Dimanche 21 avril 7 21 /04 /Avr 06:51

    Je me suis toujours posé des questions sur le sexe et surtout si je savais en profiter.En tous cas je sais (me) donner.

  Image associée  les chaussures de femme  eh ben je les ai eues ... bien que j'aie toujours trouvé pénible de devoir me déguiser en femme pour attirer plus de bites...-lol- 

Le sexe hard avec un  homme grand et fort est quelque chose dont j'avais toujours fantasmé. Aussi loin qu'il me souvienne je me masturbais en pensant être fait pour faire des choses... des choses sales pour ce que la"société" bien pensante attend d'un homme. Je pensais être fessé, fait pour servir un homme, qui soit pas méchant mais très dominant, quelque peu cruel et hors du commun mais pas terrifiant. J'avais souvent ce fantasme-là  dans ma tête.

Image associée oui ... LUI fort autant que je suis faible

Je suis sorti avec des filles, j'ai eu des rapports sexuels avec plusieurs d'entre elles mais ça n'a jamais occupé mon esprit autant que l'idée d'être pris par un homme. Quand j'étais avec une fille, je me souviens avoir pensé que je voulais être la fille, je voulais être celle qui était "dessous". J'ai probablement projeté cela avec tout homme qui aurait voulu profiter d'une transgenre de placard comme moi. Le bon gars bien éduqué que je suis fait attention : je ne me suis pas démené  pour arriver à mes fins et voulais que ça m'arrive tranquillement.

C'est compliqué, mais je ne me suis jamais offert directement aux hommes, j'avais peur de le faire. Je ne voulais certainement pas admettre être gay soumis et passif, ou risquer un "outing" et devenir "homme-pute" de notoriété publique. Mais quand je voyais ou rencontrais  un homme qui m'attirait, il devenait mon fantasme, le pivot de ma masturbation. Et je lui souriais, je lui parlais très poliment... Et j'en ai eu plusieurs qui correspondaient à ce fantasme pour moi : L'un était un très gros, type de la classe ouvrière dans l'entrepôt où je travaillais au bureau de réception. Je lui souriais toujours. Je m'efforçais de le faire et je pensais presque tous les jours à lui.

Et puis c'est arrivé.

C'était un soir après une journée de travail et l'un de nous payait à boire. Nous étions sur le parking. J'étais assis sur le siège passager de sa voiture. Lui, celui auquel je pensais, c'était le contremaître de l'entrepôt. Je lui avais demandé de me conduire au bar. Jamais au grand jamais je n'aurais pensé qu'il était gay. Je voulais juste me rapprocher de lui.

Un petit nombre d'entre nous allions dans un bar après la fête et je lui ai demandé si je pouvais monter avec lui. Je ne le connaissais pas vraiment mais je l'avais déjà vu plusieurs fois au travail. C'était lui ! Il était le type auquel je pensais plus que tout autre, où que je sois, où que j'aille, je pensais être avec lui. Et il semblait  toujours  faire très attention à moi, il a fait des pieds et des mains pour me parler quand nous avons eu la chance de travailler en équipe. Mes réflexes inconscients ont joué quand, sans y penser, je me suis dit que c'était avec lui et personne d'autre que je devais aller en voiture. Il m'a ouvert la portière, debout, comme on fait pour les dames. Je suis monté. Il m'a regardé un jnstant, a souri puis a fermé la porte de la voiture.

 A
ssis, moteur au ralenti, j'ai pensé il ne faisait que réchauffer l'intérieur avant de rouler et rejoindre les autres. Je me souviens avoir vu plusieurs filles nous saluer alors qu'elles montaient dans leur voiture et partaient pour l'after-party. Nous nous sommes restés assis là jusqu'à ce que presque tout le monde ait quitté le parking.
   
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"Enlève tes pantalons!" Il m'a regardé, il l'a dit comme ça purement et simplement.

 
Je n'ai pas cru ce que j'entendais. Même si j'avais pensé à lui, la réalité était complètement différente. Je ressentais une peur totale, j'avais très peur et je voulais sauter de sa voiture.

 
j'ai dit :-"comment ?" Je l'ai regardé.

 
"Enlève ton pantalon, tout de suite." Il a tourné le siège vers moi. J'ai tendu la main saisir pour la poignée de la porte. Je l'ai senti empoigner mon bras de sa main gauche et la crinière de mes cheveux de sa main droite.
    Image associée
 
«Enlève ton pantalon, tire-le complètement. Je sentais sa main se refermer sur mon bras si fort que ça me faisait mal. Il me meurtrissait. J'ai grognoté.

 
C'est c'est alors qu'il ma flanqué une gifle. Deux fois. Il m'a regardé droit dans les yeux.
 
"Ne me force pas à le faire pour toi, enlève ton pantalon."

  Il sourit, tout près de mon visage comme s'il allait m'embrasser. J'ai senti les larmes recommencer à couler sur mes joues. Il a parcouru ma joue de son index sur le chemin de mes larmes. «Je veux te voir.  Maintenant. Enlève ton pantalon, tu sais que tu le veux, tu sais que tu es une petite chienne d'allumeuse, nous le savons tous les deux, maintenant enlève ton pantalon».

Je détournai les yeux de lui, je vis les dernières voitures qui quittaient le parking tandis que je défaisais mon pantalon et le glissais sur mes cuisses. Il avait raison. Je me sentais en même temps
comme si je voulais et comme si je ne voulais pas. Je me sentais terrifié et presque envie de vomir, je n'avais jamais rien fait de tel auparavant mais sa brutalité ne m'avait pas choqué exagérément.

 

Image associée Il venait de casser ma coquille ! 

LES LARMES VONT AVEC UN DEPUCELAGE MENTAL !

J'ai soulevé mon derrière du siège ; en me rasseyant je me souviens avoir alors senti le cuir froid à travers mes sous-vêtements. J'ai fait glisser mon pantalon sur mes genoux et ensuite sur mes chevilles. Il s'est assis sur son siège et a regardé avec satisfaction que j'avais fait ce qu'il voulait. Je sentais de douces larmes couler sur ma joue.

"Le slip aussi, princesse." Il m'a regardé en souriant. "Allez fais-le."

J'ai vraiment commencé à pleurer, je n'avais jamais été aussi intimidé. J'ai pleuré un peu plus fort. Je me sentais honteux, soumis, j'avais l'impression de ne pas pouvoir dire «non». J'ai fait comme il a dit, ai fait glisser mes sous-vêtements et me suis assis nu et exposé à sa vue sur son siège de voiture.

Et j'étais là, nu dans sa voiture. Les chaussures aux pieds, mon pantalon et mes sous-vêtements sur le plancher. Il m'a regardé. Se penchant, il m'a regardé et m'a inspecté. J'ai senti mon visage devenir rouge vif, j'ai senti les larmes me brûler les joues où il m'avait giflé. Il a pris son temps pour me regarder.

"Je le pensais, tu es comme un petit garçon." Il tendit le bras et prit mes poils pubiens dans son poing, les tira de telle sorte que mon dos se souleva du siège.

J'ai crié, j'ai senti sa main droite passer entre le siège et mon derrière avant que je ne retombe sur le siège. Je me suis senti assis sur sa main.

"Je veux que tout soit parti, rasé, la prochaine fois que je te vois. Alors comme ça, tu seras doux comme un bébé. Je sentis ses doigts bouger entre les joues de mon derrière, sa main poussant contre le siège. Il a giflé mon visage à nouveau. "Clair?"

J'ai commencé à sangloter, "oui, oui ... s'il vous plaît".

"Shsssss, sois tranquille." Je le sentis commencer à palper ma fesse gauche, la serrer dans sa grande main, sentir ses doigts frôler mon trou. Je suis demeuré assis et j'ai pleuré doucement pendant qu'il me "visitait". Son autre main se déplaça vers mon pénis, son doigt se déplaçant autour de lui dans un petit cercle. Je me suis senti devenir semi-dur. J'ai regardé par la fenêtre. J'avais si peur que quelqu'un me voit faire ça, je pleurais doucement.

«Nous allons à la fête au bar, ne t'inquiète pas, tu peux remettre ton pantalon pour ça. Il a ri si fort que ça m'a fait peur.

"Maintenant écoute-moi attentivement, ne parle pas, dis un mot et je te giflerai à nouveau. J'ai commencé à pleurer encore plus fort. J'ai juste regardé mon petit pénis exposé devenu maintenant flaccide et couvert de mes larmes .
 

  Son index continuait à bouger autour de ma petite chose douce, se déplaçant lentement. "J'aime mieux quand tu es doux et soyeux comme ç  que quand tu es semi-dur, ça te va bien." Je sentis le majeur de son autre main sonder entre mes fesses quand il dit ça, se frottant juste contre mon petit trou serré.

 
«Je sais que tu es une poule mouillée, je t'ai regardé au boulot, on a parlé avec plusieurs femmes au boulot qui pensent elles-même que tu es une poule mouillée, crois-le, mais j'aime ça, j'aime les sissies comme toi." J'ai senti sa main gauche s'éloigner de mon pénis mou et commencer à caresser le côté de mon visage. «J'aime aider un homme à se transformer en un petit garçon-sissy, et s'amuser comme on joue avec une petite chienne. Si tu veux que je m'arrête, dis-le simplement, dis« je ne veux pas être une chienne-sissy, je ne suis pas un petit garçon homo » Dis-le, je t'attends et je te mets au défi de le nier.

 
Je n'ai rien dit. J'ai regardé par la fenêtre de la voiture et senti mes larmes couler doucement. Je pleurais vraiment.

 
Il se pencha à quelques centimètres de mon oreille. Je vais te guider, tout ce que tu as à faire, c'est ce que je te dis, c'est clair, réponds-moi.

 
"Oh oui, oui ... s'il te plaît, mais ne me frappe plus, s'il te plaît ..." Je levai les yeux vers lui, la peur et les larmes sur mon visage. Je le regardais dans les yeux. Il a juste souri en retour. Beaucoup de douceur s'installait entre nous. Il a retiré sa main de sous mes arrières et s'est remis sur son siège.

 
"Tu as un petit arrière-train  très mignon et très serré, j'aime ça aussi, je peux tenir tout ça dans une seule main." Il défit son pantalon, juste assez pour sortir sa queue, dure comme un roc, et qu'elle pointe au-dessus de la ceinture de son boxer. Ensuite il l'a dégagée afin que je la voie toute raide et toute droite oui, pour que je la voie. Elle était énorme. Ca m'impressionnait sans me dissuader...

 
Il m'a regardé. " Alors, tu la trouves bien?" J'ai senti sa main sur ma nuque et me pousser doucement vers elle. Je l'ai vu faire du regard le tour du parking par sécurité. Nous étions seuls dans sa voiture.

 
Je n'ai pas hésité. J'ai fait tout ce qu'il voulait que je fasse. Je l'ai sucé pendant au moins une demi-heure et je l'ai laissé jouir dans ma bouche. C'était la première fois que je faisais ça. Je n'avais jamais été avec un homme avant comme je l'ai fait pour lui sur le siège avant de sa voiture, je ne voulais pas et pourtant j'avais l'impression de ne pas vouloir que  que  ça se termine, j'avais l'impression de faire ce que je devais faire, d'être à ma vraie place. Par rapport aux "autres"Je me sentais sale et criticable, je me sentais comme une pute soumise. J'ai aussi senti sa main sur le dos de ma tête tout le temps que je l'ai sucé, je l'ai senti me caresser, en me tenant par les cheveux en me déplaçant de haut en bas sur sa queue. Je sentis son autre main caresser mon derrière nu, me rappelant ma nudité devant lui. Il frotta ses doigts de haut en bas dans la fente de mon arrière pendant que je le servais. 

  Quand il est venu, en énormes giclées, tout en le gardant en bouche, j'ai reculé de quelques cm, il fallait du recul à ma langue pour l'apprécier ; il est simplement resté assis, le goût de lui se répandait tout à l'intérieur de ma bouche, j'ai ressenti la poussée-réflexe soudaine qui accompagne une éjaculation. J'ai aimé qu'il fasse comme quand c'est un vagin qu'on pénètre ou un cul : pas question de sortir ou de reculer.... Il tenait ma tête à deux mains. Aucun de nous n'a plus bougé et j'ai fait de mon mieux pour avaler.

 
Il a utilisé ses mains pour déplacer ma tête de haut en bas sur lui, m'a tenu fermement en place, une main sous mon menton. Il a rempli ma bouche. Quand il a fini, il m'a tapoté le cul, a passé sa main dessus et l'a giflé. Là, après avoir déchargé, il était presque complètement mou ; il a soulevé ma tête et sa verge gluante est sortie. Que du plaisir pour moi, aucun recul. Il était énorme même semi érigé.

Je
me suis redressé rapidement sur mon siège. J'étais sous le choc, je regardais par la fenêtre le parking vide. Je frottais mes lèvres et ma langue l'une sur l'autre pour mieux le goûter. 

 -"Alors ?" murmura-t-il doucement, l
à, maintenant, c'était pas si mal, n'est-ce pas?" Son regard me brûlait, me donnait l'impression de devoir ramper sous le siège. Il a souri, m'a caressé le visage. Je n'ai rien dit.

 
"Tu vas t'y habituer, en fait je pense que tu as aimé faire ça et je pense que tu étais probablement décidé à le faire avant, n'est-ce pas?" Il rit doucement.

 
Je n'ai pas répondu. Il bougea si vite qu'il me fit peur, me gifla durement le visage. "Tu n'as pas répondu à ma question. Réponds  quand je te pose une question!"

 
"Oui, j'ai, oui." Son sperme se mêlait à mes larmes sur le côté de mon visage brûlant où il m'avait giflé à nouveau, "Oui, s'il vous plaît, je vais faire ce que vous voulez, je vous veux. S'IL VOUS PLAIT." Je pleurais encore doucement. Ma voix en mode panique, "Je ne veux pas que tu me fasses mal."

 
"Rappelle-toi, rasé, propre et chou la prochaine fois, je parle de tes couilles, de ton entrejambe, de ton derrière, de tes bras, de tes jambes ... Si je sens des poils ou des chaumes, non seulement je te giflerai, mais je vais utiliser ma ceinture sur toi. " Il tendit le bras et caressa l'arrière de ma tête, tout en contraste, je sentis ses doigts jouer avec mes cheveux.

 
«Je ne vais pas te faire de mal, je vais juste commencer à t'honorer comme tu devrais l'être : tu vas être un vrai bon garçon, la prochaine fois que tu viendras, je veux que tu penses à moi, pense à moi comme étant ton grand père fort. " Il a ri quand j'ai commencé à m'habiller. «En fait, tu vas probablement beaucoup penser à moi après que tu sois rentré ce soir, toi et moi allons passer de bons moments ensemble, tu supplieras de pouvoir me rendre visite, compte là-dessus ! 

 
Il se pencha et ouvrit la porte de sa boîte à gants, sortit quelques lingettes humides et les laissa tomber sur mes genoux.

 
"Tu es en désordre, nettoie ton visage avant d'arriver au bar." Il a mis la voiture en marche et a commencé à conduire. Je me dépêchai de me nettoyer, de remettre mon pantalon. Il ne m'a rien dit jusqu'à la fête. Nous avons roulé en silence.
  

 

Arrivés au bar, il s'est garé dans le parking, certains de nos collègues , allaient à leurs voitures et partaient. "Quand nous entrerons, va aux toilettes hommes et lave-toi le visage." C'est tout ce qu'il a dit en sortant de sa voiture. La lumière du plafonnier s'éteignit et je me sentis bien dans sa confortable voiture...comme chez-moi , mon visage piquait toujours où il m'avait giflé. EN MEME TEMPS -lol-  mon visage était rouge et j'avais encore son goût dans ma bouche. C'était  secret et j'en éprouvais de la fierté et EN MEME TEMPS  -lol- de l'angoisse. Hors de la voiture me suis précipité vers les toilettes-messieurs.

 
Tout le temps passé au bar j'étais sous le choc. En discutant avec les autres membres de la fête, j'avais l'impression qu'ils savaient tous ce que je venais de faire. LUI, il me regardait de temps en temps mais faisait comme s'il m'ignorait tout le temps où nous avons été là. Je me suis juste assis dans un coin sombre, répondant gentiment quand on m'adressait la parole, mais je me sentais complètement dans une semi-panique, car en moi c'était une révolution, je ne voulais plus rien que rentrer à la maison et être seul.
 
Après que la dernière personne de notre groupe d'employés ait quitté le bar, il s'est assis à côté de moi, a siroté le dernier verre de sa bière. Il m'a regardé. Il se pencha vers moi et murmura: «Allons, princesse, tu as quelque chose à faire, tu dois rentrer à la maison et t'expliquer à toi-même ce que tu as fait pour moi ce soir, et ce que tu vas faire pour moi à l'avenir.

 
Je sentais la peur, j'avais envie de courir vers la porte. Il savait ce qui se passait en moi d'aussi important que s'il s'était agi d'une cérémonie nuptiale. Il a ri si fort quand il a dit que, plusieurs autres personnes ont regardé attentivement notre table près du bar.

 
Je l'ai suivi jusqu'à sa voiture. Tout le chemin du retour il n'a rien dit. Encore une fois, nous avons roulé en silence. Quand nous sommes revenus à ma voiture que j'avais laissée sur le parking, il s'est garé à côté, il m'a tendu la main, m'a vu flancher quand il a fait ça. Il a ri. Il a ouvert la portière de ma voiture.
 
 
«As-tu vu les chaussures que Mary portait à la fête? - Des talons roses, je pense que ce serait bien si tu en avais une paire la prochaine fois que je te verrai, n'est-ce pas, princesse? Je le sentis fermer sa main dans mes cheveux.

 -
"Oui." A ce moment j'ai juste regardé par la fenêtre, j'ai senti mon visage devenir rouge vif. Je me sentais impuissant devant ce qui allait irrémédiablement se produire..

 
"Souviens-toi, chérie, ma douce et ma coquine, la prochaine fois que je te vois, tu es chez toi, ce sera notre maison de jeu. Tu seras complètement nue et dans tes jolies petites chaussures girly qui me souhaiteront la bienvenue. Ce sera notre point de départ, nous allons partir de là, princesse. Il lâcha mes cheveux et passa sa main sur mon épaule puis sur le côté de mon visage. "Tu vas devenir ce que tu es. Tout ce que tu es !" J'ai frissonné sous sa main et sous l'effet de ses paroles, et j'ai senti la chair de poule me parcourir de haut en bas .

 
"Et si tu n'en as pas encore, tu auras soin d'acheter du gel lubrifiant. Il va peut-être en falloir beaucoup." Il rit de nouveau alors qu'il détournait les yeux.

 
C'est tout ce qu'il a dit alors que je me dépêchais de sortir de sa voiture. La portière claqua derrière-moi et je le regardai partir.

Il gagna rapidement la route. Je me tenais sur le parking en train de regarder les phares de sa voiture. C'était la première fois que je servais l'homme qui, aujourd'hui, me possède.

 
Il avait raison. Je voulais être sa chienne sissy. Je sentis mon petit pénis bouger alors que je réfléchissais à ce que je fferais pour lui :  je me suis persuadé avoir raison sur tous les points. Et comme je roulais vers la maison, j'ai joué avec ma queue. Je pensais à sa taille, il me domine, fort et musclé, ses énormes mains fortes, sa grosse bite. Sa queue est au moins trois fois plus grande que ma petite chose. Je pensais à ce que ça me ferait d'être assis nu sur ses genoux. Et puis j'ai pensé aux baisers . Je me suis instantanément forcé à y penser, j'ai passé ma main sur ma petite chose et j'ai joué avec tout en parcourant le reste du trajet. Je me suis masturbé dès que j'ai franchi la porte.

 
La chose suivante que j'ai faite avant d'aller au lit ce fut de prendre une douche chaude et me raser de haut en bas. La première fois que je le faisais. J'ai pris mon temps, j'ai pensé à lui et tout ce que j'avais fait. Puis je me suis masturbé à nouveau en me regardant devant le grand miroir dans le hall. J'ai joui parterre en fantasmant qu'il me regardait tout le temps. En me regardant fixement j'ai vu la "poule" que j'avais toujours fantasmé être et qu'à partir de là je suis devenu(e). ¤ 
 

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commentaire: "Putain ! ah mais oui c'est bien vrai  : mon JO il n'avait aucune raison objective de se sentir supérieur. En plusieurs points je l'aurais surclassé, d'autant que...mais il me dominait tout naturellement..." 

 

  on lit en marge :   il a un-des- après que vous pouvez imaginer...

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Image associée  C'est justifié qu'il m'appelle Prrincesse

 

 

 

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Image associée Le bonheur est fait pour être partagé. Il me la met et aussi il me la fait mettre et il surveille de près. Et moi j'ai le bonheur que j'ai tant attendu.

 

Image associée ne dites pas que je suis bi. Je suis très émotif(ve) ça se voit et pas la peine de pratiquer une opération : tout est en ordre dans mon corps et dans ma tête !

 

Par cavaillongay - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 21 avril 7 21 /04 /Avr 06:30

RATTRAPAGE : Rien de plus kitsch qu'une super prod' pour évoquer, quelque chose de très grand qu'en son temps le monde a manqué, une fois de plus

SYNOPSIS DU FILM ECLIPSE TOTALE  1995 : Paul Verlaine étouffe auprès de son épouse Mathilde. Le jeune Arthur Rimbaud a désespérément besoin d'être aimé. Entre les années 1871 et 1873, les deux poètes eurent des relations aussi passionnelles qu'orageuses et vécurent une liaison infernale ...

 

les hommes de la Commune de Paris en révolte, sans gilets jaunes
France-EstBazeilletableau.jpg


Ainsi se confondent poésie et soif de révolution sociale ou morale.
Écrit en septembre 1871, Le Bateau ivre se présente comme une allégorie superbe des aspirations du poète aux "nuits sans fond", de l'inconnu, dangereux voyage intérieur dont il attend "les aubes navrantes".
Dès la Lettre du Voyant (mai 1871), Rimbaud avait affirmé son ambition de vivre, mieux que Baudelaire, une expérience prométhéenne de "voleur de feu"; il écrit alors: " la première étude de l'homme qui veut être est sa propre connaissance entière"; or "Je est un autre" et c'est au prix d'un "long , immense et raisonné dérèglement de tous les sens " qu'on peut , au-delà de la conscience individuelle rejoindre le moi profond et l'unité cosmique.

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A Paris, à Londres, en Belgique, lors de sa relation orageuse avec Verlaine, Rimbaud tente par "l'alchimie du vers", "d'acquérir des pouvoirs surnaturels".
Les vers et les poèmes en prose des Illuminations (1872-1873) publiées en 1886, sont l'exploration d'un univers imaginaire par "un verbe poétique accessible à tous les sens de l'âme pour l'âme, résumant tout, parfums, sons, couleurs, de la pensée accrochant la pensée; et tirant". Ainsi Larme, La Rivière de Cassis, Marine (en vers libres)ou Barbare, Fleurs, Phrases, s'appliquent-ils à "fixer des vertiges" par des images éblouissantes, des refrains obsessionnels, des raccourcis métaphoriques qui déplacent les sensations. A cet "opéra fabuleux" répond Une Saison en Enfer, autobiographie en prose poétique (achevée après la rupture dramatique avec Verlaine; août 1873). Verlaine y analyse son expérience "révolutionnaire" de poésie en acte.



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("J'ai brassé mon sang, mon devoir est remis").

Rejetant abruptement la poésie dont il dénonce l'impuissance à "changer la vie", à "rendre l'homme à son état primitif de fils du Soleil", il va, durant dix huit ans de silence, connaître "la réalité rugueuse à étreindre", voyager en Europe, puis se faire explorateur et trafiquant d'armes en Abyssinie avant de mourir, après l'amputation de la jambe droite à l'hôpital de Marseille, soigné et sans doute converti à la religion catholique par sa soeur...
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Comment un jeune provincial de dix sept ans fait irruption dans la vie d'un poète assez mièvre (Paul Verlaine) pour le transformer en un écrivain déchirant pendant trois années d'une liaison passionnelle?
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"Rimbaud-Verlaine n'est pas un film sur la poésie. (ça ferait peur, commercialement parlant ! )
 

 

Le projet d'un film où on ne devait citer en tout et pour tout qu'une dizaine de vers.
Avant tout un film sur le destin de deux hommes hors normes; des poètes, écorchés vifs dans une société en pleine et brutale mutation ou les conventions hypocrites et les biens matériels priment sur tout...
 

  et notre 21e siècle c'est quoi ? Zito  

 


Le scénario a été écrit par Christopher Hampton ("Les Liaisons dangereuses"), diplômé d'Oxford grâce à une thèse sur Rimbaud; la réalisation est de Agnieska Holland ("Europa Europa").
Face à un grand Leonardo Di Caprio dans le rôle de Rimbaud, on retrouve le très talentueux David Thewlis ("Sept ans au Tibet); Romane Bohringer interprète avec un talent pathétique son épouse, et Dominique Blanc, toujours efficace, la sœur de Rimbaud, Isabelle.
Il aura fallu du temps pour que ce film, achevé en 1996 arrive jusqu'ici...Heureusement que L.Di Caprio y joue Rimbaud. peut-être que que, sans le succès de l'un, le film ne serait jamais sorti.
Un film qui par ailleurs, reste très attaché à la vraie personnalité du poète qui fait encore rêver aujourd'hui.
Un film peu commercial puisque même si ça l'est moins aujourd'hui, il montre encore cet esprit de révolte d'un jeune poète idéaliste jusqu'au désespoir...
Arthur Rimbaud est l'un des poètes les plus influents et novateurs de la fin du XIXe siècle. Il inspira le mouvement surréaliste, Jack Kerouac et la Beat Generation en passant par Jean Cocteau".


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"Il est le digne représentant d'une folle jeunesse sans compromis."
 

 

  2014 L'enquête « Génération Quoi ? » publiée dans Le Monde dresse le portrait d'une jeunesse française en révolte prête à en découdre. Pour le philosophe de l'éducation Eric Deschavanne, la génération des 18-25 ans est à l'image de la société, en proie à une crise civilisationnelle profonde.

Eric Deschavanne est professeur de philosophie.

Zito  

 

commentaire :

 

Par LOUIS/ ALLO CINE - Publié dans : L'ART DE /erotic music ciné danse peintur litter.. - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 20 avril 6 20 /04 /Avr 15:35

Résultat de recherche d'images pour "Arthur Rimbaud" 17 ans ! aujourd'hui Verlaine pourrait être accusé de pédophilie, Rimbaud étant toutefois victime consentante

  Aujourd'hui, la vague féministe poussée à l'extrême a mis les hommes en infériorité. Je ne doute pas que les hommes prendront une revanche terrible.

La mère de Rimbaud était une mégère exigeante et conne. Pour s'être fait attendre, la réaction n'a pas tardé  : Le jeune Arthur fugue à 14 ans. Ne parlons pas du traumatisme du champ de bataille où il a presque sûrement vu le Dormeur du Val dont, au fond, je discerne qu'il a été le macabre amoureux, et, parmi les amis poètes parnassiens, il tombe dans les bras d'un homme bisexuel de 10 ans son aîné : Paul Verlaine.

 

ci-dessous un poème critique et ouvertement anti-femme et mysogine comme qui dirait : « que voyez-vous de beau dans un corps féminin? » Et quasiment : « Pouah, il est pourri, n'est-ce pas ? » A-t-on assez loué les perfections de ce tableau de Boticelli ! Après les conquêtes homo des années 2000, les femmes veulent aujourd'hui un rattrapage. l'apartheid sexuel ne concerne pas seulement les homos, ce que nous pourrions appeler une « gynophobie » sera-t-il bientôt un délit inscrit au code pénal comme le délit d'homophobie désigne les atteintes aux  gays,lesbiennes et trans ?   Zito  

 

 

Analyse du sonnet  d'Arthur Rimbaud : Vénus

 

 

Vénus anadyomène

Comme d'un cercueil vert en fer blanc, une tête
De femme à cheveux bruns fortement pommadés
D'une vieille baignoire émerge, lente et bête,
Avec des déficits assez mal ravaudés ;

Puis le col gras et gris, les larges omoplates
Qui saillent ; le dos court qui rentre et qui ressort ;
Puis les rondeurs des reins semblent prendre l'essor ;
La graisse sous la peau paraît en feuilles plates ;

L'échine est un peu rouge, et le tout sent un goût
Horrible étrangement ; on remarque surtout
Des singularités qu'il faut voir à la loupe...

Les reins portent deux mots gravés : Clara Venus ;
- Et tout ce corps remue et tend sa large croupe
Belle hideusement d'un ulcère à l'anus.

   Arthur Rimbaud - Cahiers de Douai - 1870( Arthur a 16 ans) 



Notes :
* anadyomène : terme d'antiquité. Étymologie : en grec, celle qui sort de l'eau
* vert en fer blanc : les baignoires bon marché étaient fréquemment en zinc, peintes en vert
* ravaudés : raccommodés
* échine : colonne vertébrale, dos
* Clara : "illustre". Epithète traditionnellement associé aux noms de personnes célèbres et de dieux en latin
* croupe : familier : postérieur d'une personne
* ulcère : plaie qui ne cicatrise pas


Sandro Botticelli, La Naissance de Vénus




Annonce des axes

I. Une parodie

1. Le détournement du tableau vers la dérision
2. Un portrait dépréciatif


II. Une poésie nouvelle

1. Le désir de provoquer
2. L'invitation à une autre poésie




Commentaire littéraire

I. Une parodie

1. Le détournement du tableau vers la dérision

Le titre de ce sonnet, composé du nom propre « Vénus » et de l'adjectif savant, directement issu du grec, « anadyomène », qui signifie « qui sort de l'eau », semble annoncer un poème sérieux et à la gloire de cette Vénus. Le nom de vénus, déesse de l'amour, évoque féminité, beauté.
Dans ce titre, Rimbaud propose donc une reprise du motif de la naissance de Vénus, illustrée dès l'Antiquité par nombre de récits et de peinture (Apelle, Botticelli, Raphael, Titien,...).
L'attente du lecteur est déçue au premier vers du sonnet, puisque la Vénus est découverte sortant d'un « cercueil ». La traditionnelle conque de laquelle sort la Vénus est remplacée par Rimbaud par une « vieille baignoire » (vers 3) construite dans un matériel peu noble « vert en fer blanc » (vers 1), ce qui ne laisse pas atteindre au lecteur une Vénus aussi belle que prévue.

Le tableau que nous propose Rimbaud se présente donc d'emblée comme une parodie du motif original.
De même, la femme présentée ici contraste avec la beauté de la Vénus. La femme est vieillissante (« déficits assez mal ravaudés » vers 4), les « cheveux bruns » s'opposent au blond vénitien souvent attribué à Vénus. Le reste du poème s'attache à dresser un portrait disgracieux de la Vénus.
Dans ce poème, Rimbaud dresse un blason (court poème célébrant une partie du corps féminin ou évoquant le corps entier). Toutefois, le portrait qu'il réalise ainsi est particulièrement dépréciatif, faisant ainsi de son poème un contre-blason.

2. Un portrait dépréciatif

La Vénus est présentée comme une personne vieille : « cercueil » (vers 1), « déficits assez mal ravaudés » vers 4. L'expression « fortement pommadés » (vers 2) suggère des soins de beauté maladroits, incapables de lutter contre la laideur due à l'âge. De plus ce terme oppose le fard et l'artifice à la beauté naturelle, attribut de la déesse. L'allitération en [S] du vers 4 traduit l'amollissement de la chair.
Femme sans grâce : « lente et bête » (vers 3). Le terme « bête » peut également conférer une dimension animale à la femme.

La Vénus est présentée comme une personne grasse :
« gras et gris » (vers 5) => allitération en [gr] qui souligne le caractère dépréciatif .
« graisse sous la peau » (vers 8).
« large croupe » (vers 14)
L'allitération en [S] du deuxième quatrain illustre par la sonorité le flétrissement de la Vénus.
« feuilles plates » (vers 8) semble indiquer que la Vénus n'a pas les formes d'une belle femme.

Animalisation de la femme : « bête » vers 3, « échine » vers 9, « croupe » vers 13.

Le physique de cette femme n'est donc pas agréable, mais le goût et l'odorat sont aussi dépréciés : « le tout sent un goût / Horrible étrangement » (vers 9-10).

Le dernier vers du poème donne le bouquet final de cette description dépréciative : « ulcère à l'anus ».

 

 

 


 

NOTES sur Arthur Rimbaud :

 

enfance régentée par une mère “aussi inflexible que soixante-treize administrations à casquettes de plomb”. Lorsqu'il écrit ses vers, il n'a que 16 ans... Portrait de Rimbaud à 17 ans Crédits : Apic - Getty

Arthur Rimbaud  est né le 20 octobre 1854 dans les « inqualifiables contrées ardennaises » où l'« on se nourrit de farineux et de boue »

Durant l'été 1870, la guerre éclate. Rimbaud prend, le 29 août, le train pour Paris : il veut assister à la chute de l'Empire. Rapatrié à Charleville – il n'avait pas payé son billet de train–, Rimbaud souhaite retrouver la liberté entrevue durant cette échappée. Il fait une nouvelle fugue, à pied cette fois, cherche en vain à s'employer dans un journal de Charleroi, il se dirigera vers Bruxelles puis vers Douai enfin. C'est à cette époque qu'il écrit les poèmes du vagabondage : « Ma bohème », « Au cabaret vert », « le Buffet », « Rêvé pour l'hiver ». Rimbaud définira le poète comme « un voleur de feu », trouver l’inconnu par le « long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens », s’encrapuler, c’est-à-dire aussi bien se conduire de manière scandaleuse que bouleverser le langage, le défigurer. « Je est un autre », il n’y aura de poésie qu’à ce prix, lorsqu’est recherchée un peu plus que la beauté, lorsqu’on désire « changer le monde » ou « réinventer l’amour ».

 

Le dormeur du val

Arthur Rimbaud

C’est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D’argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.

Arthur Rimbaud

« Le dormeur du val » est un poème de Rimbaud issu d'un recueil intitulé Poésie, écrit en 1870. Il fut composé lors d'une fugue du jeune poète, alors âgé de 16 ans, alors que faisait rage la guerre franco-prussienne.

http://lechatsurmonepaule.over-blog.fr/article-arthur-rimbaud-le-dormeur-du-val-66801937.html

le dormeur du val

 

Moi, claudio, je déplore avec force qu'aucun prof de français dans ses analyses de textes n'ait fait, dans sa classe, le rapprochement de cette description funèbre, certes, mais quasi amoureuse de ce JEUNE ET ADOLESCENT SOLDAT, avec l'homosexualité du jeune Arthur. Encore un excès de bienpensance qui a nui à nos générations. "Homo ? Ah ? mais c'est pas important ! " Pas important que tu dis !  mais ce sont nos vies, notre affectivité, notre besoin de certitude que tu éludes...criminellement.  

Rimbaud mysogyne et pourtant :   Femmes et homos : des amitiés particulières

Moi j'ai un pote homo qui ne va -platoniquement- qu'avec des femmes, ne se sent bien qu'avec elles ... 

Homme cherche maman bis

Cet état fusionnel n’est pas sans rappeler le lien maternel. Ainsi Franck, parlant de son amie Frédérique : « Fred sait m’écouter sans juger, et elle répond à mes SOS, même quand je lui téléphone à 4 heures du matin en plein désarroi. Sa maison, c’est mon refuge. Depuis que ma mère est morte, je lui téléphone tous les matins comme je le faisais avec maman ! » Si les femmes endossent facilement le rôle de mère bis, leurs copains sont également très maternants envers elles. En témoigne Béatrice : « Il y a deux ans, j’ai été hospitalisée pour une grave maladie. Jean a été aux petits soins avec moi. Il m’a accompagnée pour mes examens médicaux, il venait me voir à la clinique et, depuis, il prend assidûment de mes nouvelles. »

Les femmes qui raffolent de la compagnie des gays affirment toutes partager la même sensibilité qu’eux. Mathilde, par exemple, se sent intellectuellement en phase avec Thibault : « C’est le seul homme avec qui je vais voir des ballets de danse contemporaine et des films d’auteur japonais ! Il aime Barthes, Claudel et Mallarmé. C’est un esthète. Rien à voir avec les hétéros machos avec qui on ne peut parler de rien. » Autre qualité reconnue aux gays : leur grand sens de l’écoute. Il est plus agréable de se confier à un homme qui connaît le fonctionnement masculin de l’intérieur et dont les conseils se révèlent judicieux. Comme le fait remarquer Bastien en souriant : « Souvent, je me dis que la vie est mal faite ! Vu le nombre de filles qui me choisissent comme confident, je sais exactement ce qu’elles attendent d’un homme. Si je voulais les conquérir, je ferais un malheur. »

Humour, autodérision, marginalité

L’humour est également un élément fondateur de cette complicité. « Dès qu’il y a un homo dans une soirée, il vient vers moi. On est instantanément sur la même longueur d’onde. On adore se moquer des autres, et surtout de nous-mêmes ! » raconte Catherine. « Cette capacité à l’autodérision que possèdent la plupart des homosexuels est liée à leur trajectoire, rappelle Serge Hefez. Quand on doit cacher ses attirances et son moi profond pendant toute son enfance, on est obligé de se moquer de soi pour survivre. C’est la honte sociale intériorisée. On retrouve chez leurs amies la même impression d’être en porte-à-faux, et la même capacité à surmonter les blessures narcissiques par l’humour, l’esbroufe, le jeu. » Parfois, l’humour décapant s’allie à un goût commun pour une certaine marginalité. Comme Sandrine, qui a horreur des personnes conventionnelles : « Avec mes copains gays, on vit dans la démesure, la fantaisie, l’excès, la sexualité hyperlibérée. Je ne me reconnais pas dans les valeurs étriquées de mes parents – marmots, télé, maison de campagne, etc. Ce n’est pas mon truc du tout ! » Pour Serge Hefez, « certaines femmes, du fait de leur vécu, éprouvent une difficulté à intégrer les schémas traditionnels de la famille, et gomment de leur vie cette dimension. Comme leurs amis gays, qui se sont justement sentis opprimés par la famille, la paternité, l’hétérosexualité, la masculinité. »

« Quel bonheur d’avoir une relation intime avec un homme sans qu’il soit question de sexe. » Tel est le leitmotiv des femmes interrogées. « Franck est le sosie d’Helmut Berger dans Les Damnés, de Visconti, je l’adore, confirme Juliette. Mais notre lien est pur et platonique. Jamais je ne me dis : “Tiens, je me le ferais bien !” Avec mes copains homos, on joue à se séduire, on se cajole, on marche main dans la main, on dort parfois ensemble, mais on sait que cela n’ira pas plus loin. » Evacuer la question du sexe procure effectivement une grande tranquillité d’esprit, car c’est évacuer tout ce qui rend si difficile les relations entre hommes et femmes. C’est reposant de ne pas s’interroger en permanence : « Est-ce que je lui plais ? Que faire pour attiser son désir ? » Malheureusement, tout n’est pas si simple. « Celles qui soutiennent qu’il n’y a pas d’ambiguïté, aucun désir physique dans ces amitiés se trompent. Il y a toujours du désir, affirme la psychanalyste Elsa Cayat. Mais les femmes se raccrochent à cette idée ; ça les rassure. »

On confond parfois amour et amitié

« Je suis tombée trois fois amoureuse d’un homosexuel. Et chaque fois, j’étais sûre d’être celle qui allait lui “révéler” son hétérosexualité. Je me heurtais à un mur, mais je m’escrimais », raconte Marianne. « Dans le cœur de ces femmes persiste la certitude qu’elles vont parvenir à être désirée par ce complice charmant. Ça devient presque un défi », indique Serge Hefez. Mais si les femmes déplacent inconsciemment leur désir amoureux sur la scène amicale, les gays, eux, assument totalement leur identité homosexuelle. D’où les dérapages et les chagrins d’amour. « Pourquoi ces femmes désirent justement celui qui ne peut et ne veut pas d’elles ? s’interroge Elsa Cayat. Cela renvoie à une peur de leur propre désir, à l’incapacité dans laquelle elles se sentent de désirer et d’être désirables. »

« Au travail, personne ne sait que Pierre est homosexuel. Je lui sers de couverture en l’accompagnant aux dîners organisés par ses collègues. Aux yeux de tous, je suis sa “fiancée”, et ça suffit à mon bonheur. » Constance n’est pas la seule pour qui l’amitié avec un homo vient à la place d’une relation de couple. Selon Elsa Cayat, « c’est se débrouiller pour maintenir la relation impossible et s’exposer à la frustration. C’est adopter une approche conjuratoire de l’homme, s’en approcher tout en se protégeant d’une relation amoureuse réelle. »

Mais qu’est-ce qui pousse ces femmes à construire un semblant de couple avec leur ami gay, certaines envisageant même d’avoir un enfant de lui par insémination, tout rapport sexuel étant exclu ? « Ce qui est fondamental chez elles, c’est la peur du désir masculin, explique Elsa Cayat. Elles voient le désir sexuel de l’homme comme un abus, une véritable violence, alors que, derrière, il y a de l’amour. Cette peur d’être salie par le désir de l’autre, cette peur que “ça-lie”, tient à une histoire, à des relations qui se sont mal passées au moment de l’œdipe, à une relation “incestueuse” fantasmée avec le père. Ce qui a été mal géré du côté du père l’est également du côté de la fille. » Les relations amicales entre les femmes et les homosexuels sont complexes, intenses, riches, ambivalentes, tendres et pleines de surprises, drôles, attirantes, mais parfois dangereuses. Comme la vie, en somme !

 


commentaire :

Par Rimbaud - Publié dans : PSYCHOLOGIES &VIE SOCIALE gay-bi-hét - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 20 avril 6 20 /04 /Avr 00:22

   douceur et lenteur, puis entre frénésie et violence

 

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une petite soirée avec mes potes en ton honneur. Ils ont besoin d’une pute et tu vas bien les vider...parImage associée...J’ai un peu mal mais, à mon grand étonnement, cette douleur plutôt légère passe vite.

 

 

voir l'histoire dans 'son jus' -lol-  https://cyrillo.biz/histoire/pris.html


 <- VRAI : starbuck_69 c'est le gars qui signe ce récit génial, 'PRIS AU PIEGE' sur cyrillo.com Et c'est authentique,par la suite, publie la délicieuse photo(àG) de son  cul offert sur le même site de cyrillo. Merci Ami ! 
FAKE : le viol
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Dimanche, 17 heures. Ça fait près d’une heure que Philippe me baise comme un fou. Nous sommes dans son salon. Moi, je suis sur le canapé, allongé sur le dos et mes jambes sur ses épaules. Il me fait penser à un acteur de film de gladiateurs. Le genre musclé et poilu. Il m’encule comme un vrai mâle en rut. Ma queue se gonfle sous ses coups de reins. Il me parle sèchement, me dit qu’il aime mettre sa queue dans ma chatte et qu’il n’y a pas de meilleur trou pour prendre son pied et se vider les couilles. Ses mots me rendent dingue. Je sens sa queue aller et venir dans mon ventre. Il finit par jouir en moi en donnant de bons coups de boutoir au fond de mon trou et en poussant des râles virils très excitants.

Puis il s’allonge sur moi, m’immobilisant par le poids de son corps massif et me tenant les poignets de ses mains, il me glisse à l’oreille :
- Tu vas rester avec moi ce soir. Je vais organiser une petite soirée avec mes potes en ton honneur. Ils ont besoin d’une pute et tu vas bien les vider. Rien ne pourra mieux les satisfaire que ta bonne chatte de salope.
Là, il se redresse, se lève et se dirige vers la salle de bain sans même attendre une réponse de ma part. Ayant d’autres projets pour la soirée, je devais lui faire part de mon refus.
Philippe fait immédiatement demi-tour vers le salon…
- Je t’ai pas demandé ton avis, me dit-il en dirigeant son index dans ma direction. T’es chez moi ici et tu partiras quand je le voudrais. Fallait y réfléchir à deux fois avant de venir chez un inconnu pour te faire ramoner la chatte. Tu voulais te faire remplir par un mâle dominant alors maintenant t’assumes !

Son regard est agressif. Je suis surpris et inquiet. Il se retourne pour reprendre la direction de la salle de bain. J’en profite pour rassembler mes vêtements silencieusement. Je me rhabille le plus vite possible sans prendre le temps de refermer boutons ni braguette. Chaussures à la main, je récupère ma veste sur le dossier d’une chaise, et me dirige vers le couloir pour rejoindre la porte d’entrée. J’entends l’eau de la douche couler dans la salle de bain. Je vais pouvoir partir sans être vu. Face à la porte d’entrée, je réfléchis quelques secondes pour être sûr de n’avoir rien oublié. De toute évidence, non. Ni une ni deux, j’appuie sur la poignée et tente d’ouvrir la porte qui reste fermée. Je reste calme mais je sens qu’un début de panique se manifeste. C’est le genre de porte blindée, sans verrou, avec pour seule serrure celle sous la poignée. Une fermeture centralisée qui actionne le mécanisme complet de la porte.
- Tu peux me dire ce que tu fous, là ?

Je me retourne d’un seul coup. Philippe se tient face à moi, nu. Il commence à avancer vers moi comme un prédateur vers sa proie. J’ai un mouvement de recul et me retrouve adossé à la porte.
- Je… Je dois vraiment partir, bredouillai-je. On m’attend, j’ai un impératif ce soir…
- Oh oui, dit-il en continuant d’avancer lentement. Je confirme. Tu as un impératif ce soir et tu ne vas pas y échapper.
Il se tient juste face à moi. Je peux sentir son souffle sur mon visage. Il me regarde droit dans les yeux. Je tourne légèrement la tête, signe involontaire de soumission qu’il perçoit rapidement. Il pose ses mains sur mes épaules et me force à m’agenouiller devant lui.
- Suce-moi.
- Non, murmurai-je en tentant de me relever.
- Pardon ? dit-il d’une voix caverneuse.
Il prend alors mes cheveux d’une main et me bascule la tête vers l’arrière me maintenant ainsi toujours fermement à genoux devant lui. De son autre main, il attrape sa queue qui, même au repos, est tout aussi massive suivant la proportion de son corps.
- Suce-moi !

Il enfonce son membre entier dans ma bouche, manquant de m’étouffer au passage. Je peux sentir ses couilles contre mon menton. Il reste ainsi pendant plusieurs secondes maintenant ma tête sur son bas-ventre, Je sens sa queue gonfler dans ma bouche et commencer à atteindre le fond de ma gorge.
- Toi, tu vas déguster, me dit-il en commençant un long va et vient.
Il me tient la tête des deux mains et se met à onduler du bassin pour me baiser la bouche. Je n’ose plus bouger. Je suis pris entre peur et excitation. Je sens bientôt sa queue se contracter et un puissant jet crémeux me fouette le palais. J’avale avec délice le sperme de mon mec, lui léchant le gland pour ne rien perdre de toute sa semence. Il se retire de ma bouche et me relève en me prenant par les cheveux. Il m’entraîne vers le fond de l’appartement. Il ouvre une porte. Un placard.

- Déshabille-toi.
Je le regarde sans bouger.
- Déshabille-toi, je te dis !
Je m’exécute et enlève, à l’exception de mon boxer, tous mes vêtements qu’il récupère.
- Allez, rentre là-dedans !
J’entre dans le placard. Il y a une penderie pleine de vêtements sur toute la longueur, quelques cartons au sol. Il referme la porte.
- T’inquiète, tu devrais pas rester longtemps là-dedans, dit-il derrière la porte.

Je me retrouve dans le noir complet. J’entends le bruit d’un verrou. Je suis bel et bien enfermé. Je m’assois par terre, sous la penderie, entre deux cartons. Le sol est froid, alors je glisse mes mains sous mes fesses. J’entends Philippe qui semble être sous la douche. Il sifflote joyeusement. Puis je l’entends parler à quelqu’un, sans doute au téléphone. Divers bruits de fond viennent interrompre de temps en temps le silence. Il vaque à ses occupations comme si personne n’était enfermé dans son placard.

Au bout d’un temps qui me semble interminable, la sonnette d’entrée retenti. Quelques secondes plus tard, un bruit de clés et de serrure. J’entends plusieurs voix d’hommes dans l’appartement.
Puis le bruit du verrou de la porte du placard, et la porte s’ouvre. Philippe est là, devant moi, toujours aussi imposant, surtout vu d’en bas.
- Lève-toi, mes potes sont là.
Je me redresse et il pose directement sa main sur ma nuque et guide la marche jusqu’au salon.
Les voix se taisent quand nous entrons. Quatre hommes sont là, assis confortablement dans le canapé. Ce même canapé où Philippe m’a baisé plus tôt. Philippe m’arrête devant la table du salon et m’ordonne de m’y allongé sur le ventre. Il m’écarte les jambes et les attache aux pieds de la table.

Il fait de même avec mes poignets. Je suis à présent ficelé à quatre pattes sur la table, soumis et offert au premier venu. J’entends des braguettes s’ouvrir, des pantalons se baisser. Une main attrape mes cheveux et me redresse brutalement la tête. Je sens l’odeur d’une bite et un gland vient heurter ma bouche.
J’écarte les lèvres pour laisser glisser contre ma langue cette queue gonflée.
Quelqu’un fait glisser mon boxer et m’écarte les fesses. Je sens une main humide, sans doute de la salive, parcourir mon anus. Il appuie son sexe contre ma rondelle et m’encule d’un seul coup de reins.

Sa queue me paraît énorme. J’ai un peu mal mais, à mon grand étonnement, cette douleur plutôt légère passe vite. Personne ne parle. Seuls des gémissements de plaisir, des souffles saccadés et le bruit de leur queue dans mes orifices sont font entendre… Je me fais limer pendant plusieurs minutes avant qu’un jus chaud et visqueux m’inonde le cul puis la bouche. Les couilles vidées, mes baiseurs se retirent.
Philippe s’approche de moi et vient murmurer quelques mots à mon oreille :
- Ouvre la bouche et tends bien ton cul en arrière. On va te baiser par tous les trous.
Et d’autres queues raides et brûlantes s’introduisent en moi. Les bites s’enchaînent les une après les autres. Les mecs commencent à parler. J’entends que l’un d’entre eux s’appelle Nico, comme moi.
- Allez Nico, laisse-moi la place ! Moi aussi j’ai envie de fourrer ma queue dans sa chatte, dit l’un d’eux.
- Putain qu’elle est bonne cette salope ! dit un autre. Elle a une bouche d’enfer !
Ma mâchoire me fait mal et mon anus ouvert absorbe maintenant les sexes dressés sans problème.
Je ne suis plus qu’une machine à faire jouir, une poupée qu’on enfile pour se satisfaire et se soulager.
Bientôt le sperme me coule entre les fesses, le long des cuisses et dans le cou. Je ne peux rien faire d’autre que de subir les assauts répétés de ces hommes et de m’abandonner au plaisir qu’ils me procurent.
Les uns après les autres, pendant près de deux heures, cinq mâles me baisent sans retenue.
Certains d’entre eux me prendront même deux ou trois fois. Les derniers m’éjaculent sur le visage, les cheveux et les fesses.
Tout les mecs se rajustent et se rembraillent. Philippe sert un verre à tous ses invités. Moi, je suis toujours attaché à la table. L’un d’entre eux, installé dans le canapé, allonge ses jambes en les posant sur mon dos. Leur conversation va bon train comme s’ils avaient oublié ma présence. Puis Philippe raccompagne ses invités à la porte. Il revient dans le salon et se penche près de moi :
- T’as bien assuré, ma salope. Mes potes se sont vraiment bien éclatés.
Il s’allonge sur moi et je sens sa queue tendue glisser entre mes fesses. M’a-t’-il déjà baisé pendant la soirée ? Je l’ignore mais il a l’air très en forme. Son gland ne cherche pas longtemps l’entrée de mon cul et son sexe s’enfonce en moi sans difficulté.
- J’ai encore envie de me vider les couilles. T’as vraiment une bonne chatte faite pour ma queue.
Il commence à me baiser frénétiquement. Il me défonce littéralement le trou et il semble y prendre un plaisir immense.
- Ouais… Tu la sens bien ma queue ? T’aimes ça, hein, ma queue dans ta chatte, ma salope !
Il pousse un râle de plaisir, comme un animal. Je comprends qu’il est en train de jouir dans mon trou. Mais il ne s’arrête pas de me baiser. Je me dis qu’il va bientôt débander, mais ce n’est pas le cas. Je regarde l’heure affichée sur le cadran de son magnétoscope, une heure s’est passée depuis que les autres mecs sont partis. Il me tient par les hanches, alterne les mouvements entre douceur et lenteur, puis entre frénésie et violence. Il pose alors ses mains sur mes fesses et les serrant fermement et je l’entends à nouveau pousser un râle reconnaissable à présent. Il jouit en moi.

- Ah ! Ça fait vraiment du bien…
Il se retire et se relève.
- Ça ira pour aujourd’hui, tu vas pouvoir rentrer chez toi.
Il me détache, me dit que je peux aller prendre une douche avant de partir si je le veux. J’hésite un instant mais accepte sa proposition. Je reviens peu de temps après dans le salon. Mes vêtements sont posés sur une chaise. Philippe est confortablement allongé dans le canapé, toujours à poil, avec mon téléphone portable à la main.
- Tu vas me servir de vide-couilles, à moi et mes potes, à chaque fois que je le voudrai. J’ai pris ton portable dans ta veste, j’ai fait sonner le mien avec et maintenant, j’ai ton numéro.
Il me regarde avec un grand sourire sadique.

- Au fait, je t’ai pas dit que je suis CRS, je crois. Ça sera facile pour moi d’avoir ton adresse si tu réponds pas à mes appels et si tu rappliques pas ici quand je te le dis.
Il me lance mon mobile que j’attrape au vol et, sans rien dire, commence à m’habiller. Il se lève et s’approche de moi, de la même façon que tout à l’heure, avec cet air de prédateur vainqueur.
- T’es à moi maintenant, j’espère que tu l’as compris. T’es qu’une salope et tu m’appartiens. Tu sais maintenant que t’es à ma disposition. Une bonne petite pute docile et soumise pour me satisfaire. Un bon vide-couilles comme je les aime.
Il m’attrape d’une main par les cheveux, penche ma tête en arrière et m’embrasse goulument.

- Allez, dégage avant que je remette ça.
Je me dirige vers la porte et sors enfin de cet appartement. En bas de l’immeuble, mon mobile sonne. Un sms vient d’arriver. C’est Philippe. Le message dit seulement « Demain 20:30 ». Il n’a donc pas menti. Il a mon numéro.
Voilà. Je ne savais pas à l’époque que, presque trois ans après, il me baisera plusieurs fois par semaine, souvent avec ses potes. Et que j’adorerai vraiment ça

Starbuck

starbuck_69@vvv.fr

 


 

commentaire :

Maintenant je crois tout ce qu'on dit sur la police  -lol-

 

 

 

Par STARBUCK_69 sur cyrillo - Publié dans : CONDUITES DITES DEVIANTES"INAPROPRIEES", PERVERSES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 18 avril 4 18 /04 /Avr 23:01

  Résultat de recherche d'images pour "gay X close up man's ass" "La vue qu’il m’offre est la plus belle que j’aie jamais vue"

voir tous les textes de JARDINIER qui est l'artiste-écrivain que l'on sait : https://cyrillo.biz/histoire/soumission-domination-186.html 

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 Extrait : "La vue qu’il m’offre est la plus belle que j’aie jamais vue d’un mec. Un superbe cul blanc, pulpeux, musclé, des reins cambrés comme seuls les danseurs peuvent le faire

Dieu qu’il est beau !  

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Son « vas y » me décoince et je plonge ma bite avec délice entre ses fesses. Avec mes pouces j’écarte les deux globes et pose mon gland sur sa rondelle. Un petit coup de rein et il est emprisonné par ses chairs. Je pousse encore et encore jusqu'à lui mettre mes 20cm dans le cul. Il feule tout le temps de ma pénétration. Arrivé au fond je reste bloqué le temps qu’il s’habitue à ma présence. Puis retrait complet. Je recommence trois fois de la même façon, jusqu’à ce que je sente bien son anneau m’accepter.
Là, j’y vais à fond. Mes coups de reins deviennent impérieux, autoritaires, violents. Mes mains ancrées à ses hanches l’empêchent de se dérober (comme s’il en avait envie !). Je me couche su son dos et il tourne la tête pour que nous puissions nous embrasser. Mes reins continuent leurs mouvements et alors qu’il me tète la langue, je continue à le sodomiser.
Je me redresse et le prends par les épaules. Alors que j’avance mon bassin, je tire sur mes bras accentuant le claquement de mes couilles contre les siennes.
Il aime et me le fait savoir.
Il me surprend en se laissant aller à un langage sexuel loin de son éducation bien comme il faut. Il m’enjoint de l’enculer comme la salope qu’il est, d’utiliser son cul pour me vider, qu’il m’appartient et que je peux faire de lui tout ce que je veux.
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Il entame après un registre plus grossier, me demandant de le saillir comme une jument, de l’engrosser de ma jute. Qu’il aime tellement ma bite qu’il me servira de vide couille, qu’il sera ma pute pour Marc et mes copains…
Finalement peu habitué, je me prends au jeu et lui glisse à l’oreille que je vais lui faire connaître des mâles comme il n’en a jamais rêvé. De ceux qui vont lui défoncer l’anus jusqu’à ce qu’il crie grâce. Je le sens jouir sous mes coups de boutoir et son anus spasme sur ma queue, me faisant juter dans ma kpote.
Je m’écroule sur lui, avant de me retirer de son cul, la kpote pleine de la preuve de mon plaisir.
Souffles repris, j’appelle Ammed pour qu’il vienne nettoyer son sperme sur le cuir du canapé avant qu’il ne soit sec.

PH ne dit rien mais se serre contre moi le temps de l’opération. Il n’est pas encore habitué à nos hommes de service.

 

Nous passons la soirée entre nous, lui dans mes bras à regarder un film"

 

 


 commentaire : 

Par JARDINIER SUR CYRILLO - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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