Classé dans PHOTOS SERIES
Stromae
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Stromae
On peut faire des romans d'une vie, des reportages...même
tourner autour d'un mec qui lit un bouquin...
mais que faire autour d'un surfeur ou tchatteur sur
internet...
...quand on est face à son écran et en ligne, on peut être
en train de faire des choses très différentes : tomber amoureux,(lol) se séparer, lancer une attaque nucléaire, faire des courses, formuler une idée révolutionnaire…. Et tout ça, de
l’extérieur, eh bien ça se ressemble beaucoup : c’est constamment quelqu’un, face à un écran, qui tape sur un clavier, voilà tout.
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classé dans SEXO VIVRE SA SEXUALITE
Double pénétration au clair de lune...
...pas mécontents de notre nuit. Je ne connais d’eux que leurs prénoms. Ils ne connaissent de moi que le mien. Notre rencontre restera une magnifique expérience, un souvenir merveilleux. En fait, (comment vous expliquer ?) la double pénétration, il faut , comme là ,un guide expérimenté et un peu d'audace...mais le désir nous aiguillonne... Roger |
Fin juin, bientôt deux heures du matin,je suis sur l’autoroute, déjà samedi, et la fatigue se fait sentir. Je rentre.
Mon dernier café date d’il y a 300 km environ. Je crois qu’il ne faut plus lutter contre le sommeil. Dodo deux heures et tout ira bien. Un grand panneau annonce le prochain parking à 5 km. Malgré l'heure et la fatigue je cherche des yeux s'il n'y a pas des mecs qui draguent. Il n’y a pas foule à cette heure-ci. Le parking est vide. Même pas un camion. Il faut dire que je ne suis pas dans le sens des départs et que les poids lourds n’ont plus le droit de circuler depuis déjà trois heures. Un beau clair de lune. En fait je n’ai pas très bien regardé car au fond du parking, il y a une autre voiture. A environ 50m de la mienne, juste à côté du bâtiment des sanitaires.
Je sors de ma voiture, fais quelques pas pour me dégourdir les jambes et me dirige vers les toilettes. Un petit pipi et un peu d’eau sur la figure et je serai prêt à dormir. En passant, je jette un coup d’œil distrait à l’autre voiture, et entre dans le bâtiment. Ce n’est qu’après que je réalise ce que je viens de voir. Il y a 2 hommes à bord, et un des deux semble être en train de faire une fellation à l’autre gars. Je ne suis pas certain d’avoir bien vu, aussi je reviens discrètement sur mes pas et, abrité dans l’ombre du mur, regarde à nouveau.
À travers le pare-brise, je ne vois pas grand chose si ce n’est une tête aux cheveux blonds qui bouge à la hauteur des vitres. À voir le mouvement, je ne pense pas avoir fait une grosse erreur d’appréciation. Je décide d’aller d’abord pisser un coup, et je verrai bien ce qui se passera en sortant.
Je ne me cache pas et ressors du bâtiment comme si de rien n’était. En repassant à côté de la voiture, mon coup d’œil se fait plus insistant. Les occupants se sont mis à l’aise. L'un n’avait qu’un short et un slip maintenant sur ses genoux, et un tee-shirt remonté haut sur son ventre. Il a l’air grand et assez mince, il est très brun et doit avoir dans les quarante ans. L’autre est torse nu et porte un short en jeans, assez court et assez serré que je peux très bien distinguer la forme de son entrejambe et de ses fesses. Ses cheveux sont blond clair, et le peu que je vois de son visage m’a l’air assez jeune, à peu près mon âge.
Les fenêtres de la voiture était ouvertes et j’entendais très bien la respiration de l’homme plus vieux et les petits bruits mouillés qui accompagnent l’activité de son compagnon.
— Il nous regarde, dit l’homme plus vieux, continue.
— Il est loin?
— Juste à côté.
— Il est bien?
— Pas mal, à peu près ton âge. Regarde-le, tu décideras de ce qu’on fait.
En entendant cela, une excitation folle s’empara de moi. Je ne pouvais croire que la chance de baiser en pleine nuit ( avec 2 hommes, en plus!), se présentait à moi. Devenu soudainement nerveux, je me suis approché un peu plus, histoire que le plus jeune me voit mieux. Je découvrais son visage entier.
— Pas mal dit-il en souriant. Ca t'intéresse ?
—Si vous acceptez les spectateurs, je suis partant.
— OK. Mais à une condition : c’est moi qui décide de tout ce qui se passe. Vous pouvez proposer ce que vous voulez, vous devrez faire ce que je vous dirai. Ça vous va?
— O.K. pour moi.
— Parfait, qu'est-ce que tu aimes faire ?
— Continuez comme si je n’étais pas là, je vous dirai.
Il était à genoux, fesses sur les talons, sur le siège passager, face à moi. Depuis qu’il s’était redressé pour me parler, j’ai pu constater que son torse était complètement imberbe et peu musclé.
Son compagnon a glissé une main sous ses fesses, se frayant un chemin sous son short et remarquant le facial du plus jeune, je devinais que quelques doigts devaient s’activer dans l’ombre. Apercevant ma forte érection sous mon pantalon, le plus vieux dit à l’autre:
— Tu sais chéri, nous devrions sortir de la voiture, ce serait plus confortable pour toi et plus sympa pour notre invité.
— Et on va sous les arbres vers les tables?
— Si tu veux.
Nous profitons de ce que nous sommes tous les trois debout pour faire quelques rapides présentations. Le plus vieux dit:
— Voici Luc, et moi c’est Ronald.
— Moi c’est Roger.
Il remet un peu d’ordre dans sa tenue, c’est à dire qu’il finit d’enlever short et slip qui l’auraient gêné pour marcher, puis les gardant à la main, se dirige vers le coffre de la voiture d’où il sort une couverture. Nous le suivons Luc et moi en direction du bosquet d’arbres. Arrivé près d’une table de pique-nique, il étale dessus sa couverture.
Luc a beau être "le passif" du couple, insatiable, c'est lui qui mène le bal. Ca alors ça m'a surpris. |
Luc s’allonge sur la table, les pieds sur le bord, jambes écartées, offrant aux rayons de la lune, et à mon regard, la vison de son trou déjà bien humide.
— Allez chéri, bouffe-moi le cul.
Chéri ? ils se connaissent ? S'ils sont ensemble ils attendaient un troisième larron pour mettre un peu de piquant dans leur relation. Je me place juste à coté d’eux, cela me permet de bien voir, et regarde Ronald écarter au maximum les fesses de Luc pour s’acquitter consciencieusement de sa tâche. D’abord, je vois le bout de sa langue encouragé par les gémissements de Luc lécher le contour et l’entrée de son trou puis avec sa bouche il lui dévore l’anus. Les bruits de succion que fait celle-ci me rendaient fou d’excitation. Remarquant ma queue bien dure sous mon pantalon, Luc me dit, d’une voix rauque, le souffle court:
— Roger, tu bandes?
— Ça t’étonne?
— Non, mais tu devrais me faire voir ça.
Je me souviens de ce qu’il disait tout à l’heure ("vous devrez faire ce que je vous dirai"). et prends son désir pour un ordre. Je sors donc de mon pantalon mon sexe érigé.
— Pas mal, dit-il d’un air gourmand. Regarde amour, le monsieur il en a une aussi grosse que la tienne. Mettez-vous côte à côte tous les deux que je vois ça de plus près.
Ronald quitte son poste et se relève, ce qui se dresse au bas de son ventre n’a rien à envier à ce qui orne le mien. Et vice-versa. Luc s’est assis sur le bord de la table, pieds sur le banc et nous fait venir face à lui.
— On dirait de vraies jumelles.
Il nous prend chacun dans une main, et se met à comparer les «mérites» de son compagnon et les miens. Ne pouvant nous départager ni au poids ni aux dimensions, il décide de changer d’échelle de mesure.
— Je vais goûter pour déterminer celui de vous deux qui a le meilleur goût. Vous ne vous ressemblerez pas jusque là quand même ! Je commence par Roger, je connais déjà le goût de Ronald.
Il m’attire vers lui et m’administre un traitement que je suis prêt à subir à nouveau dès qu’il le souhaitera. Des pipes on m’en a déjà fait quelques unes, mais celle là est un morceau d’anthologie. Sa bouche est chaude et humide. Ses lèvres s’ouvrent et me laissent passer sans un effort. Pourtant je ne suis pas ce qu’on appelle un petit calibre! Je me sens aspiré, pompé, sucé comme je l’ai rarement été. Pendant qu’il me suce, Ronald se branle tranquillement. Je voyais sa main aller et venir le long de son sexe, le mouvement décalottant le gland régulièrement. Cela dure quelques minutes. Puis Luc s’arrête, se redresse, me reprends dans sa main et dit:
— Tu es plus salé que Ronald, la consistance est au moins aussi agréable, nous verrons la tenue en bouche. Ronald, approche toi un peu.
Je ne pouvais à peine croire ce que je voyais, Il nous suçait à tour de rôle. Pendant que ma queue disparaissait dans sa bouche, il branlait Ronald de son autre main et vice versa. Comparé à moi, Luc était bien plus expérimenté.
— Et maintenant me dit-il, tu vas bien me ramoner le cul
— Sans problème, ce sera un plaisir.
Je le vois s’allonger sur le dos, la tête au bord de la table. Il tire Ronald par son sexe et l’engloutit comme si il avait une faim incontrôlable. Je pose mes mains sur ses cuisses pour les écarter au maximum. Devant moi, j’aperçois son anus soigneusement rasé. Je vois son trou complètement mouillé, offert à ma queue.
Je pose d’abord le bout de mon gland à l’entrée de son trou. À ce contact, je vois son anus frémir. Je pousse un peu plus pour voir si je ne me suis pas fait d’illusions. Non c’est bien ça.
Dès que ma queue le touche, c’est comme s'il prenait une secousse électrique. |
Ça promet. Je n’ai aucun mal à pousser ma queue plus loin. Celle-ci disparaît entièrement dans son anus étroit mais souple. Une fois bien rentrée au fond de son cul, ma verge se démène tant qu’elle peut. Il me reçoit avec bonheur, et bien qu’ayant la bouche pleine du membre de son homme, il arrive encore à gémir et crier en me tenant les cuisses contre lui. Ronald aussi, manifeste bruyamment le plaisir qu’il ressent. À l’entendre encourager Luc à le sucer à fond, il est probable qu’il ne va pas tarder à prendre son pied.
J’accélère également la cadence. Ça m’excite tellement de le voir pomper Ronald pendant que je lui administre de grands coups de butoir. C’est un régal dont je ne me prive pas. Mon plaisir s’accroît et j’ai de plus en plus de mal à retenir ma jouissance. Je suis agité de frissons violents et je sens aux contractions de ma queue que mon plaisir n’est pas loin. Ronald dégorge son foutre à gros bouillons au fond de la gorge de Luc; lui crie à la lune la jouissance qu’il vient de prendre. Ne pouvant tenir la pression, j’inonde d’un seul coup le corps de Luc avec mon sperme, en mêlant mes cris de jouissance avec ceux de Ronald. Puis petit à petit tout se calme. Ma queue quitte lentement, comme à regret, son trou que j’avais pris d’assaut.
Il se redresse et nous regarde. Il se lèche les lèvres comme un petit garçon qui viendrait de manger une cuillère de miel et ne voudrait pas en perdre la moindre goutte.
— Hé ben les mecs! Ça vous a plu?
— Et comment, répondons nous en cœur, sans même nous être concertés.
— Tant mieux mes chéris, mais comme vous voyez, vous ne pouvez pas me laisser comme ça : j'ai pas encore joui !
Luc assis de nouveau sur la table expose sans aucune pudeur son sexe à nos regards. Le fait de le voir se branler en soutenant mon regard, me redonne un peu de vigueur très rapidement. Plus vite qu’à son compagnon.
— Dis donc Roger, j’ai l’impression que je te fais encore de l’effet! me dit Luc.
— Gagné. J’aurais du mal à le cacher.
—. De te voir comme ça, ça me donne des idées.
— Mon dieu, me dit Ronald, attends-toi au pire!
— Un pire qui va te faire bander mon garçon! Je veux que vous me preniez tout les deux maintenant.
Et c’est comme ça qu’à trois heures du matin bien sonnées, je me suis retrouvé enculant de nouveau un mec sur un parking pendant que son copain l’enculait aussi. En peu de temps, il éjacula pendant que Ronald et moi inondions son cul de sperme.
— Mmmh, deux queues dans le cul qui vous ramonent, ça donne des ailes, on gagne du temps, nous a-t-il dit une fois qu’il a eu repris ses esprits.
Pour ceux a qui cela n’est jamais arrivé, imaginez ce que peut procurer comme sensations une telle situation. D’abord c'est des mecs "propres". Puis vous partagez à trois. Ce n’est pas si courant que ça. Ensuite il vous a proposé son cul, ce qui n’est pas non plus très fréquent. Enfin vous sentez à travers son cul la queue de son mec qui la ramone en même temps que vous. Ca vous échauffe quelque peu. Ronald a re-joui un peu avant moi. J’ai senti les derniers spasmes de son sexe qui se déversait dans l’anus de Luc au moment où je déchargeais. Super sensation.
L’un comme l’autre nous avons été longs à débander, nous sommes restés en lui le plus longtemps possible. Il se laissait caresser, embrasser. Nous lui avons prodigué moult marques de tendresse, puis l’avons regardé partir nu en direction des sanitaires. Nous l’y avons rejoint pour une rapide toilette, et nous nous sommes quittés, épuisés mais pas mécontents de notre nuit. Je ne connais d’eux que leurs prénoms. Ils ne connaissent de moi que le mien. Notre rencontre restera une magnifique expérience, un souvenir merveilleux.
Roger
Le pied pour chacun de nous trois.
Une vraie aventure our le jeune...
Bien que le bareback ne soit pas recommandé ...
évidemment économie de lube ! lol
Mais à y réfléchir, moi, dans mon blog, mes marionnettes ce sont mes photos de gays dénudés ou en train de s'embrasser ou faire l'amour !
Ils osent tout les jeunes sur les tchats...Moi un jour, Benoît, m'a fait la totale sur l'écran, sans contrepartie de ma part.
(Valait mieux, ça aurait été trop inégal...lol)
...
J'aimerais bien mais j'peux point. Trop conscience d'avoir passé l'âge...
ainsi ce serait volontiers que je me retrouverais à chercher la porte de son appart où il m'aurait convié après notre tchat... mais non je suis plus sage dans ma vie que sur le net.
Il m'est tellement impossible aujourd'hui et désormais de séduire et partager
Mais la libido est là, bien présente...encombrante ? Ah peut-être...? J'aimerais qu'elle ne gêne personne d'autre que moi. aussi j'ai le plaisir des yeux...à défaut de celui des Jeux "en vrai réel" Alors je ne prive pas mon blog (et mes visiteurs ) de fake de kitsch et tout le monde apprécie !
Moi je construis
des marionnettes chanson de Christophe
Avec mon vieil ordi ...
Je les fais vivre avec mon vieil ordi. Important pour moi que, quelque part elles vivent, existent ou ont existé mes marionnettes.
Elles sont jolies les mignonnettes
Je vais, je vais vous les présenter
L'une d'entre elles est la plus belle
Elle sait bien dire " papa maman "
guitare, matelas parterre, désordre....hummmmmh on s'y croirait
Quant à son frère il peut prédire
Pour demain la pluie ou bien le beau temps
Moi je construis des marionnettes
Avec de la ficelle et du papier
Elles sont jolies les
mignonnettes
Je vais, je vais vous les présenter
Chez nous à chaque instant c'est jour de fête
délicieusement charmant et marrant...qu'il se méfie en faisant cette bouche !
...Grâce aux petits clowns qui nous font rire
Meme Alexa cette pauvrette
Oublie, oublie, qu'elle a toujours pleuré
Magnifique Alexa (en réalité Alex). Ca l'a toujours gênée ce "machin". Et nous on l'adore.
Refrain
Moi je construis des marionnettes
Avec de la ficelle et du papier
Elles sont jolies les mignonnettes
oui,Oliver pourrait vous dire que je suis son véritable ami
Elles vous diront, elles vous diront
Que je suis leur ami, que je suis leur ami
Que je suis leur ami, leur ami, leur ami
IL FAUT SORTIR PLUTÖT, JEUNE HOMME, L'ECRAN C'EST POUR LES VIEUX ...JE SAIS BIEN POURQUOI...
c'est un frère...même s'il est hétéro Vous ne pourrez que l'aimer....c'est un martyr de l'Arabie Saoudite
Je vous explique:
Raif Badawi, condamné et menacé de décapitation
voyez ce regard limpide, ce garçon qui ne demande
qu'à vivre et GENEREUSEMENT.
J'ai mis une alerte Google sur les Droits de l'Homme au Moyen Orient et, cette fois c'est un article de Marianne que je
reçois :
Nous avons déjà évoqué dans ces colonnes le sort de ce jeune homme à la recherche de la vérité, dont l'épouse et les enfants se sont réfugiés au Liban. Raif Badawi risque désormais de trouver la mort puisqu'un juge vient de l'inculper d'une nouvelle charge: l'apostasie. Elle est punie de la peine capitale dans l'agréable royaume où notre président est venu faire son marché en saluant "la sagesse précieuse" du roi Abdallah. En Hollandais dans le texte.
Impossible de finir cette année et de commencer 2014 sans demander aux autorités françaises de tout mettre en oeuvre pour sauver Raif Badawi. Au risque de se fâcher avec nos bons amis les bourreaux.
l'auteur
MARTINE GOZLAN
Journaliste à Marianne, je travaille sur les questions et les pays d’Islam, ainsi que sur le conflit israélo-palestinien. Essayiste, j’y ai consacré plusieurs livres. Derniers ouvrages
parus : « Tunisie, Algérie, Maroc : la colère des peuples » aux éditions de l’Archipel(2011) "L'imposture turque" Grasset ( 2011) "Israel contre Israel", l'Archipel,
2012
Changer le monde, disent les révolutionnaires arabes… Face au réveil de l’Orient, nous oscillons entre la sidération, le lyrisme et la crainte selon que le renversement des astres s’opère dans la Tunisie familière, l’immense Egypte, la Libye imprévisible, la Syrie désormais en guerre civile, le chaotique Yémen ou le confetti du Bahrein.
Si vous voulez faire connaître cette situation à d'autres :
Ben oui, quoi ? _________________________________________________________ |
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