Dimanche 12 janvier 7 12 /01 /Jan 14:41

 

Laissant Samuel seul dans une cabine, j’entrai avec Luc dans une autre. Elles étaient très spacieuses. J’avais choisi moi aussi deux ou trois boxers CK. Sans hésiter, Luc se déshabilla devant moi, ce que je fis également, m’assurant que la porte était bien fermée. Je vis mon fiston enfiler un HO1 bleu marine et j’essayais donc le mien. J’étais en train de regarder dans le grand miroir comment ça m’allait quand Luc me dit:

— T’es super sexy avec ça, papa!

Je tournais la tête.

— Merci, fiston. Il est encore bien conservé, ton père, non?

Je fis alors ressortir mes abdominaux et gonfler mes biceps.

— Ouais, c’est pas comme certains parents déjà bedonnants à 30 ans.

Il se mit derrière moi et commença à me caresser.

— Qu’est-ce que tu fais, Luc? On est dans un lieu public.

— T’as fermé la porte, non? Laisse-moi faire.

Il passa d’abord ses mains sur mes pectoraux poilus et saillants, puis descendit jusqu’à mes abdos. Je frissonnais d’aise. Je sentis sa queue se raidir contre mes fesses à travers son boxer et le mien. La mienne ne tarda pas à grossir lorsqu’il passa la main dessus.

— Arrête, fiston. Ça va mal se terminer, chuchotais-je.

Il approcha sa bouche de mon oreille et murmura:

— Je t’ai dit que je fantasmais sur tes muscles et tes poils, papa. Tu vas voir, c’est bon.

Cela dura cinq minutes pendant lesquelles il caressa chaque parcelle de mon torse et de mon ventre. J’avais la bite en feu. C’était bon. Soudain, on frappa à la porte.

— Hé! Vous avez fini ou pas?

C’était Samuel. Nous nous rhabillâmes rapidement, chacun la queue encore raide.

— C’est bon, c’est bon.

J’ouvris la porte. Samuel nous attendait.

— Qu’est-ce que vous faisiez?

— Papa voulait essayer ceux que j’avais choisis. C’est pour ça, mentit Luc.

— OK.

Je payais et nous rentrâmes à la maison.

La soirée se passe tranquillement et mes deux ados partirent se coucher. Enfin, se coucher pour jouer au chien à huit pattes, pas pour dormir… J’entendais leurs gémissements, même d’en bas de la maison. Ça me fit bander comme un malade. Vers 23h30, je vis Luc descendre, à poil.

— Qu’est-ce que tu fais dans cette tenue? On pourrait te voir de la rue!

Il hésitait.

— P’pa. Samuel et moi on aimerait te remercier pour ce week-end que tu nous fais passer. Tu peux monter?

Un peu surpris, je suivis Luc jusqu’en haut. Samuel était nu lui aussi, assis sur le lit.

— Luc m’a expliqué comment vous aviez accepté sa confession d’être gay. Et je suis super touché par ce que vous faites ce week-end.

J’attendais.

— On aimerait te remercier, papa. Mais pour cela, mets-toi nu et laisse toi bander les yeux.

J’étais un peu ébranlé par ces remerciements. Je me déshabillais néanmoins, voyant que les deux me mataient des pieds à la tête, comme attirés par un aimant. Luc me banda les yeux et me coucha sur le lit. J’avais un peu d’appréhension car même s’il y a 15 jours, j’avais apprécié mes galipettes avec Luc, je me sentais toujours hétéro. C’est alors que se déclencha une tempête de plaisir à quatre mains. Elles caressaient mon corps à plusieurs endroits en même temps: ma bite, évidemment, mais aussi mes pectoraux, mes abdos et mes couilles. Des frissons me parcoururent du haut en bas. Puis deux langues bien douces vinrent lécher mes deux tétons dressés. Mon sang affluait sauvagement dans mon sexe raide. Les terminaisons nerveuses de mon corps ne savaient plus où donner de la tête! Une des langues - Laquelle? Celle de Luc? De Samuel? - laissa le téton gauche pour descendre entre mes pectoraux, suivant la ligne de poils bruns qui descendait jusqu’au nombril. Les quatre mains continuaient leur parcours sensoriel, découvrant des zones érogènes que je n’avais encore jamais remarquées.

Puis une des bouches goba ma bite jusqu’à la garde, malgré mes 19 cm, et l’autre se concentra à lécher mes couilles et mon entre-cuisses. À sa façon de passer sa langue sur ma queue, je reconnus Luc. C’était donc Samuel qui s’appliquait à faire enfler encore plus le plaisir sur mes couilles. Cela faisait déjà dix minutes que j’étais entre leurs mains et je ressentais déjà un pied immense. La bouche de Luc accéléra, tout comme ma respiration. Samuel et ses mains étaient maintenant sur mes abdominaux, jouant avec mes poils et mes muscles. La sauce commençait à grimper. Je prévins les garçons en chuchotant:

— Pas si vite, les gars! C’est en train de venir. Non, Luc, n’accélère pas! Je n’en peux plus.

Mais mon fils accéléra encore sa pipe. Puis tout à coup, alors que j’étais au bord de l’explosion, une main bloqua ma queue à la base. Mon pouls se ralentit et je sentis le plaisir refluer en moi. Une minute plus tard, j’entendis Luc me dire:

— Mets-toi à quatre pattes, papa! T’inquiète, on n’a pas l’intention de t’enfiler sans que tu sois d’accord.

Je les entendis rigoler doucement. Je m’exécutais, à la fois inquiet par ces jeux, mais aussi très excité. Cette fois, les quatre mains glissèrent sur mes deux globes velus et musclés, sur mon dos, sur mes cuisses et ma bite. Mes frissons reprirent, puis une langue commença à lécher mes poils du cul, puis ma raie. Autant au cours de préliminaires avec des femmes, j’avais pratiqué les caresses, autant personne ne m’avait jamais léché le cul et encore moins la raie. Puis la langue commença à explorer ma rosette. Putain que c’était bon! Je gémissais comme un jeune chiot, surtout que la seconde bouche attrapa ma queue pour la sucer. Les deux adolescents accéléraient le mouvement, une bouche pompant à fond mon dard tendu et l’autre pénétrant mon anus, avec une nouvelle jouissance profonde que je ne connaissais pas. Je n’eus pas le temps de les prévenir mais la sauce monta comme une flèche et emplit la bouche qui me suçait de sperme bien gluant.

J’étais exténué et m’allongeai sur le lit, le bandeau toujours sur les yeux. C’est Luc qui me l’enleva. Les deux petits mâles étaient souriants et je vis un liquide blanchâtre encore collé sur le menton de Samuel.

— Putain! Vous avez appris ça où, les jeunes?

Ils éclatèrent de rire.

— Un peu d’Internet, un soupçon d’imagination et de désir, me répondit Luc.

— Lequel d’entre vous deux a envie de prendre ma place?

— Moi, je veux bien, dit Samuel.

Illico presto, il se mit le bandeau sur les yeux et se plaça directement à quatre pattes. Il ne fallut pas bien longtemps pour que les caresses et de mon fils et les miennes excitent au maximum cette petite bombe pleine d’hormones mâles. J’y pris rapidement autant de plaisir à le faire qu’à le subir. Pendant que Samuel s’occupait de la queue de son pote, mes mains s’occupaient de ce merveilleux cul musclé et couvert de poils blonds. J’écartais les deux fesses afin d’y glisser ma langue. Les gémissements de Samuel montraient bien que je me débrouillais quand même pas mal pour un hétéro. Alors que ma langue allait enfin pénétrer plus loin, je reculais d’un coup. Je vis ce que j’avais oublié de vérifier: Samuel portait à gauche de sa rosette la même tâche de naissance que moi! Je tapotais le bras de Luc afin qu’il arrête de sucer son pote. Il me regarda étonné, sans rien dire. Je lui montrai la tâche puis me mis à quatre pattes en écartant mes fesses. Il ne comprenait pas. Je lui montrais du doigt. Pendant ce temps, Samuel s’inquiétait:

— Hé! Pourquoi vous avez arrêté?

— T’inquiète pas, deux secondes, lui dis-je.

Luc, en fouillant à travers mes poils, comprit enfin. Je vis ses yeux ronds s’agrandir et me questionner. Je lui fis «oui» de la tête. Puis son expression dubitative disparut et il sourit de nouveau. Samuel était son demi-frère, mon fils… Cela sembla lui redonner du désir mais je dois avouer qu’à moi aussi. Nous retournâmes nous occuper du jeune homme à quatre pattes et je pense que nous avons été encore plus excités qu’avant. Luc pompait la queue raide comme si c’était sa première sucette de Noël et je pénétrais en profondeur l’anus de Samuel avec ma langue, puis deux doigts bien humides. Ce n’étaient plus des gémissements qui sortaient de la bouche de Samuel, mais de vrais petits cris de jouissance. Il explosa soudain dans la gorge de Luc en hurlant.

Il retomba à plat ventre sur le lit, en sueur. Puis Luc lui enleva son bandeau. Ils se roulèrent un patin d’enfer, ne s’occupant plus de moi. Puis Samuel demanda:

— Pourquoi vous vous êtes arrêtés tout à l’heure?

 

 

Par charlie - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 12 janvier 7 12 /01 /Jan 14:35

 

Samuel demanda:

— Pourquoi vous vous êtes arrêtés tout à l’heure?

Luc me regarda et je lui fis comprendre de l’œil que c’était à lui d’annoncer la nouvelle à son pote. Il se mit à quatre pattes.

— Qu’est-ce que tu vois à gauche de ma rosette, Sam?

Samuel ne comprit pas tout de suite. Je me mis dans la même position que mon fils.

— Et à gauche de la mienne? dis-je maintenant amusé.

Sam inspecta les deux culs qui s’offraient à lui. Et il la vit.

— Ben… Vous avez tous les deux une tache de naissance. Et alors? C’est ton père, non?

— Tu te rappelles la tache sous nos glands? lui dit Luc.

— Oui. Et alors?

— Papa a exactement la même.

Je me décalottais pour lui montrer. Il resta coi.

J’attrapais un miroir et demandai à Samuel de regarder lui-même ses fesses. Il eut du mal à la voir mais constata ce que nous avions découvert. Il s’assit brutalement sur la moquette.

— Ça veut dire quoi, m’sieur?

— Je crois bien que ça veut dire que je suis ton père, Samuel.

Je lui expliquais qu’à l’époque, son «père» et moi fricotions les mêmes nanas et qu’il était très probable que c’était moi qui avais mis sa mère en cloque…

Samuel ne savait plus trop quoi dire après avoir découvert que j’étais son père biologique. Je sentais bien que son cerveau tournait à 300 à l’heure en ce moment. Luc et moi nous nous rhabillâmes (du moins, on enfila chacun nos sous-vêtements respectifs..).

— T’as l’air choqué, Sam, dit Luc.

— Ben un peu. Ça te ferait quoi d’apprendre que ton père est pas ton père?

— Ça me ferait bizarre, en effet.

J’attrapai Samuel par les épaules, assis à côté de lui.

— Tu sais, Sam, Hugues est ton père…. Même si à l’époque c’est peut-être moi qui ai déposé ma graine dans ta mère, c’est lui qui t’a élevé depuis 16 ans. Ça ne devrait rien changer.

Il sourit.

— Vous avez raison, m’sieur…. Ça ne va rien changer.

Il remit lui aussi son boxer et avant d’aller dans ma chambre, j’embrassai les deux garçons sur les joues.

Je les entendis discuter jusqu’à tard dans la nuit. J’essayais d’entendre ce qu’ils disaient, mais Morphée me rattrapa et je m’endormis.

Le matin, c’est l’odeur du café qui me réveilla. Les deux adolescents étaient déjà en tenue de sport quand je descendis.

— Dépêche-toi, papa. On a match à 11h00 ce matin, tu n’as pas oublié?

— Merde! C’est vrai! Il est quelle heure, là?

— 10 h 00, m’sieur, me répondit Samuel.

— Sam, appelle-moi Nathan, tu veux bien. On est dans la même équipe de foot, non?

Il me sourit. J’avalai mon café et allai me mettre en tenue. Heureusement, le match était chez nous. Je ne sais pas si Samuel avait retrouvé son allant, mais il nous planta trois magnifiques buts, ses premiers en équipe Sénior. Hugues, blessé, ne jouait pas. Il était en extase devant les résultats de son fils ce jour-là.

Ce fut la fête dans les vestiaires (nous avions battu ce jour-là nos irréductibles ennemis du village d’à côté) et à travers tout le brouhaha et les allers et venues des uns et des autres, je remarquai discrètement les petites caresses sur le sexe que Luc et Samuel se faisaient discrètement. Ils disparurent après que tout le monde se fut douché et Hugues vint diner chez moi, sans Nathalie, occupée par une énième loterie au profit d’œuvres charitables à l’autre bout de la France. Nous avions picolé pas mal et vers la fin du repas, il me lança:

— Alors? T’as discuté avec nos jeunes à propos de ce qu’on s’était dit l’autre jour?

Je feignais de ne pas comprendre ce qu’il voulait dire.

— Mais si, tu sais bien, leur tripotage discret sous les douches. Ils ont encore recommencé aujourd’hui…

— Ah! Ça! Oui, je l’ai vu aussi.

Je laissais passer un silence.

— Et bien?

— Et bien…et bien…. Oui, j’en ai discuté avec Luc. Et je crois bien qu’ils sont amants.

Un long silence (du moins, il me parut extrêmement long…) s’abattit dans la maison. Je voyais bien que Hugues réfléchissait à toute vitesse.

— Merde! dit-il doucement.

— T’en es sûr?

— Ben, si tu veux, l’autre week-end, ils étaient pas en train de jouer au Monopoly quand je les ai entendus….

— Merde! dit-il de nouveau.

Je lui reversai un cognac pour faire passer la nouvelle, même s’il avait déjà bien bu. Je ne lui parlai évidemment pas de la tache de naissance de Samuel, identique à la mienne et celle de Luc.

— Comment mon propre fils peut-il être gay? Ça ne manque pas de nanas, quand même!

Il montait un peu le ton.

— C’est leur vie, Hugues. Moi aussi ça m’a un peu bousculé quand Luc m’en a parlé. On en a discuté toute une nuit. À partir du moment où ils se protègent, je ne vais pas aller contre.

Il ne disait plus rien, mais me fixait dans les yeux, les larmes prêtes à couler.

— Comment je vais annoncer ça à Nathalie, moi?

— T’as vraiment besoin de lui en parler? Tu crois pas qu’elle s’en fout de savoir avec qui son fils baise?

Les larmes commencèrent à couler. Je voyais bien que l’alcool ne l’aidait pas.

— Tu veux rester dormir à la maison? Nathalie ne rentre que demain soir, non?

Il acquiesça de la tête.

— Allez, viens, on va aller se coucher.

Nous nous levâmes et grimpèrent dans ma chambre. Je commençais à me déshabiller pour aller me pieuter. Ça ne serait pas la première fois que mon pote dormirait dans le même lit que moi. J’étais en slip et torse nu, et je vis qu’il s’était seulement assis sur le lit. Je compris qu’il avait besoin d’aide pour enlever ses habits. Je m’approchai de lui et m’agenouillai pour lui déboutonner sa chemise et son jean’s. Je ne sais pas pourquoi, mais cela me fit bander. Hugues, même s’il n’était pas très costaud, était quand même finement musclé. Il portait un caleçon tout mignon, avec des Simpson’s dessus. Il me regardait fixement. Me détaillait même.

— Nathan, t’as déjà essayé de faire quelque chose avec un mec?

Je le regardais fixement à mon tour.

— Qu’est ce que tu veux dire, Hugues?

— Ben, j’suis clair, non? T’as déjà fait des trucs avec un mec?

Je commençais à m’inquiéter. La découverte de l’homosexualité de son fils le travaillait apparemment plus que moi.

— Non, mentais-je en me souvenant de ma nuit avec les deux ados. Pourquoi me dis-tu ça? T’as envie de quelque chose avec moi?

Hugues me regarda.

— Si nos fils le font, pourquoi pas nous?

Je voyais sa queue se tendre dans son caleçon. La mienne était encore plus dure. Je le poussai doucement sur le lit, ce qui fait qu’il était sur le dos, les jambes posées au sol.

— J’ai pas forcément envie de baiser avec toi, Hugues, mais on peut essayer de voir ce que ça fait de se faire caresser par un mec si tu veux….

Je posai mes mains sur sa poitrine imberbe et sentis un frisson le parcourir. Il ferma les yeux.

Je le caressai alors doucement, passant des pectoraux aux abdominaux, puis sur les biceps. J’entendais mon meilleur pote gémir doucement.

— C’est bon, Nathan, continue tes caresses.

Jusqu’où devais-je aller avec lui? Sans trop réfléchir, je posai un baiser sur ses tétons, seul endroit du haut du corps sur lequel il avait quelques poils (en dehors des aisselles). Puis un autre sur son nombril. Mes mains caressèrent alors ses cuisses et avec son caleçon assez large, j’en glissais une par la jambe jusqu’à l’aine, arrivant alors à la base de son sexe tendu. Voyant qu’il ne disait rien, j’entrepris de la masturber délicatement. Sa queue était comme du béton, pas très longue (15 centimètres). Il soupirait de plus en plus. Je me penchai pour arriver à son oreille et je chuchotais.

— Ça te va, comme ça? Ou on va plus loin, mon vieux pote?

Il entrouvrit les yeux.

— Tu irais jusqu’où, Nathan? Tu me sucerais?

Surpris par sa réponse, je lui dis:

— T’en as envie au moins?

— Oui.

J’attrapai l’élastique du calbute et le descendit jusqu’aux chevilles. Sa bite claqua contre ses abdominaux, amortie par sa touffe pubienne. Ma bouche n’eut pas de mal à l’entrer entièrement. C’était la deuxième queue en un mois que j’avais en bouche. Après celle de mon propre fils, j’avais celle de mon meilleur ami. Avec un peu plus d’expérience qu’il y a un mois, j’entrepris de lui faire un pompier dans ce que j’estimais être les règles. Ma langue passait sur le morceau de chair tandis que son gland butait au fond de ma gorge. J’attrapai ses burnes et les malaxais tendrement. Hugues ne tarda pas à soupirer et respirer ensuite de plus en plus vite.

— Oh putain! Oh putain! Que c’est bon! Oh oui…. Oh oui.. Putain! Je vais gicler! Je vais gicler, Nathan!!!!

Je sortis alors sa queue de ma bouche et terminai l’exercice en le branlant au maximum que je pouvais. Ses muscles se tendirent et je sentis son sexe vibrer. De longs jets de sperme vinrent atterrir sur son ventre et son torse.

Complètement essoufflé, mon pote gardait les yeux fermés. J’étalai son sperme sur son corps, comme j’avais vu Samuel et Luc le faire, profitant ainsi de caresser ses abdominaux. Quand il eut repris ses esprits, il ouvrit les yeux.

— C’est pas possible, Nathan. T’as déjà fait ça, hein?

— Non, jamais, c’est la première fois, mentis-je de nouveau.

— Merde! C’était trop bon. Largement mieux que Nathalie… quand elle accepte!

Je souris.

— T’as envie que je te fasse pareil, vieux pote? me dit-il.

Je réfléchis un peu puis lui dit:

— Si t’es d’accord pour faire des découvertes ce soir, j’aimerais bien que tu me bouffes le cul à la place.

Sans dire un mot, il commença à descendre mon slip le long de mes cuisses, me regardant droit dans les yeux. Ma queue se dressa bien évidemment le long de mon ventre.

— C’est dingue ce qui arrive, chuchota-t-il.

Il passa alors ses mains sur mes fesses velues, puis sur mes cuisses, et de nouveau sur mes fesses.

— J’avais jamais fait gaffe combien t’étais poilu du cul, Nathan.

Il écarta doucement les deux globes et glissa un doigt dans ma raie déjà un peu humide.

— Même là!, dit-il.

Il se mit alors à genoux derrière moi.

 

Par charlie - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 12 janvier 7 12 /01 /Jan 03:03

Méga coming out

 

    — C’est dingue ce qui arrive, chuchota-t-il.

Il passa alors ses mains sur mes fesses velues, puis sur mes cuisses, et de nouveau sur mes fesses.

— J’avais jamais fait gaffe combien t’étais poilu du cul, Nathan.

Il écarta doucement les deux globes et glissa un doigt dans ma raie déjà un peu humide.

— Même là!, dit-il.

Il se mit alors à genoux derrière moi.

J’étais assez excité, mais pris entre deux sentiments: celui de pouvoir de nouveau me faire bouffer la rondelle par un mec et celui d’être en train d’enfreindre un interdit avec mon meilleur ami.

 

Lorsque Hugues posa sa langue entre mes deux fesses, je fermai les yeux. J’étais sûr qu’il n’avait jamais fait ça, mais l’alcool mêlé à l’excitation lui donnait des idées. Il passa deux ou trois minutes avec le bout de sa langue à lécher mes fesses et ma raie. Puis il glissa délicatement son organe buccal dans ma rosette toute propre. Je sentais le plaisir grimper en moi. Ma queue était de plus en plus raide. Il l’attrapa d’ailleurs d’une main pour lui infliger des mouvements lents de branlette.

 

— Oui, Hugues. C’est bien! C’est bon!

 

Sa langue pénétra alors un peu plus mon anus et il trouva sans problème où agir pour m’exciter encore plus! C’est vrai que mes gémissements l’incitaient à s’intéresser à ce point sensible.

 

Nous étions alors dos à la porte. Moi penché sur le lit et lui derrière moi en train de s’appliquer à me faire jouir.

 

J’entendis alors la porte s’ouvrir, presque sans bruit. Je tournai la tête et là je vis nos fils respectifs, main dans la main, plantés à la porte de ma chambre….

FIN 

 la tache !

 

 

 

 

 

 

Par charlie - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 11 janvier 6 11 /01 /Jan 07:06

SEXO

COMME ILS S'AIMENT !...

On s'était payés un petit"bluet" délicieux, invité

  ben il est resté

 

De l'affection....

mais aussi de la joie :

De la sérénité...

...de celle qui vient avec

l'expérience

...

 

Par nudos - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 11 janvier 6 11 /01 /Jan 06:50

PHOTOS

ET AUSSI GRAND QUE TON CUL ?...excuse-moi d'être cru...

 serais-tu fine bouche ?

 

 

 

 

 

 

 

en ce cas oui ! mais on n'a pas vu la bouche !

L'avaleur n'attend pas le nombre des années

on sent bien que

ses amis lui plaisent !

.

 

ça demande un apprentissage !

 

 

 

 

Par desnudos - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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