Mercredi 1 janvier 3 01 /01 /Jan 07:47

classé dans PHOTO SERIES  Gay sexy lads

 

cheekyboy44stuff: keen412: just-a-twink-again: mmm tasty! Cheers Really very CUTE!

     ça me console . Quasiment je m'en fous de ne pas vivre pourvu que, dans ce blog, vivent mes chéris ci-dessous

et les visiteurs vous viviez heureux sans arrière-pensée  

 

  desamoursdebeauxmecs: http://desamoursdebeauxmecs.tumblr.com/

 

 

   

 

 

 

 

 

 

 

  hotnaked8: Love this cock  

 

 

 

 

 

 

 

 

Par claudio - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 1 janvier 3 01 /01 /Jan 03:51

 

MERCI A TOUS CEUX QUI SUIVENT CE BLOG /claudio 

Par claudio - Publié dans : AMOURS & VIE DU BLOG - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 31 décembre 2 31 /12 /Déc 07:03

  classé dans CULTURE GAY INDIGNEZ-VOUS 

Bonjour et bonne année !

je lis quelquefois des messages où des gars souhaitent être eux-mêmes violés. OK, mais comme dans ce récit  ?

j'ai d'abord pensé classer ce texte dans la catégorie SOUMISSION&DOUCES VIOLENCES . Mais  ça n'entre pas !  Non seulement ça n'est pas doux, mais ça rentrerait plutôt dans une rubrique que je n'ai pas créée: HOMOPHOBIE.   

J'ai fait cette traduction pour nous aider  à compatir envers les gays et bis et trans et lesbiennes qui ont des souffrances. Dwight est un garçon très attachant et il mérite de s'en sortir. Ben comme tous les gentils hein ?      

 

Désolé, c'est en anglais, bien , très bien écrit , mais en anglais.

Traduction achevée. Si vous discutez mon interprétation, je serai ravi...merci

 

   

 

My name is Dwight Munger jr, I’m a gay man from Idaho, and I was raped

J'ai commis l'erreur de lui faire confiance  

It has been a little over 10 years since that terrifying night that changed my life, my body, my mind and my heart. While living in Denver, I made the mistake of trusting the wrong person.

C'est dans ma boisson, alorsque je prenais un verre avec un garçon que je croyais mon ami, que de la drogue a été versée

 

While having a drink with somebody I thought was a new friend, I was drugged (in my drink),

et ainsi j'ai été drogué, puis enlevé, ligoté et ensuite violé par quatre hommes.  Cela avait été programmé et

prémédité.

abducted, bo  und, and gang-raped by four men. It was obviously planned and premeditated.

                   

It was brutal, violent, and sadistic. It was without a doubt a “hate crime”. I am telling my story

Ce fut brutal, violent et sadique. C'était sans aucun doute un crime de haine. Ce n'est pas pour me poser en victime que je raconte mon histoire mais en

in hopes of helping others. I am NOT a victim, I am a Victor! I am a survivor!

    espérant en aider d'autres. Je ne suis pas une victime mais un vainqueur survivant.

 

En 2001 j'ai quitté mon village d'Emmet  en Idaho pour aller vivre à Denver

My time in Denver was brief, intense and ended in violence

où  le temps que j'ai passé a été court, intense et s'est achevé dans la violence,

, which prompted my return to Idaho, back to the safety of Emmett, and my family.

laquelle violence hâta mon retour en Idaho, retour à la tranquille sécurité de Emmett et ma famille. 

I went there with the intention of “coming to terms” with being gay.

J'y suis allé dans la ferme intention d'(enfin) assumer mon homosexualité.En mon for intérieurje savais que j'étai gay, mais ça ne sortait pas et ça n'était jamais sorti.et je faisais des efforts...pour le cacher.

      I knew inside I was gay, but I was not “out”, and I was running out strength to hide from it. Peu après avoir fait la connaissance d'un homme que je croyais devenir un ami, je me suis rendu compte que, loin d'être un ami c'était le diable.    

Shortly after being introduced to a man, who I thought was becoming a friend, I soon realized he was not a friend, he was evil.

Il m'invita à prendre un verre en compagnie de quelques amis ; je n'étais jamais sorti avec un garçon , aussi j'étais très excité.

He invited me to go have a drink with him and some friends; I was so excited because I had never really gone out with a guy before.

Peu après être arrivé au bar, et après quelques gorgées de mon premier verre, j'ai compris que quelque chose n'allait pas

Shortly after arriving at the bar, and after a few sips of my first drink, I knew something wasn’t right. 

et j'ai pu me rendre copte qu'on avait mis quelque chose dans mon verre,  je me suis senti à côté de mes pompes  

  I could feel that something had been put into my drink, I felt “out of my mind”.

Lui et ses amis m'ont mis dans une voiture, et une fois dedans, ils m'ont lié les poignets 

He and his friends led me to the car, after I got into the vehicle, they bound my wrists together. I then have no memory until my wrists and ankles were being tied to a bed.

et m'ont dit que j'allais voir ce que c'est vraiment que d'être pédé. Je ne me souviens de  rien jusqu'au moment où mes mains et mes pieds furent liés à un lit

They then said they were going to show me what “being a faggot was really about”.

Ils m'avaient mis un bandeau sur les yeux et je ne pouvais rien voir.

I couldn’t see anything, they had blindfolded me.

Alors à tour de rôle ils m'ont violé ne s'interrompant que pour me frapper ou pour se branler.

Then each of the four men took turns raping me, taking breaks only long enough to hit me, or take another drag off of their pipe.

  Je me souviens d'une odeur étrange et je les entendais dire à voix basse " qu'est-ce qu'elle est bonne la méth(amphétamine)

I remember there being a strange odor, and I could hear them whispering about “how good the Meth was”.

Je me souviens  combien mon corps était froid et qu'à l'inverse mon sang bouillait dans les vaisseaux de mes jambes et depuis la raie de mes fesses à mon dos et je me souviens de la déchirure  et de la brûlure comme

 I can remember how cold my body was, and how hot my blood felt as it ran down my legs, and down the crack of my butt to my back.

si le tranchant d'une hache taillait entre mes jambes, tout comme s'ils taillaient avec acharnement pour abattre un arbre.  . 

And, I can remember the horrible ripping, tearing, burning pain…I felt as though they were swinging the sharp side of an axe between my legs, chopping away like they were avidly attempting to fall a tree.

  Il faut dire la vérité, il y a eu des moments, pendant que le crime perpétrait, où je pensais mourir, et d'autres moments où je priais pour survivre,

Truth be told, there were moments during the crime when I thought I would meet the same fate he did, there were moments when I prayed to live and escape,

et encore d'autres moments où je priais pour que la mort me délivre de cette souffrance, elle seule pouvait en finir avec ce que je ne voulais plus voir, entendre et ressentir. Mourir, c'était tout ce que je voulais. 

and there were moments when I prayed for the mercy that only death could bring; anything as long as I could no longer see, hear, or feel anymore is all I wanted.

Je pouvais discerner  par le bas de mon bandeau, que j'étais attaché par les chevilles et les poignets auxquatre coins d'un lit. C'était une bénédiction que à la fois je puisse être conscient, mais de manière atténuée ou (intermittente)  du fait des drogues qu'ils avaient mises dans ma boisson.

I could see out the bottom of the blindfold, my wrists and ankles were tied to the corners of a bed. But, I was thankful that consciousness was on and off for me, the drugs in the beverage and passing out from the terror and trauma was a small blessing.

C'est une chance que je n'aie pas en mémoire les moindres détails des traumatismes. Il y a 10 ans

I am fortunate to not remember every single detail, which I am so far beyond thankful for.

ça fait 10 ans et je rends grâces que ma vie ait été épargnée. C'estsaignant et contusionné que je finis dans ma Ford Explorer pendant un moment, en milieu de cette journée du lendemain, sur la place de parking de ma résidence.

Ten years later and I am grateful that my life did not end. I ended up bloody and bruised inside of my Ford Explorer sometime during the middle of the following day in the parking lot of my apartment complex.

Je m'enveloppai d'une couverture et ,doucement,  je gagnai mon appartement et passai plusieurs heures assis au fond du bac à douche pour prendre soin de mes nombreuses blessures

 Where I wrapped myself in a blanket and slowly made my way into my apartment, and spent hours sitting on the floor of the shower for hours tending to my many wounds.

.......je me cachai plusieurs jours et je fus viré de mon boulot à cause de mon absence. 

I then went into “hiding” for a few days, and eventually got fired from job for missing work.

    Assis sous la douche l'eau passa de chaude à tiède et de tiède à froide, mais je ne le sentais même pas. Jambes écartées j'avais les yeux fixés sur la grille d'écoulement. Je savais que ces jambes était à moi, mais je n'avais plus conscience qu'elles soient rattachées à mon corps.

In the shower, I sat there and the water went from hot to warm to cold…but I could not even feel the water. I stared at the drain with a foot on each side of the drain that I knew were mine, but they no longer felt like they were attached to my body.

Je fixais sur la grille le tranquille écoulement de sang qui sortait de moi pour se mêler à l'eau et foutaient le camp dans les tuyaux d'écoulement.

I watched for hours as a steady stream of blood, their fluids drained from me, it mixed with water and together and went down the drain.

I was in so much physical pain, and in shock, my body was no longer functioning properly. I could not feel a thing.

J'avais une telle souffrance physique et j'étais si choqué que mon corps ne fonctionnait plus comme il faut. Je n'avais aucune sensation normale. C'était ma première et seule expérience d'un dédoublement de personnalité.  Autant que mon esprit se souvienne, je revois encore mon corps plié, assis sur le fond de la douche, mes bras entourant mes genoux entre lesquels ma tête, mes yeux étaient hypnotisés par la grille d'écoulement. 

 It was the closest thing to an out-of-body experience I have ever felt. In my mind’s eye, I can still see myself crouched over, sitting on the floor of the shower, with my arms around my knees, my head between them, alone, and mesmerized by the drain.

Un million d'images défilaient, de cettenuit passée,d'abord et surtout,  images de ma prime enfance, souvenirs qui envahissaient, inondaient mon esprit. Et puis ce sont leurs voix que j'entendais clairement, je pouvais encore les entendre encourager l'un d'eux qui prenait son tour...les entendre m'insulter, menacer ma vie, encore et encore. 

As I sat there, I had a million pictures flash through my mind; pictures of that night, pictures from pre-school, memories through my life flooded my brain. I could still clearly hear their voices; I could hear them cheering one another on. I could hear the horrible things they said to me. I could hear them threatening my life, over and over.

C'était comme si la torture qu'ils m'infligeaient dans ma chair n'était pas suffisante, il leur fallait me dégrader et me railler de leurs paroles. Ils affirmaient : "les pédés aiment ça normalement" et : "hé là petite fille, arrête de pleurer !". entre eux ils rigolaient : " Putain ! espérons qu'il ne va pas tomber enceinte !"   

As if the torture they inflicted on me wasn’t enough, they verbally degraded and taunted me. They made statements like, “faggots are supposed to like this”, and “hey little girl, stop crying”, and among one another they chuckled, “boy, I hope he doesn’t get pregnant”.

Je sortis de la douche et rampai jusqu'à mon lit. Je demeurai 2 jours sans bouger. Je me jurais de ne jamais parler de ça. Je ne le dénoncerfais pas à la police et je ne rechercherais pas d'aide médicale. Je me démerderais avec. 

I got out of the shower and crawled to my bed. I stayed there for two days without moving. I vowed I would never speak of this, I would not report it to the police, and I would not seek medical attention. I would just “deal” with it.

J'entendais la sonnerie du téléphone et ma voix dans le répondeur. Je ne bougeais pas non plus. J'écoutai le message de mon employeur disant que j'étais viré. Je n'ai même pas tressailli.

I could hear the phone ringing, and I could hear voices coming through my answering machine. I still did not move. I listened as my boss called and left a message telling me I was fired, I did not even flinch.
    Je savais "qu'ils" connaissaient mon adresse et je m'attendais à ce qu'ils viennent "me finir". Je guettais le son de leurs voix, j'attendais le bruit de leurs pas dans le couloir pour me tuer.

I knew they knew where I lived, and I was waiting for them to come back and finish me off, I waited for the sounds of their voices again, I waited to hear them coming up the hallway to my room to kill me.

Puis je me levai et là commença une période où je me cachais : je ne pouvais me montrer en public. J'avais des bleus partout, je conservais la marquedes liens sur mes poignets et mes chevilles. Des vaisseaux sanguins s'étaient rompus dans mes yeux maintenant tachés de sang.

After getting out of bed, I went into hiding. I couldn’t go out in public. I had bruises all over. I had ligature marks around my wrists and ankles. The blood vessels in my eyes were broken, and I had blood spots on the whites of my eyes.

Je parlai à ma mère et à ma soeur au téléphone en faisant comme si j'étais au travail.  

 I talked to my mom and my sister on the phone and acted like I was fine. I acted as though I had been at work.

Ce dont je ne me rendais pas encore compte à ce moment-là, c'est qu'iln'y avait pas que du sang qui s'écoulait de moi dans la douche, avec lui il y avait mes projets, mon esprit, mes rêves, mon bonheur et ma vie attachés à ce flot de cellules sanguines. Tout ça rejoignit les égouts de Denver.

What I didn’t realize at the time is that there was more than blood that drained out of me in the shower. My goals, spirit, dreams, happiness, and life were attached to those blood cells that swirled around the drain. All of it went into the Denver Metro Sewer System.

Dans mon silence je savais que je devais quitter Denver et retourner chez-moi en Idaho. Je ne me sentais pas en sécurité car ils savaient où j'étais.

In my silence, I knew I had to leave Denver and return home to Idaho. I did not feel safe because they knew where I lived.

Je faisais de mon mieux pour me soigner, faisant rentrer à la main mon rectum prolapsé, ensuite les hémorroïdes, les saignements, etc...Je me disais que j'affirmerais que rien de tout çàa n'était advenu.  Mon corps était atteint de même que mon âme et mon coeur. Je n'avais aucune idée de ce que serfaient ma vie et mon avenir dans les 10 prochaines années.

 I did my best to secretly tend to all my wounds, tucking my prolapsed rectum back into myself, then hemorrhoids, and bleeding, etc. I told myself that I would just pretend it never happened. My body was damaged, as was my heart and mind. I had no idea just how much I would be dealing with for the following 10+ years.

Un tourbillon de procédures, maladies, opérations, et ennuis financiers s'ensuivent et contnuent à l'heure actuelle . Les gens pensent que  "-voilà c'est fini" si vous êtes victime d'un crime il suffit de l'énoncer. Un point c'est tout. Croyez-moi, ce n'est pas le cas !

A whirlwind of medical procedures, illnesses, surgeries, and financial woes ensued and have NOT stopped yet. People think that if you are a victim of a crime, that it is just the one main event, then it is done. Believe me, that is not the case.

 je suis encore affecté de nombreux diagnostics et hypothèses. Les dommages, le trauma, le stress sonnent le terrible glas de votre condition physique. Depuis dix ans je vis un désastre matériel et financier. J'ai fait de mon mieux pour travailler entre deux procès et hospitalisations. En mai   

 I am still afflicted by many diagnoses and conditions. The damage, the trauma, and the stress take a tremendous toll on your physical being. And, for ten years now I have been amidst a complete financial disaster. I have done my best to work in between surgeries and procedures.

  En mai 2011, après presque 10 ans, je l'ai finalemet sorti : je l'ai dit à ma famille et à mes amis. J'en ai parlé sur Facebook. Comme, au départ,  j'ai caché le fait d'être gay, instinctivement je cachais aussi mon malheur.  Voilà 10 mois que j'alterne succès, progrès dans ma guérison, conversations, sentiments divers, vie, lutte, efforts pour aimer et supporter la peau dans laquelle je vis. Je ne renoncerai jamais ni à combattre ni à essayer. J'ai ouvert une page sur Facebook : "Hate Crime Survivors"(survivants de crimes de haine )  et je communique avec d'autres victimes et survivants. Ca fait partie de ma personne maintenant.

In May 2011, after almost 10 years, I finally released it. I told my family and friends, I spoke of it on Facebook. I instinctively hid it inside of myself, just like I did about being gay. It has been 10 months now of coping, healing, speaking, feeling, living, battling, overcoming, and striving to love the skin that I wear. I will never give up, and I will never stop trying. I started a page for Hate Crime Survivors on Facebook. I communicate with other victims and survivors. It is now a part of who I am.

  Je vais avoir 35 ans le 28 de ce mois. Dans deux semaines je vais déménager dans la maison de mes parents en raison du fardeau financier de ces dernières 10 années. J'espère que la vie me donnera une chance de redémarrer et je vais donc laisser tomber le logement que je louais en ville et toutes mes affaires.  

I will be 35 years old on the 28th of this month. In a couple weeks I will be moving into my Dads house, because of all the financial burden of these 10 years. I am letting go of my rented townhouse, and my thrift store furnishings with the hope that life will give me a chance to start over again.

Ces 10 derniers mois  ont été difficiles de nombreux points de vue, mais quoi qu'il en soit ma vie est devenue une chose si belle que je chéris pour la première fois en près de 35 ans.

These past 10 months have been so difficult in many ways, but also my life has become a beautiful thing that I truly cherish for the first time in almost 35 years.

 ...

  _________________illustration de pur respect ____________________________

 

 

Vendredi 27 Juillet 2012 à 10:00

Marseille  "Plus belle la vie "...ça reste du cinéma !

Moment culte : L'agression homophobe de Thomas

Thomas se fait agresser

 

Thomas Marci est séquestré par trois hommes. Il les implore de le relâcher car il n'a pas d'argent. Mais ce n'est pas ce qui intéresse les agresseurs : ils veulent lui faire payer sa différence ! Le jeune homosexuel est insulté, traîné à terre, et les malfrats lui crachent et urinent dessus. Après cet épisode humiliant, le jeune homme se livre à coeur ouvert à son amie Blanche Marci qui lui conseille de porter plainte. Mais Thomas refuse... on peut regarder la séquence en streaming .

 

 

  Des liens  en quantité sur ce sujet en cliquant sur les fonds d'images : 

 https://www.google.fr/search?q=mad+mikes+america&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ei=hNLCUsuSKNTs0gX_4oHYAw&sqi=2&ved=0CAcQ_AUoAQ&biw=761&bih=510#q=homophobic+agressions&tbm=isch

 

 

Par dwight - Publié dans : CULTURE GAY & SOCIETES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 31 décembre 2 31 /12 /Déc 00:49

 

 

Watch Mike, Sean and Matt have bareback sex at FraternityX

 

il est dit que ce verre contient alcool+ drogue Le garçon à la marinière a été désigné comme "victime"

il est convenu que la soirée est "bbk"

Watch Mike, Sean and Matt have bareback sex at FraternityX

 

 

 

Mike, Sean and Matt - FraternityX.com

 

Watch Mike, Sean and Matt have bareback sex at FraternityX

 

Watch Mike, Sean and Matt have bareback sex at FraternityX

 

Watch Mike, Sean and Matt have bareback sex at FraternityX

 

 

Par matt - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 30 décembre 1 30 /12 /Déc 23:54

 

Les blogs...

Is Drugging a Guy Before Barebacking Him in Gay Porn Hot or Not?

This sequence was released a couple of weeks ago and after watching the trailer and learning more about the scene, I originally deleted the content and decided not to promote the scene at my blog but tell the story.. The reason for this is because the guys spike a vodka drink before giving it to Matt (Matthew Keading) and they make sure he drinks the entire contents of the cup. Once Matt has passed out, the guys pass him around and use his ass for their barebacking pleasure. I know that the guys involved in this scene consented to what went on prior to the filming taking place, but I was uncomfortable with the concept, because if this happened in reality, then there’s no consent for the guys to fuck, let alone discussing whether or not to have bareback sex.

The victim speculates that his acquaintance drugged him so that he would not resist sexual assault.

Although his memory is vague, the victim recalls startling and vivid images of the attack.

"I remember him pulling my pants down, and then he was saying how he was going to (ejaculate)," he says. "I don't know if I pushed him away or elbowed him, but I did something. I know that he left, and then he came back. I don't remember the time period, but then I remember wiping (ejaculate) off the floor."

 

 

 hobartgloryhunter: FUCK YEAH

 

" Je m’étais déjà fait prendre plusieurs fois par de gros calibres, et je m'étonne de cet enlèvement absolument pas nécessaire puisque j'aime la queue et j'aurais accepté soumission et gang bang..." 

"...J'ai entendu des récits de mecs ou de filles droguées et baisé(e)s, mais ils étaient quasi incapables  se se souvenir de ce qu'on leur a fait subir. Moi je sentais tout, je mémorisais tout  Je trouve que c'est mieux. Par contre le poison qu'on m'avait inoculé m'ôtait toute volonté et m'empêchait de parler, crier, me plaindre" 

 

J’ai rencontré Marc (on va l’appeler comme cela pour l’histoire car en fait je ne connais même pas son prénom) un matin en sortant de boîte pas très loin de la place Clichy, dans laquelle je venais de m’éclater pendant quatre heures à danser au rythme de la Techno et de la House. En sortant, alors que le jour commençait à poindre, un mec m’aborda au moment où je montais dans ma voiture. En lui jetant un coup d’œil, je me rendis compte que j’avais croisé son regard plusieurs fois dans la soirée mais sans plus. Il était quelconque, dans la quarantaine, avec un léger embonpoint, pas trop dans mon genre. Il me demanda si je pouvais le déposer à Asnières et comme c’était ma direction, je lui répondis oui. Il me guida alors pour arriver jusqu’à chez lui. Un pavillon de banlieue au fond d’une impasse. Au moment de le déposer, il me proposa de venir boire un verre chez lui pour me remercier. Moi je n’avais qu’une envie, c’était d’arriver le plus vite possible chez moi pour me pieuter, d’autant que j’avais déjà pas mal picolé. Malgré tout, et devant son insistance, j’acceptai son offre.

Il me fit entrer et m’installa dans un canapé. Le décor était sobre, sans trop de décoration. Il sortit alors une bouteille de whisky et me servit un verre. La discussion s’engagea sur des banalités et je sentais la fatigue monter de plus en plus, ainsi qu’une envie de pisser. Je lui demandais alors si je pouvais emprunter ses toilettes, ce qu’il m’autorisa. Après m’être soulagé, je revins dans le salon et nous reprîmes la discussion, jusqu’au moment où je me suis senti partir. Ma vue commença à se brouiller, mes oreilles à bourdonner et je ne sentais plus mes muscles, bien qu’entièrement conscient. Plus le temps passait et plus je me rendais compte qu’il m’était difficile de parler. Je comprenais tout ce que me disait le mec mais j’étais comme dans un état second. Je n’arrêtais pas de me dire qu’il fallait que je me lève et que je parte mais c’est comme si mon corps ne répondait plus. Enfin presque car lorsque Marc me fit remarquer qu’il faisait chaud et que je ferais mieux de retirer mon pull, je lui souris béatement et m’exécutai.

Puis il se leva et débarrassa la table basse qui se trouvait devant nous. Il me regardait en rigolant et en me disant qu’on allait bien s’amuser ensemble, tout en me resservant un verre que je pris inconsciemment. Il quitta la pièce quelques instant pour revenir avec un sac de sport qu’il déposa à côté de la table maintenant vide. Puis il s’approcha de moi et d’une voix basse, m’ordonna de retirer mon t-shirt, ce que je fis. Il se mit alors à me caresser les seins en malaxant mes tétons entre ses doigts. Je le laissais faire, incapable de réagir. Au fur et à mesure, ses caresses se firent de plus en plus brusques et son souffle devenait de plus en plus rauque. Son sourire s’était transformé en un espèce de rictus et ses ordres retentissaient dans ma tête.

— Lève et toi et allonge toi sur la table!

Docile, je m’allongeai le dos sur la table, comme un pantin. Celle-ci était assez grande pour que je puisse m’y installer de la tête aux reins. Il s’empara alors du sac et l’ouvrit pour en sortir des cordelettes, à l’aide desquelles il m’attacha les mains et les chevilles aux pieds de la table. Dès lors, j’étais vraiment devenu son prisonnier. Il allait pouvoir faire ce qu’il voulait de moi et aucune résistance n’était possible. Il se recula et sortit un appareil photo de son sac. Il prit quelques clichés tout en se caressant la bite au travers de son pantalon.

Puis il attrapa ma ceinture qu’il défit prestement ainsi que les boutons de ma braguette. Il fit glisser mon pantalon jusqu’à mes chevilles, puis mon slip. Au fur et à mesure qu’il me déshabillait, il prenait des photos. Dans le silence de la pièce, on n'entendait plus que son souffle qui s’accélérait et le crépitement de l’appareil. Une bosse s’était formée au niveau de son entrejambe. Nu, attaché sur la table, je le regardais alors se mettre à poil doucement, le sourire aux lèvres. Lorsqu’il baissa son pantalon, une grosse queue jaillit. Elle est bien droite et bien grosse, couverte de veines, le gland bien décalotté. Il se masturba quelques instants puis s’approcha de moi et se positionnant au dessus de ma tête me présenta son cul.

— Lèche moi la rondelle! Enfonce ta langue dans mon trou!

Je fis ce qu’il me demandait sans réfléchir et lui nettoyai sa rondelle avec ma langue. Pendant ce temps, il attrapa ma bite et mes couilles et commença à jouer avec. Puis il se releva et disparut un moment pour revenir avec une bombe de mousse et un rasoir.

— Je vais te faire une beauté. Tu vas te retrouver avec des couilles de nouveau né!

A ces mots il répandit de la mousse sur mes poils pubiens et ceux de mes couilles et me rasa. Puis je sentis le rasoir remonter sur mon torse et sous mes aisselles, puis descendre sur mes cuisses. Il était en train de me raser entièrement et moi je ne disais rien, plongé dans cette espèce de léthargie consciente : objet indispensable à ce qui se passait et allait se passer j'étais cependant témoin et non acteur. Lorsqu’il eut terminé, il me détacha, finit de me déshabiller et m’ordonna de m’allonger sur le ventre. Aussitôt dit, aussitôt fait, et je me retrouvais de nouveau ligoté mais cette fois dans l’autre sens, ne pouvant lui refuser mon cul. Je sentis de nouveau le rasoir me parcourir pour éliminer tous mes poils. Alors qu’il me rasait la rondelle, je sentis un doigt s’enfoncer en moi.

— Putain, tu vas avoir un cul d’enfer!  Le  menthol de la mousse à raser me faisait un effet douloureux et excitant*à la fois sur la muqueuse rectale.

Lorsqu’il eut terminé, je l’entendis fouiller dans son sac. Il s’approcha de moi et me mit un bandeau sur les yeux. Puis il me fit ouvrir la bouche et y enfonça sa bite.

— Vas-y, pompe moi la queue! Vide-moi les couilles!

Sa bite était énorme et j’avais bien du mal à écarter les lèvres pour la faire entrer. Il m’attrapa alors par la nuque et me baisa la bouche. Son gland venait buter au fond de ma gorge à chaque assaut. Après quelques va-et-vient, il se retira et je sentis son sperme s’écraser sur ma figure en de grands jets. Alors que je sentais le sperme couler le long de mes joues et sur ma bouche, il introduisit un objet entre mes lèvres. Au début je pensait que c’était de nouveau sa bite, mais bien vite je compris qu’il s’agissait d’autre chose quand je le sentis me fixer une lanière derrière la tête. J’étais complètement à sa merci, attaché sur la table, les yeux bandés et la bouche pleine, le cul bien offert.

Je sentis alors qu’il me passait une crème sur le cul, jouant avec ma rondelle. C’était froid mais à priori, cela facilitait la pénétration car je sentais ses doigts me pénétrer un à un. Il était en train de me travailler le cul et devait sûrement utiliser un gel. Lorsqu’il décida que j’étais prêt, il retira ses doigts et je sentis s’enfoncer un objet. Le truc devait être énorme car malgré mon état de coma, je ressentais la douleur. Après quelques minutes, je sentis le gode (ou autre) glisser dans mes entrailles.

— Et voilà petite pute tu es prête!  Ça va vraiment être ta fête et mes potes vont se régaler! Tu vas rester comme ça bien sagement le temps que je revienne avec eux. Et après tu auras intérêt à obéir. Tu feras tout ce qu’ils voudront!

Je l’entendis se rhabiller et partir. Il me laissa seul et, très fatigué, je finis par m’endormir sans m’en rendre compte.

Lorsque je me suis réveillé, j’avais complètement perdu la notion du temps et la première chose que je ressentis fut une sensation bizarre. J’avais beau essayer d’ouvrir les yeux mais je n’y voyais rien. Une douleur me lançait en provenance de mes fesses et je ne pouvais plus bouger les lèvres. Un moment de panique s’empara de moi et je me demandais alors si je ne dormais pas encore. Une douleur vive aux poignets et aux bras me fit comprendre que non. Je ne compris pas de suite la position dans laquelle je me trouvais mais je finis par comprendre que j’étais allongé sur une table, les poignets et les jambes attachés. Ma panique augmenta encore plus lorsque je voulus crier et que je n’entendis aucun son de ma bouche. On m’avait aussi rempli la bouche pour me bâillonner. Plus j’essayais de me débattre et plus la douleur était vive aux poignets. Je tentai alors de me calmer et de réfléchir. Où étais-je? Quelle avait été ma dernière destination? Et comment j’avais fait pour me retrouver dans cette situation. Petit à petit, les souvenirs mes revinrent en mémoire. Ce type que j’avais ramené et qui m’avais offert un verre.

Tout à coup, j’entendis une porte qui s’ouvre et des pas. Le bruit d’un interrupteur que l’on actionne mais toujours le noir complet pour moi. Et puis sa voix:

— Regardez les gars ce que je vous ai préparé! Vous allez pouvoir vous éclater.

Je l’entendis se rapprocher de moi et je sentis une main se plaquer sur mon cul et commencer à me malaxer les fesses.

— Putain de cul qu’il a. De le voir se trémousser hier soir en boîte, j’en ai eu la gaule toute la nuit.

En guise de réponse je tentais de bouger pour lui faire lâcher prise mais le salaud savait que je pouvais rien faire et se mit a rire.

— Bouge tant que tu veux, ça nous excite. Faut que je te dise que t’es bien accroché et que tu risques pas de te sauver. On a envie de ton cul et rien ne peut nous empêcher de jouer avec.

Sa main était toujours sur mon cul et ses attouchements se faisaient de plus en plus précis. Elle glissait le long de ma raie occupée par un gode pour passer entre mes jambes et venir me saisir mes couilles pour les malaxer. La douleur qu’il m’infligeait me forçait à resserrer les jambes, mais cela m’était impossible. J’étais impuissant et il en profitait. Son manège dura un moment. Son souffle s’accélérait à mesure que ses mains me pétrissaient. Mes couilles me faisaient mal d’être serrées de la sorte et plus je tentais de me dégager, plus il me pétrissait.

Je pensais qu’il allait alors ce calmer mais je fus surpris lorsque je reçus une claque sur les côtes. La douleur fut vive et vint se rajouter aux autres. Mais je n’étais pas à la fin de mon supplice et d’autres suivirent un peu partout. Je crois bien qu’aucune partie de mon corps ne fut épargnée. J’avais les fesses qui brûlaient à mesure que les claques pleuvaient. Je n’en pouvais plus, il dut le ressentir car tout s’arrêta aussi vite que cela avait commencé.

— Alors les gars, qu’est-ce que vous en pensez? Et en plus, il est entièrement rasé! Et le plug qu’il a dans le cul doit lui avoir ouvert la rondelle un max.

— Putain, le pied. Moi qui n’a pas eu de plan depuis une semaine, je vais lui faire sa fête. La salope, regarde moi ça. J’ai déjà la queue qui gonfle.

Je sentis alors des mains sur mes fesses qui se dirigèrent ensuite vers mes couilles et autres parties de mon corps.

— Retire lui son plug que je vois sa rondelle bien écartelée, et que j’admire son cul.

— Ouais et moi je lui vire son baîllon. J’ai trop envie d’y enfoncer ma bite.

— Allez-y les gars il est à vous. Moi je vais prendre quelques photos.

— T’inquiète, on va lui faire sa fête.

Je sentis alors que l’on me retirait ce que j’avais dans la bouche et pus alors respirer un grand coup. Le répit fut de courte durée car très vite, j’entendis descendre une braguette et un gland se positionner et forcer mes lèvres pour pénétrer ma bouche.

Je crus hurler de douleur lorsque l’on me retira d’un coup sec le plug que j’avais dans le cul, tellement la douleur fut vive. Mais de ce côté-là aussi le repos fut bref. Des doigts se mirent à me fouiller le cul et je les sentais glisser facilement. Je devais avoir le cul béant.

— Putain c’est plus un cul qu’il a c’est un hall de gare. Je viens de lui enfoncer quatre doigts sans problème et il y a encore de la place. Il va me bouffer la main cet enculé.

— Ouais et moi il est en train de me bouffer la queue entièrement cette salope. Un vrai trou à bite. Vas-y, fiste-lui le cul, j’suis sûr qu’il n’attend que ça.

— Tu m’étonnes, il me l’avale entièrement. Je suis en train de le défoncer avec le poignet et ça glisse comme dans du beurre. Putain Marc, tu nous l’as super bien préparé.

Je savais alors maintenant que j’avais entièrement la main de celui qui était derrière moi dans mon cul et qu’il m’enculait avec son avant bras. La douleur était forte mais je ne pouvais rien faire ou dire, toujours attaché et une bite me pilonnant la gorge, à la limite de l’étouffement.

— Marc, passe-moi la bouteille de whisky que je lui enfonce dans l’cul.

L’autre retira alors sa main de mes entrailles et je sentis alors le goulot se présenter sur ma rondelle et coulisser en moi. À mesure que la bouteille me pénétrait sans trop de problème, je sentais mes sphincters s’écarter pour laisser le passage à ce gode improvisé. Je m’étais déjà fait prendre plusieurs fois par de gros calibres, mais là c’était autre chose et je ne pensais pas qu’un jour cela m’arriverait. Et pourtant, après quelques minutes, je sus que la bouteille était bien en moi car celui qui me l’avait introduite était en train de m’enculer avec.

Je sentis celui que je suçais accélérer le mouvement et il ne tarda pas à avoir la bouche remplie de sperme. Après m’avoir forcé à nettoyer sa bite, il se retira et laissa la place qui fut de nouveau prise d’assaut. Mais cette fois, la bite qui se présenta était molle. On me força à ouvrir la bouche et je fus surpris lorsqu’un jet chaud se mit à couler. On était en train de me pisser dans la bouche et sur la gueule. Au milieu des rires, j’entendais le crépitement de l’appareil photo.

Ils jouèrent avec moi pendant un temps que je suis incapable de définir et je ne sais pas combien de mecs me sont passés dessus. Lorsqu’ils en eurent assez, ils me firent boire quelque chose et je retombai de nouveau dans les vappes. Lorsque je me suis réveillé, j’étais dans ma voiture. Mon corps n’était que douleur et j’avais bien du mal à remettre les choses en place. Petit à petit, j’essayais de reconstruire les dernières heures de ma vie. Après avoir récupéré un minimum de mes capacités, je décidai de rentrer chez moi. Je n’avais qu’une envie, prendre une douche pour faire le point.

Arrivé chez moi, je me déshabille rapidement et là je m’aperçois que je suis entièrement rasé. Ce que je pensais avoir été un rêve ne l’était pas. Cela se confirma quelques jours plus tard lorsque je reçus une enveloppe contenant des photos. Je me suis alors branlé comme un fou en les regardant... Cette aventure était devenue un fantasme 

FIN

Perfect stallion

Matt

 

 

 

 

 

Par matt - Publié dans : LISEZ VISIONNEZ VIDEOS & RECITS FICTIONS FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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