RASAGE GAY PAR 1 POTE PLUTÖT QUE CES MAUDITES PILLULES pour femmes ou hommes
L'acétate de cyprotérone, principe actif de l'Androcur et de ses génériques
LU CHEZ LE TOUBIB dans un vieux numéro de l'hebdo
ON LIT DANS L'EXPRESS : L'acétate de cyprotérone, principe actif de l'Androcur et de ses génériques, peut provoquer des méningiomes (tumeurs bénignes au cerveau). 500 victimes ont déjà été identifiées, mais ce chiffre est certainement sous-estimé.
L'Agence du médicament demande à limiter les prescriptions et recommande une surveillance des patientes sous traitement.
"A prescrire avec modération" : voilà, en substance, le message de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) à propos du médicament Androcur et de ses génériques. Les nouvelles recommandations de l'ANSM relatives à ce produit étaient très attendues après la révélation à la fin de l'été des effets secondaires potentiels de l'acétate de cyprotérone.
Cette molécule se trouve en effet accusée de multiplier par vingt le risque de développer un méningiome, une tumeur bénigne du cerveau, en cas d'utilisation prolongée, selon une étude menée par l'Assurance-maladie et les équipes de neurochirurgie de l'hôpital Lariboisière à Paris (AP-HP).
Toute utilisation prolongée et à forte dose est désormais fortement déconseillée, y compris en cas d'hirsutisme sévère (pilosité extrême et handicapante), la seule indication dans laquelle ce médicament reste autorisé. "Cela pose la question de son utilité même, car ce produit ne guérit pas : il traite les symptômes, qui repartent de plus belle quand on l'arrête", s'interroge Marlène Vault, qui anime un groupe Facebook rassemblant les victimes de cette molécule. Par ailleurs, les experts de l'ANSM rappellent que toute prescription dans des indications pour lesquelles ce médicament n'est pas autorisé (acné, séborrhée et hirsutisme) doivent être proscrites.
Le médicament peut toujours être prescrit
A la question du maintien sur le marché de ce produit, l'ANSM a donc finalement répondu oui. Une réponse qui peut étonner, alors que ce médicament est beaucoup moins utilisé chez certains de nos voisins européens, et pas du tout aux Etats-Unis par exemple - preuve qu'il existe des alternatives thérapeutiques. En revanche, l'Agence du médicament recommande désormais un suivi radiologique poussé, notamment en cas de nouvelle prescription.
Une IRM (imagerie par résonance magnétique) devra être réalisée, pour s'assurer que la patiente n'a pas déjà un méningiome, qui pourrait être aggravé par le produit. Puis une IRM au bout de cinq ans, et par la suite une tous les deux ans devront être réalisées. "Cela paraît raisonnable", juge le Pr Sébastien Froelich, le neurochirurgien qui avait le premier lancé l'alerte sur ce produit, et qui a participé aux travaux du groupe d'experts interrogés par l'ANSM.
L'Agence demande par ailleurs aux médecins de reprendre contact avec les femmes déjà sous traitement, pour "réévaluer la nécessité de le poursuivre et envisager un contrôle par IRM". En dehors de tout symptôme, rien n'est en revanche prévu pour les femmes qui ont déjà arrêté ce produit. Des mesures insuffisantes pour Marlène Vault : "Il aurait mieux valu recontacter toutes les femmes qui ont pris ce médicament plus de cinq ans, ou qui le prennent depuis plus de cinq ans, pour leur proposer un contrôle systématique par IRM". Un avis justifié par les retours des victimes qui témoignent sur son blog : "Beaucoup de médecins sont encore dans le déni de la réalité des risques liés à ce médicament", constate-t-elle.
L'ANSM doit adresser un courrier de rappel à tous les professionnels concernés, et envisage à moyen terme un plan de communication auprès du grand public. Un numéro vert se trouve à la disposition des victimes depuis début septembre : 0.805.04.01.10.
commentaire :
à nous les bonheurs sans entrave ni souci !
pas sans le secours d'un pote !
Philippe a soulevé son T-shirt et depuis je rêve de la caresse que serait sa toison sur ma poitrine et son odeur de mâle qui me saoûlerait...-lol-
Si vous n'aimez pas ça, n'en dégoûtez pas les autres
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