RECIT REEL
marié, futur marié, faut pas rester comme ça....les deux pieds dans le même sabot
Ce jour-là et ce soir-là La réu... et les briefings
Mon pote et moi le même hôtel, une chambre double
Chacun sa route Chacun son chemin Passe le message à
ton voisin...un ami d’enfance, nous avions fait nos études ensemble puis nos chemins s’étaient séparés...on n'a pas tous les mêmes solutions... |
Ai-je jamais cherché à appartenir à une communauté? A savoir si j’étais gay, ou bi, ou hétéro, etc ... Je m’en fichais.
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Une fois n’est pas coutume, je devais me rendre en déplacement avec un collègue pour traiter un dossier délicat. La réunion était fixée tôt dans la matinée et donc, nous avions convenu de passer la nuit dans un hôtel proche afin de ne pas se taper la route le matin.
Mon collègue est en fait aussi un ami d’enfance, nous avions fait nos études ensemble puis nos chemins s’étaient séparés. Nous nous étions retrouvés, huit ans plus tard, dans la même boîte mais dans deux services différents. On se croisait de temps en temps mais nous n’avions jamais travaillé ensemble sur un même dossier. Celui-ci serait donc une première. Pour faire des économies à la société, on avait loué une chambre double.
Mon collège, Nico, était marié depuis neuf ans et était papa de trois enfants. Moi, mon mariage était fixé pour la fin de l’année et les préparatifs étaient en cours.
Nous voilà donc dans l’auto, on cause de tout et de rien, on se remémore nos folles années à l’unif, nos sorties, les soirées bien arrosées, les cours, etc. Arrivé à l’hôtel, on a décidé d’aller se taper un bon petit gueuleton dans un petit resto sympa. Le vin a coulé à flot et on parlait de pas mal de sujet. On est arrivé sur le sujet du sexe, le vin avait passablement fait son effet et on était tous les deux bien joyeux! On avait retrouvé la complicité d’entant.
— Tu sais moi, avec Astrid (sa femme), au début c’était l’extase! On baisait comme des bêtes tous les soirs. Puis, avec le temps et les enfants, ça s’est fortement ralenti et, maintenant, quand on baise une fois par mois, c’est bien! Ça lui suffit entièrement...
— Une fois par mois! C’est pas grand-chose! Moi, j’tiendrais pas!
— Tu parles, au début, c’était pas évident! Je tournais comme un lion en cage! Malgré les discussions, pas moyen de la faire changer d’avis, elle n'avait plus envie!
— Elle a un amant?
— Non, même pas! Elle n’en a pas besoin! Et puis, on s’est juré de ne pas se tromper et, une promesse, c’est une promesse!
— Donc toi non plus, t’as pas d’autre femme? Comment tu fais? Ta main droite a repris du service?
— Rigole pas, c’est pas drôle! Au début oui... Puis j’ai découvert autre chose!
— Quoi? T’as découvert internet et le cyber sexe?
— T’es con! Ça ou la main droite, c’est la même chose!
— Dis-moi quoi alors!
— Tu m’jures de garder le secret?
— Promis!
— Et bien, c’est bien simple, je voulais pas d'une autre femme, et pas non plus lui faire de la peine... j’ai découvert le sexe entre hommes et, ça, ça m’a permis de tenir!
—???
J’étais bien étonné! Pour moi, Nico était le type même du parfait hétéro un peu macho avec une éducation judéo-chrétienne assez stricte. Et là, il m’avouait avoir des relations homos!
— Ça t’étonne?
— Un peu, oui! Je m’attendais pas à ça de ta part!
— C’est vrai? Bon, d’accord, tu m’aurais dit ça y’a trois ou quatre ans, je t’aurais ri au nez! Mais J’te jure, ça a sauvé mon couple!
— Dis moi pas n’importe quoi!
— Si, grâce à ça, je suis équilibré: plus besoin de baiser avec Astrid tous les jours! Une fois de temps en temps, ça suffit!
— Et comment t’en es arrivé là?
En fait, je me rendais compte, moi qui hésitais encore pourmon mariage, que ce qu’il me racontait, au contraire de me dégouter m’excitait vachement!
Geoffrey...le récit de Nicolas .
Simple: au mois d’août, il y a deux ans, j’ai eu un stagiaire de 19 ans, Geoffrey. Il était plutôt mignon. Belle gueule d’ange. J’étais chargé de m’occuper de lui pendant deux mois pour le former et puis lui fournir du travail et vérifier qu’il le fasse correctement. La première semaine, il logeait chez une de ses tantes mais au bout d’une semaine, il a loué le petit appartement dans l’annexe, chez moi. Je l’ai aidé pour son déménagement.
Astrid était partie en WE chez sa mère avec les enfants. En fin de journée, on était crevé mais son appartement était rangé. Il restait juste deux ou trois caisses. Il m’a dit qu’il rangerait lui-même mais j’ai insisté pour l’aider et je voulu lui prendre une caisse des mains. Elle a glissé et tout son contenu s’est étendu par terre. T’aurais dû voir! Y’avait deux ou trois godes, des magazines pornos gais, des DVD. Il est devenu rouge pivoine... Moi, quand j’ai vu ça, je ne sais pas pourquoi mais je me suis mis à bander! Je me suis penché pour ramasser. Lui, il était tétanisé et n’osait plus rien dire ni faire.
J’ai commencé à feuilleter un des magazines. Comme je voyais bien qu’il était mal à l’aise, j’ai brisé la glace et lui ai demandé si je pouvais pas lui emprunter un ou deux magazines et un ou deux DVD... Il était étonné puis a baragouiné que ça le dérangeait pas...
— Lequel tu me conseilles?
—???
— J’ai jamais vu de film gai, alors, lequel tu me conseilles en premier?
Là, il s’est senti plus à l’aise et a commencé à me montrer. Je posais pas mal de question et je lui ai demandé depuis quand il était homo.
— Je suis pas homo, je suis bi! — Bi? — Bin oui, bisexuel! J’aime les hommes et les femmes! J’ai une copine mais de temps en temps, je baise avec un homme!
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— Ta copine le sait?
— Bien sûr que non! Mais baiser avec un homme, c’est pas la tromper! Je me vide les couilles, c’est tout!
Je me rendais compte que j’étais devenu stagiaire à mon tour et que maintenant, c’est lui qui m’enseignait une autre manière de voir les choses!
— T’as jamais baisé avec un homme, toi?
— Non! Jamais! T’es fou?
— Et t’en a jamais eu envie?
— Non!
— Même quand t’étais ado?
— Heu... non...
— Même pas en te branlant quand t'étais ado?
—... en fait, si... Mais c’était y’a longtemps!
— Tu fantasmais sur les bites de tes copains de classe que tu voyais dans la douche, hein?
—... Oui mais ça n’a pas duré longtemps!
— Moi, ça a duré! Et même quand j’ai couché avec une fille, j’ai gardé le fantasme! Un jour, j’ai eu l’opportunité de baiser avec un copain et on s’est pas privé! Crois-moi, on a joui comme jamais!
Moi, j’étais super excité par ses histoires. Une bosse s’était formée dans mon jeans.
— Tu veux que je te montre? m’a-t-il demandé.
Ensuite il s’est approché de moi, a soupesé mon paquet, s’est mis à genoux et a baissé la braguette. J’avais pas de sous-vêtement et ma queue a bondi. Il s’est mis à l’embrasser puis a englouti mon gland! C’était bon! Il suçait comme personne ne m’avait sucé avant! Juste à la limite de jouir, il s’est retiré et a retiré ma chemise. Il a commencé à me lécher les têtons en me caressant entre les jambes. J’étais sous son emprise.
Il m’a assis sur le fauteuil, a retiré sa chemise et son pantalon. Il avait un boxer blanc Calvin Klein et je devinais une grosse bosse. Il est revenu me sucer puis est remonté en léchant mon torse pour arriver à ma bouche. Notre baiser était enflammé! J’étais excité comme jamais! Lentement, il est redescendu et a repris mon membre en bouche. En deux minutes, il m’a envoyé au septième ciel! Il a tout avalé en me regardant dans les yeux. Puis, pendant que je planais encore, il est venu me présenter sa bite devant ma bouche. Elle était longue et fine. Je l’ai sucé, il m’a pris la tête et puis, il a commencé à me donner des coups de reins. Il me baisait la bouche et a joui. J’ai essayé d’avaler ses quatre ou cinq jets mais il est revenu m’embrasser. On a mélangé nos salives et son sperme.
Par après, il m’a appris la sodomie. Je l’ai enculé puis lui m’a dépucelé de l’arrière! J’te raconte pas les deux mois de stage: tous les jours, on baisait! Il est reparti en province et on se revoit parfois pendant ses vacances!
Excité !!! c'est gagné !
Moi, je restais étonné de son histoire... Je ne savais pas quoi dire. À ce moment, le patron du resto est venu nous dire qu’il allait fermer. On a payé et on est rentré à l’hôtel. Dans la chambre, je ne disais rien. C’est lui qui a brisé la glace.
— Ça te dégoute pas trop ce que je t’ai raconté?
—... Non non, ça va...
Dégouté? C’était pas le bon mot! J’étais plutôt excité! Il avait réalisé mon plus gros fantasme: sucer une bite et se faire enculer! Mais comment le lui dire... Pas évident d’avouer un fantasme... Même si lui venait de me faire la confidence desa bisexualité!
— Tant mieux! Je vais prendre une douche avant de dormir!
Et il s’est déshabillé. Je me changeais aussi en le regardant du coin de l’œil. Il était de dos. Il a retiré son boxer noir et j’ai vu ses belles fesses musclées. Il s’est retourné et s’est dirigé vers la salle de bain. Heureusement qu’il ne s’est pas retourné ou sinon il aurait remarqué que je n’arrivais pas à décrocher mon regard de sa queue. Elle faisait bien 15 cm au repos. Plutôt fine, terminée par un gland bien luisant. Il était circoncis. C’était en fait la première fois que je le voyais à poil...
Directement j’ai bandé. Je me suis rendu compte que ça faisait une semaine que j’avais plus baisé et que mon boxer était plein de précum, suite à ses confidences de tout à l’heure. J’entendais la douche couler. Je me suis déplacé vers son boxer qu’il avait laissé près du lit. Je l’ai pris et ai commencé à le humer. Ha, cette odeur de mec! Je ne me reconnaissais plus!
J’ai commencé à me branler. A ce moment là, Nico est ressorti: il avait oublié son shampoing! Quelle scène il a dû voir: moi, à poil sur son lit tenant dans une main son boxer, en train de le sentir et l’autre main en train de me branler... L’étonnement a fait place à un petit sourire sur son visage... Moi, je bougeais plus. Il s’est approché de moi et m’a dit:
— Pas besoin de te cacher! Suffit de demander!
J’étais rouge pivoine. Il est venu s’asseoir à coté de moi, j’avais jeté son boxer au sol, il m’a regardé dans les yeux et a approché sa bouche de la mienne. Notre baiser a duré... pour moi, ça semblait une éternité mais c’était tellement bon! Sa main est venue se poser sur ma queue qui avait débandé et a commencé un va-et-vient. Je commençais à gémir quand il a lâché ma bouche. Tout en continuant à me branler, il a passé son autre main dans mon cou et m’a poussé en avant. J’vais en face de ma bouche sa belle queue toute bandée. Elle devait bien faire 25 cm! Je ne me suis pas fait prier et l’ai engloutie. Je me suis mis à le sucer comme si ma vie en dépendait! Il a abandonné ma queue et sa main est venue titiller mon petit trou. J’ai essayé de serrer les fesses mais il m’a un peu plus poussé dans le cou, j’ai englouti sa queue jusqu’à la base, manquant de m’étouffer. En parallèle, un de ses doigts était entré dans mon fondement. L’étonnement laissait place à une sensation de bien-être.
Il a ensuite introduit un second doigt. Il a retiré sa main dans mon cou: j’avais trop envie de le sucer, plus besoin de m’y obliger. Puis, il m’a redressé, m’a obligé à me mettre à quatre pattes. Il est venu derrière moi, a craché sur mon petit trou et me donnait ses doigts à lécher. J’étais vraiment soumis, il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. Il a présenté son gland sur mon petit trou et a commencé à pousser. À mon grand étonnement, il est rentré tout seul! Je n’avais pas mal. Il a remis de la salive puis a donné un petit coup de reins, je l’ai senti rentrer en moi. Ça a duré quatre ou cinq minutes, il ressortait un peu, crachait ou me faisait cracher dans sa paume puis le mettait sur mon trou et puis s’enfonçait un peu plus. Je l’ai senti s'enfoncer jusqu’à la garde. J’avais ses 27 cm dans le cul et je n’avais pas mal!
Il n’a pas bougé pendant deux ou trois minutes puis a commencé de petits mouvements puis alternait: quatre ou cinq petits mouvement suivi d’un mouvement plus ample. Je sentais une douce sensation monter en moi. Ça a duré une bonne demie heure et le plaisir ne faisait qu’amplifier. À la fin, j’ai joui sans me toucher, c’était comme un feu d’artifice dans ma tête et lui, il s’est laissé aller, est ressorti et m’a lâché quatre ou cinq jets qui ont atteint mon cou...
Pour la première fois depuis tout à l’heure on a parlé:
— Tu vois, c’est jouissif, le sexe entre hommes!
— Ah ouaip! Là, tu viens de réaliser mes deux plus gros fantasmes!
— Et ça t’a plu, alors?
— Plutôt! On recommence quand tu veux!
— Bon, il est une heure. Là, je vais prendre ma douche.
Et il est allé vers la douche, je l’ai suivi. Je lui ai savonné le dos et n’ai pu m’empêcher de lui sucer sa belle queue qui m’avait fait tant jouir! Il a craché son jus dans ma bouche puis m’a embrassé.
Nous sommes allés nous coucher. On a dormi dans les bras l’un de l’autre.
Alors, heureux ?
Le matin, il s’est réveillé vers 6h, sa bite était contre mon petit trou. Il n’a fait ni une ni deux et m’a enfoncé sa belle queue. Je me suis réveillé et j'ai joui deux fois sous ses assauts.
Lors de la réunion, je planais sur mon petit nuage mais les clients attribuèrent ça à la longue route qu’on avait dû faire... La réunion fut envoyée en une heure et, à notre retour à l’hôtel, Nico m’a encore pris en levrette. En le reconduisant, je l’ai encore sucé dans l’auto avant de se quitter.
En rentrant à la maison, j’ai baisé ma copine comme jamais!
Le mariage est plus que jamais au programme mais trois ou quatre fois par semaine, je vois Nico pour une petite partie de jambes en l’air. Officiellement, nous jouons au tennis et au squash. Je suis devenu son vide-couille et, moi, ça me plaît!
La semaine prochaine, Geoffrey vient passer une semaine chez Nico. Nico m’a promis de faire les présentations. J’ai hâte de me faire prendre par deux hommes virils à la fois...Moi-même je ne crois pas à cette belle transformation.
FIN
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