Jeudi 11 avril 4 11 /04 /Avr 09:39

Déjà, s'il vous est arrivé d'être fécondé plusieurs fois dans la foulée  par le même mec, alors vous ne pouvez que comprendre  que Denis se donne à lui passionnément  

Résultat de recherche d'images pour "gay man listening to gay neighbours fucking" Ensuite si vous pouvez vous persuader que vous n'entendez pas le bruit assourdissant que font les voisins qui baisent, alors zappez le présent article, ok ?  

 

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2017-bon-rapport-01.php

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2017-bon-rapport-02.php

Quoi ? Tu nous entendais avec Lucie ? »

-« Ben oui, tu sais les murs ne sont pas très épais et l'isolation phonique un peu rudimentaire. Mais bon, t'inquiète, c'est pas grave, je me plains pas ».

-« Oh la honte ! Je suis désolé, on n'y a même pas pensé… »

Là, j'ai vu qu'il comprenait que je l'avais aussi entendu avec son beau-frère :

-« Oh putain, tu sais tout alors ? »

-« Bah, oui… Mais je ne te juge pas, ça ne me regarde pas, ne sois pas gêné…. On en parle si tu veux, si tu ne veux pas, on oublie. »

-« Oh le loser ! L'image que tu dois avoir de moi, j'y crois pas ! »

-« Non non, t'inquiète, au contraire, j'ai kiffé… Euhhh, enfin, c'était loin d'être désagréable… »

-« T'as kiffé ? Non ! Tu t'es quand même pas branlé en nous entendant ? »

-« Ben si, quand même ! Attends, tu te branles pas devant un porno toi, ben là, c'était un peu pareil ! Et puis, désolé de te dire ça mais, mec, t'as une sacrée libido, t'es endurant et tu fais bien gémir tes partenaires. Comment veux-tu que je ne réagisse pas ? Si tu rajoutes ce que tu disais à Martin, ben là, c'est carrément pas possible ! »

-« Ah non, j'ai trop honte là ! »

-« Mais non, c'est pas la peine, c'est la vie ça ».

-« Quand tu dis que t'aimais quand je parlais à Martin, je le traitais comme un salope quand même ! »

-« Ouais mais c'était super excitant ! Il kiffait bien et moi aussi je peux te dire ».

-«Genre ? »

-« Ben genre, je me voyais bien à sa place.. »

 Image associée  Image associée  Abdel et Martin de l'autre côté du mur

 

  

 

https://cyrillo.biz/histoire-gay-2017-bon-rapport-03.php

 

 

Extrait : " j'allais rentrer chez moi quand Abdel m'a collé à lui et a dit :
-« Hummm, je ferais bien une petite sieste… T'en dis quoi ? »
Tout en frottant mon cul contre sa braguette, j'ai répondu :
-« Une sieste ? Bof, j'ai pas trop envie de dormir là ».
-« Moi non plus, je pensais à autre chose… »
Il m'a entraîné chez lui, on s'est déshabillé dans l'appartement en jetant nos vêtements un peu partout en avançant vers la chambre. J'allais m'allonger sur le lit quand il m'a arrêté pour me dire :
-« Attends, j'ai envie de te prendre là, debout contre le mur en imaginant que le voisin nous entende et se branle, ça m'excite ça.. »
J'ai posé les mains sur le mur, j'ai écarté les jambes, j'ai senti sa chaleur m'envelopper, ses mains se sont posées sur ma poitrine pour me malaxer comme si j'avais des seins. Sa bouche s'est posée sur ma tête, ses doigts mouillés de salive ont lubrifié mon trou puis son gland humide s'est logé entre mes fesses. Il a trouvé l'entrée et, en poussant d'un coup sec, il m'a embroché, j'ai poussé en même temps pour m'ouvrir au maximum mais j'ai quand même crié, il a continué et m'a susurré :
-« Détends-toi… tu vas aimer te faire défoncer comme ça ma salope…. Martin adorait que je le baise ici, tu te souviens, tu kiffais nous écouter et ben là, c'est ton tour ! »

Il m'a donné un immense coup de reins qui m'a fait décoller et hurler à la fois de surprise, de douleur mais surtout de plaisir !
Il m'a ravagé le boule comme ça pendant de longues minutes en me disant que j'avais un trop bon cul, serré mais chaud, humide et bien profond, que j'encaissais bien que j'aimais ça vu comme je mouillais. Ce mec me déglinguait le cul et je prenais un sacré panard ! Il avait une endurance incroyable, on était en sueur, j'avais de plus en plus de mal à tenir debout, mon cul me brûlait mais je le sentais mouiller comme jamais, j'ai eu un orgasme anal qui m'a provoqué des contractions de partout, d'abord de l'intérieur comme un fourmillement qui s'est amplifié pour gagner tout mon conduit anal, j'ai eu un coup de chaud qui m'a irradié jusqu'aux extrémités et la chair de poule en même temps. Il continuait à me baiser et m'a dit :
-« Oh c'est trop bon, je vais te remplir sans tarder ».
Il s'est bloqué en moi, m'a littéralement pétri la poitrine pendant qu'il déversait ses jets de jus au fond de moi.
On est resté comme ça un moment, reprenant notre souffle. Je ne le sentais pourtant pas débander, il m'embrassait sur la tête, me caressait encore la poitrine. Il m'a dit :
-« J'ai toujours envie de toi, bouge ton cul pour m'exciter encore ! »
J'étais dans un état second, j'ai bougé mon cul comme une salope en chaleur qui en veut toujours plus.
Il m'a soudainement saisi par la taille, nous a retourné d'un coup, m'a approché du lit sur lequel il m'a couché sur le ventre sans déculer d'un seul centimètre. Ses deux mains se sont posées de chaque côté de ma tête, ses jambes étaient serrées, il a posé ses pieds par terre et a commencé une série de pompes au-dessus de moi pour m'enculer de toute sa puissance.  Il s'est mis à me donner des grands coups de reins en faisant onduler son bassin avec un souplesse incroyable qui lui donnait encore plus de force pour me démonter. J'étais cramponné au matelas, je hurlais de plaisir quand je l'ai senti s'enfoncer au plus profond possible et crier à son tour comme il me remplissait pour la deuxième fois.

Là, j'ai vraiment eu envie d'une sieste ! J'étais essoufflé comme si j'avais couru un marathon, Abdel n'était pas mieux que moi, on est resté allongé côte à côte pendant un bon quart d'heure ! C'est moi qui ai rompu le silence :
-« Ouah, comment tu m'as baisé ! Je comprends que j'entendais crier de l'autre côté ! »
-« J'adore baiser deux fois de suite comme ça quand je suis excité, ça me vide trop bien ! »
-« Tu m'as détruit le cul là ! »
-« T'inquiète, tu vas t'habituer, bientôt tu pourras plus t'en passer de ma bite. En tout cas, moi, ton cul, je le lâche pas comme ça, il est trop bon ! ».

 

 

 


Avant que l'envie de baiser le reprenne, je me suis éclipsé chez moi, j'ai pris une longue douche, j'ai touché mon trou qui était explosé. Son jus avait coulé et souillé mes cuisses. Je n'avais jamais été baisé comme ça.
Je me suis effondré dans le canapé pour mater la télé, je crois même que je me suis endormi un moment. Des potes m'ont appelé pour aller en soirée, j'ai pensé que c'était une excellente idée. Je suis rentré vers 3h30 du matin, je me suis douché et couché, j'allais éteindre quand mon portable reçoit un texto de Abdel : « Bien rentré ? Bien amusé ? », « Ouais et Ouais lol », « T'as envie de dormir tout de suite ?». Alors que mon cul me hurlait OUI, mes doigts ont tapé NON ! Je me suis relevé, il m'a accueilli dans son lit et là, super tendrement, il m'a fait l'amour très longuement. Je n'ai presque pas eu mal. Une fois terminé je l'ai questionné sur cette libido. Il m'a dit avoir de très gros besoins, d'autant plus gros quand il est excité et moi, je l'excitais à mort !

Image associée Image associée

 

A partir de ce jour-là, on a entamé une relation très intense, on se retrouvait soit chez l'un soit chez l'autre. Il est le premier mec à m'avoir baisé debout dos collé au mur, les jambes enroulées autour de sa taille et les bras autour de son cou. J'ai goûté à sa bite dans un grand nombre de positions mais surtout un nombre incalculable de fois. Il me baisait au moins trois fois par jour et souvent en pleine nuit. Mon corps s'est habitué à ce rythme, j'ai perdu 5 Kg alors que je ne suis déjà pas épais. Pendant un temps, ma libido s'est calquée sur la sienne, j'étais toujours partant, je provoquais même les parties de baise, je me suis habitué à ce qu'il me baise deux fois de suite les jours où il était très excité, je suis effectivement devenu accro à sa bite. Je captais le moindre signal ou la moindre intonation qui trahissait son envie, je savais parfaitement quoi dire ou quoi faire pour qu'il devienne fou et me veuille dans l'instant… Je me souviens d'une séance de cinéma  que nous avons quittée précipitamment pour qu'il me déboîte comme la dernière des putes.  Une autre fois, il a dû garer la voiture un peu à l'écart pour une pipe. J'adorais le surprendre et l'exciter dans le supermarché et lui foutre la gaule du siècle au moment où il passait à la caisse alors que moi, j'avais payé mes courses et je l'attendais un peu plus loin en admirant discrètement le spectacle et, surtout, en pensant à ce qu'il allait me mettre après ! Bon nombre de caissières ont dû croire que c'étaient-elles qui lui faisaient cet effet.

 

   ...on a passé les dernières semaines à baiser comme jamais, une sorte de marathon du sexe. Il a battu son record en me baisant trois fois d'affilée !...

 

Lisez les textes du début ! vous avez les liens ds 3 textes ci-dessus

 

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 commentaire :

 

  FESTIVAAL BLACK & WHITE !  

 

 

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 guider c'est bien montrer qu'on la veut  Image associée

    Image associée là elle y est bien dedans  !

 

 

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Par DENIS - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 11 avril 4 11 /04 /Avr 04:34

    Résultat de recherche d'images pour "nude gay men canoeists fuck on the bank"l'invite était trop claire...après tout qui étais-je pour dire non ?

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stillrowing7: “ A promotion photo for the movie “Down the River” ” Reblog of a favorite, August 2016

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Ardèche :

fashionablymaleofficial: “ (via 22 Great Photos of sexy AF Scott Gardner by Thomas Synnamon) ” Reblog of a favorite, August 2016 se faire une idée plus nette de la liberté  

   

 

Reblog of a favorite, August 2016

 

 

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Par GAY REEVES - Publié dans : AMOURS REVEES-REGRETS-NOSTALGIES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 10 avril 3 10 /04 /Avr 09:58

 “Homosexuel” n’est pas équivalent de pédophile. Pas plus que ne l’est “hétérosexuel”, alors même que, statistiquement, la pédophilie est massivement beaucoup plus hétéro (filles mineures) qu’homo (garçons mineurs).

Par DIVERS+ LIBERATION - Publié dans : LUTTES HISTOIRE & REVOLTES DES GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 10 avril 3 10 /04 /Avr 09:43

 

Abdellah Taïa : "Qu'on le veuille ou non, l'homosexualité est une question politique" De Ibtissam Ouazzani HuffPost Maroc

Abdellah Taïa
Herve Lassince
Abdellah Taïa

ENTRETIEN - Avec onze livres parus, plusieurs articles publiés et entretiens accordés, on pensait tout connaître d'Abdellah Taïa. L'auteur marocain révèle pourtant une part de lui que ses précédents ouvrages n'avaient pas encore dévoilée, notamment une rage non contenue.

"J'écris pour exprimer une colère qui m’habite depuis longtemps et qui ne cesse de grandir en moi", dit Taïa pour éclairer son dernier roman épistolaire, Celui qui est digne d’être aimé, paru aux éditions du Seuil. Avant le démarrage aujourd'hui de sa tournée au Maroc, pour aller à la rencontre de ses lecteurs, l'auteur se livre au HuffPost Maroc.

HuffPost Maroc: Comment décririez-vous Celui qui est digne d’être aimé? Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire ce roman?

Abdellah Taïa: Je pense que j’écris, et encore plus dans ce livre, pour exprimer une colère qui m’habite depuis longtemps et qui ne cesse de grandir en moi. La colère dont il est question dans ce livre, c'est celle du désespoir d’Ahmed, homosexuel marocain qui a 40 ans et habite à Paris. Alors qu'il pensait obtenir sa liberté sexuelle en France, il découvre qu’il est regardé comme un sujet inférieur, un indigène. J’ai écrit ce roman pour parler des corps encore colonisés, celui d’Ahmed, ceux des gens de banlieues parisiennes, mais aussi mon corps à moi.

Dans ce livre, j’approfondis ces thèmes qui me sont chers: la famille, la justice, les minorités, l’homosexualité... pour aborder la question de la colonisation française, et comment elle perdure dans la vie et le corps d’un marocain homosexuel de 40 ans qui vit à Paris. Tous ces sujets qui nous concernent de manière intime, je voulais en parler de la manière la plus nue possible, dans ce lieu où l’on est nu devant l’autre : le lit.

Quel est ce néo-colonialisme français dont vous parlez tant?

La société française n’a toujours pas affronté son passé colonial, comme si le colonialisme français avait été une page "civilisatrice", comme si la France n’avait fait que du bien en Algérie, en Indochine ou au Maroc. C’est cet aveuglement de l’Occident par rapport à ses crimes du passé que je souligne. Malheureusement pour nous, Marocains vivant au Maroc ou en France, nous sommes encore déterminés d’une manière ou d’une autre par ce passé. On se doit de porter un regard critique vers ce passé pour mieux lire le présent.

On retrouve dans votre dernier roman vos thèmes de prédilection : l’amour, la relation de l’enfant à ses parents, le mal du pays, l’homosexualité… Qu’est-ce qui différencie cet ouvrage de vos précédents livres?

Je crois qu’un écrivain est toujours dans le même univers dans chaque livre. Je n’entame pas la rédaction d’un nouveau livre en me demandant sur quoi je pourrais écrire, qui serait totalement différent de ce que j’ai écrit précédemment ou qui choquerait les gens. L’écriture est un approfondissement des mêmes thèmes que porte un auteur. Ce sont des voix de plus en plus ancrées dans le style de l’écrivain. Ce qui s’affirme d’un livre à l’autre, c’est le style. Plus j’écris, moins je me soucie de faire de très belles phrases ou de très belles descriptions, qui s’inscriraient dans telle ou telle tradition littéraire.

Est-ce que le personnage d’Ahmed de Celui qui est digne d’être aimé, ne serait pas en réalité le Abdellah du Rouge du tarbouche, avec quelques rides de plus?

Je suis incapable d’écrire de la fiction pure. Je pourrais parler de mon frère ou de toutes mes sœurs, mais en essayant de capter leurs voix, je ne peux mettre dans la littérature qu’une vision totale de la vie et du monde que je traverse. Inventer des histoires juste pour que les autres se disent que je suis capable d’écrire quelque chose de différent ou que j’ai de l’imagination, ne m’intéresse pas. L’imagination ne signifie rien du tout d’ailleurs. Tout écrivain, même quand il s’agit de fiction, parle de comment lui traverse le monde.

Donc oui, Ahmed, c’est évidemment moi, je ne vais pas le cacher. La seule différence, c’est que j’ai prolongé et politisé le destin d’Ahmed. On me demande souvent pourquoi je parle encore et toujours d’homosexualité, et j’ai l’impression que ces personnes ne lisent pas vraiment mes livres, ou me lisent encore avec leurs clichés et leur racisme envers l’homosexualité. Quand j’entends ça, j’ai envie de crier.

Dans le livre, Ahmed pose de nombreuses questions dans une lettre adressée à sa mère, pourtant disparue 5 ans plus tôt. Attend-il vraiment une réponse?

Le roman ne s’embarrasse pas de la bienséance ou des faux-semblants. Certes il est en colère, lui dit qu’il la déteste, la blâme de lui avoir légué ce cœur sec. Mais à travers ce mode-là, il y a la voix qui divulgue l’attachement incroyable pour cette femme et de tout ce qu’elle lui a légué. On pourrait discuter gentiment, comme des gens soi-disant civilisés. Mais quand il y a de la fureur entre deux êtres, la vérité éclate. Et ça, c’est typiquement marocain.

Vous évoquez souvent dans vos livres la difficulté de vivre dans un pays autre que le sien, dans cette France plus sombre et hostile. Pourtant, vous avez choisi de ne pas rentrer au Maroc, pourquoi?

La question de l’hostilité est évidemment importante, mais tout dépend de comment on la gère et de ce qu’on en fait. Un écrivain, surtout quand il a l’âge que j’ai, 43 ans, ne peut pas passer sa vie à fuir. Il faut donc affronter cette réalité, et c’est ce que j’ai fait. Certes, beaucoup de choses ne vont pas en ce moment à Paris : l’assignation identitaire, le refus de l’autre, comment on parle des noirs, des musulmans... Je vis à Paris depuis 18 ans. Il a fallu que je m’accroche pour être accepté par les éditions du Seuil. Je l'ai fait parce qu’il est important que ma voix soit entendue. Rentrer au Maroc aujourd’hui, ce serait recommencer à zéro. Il faut faire face au racisme qui entrave son chemin, il ne faut pas fuir.

Pensez-vous que le Maroc voit différemment aujourd’hui l’homosexualité?

Ça m’attriste de voir, depuis à peu près 2003, alors qu’une partie de la société marocaine semble accepter l’homosexualité et que la presse marocaine aborde la question, que les pouvoirs ne changent pas de regard sur les homosexuels, continuant de les criminaliser. Mais que faut-il faire de plus pour que les pouvoirs marocains changent de regard sur les homosexuels? Il faudrait un homme ou une femme politique courageux ou courageuse, pour commencer cette transformation et protéger les homosexuels. Qu’on le veuille ou non, c’est une question politique.

Vous participerez en mars prochain, au côté de 33 autres auteurs marocains, au Salon du livre de Paris, dont le Maroc sera l'invité d’honneur. Que représente pour vous cette opportunité?

Je suis très heureux que le Maroc soit invité d’honneur, ce qui permettra à la littérature marocaine d’exister un peu plus en France, malgré le prix Goncourt de Leila Slimani. Ce sera aussi une occasion de soutenir encore plus les écrivains au Maroc et les aider à se faire connaître. Il y a plein de jeunes voix au Maroc qu’il faut aider.

Vous êtes aussi cinéaste. Vous avez réalisé en 2014 votre premier long-métrage, L’armée du Salut, qui a été présenté dans plusieurs festivals étrangers, dont la Mostra de Venise et le Festival du film de Toronto, et plus récemment au festival Travelling de Rennes. Pourquoi cet intérêt pour le cinéma?

Je suis obsédé d’abord et avant tout par le cinéma. Heureusement qu’il y a des films pour me sauver! Je suis tellement emporté par le cinéma depuis tout petit que par moments, j’ai l’impression que j’écris avec des images et non avec des mots. Je suis encore comme un enfant quand je regarde un film.

Pensez-vous que le cinéma marocain ait évolué?

Ce qui est sûr, c’est que le cinéma marocain a beaucoup changé et a osé s’affirmer. On a vu plusieurs films qui nous ont peut-être choqués, mais qu’il était nécessaire de faire pour montrer la réalité du Maroc. Les artistes marocains ne font pas de mal au Maroc, ça c’est une certitude. Le cinéma aide le Maroc et il ne faut pas chercher à le censurer.

Avez-vous de nouveaux projets pour le 7e art?

Oui, mais le cinéma, c’est de l’argent (rires). J’ai quelques projets en cours, qui ne seront pas des adaptations cinématographiques de mes romans, mais qui seront basés cette fois sur un scénario original.

 

abdellah taïa

 

 

Rencontres avec Abdellah Taïa

 

 

  • Le vendredi 17 à 19h00, à l'Institut Goethe, Rabat.

 

 

 

 

 

Par ABDELLAH TAIA - Publié dans : RELAIS - ZAPPINGS- PARTAGES photo expo - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 10 avril 3 10 /04 /Avr 06:54

quand on dit : "je pars en couille", rien de meilleur

Photo prise sur le net

j'adore voir un homme avec des couilles bien pendantes

Résultat de recherche d'images pour "pédé gobe couilles"

 

 

Photo prise sur le net

trop beau de voir de grosses couilles, j'aimerais me faire baiser par ce beau paquet ,sentir ses grosses couilles claquer sur mon cul hummmm

Photo prise sur le net

hummmm ses couilles dans ma bouche,

 

Photo prise sur le net

hummm passer par en dessous et lecher tout cela

Photo prise sur le net

j'adore les grosses couilles bien pendantes

Photo prise sur le net

couilles qui pendent et minimisent la bite

 

Photo prise sur le net

 

bite qui rivalise avec ses couilles

 

Image associée cette grappe de raisin red-globe le (nous) fait rêver *

 

Résultat de recherche d'images pour "grappe de gros raisins " quoique deux gros grains bien juteux nous suffisent ! 

récolte record :

 Résultat de recherche d'images pour "grappe de gros raisins""C'est bien vrrrai ça ! " disait la Mère Denis    

 

Par GAY CHO SUR 62 - Publié dans : RELAIS - ZAPPINGS- PARTAGES photo expo - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
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