cavaillongay-lesitelocal

classé dans DECONNE

Pliez un papier tâché d'encre en deux et laissez le hasard décider :

non ! le hasard ne vous fournira pas ça !  

         etc...

 EN FAIT C'EST TRES SERIEUX

Le vrai principe :
Une dizaine de planches comportant chacune une tache symétrique est présentée à un patient. Ce dernier doit décrire ce qu’il voit. La libre interprétation de l’image permet d’étudier sa personnalité Il y en a sept en noir et blanc et trois en couleur. Le test fait appel à la perception et à l'inconscient. C’est donc un outil pour diagnostiquer l’état mental du patient. Il entre dans une démarche d’examen clinique, d’ailleurs souvent utilisé dans les hôpitaux psychiatriques.

Lorsque les taches sont interprétées, le clinicien les analyse en fonction de différents critères. Le premier : la localisation. Le spécialiste étudie la façon dont le patient a pu se fixer sur un détail précis. Autre point important : la thématique de la planche. Les planches ne présentent pas des taches au hasard, sans aucun sens. En réalité, le patient l'ignore mais chaque planche correspond à un thème donné. Exemple : le phallus donc le rapport au père et la castration, l'image de soi etc... Les planches sont donc disposées et présentés dans un ordre précis, en fonction des thèmes qu'elles représentent. Et leur interprétation par le patient permettra d'analyser son rapport à la thématique concernée. Ainsi, uner absence totale de réponse à la planche numéro 5 traitant de l'image de soi peut signifier que le sujet éprouve des difficultés à s’identifier.

Ensuite, on procède aux résultats. Ils sont inscrits sur ce qu’on appelle le psychogramme. Ce graphique reprend les réponses du patient et les différentes données étudiées. Apparaît alors l’indice d'angoisse, obtenu grâce au nombre de fois où le patient a cité le sang, le sexe, l'anatomie.

Cette découverte (1921) aurait dû être exploitée par son auteur (Hermann R. suisse ça fera plaisir à Fabien s'il vient encore au blog Cavaillongay ) mort très jeune. D'autres psy' l'ont développée.  Dautres l'ont violemment critiquée.  

Des artites s'en sont emparés :

et ci-dessous, que voyez-vous dans ces pétales de rose ? ?

classé dans VIVRE SA SEXUALITE

Ordination diaconale dans un diocèse

Comme dans la société civile,

l'Eglise a, a eu, (aura ???) ses invisibles

Entretien LU DANS MARIANNE :"il a fermé soigneusement la porte afin de s'assurer que personne ne pourrait surprendre notre conversation. Et puis il s'est assis le dos à la fenêtre et ça a été comme un torrent. A 72 ans, et pour la première fois depuis vingt ans que je le connais, le frère S., dominicain longtemps chargé, dans son couvent du nord de la France, d'importantes responsabilités, me raconte son parcours d'homosexuel. Nous sommes au troisième jour de la conférence de Lourdes. Les évêques de France, annonce la radio, lancent une «croisade» contre le «mariage pour tous»".

UN DIACRE PROTESTANT EVOQUE SON HOMOSEXUALITE

par Abdoulaye Penda Ndiaye - Un responsable de culte, qui officie depuis 20 ans, parle des avancées de l’église réformée sur l’homosexualité qui, selon lui, «n’est plus un sujet tabou».

L’Eglise protestante vaudoise a accepté le principe d’un rite pour les couples homosexuels au bénéfice d’un partenariat enregistré. Pour Didier*, ministre gay officiant dans le canton de Vaud, cette ouverture permettra à des chrétiens de vivre leur foi sans culpabiliser.

–Dans quel contexte s’est fait votre coming-out?
– Diacre consacré depuis 1992, je vivais de façon inconfortable ma foi et mon orientation sexuelle. J’ai décidé d’en parler à mon conseil de paroisse en 2004. C’était un soulagement de me voir accepté en tant que ministre gay.

A mon avis, c’est la fin du ghetto pour les chrétiens gays. L’Eglise est en phase avec les textes religieux, qui parlent plus d’amour et de tolérance que d’homosexualité. Ce dernier sujet n’est plus tabou au sein de l’Eglise. Et c’est une avancée remarquable.

–Pasteur et homosexuel, cela doit être rare quand même.
– Je pense qu’il y a la même proportion qu’au sein de la population, à savoir entre 5% et 6%.( Kinsey donnait 10% ndlr) J’invite d’ailleurs mes collègues gays à réfléchir sur l'utilité de faire leur coming-out."

classé dans REFLEXIONS

Ordination diaconale dans un diocèse

   Comme dans la société civile, 

 l'Eglise a, a eu, (aura ???) ses invisibles 

Entretien LU DANS MARIANNE :"il a fermé soigneusement la porte afin de s'assurer que personne ne pourrait surprendre notre conversation. Et puis il s'est assis le dos à la fenêtre et ça a été comme un torrent. A 72 ans, et pour la première fois depuis vingt ans que je le connais, le frère S., dominicain longtemps chargé, dans son couvent du nord de la France, d'importantes responsabilités, me raconte son parcours d'homosexuel. Nous sommes au troisième jour de la conférence de Lourdes. Les évêques de France, annonce la radio, lancent une «croisade» contre le «mariage pour tous»".

UN DIACRE PROTESTANT EVOQUE SON HOMOSEXUALITE

par Abdoulaye Penda Ndiaye - Un responsable de culte, qui officie depuis 20 ans, parle des avancées de l’église réformée sur l’homosexualité qui, selon lui, «n’est plus un sujet tabou».

L’Eglise protestante vaudoise a accepté le principe d’un rite pour les couples homosexuels au bénéfice d’un partenariat enregistré. Pour Didier*, ministre gay officiant dans le canton de Vaud, cette ouverture permettra à des chrétiens de vivre leur foi sans culpabiliser.

–Dans quel contexte s’est fait votre coming-out?
– Diacre consacré depuis 1992, je vivais de façon inconfortable ma foi et mon orientation sexuelle. J’ai décidé d’en parler à mon conseil de paroisse en 2004. C’était un soulagement de me voir accepté en tant que ministre gay.

A mon avis, c’est la fin du ghetto pour les chrétiens gays. L’Eglise est en phase avec les textes religieux, qui parlent plus d’amour et de tolérance que d’homosexualité. Ce dernier sujet n’est plus tabou au sein de l’Eglise. Et c’est une avancée remarquable.

–Pasteur et homosexuel, cela doit être rare quand même.
– Je pense qu’il y a la même proportion qu’au sein de la population, à savoir entre 5% et 6%.( Kinsey donnait 10% ndlr) J’invite d’ailleurs mes collègues gays à réfléchir sur l'utilité de faire leur coming-out."