Partager l'article ! Les tabous s'envolant à toute allure, ...je suçais l'amant de ma femme.: classé dans SEXO VIVRE SA SEXUALITE ...
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Cette sexologue nous avait rassurés en nous disant que notre cas était fréquent et que plusieurs couples avaient pu rallumer la flamme avec ces méthodes. Échec lamentable dans notre cas; les jouets sexuels étaient encombrants car nous étions gênés de les utiliser et pour les jeux de rôles, comme nous n'étions doués ni l'un ni l'autre pour l'acting, l'exercice paraissait faux et ne nous amusions pas... Malgré tout, nous ne nous avouions pas vaincu pour autant. Il devait bien y avoir quelques chose à faire! Il s'agissait de trouver quoi...
Monique, une copine de ma femme, une célibataire endurcie qui n'a jamais voulu de conjoint, lui a alors raconté qu'elle prenait parfois part dans des petites soirées coquines organisées pour les couples et célibataires libérés et qu'elle prenait un grand plaisir à accompagner des couples pour des petites joutes sexuelles en trio. Quand ma femme m'a parlé de cela, ça m'a paru tout d'abord bizarre, puis peu à peu, l'idée s'est installée et c'est ainsi que nous nous sommes retrouvés au club privé de sa copine. Ma femme et moi avions tous les deux le vif désir que notre relation fonctionne, alors on s'était dit qu'il fallait tout essayer... Cette fois, ce ne fut pas un fiasco, mais ce n'était pas une réussite non plus.
Nous avions tenté, à l'aide d'un gentil couple un peu plus jeune que nous que nous avait présenté sa copine, l'échangisme. Dans la même chambre, nous étions là, les deux couples, et alors que ce jeune étalon possédait ma femme sur le lit, je pris plaisir en baisant sa femme. Suite à cette soirée, ma femme et moi en avions largement discuté et bien que la jalousie n'était pas la cause de l'inefficacité de l'exercice, elle n'avait pu pleinement se laisser aller, de peur que j'aie un élan de jalousie car elle prenait du plaisir avec un autre homme, et moi, de mon côté, je ne sentais mal à l'aise de prendre mon pied avec une autre femme qu'elle. Nous nous rapprochions cependant du but car dans les semaines qui ont suivi, notre relation fut plus chaude, plus érotique qu'au cours des dernières dix années...
Nous avons donc décidé que ma femme en parlerait avec sa copine et celle-ci a donc convaincu de revenir au club privé pour retenter la même expérience, mais cette fois-ci, pour une rencontre en deux volets : la première fois dans des chambres séparées, et ensuite, on se retrouverait tous les quatre dans la même chambre. Ce qui fut fait.
Quand nous sommes arrivés, le jeune couple que nous avions rencontré la dernière fois, et que nous connaissions déjà, ont volontiers accepté notre requête et c'est ainsi que je me suis retrouvé dans une chambre avec Émilie alors que ma femme s'est rendue dans une autre pièce avec Daniel. On s'était donné rendez-vous dans l'une des grandes chambres doubles 45 minutes plus tard. Ma femme et moi, on s'était promis de se laisser à fond cette fois-ci, sachant à présent que la jalousie n'avait pas prise dans notre couple. Le seul but était de profiter pleinement de l'expérience.
Ma rencontre avec Émilie s'est très bien déroulée. Après quelques discussions générales, nous avions entrepris de nous déshabiller mutuellement et après une multitude de caresses, de part et d'autre, nous avons fait l'amour doucement, savourant chaque instant de cet échange charnel. J'avais réussi pour ma part à ne pas être absorbé par un sentiment de culpabilité du plaisir que j'éprouvais et donc, j'ai pris mon pied comme il ne m'était pas arrivé depuis longtemps. Au bout du délai prévu, légèrement vêtus, nous nous sommes retrouvés dans la grande chambre. Daniel et ma femme se sont pointés deux minutes plus tard. Le choc! Ma femme avait un sourire radieux et comme Daniel se rendit vers Émilie immédiatement pour l'embrasser, je fis de même et me jetai aux bras de ma femme pour l'étreindre avec fougue. Le plus naturellement du monde, nous nous sommes retrouvés à quatre sur le grand lit, chacun de nous deux avec sa propre compagne, et l'énergie sexuelle ainsi partagée nous permit de faire longuement l'amour à notre femme. Bien que nous restions un peu dans notre petite bulle, en même temps que nous nous donnions entièrement à notre femme, les mains se promenaient d'un corps à l'autre, les bouches se soudaient les unes aux autres sans se limiter à notre femme et ce sont quatre corps remplis d'énergie et se désir qui se mêlaient parfois, et j'ai pu lire dans les yeux de ma femme un amour inconditionnel en ma faveur : ses yeux pétillaient de mille feux quand elle jouit la première fois.
Loin d'être terminée, notre joute se poursuivait de plus belle. Nos deux femmes se sont regardées quelques instants alors que Daniel et moi les chevauchions avec toute la sensualité qui nous habitait, et tout à coup, leurs lèvres se sont rapprochées et ma femme embrassait pour la première fois une autre femme. Excité par cette vision, ma queue a bien dû doubler de volume, au point tel que ma femme s'est cambré les reins pour jouir à nouveau alors que mon vit allait et venait dans son conduit d'amour. Elle me fixait alors droit dans les yeux alors que je tentais de retenir ma propre jouissance, heureusement aidé par le fait d'avoir joui l'heure d'avant avec Émilie alors que nous étions seuls dans l'autre chambre. Je savais que je n'allais plus durer très longtemps et Daniel, m'entendant le dire à ma femme, me prit fermement une fesse dans sa main, et après l'avoir malaxée avec force, introduisit son majeur dans mon cul qui n'avait jamais connu cette sensation auparavant. La surprise et l'intensité de cette expérience eut tôt fait de me faire jouir alors que ma femme se tordait de plaisir sous mes coups de butoir. Daniel se laissa alors aller dans le vagin de sa femme et épuisé, retomba sur elle, la couvrant tout comme je recouvrais le corps bouillant de ma femme. Un long ballet de baisers croisés fit place à l'énergie sexuelle pure de la pénétration et c'est sans arrière-pensée que je me suis même abandonné aux lèvres de Daniel qui prenaient possession de ma bouche alors que nos femmes s'échangeaient un baiser enflammé. Même plus jeune Je n'ai jamais eu de penchant pour les hommes..Mes copains eux trouvaient toujours une bonne excuse pour se sucer ou se branler mutuellement. Moi non. Cette chaude séance haute en émotions avec ce jeune couple se refermait naturellement autour de cette chevauchée extraordinaire.
Dans les semaines qui ont suivi, notre ardeur sexuelle fut décuplée entre ma femme et moi, et c'était toujours un plaisir renouvelé de se retrouver le soir, dans notre lit, où nos relations sexuelles étaient toutes plus intenses les unes que les autres. Après l'amour, nous n'étions que plus proches. Un mois passa, puis un second où la routine reprenait place peu à peu. Au lieu de faire l'amour tous les soirs, ce fut d'abord un soir sur deux, puis deux ou trois fois par semaine. Au bout de deux mois complets, nous venions de passer une semaine complète sans nous être touchés. Ma femme et moi en avons longuement discuté. Nous en sommes venus à la conclusion qu'il fallait entretenir notre chimie sexuelle et que pour le faire, peut-être avions nous besoin de recommencer ces rencontres, sinon sur une base rapprochée, au moins sur une base régulière. Après que ma femme en ait parlé à sa copine qui nous avait introduit au club, nous avons donc décidé d'un commun accord d'y aller une fois par mois. Nous pourrions toujours nous raviser par la suite au vu des résultats.
Nous nous sommes donc rendus une fois de plus à ce club et comme Daniel et Émilie n'étaient pas là, Monique nous a présentés à quelques unes de ses connaissances qui fréquentaient l'endroit. C'est ainsi que nous avons connu Brahim, un homme d'affaires d'origine algérienne mais né ici, et Suzanne, une dentiste dans la mi-trentaine, qui partageait les mêmes vues quant aux relations de couples que Monique. Brahim habitait à plus de 200 kilomètres d'ici mais venait de temps à autre dans notre ville pour affaires. Ce soir là, c'est chacun de notre côté que la soirée s'est déroulée, ma femme avec Brahim, Suzanne avec moi. Il n'y eut pas de retrouvailles en groupe après nos échanges comme ce fut le cas avec Daniel et Émilie. J'avais bien aimé ma soirée, mais il me manquait un petit quelque chose après. Rendus à la maison, ma femme et moi, nous nous sommes dévêtus aussitôt rentrés et c'est par terre dans le salon, parmi nos vêtements épars, que nous avons fait longuement l'amour. Pour ma femme, comme pour moi, nous avions besoin de ce rapprochement tout de suite après pour venir sceller et renforcer notre amour après l'échange. Comme les autres fois, notre énergie sexuelle se renouvelait jour après jour et nous appréciions encore plus notre intimité.
C'est ainsi que pendant les six mois qui ont suivi, nous nous rendions à ce club, le dernier samedi du mois, afin d'aller recharger nos batteries d'énergie sexuelle. Nous avions eu l'occasion de refaire l'amour avec Daniel et Émilie, ma femme avait aussi revu ce Brahim deux ou trois fois et de mon côté, j'avais eu quelques aventures sans suite avec quelques femmes du club, et même une fois avec Monique, avec l'assentiment de ma femme, bien entendu. Nos soirées non plus n'étaient pas toujours de la même qualité que celles que nous avions connues avec Émilie et Suzanne, mais le résultat demeurait le même : le mois qui suivait nous apportait, ma femme et moi, le plaisir renouvelé, cet abandon charnel qui nous faisait défaut avant de commencer nos visites au club d'échangisme.
Un soir, alors que nous revenions de notre visite mensuelle au club, soirée que ma femme avait eu la chance de passer avec Brahim, elle me demanda alors que nous revenions dans l'auto : « Mon chéri, te sentirais-tu bien avec l'idée que je rencontre toujours le même amant quand nous allons au club? » Elle m'expliqua longuement ses raisons que je trouvais parfaitement raisonnables et compréhensibles : elle avait de la difficulté à s'adapter facilement avec un homme rencontré au hasard et prenait beaucoup plus de plaisir dans une relation plus intime, avec le même homme. Cependant, elle avait peur que je me sente déstabilisé à l'idée qu'elle ait toujours le même amant. Je la rassurai et lui dit que je la comprenais un peu et bien que c'était plus facile pour moi de m'acclimater avec une femme rencontrée le soir-même, je ne me sentais pas du tout jaloux au fait qu'elle puisse avoir développé une certaine affection avec Brahim (elle fut surprise que je l'aie deviné!) et que si c'était son désir, que je n'éprouvais aucune jalousie à son égard, même s'il était son amant régulier... Et comme toujours, dès que nous fûmes de retour à la maison, nous fîmes l'amour avec passion, nos corps chauds et brûlants l'un contre l'autre, se retrouvant après avoir butiné d'autres fleurs...
Presqu'une année se déroula ainsi... Tous les mois, Brahim et ma femme, sitôt au club, se retrouvaient dans une chambre alors que moi, je volais d'une fleur à l'autre, parfois renouvelant l'expérience avec une compagne que j'avais déjà connue, parfois avec une parfaite inconnue, me retrouvant même une fois dans un trio avec Daniel et Émilie qui n'avaient pas trouvé de couple avec qui ça avait cliqué. Nous nous sommes donc relayés, Daniel et moi, pour saillir Émilie qui en avait vu des étoiles. J'avais tout d'abord été incertain au début, notamment à cause du baiser que j'avais échangé avec Daniel dans notre seconde rencontre, et également en me souvenant du doigt inquisiteur qu'il avait fait pénétrer entre mes fesses ce même soir. Cette promiscuité à nous retrouver tous les deux besognant sa femme n'a rien changé et c'est avec surprise que je me sentis quelque peu sur ma faim après que Daniel se soit frotté la queue contre mon dos pour me signaler son envie de reprendre la place dans les chairs accueillantes de sa femme. Je mis le tout sur le compte que je les connaissais bien et que je n'avais pas d'appréhension à me retrouver avec eux.
L'été suivant, alors que nous étions parti faire un voyage pour les vacances, nous n'avions pu nous rendre à notre visite mensuelle au club. Nous avions cependant pris un roulement naturel avec ces visites et notre sexualité de couple n'en fut pas affectée. À notre retour de vacances, mon patron m'avait cependant demandé de remplacer un collègue pour aller rencontrer un nouveau client potentiel à plus de 300km de chez moi. Je ne serais parti que deux ou trois jours. J'ai dû accepter et j'en informai ma femme en arrivant à la maison. Il n'y avait rien d'exceptionnel à ce petit voyage d'affaires, mais comme j'allais passer en m'y rendant par la ville où Brahim habitait, elle me demanda si ça me gênait qu'elle lui envoie par mes soins un de ses sous-vêtements, pour se faire pardonner d'avoir manqué son rendez-vous avec lui pendant nos vacances. Je ne fus pas le moins du monde choqué et acceptai avec plaisir cette petite visite coquine à l'amant de ma femme.
Le soir même, nous avons longuement fait l'amour et je la pénétrai doucement en levrette, alors qu'elle avait pris soin de garder un joli petit string de dentelle noire sur elle. Après avoir joui tous les deux, elle plaça son petit string dans un paquet qu'elle me remit, me faisant promettre de le laisser à Brahim en revenant de mon rendez-vous d'affaires.
Tout s'est très bien déroulé chez mon client. Un contrat important fut signé et c'est le cœur satisfait que je repris la route pour revenir à la maison. Comme promis, je me suis arrêté dans la ville où Brahim travaillait. Comme nous étions en plein jour, Brahim m'avait donné rendez-vous à son bureau au centre-ville. Un peu surpris de ma visite, c'est tout de même chaleureusement qu'il m'accueillit. Nous étions à discuter de nos emplois respectifs sur le grand canapé de cuir qu'il avait dans son bureau lorsque je pris dans mon attaché-case le petit paquet que lui avait préparé ma femme. Avec curiosité, il l'ouvrit et voyant le petit string de dentelle qui avait conservé toute son humidité grâce au petit sac de plastique dans lequel ma femme avait eut soin de l'envelopper. Les yeux frétillants, il prit le string en me regardant d'un regard vicieux et le porta à son nez. Il huma profondément le bout de tissu avant de me lancer en connaisseur :
— Je reconnais l'odeur intime de ta femme mais j'y décèle aussi une autre odeur, un peu plus musquée...
— Ma femme portait ce string quand nous avons fait l'amour... Elle voulait cependant t'envoyer un petit souvenir, étant donné qu'elle avait manqué votre dernier rendez-vous à cause de nos vacances...
— C'est très gentil de sa part, je m'ennuyais réellement de son odeur corporelle... J'avoue qu'ainsi mêlée avec ton odeur, cela rend le souvenir encore plus capiteux! Avoua-t-il, replaçant son membre raidi dans son pantalon, ce qui m'amusa... As-tu déjà senti les odeurs intimes de ta femme de cette façon? Demanda-t-il le plus naturellement du monde, tout en tendant le bout de tissu vers mon visage.
La surprise passée, car en effet, je n'avais jamais pensé aller sentir ses sous-vêtements pour retrouver ses odeurs intimes, j'approchai mon nez et découvrit l'odeur capiteuse de ma femme...
— Ton odeur épicée vient relever le doux fumet de l'entre-cuisses de ta femme, n'est-ce pas? Ferme les yeux, et poursuit les effluves, tu verras combien c'est enivrant! Rajouta Brahim.
Je jouai le jeu, alors que Brahim déplaçait tantôt à droite, tantôt à gauche, le petit string, parfois l'écrasant contre mon nez. Ce petit jeu eut tôt fait de me donner la trique et c'est sans honte que j'imitais maintenant Brahim et replaçant ma verge bandée sous mon pantalon de toile qui écrasait mon érection. Quand je rouvris les yeux, c'est avec stupeur que je découvris le visage de Brahim à quelques centimètres du mien, humant tout autant que moi le sous-vêtement de ma femme. Sans trop savoir pourquoi – j'étais dans grand état d'excitation – je plaquai ma bouche sur la sienne, embrassant l'homme devant moi. Il eut un vif mouvement de recul, puis, sans réfléchir plus longuement, plaquait à son tour sa bouche sur la mienne et nos langues se mélangèrent par les orifices du string, le tissu s'imprégnant de nos salives. La situation était assez étrange, j'embrassais l'amant de ma femme, moi qui n'avais jamais eu de fantasmes homosexuels... La situation fit cependant en sorte que, n'ayant moi non plus pas baisé avec ma femme depuis les trois jours que j'étais parti pour ce voyage d'affaires, l'excitation sexuelle était à son comble et sans trop savoir pourquoi, j'abandonnais la bouche de Brahim, le laissant continuer à jouer avec le string pendant qu'à genoux devant le divan, mes doigts et mes lèvres s'emparaient de ce chibre tendu à travers son pantalon. Le grognement de satisfaction qu'émit Brahim suffit pour me donner le courage de continuer et avec empressement, je lui sortais sa tige par la fermeture-éclair et l'engouffrai profondément dans ma gorge. L'odeur musquée de cet entrejambe masculin dans lequel mon nez fonçait à chaque aller-retour sur sa verge m'excitait plus que je ne l'aurais pensé et les tabous s'envolant à toute allure, je me débarrassais de mes vêtements alors que Brahim faisait de même. Une fois tous les deux nus, Brahim me hissa sur le divan, lécha longuement ma bite avant de cracher une bonne quantité de salive contre mon pubis et mon abdomen. Il y déposa ensuite le string de ma femme avant de recouvrir mon corps par le sien, nos bites se frottant l'une contre l'autre dans le string de ma femme. L'excitation était à son comble, nous étions en nage tous les deux, ce qui favorisait les mouvements de nos corps soudés qui se frottaient dans la passion.
Brahim reprit ma bouche entre ses lèvres et se déchaîna en appuyant sa verge encore plus contre la mienne. En quelques minutes, nous explosions tous les deux entre nos ventres, souillant le string de nos décharges abondantes. Brahim s'affaissa sur moi et nous avons récupéré de nos ébats impromptus en relaxant ainsi, sans fausse honte, ni pudeur, nos sexes débandant tout doucement entre nos corps.
Brahim se releva quelques instants plus tard, et c'est complètement nu qu'il emplit deux verres avant de s'asseoir, repu, sur le divan, me tendant
mon scotch. Après avoir fait cul-sec, il prit le string de ma femme qui reposait toujours sur mon abdomen, essuya le sperme que j'avais sur le ventre avant de faire la même chose sur le sien. Il
remit le petit sous-vêtement dans le même petit sac de plastique que ma femme avait pris et me fit promettre de lui remettre en arrivant chez moi.
Brahim, en parfait gentleman, me proposa la douche et de rester un peu chez-lui avant de reprendre la route.Il me témoigna l'affection globale qu'il éprouvait pour notre couple. Ce faisant
il me caressait et j'éprouvais un trouble de plus en plus grand, m'abandonnant entre ses bras. On remettait le couvert, mais nuance, Brahim qui avait repris toute sa vigueur bandait contre
moi et me suçait, me plongeant dans des délices et un abandon total. Je découvrais confusément que je voulais être à lui...et je fis tout pour l'être...et je le fus aussi compètement qu'on
l'imaginera. Ma femme et moi avions le même amant.
Nous nous promîmes de reprendre nos rencontres à trois. -"T'en fais pas si tu crains pas que ta femme te voie baisé par un homme, y aura du pour tous les trois" Je ne répondis rien, je me sentis rougir. C'était clair, j'avais envie qu'elle me voie. Une porte venait de s'ouvrir, j'étais heureux et transformé.
Brahim, avec un bisou fraternel me remit en voiture. Sur la route, je revivais en pensée la scène qui venait de se produire chez l'amant de ma femme et ne pus m'empêcher de rire aux éclats en imaginant que jamais, ô grand jamais, je n'aurais cru quiconque m'aurait dit ce que nous avions vécu.
Comme promis, en arrivant à la maison, quand ma femme vint s'enquérir de la réaction de Brahim face à son petit cadeau, je lui sortis le sien qu'elle porta immédiatement à sa bouche en voyant le sperme encore gluant qui le maculait.
— Mais... fit-elle, le regard rempli d'interrogations... Je ne comprends pas... Je reconnais le goût et l'odeur du sperme de Brahim, mais y'a le tien aussi!?!
— Je te raconterai, je te raconterai! Lui répondis-je en l'embrassant, ne prenant même pas la peine de retirer le string gluant de son visage.
C'est ainsi que je découvris, à mon grand étonnement, que le goût et la texture du sperme m'allumait autant que l'odeur des liquides corporels de ces dames...
une porte venait de s'ouvrir, j'étais heureux et
transformé.
Merci Patrice de ta contribution.
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