Lundi 15 avril
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17:13
Des yeux profonds, ce visage mince et mature, et la façon dont son ample chemise hawaïenne flottait
autour de son corps, par-dessus son jean sexy et serré exhalaient son odeur virile. Et la pensée de l'avoir, lui, au-dessus de moi et en moi me faisait chaud au corps et au coeur.
Alors, j'ai accepté.
Derrière cette porte discrète 
mais très bourgeoise, le salon de la drague gay où se retrouvent surfeurs, commerçants, hommes d’affaires,
hommes plus âgés et touristes. (fake)
j'ai carrément pris la place de ce jeune asiat qu'il venait de quitter :
d'après https://xhamster.com/stories/first-time-bareback-with-older-man-901947
dans l'appartement de cet homme très 'mûr' nous nous sommes libérés son emprise sur moi fut totale 
I
Je venais d'avoir 18 ans, étais étudiant à l'université et vivais d'un petit revenu de base. Sans
être tout à fait pauvre je n'étais pas bien riche.
Quand j’avais un peu d’argent, je prenais le bus pour me rendre dans une ville située à environ 15 minutes du campus et visitais 'le salon de la drague gay'. C'était un lieu légendaire de la
ville et l'un des plus anciens et des seuls établissements. Il avait su attirer la chaude fréquentation des surfeurs, des commerçants, des hommes d’affaires, des hommes plus âgés et
des touristes.
Bien sûr, en tant que jeune homme de 18 ans, explorer ma sexualité ici était tellement amusant, et mon cœur battait à tout rompre dans ma poitrine et mon corps tremblait lorsque je pressais
la sonnette pour entrer et payer mon entrée. La porte d'entrée était étroite et suggérait la discrétion bourgeoise. Passé le seuil une musique suave flottait dans une odeur de lubrifiant et
le sexe. J'ai aimé cet accueil dès la première fois : on ne pouvait que s'y sentir le bienvenu.
On traversait un grand salon de repos éclairé seulement par un écran vidéo. Et c'est là que je l'ai vu en premier, tel "l'amant de la Chine du Nord de Duras". Un homme plus âgé mince,
avec une fine moustache. 'Mr Belhom' m'a exploré de haut en bas quand je suis entré. J'ai senti un picotement. Et je suis passé dans le reste des zones de drague où
de petites pièces sombres et des cabines fermées par des rideaux et où des 'glory holes' brisaient, par leur anonymat, la soi-disant discrétion des lieux.
J'ai traversé la grande salle de jeux, capitonnée pour d'atténuer les sons, et je suis entré dans l'une des cabines ... Après quelques instants, une belle queue semi-dure d'au moins
20cm a traversé le trou. Je l'ai regardée, l'ai humée et j'ai lentement léché la bite ... avant de mettre le tout dans ma bouche.
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Je suçais et soufflais et massais la hampe avec ma langue, à l'intérieur de ma bouche et même à l'arrière de ma gorge, où je pouvais la sentir se tendre quand elle caressait ma glotte. Après un
moment je sentis le jaillissement chaud et gratifiant du sperme à travers les veines du membre dur que je faisais aller et venir dans ma bouche. J'ai avalé presque chaque goutte, mais
certaines sont tombées à terre. Je pensais les ramasser avec mon doigt, mais imaginai que le sol était assez sale et ne le fis pas.
Alors que la bite s'était retirée du trou percé dans la cloison, je quittai la cabine, et en sortant, je réalisai que le beau monsieur des années 80 m'attendait à l'extérieur et je me rendis
compte que c'était lui l'occupant de la cabine voisine.
Il avait dû apprécier ma généreuse et savante prestation ! Il me regarda droit dans les yeux et me dit: "Je croyais que j'avais eu une mauvaise semaine jusqu'à ce que je t'aie vu
entrer. J'aimerais passer du temps avec toi chez moi et ça me fera plaisir de te rembourser ton entrée et te donner un peu d'argent pour le temps que tu voudrais bien passer avec
moi. C'était courtois et plein de délicatesse bien que direct. Ainsi il m'avait repéré dès l'entrée et m'avait tenté et testé dans le glory hole de ma cabine.
Je n'avais jamais été escort auparavant et je n'ai jamais demandé d'argent. Cependant, Mr 'Lebeaumec-des-années-80' n'avait rien de
repoussant, au contraire. Des yeux bleus profonds, un visage mince et mature qui reflétait une assurance certaine de savoir ce qu'il voulait, et la façon dont son
ample chemise hawaïenne flottait autour de son corps, par-dessus son jean sexy et serré furent encore plus convaincants. Je pouvais presque sentir son odeur virile, et la pensée de
lui, nu sur mon corps nu, irradiait en moi, à l'avance, une grande chaleur.
Alors j'ai accepté.
Nous fîmes notre chemin hors du salon de la drague et sortîmes à la lumière du jour dans la rue. J'étais nerveux comme
l'enfer, mais excité quant à la direction que cela prendrait.
Il m'a conduit à sa voiture et nous avons roulé environ 10 minutes jusqu'à une banlieue en bord de mer. Il s'est garé dans le parking
souterrain et m'a conduit à son appartement. Je lui ai demandé s'il vivait seul et Il m'a dit qu'il 'voyait' un jeune asiatique régulièrement depuis 5 ans et que cette relation venait
de s'achever du fait que celui-ci devait déménager à plus de 400 km. 5 ans ! 5 ans de fidélité entre eux. 5 ans ! le temps qui me restait à passer à
l'université. Je le voyais sous son vrai jour. Il était triste de cette séparation mais heureux de me rencontrer et voulait si c'était possible et, si j'étais
d'accord, qu'on passe du temps ensemble.
Nous sommes montés et il m'a conduit directement à sa chambre. Nous nous sommes embrassés et il a enlevé ma chemise et la sienne également. Je me
suis assis sur le lit et ai regardé son entrejambe pendant que je faisais lentement ce que j'aimais faire aux hommes : défaire leur ceinture, ouvrir leur jean et découvrir lentement
leur sous-vêtement, excité par ce que je pouvais y trouver. Alors que je tirais son jean pour libérer son entrejambe, EN MEME TEMPS -lol- j'abaissai son sous-vêtement bleu et laissai sa
queue lentement se défriper sur le lit.
Il avait beaucoup de poils pubiens et sa queue mesurait environ 17-18cm au repos.. Pas épais, sur le côté plus mince, mais c'était une belle
bite non circoncise - nettement veinée autour de la tige bronzée, et sur un gland bien dessiné.
J'ai joué avec le prépuce, et j'ai mis ma bouche autour de sa queue et l'ai prise profondément dans ma gorge. Mon nez touchait ses poils pubiens
exhalant son odeur virile.
Je pouvais sentir son corps se tendre et se détendre alors que la bite se raidissait dans ma bouche et je me suis amusé à faire des virages
amusants avec ma langue autour du gland au délicieux goût acidulé et je poussai de temps en temps la pointe de ma langue entre gland et prépuce.
Alors que je levais les yeux vers lui, il dit "J'adorerais te baiser. Mais je vais préférer le faire sans préservatif, comme je le faisais avec
mon petit ami asiat jusqu'à présent".
J'étais inquiet - et ai dit que je n'étais pas trop sûr d'être d'accord . Il a alors dit qu'il me donnerait 50 euros au lieu de
30. Il a également dit qu'il était sain et a demandé si moi aussi. J'ai dit oui et je ne me sentais pas le droit de mettre cela en doute.
Il a ensuite attrapé un peu de lubrifiant. Il a repoussé mon corps maintenant nu vers le lit et a soulevé mes jambes avec un bras. Il a lentement
et délicieusement lubrifié mon trou ; je me détendais sur le lit agité par de petits soubresauts dus au plaisir d'être doigté et l'esprit uniquement occupé par ce qui allait se
passer.
Il a ensuite guidé sa bite nue vers mon cul. Je pouvais sentir la belle pression de la tête lisse et glissante de sa bite contre mon anus,
et, prépuce tiré en arrière, lentement, inexorablement, il se fraya un chemin dans mes intérieurs.
Je grimaçai lorsqu'il atteignit mon deuxième sphincter, mais l'expérience me disait que cela passerait. Il a ensuite lentement poussé sa bite tout
au fond de mon cul - chair contre chair- et mon cul, tout excité, a tout pris. Evénement !
Lentement et régulièrement, entrant, sortant, il a commencé à pousser dans et hors de mon cul, et j'ai senti le pouvoir hypnotique de sa
merveilleuse bite en moi. J'étais shooté.
En me limant pendant des minutes inoubliables, il m'a finalement regardé dans les yeux et a dit qu'il était sur le point de jouir.
La vue troublée je l'ai regardé dans les yeux et lui ai dit, le tutoyant maintenant : vas-y.
Il a limé plus fort et a émis un son animal profond en projetant sa charge dans mon puits d'amour. Amoureux définitivement conquis, ne
voulant rien manquer de ces moments, je projetais toutes mes perceptions vers ce qui se passait dans mes profondeurs. Je pouvais presque sentir le jaillissement à l'intérieur de mon corps alors
que sa queue se tendait et entassait le sperme dans mon cul.
Cela me bouleversait tellement que j'ai commencé à tirer furieusement sur ma queue de nouveau bandée. Il avait dit de ne pas
encore jouir - mais je ne pouvais pas attendre, et j'ai très vite projeté ma charge sur mes abdominaux et ma poitrine maigres. C'était tellement chaud que je n'avais rien
pu retenir et j'avais dû venir.
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En
regardant en arrière, j'étais très naïf à l'époque et je prenais des risques : laisser un étranger me conduire chez lui et me convaincre de prendre sa queue sans capote ça a été
considéré comme une folie. J'ai instinctivement accepté de me donner en cette occasion spéciale, bien que je ne réalisais pas à quel point le sexe brut me manquerait plus tard dans la
vie, et, je dois dire me manque tout le temps comme un bien essentiel quand il y a cette tyrannie du VIH. Quand j'ai été à la fois plus sûr et plus prudent et sachant
quelle irremplaçable expérience c'est vraiment, je l'ai permis à mes partenaires chaque fois que possible. x10
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J'ai revu Mr bomec-des-années-80 quelques fois de plus pendant les
semaines qui ont suivi, alternant des rendez-vous avec d'autres hommes et
lui et n'hésitant pas à demander du fric à chaque rencontre. Je lui dois cette
audace qui m'a bien servi pour financer mes études et mon bien-être.
Le pli était pris, chaque fois nous l'avons fait bareback et c'était pas pour
empocher 20 euros de plus mais bien par goût et par désir qu'il me
'féconde'. Si vous me désapprouvez c'est que vous ne savez pas combien
c'est bon et c'est tant pis pour vous.
Il a toujours été généreux et un vrai gentleman. Il m'a même acheté de la
lingerie sexy dans un magasin spécialisé et, avec ma permission et à ma
demande, il m'a rasé puis épilé le corps, mis des épingles dans mes
cheveux, un peu de rouge à lèvres et je l'ai laissé me baiser en public dans
les lieux
où on s'était rencontrés la première fois. Si vous aimez Duras, vous me
permettrez d'appeler Mr Bomec des années 80 "mon Amant de la Chine du
Nord" à moi.
commentaire :
La vue troublée je l'ai regardé dans les yeux et lui ai dit, le tutoyant maintenant : vas-y !
idiot, n'en perds pas une goutte !
d
oui viens ! 
C'était tellement chaud que je n'avais rien pu retenir et j'avais dû venir.
je t'ai bien fécondé pa puce jolie, fai-moi des bébés ! -lol- Mon cul, un peu essoufflé, palpite, prêt à en prendre encore...
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