire face à des pulsions sexuelles incontrôlées, différentes voies sont possibles :
– opération chirurgicale. Irréversible, elle est à déconseiller la plupart du temps.
– traitement par médicament (castration chimique). Attention, la voie chimique seule risque de n’être pas suffisante. Il sera intéressant également de se faire accompagner sur le plan psychologique ;
– traitement psychologique, psychanalytique, psychothérapique. Pour ces trois voies (opération, médicament ou psychologie) : renseignements dans les services d’andrologie ou d’urologie de votre région ;
– voie spirituelle : méditation, prières, changement de nourriture, naturopathie, etc.
Tâchez de trouver une personne de confiance et impartiale pour vous accompagner dans vos démarches.

Face au refus des chirurgiens de les opérer, des hommes trouvent des praticiens qui acceptent de le faire dans la clandestinité, comme l’avortement auparavant, c’est-à-dire avec des risques non maîtrisés. Ces opérateurs sont accessibles par internet.
D’autres peuvent tenter leur chance dans des pays où la pratique existe à certaines conditions, comme en Suisse, au Canada ou en République Tchèque.

On peut aussi se renseigner :

– auprès des différents CRIAS (Centres de Ressources pour les Intervenants auprès des Auteurs de Violences Sexuelles) existant en France :
http://www.criavs.org/
– Association L’Ange Bleu (Association Nationale de Prévention et d’Information Concernant la Pédophilie) : elle écoute aussi bien les victimes des pédophiles que les pédophiles qui cherchent des conseils pour s’en sortir :
http://www.ange-bleu.com/
Les principaux moyens chimiques d’agir sont : Androcur (comprimé) et Salvacyl (injection).

>> Lire aussi : En France, des castrations volontaires se font dans la clandestinité

>> La castration chimique, un forum de Doctissimo.

>> Un site consacré à la question des eunuques [en].

 

 

 

Par JULIEN MASSENET - Publié dans : RELAIS - ZAPPINGS- PARTAGES photo expo - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 6 avril 6 06 /04 /Avr 22:42

  Image associéela tentation homosexuelle de San Mirko

  Résultat de recherche d'images pour "au séminaire" Résultat de recherche d'images pour "séminariste en vacances dans sa famille" en sa nature de communauté d'hommes jeunes le séminaire est déjà un lieu de probation et  de résistance à l'homosexualité Mirko va passer le mois d'août dans sa famille...
 
Mes parents ont eu un problème:

- Ma cousine Irène m'a demandé si nous pouvions accueillir son fils Mirko pour le mois d'août. Ma mère a dit :

- Pourquoi nous?

- Il est en convalescence pour une bronchite et ici, l'air est bon.

Mon père était perplexe: - Samedi 6 nous partons pour ce voyage à Fatima ...

- Je sais, et les deux garçons seraient seuls.

J'intervins : - Si c'est quelque chose qui me concerne, je veux savoir.

- C'est à propos de Mirko, tu te souviens? C'est ton cousin germain qui a ensuite décidé d'entrer au séminaire.

Je me souvenais de lui: plus vieux que moi de deux ou trois ans, grand, maigre, mais… sur la plage, il portait des costumes bien ajustés et on remarqua qu'il avait deux grosses balles. Mon ami Moreno, qui avait la cabine d'à côté, m'avait confié qu'il l'avait aperçu par un trou dans le bois et qu'il avait également vu une belle et grande saucisse:

- Bien sûr que je ne sais pas si c'est très long, mais l'épaisseur y est. En bref, un type de harem.

Au lieu de cela, le type de harem avait "la vocation"du célibat ...
Je dis instinctivement:

- Vous ne serez que deux semaines absents et vous avez déjà demandé à Lisa de faire le ménage tous les jours, alors nous ne serons pas seuls ... Et puis, un séminariste ! Je pense vraiment qu'il va prier toute la journée.

En bref, il a été accepté.Le premier jour au déjeuner, je l'ai observé: poli, épanoui, mais timide et réservé, il a immédiatement imposé une courte prière, mais il a ensuite mangé de bon appétit.

Il évitait de me regarder, je ne pouvais pas commencer une conversation avec lui, parfois même je le voyais rougir, jusqu'à ce que je comprenne : je portais un short et une chemise courte, j'avais donc le ventre découvert. Mon nombril l'embarrassait. Selon lui, sans rien dire, il devait penser quei je me tenais mal.

Je décidai d'y remédier immédiatement: je mis un maillot plus couvrant, un T-shirt à manches courtes et des sandales basses. J'ai remarqué que mes parents approuvaient ce choix: ils partiraient tranquillement.
Le premier jour au déjeuner, je l'ai observé : je le jugeais poli, d'apparence normale, mais timide et réservé, il a immédiatement imposé une courte prière, mais il a ensuite mangé de bon appétit.

Il évitait de me regarder, je ne pouvais pas commencer une conversation avec lui, parfois même je le voyais rougir, jusqu'à ce que je comprenne : je portais un short et une chemise courte, j'avais donc le ventre découvert. Mon nombril l'embarrassait. Selon lui, sans rien dire, il devait penser quei je me tenais mal.

Je décidai d'y remédier immédiatement: je mis un maillot plus couvrant, un T-shirt à manches courtes et des sandales basses. J'ai remarqué que mes parents approuvaient ce choix: ils partiraient tranquillement.

Maintenant, plus détendu, mon cousin germain a commencé à converser avec moi de façon informelle. J'ai pris soin d'étirer le T-shirt quand je me suis assis et de garder les cuisses serrées et couvertes autant que possible.

Heureusement, Moreno était loin, sinon il aurait tenté de tenter Mirko. Un matin, Gabriella et son petit ami sont venus m'emmener à la mer. Ils ont également invité Mirko, mais il a fermement refusé.

Sur le chemin du retour, je lui ai demandé pourquoi il avait refusé. Il a répondu qu'il était nu sur la plage et qu'il ne voulait pas commettre un péché en pensées.

ORANSSI Men's Solid 16-Inch Waterproof Swim Trunks - Aho, Mirko! - Je lui ai dit - mais Adam et Eve n'étaient-ils pas nus?

- Oui, mais ils étaient innocents. Après le péché originel, ils s'habillèrent de peaux de bêtes.

- Je pense - dis-je - que l'attrait entre un homme et une femme est normal, que le sexe est normal et sert à perpétuer l'espèce ...

Le mot "sexe" était suffisant pour qu'il se signât trois fois.

"Ah, oui?" Pensai-je ... "Laisse-les partir et tu vas voir, tu seras servi !."

 

 

À dix-huit ans, je pensais que j'étais maintenant mûr pour mon deuxième amour, ou relation, si vous préférez. Le premier était maintenant loin et oublié.

Mirko fut impeccable pendant les autres jours avant le départ de mes parents. Moi plus que lui: dans l'armoire, j'ai trouvé de longs bermudas dépassant le genou et des chemises aux couleurs tirant sur le gris.

Ma jeune mère n'était pas dupe:

- Je t'en prie, ne le  heurte pas. Je sais que toi tu n'as pas la vocation de Mirko..., souviens-toi qu'il est séminariste ...

- Ne t'inquiète pas, je saurai comment me comporter ...

Tandis que nous les saluions, je savais très bien ce que j’aurais fait: j’aurais rincé ses méninges, avec des faits je l’aurais convaincu de renoncer à sa vocation ou au moins de changer de religion avec une religion sans interdits sexuels.

J'ai commencé cet après-midi-là à me rendre à la bibliothèque, où il lisait et méditait sous le prétexte de dépoussiérer le dessus des meubles. J'ai pris l'échelle, j'ai refusé son aide et je suis monté. Je portais ce petit flottant de basket court choisi ce début d'après-midi. En dessous je n'avais pas de slip.

Je n'étais pas encore arrivé au meuble devant lui, que je l'avais déjà vu remuer. Bien sûr, au haut de l'escalier, mes cuisses ont été révélées, elles ont brillé dans la faible lumière de la pièce.

J'ai réussi à me retrouver exactement devant lui. Je levai les bras pour bien épousseter le haut du meuble, conscient que le petit flottant m'aurait partiellement découvert. Je pouvais entendre sa chaise en bois bouger sur le sol. Je me suis étiré d'un côté, d'une main j'ai fait semblant de maintenir le petit short vers le bas ... eh bien, j'ai senti mon siège du bas complètement respecté, je me suis retourné .. Ca devait lui faire de l'effet puisque.
le cousin se tenait les yeux fermés, le chapelet aux mains récitant ses prières. Je suis descendu, j'ai fermé l'échelle et je l'ai emmenée le grondant:

- Prie à l'église, pas devant mes fesses  !

Ce soir-là, j'ai écouté le discours des prêtres, certain que beaucoup d'entre eux étaient homosexuels. Et c'est prouvé.

- Oui, il se peut que quelqu'un parmi nous le soit: dans ce cas, il appartient aux frères de les aider à trouver le moyen de s'abstenir de pécher.

- Est-il vrai que les prêtres orthodoxes et luthériens se marient sans problème?

- Oui, ils n'acceptent pas le sacrifice de la chasteté.

- Et à quoi sert ce sacrifice?

- A ne pas penser aux plaisirs de la chair.

 

 

- Tu n'y penses jamais? Tu n'as jamais fait de rêve érotique?

J'ai fait du café et nous ai servi: nous l'avons bu en nous regardant dans les yeux, il était un peu gêné. Je lui ai dit:

- Je ne pourrais pas abandonner les plaisirs de la chair ...

Il semblait troublé.

Un matin, je me suis retrouvé sur la terrasse, prenant un bain de soleil dans mon string le plus succinct. Peu de temps après, je suis entré dans la maison pour préparer deux boissons fraîches. Alors que je lui tournais le dos, j’ai délibérément laissé tomber une serviette et me suis penché pour la ramasser, sachant que ça laisserait à découvert le haut de la fente entre les deux fesses et ma rondelle alléchante.

En me retournant, je l'ai surpris en train de marmonner une prière, mais je me suis arrêté immédiatement de le taquiner.

À présent, nous étions en confiance et alors, en sirotant la boisson, il me dit:

- Tu n'as pas de camouflage?

J'ai secoué la tête.

- Tu sais que tu ne devrais pas bronzer comme ça, devant moi.

- vraiment? Mais sais-tu que je le prends d'habitude tout nu ?

Il s'est énervé et moi j'ai dit :

- Ah, mon beau curé, on n'y est pas! La nudité est partout dans les peintures des églises, Giotto, Le Bernin, il Perugino, Delacroix et même les modernes ont peint des saints hommes nus et le Christ, sur la Croix, est nu ou presque ! Moi-même j'aimerais me faire peindre nu par un peintre ... Je suis sûr que l'extase de Sainte Thérèse d'Avila n'est due qu'à une représentation fantasmée d'un Christ devenu son amant virtuel... Quelqu'un t' a-t-il déjà dit que, les femmes, comme les hommes aiment à égalité regarder nos seins, nos fesses et notre entrejambe? et en particulier les tiens, Mirko, dans quel monde vis-tu, Mirko ?

Il s'est enfui en se signant. J'étais le diable personnifié.


Je voulais maintenant le séduire, car je ne pouvais pas accepter qu’un mâle aussi bien fait que celui-là renonce aux joies d’une vie sexuelle saine et satisfaisante. Nous sommes au troisième millénaire!

Et donc, je portais des débardeurs d'été larges et coupés, pour lui faire remarquer ma peau, mon torse, mes speedos et mes maillots Arena et tout ce qu'on pouvait deviner dedans, je lui posais des questions personnelles, de plus en plus curieuses ...

Une fois, je portais un maillot blanc auquel j'avais volontairement enlevé toute trace de doublure. Il faisait très chaud et je lui ai demandé de m'asperger avec le tuyau d'arrosage. Il objecta qu'il risquait lui aussi de se mouiller et je l'invitai à retirer sa chemise.

Bien sûr, l'eau a créé un "regard mouillé", la transparence des maillots mouillés sur mon speedo, ce qui lui a fait remarquer les tétons, mon duvet léger et ma bosse. Soudain il s'arrêta, prit sa chemise et s'éloigna.

Eh bien, l'émotion, je l’avais causée avec la vue partielle de mes tétons, de mon cul et de ma chatte de garçon. Je suis passé aux contacts. J'ai pratiquement profité de chaque occasion pour me frotter à lui avec mes parties érotiques que ce soit des photos de famille ou des images ou ds textes de revues que je l'invitais à regarder avec moi. En faisant une "main morte", j'ai réussi à avoir le contact de ses doigts.

Ensuite, un souvenir m'a aidé et je me suis souvenu qu'avant la vocation, il était bon danseur et je lui ai demandé une valse pour voir si ce talent était intact. Il a accepté volontiers et m'a marché sur les pieds à plusieurs reprises. Puis je l'ai impliqué dans un slow.

Il retint son bassin jusqu'à ce que je m'ennuie, j'attrapai ses fesses et le serrai contre moi: il était excité, je sentais une sorte de courgette de provence  sur mon ventre et sentais en même temps ma bite gonfler et mon cul palpiter.

Je réussis à danser joue contre joue pendant une minute puis à l'embrasser sur les lèvres: il s'enfuit sous le choc. Il n'était pas encore prêt.

 

Un matin, la blanchisserie m'a apporté mon linge hebdomadaire, mais j'ai remarqué qu'il y avait peu de sous-vêtements. Je suis allé lui demander s'il avait remis tout son linge-et donc le mien- à la blanchisserie et il a rougi.
Résultat de recherche d'images pour "sniffing dirty men underwear out of the basket"L'odeur était devenue du piment !
Dans un coin de la pièce, il y avait un panier en osier et j'ai trouvé plusieurs sous-vêtements. Odeur incluse :

Je lui airedemandé s'il avait des pollutions nocturnes?

J'ai baissé la ma in dans le panier : L'odeur était devenue du piment !

- As -tu des rêves érotiques?

Il a marqué un arrêt : - Parfois ...

- Tu rêves de moi? Je pensais et souhaitais qu'il fût gay comme tant de prêtres. (c'est prouvé)

Il a pâli et s'est détourné.

- Ce n'est pas ta faute! - J'ai crié après lui - C'est la faute à l'abstinence!

Le soir je suis allé le voir dans la chambre:

- Si tu n'as jamais fait l'amour, mieux vaut commettre ce "péché" en tant que séminariste qu'en tant que prêtre ...

J'enlevai mon pyjama et restai nu, puis levai le drap et me couchai à côté de lui. Toute sa convoitise, jusqu'alors réprimée, a éclaté.

Je me suis livré à lui mollement et j'étais prêt à écarter les fesses pour l'accepter sans douleur. Il y est arrivé en quelques minutes. Par contre, il n'est pas tout de suite sorti et a continué à me caresser. Il disait :

- Pardonne-moi, pardonne-moi ... - et je reviens:

- Merci, Mirko, merci!

Quand il s'est échappé, je lui ai dit que j'allais boire quelque chose et je suis revenu avec deux cafés froids abondants. Ensuite, nous avons commencé à faire des sorties, puis c'est moi qui l'ai monté.

Cette fois, ça dura un peu plus longtemps et finalement il me remercia.

C'était une sorte de lune de miel jusqu'à la veille du retour des miens. Ce jour-là, il m'a déclaré son amour et qu'il ne prononcerait pas des voeux définitifs pous venir vivre avec moi. Je lui ai demandé de réfléchir.

Le lendemain matin, avant l'arrivée de mes parents, je lui ai dit:

- Je n'avais pas le droit de te tenter. Je ne suis qu'une pute qui a flirté avec le malin. Je ne t'aime pas, je te désire seulement. Je ne voulais que toi et je sais que j'ai péché pour cela. Par contre je te voulais libre dans ton choix et j'ai réussi. Pardonne-moi s'il te plaît et si tu le juges bon, prie pour moi. Ne m'oublie pas, écris-moi. Et si tu juges cela possible, reviens et aimons-nous.

Il me regarda longtemps, sérieux et enfin il dit:

- Je ne suis pas prêtre, je ne peux te bénir, mais tu le mérites. Garde la force de ta convoitise car ce n'est pas un péché mais de la bonté et de l'amour qui en sont sortis. Puisse le Seigneur nous donner la force de nous attendre. ...J'avais brisé sa vocation...mais tant vaut-il mieux qu'il ne renonce pas en route en regrettant plusieurs années d'engagement.
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Par claudio - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 6 avril 6 06 /04 /Avr 15:14

75 ans et je vous passe tout ce qu'on avait attendu avant 1938 ! comment l'aurais-je fait si je nétais pas né ? fait dire à l'agneau le bon La Fontaine  

« § 175 Les actes sexuels contre nature qui sont perpétrés, que ce soit entre personnes de sexe masculin ou entre hommes et animaux, sont passibles de prison ; il peut aussi être prononcé la perte des droits civiques. »

Les invisibles tout ce temps sous le boisseau

Les invisibles

À l’heure où la question du mariage pour tous (non pas par conformisme ou par norme, mais juste pour avoir le choix d’y penser, de le faire si ça chante) cristallise les attitudes rétrogrades d’une partie des Français qui, gros conseil d’ami, devraient retourner vivre au Moyen-Âge avec Boutin, Vanneste et Copé comme hérauts (bouffons) prêchant un obscurantisme sans limites et sans complexes, cette même f(r)ange sous-évoluée qui éructait, la bave bien-pensante aux lèvres, "Les pédés au bûcher" lors des manifestations anti-Pacs en 1999 ; à cette heure disais-je, quel bien fou (folle ?) d’écouter et d’admirer, le sourire aux lèvres et les larmes aux yeux, les confidences et les témoignages de vieilles madames et de vieux messieurs se remémorant leur homosexualité à une époque où celle-ci était encore considérée comme un trouble psychiatrique.

 

 

Les triangles roses Image associéeImage associée Image associée

Le triangle rose (en allemand : Rosa Winkel) était dans l'univers concentrationnaire nazi le symbole utilisé pour « marquer » les homosexuels masculins. Pouvant être de taille supérieure aux autres triangles marquant d'autres catégories de détenus, ce symbole de persécution, de discrimination, a été repris par la communauté homosexuelle comme symbole identitaire.

 

 

Ce sont les homos, les pédés, les tarlouzes qui ont le sida et le répandent ... 

Act Up s'est servi du triangle rose dans un contexte différent : celui de l'épidémie du sida.

 

 

 

 

 

 

 

Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ?/Compositeur
Résultat de recherche d'images pour "qu'est-ce qu'on attend pour être heureux compositeur"
Paul Misraki
est une chanson française composée en 1938 par Paul Misraki avec des paroles d'André Hornez pour le film Feux de joie de Jacques Houssin.

Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux ? — Wikipédia


https://fr.wikipedia.org/wiki/Qu%27est-ce_qu%27on_attend_pour_être_heureux_%3F

 

 


commentaire : le sidaction n'est pas plus fait pour les chiens que pour les homos : il est fait pour tout le monde  !

 

Par claudio - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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