Laissant Samuel seul dans une cabine, j’entrai avec Luc dans une autre. Elles étaient très spacieuses. J’avais choisi moi aussi deux ou trois boxers CK. Sans hésiter, Luc se déshabilla devant moi, ce que je fis également, m’assurant que la porte était bien fermée. Je vis mon fiston enfiler un HO1 bleu marine et j’essayais donc le mien. J’étais en train de regarder dans le grand miroir comment ça m’allait quand Luc me dit:
— T’es super sexy avec ça, papa!
Je tournais la tête.
— Merci, fiston. Il est encore bien conservé, ton père, non?
Je fis alors ressortir mes abdominaux et gonfler mes biceps.
— Ouais, c’est pas comme certains parents déjà bedonnants à 30 ans.
Il se mit derrière moi et commença à me caresser.
— Qu’est-ce que tu fais, Luc? On est dans un lieu public.
— T’as fermé la porte, non? Laisse-moi faire.
Il passa d’abord ses mains sur mes pectoraux poilus et saillants, puis descendit jusqu’à mes abdos. Je frissonnais d’aise. Je sentis sa queue se raidir contre mes fesses à travers son boxer et le mien. La mienne ne tarda pas à grossir lorsqu’il passa la main dessus.
— Arrête, fiston. Ça va mal se terminer, chuchotais-je.
Il approcha sa bouche de mon oreille et murmura:
— Je t’ai dit que je fantasmais sur tes muscles et tes poils, papa. Tu vas voir, c’est bon.
Cela dura cinq minutes pendant lesquelles il caressa chaque parcelle de mon torse et de mon ventre. J’avais la bite en feu. C’était bon. Soudain, on frappa à la porte.
— Hé! Vous avez fini ou pas?
C’était Samuel. Nous nous rhabillâmes rapidement, chacun la queue encore raide.
— C’est bon, c’est bon.
J’ouvris la porte. Samuel nous attendait.
— Qu’est-ce que vous faisiez?
— Papa voulait essayer ceux que j’avais choisis. C’est pour ça, mentit Luc.
— OK.
Je payais et nous rentrâmes à la maison.
La soirée se passe tranquillement et mes deux ados partirent se coucher. Enfin, se coucher pour jouer au chien à huit pattes, pas pour dormir… J’entendais leurs gémissements, même d’en bas de la maison. Ça me fit bander comme un malade. Vers 23h30, je vis Luc descendre, à poil.
— Qu’est-ce que tu fais dans cette tenue? On pourrait te voir de la rue!
Il hésitait.
— P’pa. Samuel et moi on aimerait te remercier pour ce week-end que tu nous fais passer. Tu peux monter?
Un peu surpris, je suivis Luc jusqu’en haut. Samuel était nu lui aussi, assis sur le lit.
— Luc m’a expliqué comment vous aviez accepté sa confession d’être gay. Et je suis super touché par ce que vous faites ce week-end.
J’attendais.
— On aimerait te remercier, papa. Mais pour cela, mets-toi nu et laisse toi bander les yeux.
J’étais un peu ébranlé par ces remerciements. Je me déshabillais néanmoins, voyant que les deux me mataient des pieds à la tête, comme attirés par un aimant. Luc me banda les yeux et me coucha sur le lit. J’avais un peu d’appréhension car même s’il y a 15 jours, j’avais apprécié mes galipettes avec Luc, je me sentais toujours hétéro. C’est alors que se déclencha une tempête de plaisir à quatre mains. Elles caressaient mon corps à plusieurs endroits en même temps: ma bite, évidemment, mais aussi mes pectoraux, mes abdos et mes couilles. Des frissons me parcoururent du haut en bas. Puis deux langues bien douces vinrent lécher mes deux tétons dressés. Mon sang affluait sauvagement dans mon sexe raide. Les terminaisons nerveuses de mon corps ne savaient plus où donner de la tête! Une des langues - Laquelle? Celle de Luc? De Samuel? - laissa le téton gauche pour descendre entre mes pectoraux, suivant la ligne de poils bruns qui descendait jusqu’au nombril. Les quatre mains continuaient leur parcours sensoriel, découvrant des zones érogènes que je n’avais encore jamais remarquées.
Puis une des bouches goba ma bite jusqu’à la garde, malgré mes 19 cm, et l’autre se concentra à lécher mes couilles et mon entre-cuisses. À sa façon de passer sa langue sur ma queue, je reconnus Luc. C’était donc Samuel qui s’appliquait à faire enfler encore plus le plaisir sur mes couilles. Cela faisait déjà dix minutes que j’étais entre leurs mains et je ressentais déjà un pied immense. La bouche de Luc accéléra, tout comme ma respiration. Samuel et ses mains étaient maintenant sur mes abdominaux, jouant avec mes poils et mes muscles. La sauce commençait à grimper. Je prévins les garçons en chuchotant:
— Pas si vite, les gars! C’est en train de venir. Non, Luc, n’accélère pas! Je n’en peux plus.
Mais mon fils accéléra encore sa pipe. Puis tout à coup, alors que j’étais au bord de l’explosion, une main bloqua ma queue à la base. Mon pouls se ralentit et je sentis le plaisir refluer en moi. Une minute plus tard, j’entendis Luc me dire:
— Mets-toi à quatre pattes, papa! T’inquiète, on n’a pas l’intention de t’enfiler sans que tu sois d’accord.
Je les entendis rigoler doucement. Je m’exécutais, à la fois inquiet par ces jeux, mais aussi très excité. Cette fois, les quatre mains glissèrent sur mes deux globes velus et musclés, sur mon dos, sur mes cuisses et ma bite. Mes frissons reprirent, puis une langue commença à lécher mes poils du cul, puis ma raie. Autant au cours de préliminaires avec des femmes, j’avais pratiqué les caresses, autant personne ne m’avait jamais léché le cul et encore moins la raie. Puis la langue commença à explorer ma rosette. Putain que c’était bon! Je gémissais comme un jeune chiot, surtout que la seconde bouche attrapa ma queue pour la sucer. Les deux adolescents accéléraient le mouvement, une bouche pompant à fond mon dard tendu et l’autre pénétrant mon anus, avec une nouvelle jouissance profonde que je ne connaissais pas. Je n’eus pas le temps de les prévenir mais la sauce monta comme une flèche et emplit la bouche qui me suçait de sperme bien gluant.
J’étais exténué et m’allongeai sur le lit, le bandeau toujours sur les yeux. C’est Luc qui me l’enleva. Les deux petits mâles étaient souriants et je vis un liquide blanchâtre encore collé sur le menton de Samuel.
— Putain! Vous avez appris ça où, les jeunes?
Ils éclatèrent de rire.
— Un peu d’Internet, un soupçon d’imagination et de désir, me répondit Luc.
— Lequel d’entre vous deux a envie de prendre ma place?
— Moi, je veux bien, dit Samuel.
Illico presto, il se mit le bandeau sur les yeux et se plaça directement à quatre pattes. Il ne fallut pas bien longtemps pour que les caresses et de mon fils et les miennes excitent au maximum cette petite bombe pleine d’hormones mâles. J’y pris rapidement autant de plaisir à le faire qu’à le subir. Pendant que Samuel s’occupait de la queue de son pote, mes mains s’occupaient de ce merveilleux cul musclé et couvert de poils blonds. J’écartais les deux fesses afin d’y glisser ma langue. Les gémissements de Samuel montraient bien que je me débrouillais quand même pas mal pour un hétéro. Alors que ma langue allait enfin pénétrer plus loin, je reculais d’un coup. Je vis ce que j’avais oublié de vérifier: Samuel portait à gauche de sa rosette la même tâche de naissance que moi! Je tapotais le bras de Luc afin qu’il arrête de sucer son pote. Il me regarda étonné, sans rien dire. Je lui montrai la tâche puis me mis à quatre pattes en écartant mes fesses. Il ne comprenait pas. Je lui montrais du doigt. Pendant ce temps, Samuel s’inquiétait:
— Hé! Pourquoi vous avez arrêté?
— T’inquiète pas, deux secondes, lui dis-je.
Luc, en fouillant à travers mes poils, comprit enfin. Je vis ses yeux ronds s’agrandir et me questionner. Je lui fis «oui» de la tête. Puis son expression dubitative disparut et il sourit de nouveau. Samuel était son demi-frère, mon fils… Cela sembla lui redonner du désir mais je dois avouer qu’à moi aussi. Nous retournâmes nous occuper du jeune homme à quatre pattes et je pense que nous avons été encore plus excités qu’avant. Luc pompait la queue raide comme si c’était sa première sucette de Noël et je pénétrais en profondeur l’anus de Samuel avec ma langue, puis deux doigts bien humides. Ce n’étaient plus des gémissements qui sortaient de la bouche de Samuel, mais de vrais petits cris de jouissance. Il explosa soudain dans la gorge de Luc en hurlant.
Il retomba à plat ventre sur le lit, en sueur. Puis Luc lui enleva son bandeau. Ils se roulèrent un patin d’enfer, ne s’occupant plus de moi. Puis Samuel demanda:
— Pourquoi vous vous êtes arrêtés tout à l’heure?
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