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Ce qui l'intéresse surtout, c'est mon cul qu'il fouille d'abord avec sa langue puis qu'il pénètre durement de son dard turgescent.

  JM me place alors un plug réglable qui m'empêche de me vider les boyaux. Pour être sûr que mon cul reste bien plein de sa pisse, JM me place une courroie joignant mon entre-cuisses à mon épaule gauche; il boucle cette courroie dans mon dos, là où je ne peux accéder! Une seconde courroie fait un tour semblable mais elle passe sur mon épaule droite. Mes couilles et ma bite bandante sont écrasées par ces entraves. Le plug est bien coincé. La pisse de JM est prisonnière de mon corps... Je commence à avoir mal au ventre et je bande quand même très fort.

Je dois aussi sucer le gros morceau qui vient de m'inonder les boyaux. Je le suce... jusqu'à ce qu'il jouisse. Un foutre abondant m'envahit la bouche et j'ai ordre de ne rien cracher, ni avaler! Je me rhabille et JM me donne une adresse où je dois livrer ces précieux liquides. Heureusement ce n'est pas très loin car je souffre de plus en plus du ventre; j'ai aussi du mal à garder sous la langue le foutre de JM. Je marche, penché vers l'avant tant les courroies m'y obligent et tant la douleur m'insupporte! Ce supplice ne m'empêche pas de bander et mes couilles sont compressées à en exploser! Des passants me regardent d'un air curieux; il y en a même un qui me demande: "Vous avez besoin d'aide?" Je ne peux répondre... la bouche pleine!

J'arrive enfin à l'adresse de "livraison". Le receveur, voyant mon extrême souffrance, aspire goulûment le sperme devenu très liquide mais encore chaud, me fout à poil et s'allonge nu sur le sol. Je suis accroupi face à lui sur son bas-ventre, attendant la délivrance... Il déboucle mes courroies, m'arrache violemment le plug... et je lâche ce bon liquide resté à 37°C sur ses couilles et sa queue qu'il tient bien verticale. Ouf! Ça fait du bien!

Il n'attend pas que j'aie tout vidé pour m'enfoncer brusquement sa bite dans mon sphincter sorti. Je hurle ma douleur car mes chairs sont ainsi brutalement rentrées dans mon corps; le va-et-vient de sa queue est assuré par ses mouvements de hanches et par ma collaboration musculaire. Il jouit en me branlant. J'expulse mon sperme, tant retenu, sur son visage atteignant sa bouche grande ouverte.

JULIEN VIOLé (rappel) 

L'introduction m'a fait souffrir mais j'ai vite compris qu'un doigt était enfoncé en même temps que sa bite. C'était une façon de se chatouiller dans mon cul! J'ai encore pris une autre dose de foutre et les deux violeurs, avant de remballer leurs instruments de torture, ont pissé en visant mon trou encore béant.







Fuck yeah !BD adulte

— Ils t'ont relâché?

— Foutre non! Ils sont partis en rigolant et en me laissant nu, lié et couvert de pisse!