Lundi 23 décembre 1 23 /12 /Déc 00:07

classé dans RECITS REELS

ILLUSTRATIONS DU WEB

Fabien Fabien
18:10 (Il y a 7 heures)
   
à claudio
Hello mon Claudio,

Désolé de ce silence, mais plus le temps passe et plus je suis occupé...
Mais ça me manque nos dial...
Bien sûr, je vais régulièrement sur le blog, mais j'écris plus à part ce nouveau récit pour ton petit Noël
Bisous 
Fabien

  

 ...il avait dû encore se masturber avant de se lever. Me penchant, j’approchai mon nez des taches de sperme encore humides pour les sentir. J’aimais particulièrement cette odeur de sexe acre et puissante qui provoqua instantanément une jolie érection...

Youssef mon frère

Seul à la maison, mes parents étant partis en vacances, je déambulais complètement nu dans l’appartement. Je m’arrêtai devant la porte de la chambre de mon frère et entrai sans frapper. La pièce était vide puisque Youssef était parti chez sa petite copine. Comme d’habitude un vrai capharnaüm régnait dans son antre. Des chaussettes et des slips éparpillés sur la moquette, le lit en pagaille. Des revues de toutes sortes recouvraient complètement son bureau. M’approchant du lit, je remarquai quelques taches d’un blanc laiteux sur les draps, il avait dû encore se masturber avant de se lever. Me penchant, j’approchai mon nez des taches de sperme encore humides pour les sentir. J’aimais particulièrement cette odeur de sexe acre et puissante qui provoqua instantanément une jolie érection. Au milieu des draps, un slip en boule, avec des traces brillantes, qui avaient certainement servi à essuyer son foutre. Je le ramassai et ne pus m’empêcher d’y coller mon nez, puis goûtai enfin ce nectar qui m’enflammait tant le corps et l’esprit. Le bout de ma langue se posa sur cette texture tiède et une goutte y resta collée. Je m’en délectais en la faisant tourner dans ma bouche puis l’avalai goulument, c’était salé. Ma queue, prise de frénésie, se tendit comme un arc prêt à tirer ses flèches. 
J’enfilai ce slip divinement souillé et me couchai à plat ventre sur le lit, la tête enfouie dans les draps tachés. Le contact entre mon sexe tendu et l’humidité collante du slip de Youssef décuplait mon excitation. Ma queue s’écrasait en se frottant violemment contre le matelas tandis que mon nez, enfoui dans le tissu odorant, s’emplissait de ces effluves masculins. Mes fesses montaient et descendaient de plus en plus vite, en donnant de grands coups de bassin pendant que de la mouille suintait de ma verge pour se mélanger au jus de mon frère. Mon souffle s’accéléra et des gémissements de plaisir se ruèrent hors de ma gorge. Mon corps se tendit une dernière fois tandis que des jets puissants de semence se marièrent à ceux de mon seul amour. À bout de souffle je restais étendu de longues minutes tandis que mon cœur cognait à tout rompre dans ma poitrine. 
Me relevant à contrecœur, je me plaçai devant la penderie pour me regarder dans le miroir. Du haut de mes 18 ans j’avais un joli corps aux muscles bien dessinés, grâce aux séances de gymnastique que je faisais avec Youssef. Mon visage était beau, des lèvres pleines et charnues, des yeux bleu acier et des cheveux noirs et légèrement frisés m’encadraient le visage. Mon regard se dirigea vers mon bas-ventre, le slip de mon frère était complètement souillé, je l’enlevai en regardant les dégâts. De grosses taches de sperme engluaient toute la poche avant où les couilles et la bite de mon Youssef avaient laissé leur empreinte. Prenant un mouchoir sur la table de chevet, j’essayai tant bien que mal d’effacer mon forfait. 
Mon I-Phone se mit à sonner. Je lâchai le slip et le mouchoir qui tombèrent au sol. Atteignant ma chambre au pas de course, je répondis au bout de la troisième sonnerie. C’était lui. 
— Allo frérot, t’es pas chez Aline ? 
— Non, elle ne veut plus de moi. Elle m’a largué, Fabien, tu comprends ? 
Les sanglots que je percevais dans la voix de mon frère me brisèrent le cœur. 
— Où es-tu ? 
— Sur la route, je serai à la maison dans une dizaine de minutes. 
— D’accord, mais surtout sois prudent, je t’attends. 
Raccrochant mon I-appareil, je courus vers la salle de bain afin de me doucher avant l’arrivée de Youssef. Ma douche terminée, je me donnai un coup de peigne, courus dans ma chambre pour enfiler mon short en jeans et un T-shirt blanc. A ce moment-là, la porte d’entrée s’ouvrit, il était là. J’entendis des pas dans le couloir, il était là. Mon visage se couvrit de sueur. Dans mon excitation, j’avais complètement oublié son slip, glissant de mes doigts avec le papier que j’avais utilisé pour l’essuyer… Les jambes flageolantes, je frappai à la porte de Youssef. Personne ne répondit. J’entrai. 

— Youssef ? Parle-moi. 

— Oh Fabien ! Elle m’a largué ! Elle en aime un autre. 
Il s’effondra dans mes bras en pleurant.

Il s'était couché sur le dos au milieu de son lit, les bras croisés contre son visage. Son T-shirt blanc légèrement remonté, découvrait une partie de son ventre musclé. Je ne pus m’empêcher de diriger mon regard un peu plus bas, au niveau de la braguette de son jeans où une bosse déformait légèrement le devant du tissu. C’est vrai qu’il était bien monté, lorsque nous travaillions nos muscles ensemble, il mettait plus volontiers des slips que des shorts. Ce qui me permettait de profiter avantageusement de cette vision qui me chauffait l’esprit. Il était bien monté avec ses 18,5 cm sur 5 et ses « Aussiebum » avec lesquels il faisait ses entraînements le moulaient à la perfection. 
M’approchant doucement de lui, je m’étendis à ses côtés. Je posai une main sur son torse et de l’autre lui caressai tendrement les cheveux. Youssef était si beau malgré son chagrin, il était de 3 ans l’ainé mais avait la même carrure que moi avec ses 1,80 m et ses 67 kg, un visage très expressif avec de magnifiques yeux marron et un sourire charmeur qui faisait craquer n’importe qui. Son corps était parfait, des muscles aux reliefs bien dessinés, imberbe et très bien proportionné. La couleur de sa peau était légèrement basanée, un héritage que lui avait laissé son père marocain, premier mari de notre mère, emporté par une crise cardiaque. Deux années plus tard elle s’était remariée, et de cette nouvelle union, je vins au monde. 
— Youssef ? Parle-moi. 
Il se redressa légèrement et regarda son petit frère de ses yeux humides. Le menton tremblant, il articula avec peine : 
— Oh Fabien ! Elle m’a largué ! Elle en aime un autre. 
Il s’effondra dans mes bras en pleurant. Je le serrai très fort entre contre moi, c’était la première fois que je le voyais dans cet état-là, sa souffrance était palpable. Continuant à lui caresser les cheveux d’une main pendant que l’autre lui tapotait doucement le dos pour essayer de le calmer. Dans un souffle, je lui glissai à l’oreille : 
— Ne t’inquiète pas, mon Youssef, je suis là. 
Il s’agrippa à moi comme à une bouée de sauvetage en continuant à pleurer. Je sentis mon T-shirt se mouiller légèrement au contact de ses larmes. Sentir le corps de mon frère collé contre le mien me procura un sentiment de bonheur intense mélangé à la tristesse que je partageais avec lui. 
Sentir le corps de ce frère tant aimé, couché à moitié contre le mien, sa cage thoracique secouée par ses nombreux sanglots qui vibrait contre la mienne, son visage enfoui au creux de mon cou tandis que ses bras m’enserraient de toutes leurs forces me fit frissonner de tout mon être. Malgré moi, je sentis mon sexe se réveiller à nouveau, heureusement qu’aucune partie de son corps n’était en contact avec cette zone. Tout mon esprit était concentré sur ce bout de chair qui grossissait dangereusement, malgré tous mes efforts, ma queue se déployait, tel un boa, à l’intérieur de mon slip. Il devenait dur à m’en faire mal, je le sentais prêt à faire exploser le tissu. Me dégageant doucement de l’étreinte de mon frère, je me redressais légèrement afin de m’asseoir. Déséquilibré par ce mouvement Youssef voulut se redresser également, et pour s’aider, sans le vouloir, posa sa main sur mon short. 
Son visage perdit quelque peu sa couleur et il me regarda la bouche grande ouverte. 
— Mais tu bandes ? 

sa tristesse avait fait place à de la colère. J’étais tétanisé sur le lit,

Ma gorge se crispa, les mots n’arrivaient pas à sortir de ma bouche. La bosse que faisait ma queue au niveau de la braguette était éloquente. Le relief de mon sexe en érection était manifeste et on devinait même la pression sanguine qui pulsait à l’intérieur de ma verge. 
Youssef se dégagea de moi et se leva d’un bond en s’éloignant du lit. Dans ses yeux je lisais une incompréhension totale. Son regard fut attiré vers le sol, il se baissa et ramassa quelque chose. En se relevant je vis avec horreur, qu’il tenait son slip souillé ainsi qu’un papier froissé à l’intérieur de sa main. 
Maintenant sa tristesse avait fait place à de la colère. J’étais tétanisé sur le lit, mon corps complètement immobile, incapable de faire le moindre mouvement. De la sueur dégoulinait de mon front et me piquait les yeux. Mon cerveau était incapable de la moindre réflexion. 
Me faisant face, le visage rougi et déformé par la rage, il ouvrit la bouche et un cri rauque et violent en sortit. Je le vis se tendre comme un arc et il bondit sur moi comme un boulet de canon. 
Je reçus son corps comme un coup de tonnerre, mon souffle fut coupé par la violence du choc. Je basculai aussitôt en arrière et me retrouvai plaqué contre le matelas par le poids du corps de mon frère. Il se redressa, m’enjamba et s’assit sur moi à la hauteur de mon bassin, ses mains s’agrippèrent à mes épaules. Il commença à me secouer de toutes ses forces, le regard fou et encore rougi par les larmes versées auparavant. Sous la puissance générée par sa colère, ma tête ballottait de gauche à droite. Sentant le poids de son corps et la pression de ses fesses en contact avec mon bassin, mon sexe toujours en érection grossit encore davantage. 
— T’es vraiment un sale porc, tu bandes toujours, mon cochon ? 
Une de ses mains me relâcha et vint s’écraser violemment contre ma joue. C’était la première fois que mon frère me frappait, jamais auparavant il ne l’avait fait. On s’était déjà disputés verbalement,

 on avait lutté quelque fois ensemble mais plus par jeu qu’autre chose. Je ressentis aussitôt une colère gronder en moi tandis que ma joue me brûlait sous l’effet de la gifle qu’il m’avait donnée.

Je pliai mes jambes pour poser mes pieds bien à plat contre le matelas et d’une puissante ruade je décollai mes fesses. Cela eut pour effet de déstabiliser Youssef, qui, surpris, se retrouva déséquilibré et il partit en arrière. Mon corps suivit le mouvement. Il se retrouva couché sur le dos, ses lombaires reposaient sur le bord du matelas, ses épaules et sa tête se retrouvèrent en dehors du lit, touchant la moquette. 
Mon corps s’écrasa contre le sien et je sentis ses jambes s’enrouler autour de mon bassin. Mon torse également en dehors du matelas se plaqua contre celui de Youssef. Mes bras s’enroulèrent autour de sa taille. Son corps arqué en arrière me procura un plaisir immense, mon bassin écrasé contre le sien pouvait sentir, à travers le tissu de son jeans, le volume de son sexe au repos. Ma queue tressauta à l’intérieur de mon short et dans un réflexe irréfléchi, je frottai mon sexe emprisonné contre le sien. Mon visage au dessus du sien, mes yeux se fixèrent sur son regard toujours chargé de colère et d’incompréhension, et cette fois, venant d’une envie irrésistible émanant du plus profond de mes tripes, mes lèvres s’écrasèrent sur celles de mon frère. 
Sa réaction fut étonnante, des larmes coulèrent de ses yeux et il me sembla sentir entre nos deux bassins son sexe frémir sous le contact de mes lèvres chaudes contre les siennes. Son corps se démenait, comme pris de folie entre mes bras, ses mains m’attrapant par mon T-shirt tirèrent de toutes leurs forces et le fin tissu se déchira sur toute la longueur. Me dégageant rapidement je me débarrassai du vêtement qui m’entravait les mouvements. Sans lui laisser le temps de réagir, mes mains s’accrochant au col de son T-shirt, tirèrent d’un coup sec et le coton se déchira. Youssef essaya tant bien que mal de se libérer de son T-shirt, j’en profitai pour me ruer sur lui afin de défaire les boutons de son jeans. Le dernier bouton détaché, je me redressai et prenant le bas de son pantalon je tirai un grand coup et mon frère se retrouva en slip. Il avait mit son Aussiebum et je pus m’assurer qu’une légère érection déformait la poche avant du slip. 
Décontenancé, il roula sur lui-même et ses jambes chutèrent hors du lit. Il se redressa aussitôt, se rua sur mon short et me l’arracha. Mon sexe, enfin libéré, se tendit devant moi. 
— Tu portes même pas de slip sous ton short ??? 
Je rougis légèrement, mais le moment n’était plus à ça.

Il fallait que je lave l’affront de ce frère que je croyais connaître si bien et qui ne m’acceptait pas comme j’étais. 

ok bro….u pinned him…..now put that cock where u REALLY want it 2 b…..

On se tenait l’un en face de l’autre, moi sur le matelas, le sexe tendu pointant vers le haut, lui debout devant le lit, une bosse frémissante déformant légèrement l’avant de son slip. Tous les muscles de nos corps étaient tendus à l’extrême, on se regardait droit dans les yeux, l’affrontement allait commencer. Je le laissai monter sur le lit, nous nous retrouvâmes l’un en face de l’autre nous défiant du regard. Dans un même élan on se jeta l’un contre l’autre. Le choc fût brutal, nous prenant mutuellement à bras le corps, nos deux torses se heurtèrent violemment. Je l’enserrai contre mon corps et mes mains se dirigèrent vers son slip. Je tirai vers le haut de toute mes forces, le tissu lui rentra dans la raie de ses fesses tout en comprimant son sexe à l’extrême. Le slip craqua d’un coup. 
Pour la première fois de ma vie, je sentis la chaleur de son sexe contre le mien, qui s’épanouissait encore davantage. Youssef se débattit comme un fou et je dus malgré moi le libérer de mon étreinte. Mais il n’avait pas pu m’empêcher de sentir que le contact entre nos deux queues lui avait procuré un plaisir qu’il avait eu du mal à refréner. Éloignés de quelques centimètres on reprenait notre souffle. Il s’élança vers moi et m’attrapa par l’arrière du crâne tout en me tirant vers le bas, je fis de même mais avec un léger temps de retard. Il avait pris un certain avantage en lançant son attaque le premier et je dus résister à la pression qui poussait ma tête vers le bas. Dans un sursaut d’orgueil, ma main droite se lança vers le bas et je réussis à attraper l’arrière de sa cuisse gauche. Je tirai de toutes mes forces et tout en m’entraînant avec lui il s’écroula en arrière. Je me retrouvai couché sur son corps, ses bras m’enserrant la taille. D’un coup de bassin il nous fit rouler sur le lit où le mur nous arrêta. Mon dos se retrouva collé contre le mur et Youssef, agrippé à moi, me plaquait contre le plâtre froid. Je sentais toute la surface de sa peau collée à la mienne, je ne pus m’empêcher de frotter mon bassin contre cette queue en demi-érection qui s’écrasait contre ma verge durcie par l’envie. 

Je voulus marquer ma quasi victoire : "— Alors frérot, tu bandes aussi ?" 

 Prenant appui avec mes pieds contre le mur, je donnai de l’élan à mon corps pour le faire basculer à nouveau sur le dos. Aussitôt couché sur lui, je sentis ses jambes m’enserrer le bassin et ses pieds se croisèrent juste en- dessous de mes fesses. Mes mains se jetèrent sur ses poignets et les bloquèrent et les remontant au-dessus de sa tête. Poussant sur mes mains je redressai le haut du corps au-dessus du sien. Je pressai une fois encore ma bouche contre la sienne, il me mordit. Du sang perla et se déposa sur ses lèvres. Mon bassin était pris dans l’étau de ses cuisses et j’en profitai pour l’écraser de toute ma passion contre le sien, tout en frottant vigoureusement mon sexe en délire contre celui chaud et de plus en plus dur de mon frère adoré. Sans rien dire, nos yeux se fixèrent un instant, son regard avait changé, une douceur que je ne connaissais pas avait remplacé la colère d’avant. Un sourire éclaira son visage où je lus une invitation nouvelle, lui libérant les mains, mes doigts se posèrent sur ses lèvres où j’étalais la goutte de sang encore présente. Je sentis une main me caresser tendrement les cheveux, nos lèvres s’approchèrent timidement jusqu’à se frôler. Le contact fut doux et suave puis se fit plus fort et plus sauvage. Nos bouches s’ouvrirent, nos langues se trouvèrent enfin et fondirent l’une sur l’autre pour se dévorer avec passion. 
Mon excitation décupla et je sentis le liquide séminal s’échapper de mon gland et lubrifier nos deux verges qui se frottaient violemment l’une à l’autre. Mon cœur s’emballa tandis que le sang pulsait violemment dans ce totem de chair et c’est dans sa bouche que je criai mon plaisir tandis que mon sperme giclait en de longs jets entre nos deux ventres. Après quelques secondes, je me décollai à regret de son corps pour me coucher à ses côtés. Son sexe était toujours bandé et mon sperme avait souillé ses poils frisés. Il se releva sur les coudes et se mit sur le côté. Ses mains se posèrent sur mes flancs et me caressèrent, la pression devint plus forte et il me fit rouler sur le ventre. Aussitôt je sentis son corps s’écraser sur moi, ses cuisses s’insérèrent entre les miennes pour les écarter, ses mains se glissèrent sous mes aisselles pour se rejoindre sur ma nuque tandis que son sexe énorme se pressait entre mes fesses. Écartelé comme le Christ sur la croix, le visage écrasé contre le matelas, je ne pouvais plus bouger. 
Des gouttes de sueur envahirent mon front. Mon anus était vierge, à part les quelques fois où j’y avais mis un doigt ou deux, et entre mes fesses je sentais son énorme barre d’acier pulser violemment. Je le sentis bouger sur moi, il décolla légèrement son bassin de mes fesses, et bien positionné sur ses genoux, m’écarta les jambes un peu plus. Il libéra sa main droite et je la sentis se glisser sous mon ventre et s’enduire de mon foutre encore humide, il la retira et je l’entendis cracher. Aussitôt ses doigts humides s’introduisirent entre mes fesses pour humidifier ma rondelle détendue par l’écartement forcé de mes cuisses. Il se redressa légèrement et

son gland se positionna sur mon anus. 
— Non Youssef, je t’en prie, ne fais pas ça !
 


Je ne voulais pas me faire violer par mon frère, je l’aimais de toutes mes forces. Je voulais de l’amour, de la tendresse, mais surtout pas me sentir abusé de cette manière. Je sentais des larmes de colère et de peur me piquer les yeux. Sa queue se fit plus pressante et malgré moi, je sentis mon anus s’écarter sous la pression. La chaleur qui inonda mon cul se transforma rapidement en douleur. J’étouffai un cri en me concentrant sur l’objet de convoitise de mon frère, je me relâchai le plus possible et mon anus se détendit légèrement. En grognant il poussa son bassin en avant, je sentis son gland passer d’un coup et un cri s’échappa de mes lèvres. 
Il continua à pousser, mais je sentais qu’il se retenait, qu’il poussait un peu moins fort afin que mon anus s’habitue doucement au volume imposant de son sexe. La douleur reflua, et sous le frottement de sa verge contre les parois de mes entrailles, ma queue se réveilla et se déroula sous mon ventre. La naissance de ce nouveau plaisir commençait à me procurer mille et une sensations délicieuses. La chaleur de son membre me comblait et c’est avec un petit sentiment de manque que je sentis son sexe se retirer doucement de moi, cet abandon ne dura qu’une seconde. Avec une infinie lenteur il me fit profiter de toute la longueur de sa virilité humide et vibrante. Des gémissements de plaisir s’échappèrent de mes lèvres. 
Il se décolla de moi afin de me libérer, je me mis à genoux, mes mains posées à plat sur le lit, me cambrant un maximum. Il se glissa derrière moi, ses deux mains se plaquèrent de chaque côté de mes fesses afin de mieux les écarter et présenta son sexe brûlant et raide à l’orée de ma raie. Dans un grand cri il poussa violemment son bassin en avant. La pénétration fut brutale, mais combien attendue et le plaisir submergea la souffrance que provoqua la grosseur de son engin lors de son assaut. Tout mon corps frémit et c’est avec avidité que je reçus ce morceau de chair écartelant mon conduit. Youssef haletait sous l’effort en grognant de plaisir à chacun de ses énormes coups de bassin, sa pénétration était intense et toute en force. En y mettant toute son énergie, il ne pensait qu’à son plaisir grandissant, à sa victoire sur son petit frère qui lui avait révélé sa véritable identité sexuelle. Sa rupture avec Aline devait être toujours présente à son esprit, mais le fait de pouvoir assouvir ses fantasmes sexuels avec moi submergeait toute autre pensée. Les pulsations intenses à l’intérieur de sa verge se propageaient à travers mes muqueuses, ses mouvements devinrent plus violents, plus rapides, plus désordonnés. Des cris rauques sortaient de sa gorge et il s’enfonça une dernière fois en criant : 
— Fabien !!! 
Contrôlant ma respiration et les battements de cœur qui enflammaient ma poitrine, je pus me concentrer suffisamment pour que je puisse serrer mon anus sur son sexe lorsque ses testicules se cognèrent une ultime fois à mes fesses. Son mouvement fut stoppé. Me redressant aussitôt tout en relâchant mes muscles anaux, pris par son élan, son corps bascula en arrière et chuta en dehors du lit. Je sentis une partie de son foutre se répandre en moi et l’autre s’éparpiller sur mes fesses et le bas de mon dos lors de sa chute.

...d’un grand coup de rein, tout mon être le pénétra... 

Je sautai hors du lit et me mis derrière lui au moment où il essayait de se relever, le pris à bras-le-corps en le poussant en avant. On s’affala en avant, le haut de son corps sur le lit, ses genoux à terre et moi derrière lui dans une même position. Ma main se posa sur ses omoplates pour lui plaquer le torse contre le lit. Je crachai dans mon autre main afin d’enduire mon sexe tendu à l’extrême. D’un doigt vorace et humide je testai l’élasticité du conduit de mon frère de plusieurs allers et retours. Mon doigt céda la place à mon sexe qui se plaça contre cet œillet palpitant et d’un grand coup de rein, tout mon être le pénétra. 
Il hurla… 
De plaisir…¤ /
FABIEN CH

 



 

 

 

 

 

 

 

Par FABIEN CH - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 22 décembre 7 22 /12 /Déc 08:23

classé dans DECONNE fun

 

Rappel  JULIEN

    

 

— Vous allez réveiller aussi Julien? Il est bientôt midi !

— Peut-être pas aussi doucement...

Julien est sur le dos; il offre à nos regards connaisseurs une jolie bite et une magnifique paire de couilles bien étalées sur son bas-ventre parfaitement épilé. Lepage prend une branche d'orties et la passe délicatement sur ce beau paquet rose. L'effet est immédiat: la fine peau de ses couilles se resserre et sa queue s'allonge pendant que Julien sursaute:

— Quoi? Aie! Salauds! Enculés! Vous m'avez bien eu!

Se rendant compte de la situation, Julien a un sourire coquin et manifeste sa joie d'être supplicié aux orties.

— Ça brûle mais c'est vachement bon! Encore!

Lepage n'hésite pas et reprend la caresse de la plante urticante.

— Oui! Putain, ça fait maaaaaal! Et sur mon cul? dit-il en soulevant ses cuisses.

Lepage prolonge le contact dans la raie du petit Julien en insistant sur l'anus.

— Ah! Ah! Y'a rien de meilleur! Mais qu'est-ce que ça brûle!

Je lèche alors toutes les parties atteintes pour apaiser sa douleur ...

   

 

 

Par claudio - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Dimanche 22 décembre 7 22 /12 /Déc 03:03

Je sens encore ce liquide chaud qui rentre dans mon anus et qui dégouline dans la raie de mon cul, le long de mes cuisses et jusque dans mes chaussettes!

— Foutre non! Ils sont partis en rigolant et en me laissant nu, lié et couvert de pisse!

 

                Brutal, non ? "exactly how a faggot should want to be fucked! "

I love a small dicked bottom taking a huge cock usedbyblacks: I know he’s turned me into a complete black cock whore, but I can’t help it. The feeling of his cock sliding into my ass is amazing. I can’t stop taking bbc.

Le dosage

  pervhole6: gayboy30: gbrianstuff: ilickholes: Holes-Something tasty to stick your dick into. I’d love to have this water feature in my back yard Perfekt nice drink

  Dosé en plein air il faut que ça sorte !

ENTONNAGE

dirtypisspig: fag providing its services as urinal and piss pot

treillis: voyeurgg: Fill’er up……………………….. Yeah

 

inappropriategay: jumbo funnel for jumbo loads

Peu de chances qu'il s'en perde...jumbo entonnoir pour jumbo ejacs et

jumbo mictions !

 

 

 

KARCHER

sumisoadictoalsexo: refrescando el culo que está a punto de follarse

refrescando el culo que está a punto de follarse

Oink

 

 

 

LE STOCKAGE (COLLECTIF ou NON)

JE VOUS LAISSE DEVINER OU CA VA  ALLER...

goldenstreamssf: This is what I’ll be drinking at Oktoberfest in SF tomorrow…

   

 

 

 

 

 

 

 

  Un copain me suggère : remplis de pisse une bouteille de bière un jour de rave party et laisse-la traîner au milieu des autres et surveille qui la boit... je vais pas le faire bien sûr...  

   

Adult comic stripes (BD)

Pour étancher ta soif en randonnée demande aux copains ou au coach...

 Le coach : "ça m'est égal  que tu pisses par devant ou par derrière...



Liquide lave-glace été-hiver !

 

joli gicleur, n'est-il pas  ?

 !

en zoomant on arrive à lire les bulles           
Par PLOWMYASS - Publié dans : ELOGE DU BAREBACK A BAS LES TABOUS & NOKAPOTE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 21 décembre 6 21 /12 /Déc 23:58

classé dans ADEPTES LAVEMENT (20)

  oui, vous allez trouver du régressif dans ce post...

homosigns: Human Toilet

 

 

 

Enema

 

 

 

Thirsty?

 

 

 medicpig: Filled up#ME #Harlem #NYC #openhole #watersports #piss(from @MedicPig on Streamzoo)

 

          

 

 

 

 

 

 

Hole

 

 

dirtypisspig: fag providing its services as urinal and piss pot

 

 

  fagfantasyland: How’s it feel to know your hole opens wider when he’s pissing on you?

 

treillis: voyeurgg: Fill’er up……………………….. Yeah

 

 

 

goldenstreamssf: This is what I’ll be drinking at Oktoberfest in SF tomorrow…

 

 

stonedgaybeast: toxicpissboi: jockpig: facedownassupmrduff: Face Down Ass Up urinal. fucking hot Brlliant Piss fuck his wet hole x

 

faggywhore: Getting the bitch drunk is important before all the guys show up for the gang bang.

 

 

inappropriategay: jumbo funnel for jumbo loads

 

    rbbrpiss: Crazy

 

 

PETIT COUP DE KARCHER ???? 

 

 

 

relax-dad: marking his territory

 

 hottstallion: my kind of shower.

 

Oink

 

 

worshipblkgods: Pissing in bitch boi trevor

 

 

 

Piss fuck!!

 

Soaked pussy!

 

 

 

pissisdelicious: Fill up that hole!

 

 

  yourassisminebitch: Piss on his hole 

  utile...vous savez !

les photos sont du web...si vous vous y reconnaissez, demandez, on les retire !    

 

 

Par NYPISS - Publié dans : PISS-TRASH- .LAVEMENT-CURIOSITE - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Samedi 21 décembre 6 21 /12 /Déc 21:13

  Il n'y a pas loi des toilettes à la table...

 

 

   

    UN HOMME QUI VA AU BOUT DE SA CONVICTION DE CONSOMMATEUR NE SE DEGONFLE PAS 

 

mansmells: Yellow Fountain

Bien sûr c'est un luxe dans les bars à vin d'être invité à boire directement au tonneau.

 

« Ça a un goût de chiotte mais c’est plein de vitamines » (Crocodile Dundee)

 

Un remède miraculeux !

 

Il y a de nos jours plusieurs millions d’Européens et autant dans le monde d’individus qui pratiquent quotidiennement l’urinothérapie. À en croire certains, boire son urine serait un remède pour la plupart des pathologies. La médecine s’échinerait donc depuis des siècles à combattre les maladies et perfectionner les remèdes alors qu’il existe un médicament universel à la portée des pisseurs (euses) que nous sommes ?

 

Réputé potable et sans danger pour le corps, certains risques sont cependant possibles dans des circonstances qui n’ont rien d’exceptionnelles, comme celle de boire la totalité de ses urines en une seule fois (risque d’hyperurémie).

 

Si l’urine n’est pas la pharmacie portable qu’on voudrait bien croire, l’usage de l’urinothérapie est capable de risque sanitaire de masse comme cela s’est produit au Cameroun en 2003 (1).

 

Par ailleurs, on notera que les adeptes de l’urinothérapie insistent sur la nécessité d’avoir une saine alimentation et de proscrire tabac et alcool pour que le régime au pipi soit efficace (sic). Ils conseillent aussi malheureusement d’exclure toutes médications et trouvent ainsi beaucoup de leurs fidèles chez les adeptes new-age du naturel et des médecines parallèles.

 

Bien que contenant des molécules intéressantes pour certaines pathologies et particulièrement en hépatologie et en immunologie, boire sa propre urine risque surtout de trop bien guérir une constipation. Autant pisser dans un violon…

 

 

 

Urinothérapie. Depuis quelques temps, les thèses de l’urinothérapie, ou la thérapie par l’urine, font une percée étonnante dans la société camerounaise. Ce qui n’est pas sans risques. Le ministère de la Santé publique a réagi officiellement en interdisant la promotion de cette médication dangereuse.

 

 

 

" Un ou deux verres par jour peut vous aider à rester jeune et en bonne santé. " " Sous forme de massage, c’est également très bon pour l’épiderme et cela laisse votre peau souple et ferme. " Quel est donc ce produit miracle, élixir de jouvence et cure de forme sur lequel se ruent les Camerounais depuis presque un an ? L’urine. Les journaux locaux se font le relais depuis quelques temps de " l’urinothérapie " ou le soin par l’urine. Certains parlent de " remède universel pouvant traiter par une consommation régulière environ 64 maladies, dont le cancer, les crises gastriques, les morsures de serpent ou la fièvre ".

 

Pour une fonctionnaire du ministère camerounais de la Santé, " cette pratique fait partie des thérapies traditionnelles que l’on trouve ici. J’ai même lu dans un journal qu’on pouvait soigner le sida avec du citron... L’urine est stérile donc ce n’est pas si dangereux que ça à ingurgiter sauf si cette urine provient d’une personne malade. Le vrai danger c’est lorsque ce genre de soit-disant thérapie remplace un vrai traitement. On voit par exemple des malades du sida arrêter de prendre leurs rétro-viraux pour se tourner vers ce genre de traitements sauvages. "

 

Les Best-sellers du pipi

 

Pour preuve, les différents témoignages récoltés dans la presse dernièrement. " J’ai utilisé l’urinothérapie pour soigner mes hémorroïdes ", explique cet homme au Messager. Et cet autre : " Depuis plusieurs années, je n’avais quasiment plus de cheveux sur le crâne. Depuis que j’ai commencé à boire mon urine, ils ont commencé à repousser, c’est assez extraordinaire ". Si l’urine contient de l’allantoïne, puissant agent cicatrisant et qu’une recette de grand-mère préconise en effet que sans alcool pour désinfecter une plaie la meilleure chose à faire est d’uriner dessus, affirmer que l’urine peut soigner certaines maladies, dont le sida, est autre chose.

 

C’est pourtant cette thèse qui est exposée et développée dans les livres Amaroli 1 et 2, publiés par une maison d’édition suisse et écrits par un groupe de praticiens à l’origine du premier congrès mondial de la thérapie par l’urine, organisé en Inde en 1996 (le 3ème congrès mondial aura lieu en mai 2003 à Belo Horizonte au Brésil). Des ouvrages qui se vendent comme des petits pains au Cameroun. Les meilleures ventes de la librairie Messapresse de Douala qui en est à sa huitième commande depuis juin 2001... Le tome 1 est un recueil de témoignages de personnes ayant adopté ce mode de médication, tandis que le 2 a une prétention scientifique qui a séduit les Camerounais. Un journaliste du Messager explique même que les ouvrages, qui coûtent cher (entre 14 000 et 18 600 FCFA) et sont donc inaccessibles à la plupart des bourses camerounaises, sont largement contrefaits dans les cités et revendus sous le manteau.

 

Urine toxique

 

Ce phénomène a amené le ministère de la Santé publique à prendre position, par le biais d’un communiqué, mercredi dernier. Le message est clair : " Compte tenu des risques de toxicité, à court, moyen et long terme liés à l’absorption de l’urine, le ministre de la Santé déconseille la consommation de l’urine et invite ceux qui en font la promotion à y mettre fin sans délai, sous peine de poursuites ". " Il n’y a jamais eu de preuve scientifique d’une quelconque guérison par l’urine ", martèle-t-on au ministère. " Nous avons réagi car l’engouement pour cette pratique prenait une ampleur importante dans le pays. Il fallait éviter que ceux qui doutaient encore ne finissent par y croire aussi... " Et la fonctionnaire de préciser : " Ce genre de croyance existe dans d’autres pays africains. Si l’on en parle plus au Cameroun, c’est que le ministère est très vigilant sur la désinformation et n’hésite pas à dénoncer les problèmes de santé publique que rencontre le pays ".

 

L’urine peut, en effet, se révéler dangereuse pour la santé, comme l’explique Jean-Rollin Ndo, directeur de la Pharmacie et du Médicament au ministère de la Santé : " L’urine est le liquide d’épuration du sang par les reins. La plupart des déchets que l’organisme voudrait éliminer passent par le sang et sont filtrés par les reins et excrétés dans l’urine. Ce sont par exemple des déchets organiques comme l’urée, très toxique, la créatinine et beaucoup d’éléments minéraux. Or, l’accumulation d’urine dans l’organisme, dans le sang notamment, suite à une insuffisance rénale aiguë, est dangereuse. Si l’on n’intervient pas en faisant une dialyse, c’est la mort qui survient en quelques jours ". Alors, pour ou contre l’urine ? C’est une histoire de goût...

Par yourassismine - Publié dans : FOUS RIRES DECONNE (HUMOUR, FUN) - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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