Mercredi 18 décembre 3 18 /12 /Déc 11:46

 

      classé catégorie SEXO vivre sa sexualité Trop beau le langage de ces jeunes 

gaycomicsandmore:

      30 septembre 2013, 23h34    

Salut cher Patrice !   Merci de ta carte d'anniv'. Comment vont tes amours ? Combien t'as baisé de meufs depuis mon départ ? Heureusement tu m'as fait comprendre que je n'avais aucune chance avec toi !

 

love… and so true. ;-)

  Dessin bien évocateur, n'est-il pas ?  

Heureusement aussi qu'après t'avoir envoyé le bouchon  je ne partais pas tout de suite et on a eu le temps de se parler. Grâce à Dieu tu m'as dit que tu me gardais toute ton amitié...ça me flatterait de remplacer ce mot par AFFECTION. C'est ce que j'éprouve pour toi, tu es comme mon frérot à  qui je peux MAINTENANT tout dire.  Uses-en de même avec moi, mon cher Pat !

Tu vas être le témoin de mes fantaisies du mois d'octobre. Fantaisies ? Hummm... Je devrais plutôt te dire folleries! J'ai décidé de fêter mes dix-huit ans de façon très spéciale. Je t'explique. Le 28septmbre j'ai eu 18 ans (je ne t'apprends rien ! ). Comme tu le sais, je suis toujours vierge et je n'ai pas l'intention de commencer ma vie d'adulte comme ça. Mon plan? Faire la salope pendant un mois complet. Salope, salope, faut quand même mesurer l'intensité de mes intentions. Je ne serai tout de même pas assez fou pour ne pas me protéger, sois sans craintes.  J'ai l'intention de remplir mes "objectifs" et de te les écrire !

 

DE: pat_atras@g.... .fr   

A : Olive <marc_0@y.... .com

   Mon cher olive, dès que tu as tourné les talons je me suis senti en manque de toi.C a m'a fait regretter d'avoir dit non à tes "avances" lol !  C'est vrai que de cette façon on n'a absolument plus rien à se cacher. Avec un AMI ordinaire  on peut discuter de tout. Nous on peut aller encore plus loin.

Non les nanas ne se sont pas bousculées au guichet à part un soir où j'étais avec Cheyenne, Leslie et Charline. Cette dernière a été bien proche de...mais ça va rester en projet...lol ce qui fait que c'est match nul : on est toujours puceaux tous les deux. Pourtant toi ça devrait être fait : tu es salope au possible et on dit qu'entre fifs ça va plus vite qu'entre  une meuf et un mec.

T'es pressée ma chérie, mais ne fais pas de connerie...si tu es contagieux je pourrai plus essayer avec toi lol

Byz ma poupée. A très vite  

 

1er octobre 2013, 22h47

Ouais ben ça part ben mal mon ami ! Je dois mal m'y prendre car j'ai séché toute la journée. Peut-être devrais-je être plus provocateur, disons que j'avais beau avoir les intentions aujourd'hui, j'étais un peu trop gêné et j'ai fouairé royalement! Mais bof, mon objectif original est maintenu. J'm'arrangerai pour avoir deux trips à te raconter un de ces jours. Est-ce assez salope à ton goût?:) À demain, tu vas voir, je vais te faire honneur!

02 octobre 2013, 16  h32

SALUT!!! Je te l'avais dit que j'me déniaiserais! La nouvelle du siècle (enfin, en ce qui me concerne personnellement ): JE NE SUIS PLUS PUCEAU! T'aurais dû me voir en rider man! Mes cours comme à tous les vendredis se terminent à midi, alors je me suis rendu au bloc sportif à l'université.  Tout innocemment, je me suis promené quelques minutes, regardant partout, sans vraiment avoir d'endroit spécifique où me rendre. Un moment donné, y'a un beau p'tit mec qui s'approche de moi. Il mesurait à peine 1,65 m ! il avait de beaux cheveux soyeux noirs et des yeux marrons. Cute cute cute! Sur le coup, je béguayais presque, mais il m'a demandé si je savais où se trouvait le bain tourbillon et le sauna. En "joke", je lui ai répondu que le sauna était au coin des rues Saint-Laurent et Saint-Joseph. La surprise toé! Il me regarde stupéfait et me dit "Tu vas au 5018 toi aussi?" Gêné, je lui ai fait signe que non, que je n'y étais jamais allé. Il m'a fait un clin d'oeil et me prit par le bras "Ben viens t'en, faut qu'tu vois ça alors!" Je l'ai suivi! J'tremblais de partout quand je suis entré et le gars s'en est aperçu. Il m'a dit de ne pas m'en faire, surtout à l'heure qu'il était, c'était surtout des étudiants qui étaient là. En effet, j'y ai même croisé un gars qui est dans mon cours de comptabilité! On a eu l'air assez twit quand on est tombé face à face avec juste une serviette autour de la taille. M'enfin... Finalement le gars (j'ai même pas pensé à lui demander son nom!) m'a amené dans un petit cubicule où il n'y avait que deux chaises et un moniteur télé sur lequel passait un film porno. Il m'a arraché la serviette, m'a poussé sur la chaise et s'est enfoui le nez entre mes couilles. En moins de deux, j'avais les boules dans sa gueule et il me léchait sans arrêt. L'effet fût immédiat, j'ai bandé ben raide et il n'a eu qu'à me traire quelques minutes pour que je dèche dans tous les sens! Tout simplement buzzant! On a beau s'imaginer la sensation, quand on sent des lèvres chaudes sur notre queue pour la première fois, on capote! Il s'est levé debout devant moi, me promenant sa queue devant le bout du nez. T'as beau t'y attendre, la première fois que tu vois c't'affaire là te pendre devant la face, tu figes! Il m'a pris derrière la tête et m'a forcé gentiment à avaler sa queue. Elle était super grosse, mais heureusement, pas très longue, alors j'ai pu la prendre au complet dans ma bouche. Je ne savais pas trop quoi faire, mais il s'en est aperçu assez vite. Il a commencé à entrer et sortir de ma bouche. Au bout de quelques minutes, il s'est retiré vivement et un long jet blanc crémeux m'est tombé sur le torse. Ma première douche de sperme!:) Il m'a donné un petit bec sur la bouche et m'a glissé à l'oreille "Fais-toi en pas, ça vient tout seul avec l'expérience..." et il est parti en me laissant là tout seul. J'ai remis ma serviette et j'ai sauté dans mes vêtements pour m'en venir te raconter tout ça. Bon bien faut que j'aille dans la douche, j'suis encore tout gommé moi! À la prochaine!

       
03 octobre 2013 8h42

Me revoici plus vite que prévu mon cher ! Comme je ne pouvais pas dormir hier soir, je me suis relevé et sans faire de bruit, j'ai quitté l'appart par en arrière pour ne pas réveiller l'bonhomme. Il était à peu près 2h10 et j'arrive à peine. J'me suis payé tout un time. Tu m'croiras pas, j'suis parti avec 10 piastres en poche, pis je reviens avec 2000! Non, y'a pas d'erreur, pas 20, pas 200, 2000!!! J'me promenais sur Ste-Cath', en regardant dans les vitrines quand tout à coup, y'a un gars, un anglais, qui est arrivé de nulle part et me dit qu'il veut avoir quelqu'un pour l'accompagner au casino. Sur le coup, j'pense qu'il me niaise pis je continue mon chemin. Il me rattrape pis me mets 2 bills de cent dans la main et me dit qu'il y a un pour moi, l'autre pour me permettre de jouer comme je veux au casino avec lui. J'me suis dit "WOW!", pourquoi pas. J'suis embarqué avec lui dans un taxi et on s'est rendu au Casino. J'étais pas certain de pouvoir entrer là, mais il m'a dit de ne pas s'en faire, qu'il connaissait l'un des doormen.  Donc j'ai pu entrer et en jouant au black-jack avec ses conseils pratiques, j'ai gagné pas loin de 3000$, mais à ce moment-là, il m'a suggéré de mettre une bonne partie de côté au cas où. Une chance car j'aurais peut-être perdu tout l'argent en fin de compte, en 15 minutes, je n'avais plus rien du 1000$ que je m'étais gardé pour jouer. Il m'a ensuite invité à aller prendre un verre au bar, je l'ai suivi, et on a jasé une couple d'heures. Il était pas mal comme gars vraiment. Même s'il était dans la quarantaine, il était bien conservé. On a repris un taxi, on est allé à son hôtel au centre-ville et là, je suis monté avec lui et il nous a fait monter des drinks avec le service aux chambres. Le p'tit serveur qui est monté était cute à craquer! Il était complètement à poil, une petite serviette sur le poignet. Va falloir que j'y retourne à cette place-là, c'est spécial comme hôtel! Je n'étais pas capable de retirer mon regard de ce beau gars-là. Thom (l'anglais) s'en est aperçu et me donna 2 nouveaux billets de 100$ dans les mains. "Give him his tip! He deserves all of it!" Le serveur s'est approché de moi, a pris les billets et les a enroulé dans la serviette. J'étais toujours assis dans ma chaise et à mon grand étonnement, le serveur s'est agenouillé en m'écartant les cuisses. D'un geste habile et rapide, mon pantalon et mes bobettes étaient par terre et j'avais la queue dans sa bouche. Une pipe du TONNERRE! Je ne pensais pas que je pourrais jouir plus intensément qu'au sauna, et bien oui! Surtout que j'ai pu en profiter comme il faut cette fois-ci, je ne suis pas venu instantanément. J'ai pu sentir les lèvres chaudes du petit serveur monter et descendre plusieurs fois sur ma queue. Pendant ce temps-là, Thom se crossait en nous regardant. Sur le coup, ça m'a freezé un peu, mais bof, trois secondes après, je n'y pensais même plus et je profitais de ces douces lèvres qui étaient sur le point de me faire jouir. Quand ma queue a commencé à avoir des spasmes réguliers juste avant de jouir, il a retiré ses lèvres et du bout des doigts, a continué à me masser la queue et j'y suis venu sur l'épaule et même un peu dans les cheveux. Il s'est relevé, a pris la serviette et a quitté la chambre. Thom s'est relevé un peu, avec une serviette m'a épongé les quelques gouttes de sperme que j'avais sur moi avant de me donner 20$ pour que je revienne en taxi! Tout simplement incroyable! Si ça ne m'était pas arrivé, jamais j'aurais cru ça possible! Et bien mon cher Pat, "2 en 3", mais il est encore tôt...:)

 

 

DE: pat_atras@g.... .fr   

A : Olive <marc_0@y.... .com

0live, je dois avouer que, cette fois, tu m'as fait bander avec cette histoire de sauna. Ca se confirme le mec qui t'a débauché est un rapido ...TGV même !  C'est donc bien un FIF de ta race...putain ! c'est bête à dire mais je tiens à toi, fais donc gaffe.  Le vieux du casino semble être plus voyeur que baiseur...dommage pour toi. Tu te vantes, mais moi aussi je fais du sperme quand je me crosse...il me tarde qu'un gars te casse vraiment la rondelle...

Byz ma beauté (sois sûr de toi : tu es beau...dommage pour les meufs) . A très vite surtout tiens-moi au courant  

03 octobre 2013, 23h57

Salut mon cher! Ouais ben c'est plat ! c'est pas aujourd'hui que je vais m'être rattrappé dans mon compte... Je suis allé sur IRC dans le canal #gaysexefr, mais bof, c'est tous des grandes gueules qui ont la chienne de faire quoi que ce soit. Ça parle haut et fort en public que ça cherche du cul mais quand t'arrives en privé avec eux et que tu veux les rencontrer, ils se dégonflent tous sans exception! Des méchants malades laisse-moi te dire! Tkt, j'chercherai ailleurs la prochaine fois au lieu de perdre mon samedi soir là-dessus! À demain! ...

   

 

gay male love

 

awwww!

 

  Hummmhhh  quand je rêve de toi...ça m'arrive encore !  

   

Je taquine bien sûr

 

 

DE: pat_atras@g.... .fr   

A : Olive <marc_0@y.... .com

Marc0live. Tu as l'air déçu dans ce dernier courriel, mais moi je sens que ça approche. Tu auras mal, lol  Tu vas sur IRC ? Dans les tchats on voit un peu les gens avec Skype. Méfie-toi...ouais, je te dis pas ça pour te stresser vaut mieux que tu sois cool pour te faire....lol...au fait c'est peut-être toi qui vas le baiser ? Protège-toi.

Si tu as un RV tiens-moi au courant AVANT et dis-moi qui et où je suis le seul à qui tu puisses le dire...comme ça si tu te fais découper je pourrai dire où sont les morceaux..

Je tiens à toi...reviens-moi entier...Oui, "affection", avec toi qu'est-ce que ça cache...tu vas me retourner avec ton suspense de baise.

Byz ma petite olive chérie 

 A très vite surtout...

Regarde cette photo, tu...vois bien que ça fait mal de jouer la meuf !!!

 

0live, t'es trop salope quand tu fais la salope !  

 

Par marc-0 - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mercredi 18 décembre 3 18 /12 /Déc 00:15

classé dans SEXO VIVRE SA SEXUALITE

 

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Cette sexologue nous avait rassurés en nous disant que notre cas était fréquent et que plusieurs couples avaient pu rallumer la flamme avec ces méthodes. Échec lamentable dans notre cas; les jouets sexuels étaient encombrants car nous étions gênés de les utiliser et pour les jeux de rôles, comme nous n'étions doués ni l'un ni l'autre pour l'acting, l'exercice paraissait faux et ne nous amusions pas... Malgré tout, nous ne nous avouions pas vaincu pour autant. Il devait bien y avoir quelques chose à faire! Il s'agissait de trouver quoi...

Monique, une copine de ma femme, une célibataire endurcie qui n'a jamais voulu de conjoint, lui a alors raconté qu'elle prenait parfois part dans des petites soirées coquines organisées pour les couples et célibataires libérés et qu'elle prenait un grand plaisir à accompagner des couples pour des petites joutes sexuelles en trio. Quand ma femme m'a parlé de cela, ça m'a paru tout d'abord bizarre, puis peu à peu, l'idée s'est installée et c'est ainsi que nous nous sommes retrouvés au club privé de sa copine. Ma femme et moi avions tous les deux le vif désir que notre relation fonctionne, alors on s'était dit qu'il fallait tout essayer... Cette fois, ce ne fut pas un fiasco, mais ce n'était pas une réussite non plus.

Nous avions tenté, à l'aide d'un gentil couple un peu plus jeune que nous que nous avait présenté sa copine, l'échangisme. Dans la même chambre, nous étions là, les deux couples, et alors que ce jeune étalon possédait ma femme sur le lit, je pris plaisir en baisant sa femme. Suite à cette soirée, ma femme et moi en avions largement discuté et bien que la jalousie n'était pas la cause de l'inefficacité de l'exercice, elle n'avait pu pleinement se laisser aller, de peur que j'aie un élan de jalousie car elle prenait du plaisir avec un autre homme, et moi, de mon côté, je ne sentais mal à l'aise de prendre mon pied avec une autre femme qu'elle. Nous nous rapprochions cependant du but car dans les semaines qui ont suivi, notre relation fut plus chaude, plus érotique qu'au cours des dernières dix années...

Nous avons donc décidé que ma femme en parlerait avec sa copine et celle-ci a donc convaincu de revenir au club privé pour retenter la même expérience, mais cette fois-ci, pour une rencontre en deux volets : la première fois dans des chambres séparées, et ensuite, on se retrouverait tous les quatre dans la même chambre. Ce qui fut fait.

Quand nous sommes arrivés, le jeune couple que nous avions rencontré la dernière fois, et que nous connaissions déjà, ont volontiers accepté notre requête et c'est ainsi que je me suis retrouvé dans une chambre avec Émilie alors que ma femme s'est rendue dans une autre pièce avec Daniel. On s'était donné rendez-vous dans l'une des grandes chambres doubles 45 minutes plus tard. Ma femme et moi, on s'était promis de se laisser à fond cette fois-ci, sachant à présent que la jalousie n'avait pas prise dans notre couple. Le seul but était de profiter pleinement de l'expérience.

Ma rencontre avec Émilie s'est très bien déroulée. Après quelques discussions générales, nous avions entrepris de nous déshabiller mutuellement et après une multitude de caresses, de part et d'autre, nous avons fait l'amour doucement, savourant chaque instant de cet échange charnel. J'avais réussi pour ma part à ne pas être absorbé par un sentiment de culpabilité du plaisir que j'éprouvais et donc, j'ai pris mon pied comme il ne m'était pas arrivé depuis longtemps. Au bout du délai prévu, légèrement vêtus, nous nous sommes retrouvés dans la grande chambre. Daniel et ma femme se sont pointés deux minutes plus tard. Le choc! Ma femme avait un sourire radieux et comme Daniel se rendit vers Émilie immédiatement pour l'embrasser, je fis de même et me jetai aux bras de ma femme pour l'étreindre avec fougue. Le plus naturellement du monde, nous nous sommes retrouvés à quatre sur le grand lit, chacun de nous deux avec sa propre compagne, et l'énergie sexuelle ainsi partagée nous permit de faire longuement l'amour à notre femme. Bien que nous restions un peu dans notre petite bulle, en même temps que nous nous donnions entièrement à notre femme, les mains se promenaient d'un corps à l'autre, les bouches se soudaient les unes aux autres sans se limiter à notre femme et ce sont quatre corps remplis d'énergie et se désir qui se mêlaient parfois, et j'ai pu lire dans les yeux de ma femme un amour inconditionnel en ma faveur : ses yeux pétillaient de mille feux quand elle jouit la première fois.

Loin d'être terminée, notre joute se poursuivait de plus belle. Nos deux femmes se sont regardées quelques instants alors que Daniel et moi les chevauchions avec toute la sensualité qui nous habitait, et tout à coup, leurs lèvres se sont rapprochées et ma femme embrassait pour la première fois une autre femme. Excité par cette vision, ma queue a bien dû doubler de volume, au point tel que ma femme s'est cambré les reins pour jouir à nouveau alors que mon vit allait et venait dans son conduit d'amour. Elle me fixait alors droit dans les yeux alors que je tentais de retenir ma propre jouissance, heureusement aidé par le fait d'avoir joui l'heure d'avant avec Émilie alors que nous étions seuls dans l'autre chambre. Je savais que je n'allais plus durer très longtemps et Daniel, m'entendant le dire à ma femme, me prit fermement une fesse dans sa main, et après l'avoir malaxée avec force, introduisit son majeur dans mon cul qui n'avait jamais connu cette sensation auparavant. La surprise et l'intensité de cette expérience eut tôt fait de me faire jouir alors que ma femme se tordait de plaisir sous mes coups de butoir. Daniel se laissa alors aller dans le vagin de sa femme et épuisé, retomba sur elle, la couvrant tout comme je recouvrais le corps bouillant de ma femme. Un long ballet de baisers croisés fit place à l'énergie sexuelle pure de la pénétration et c'est sans arrière-pensée que je me suis même abandonné aux lèvres de Daniel qui prenaient possession de ma bouche alors que nos femmes s'échangeaient un baiser enflammé. Même plus jeune Je n'ai jamais eu de penchant pour les hommes..Mes copains eux trouvaient toujours une bonne excuse pour se sucer ou se branler mutuellement. Moi non. Cette chaude séance haute en émotions avec ce jeune couple   se refermait naturellement autour de cette chevauchée extraordinaire.

Dans les semaines qui ont suivi, notre ardeur sexuelle fut décuplée entre ma femme et moi, et c'était toujours un plaisir renouvelé de se retrouver le soir, dans notre lit, où nos relations sexuelles étaient toutes plus intenses les unes que les autres. Après l'amour, nous n'étions que plus proches. Un mois passa, puis un second où la routine reprenait place peu à peu. Au lieu de faire l'amour tous les soirs, ce fut d'abord un soir sur deux, puis deux ou trois fois par semaine. Au bout de deux mois complets, nous venions de passer une semaine complète sans nous être touchés. Ma femme et moi en avons longuement discuté. Nous en sommes venus à la conclusion qu'il fallait entretenir notre chimie sexuelle et que pour le faire, peut-être avions nous besoin de recommencer ces rencontres, sinon sur une base rapprochée, au moins sur une base régulière. Après que ma femme en ait parlé à sa copine qui nous avait introduit au club, nous avons donc décidé d'un commun accord d'y aller une fois par mois. Nous pourrions toujours nous raviser par la suite au vu des résultats.

Nous nous sommes donc rendus une fois de plus à ce club et comme Daniel et Émilie n'étaient pas là, Monique nous a présentés à quelques unes de ses connaissances qui fréquentaient l'endroit. C'est ainsi que nous avons connu Brahim, un homme d'affaires d'origine algérienne mais né ici, et Suzanne, une dentiste dans la mi-trentaine, qui partageait les mêmes vues quant aux relations de couples que Monique. Brahim habitait à plus de 200 kilomètres d'ici mais venait de temps à autre dans notre ville pour affaires. Ce soir là, c'est chacun de notre côté que la soirée s'est déroulée, ma femme avec Brahim, Suzanne avec moi. Il n'y eut pas de retrouvailles en groupe après nos échanges comme ce fut le cas avec Daniel et Émilie. J'avais bien aimé ma soirée, mais il me manquait un petit quelque chose après. Rendus à la maison, ma femme et moi, nous nous sommes dévêtus aussitôt rentrés et c'est par terre dans le salon, parmi nos vêtements épars, que nous avons fait longuement l'amour. Pour ma femme, comme pour moi, nous avions besoin de ce rapprochement tout de suite après pour venir sceller et renforcer notre amour après l'échange. Comme les autres fois, notre énergie sexuelle se renouvelait jour après jour et nous appréciions encore plus notre intimité.

C'est ainsi que pendant les six mois qui ont suivi, nous nous rendions à ce club, le dernier samedi du mois, afin d'aller recharger nos batteries d'énergie sexuelle. Nous avions eu l'occasion de refaire l'amour avec Daniel et Émilie, ma femme avait aussi revu ce Brahim deux ou trois fois et de mon côté, j'avais eu quelques aventures sans suite avec quelques femmes du club, et même une fois avec Monique, avec l'assentiment de ma femme, bien entendu. Nos soirées non plus n'étaient pas toujours de la même qualité que celles que nous avions connues avec Émilie et Suzanne, mais le résultat demeurait le même : le mois qui suivait nous apportait, ma femme et moi, le plaisir renouvelé, cet abandon charnel qui nous faisait défaut avant de commencer nos visites au club d'échangisme.

Un soir, alors que nous revenions de notre visite mensuelle au club, soirée que ma femme avait eu la chance de passer avec Brahim, elle me demanda alors que nous revenions dans l'auto : « Mon chéri, te sentirais-tu bien avec l'idée que je rencontre toujours le même amant quand nous allons au club? » Elle m'expliqua longuement ses raisons que je trouvais parfaitement raisonnables et compréhensibles : elle avait de la difficulté à s'adapter facilement avec un homme rencontré au hasard et prenait beaucoup plus de plaisir dans une relation plus intime, avec le même homme. Cependant, elle avait peur que je me sente déstabilisé à l'idée qu'elle ait toujours le même amant. Je la rassurai et lui dit que je la comprenais un peu et bien que c'était plus facile pour moi de m'acclimater avec une femme rencontrée le soir-même, je ne me sentais pas du tout jaloux au fait qu'elle puisse avoir développé une certaine affection avec Brahim (elle fut surprise que je l'aie deviné!) et que si c'était son désir, que je n'éprouvais aucune jalousie à son égard, même s'il était son amant régulier... Et comme toujours, dès que nous fûmes de retour à la maison, nous fîmes l'amour avec passion, nos corps chauds et brûlants l'un contre l'autre, se retrouvant après avoir butiné d'autres fleurs...

Presqu'une année se déroula ainsi... Tous les mois, Brahim et ma femme, sitôt au club, se retrouvaient dans une chambre alors que moi, je volais d'une fleur à l'autre, parfois renouvelant l'expérience avec une compagne que j'avais déjà connue, parfois avec une parfaite inconnue, me retrouvant même une fois dans un trio avec Daniel et Émilie qui n'avaient pas trouvé de couple avec qui ça avait cliqué. Nous nous sommes donc relayés, Daniel et moi, pour saillir Émilie qui en avait vu des étoiles. J'avais tout d'abord été incertain au début, notamment à cause du baiser que j'avais échangé avec Daniel dans notre seconde rencontre, et également en me souvenant du doigt inquisiteur qu'il avait fait pénétrer entre mes fesses ce même soir. Cette promiscuité à nous retrouver tous les deux besognant sa femme n'a rien changé et c'est avec surprise que je me sentis quelque peu sur ma faim après que Daniel se soit frotté la queue contre mon dos pour me signaler son envie de reprendre la place dans les chairs accueillantes de sa femme. Je mis le tout sur le compte que je les connaissais bien et que je n'avais pas d'appréhension à me retrouver avec eux.

L'été suivant, alors que nous étions parti faire un voyage pour les vacances, nous n'avions pu nous rendre à notre visite mensuelle au club. Nous avions cependant pris un roulement naturel avec ces visites et notre sexualité de couple n'en fut pas affectée. À notre retour de vacances, mon patron m'avait cependant demandé de remplacer un collègue pour aller rencontrer un nouveau client potentiel à plus de 300km de chez moi. Je ne serais parti que deux ou trois jours. J'ai dû accepter et j'en informai ma femme en arrivant à la maison. Il n'y avait rien d'exceptionnel à ce petit voyage d'affaires, mais comme j'allais passer en m'y rendant par la ville où Brahim habitait, elle me demanda si ça me gênait qu'elle lui envoie par mes soins un de ses sous-vêtements, pour se faire pardonner d'avoir manqué son rendez-vous avec lui pendant nos vacances. Je ne fus pas le moins du monde choqué et acceptai avec plaisir cette petite visite coquine à l'amant de ma femme.

Le soir même, nous avons longuement fait l'amour et je la pénétrai doucement en levrette, alors qu'elle avait pris soin de garder un joli petit string de dentelle noire sur elle. Après avoir joui tous les deux, elle plaça son petit string dans un paquet qu'elle me remit, me faisant promettre de le laisser à Brahim en revenant de mon rendez-vous d'affaires.

Tout s'est très bien déroulé chez mon client. Un contrat important fut signé et c'est le cœur satisfait que je repris la route pour revenir à la maison. Comme promis, je me suis arrêté dans la ville où Brahim travaillait. Comme nous étions en plein jour, Brahim m'avait donné rendez-vous à son bureau au centre-ville. Un peu surpris de ma visite, c'est tout de même chaleureusement qu'il m'accueillit. Nous étions à discuter de nos emplois respectifs sur le grand canapé de cuir qu'il avait dans son bureau lorsque je pris dans mon attaché-case le petit paquet que lui avait préparé ma femme. Avec curiosité, il l'ouvrit et voyant le petit string de dentelle qui avait conservé toute son humidité grâce au petit sac de plastique dans lequel ma femme avait eut soin de l'envelopper. Les yeux frétillants, il prit le string en me regardant d'un regard vicieux et le porta à son nez. Il huma profondément le bout de tissu avant de me lancer en connaisseur :

— Je reconnais l'odeur intime de ta femme mais j'y décèle aussi une autre odeur, un peu plus musquée...

— Ma femme portait ce string quand nous avons fait l'amour... Elle voulait cependant t'envoyer un petit souvenir, étant donné qu'elle avait manqué votre dernier rendez-vous à cause de nos vacances...

— C'est très gentil de sa part, je m'ennuyais réellement de son odeur corporelle... J'avoue qu'ainsi mêlée avec ton odeur, cela rend le souvenir encore plus capiteux! Avoua-t-il, replaçant son membre raidi dans son pantalon, ce qui m'amusa... As-tu déjà senti les odeurs intimes de ta femme de cette façon? Demanda-t-il le plus naturellement du monde, tout en tendant le bout de tissu vers mon visage.

La surprise passée, car en effet, je n'avais jamais pensé aller sentir ses sous-vêtements pour retrouver ses odeurs intimes, j'approchai mon nez et découvrit l'odeur capiteuse de ma femme...

— Ton odeur épicée vient relever le doux fumet de l'entre-cuisses de ta femme, n'est-ce pas? Ferme les yeux, et poursuit les effluves, tu verras combien c'est enivrant! Rajouta Brahim.

Je jouai le jeu, alors que Brahim déplaçait tantôt à droite, tantôt à gauche, le petit string, parfois l'écrasant contre mon nez. Ce petit jeu eut tôt fait de me donner la trique et c'est sans honte que j'imitais maintenant Brahim et replaçant ma verge bandée sous mon pantalon de toile qui écrasait mon érection. Quand je rouvris les yeux, c'est avec stupeur que je découvris le visage de Brahim à quelques centimètres du mien, humant tout autant que moi le sous-vêtement de ma femme. Sans trop savoir pourquoi – j'étais dans grand état d'excitation – je plaquai ma bouche sur la sienne, embrassant l'homme devant moi. Il eut un vif mouvement de recul, puis, sans réfléchir plus longuement, plaquait à son tour sa bouche sur la mienne et nos langues se mélangèrent par les orifices du string, le tissu s'imprégnant de nos salives. La situation était assez étrange, j'embrassais l'amant de ma femme, moi qui n'avais jamais eu de fantasmes homosexuels... La situation fit cependant en sorte que, n'ayant moi non plus pas baisé avec ma femme depuis les trois jours que j'étais parti pour ce voyage d'affaires, l'excitation sexuelle était à son comble et sans trop savoir pourquoi, j'abandonnais la bouche de Brahim, le laissant continuer à jouer avec le string pendant qu'à genoux devant le divan, mes doigts et mes lèvres s'emparaient de ce chibre tendu à travers son pantalon. Le grognement de satisfaction qu'émit Brahim suffit pour me donner le courage de continuer et avec empressement, je lui sortais sa tige par la fermeture-éclair et l'engouffrai profondément dans ma gorge. L'odeur musquée de cet entrejambe masculin dans lequel mon nez fonçait à chaque aller-retour sur sa verge m'excitait plus que je ne l'aurais pensé et les tabous s'envolant à toute allure, je me débarrassais de mes vêtements alors que Brahim faisait de même. Une fois tous les deux nus, Brahim me hissa sur le divan, lécha longuement ma bite avant de cracher une bonne quantité de salive contre mon pubis et mon abdomen. Il y déposa ensuite le string de ma femme avant de recouvrir mon corps par le sien, nos bites se frottant l'une contre l'autre dans le string de ma femme. L'excitation était à son comble, nous étions en nage tous les deux, ce qui favorisait les mouvements de nos corps soudés qui se frottaient dans la passion.

Brahim reprit ma bouche entre ses lèvres et se déchaîna en appuyant sa verge encore plus contre la mienne. En quelques minutes, nous explosions tous les deux entre nos ventres, souillant le string de nos décharges abondantes. Brahim s'affaissa sur moi et nous avons récupéré de nos ébats impromptus en relaxant ainsi, sans fausse honte, ni pudeur, nos sexes débandant tout doucement entre nos corps.

Brahim se releva quelques instants plus tard, et c'est complètement nu qu'il emplit deux verres avant de s'asseoir, repu, sur le divan, me tendant mon scotch. Après avoir fait cul-sec, il prit le string de ma femme qui reposait toujours sur mon abdomen, essuya le sperme que j'avais sur le ventre avant de faire la même chose sur le sien. Il remit le petit sous-vêtement dans le même petit sac de plastique que ma femme avait pris et me fit promettre de lui remettre en arrivant chez moi.
Brahim, en parfait gentleman, me proposa la douche et de rester un peu chez-lui avant de reprendre la route.Il me témoigna l'affection  globale qu'il éprouvait pour notre couple. Ce faisant il me caressait et j'éprouvais un trouble de plus en plus grand, m'abandonnant entre ses bras. On remettait le couvert, mais nuance, Brahim qui avait repris toute sa vigueur bandait contre moi et me suçait, me plongeant dans des délices et un abandon total. Je découvrais confusément que je voulais être à lui...et je fis tout pour l'être...et je le fus aussi compètement qu'on l'imaginera. Ma femme et moi avions le même amant.

Nous nous promîmes de reprendre nos rencontres à trois. -"T'en fais pas si tu crains pas que ta femme te voie baisé par un homme, y aura du pour tous les trois" Je ne répondis rien, je me sentis rougir.  C'était clair, j'avais envie qu'elle me voie. Une porte venait de s'ouvrir, j'étais heureux et  transformé.

Brahim, avec un bisou fraternel me remit en voiture. Sur la route, je revivais en pensée la scène qui venait de se produire  chez l'amant de ma femme et ne pus m'empêcher de rire aux éclats en imaginant que jamais, ô grand jamais, je n'aurais cru quiconque m'aurait dit ce que nous avions vécu.

Comme promis, en arrivant à la maison, quand ma femme vint s'enquérir de la réaction de Brahim face à son petit cadeau, je lui sortis le sien qu'elle porta immédiatement à sa bouche en voyant le sperme encore gluant qui le maculait.

— Mais... fit-elle, le regard rempli d'interrogations... Je ne comprends pas... Je reconnais le goût et l'odeur du sperme de Brahim, mais y'a le tien aussi!?!

— Je te raconterai, je te raconterai! Lui répondis-je en l'embrassant, ne prenant même pas la peine de retirer le string gluant de son visage.

C'est ainsi que je découvris, à mon grand étonnement, que le goût et la texture du sperme m'allumait autant que l'odeur des liquides corporels de ces dames...

 

une porte venait de s'ouvrir, j'étais heureux et

transformé.
Merci Patrice de ta contribution.

 

 

 

Par Patrice - Publié dans : VIVRE SA SEXUALITE, SES FANTASMES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Mardi 17 décembre 2 17 /12 /Déc 06:26

classé dans REFLEXIONS

si ce n'est, même, la leur !  poème ouvert, à la Prévert

extrait du blog de JLK(hautetfort) Hou le vilain !

Ceux qui détestent la liberté...

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Celui qui te traite de branleur parce qu’il te voit lire dans le jardin jouxtant sa pelouse de fondé de pouvoir à gueule de Type Normal / Celle qui prétend que l’oncle Jonas a fait des études universitaires uniquement pour faire chier sa famille / Ceux qui interrompent toute conversation en déclarant que tout ça c’est de la philosophie / Celui qui est mis à pied pour avoir menacé son élève exhibitionniste de lui couper le sifflet s’il montre encore son zob à la récré / Celle qui se plaint à l’Association des propriétaires du fait que ses voisines se bécotent sur le balcon du huitième / Ceux qui remarquent avec acrimonie que le docteur congolais Douglas s’est payé un nouveau 4x4 Cherokee / Celui qui ne supporte pas la gaieté de l’ingénieur Sébastien Guex notoirement gay / Celle qui arbore LE body dont elle rêvait en dépit du risque de faire jaser ses collègues de l’onglerie À belles griffes / Ceux qui reprochent au beau Dutilleul de faire hurler ses conquêtes sans fermer les fenêtres alors qu’il y a des enfants en bas âge dans la Résidence des Muguets / Celui qui ne sait comment formuler sa plainte contre le milliardaire de la commune dont les pumas rugissent parfois la nuit et le réveillent même / Celle que ses frères et sœurs menacent d’exclure du clan Dulaurier après qu’elle a traité leur mère despotique de vieille chauve-souris édentée et méchante / Ceux qui s’inquiètent chaque fois de savoir si leurs nouveaux amis sont Du Bon Bord à savoir non seulement croyants mais pratiquants / Celui que sa famille a progressivement marginalisé du fait de sa propension à gaspiller sa part d’héritage en donations / Celle qui enrage de constater que son cousin Manu est encore en burn out et de nouveau chez sa poule friquée de Cadaquès / Ceux qui considèrent que le libertinage en plein air doit être régulé par des lois ad hoc, etc...

 

Allez ! ne te gêne pas, ajoute, continue...genre Alain Souchon qui fait pas mal dans le genre !  ( Foule sentimentale)..faut voir comme on nous parle . TOUS les hommes politiques, des journaleux aussi pourraient rentrer dans la liste à la Prévert.

 

souvenez-vous et relisez Prévert  dans son Dîner de têtes ... :

Ceux qui pieusement...
Ceux qui copieusement...
Ceux qui tricolorent
Ceux qui inaugurent
Ceux qui croient
Ceux qui croient croire
Ceux qui croa-croa
Ceux qui ont des plumes
Ceux qui grignotent...etc

 

Par JLK - Publié dans : MEDITATION & REFLEXIONS "Tempus Fugit" - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 16 décembre 1 16 /12 /Déc 21:36

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Au Maroc la prostitution masculine est en expansion

    La prostitution bon marché n’est pas exclusivement féminine. Des hommes se travestissent et essaient de de se faire une place dans le milieu. Mais la clientèle n’est pas la même. «Ce sont des hommes ayant un goût affiché pour leurs semblables, et qui aiment ressembler aux femmes. Nous ne sommes pas en concurrence avec nos amies femmes prostituées», lance Foulla, Mohamed de son vrai prénom. Parmi leurs clients, on trouve bisexuels et hétérosexuels amateurs de ces homos travestis, mais on y trouve également «des personnes tellement ivres qui ne font plus la différence entre un homme et une femme», souligne Foulla, sur un ton amusant. La passe dépend du client, de 50 DH à 200 DH selon le physique du travesti et le portefeuille du client. Les travestis bas de gamme du parc de la Ligue arabe et des boulevards sont souvent une cible des agressions des clochards et des rafles policières. Les passes ont lieu là où l’on peut le faire, à l’abri des regards : dans un jardin, le bas d’un immeuble, dans le noir d’une ruelle ou d’une impasse.
En général, travestis et femmes prostituées s’entendent bien, et ne se livrent pas de concurrence. «Il m’arrive de passer le numéro de téléphone de mes copines prostituées à un client à la recherche d’une femme. Il ne faut pas oublier que nous sommes dans la même galère, et qu’il faut bien qu’on s’entraide», conclut Foulla.
Direction Tanger. La ville du détroit, la nuit tombée, vit au rythme de visiteurs venus goûter aux délices d’une chair, pas trop chère, assez attirante, abondante à satiété. Lieu : un hôtel trois étoiles, sur la corniche, face à la mer. Les passes y sont quotidiennes, dans un cadre plus feutré, plus confortable. A proximité : une discothèque. Une clientèle masculine diversifiée : nationaux, Espagnols, Français, Hollandais, MRE, ressortissants de pays du Golfe. De l’alcool à profusion, on s’amuse. La clientèle féminine : des prostituées, de 18 à 30 ans, venues en majorité d’autres villes (Fès, Meknès, Taounate, Azrou, Sefrou, Asilah, Larache…), pour être plus discrètes et pour rencontrer des clients plus généreux. Chacune a son histoire.
Là encore, c’est la misère qui pousse la fille à vendre son corps, mais ce n’est pas la seule raison. Il y a même des filles qui ont fait des études, certaines ayant des diplômes universitaires. Siham et Malika, deux sœurs, 30 et 22 ans, viennent de Sefrou. La première a une licence en langues, sa cadette a laissé tomber les études au niveau du collège. «Je me suis mariée à 16 ans avec un homme que je n’aimais pas, mes parents me l’ont imposé. Ça n’a pas duré plus de deux ans, j’ai eu avec cet homme une fille, elle a maintenant 12 ans. J’ai repris mes études après le divorce, mais une fois diplômée, pas de travail», se désole Siham. La suite coule de source : de Fès, elle met le cap sur Tanger, pour vendre son corps et gagner de l’argent.
«Ici, les clients sont généreux, et on passe inaperçues. On ne se plaint pas, nos corps sont encore jeunes et séduisants pour attirer une bonne clientèle, ce qui nous a permis de louer un appartement pas loin de cet hôtel à 3 500 DH le mois», reprend Siham. Malika, la cadette, était elle aussi, mariée, mais à un Saoudien. Pas pour longtemps. Juste ce qu’il fallait à ce dernier pour profiter d’une chair fraîche, et pour elle de se faire offrir quelques bijoux. Elle ne parle pas, écoute sa sœur raconter leur histoire, sans broncher. L’ambiance s’échauffe dans la boîte. Par grappes, les filles sont réunies en cercles autour de tables, en train de boire, et d’attendre un signe du client. La discothèque n’est qu’un lieu de rencontres, et la soirée qui dure jusqu’à trois heures du matin est égrenée par des passes dans l’hôtel d’à côté, ou dans d’autres. La passe coûte de 400 à 1 000 dirhams, c’est en fonction de l’heure de la nuit à laquelle elle a lieu, et selon sa durée. La moisson journalière de la fille peut atteindre jusqu’à 1 500 DH par jour, mais il y a des jours où elle ne gagne pas le moindre sou.
«Les filles ont des charges liées à leur activité, raconte un client habitué du lieu. Les intermédiaires sont nombreux, et pour continuer à fréquenter cette boîte elle se doit de s’acquitter des pourboires au serveur, à la préposée au vestiaire, au videur, au chauffeur de taxi et au réceptionniste de l’hôtel. A chacun d’eux elle donne entre 50 et 100 DH. Mais les clients mettent souvent la main à la poche pour les aider. Ici, les filles préfèrent l’hôtel à l’appartement, elles se méfient de clients agressifs et brutaux, elles y sont plus à l’aise. Il faut ajouter à ces charges la dîme de la police quand la fille est arrêtée lors d’une rafle, c’est pourquoi elles préfèrent ne jamais s’afficher dans la rue avec un client, mais que ce dernier les rejoint à l’hôtel». La prostitution de ce niveau bat son plein dans toutes les grandes villes. La clientèle est souvent constituée de cadres de sociétés, de fonctionnaires, de commerçants plus ou moins fortunés, et d’étrangers qui font miroiter leurs devises en échange de jeunes filles à peine pubères. Elle se pratique dans des hôtels moyenne gamme, ou dans des appartements appartenant à des entremetteuses.
Quant à la prostitution de luxe, c’est une autre affaire. Là, on passe à une autre catégorie sociale, à un autre standing, où le métier devient très rentable, et où beaucoup de filles ne s’avouent pas prostituées.

Reportage et statistiques  

Pour 47% des femmes interrogées vendre son corps est un choix...

Menée en janvier 2008, l’enquête de l’Organisation panafricaine de lutte contre le sida (OPALS) a touché 500 vendeuses de sexe dans sept villes du Royaume : Azrou, Khénifra, Béni Mellal, Meknès, Fès, Agadir et Rabat.
L’âge : 234 ont entre 21 et 30 ans. 81 sont âgées entre 16 et 20 ans. Le reste de l’échantillon ne dépasse pas 35 ans. Sans parler des enfants qui ont moins de 15 ans et qui sont déjà prostituées. Au-delà de 35 ans, la jeunesse et l’éclat du visage se fanent : les nuits blanches, l’alcool et la drogue produisent leurs effets. Les plus chanceuses se convertissent en proxénètes ou deviennent propriétaires d’appartements qu’elles louent à de jeunes prostituées.
Lieu de résidence : 46,5% vivent hors familles, soit avec un partenaire, soit avec d’autres femmes prostituées, soit avec une proxénète dans des maisons closes ou seules. 226 femmes sur 500 interrogées affirment avoir des enfants à charge, des dépenses donc de plus, or le prix de la passe dépasse rarement 50 dirhams.
Niveau scolaire : 31,5% des prostituées ne sont jamais allées à l’école. Mais, chose étonnante : 21,1% d’entre elles ont fait des études supérieures et possèdent même un diplôme.
50 clients par semaine : 483 interrogées révèlent entretenir des rapports sexuels avec un nombre allant jusqu’à 50 clients au cours de la semaine. 39,5% de l’échantillon sont divorcées, 4% sont mariées et se prostituent souvent en cachette pour subvenir aux besoins de la famille.
La prostitution est un choix : 261 travailleuses du sexe interrogées sont prêtes à abandonner ce métier, mais 47% de l’échantillon déclarent que la prostitution est un choix. Pour 52,8%, il s’agit d’un travail provisoire. Pour 233 interrogées, l’activité est permanente.
Protection : 43,5% des prostituées, pour une raison ou une autre, ne se protègent pas. Se protéger est un luxe : le préservatif est cher.

     On se prostitue aussi pour avoir de beaux habits, des bijoux, des voitures...

 

Par slate - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Lundi 16 décembre 1 16 /12 /Déc 14:31

  classé dans PROSTITUES DE MON COEUR  

 

 

 

                                          A glisser dans ton boxer !      

Propos recueillis par J.-F. G. LeMidiLibre  
20/09/2013, 10 h 45 |

La prostitution serait d’après lui un métier d’avenir.
La prostitution serait d’après lui un métier d’avenir. (Photo d’illustration CHRISTOPHE FORTIN)

Mickaël a 20 ans. Il est étudiant à Avignon et depuis maintenant un an, il loue son corps occasionnellement. "C'est de l'argent facile." Témoignage.

Depuis qu’il a publié son annonce sur un site internet spécialisé, il mène une double vie. Et lorsqu’il entend parler de poursuites pénales sur la prostitution, le jeune homme sourit…

- Comment en êtes-vous arrivé à vous prostituer ?

L’année dernière, j’ai regardé un site d’escort boy sur internet. Nous étions en soirée avec un ami et il m’a dit “si tu le fais je le fais !” Tout a démarré aussi simplement que ça. Un pari stupide. Sauf que ça a été rentable très vite. Depuis, je reçois régulièrement des coups de téléphones. Je rencontre mes éventuelles clientes dans des bars et je leur demande combien elles seraient prêtes à mettre pour une passe.

- Ça dure depuis 1 an et ça ne vous a jamais mis mal à l’aise  ?

Au début, c’est assez intimidant. Ensuite, c’est franchement agaçant de recevoir des coups de fils et des textos tous les soirs. J’ai beaucoup d’appels d’hommes et de transsexuels qui souhaitent me rencontrer. Mais je refuse. Il faut savoir être ferme. Mais je trouve cette situation plutôt excitante. J’ai 20 ans, je suis très sportif et je ne fais de mal à personne. Je gagne de l’argent et je suis désiré. C’est de l’argent facile.

- Mais vous n’avez pas de problème de conscience par rapport à ça ?

Je fais partie d’une génération qui n’est pas vraiment complexée. Je vends mon corps à mon compte et cela ne me dérange pas. Vous auriez préféré que je vende du cannabis ? Bien sûr, ma famille n’est pas au courant et ma copine non plus. Mais que voulez-vous ? Que je cherche du travail pour toucher une misère. Avec le risque qu’on me refuse parce que je n’ai pas assez d’expérience ? Pas plus tard qu’hier, une femme âgée d’une quarantaine d’années m’a donné 50 € pour me faire une fellation dans sa voiture.

- Quelle est d’ailleurs votre clientèle ?

Je reçois énormément d’appels d’hommes plutôt mûrs. Mais ça, je ne fais pas. Il y a également des jeunes femmes mais généralement, elles font plutôt ça pour rire. Ma vraie clientèle est constituée de femmes, mariées ou pas, d’une cinquantaine d’années. Elles sont parfois très belles… parfois beaucoup moins. Mais pour 3 h à 150 €, c’est pas si terrible.

- Vous comprenez que l’on puisse être choqué par la prostitution ?

Que les choses soient claires ! Je suis outré et scandalisé par les filles qui sont maquées sur les remparts ou au bord de la nationale. Il faut lutter contre ce genre d’esclavagisme mais pas contre la prostitution. Mais il y a aussi des filles et des mecs qui sont à leur propre compte. Et qui savent très bien ce qu’ils font. Ce ne sont pas des victimes.

- Vous êtes donc pour légaliser la prostitution ?

La prostitution, c’est comme le cannabis et l’alcool. Tant qu’il y aura des clients, il y aura des vendeurs. Vous pouvez l’interdire, ou encore sanctionner des clients. Il y en aura toujours.Il ne faut pas s'attendre à ce que ce soient les prostitués qui expliquent que c’est mal !             

 

    

                                                                      Italie en bordure d'un espace boisé... 

 

J&#8217;adore!! 

où ranger mes dollars ?  

Est-ce qu'on met des amendes aux mecs qui vont voir des psy ?  

      cités...  

                                                          ça discute sur les putes...tiens ça rime  

Par midilibre - Publié dans : LOIS SUR SEXUALITE -MAJORITE-PROSTIT.-DELITS . - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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