Mardi 14 janvier 2 14 /01 /Jan 19:10

RECIT REEL

marié, futur marié, faut pas rester comme ça....les deux pieds dans le même sabot

 

 

 

Ce jour-là et ce soir-là

La réu... et les briefings

Mon pote et moi le même hôtel, une chambre double

 Chacun sa route Chacun son chemin Passe le message à ton voisin...un ami d’enfance, nous avions fait nos études ensemble puis nos chemins s’étaient séparés...on n'a pas tous les mêmes solutions...

Ai-je jamais cherché à appartenir à une communauté? A savoir si j’étais gay, ou bi, ou hétéro, etc ... Je m’en fichais.

 

moi, à poil sur son lit tenant dans une main son boxer, en train de le sentir et l’autre main en train de me branler...

 

En voilà un me dis-je qui sait saisir l'instant présent et ne va pas garder comme moi le regret de sa retenue d'un jour toute sa vie.

  

Où en es-tu  après ces 10 dernières années ? est-ce qu'on n'en est pas toujours un peu là ?: ah si on pouvait recommencer, arrêter le temps, changer de partenaire... 

 

Une fois n’est pas coutume, je devais me rendre en déplacement avec un collègue pour traiter un dossier délicat. La réunion était fixée tôt dans la matinée et donc, nous avions convenu de passer la nuit dans un hôtel proche afin de ne pas se taper la route le matin.

Mon collègue est en fait aussi un ami d’enfance, nous avions fait nos études ensemble puis nos chemins s’étaient séparés. Nous nous étions retrouvés, huit ans plus tard, dans la même boîte mais dans deux services différents. On se croisait de temps en temps mais nous n’avions jamais travaillé ensemble sur un même dossier. Celui-ci serait donc une première. Pour faire des économies à la société, on avait loué une chambre double.

Mon collège, Nico, était marié depuis neuf ans et était papa de trois enfants. Moi, mon mariage était fixé pour la fin de l’année et les préparatifs étaient en cours.

Nous voilà donc dans l’auto, on cause de tout et de rien, on se remémore nos folles années à l’unif, nos sorties, les soirées bien arrosées, les cours, etc. Arrivé à l’hôtel, on a décidé d’aller se taper un bon petit gueuleton dans un petit resto sympa. Le vin a coulé à flot et on parlait de pas mal de sujet. On est arrivé sur le sujet du sexe, le vin avait passablement fait son effet et on était tous les deux bien joyeux! On avait retrouvé la complicité d’entant.

— Tu sais moi, avec Astrid (sa femme), au début c’était l’extase! On baisait comme des bêtes tous les soirs. Puis, avec le temps et les enfants, ça s’est fortement ralenti et, maintenant, quand on baise une fois par mois, c’est bien! Ça lui suffit entièrement...

— Une fois par mois! C’est pas grand-chose! Moi, j’tiendrais pas!

— Tu parles, au début, c’était pas évident! Je tournais comme un lion en cage! Malgré les discussions, pas moyen de la faire changer d’avis, elle n'avait plus envie!

— Elle a un amant?

— Non, même pas! Elle n’en a pas besoin! Et puis, on s’est juré de ne pas se tromper et, une promesse, c’est une promesse!

— Donc toi non plus, t’as pas d’autre femme? Comment tu fais? Ta main droite a repris du service?

— Rigole pas, c’est pas drôle! Au début oui... Puis j’ai découvert autre chose!

— Quoi? T’as découvert internet et le cyber sexe?

— T’es con! Ça ou la main droite, c’est la même chose!

— Dis-moi quoi alors!

— Tu m’jures de garder le secret?

— Promis!

— Et bien, c’est bien simple, je voulais pas d'une autre femme, et pas non plus lui faire de la peine... j’ai découvert le sexe entre hommes et, ça, ça m’a permis de tenir!

—???

J’étais bien étonné! Pour moi, Nico était le type même du parfait hétéro un peu macho avec une éducation judéo-chrétienne assez stricte. Et là, il m’avouait avoir des relations homos!

— Ça t’étonne?

— Un peu, oui! Je m’attendais pas à ça de ta part!

— C’est vrai? Bon, d’accord, tu m’aurais dit ça y’a trois ou quatre ans, je t’aurais ri au nez! Mais J’te jure, ça a sauvé mon couple!

— Dis moi pas n’importe quoi!

— Si, grâce à ça, je suis équilibré: plus besoin de baiser avec Astrid tous les jours! Une fois de temps en temps, ça suffit!

— Et comment t’en es arrivé là?

En fait, je me rendais compte, moi qui hésitais encore pourmon mariage, que ce qu’il me racontait, au contraire de me dégouter m’excitait vachement!


Geoffrey...le récit de Nicolas .

Simple: au mois d’août, il y a deux ans, j’ai eu un stagiaire de 19 ans, Geoffrey. Il était plutôt mignon. Belle gueule d’ange. J’étais chargé de m’occuper de lui pendant deux mois pour le former et puis lui fournir du travail et vérifier qu’il le fasse correctement. La première semaine, il logeait chez une de ses tantes mais au bout d’une semaine, il a loué le petit appartement dans l’annexe, chez moi. Je l’ai aidé pour son déménagement.

Astrid était partie en WE chez sa mère avec les enfants. En fin de journée, on était crevé mais son appartement était rangé. Il restait juste deux ou trois caisses. Il m’a dit qu’il rangerait lui-même mais j’ai insisté pour l’aider et je voulu lui prendre une caisse des mains. Elle a glissé et tout son contenu s’est étendu par terre. T’aurais dû voir! Y’avait deux ou trois godes, des magazines pornos gais, des DVD. Il est devenu rouge pivoine... Moi, quand j’ai vu ça, je ne sais pas pourquoi mais je me suis mis à bander! Je me suis penché pour ramasser. Lui, il était tétanisé et n’osait plus rien dire ni faire.  

J’ai commencé à feuilleter un des magazines. Comme je voyais bien qu’il était mal à l’aise, j’ai brisé la glace et lui ai demandé si je pouvais pas lui emprunter un ou deux magazines et un ou deux DVD... Il était étonné puis a baragouiné que ça le dérangeait pas...

— Lequel tu me conseilles?

—???

— J’ai jamais vu de film gai, alors, lequel tu me conseilles en premier?

Là, il s’est senti plus à l’aise et a commencé à me montrer. Je posais pas mal de question et je lui ai demandé depuis quand il était homo.

 

— Je suis pas homo, je suis bi!

— Bi?

— Bin oui, bisexuel! J’aime les hommes et les femmes! J’ai une copine mais de temps en temps, je baise avec un homme!

 

— Ta copine le sait?

— Bien sûr que non! Mais baiser avec un homme, c’est pas la tromper! Je me vide les couilles, c’est tout!

Je me rendais compte que j’étais devenu stagiaire à mon tour et que maintenant, c’est lui qui m’enseignait une autre manière de voir les choses!

— T’as jamais baisé avec un homme, toi?

— Non! Jamais! T’es fou?

— Et t’en a jamais eu envie?

— Non!

— Même quand t’étais ado?

— Heu... non...

— Même pas en te branlant quand t'étais ado?

—... en fait, si... Mais c’était y’a longtemps!

— Tu fantasmais sur les bites de tes copains de classe que tu voyais dans la douche, hein?

—... Oui mais ça n’a pas duré longtemps!

— Moi, ça a duré! Et même quand j’ai couché avec une fille, j’ai gardé le fantasme! Un jour, j’ai eu l’opportunité de baiser avec un copain et on s’est pas privé! Crois-moi, on a joui comme jamais!

Moi, j’étais super excité par ses histoires. Une bosse s’était formée dans mon jeans.

— Tu veux que je te montre? m’a-t-il demandé.

Ensuite il s’est approché de moi, a soupesé mon paquet, s’est mis à genoux et a baissé la braguette. J’avais pas de sous-vêtement et ma queue a bondi. Il s’est mis à l’embrasser puis a englouti mon gland! C’était bon! Il suçait comme personne ne m’avait sucé avant! Juste à la limite de jouir, il s’est retiré et a retiré ma chemise. Il a commencé à me lécher les têtons en me caressant entre les jambes. J’étais sous son emprise.

Il m’a assis sur le fauteuil, a retiré sa chemise et son pantalon. Il avait un boxer blanc Calvin Klein et je devinais une grosse bosse. Il est revenu me sucer puis est remonté en léchant mon torse pour arriver à ma bouche. Notre baiser était enflammé! J’étais excité comme jamais! Lentement, il est redescendu et a repris mon membre en bouche. En deux minutes, il m’a envoyé au septième ciel! Il a tout avalé en me regardant dans les yeux. Puis, pendant que je planais encore, il est venu me présenter sa bite devant ma bouche. Elle était longue et fine. Je l’ai sucé, il m’a pris la tête et puis, il a commencé à me donner des coups de reins. Il me baisait la bouche et a joui. J’ai essayé d’avaler ses quatre ou cinq jets mais il est revenu m’embrasser. On a mélangé nos salives et son sperme.

Par après, il m’a appris la sodomie. Je l’ai enculé puis lui m’a dépucelé de l’arrière! J’te raconte pas les deux mois de stage: tous les jours, on baisait! Il est reparti en province et on se revoit parfois pendant ses vacances!


Excité !!! c'est gagné !

Moi, je restais étonné de son histoire... Je ne savais pas quoi dire. À ce moment, le patron du resto est venu nous dire qu’il allait fermer. On a payé et on est rentré à l’hôtel. Dans la chambre, je ne disais rien. C’est lui qui a brisé la glace.

— Ça te dégoute pas trop ce que je t’ai raconté?

—... Non non, ça va...

Dégouté? C’était pas le bon mot! J’étais plutôt excité! Il avait réalisé mon plus gros fantasme: sucer une bite et se faire enculer! Mais comment le lui dire... Pas évident d’avouer un fantasme... Même si lui venait de me faire la confidence desa bisexualité!

— Tant mieux! Je vais prendre une douche avant de dormir!

Et il s’est déshabillé. Je me changeais aussi en le regardant du coin de l’œil. Il était de dos. Il a retiré son boxer noir et j’ai vu ses belles fesses musclées. Il s’est retourné et s’est dirigé vers la salle de bain. Heureusement qu’il ne s’est pas retourné ou sinon il aurait remarqué que je n’arrivais pas à décrocher mon regard de sa queue. Elle faisait bien 15 cm au repos. Plutôt fine, terminée par un gland bien luisant. Il était circoncis. C’était en fait la première fois que je le voyais à poil...

Directement j’ai bandé. Je me suis rendu compte que ça faisait une semaine que j’avais plus baisé et que mon boxer était plein de précum, suite à ses confidences de tout à l’heure. J’entendais la douche couler. Je me suis déplacé vers son boxer qu’il avait laissé près du lit. Je l’ai pris et ai commencé à le humer. Ha, cette odeur de mec! Je ne me reconnaissais plus!

J’ai commencé à me branler. A ce moment là, Nico est ressorti: il avait oublié son shampoing! Quelle scène il a dû voir: moi, à poil sur son lit tenant dans une main son boxer, en train de le sentir et l’autre main en train de me branler... L’étonnement a fait place à un petit sourire sur son visage... Moi, je bougeais plus. Il s’est approché de moi et m’a dit:

— Pas besoin de te cacher! Suffit de demander!

J’étais rouge pivoine. Il est venu s’asseoir à coté de moi, j’avais jeté son boxer au sol, il m’a regardé dans les yeux et a approché sa bouche de la mienne. Notre baiser a duré... pour moi, ça semblait une éternité mais c’était tellement bon! Sa main est venue se poser sur ma queue qui avait débandé et a commencé un va-et-vient. Je commençais à gémir quand il a lâché ma bouche. Tout en continuant à me branler, il a passé son autre main dans mon cou et m’a poussé en avant. J’vais en face de ma bouche sa belle queue toute bandée. Elle devait bien faire 25 cm! Je ne me suis pas fait prier et l’ai engloutie. Je me suis mis à le sucer comme si ma vie en dépendait! Il a abandonné ma queue et sa main est venue titiller mon petit trou. J’ai essayé de serrer les fesses mais il m’a un peu plus poussé dans le cou, j’ai englouti sa queue jusqu’à la base, manquant de m’étouffer. En parallèle, un de ses doigts était entré dans mon fondement. L’étonnement laissait place à une sensation de bien-être.

Il a ensuite introduit un second doigt. Il a retiré sa main dans mon cou: j’avais trop envie de le sucer, plus besoin de m’y obliger. Puis, il m’a redressé, m’a obligé à me mettre à quatre pattes. Il est venu derrière moi, a craché sur mon petit trou et me donnait ses doigts à lécher. J’étais vraiment soumis, il pouvait faire ce qu’il voulait de moi. Il a présenté son gland sur mon petit trou et a commencé à pousser. À mon grand étonnement, il est rentré tout seul! Je n’avais pas mal. Il a remis de la salive puis a donné un petit coup de reins, je l’ai senti rentrer en moi. Ça a duré quatre ou cinq minutes, il ressortait un peu, crachait ou me faisait cracher dans sa paume puis le mettait sur mon trou et puis s’enfonçait un peu plus. Je l’ai senti s'enfoncer jusqu’à la garde. J’avais ses 27 cm dans le cul et je n’avais pas mal!

Il n’a pas bougé pendant deux ou trois minutes puis a commencé de petits mouvements puis alternait: quatre ou cinq petits mouvement suivi d’un mouvement plus ample. Je sentais une douce sensation monter en moi. Ça a duré une bonne demie heure et le plaisir ne faisait qu’amplifier. À la fin, j’ai joui sans me toucher, c’était comme un feu d’artifice dans ma tête et lui, il s’est laissé aller, est ressorti et m’a lâché quatre ou cinq jets qui ont atteint mon cou...

Pour la première fois depuis tout à l’heure on a parlé:

— Tu vois, c’est jouissif, le sexe entre hommes!

— Ah ouaip! Là, tu viens de réaliser mes deux plus gros fantasmes!

— Et ça t’a plu, alors?

— Plutôt! On recommence quand tu veux!

— Bon, il est une heure. Là, je vais prendre ma douche.

Et il est allé vers la douche, je l’ai suivi. Je lui ai savonné le dos et n’ai pu m’empêcher de lui sucer sa belle queue qui m’avait fait tant jouir! Il a craché son jus dans ma bouche puis m’a embrassé.

Nous sommes allés nous coucher. On a dormi dans les bras l’un de l’autre.


Alors, heureux ?

Le matin, il s’est réveillé vers 6h, sa bite était contre mon petit trou. Il n’a fait ni une ni deux et m’a enfoncé sa belle queue. Je me suis réveillé et j'ai joui deux fois sous ses assauts.

Lors de la réunion, je planais sur mon petit nuage mais les clients attribuèrent ça à la longue route qu’on avait dû faire... La réunion fut envoyée en une heure et, à notre retour à l’hôtel, Nico m’a encore pris en levrette. En le reconduisant, je l’ai encore sucé dans l’auto avant de se quitter.

En rentrant à la maison, j’ai baisé ma copine comme jamais!

Le mariage est plus que jamais au programme mais trois ou quatre fois par semaine, je vois Nico pour une petite partie de jambes en l’air. Officiellement, nous jouons au tennis et au squash. Je suis devenu son vide-couille et, moi, ça me plaît!

La semaine prochaine, Geoffrey vient passer une semaine chez Nico. Nico m’a promis de faire les présentations. J’ai hâte de me faire prendre par deux hommes virils à la fois...Moi-même je ne crois pas à cette belle transformation.

FIN

 

 

 

Par esteban - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 14 janvier 2 14 /01 /Jan 18:25

 

 

Le nouveau baiser de l'hôtel de ville

c'est bon de pisser librement et on s'en cache de moins en moins  

dudepubes: http://dudepubes.tumblr.com/http://dudegif.tumblr.com/

Le jardinier ...pas forcément un veinard  

 

 

...en y repensant c'est doux l'amour entre hommes, femmes, trav, etc . ...

 

  Rêver ce n'est pas perdre conscience des limites   

 

  Nous on aime ça comme ça. Mais libre à vous...et heureusement !  

This is my favorite way to fuck (top). I can watch my greasy cock in motion against his hairy anus, with the fur surrounding his shithole clinging to my veiny shaft as he spreads wide open, manly legs and stinky feet in the air to odorize my bedroom. It’s also an easy position for a long fuck session where we can look each other in the eye and talk filth.

  TOUTES LES GENERATIONS Y ONT DROIT...de 7 à 77ans...et même au-delà...oui, mais comment ?  

Oh yeah, that stinks!

 

Par claudio - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 14 janvier 2 14 /01 /Jan 00:44

RECIT 

 

Alors Cousin, où en es-tu  après ces 14 dernières années ? est-ce qu'on n'en est pas toujours un peu là ?: ah si on pouvait recommencer, arrêter le temps.  — Tu sais Jérémie, je n’ai pas oublié et je ne t’en veux pas.   

J’étais invité au mariage d’un ami et après la mairie, le vin d’honneur et le repas, je commençais à m’ennuyer maintenant que le bal avait débuté dans la salle de l’hôtel qui accueillait la cérémonie. Le barman était mignon, je m’apprêtais à aller lui faire du gringue quand je me suis retrouvé nez à nez avec mon cousin. Nous avions presque 30 ans tous les deux et nous nous étions perdus de vue depuis l’été de nos 16 ans, où très proches l’un de l’autre, un soir, nous nous étions embrassés. Nous découvrant cette attirance, la barrière du désir surgit alors stupidement entre nous. Pour moi, mes actes manqués ont beaucoup compté. J'en ai eu du regret, mais sans plus. Mon cousin Pierre et moi n’avions jamais voulu nous revoir depuis, sauf stricte obligation où l’on se contentait de se saluer, toujours un peu gênés, et je l’avais même perdu de vue depuis que nos routes avaient vraiment divergé, lui s’étant marié et moi ayant eu plusieurs mecs successifs. Mais il faut croire que mon cousin a, lui, gardé un souvenir douloureux de son désir non assouvi quand il avait 16 ans.

Bref, ce soir-là, nous nous étions retrouvés ensemble dans les toilettes et j’allais sortir quand il me parla.

— Tu sais Jérémie, je n’ai pas oublié et je ne t’en veux pas.

— M’en vouloir de quoi Pierre? lui ai-je rétorqué.

— De ce que tu m’as fait, a-t-il ajouté.

Alors comme ça il m’accusait! Je n’eus pas le temps de réfléchir que je le pris par la nuque et essayai de l’embrasser. Au début, il garda les lèvres fermées puis il céda à ma pression. Je le relâchai alors et nous reprîmes notre souffle, muets tous les deux en train de  nous regarder.

Je me rends compte qu'avec le temps, ce souvenir (brûlant lol) avait joué pour lui comme un déclencheur de regrets. Moi j'avais été libre, lui contraint par son mariage.

Quelqu’un arrivait, il me poussa vers une cabine vide. Ce qui suivit se passa très vite, il se serra contre moi, m’embrassa, je sentais la bosse dans son pantalon. Il défit ma ceinture, baissa le mien puis le sien ainsi que son slip, dévoilant une belle queue bien raide. Pendant ce temps, on entendait le mec qui était entré chanter en pissant, il devait être bourré. Pierre glissa sa bite entre mes jambes et entreprit un très rapide va-et-vient, il haletait et m’embrassait fougueusement et mal, je le laissais faire. Tout à coup, je sentis qu’il s’était lâché, j’avais son sperme poisseux qui me coulait entre les jambes. Je lâchai un bref: "Merde t’es con!" Il eut l’air penaud et sortit précipitamment de la cabine en remontant son pantalon. Pendant ce temps, je me retrouvai à éponger sa jute avec le papier toilette.

Quand je sortis à mon tour, je remarquai que le mec arrivé entre temps était toujours là, lui aussi s’essuyait le pantalon avec des gestes pas trop coordonnés, il avait réellement trop bu. C’était le marié. Il n’avait quand même pas perdu tous ses esprits car il me dit:

— Jérémie, je rêve où tu étais avec Pierre dans la même cabine? Je l’ai vu sortir et toutes autres portes étaient grandes ouvertes.

Je changeai la conversation en me moquant de lui:

— Tu ne t’es pas loupé Arnaud, tu t’es pissé dessus! Sophie ne va pas être contente.

— C’est de sa faute à celle-là, a-t-il ajouté, elle était partie pendant 10 jours avant le mariage pour son boulot, après elle n’a pas voulu qu’on baise jusqu’à ce soir pour la nuit de noces. Résultat: le fait de danser contre elle m’a donné la trique et j’arrive pas à débander.

Je me suis moqué de lui en lui disant que ça ne se voyait pas. Il m’a pris la main et me l’a collé sur son paquet qui était un peu mouillé. Je sentais sa barre. Il avait envie de jouer? J’allais entrer dans son jeu.

— Je ne sens rien à part que t’es trempé, ou alors c’est que tu en as une toute petite! lui dis-je.

Il s’est déplacé alors vers une cabine et a défait sa ceinture et baissé son pantalon, son boxer blanc trempé ne cachait rien, on voyait sa tige et ses poils et après l’épisode Pierre, ça me donnait la trique. J’entrai alors moi aussi dans la cabine et je fermai la porte. Pris par une inspiration, je portai mon visage sur son sous-vêtement et commençai à le lécher. J’adorai le goût salé de sa pisse et la sensation de sa queue étranglée dans le tissu mouillé.

— Mais qu’est-ce que tu fais? me disait-il.

Et au lieu de me repousser, je sentais ses mains passer dans mes cheveux et me guider. Ne sentant pas plus de résistance, je sortis sa bite et l’engloutis, commençant à remonter et descendre sur sa hampe. Je pris garde au passage d’aller le plus loin possible et de bien lui enserrer le gland. Je le sentais devenir tout électrique avec des petits tremblotements dans les jambes. Il me largua une bonne dose de purée bien épaisse et je fis en sorte de jouer les garces en en faisant couler sur mon menton.

— Putain que ça fait du bien! me dit-il. Y'a pas à dire, tu sais faire. Merci, mais pas un mot.

Il semblait complètement dégrisé mais soulagé. Nous entendîmes alors une chasse d’eau à côté, nous espérions avoir été discrets et attendîmes quelques instants avant de sortir.

En voilà un me dis-je qui sait saisir l'instant présent et ne va pas garder le regret de sa retenue d'un jour toute sa vie.

 



 Pierre a dû rêver de scènes pareilles toute sa vie...

 
n'attendez à demain, cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie...Ronsard. 
Par jeremie - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Lundi 13 janvier 1 13 /01 /Jan 18:17

classé dans CULTURE GAY INDIGNONS NOUS

 

Ce livre fera réfléchir... cavaliereinesistente: A LA RECHERCHE DU TEMPS PERDU

En définitive, rien ne dit qu'Edouard Louis (ci-dessous) ait un comportement homosexuel.

Tous les jours j'ai l'occasion de dénoncer dans ce blog la pression sociale qui exige des individus des choix irréversibles. 

On nous veut plus grands que nous sommes. Nos conduites sexuelles ne s'accompagnent pas forcément d'une passion exclusive. Ces comportements sont du domaine du jeu. Jeu nécessaire à notre équilibre psychique. Cela n'empêche pas qu'on soit tout à fait capables d'engagements civils tels que celui de la paternité.  

Est-ce qu'il dit ?: -"Sorry, I am gay ". Est-ce pour toujours ?  

"C'est toi, le pédé ?"

Publié le 12.01.14 à 14h39

"En finir avec Eddy Bellegueule", un livre d'Edouard Louis,

Faut surtout pas avoir une figure d'ange comme Edouard Louis.

«De mon enfance, je n'ai aucun souvenir heureux.» ses parents, son frère aîné, les habitants du village de Picardie où il habite se moquent de son allure efféminée, de ses «manières», de sa voix haut perchée. Il ne correspond pas à, l'idée qu'ils se font d'un garçon.  Au collège : deux de ses camarades le maltraitent. Coups, crachats... humiliation répétée jour après jour pendant trois ans «C'est toi, le pédé ?» . Grave !  Eddy subit, se soumet :  trop peur pour se révolter.  A ce moment-là il aspire à devenir «normal». !!!! sic  

Peu de mystère dans ce «roman» autobiographique de ce professeur de philo de 22 ans à la fac d'Amiens.  

Résumé

Elevé dans une famille ouvrière de Picardie, Eddy ne ressemble pas aux autres enfants. Sa manière de se tenir, sa façon de s'exprimer, sa délicatesse lui valent de nombreuses humiliations et injures, tant par ses camarades de classe que par son père alcoolique et sa mère victime. Lui-même finit par s'interroger sur cette homosexualité dont on le taxe avant même qu'il n'en éprouve le désir.

Extrait : «Mon succès scolaire confirmé par une lettre... «Je suis parti en courant, tout à coup. Juste le temps d'entendre ma mère dire : «Qu'est-ce qui fait le débile là ? »Je ne voulais pas rester à leur côté, je refusais de partager ce moment avec eux. J'étais déjà loin, je n'appartenais plus à leur monde désormais, la lettre le disait. Je suis allé dans les champs et j'ai marché une bonne partie de la nuit, la fraîcheur du Nord, les chemins de terre, l'odeur de colza, très forte à ce moment de l'année. Toute la nuit fut consacrée à l'élaboration de ma nouvelle vie loin d'ici ». En vérité, l'insurrection contre mes parents, contre la pauvreté, contre ma classe sociale, son racisme, sa violence, ses habitudes, n'a été que secondaire. Car avant de m'insurger contre le monde de mon enfance, c'est le monde de mon enfance qui s'est insurgé contre moi. Très vite j'ai été pour ma famille et les autres une source de honte, et même de dégoût. Je n'ai pas eu d'autre choix que de prendre la fuite. Ce livre est une tentative pour comprendre».

Nous aussi nous aimerions comprendre.

En finir avec Eddy Belle Gueule  au Seuil  18€ paraît ce début janvier

.

Effeminés ...oui et c'est pour ça qu'on vous aime encore plu, nous !

martincopertari: Divertimento: “Grafted” Collage on photograph 2013

Photo vintage...collage sur photo de KATALANI

Par claudio - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 12 janvier 7 12 /01 /Jan 14:43

en cours de construction Vous pouvez lire l'intégralité du récit dans l'ordre.

Si j'essaie de le mettre en ligne d'un coup, ça bugge. Il a donc fallu le couper et refaire la présentation...ça prend du temps !    

 

 Toujours ce problème de mise des gens en paquets de crayons : "hétéros ? gay ? bi, lesbienne, trans, ..."Et si on n'était pas obligés de choisir ? Si on se laissait la possibilité de changer en "route" ?   Aujourd'hui, tout en refusant tout classement, je me verrais "omnisexuel".          

 

 

Je n’ai jamais cherché à appartenir à une communauté. A savoir si j’étais gay, ou bi, ou hétéro. Je m’en fichais. J'ai vécu des amours hétéros jusqu'à présent et je suis divorcé depuis 6 ans. Cette aventure de la vie m'a pris au dépourvu. Je suis loin de m'en plaindre.  

 

      

    

Mon pote, son fils et le mien

 

 

Je m’appelle Nathan, j’ai 36 ans. Sportif, bien foutu, cela fait 30 ans que j’habite dans le même village de province de 1500 habitants. 30 ans également que je connais Hugues, mon meilleur pote. On a le même âge et on traine nos guêtres dans ce village ensemble depuis le CP. On a fait les 400 coups ensemble, on a dragué des tas de nanas et couché avec entre 16 et 20 ans.

Pourquoi 20 ans? Parce que tous les deux, on a engrossé deux nanas à la même époque. Hugues, c’est avec Nathalie qu’il vit depuis 16 ans, et moi avec Charlotte, dont j’ai divorcé depuis six ans. On était jeunes, on était cons et nous nous sommes retrouvés mariés avec un môme en charge à 20 ans….. Malgré mon divorce, je suis resté habiter dans le même village que mon ex-femme. On est resté amis malgré les tempêtes qui ont traversé notre couple.

Hugues a un fils, Samuel, et moi aussi. Luc (mon fils) et Samuel ont tous les deux 16 ans maintenant. Hugues et moi étant deux footeux invétérés, nous continuons à jouer dans le club local. Cette année, nos enfants respectifs, n’ayant pas d’équipe de leur âge dans le village, sont venus rejoindre l’équipe Séniors  . Entre 10 et 16 ans, j’ai vu mon fils tous les quinze jours, mais entre les matches de foot de mon côté et les siens, on n’avait pas trop le temps de discuter et je ne l’ai pas vu grandir.

La première fois où il est venu s’entraîner avec son pote Samuel  (ils sont aussi potes que je pouvais l’être avec Hugues), je l’ai vu à poil pour la première fois depuis six ans. Je n’avais pas remarqué qu’il s’était transformé à ce point. Ils se sont déshabillés sans complexes devant les autres adultes et donc leurs pères et j’ai pu constater que tous les deux avaient bien profité de leurs hormones d’adolescents. Après l’entraînement, ils sont rentrés tous les deux et Hugues est venu chez moi boire un pot. Il faisait encore chaud (la reprise ayant lieu fin août) et nous étions tous les deux en short et débardeur.

— T’avais remarqué que nos mômes étaient presque devenus des adultes? je dis à Hugues.

— Ouais, de sacrés bestiaux, nos gamins. Le tien a récupéré ta pilosité et ta musculature, Nathan.

— Le tien aussi est costaud. Et c’est du lourdingue qu’ils ont entre les cuisses, les cochons.

— Je sais d’où Luc tient ça, dit Hugues en rigolant.

En disant ça, cela fit TILT dans ma tête. Je n’avais pas fait trop attention, mais c’est vrai que Samuel était aussi différent d’Hugues que Luc m’était très ressemblant. J’attendais le prochain entraînement pour vérifier ce qui me trottait alors dans la tête. Je fis alors plus attention à nos deux ados lors de la douche. Autant c’était flagrant que Luc avait récupéré ma pilosité (j’étais pareil à son âge), ma masse musculaire et le tuyau qui lui servait de bite, autant Samuel ne ressemblait pas trop à son père: Hugues mesurait 1m70 et Samuel faisait déjà plus d’1m80, Hugues (et on se chambrait à ce propos) avait une bite courte et fine et Samuel n’avait rien à envier à mon fils, Hugues était sec et pas très musclé et Samuel avait de beaux biceps, de beaux abdos et des pectoraux développés… Comme Luc!

 

 ... /...

Le week-end suivant, j’avais Luc à la maison. On traînait en short de foot, torse nu.

— Luc, on n’a jamais parlé entre hommes.

— Oui, papa?

— J’ai découvert sous la douche au foot comment tu avais changé et je ne m’en étais pas rendu compte.

Il attendait, un peu étonné.

— Tu dois commencer à sortir avec des meufs, non?

Il rougit discrètement.

— Allez, quoi, à ton âge, j’étais plus puceau…

— Moi non plus, p’pa.

Je souris.

— Elle s’appelle comment celle qui t’a dépucelé?

Il hésitait.

— C’est pas une meuf, papa. C’est Samuel.

Je restais interloqué.

— Ben oui, je suis gay.

Je restais un peu pantois. Mon fils, si beau, avec le fils de mon meilleur pote… Je sentais ma queue s’exciter dans mon boxer. Cela faisait plusieurs semaines que je n’avais pas tiré mon coup.

— Et alors? dis-je après avoir repris mes esprits. C’est comment avec un mec?

Luc me regarda avec des gros yeux.

— Ça te gêne pas que ton fils soit gay?

— Pourquoi? T’es libre de ton corps* et tant que c’est toi qui décides quoi en faire.

    *T’es libre de ton corps...oui, mais j'ai tort de dire ça. Dans toute relation sex, même éphémère... il y a l'émotion et l'adrénaline et le feeling...y a donc pas que le corps ...bon c'était pas le moment.

 

 

 Il se précipita vers moi, me serrant dans ses bras.

— Merci papa. J’avais peur que tu ne le prennes mal. Mais ne dis rien à Hugues…

— Promis!

Le contact du torse nu de mon fils contre le mien m’électrisa. Il dut sentir ma queue durcie car il s’écarta un peu et mata mon short.

— On dirait que ça t’excite, dit il en souriant malicieusement.

Je rougis à mon tour.

— Tu sais, j’ai pas tiré ma crampe depuis longtemps. Alors de sentir ta peau chaude contre la mienne m’a fait bander.

Ce qu’il fit alors me dérouta. Il se mit à genoux devant moi et commença à lécher ma queue à travers le tissu de mon short, levant les yeux vers moi, comme pour quémander. J’acquiesçais d’un clignement de l’œil. Je sentis ses mains se poser sur mes fesses. Il tira le short vers le bas, puis mon boxer. Ma queue raide surgit et se plaqua contre mon bas-ventre.

Luc enfouit alors son visage dans mes poils pubiens, léchant mes couilles avec délice. Je fermais les yeux, bercé par un plaisir enflant en moi. Il mit alors ma bite dans sa bouche et attaqua un pompier terrible. J’appuyais mes mains contre la table derrière moi. J’étais en train de me faire sucer par mon propre fils et c’était bien mieux que ce que certaines nanas avaient pu faire. Il resta comme ça pendant 10 bonnes minutes. Je n’en pouvais plus.

— Arrête fiston, ou je vais te juter dessus.

Il lâcha ma bite et se releva.

— Viens, papa.

Il me prit la main et me conduisit dans sa chambre. Je ne savais plus quoi dire. Arrivé dans sa piaule, il baissa à son tour son short et son boxer (je constatais d’ailleurs que c’était un des miens! Sa queue était pareille à la mienne, presqu’aussi longue et presqu’aussi grosse. Sa toison n’avait non plus rien à envier à la mienne. Il s’allongea sur le lit et me fit signe de venir. Il se mit en position de 69, engloutissant de nouveau ma queue. J’avais la sienne sous mes yeux et une force irrésistible m’attira à elle. Je suçais un mec pour la première fois et c’était mon fils… C’était bon! Je pris vite son rythme, malaxant en même temps ses belles burnes brunes. Je compris assez vite qu’il essayait de me faire jouir avant lui. Je m’attachais donc à lui faire prendre son pied rapidement. Alors qu’il me suçait encore, je sortis sa bite de ma bouche et commençais à la branler. Ça, c’était plus mon truc. Je caressais le dessous de ses bourses et son entrecuisse. Bingo! Il lâcha ma queue et je l’entendis gémir comme un jeune chiot. Je vis ses abdominaux se contracter et l’entendis murmurer:

— Papa! Je viens!

Il lâcha sa purée sur son ventre, se mêlant aux poils de son ventre et de son torse. Je m’assis à côté de lui. Il reprenait son souffle. Ma main passa sur son ventre, étalant le sperme sur son corps. Lorsqu’il reprit ses esprits, il tourna sa tête vers moi.

— Ça fait deux ans que j’en rêve, papa. Je me suis masturbé longtemps en pensant à tes muscles, tes poils, ta queue que j’apercevais rapidement le week-end quand tu allais te doucher.

Je continuais à caresser son corps.

— Je pense que tu m’as bien rattrapé côté muscles et poils, mon fils! T’es un vrai petit mâle… Par contre, côté bite, tu repasseras!

Il se redressa et m’envoya un coup de poing dans la poitrine.

— Salaud! Dis que ma bite est petite tant que tu y es!

— Non, elle a une bonne taille pour ton âge. Mais avoue qu’elle n’est pas encore aussi longue et grosse que la mienne.

J’étais en train de rebander. Luc aussi. Il attrapa un décimètre et les mesura.

— T’as raison! La mienne fait 17 cm et la tienne 19. Et t’as la même…

Luc s’arrêta de parler alors qu’il me décalottait.

— La même quoi? dis-je en le voyant regarder mon gland. Allo? La même quoi, Luc?

Il lâcha ma queue et se décalotta. Je compris immédiatement de quoi il parlait. J’avais depuis toujours une tâche de naissance très discrète sous le gland. Et Luc avait exactement la même. Je me mis à rire.

— C’est de ça dont tu parles? Ça prouve au moins que t’es vraiment mon fils…

Je le vis blanchir.

— Qu’est-ce qui se passe, Luc?

Il me regarda, les larmes au bord des yeux.

— Samuel aussi a cette tâche sous le gland. On pensait que c’était un truc d’ado qui disparaissait.

Je compris immédiatement à quoi il pensait.

— Tu n’es pas en train de supposer que Samuel est… mon fils?

Merde! Ce que j’avais soupçonné en détaillant le fils de mon pote semblait se confirmer: Samuel était bien trop différent d’Hugues pour être son rejeton.

— Peut-être que Hugues a lui aussi une tâche de naissance, non?

— Je sais pas, papa. Je demanderai à Samuel.

On en resta là. Luc retourna chez Charlotte. J’essayais bien de voir si je retrouvais cette tâche sur la bite d’Hugues, mais c’était difficile de lui demander de se décalotter pour me le montrer. Le week-end suivant, après un match amical, Hugues passa à la maison. Luc était chez sa mère.

— J’ai vraiment l’impression que nos deux gamins sont copains comme cochon, tu ne trouves pas? dit Hugues en buvant son whisky.

— C’est vrai qu’ils sont très proches. Mais on l’était aussi à leur âge, non? je répondis.

Il posa son verre.

— Mais pas au point de nous toucher la bite et le cul sous la douche, Nathan!

Je posais aussi mon verre.

— Tu veux dire quoi?

— Je veux dire que j’ai vu Luc et Samuel se tripoter sous l’eau après l’entraînement.

Je le laissais venir.

— Ils se douchent souvent les derniers. Et mercredi, j’avais oublié mon shampooing. Quand j’ai passé la tête par la porte des douches, ils étaient en train de se tripoter. Heureusement qu’ils ne m’ont pas vu.

— On a joué aussi à touche-pipi quand on avait 13-14 ans, non?

Hugues me regarda de travers.

— Ouais mais à leur âge, on courait la greluche, on n’en était plus à savoir qui avait la plus longue.

— Tu crois qu’il se passe des choses entre eux?, avançais-je. Ça te gênerait s’ils étaient gay?

— Je sais pas. Ça me ferait chier, c’est sûr, mais c’est leur vie.

— Oui, c’est sûr. Tu veux que je leur pose la question?

— Tu crois qu’ils te l’avoueraient? dit Hugues.

— Ça mange pas de pain d’essayer. Je suis assez libre côté discussion avec Luc. T’es comment avec Sam?

— On n’en a jamais causé. Tu sais que Nathalie est assez coincée de ce côté. Du moins, depuis qu’on est marié.

Je ne savais plus quoi dire.

— Demande à Sam s’il veut venir passer le week-end avec Luc la semaine prochaine. Je vais essayer d’aborder le sujet.

— T’es un pote, Nathan. Tiens-moi au courant.

Le week-end suivant, Luc arriva avec Samuel le vendredi soir. Ce dernier était content de passer un week-end sans ses parents, et qui plus est avec son amant. Après le diner, un peu arrosé, ils se dirigèrent dans la chambre de Luc, me laissant seul devant «Jour de Foot». Une heure après, je montais à l’étage me coucher. J’entendis alors des gémissements. La porte était entrouverte. J’y jetais un œil. Ma première vision fut les fesses poilues de Luc montant et descendant en rythme. Il avait aussi hérité de cette pilosité… Sous lui, à quatre pattes, se trouvait Samuel, se faisant bourrer comme une chienne par mon fils. En trois secondes, j’étais raide. La bite couverte d’une capote (ouf!), Luc entrait et sortait du cul de son pote comme si c’était une chatte humide.

— Oui, mon amour! Encore! Encore! Plus profond! Vas-y!

Apparemment, Samuel prenait son pied. Je restais assis devant la porte, essayant de ne pas me montrer. Dix minutes plus tard, j’entendis mon fiston haleter et annoncer qu’il allait gicler. Ce qu’il fit rapidement. Sortant alors sa bite du trou du cul de Samuel, il s’allongea à ses côtés. La bite raide lui aussi, le fils d’Hugues caressa longuement le corps couvert de sueur de Luc. Sa queue ne mit pas longtemps à retrouver de la vigueur (et oui, à 16 ans, on a des réserves…). Et ce fut Luc qui se positionna comme une chienne et Samuel qui l’enfila rapidement. Le même petit cul bombé, poilu, mais blond, s’activait entre les fesses de mon fils. Ma queue était dure comme du bois. Je l’attrapais et me mit à me branler devant ce spectacle qui ne mettait aucun doute sur l’homosexualité de ces deux garçons. Lorsque Samuel explosa à son tour dans le cul de Luc, je retournais dans ma chambre et me vidai la bite dans un kleenex.

J’avais eu du mal à m’endormir ce soir là après la partie de jambes en l’air entre Luc, mon fils et Samuel, le fils de mon meilleur pote. Plus je voyais Samuel et plus je me disais que ce ne pouvait pas être le fils de Hugues. En plus, la révélation de Luc sur cette tache de naissance m’avait mis le doute. C’est vrai qu’à l’époque où Hugues avait engrossé Nathalie, j’avais couché aussi avec elle sans qu’il le sache.

Le lendemain matin, je me levai tôt. Luc me rejoignit dans la cuisine pour le petit déjeuner. Il portait seulement un boxer, celui que j’avais aperçu le jour où il m’avait déclaré son amour pour Samuel.

— Salut fiston!

— Salut, papa! T’as bien dormi?

— Bof! Faut dire que vous n’avez pas été trop discrets hier soir…

Il sourit.

— Tu sais, ça ne fait que un an qu’on s’est découvert et on n’a pas trop l’occasion de se voir en privé comme hier soir. Ce n’est que la quatrième fois qu’on se retrouve seuls pour s’envoyer en l’air.

— T’inquiète fiston, c’est pas grave. Tant que tu prends du plaisir et que t’aimes ça, pas de soucis. Par contre, t’es pas obligé d’emprunter mes boxers…

— Ouais, je sais, c’est à toi… Mais maman ne m’achète que des minislips. Tu la connais… Et les tiens me vont bien, non?

— OK. Si tu veux, on ira en acheter cet après-midi une dizaine. Et c’est toi qui choisiras. Mais ne laisse pas trop de poils dedans…

Il éclata de rire.

— Je t’adore, papa, dit-il en m’embrassant sur la joue.

Pendant que nous finissions notre café, Samuel arriva, lui aussi simplement vêtu d’un de mes boxers. Je regardais Luc et nous éclatâmes de rire. Il expliqua à Samuel la discussion que nous avions eu sur mes sous-vêtements. Il avait le même souci avec sa mère. C’est vrai aussi qu’Hugues était resté aux slips moule-burnes. Je regardais attentivement ce jeune mâle en train de boire son café, me disant que je le connaissais trop bien pour ne pas m’être rendu compte des différences entre lui et son père. Je connaissais une autre marque de naissance, que Luc n’avait pas pu découvrir, et il fallait m’assurer de ce point.

En début d’après-midi, j’emmenais les deux jeunes hommes dans un grand magasin, afin de leur acheter à tous les deux de nouveaux sous-vêtements. Évidemment assez attirés par les marques, ils se concentrèrent sur des CK, des HOM et des DIESEL. Je les regardais fouiller, ouvrir les boîtes, tâter le tissu jusqu’à trouver ce qu’ils souhaitaient. Je leur proposais de les essayer avant de les acheter.

— Maman dit que c’est pas hygiénique d’essayer des slips avant de les acheter, me dit Samuel.

— On s’en fout de ce que dit ta mère. Allez! Aux cabines!

Laissant Samuel seul dans une cabine, j’entrai avec Luc dans une autre. Elles étaient très spacieuses. J’avais choisi moi aussi deux ou trois boxers 

 

Par charlie - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

  • : Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • : Gay
  • : BLOG ICONOCLASTE ET GENERALISTE Ca ne suffit pas d'afficher des bites et des baises ce blog est gay sasufipaléfotoPORNO_ifo pensé1p Tu vas dire :" claudio tu copies beaucoup". Oui mais en fait je ne mets que de l'intéressant GAY&BI&NOLIMITS ça vous empêche pas de chercher pr votre compte !
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact
  • : 15/12/2012

Profil

  • claudio
  • Le blog gay de Cavaillon et ses amis prostitués
  • bareback enculer lavement trash hygiène
  • blog iconoclaste-pluraliste-no limits- ouvert à tous aucune discrimination ethnique tous âges 18+; je me doute que des -18 nous regardent et nous suivent. Et alors ?(Fillon l'a dit !) ça leur apprend des choses...

Texte Libre

<!-- counter(current) -->&nbsp; personne(s) sur ce blog

Archives

Images Aléatoires

  • ERECTCOLUMN 2
  • restinghc1
  • 220 1000
  • CONCURRENCE 3
  • SENSE IS SENSUAL 000046334
  • ON SEST AIMES LA DANS UN CHEMIN FLEURI CACHE 012

Recherche

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés