Partager l'article ! un modèle d'écriture pour moi : caramel. Respect. / Avec lui on se croirait revenu avant les années sida qui résonnent en nos âmes attendries com ...
du respect pour nos morts piégés par l'amour c'est dire si le sperme qui coule à flots et les bites et les culs qui se mélangent sans retenue nous ont manqué Soirée torride pour corps chaud. En illustration, des images du net qui nous ont semblé en parfaite harmonie avec le thème de caramel
POUR QUE LE SPERME COULE A FLOT :
https://cyrillo.biz/histoire-gay-2019_Soiree-Torride.php
Peut-être -vous- pourriez-vous vous empêcher de ...
...Toucher la bite de l'enculeur (moi je résisterais pas ! ) caramel sur cyrillo :
«Un peu surprenant, mais cette histoire (vraie) sans capote est la réalité de ce qui se passe».
RESISTERIEZ-VOUS A LA PERMISSIVITE DU SAUNA ?
Mes yeux se sont vite habitués au minimum d’éclairage, et aussi à l’obscurité
dans une partie aménagée en labyrinthe. Dans un coin reculé, un gars se fait baiser, dans le noir total. J’ai adoré pouvoir le toucher, comme beaucoup de mecs, participer, lui présenter
ma queue à sucer… Toucher la bite de son enculeur… Super bon démarrage de la soirée.
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À Paris dernièrement pour un stage, j’en ai profité pour aller le soir dans un club de drague bien connu. Ce jour-là, le thème de la soirée, c’est « à poil ».
Après être passé au vestiaire, me voilà « à poil », uniquement avec mes chaussures et quelques capotes dans les chaussettes… En route pour
l’aventure.
Passé les dix premiers mètres, je me suis senti tout de suite à l’aise puisque tout le monde est nu. Frôler et toucher tous ces corps m’a fait
bander aussitôt. Vu l’affluence ce soir-là, je ne savais plus ou regarder, quelles bites et quels corps.
Des mecs de tout âge, bien sûr des mecs aux standards sexuels différents, qui ne correspondent pas au premier abord à mes attentes, mais aussi beaucoup de mecs à mon goût, super bien équipés ou pas, sans complexe, chauds… HUM
Mes yeux se sont vite habitués au minimum d’éclairage, et aussi à l’obscurité dans une partie aménagée en labyrinthe. Dans un coin reculé, un gars
se fait baiser, dans le noir total. J’ai adoré pouvoir le toucher, comme beaucoup de mecs, participer, lui présenter ma queue à sucer… Toucher le va et vient de la bite de son enculeur… Super bon
démarrage de la soirée.
J’ai vite mis une capote et lui ai offert moi aussi une volée de coups de bite… Putain le mec, il aimait ça. Il s’est régalé, à la limite de
s’étouffer, en suçant quelques bites pendant qu’il se faisait enculer… Le pied. J’adore ce genre de situation.
Comme je suis monté assez large, il arrive que certains mecs, plus chauds que les autres, me proposent leur corps ou plutôt leur cul. D’autres,
gourmands, me sucent direct. J’aime sentir le désir, la chaleur monter chez mon partenaire.
Je sais bien que ce genre d’endroit n’est pas un lieu de rendez-vous love, mais chacun ses envies, chacun ses limites. Ce soir, je suis là pour la
baise.
Un mec s’est collé contre moi. Plus câlin que les autres (j’adore embrasser, caresser), le corps doux, lisse, il me donne une grosse envie de passer
un quart d’heure sympa avec lui.
Nous voilà partis dans une petite cabine et, avec la lumière, un peu surpris par ma queue, a eu un petit moment d’hésitation. Avec persuasion, j’ai
quand même réussi à l’embrocher en y allant doucement.
Sur le dos, les jambes relevées, j’ai vu ses yeux émerveillés lorsque mon sexe l’a pénétré complètement. Il a bien aimé… et moi aussi. C’était trop
bon de se rouler une pelle et de le sentir m’offrir son petit trou délicat.
Retour à tourner dans les couloirs, à chasser dans les coins et les recoins. J’assiste alors à un très bon moment de la soirée.
Plusieurs mecs sont à genoux, alignés sur une estrade, le cul à bonne hauteur, se font tringler à volonté par qui voudra. Le plaisir est intense de
tous côtés. Les corps s’expriment bruyamment suivant que tu es baisé ou que tu baises. Certains baiseurs passent, la bite raide et gluante, sans capote, d’un cul à l’autre.
Les culs tendus, ouverts, dilatés, lubrifiés, sont honorés en open sexe.
N’y tenant plus, j’enfile une capote (je suis bien le seul) et, à la faveur d’un changement, je rentre ma bite dans un cul qui me semble avoir le
feu.
Le mec, surement un pro en tant que passif, n’attend que ça et mon sexe le pénètre à fond sans problème. Moi qui d’habitude sens une certaine
résistance sur les parois, là, je suis sur un boulevard. Deux comme la mienne, ça passerait.
Je lui administre une douzaine de coups de bite comme un chapelet et me retire pour faire le bonheur d’un autre actif qui me mate.
Celui-là a une petite bite, mais il a raison, c’est le moment de profiter sans complexe. Il n’hésite pas et le fornique comme un enragé. Lui
enverra-t-il un dosage dans le cul, c’est fort possible. Le passif apprécie le travail et bouge du cul, faisant le bonheur de son enculeur.
Je remarque toutefois qu’un mec à côté se fait tringler avec énergie. C’est un beau jeune homme tout mignon d’à peine 20 ans. Que vient-il faire dans cet endroit ? Se faire plaisir, ça, c’est sûr. Prendre des coups de bite, c’est sûr aussi. Visiblement, comme les autres, il ne se soucie pas du tout de se faire baiser avec ou sans capote. Il veut de la bite dans le cul.
Là, il va être servi, il est à la bonne adresse. Je le reconnais, il est rentré en même temps que moi, semblait hésiter, ne connaissait pas
l’établissement. Si c’est un débutant, il est gourmand.
Depuis un moment, il se fait secouer par ce mec nerveux et plein d’entrain. Le mec lui ramone le cul sans répit, lui envoyant son dard dans l’œillet
avec plaisir. Un actif dynamique qui profite de roder sa bite dans ce petit cul de passif bien chaud.
Le jeune, un beau corps juste comme il faut, des fesses bien galbées, qui est là sans doute pour goûter aux joies du sexe, se tortille, tend son
petit cul pour se faire pénétrer au maximum. Pas difficile de voir qu’il apprécie.
Il va découvrir qu’il est dans un endroit où tous les actifs présents viennent pour baiser sans limites des passifs qui en veulent, qu’il va s’en
ramasser plusieurs tournées dans le cul.
Celui-ci se décide enfin à passer son tour et laisse la place à un trentenaire assez bien doté par la nature, le sexe raide et veineux, qui a déjà
visité quelques culs ce soir.
Un peu de gel et le mec enfile le petit, affirme direct sa domination. Sans résistance, le petit gémit. Les coups de bite sont bien prononcés. Plus
expérimenté, son enculeur joue avec son sexe, sûr de lui, lui laboure le cul, varie les positions puis le retourne et le positionne sur le dos, les jambes en l’air. Il se fait ensuite un plaisir
de le limer bien profond, dominateur, au vu de tous.
J’assiste émerveillé et envieux à ce tableau. Le petit semble découvrir un bonheur irréel, insoupçonné, le plaisir de se sentir femelle, ces bites
qui le butinent, de toutes tailles, qui lui dilatent l’anus, lui graissent le fion.
L’excitation est générale. Ça baise partout et des mecs attendent leur tour pour fourrer un cul. D’autres attendent qu’une place se libère pour se faire enfiler. Toutefois, des pros de la bite ont envie de se faire le petit. Certains ont deviné qu’il était en période de découverte, à peine dépucelé, un petit cul chaud avide de bites juteuses.
Le trentenaire revient ensuite à la position initiale et se refait plaisir en baisant le petit, qui consent à tout, le cul maintenant bien ouvert. Il pavoise devant tous ces mecs qui le matent, qui envient sa virilité.
Un mec, baraqué, plus bourrin que les autres, prends la suite et ne vérifie pas l’état du trou du jeune. Le mec, presque sénior, un grand gaillard
balèze, tête rasée, tatoué, visage pas terrible, mais super bien monté, longue et large. Je l’ai croisé quelques minutes auparavant dans un couloir et il m’a fait forte impression. Se faire
baiser par un type pareil, c’est le rêve.
Je pense que le petit va douiller. Putain la queue de malade du mec.
L’introduction est virile. Le jeune, l’œillet déjà ouvert et lubrifié tente de se dégager, mais le mec, peut être un légionnaire, un routier ou
militaire va savoir, lui a rentré la moitié de son bambou dans le cul. Il ne va pas s’en laisser conter. D’un coup de reins, il l’a embroché comme un pro. Le petit, mal calibré pour ce genre de
queue, gémit et couine tel un jeune puceau ce qui n’empêche pas le piston de glisser et de continuer à lui explorer le meilleur de son intimité. Ce genre de plainte n’inquiète personne dans cet
endroit, bien au contraire.
Lorsqu’on offre son cul dans ce genre de soirées, il faut assumer. Le petit s’en souviendra.
Vainqueur, le balèze se couche sur lui et lui dit :
« Mon petit chéri, prépare-toi, je vais bien te baiser »
Le petit a juste la force de lui demander de remettre un peu de gel, ce que le balèze consent à faire. Un petit moment se passe.
L’énorme gland retrouve le chemin grâce au gel, se cale dans l’œillet et, d’un coup de reins magistral, doucement, mais sûrement, le gus lui envoie
son gros matos bien profond, jusqu’aux couilles. L’instant est délicieux et l’on devine que le petit est royalement servi, vu le cri qu’il a émis, faisant le bonheur de tous les mateurs, moi
compris.
« Alors, elle est bonne, ma queue, mon petit chéri ? »
Avant qu’il ne réponde, il lui redonne 2 ou 3 petits coups pour s’assurer d’être bien à fond.
Il commence alors un enculage en règle, le coulissant comme un mâle alpha. Le petit n’offre plus de résistance et ne dit plus rien, vaincu, le cul
explosé, la rondelle hors d’usage. C’est le moment où le plaisir de sentir cette gaule te pénétrer au plus profond de toi l’emporte sur tout le reste, la souffrance mêlée au plaisir, que ton
corps accepte cette pine de mâle, que tes sens érotiques s’emballent, que tu pourrais jouir sans te toucher.
On sent que le petit, complètement soumis, passé ce dépucelage viril inespéré, prend du plaisir.
« Tends bien ton cul, mon petit chéri »
Lorsqu’il soulève un peu son cul pour mieux recevoir cette énorme bite, le mec tatoué accélère et lui démonte le cul.
Il finit par s’arrêter, la bite bien à fond.
Il se retire, satisfait et dit au suivant :
« Tu peux y aller, il est chaud »
Je pense qu’il lui a joui dans le cul, mais, ça, personne ne s’en soucie.
Un black, qui en a enculé déjà 2 ou 3 à côté, saisit sa chance et se positionne à son tour. Il n’a pas une bite énorme, mais elle est bien longue.
Le petit, qui voulait partir après toutes ces saillies vigoureuses, se détourne, le voit et reste le cul en l’air. Avec la bite énorme qu’il vient de se faire, celle-ci passera sans
problème.
En effet, comme pour les autres, le black lui loge son affaire en entier avec délice et lui coulisse doucement sa longue tige à maintes reprises. Un
peu de douceur, ça change.
Le petit est aux anges et remue son petit cul pour signifier son bonheur. On sent que le tatoué lui a élargi et dégagé le chemin et que c’est pour
lui le bonheur total.
Le trentenaire, toujours présent, ne perd pas une miette du spectacle et ne tarde pas, dès que le black décide d’aller voir ailleurs, à se remettre derrière le petit.
Celui-ci n’a pas eu le temps de donner son avis ni de réagir. Pendant que la plupart des mecs à côté ont eu leur ration et quittent la pièce, le
petit jeune reçoit une saillie virile, sans demi-mesure. Plusieurs mecs admirent la prouesse, bavent d’envie d’en recevoir autant et envient la place du petit. Il sait qu’il va recevoir une
décharge de sperme dans le cul, vu la tournure des coups de bite qu’il reçoit, et qu’il n’a pas le choix.
Le trentenaire se déchaîne, prêt à envoyer. Lorsqu’il s’arrête enfin, haletant, repu, il met quelques instants avant de se retirer, la bite pas
encore ramollie, une goutte blanche encore présente au bout du gland.
C’est sûr, il lui a craché dans le cul.
Il part de la pièce, simplement, et nous laisse admiratifs. Tout le monde repart draguer dans les couloirs et ailleurs.
Le petit se redresse, souriant, satisfait du moment qu’il vient de vivre, quitte la pièce et remonte vers les vestiaires, peut être en a-t-il eu
assez pour ce soir… ou bien va t’il boire un coup au bar…..
Il vient de se ramasser plusieurs décharges de foutre dans le cul devant moi, sans compter une ou deux qu’il a pu récupérer avant. Le cul bien
dilaté, pour un passif, c’est réussi.
La soirée continue, chaude, érotique, sexuelle. Ici et là, des mecs se font démonter le cul, sucent, enculent… je me laisse sucer par deux mecs,
j’en ramone un autre…
L’affluence est encore plus importante malgré l’heure avancée.
Il faudra que je reprenne le métro, retraverser Paris pour rejoindre mon hôtel. Avant de partir, encore quelques petits tours et surtout une bonne
éjaculation pour finir…
Je recroise le petit jeune qui se dirige vers la zone en pénombre totale ou, avec un léger rai de lumière, j’arrive à distinguer un peu ce qui s’y passe. Avec son beau petit corps lisse et frais, il est repéré et plusieurs mâles le suivent, intéressés pour, sûrement, s’occuper de son cas. Je décide moi aussi de les suivre.
Le tatoué, qui fait partie du lot, retrouve le petit et lui fait sentir sa belle bite raide et son envie de le niquer. Le petit accepte évidemment,
il lui a trop bien fait ça tout à l’heure. Il ne lui faut pas beaucoup de temps pour arriver à lui la loger et lui coulisser son bambou dans le cul.
Au milieu de la troupe, il le démonte sans complaisance, arrachant au petit des gémissements à faire bander un régiment. Un ou deux mecs
maintiennent le petit afin qu’il reste en place et qu’il reçoive cette saillie dans les règles, jusqu’à fécondation. Ils en profitent aussi pour le tripoter, lui sucer ses petits tétons, lui
rouler des pelles, caresser son sexe tendu.
Le petit, chaud et libéré, par ses gémissements, excite les autres qui veulent aussi participer et profiter.
Dans la pénombre, l’attroupement est général et les corps se touchent, en rut, prêts à féconder le premier cul venu, ou à se faire entuber, suivant
les opportunités. Nous sommes au moins une douzaine agglutinés ainsi, à se tâter la bite, à passer nos mains sur les tétons, les fesses…
Ça sent la transpiration, des restes de déodorant et surtout le sexe et le sperme.
Trois mecs se succèdent et enculent le petit. Ils lui bourrent le cul sans retenue et au moins deux se lâchent bruyamment avant de conclure. L’excitation est à son paroxysme.
Un dernier, saisissant l’occasion de se faire un petit cul bien chaud, sûrement bien monté, réussit à calmer les ardeurs du petit qui commence à demander grâce. Le mec, un vieux si l’on peut parler ainsi, poilu, costaud et décidé, autoritaire et directif, s’est saisi du sexe du petit et le branle en même temps qu’il lui harponne le fion. Il oblige le jeune à sucer la bite du type en face, à côté de moi. Il se régale de sa domination tout en veillant au plaisir du petit.
Quelques instants plus tard, je crois comprendre que le petit, submergé par autant de plaisir, vient de jouir. Il est récompensé largement, au même moment, par les deux mâles qui le tringlent. Le petit reçoit une importante décharge de sperme en bouche et n’a pas d’autre choix que d’avaler cette offrande onctueuse d’un parfait inconnu tout comme il reçoit dans le fion une ultime dose de foutre de cet inconnu qui a réussi à l’amener à la jouissance suprême.
À côté de moi, un mec s’est penché et a pris en bouche avec gourmandise ma queue raide. Trop excité par cette soirée, la bite en feu, ravi de son
initiative, je lui baise la bouche. Il est chaud, enthousiaste d’avoir une bite épaisse et large à lui démonter la gueule et s’accroche pour obtenir sa récompense en nature.
Il veut mon jus de couilles. Il va l’avoir, le gars. Sans le prévenir, je lui jouis toute ma semence au fond de la bouche. Je pouvais plus
tenir.
Il ne perd rien, s’accroche et s’applique à récupérer jusqu’à la dernière goutte, me nettoie le nœud complètement, me lèche les couilles. Pour un
peu, il me ferait rebander, ce type.
Lorsqu’il se relève, il me remercie :
« Merci, c’était trop bon, t’as une queue trop bonne » puis disparait.
Le petit sort en même temps que moi du labyrinthe, le cul bien graissé, un peu de sperme au coin des lèvres.
Dans les vestiaires, je le retrouve, un peu secoué, heureux et fatigué, à se toucher le cul. Le tatoué le rejoint et ils échangent leur 06. Il lui
promet de le rebaiser avec un copain…
Il recevra prochainement d’autres décharges de sperme dans son petit cul…
Lequel des deux est le plus veinard… va savoir ? Caramel
Dans la pénombre de la dark room :
les choses sont déjà bien en train ! :
Comment, t'es pas encore désapé ?
je veux tant qu'on se donne du plaisir !
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Un black, qui en a enculé déjà 2 ou 3 à côté, saisit sa chance et se positionne à son tour.
Il n’a pas une bite si énorme que ça, mais elle est bien longue. Le petit, qui voulait
partir après toutes ces saillies vigoureuses, se détourne, le voit et reste le cul en l’air. Avec la bite énorme qu’il vient de se faire, celle-ci passera sans problème.
On sent que le tatoué lui a élargi et dégagé le chemin et que c’est pour lui le bonheur total.
En effet, comme pour les autres, le black lui loge son affaire en entier avec délice et lui coulisse doucement sa longue tige à maintes reprises.
Un peu de douceur, ça change.Je pense qu’il lui a joui dans le cul, mais, ça, personne ne s’en soucie.
Le petit est aux anges et remue son petit cul pour signifier son bonheur.
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