comme "on ne badine pas avec l'amour" Alfred de Musset
on ne badine pas avec la drague homo...
Les truqueurs, vous en avez rencontré ? Le plus souvent ce sont des agresseurs.
Eh oui, un lundi soir dans un bar du Village de Montréal, j'ai eu des avances d'un beau petit mâle, Jean-Denis (qu’il m'a dit), 20 ans, 1,80m env cheveux châtains frisés, beaux yeux bleus, sexy, qui avait l'air d'être en chaleur ou il simulait l'être...
Moi j'ai 35 ans, beau mec pour mon âge, étant encore très sportif, prenant soin de mon corps et de mon apparence...
Jean-Denis m'a demandé de lui offrir une bière... Je lui ai aussitôt dit que je n'étais pas intéressé, s'il était vénal, que j'aime le sexe mais je déteste payer pour en avoir. Il m'a juré qu'il n'était pas commercial en se collant sur moi, me caressant les fesses, bien collé, queue à queue, m'embrassant sur la bouche. Je lui ai donc payé sa bière et nous avons jasé.
Et une autre bière... Il devenait entreprenant, passant sa main à mon entrejambe, il y a découvert mon 20cm bandé raide, lui était semi-bandé, il insistait pour baiser, il voulait absolument sucer "ma belle grosse queue", comme il disait...
Je ne pouvais pas l'amener chez moi car je demeure en banlieue de Montréal et lui demeurait "chez ses parents". Il m'a suggéré de me sucer et que je l'encule dans les toilettes du bar, chose que j'ai aussitôt refusée. Il a suggéré de le suivre, qu'il connaissait un endroit tranquille et très sécure. Nous avons terminé nos bières et nous sommes sortis du bar. Je le suivais, il prit une ruelle sombre et entra dans un hangar... Je l'ai suivi et aussitôt entré, il me saute au cou et m'embrasse. Il se met aussitôt à genoux, ouvre mes jeans et les baisse ainsi que mes boxers et il se met à me sucer. "Humm qu'il suce bien," me suis-je dis, "il a vraiment le goût d'une queue..."
Mais après quelques minutes, je le sens fouiller dans les poches de mes jeans (je ne suis pas né de la veille, je ne mets jamais d'argent dans mon porte- monnaie). D'un œil, je le vois le prendre et le mettre dans sa poche. Il se relève et me dit :
— Attends deux minutes, je vais aller pisser dans la ruelle, j'ai une envie urgente...
Le poignant par les cheveux, je lui crie :
— WOW le jeune, tu va où comme ça ?
— Juste faire une pisse et je reviens.
— Tu me prends pour un idiot, tu en voles combien par soir, comme ça ?
— Voyons, je suis pas un voleur, tu fais erreur !!!
— OK. Dis-moi alors ce que mon porte-monnaie fais dans tes poches.
— Je l'ai pas...
Je le serre à la gorge et lui crie :
— DONNE LE MOI !!!
— Voila, excuse moi. C'est la première fois que je fais ça.
— Oui, la première fois, tu es trop expert pour ça, mais pas assez pour moi.
— Tiens là. Lâche-moi et laisse moi partir.
— Jamais, tantôt tu disais vouloir du sexe ? Tu vas en avoir ! Déshabille-toi complètement.
— Non, je suis pas un homosexuel, j'ai une amie qui est enceinte de moi, je fais ça pour avoir de l'argent.
— TU ES SOURD ? J'ai dit à poil et vite.
— Non, laisse-moi partir...
— Écoute-moi bien le jeune, je te ferai pas peur avec la police... J'aime bien régler moi-même mes petits problèmes.
Le tenant fermement à la gorge, je lui donne quatre, cinq bonnes claques sur la gueule. Je lui dis :
— Dernier avertissement, déshabille-toi ou tu vas avoir la raclée de ta vie.
Le petit mâle macho, en pleurant, enlève sa chemise, ses jeans et ses bottes de travail.
— Tout !!! Lui dis-je.
Il enlève ses bas et ses sous vêtement.
— Maintenait suce-moi, et comme il faut. Sinon gare à toi...
Bien soumis, il se met à genoux et me suce. Je lui tiens la tête fermement et lui pousse ma queue à fond dans la gorge, il en avait des hauts de cœur, je lui poussais encore plus à fond. J'étais tellement excité qu'en moins de cinq minutes de cette bonne pipe en le retenant à ma queue, j'ai éjaculé dans sa bouche... Il a gueulé et craché comme un damné.
Il se relève, rouge comme un tomate trop mûre.. Et veut s'habiller.
— Minute le jeune, tantôt au bar, tu disais vouloir me sucer et te faire enculer. Tu as fait seulement la moitié de ton travail.
— Non, j'ai jamais été enculé, je refuse, j'ai dis ça juste pour te faire venir ici. Je m'en vais...
— WOW. Tourne-toi et montre-moi ton beau trou de cul vierge.
— NON ! Laisse-moi partir... SVP...
— ÉCOUTE MOI BIEN ! Tu veux vraiment te faire cogner ? Lui criée-je en lui donnant encore de bonnes claques sur la gueule.
Et je lui pogne les couilles, lui serrant fortement, les tirant et lui crie :
— Pas de couilles, tu vas plus pouvoir la fourrer ton amie. Tu vas être unti-mâle pas de couilles. Ça fait pas des enfants forts ça. RETOURNE-TOI !
— NON... SVP... PAS ÇA... Je t'en supplie, qu'il me dit pleurant comme un enfant.
— ÉCOUTE MOI BIEN, tu as deux choix. 1er, tu m'offres ton beau petit trou de cul vierge pour ma langue et ma queue et tu pourras partir docilement après, ou 2e, tu vas avoir la raclée de ta vie, je vais quand même t'enculer et tu vas être laissé ici complètement à poil, je partirais avec tout ton linge...
— NON... SVP... Ça va faire trop mal. Je veux pas ! SVP !!!
— Choisis et vite ! NO.1 ou NO.2... Décide, tu as 3 secondes pour réfléchir, fais-toi en pas. j'ai des condoms et te quoi te graisser le cul.
Les secondes passèrent...
— D'accord, vas-y doucement et ne me fais plus de mal, SVP...
Il se retourne, bien penché... Je me mets à lui lécher le cul, j'y entre ma langue. Il en gémit... Une fois bien mouillé, je lui pousse mon index dans le cul, bien à fond, il en crie... Je me mets un condom que je graisse généreusement et j'en fais autant à son beau petit trou de cul, super serré. J'y place ma queue et doucement je pousse dans son cul... Il lâche un cri de mort.
— NONNNNNNNNNNNN ARRÊTE !!!!!!!!!!!!!!!!!
— Bouge pas... Relaxe et bouge surtout pas, compris ?
Je le pogne par les cheveux en les lui tirant pour qu’il sente une bonne douleur et en même temps, je lui pousse mon beau gros 8 pouces à fond dans le cul. Bien à fond... Il a hurlé comme un déchaîné. J'ai continué à l'enculer à fond, lui tirant les cheveux et en lui donnant des bonnes claques fermes sur ses belles fesses, sortant et entrant dans ce beau petit trou de cul qui était vierge... Il ne criait pratiquement plus, mais commençait à gémir et même, à bander raide.
Il a juste dit :
— HOOOOOOOO que ça fait mal, mais aussi super bon même temps. Oui, continue, défonce-moi. Je vais jouir... Continue... Oui... Continue... HAAAAAAAAAAAAAA ! J'éjacule !!! HAAAAAAAAAAAAA !!!
Il a éjaculé dans ma main et j'ai léché tout ce beau jus de petit mâle. La bouche pleine de son sperme, je lui ai pris la tête, et dans un baiser à pleine gueule, je lui ai fait goûter à son sperme mêlé à ma salive... Et moi-même, excité au maximum, je me suis vidé une deuxième fois...
— Satisfait ? Me dit-il. Je peux partir maintenant ?
J'ai repris mon porte-monnaie et aussi le sien... J'ai noté son adresse et plusieurs numéros personnels qu'il avait.
— Pourquoi tu notes ça ? Je ne veux pas de problèmes. SVP...
— C'est simple, tu as vraiment une amie enceinte de toi ou pas ?
— Oui, c'est vrai...
— Elle dirait quoi de savoir que tu t'es fait enculer par un homme et que tu as aimé ça ? Et même que ta belle queue de 7" a bandé raide et en plus, tu as aimé ça et que tu a joui ?
— Non SVP. Pas ça !
— D'accord, à la condition que lundi prochain, tu vas être devant le même bar. Et sois là, les couilles pleines... À 8 heures pour venir chez moi te les faire vider à sec...
— MERDE de MERDE ! OK. Je serai là. Mais sois discret sur ça... OK ?
Je lui ai donné de l'argent et je lui ai remis tous ses effets personnels et donné un baiser à pleine gueule. Nous nous sommes laissés.
Le lundi suivant, il était là... Il a embarqué dans mon auto et nous sommes partis chez moi ...
Un hétéro truqueur qui se prétend tel a-t-il une"chance" d'être retourné ?
Maintenant Jean-Denis alias Michel raconte :— Alors, Jean Denis, ton vrai prénom c'est quoi?— C'est Michel... Satisfait? Tu le sais maintenant.— Bien Michel, tu peux sourire, on ne s'en va pas dans un enterrement.— Oui, c'est juste que je me sens nerveux depuis la dernière fois, j'ai été deux jours comme si j'avais encore ta grosse queue dans mon cul. Ce soir, vais-je pouvoir t'enculer moi aussi? — Oh! Tu aimerais ça? Sûrement, si tu es très gentil et en super forme |
.
— Fais-toi en pas pour ça, ça fait deux jours que je ne me suis pas vidé et j'ai le goût ce soir de tout faire avec toi, mais en douceur, sans que tu me forces. Je veux tout te faire ce que tu me feras et j'espère que tu me redonneras quelques dollars et je vais te la vider et moi, je me viderai plus d'une fois...
— Oui, tu es en forme ce soir.
— Je ne pense qu'à ça depuis hier soir...
— Super. Nous arrivons, c'est la maison au bout de la rue... On va passer une super soirée que tu n'oublieras pas de si tôt. Tu auras ton argent et tu vas jouir comme tu n'as jamais joui, mon p'tit... ( Super, lui dis-je. Mais dans ma tête, je me disais: mon grand trou-de-cul, ce soir ça va être ta fête, je ne suis pas venu pour me faire pénétrer, mais bien te défoncer ton cul à mon tour, C'est ce soir ma vengeance mon grand... Chacun son tour d'y passer. )
— Michel Aussitôt entré chez lui, il m'a dit dit d'aller prendre une douche, ce que je fis et à ma sortie de la douche, mon linge que j'avais laissé par terre avait tout disparu... Je lui criai:
— Hé! Où as-tu mis mes jeans et mon linge?
— Tu n'en auras pas besoin, attends deux minutes et je te rejoins.
Il arriva tout vêtu de cuir, de la tête aux pieds et il me colla brusquement au mur et dans le temps de le dire, il m'avait menotté les poignets... J'ai eu beau me défendre et crier, il a simplement dit:
— Ta gueule, tu m'appartiens et tu seras mon esclave pour toute la nuit, tu feras tout ce que je dirai, sinon, tu vas me le payer.
— Tu es malade toi...
— Ta gueule, tu parleras quand je te le dirai.
— Je ne suis pas intéressé à jouer à ça. Laisse-moi partir et tout de suite.
— Ta gueule. AS-TU COMPRIS?
—...
— Réponds... As-tu compris, OUI ou NON?
— Ouinnnnn.
— Tu me réponds: Oui, Monsieur.
— Oui, Monsieur.
Il me mit un collier de cuir au cou et juste mes bas. Il m'ordonna de marcher à quatre pattes et de le suivre dans son sous-sol, en passant par l'extérieur de sa maison, il me fit étendre sur le ventre sur une grande table et m'attacha, poignets et chevilles, aux quatre coins de la table et même avec mes cris, il me retira mes deux bas et me les a mis dans la bouche pour m'empêcher de crier et il me rasa complètement le cul, les couilles et la queue, car selon lui, un esclave est rasé des parties intimes pour bien servir son Maître... Et sans autre mise en scène, il grimpa sur moi et me planta son super gros 8 pouces dans le cul,
Sans me prévenir et surtout sans aucune précaution, ni condom ou lubrifiant. Je me suis senti fendre en deux, j'avais beau hurler, avec mes propres bas sales dans la gueule, je ne pouvais pas crier et encore moins me défendre. Il m'a enculé en super vrai mâle, très virilement et en profondeur de son gros 8 pouces, sans aucun ménagement pendant plus de 10 minutes sans relâche, pour enfin hurler et me remplir les intestins de son abondant jus de mâle...
Aussitôt bien vidé, il me mit une cagoule de cuir sur la tête avec juste un trou pour respirer du nez et la bouche, me fit lever et me conduit à l'autre bout de son sous-sol et me dit:
— Voilà ta cage, pour te relaxer un peu, avant de passer aux choses sérieuses et tu ne seras pas seul, il y a déjà un autre esclave pour te tenir compagnie...
Sur ça, après avoir entendu la porte de grillage se verrouiller, il est parti... Toujours menotté, le collier au cou et la cagoule sur la tête, je me suis accroupi par terre et j'ai senti quelqu'un.
— Il y a vraiment quelqu'un d'autre ici?
— Oui, je suis ici depuis deux jours à les servir tous les deux.
— Comment ça, les deux! Ils sont deux?
— Oui, toi tu viens juste d'arriver, tantôt, il vont venir à deux, pour les servir, pour tous leurs ébats sexuels et leur servir pour tous leur fantasmes.
— Mais tu es malade, je ne suis pas GAI, moi!
— Ils le savent et c'est ça qu'ils aiment ; se servir du corps d'un mec hétéro.
— Pas pour vrai, merde! Il m'a enculé comme un sauvage tantôt, sans condom et il m'a rempli le cul de son sperme...
— Attends, la nuit est jeune, moi je suis Claude, j'ai 24 ans et toi?
— Michel, 22 ans et en plus j'ai une maudite envie de pisser, où on va pour ça?
— Pisse pas sur le tapis, car tu vas y dormir tantôt sur le tapis, approche-toi de moi et pisse-moi dans la bouche, je vais tout avaler et garder note cage propre.
— Tu es sérieux, tu avales la pisse?
— Oui, j'ai l'habitude et j'aime ça. Pisse-moi dans la bouche et après je vais te le faire, car de toute façon tu devras boire leur pisse tantôt et ils boivent comme des saoûlons et pissent beaucoup...
Je me suis approché de lui, il a pris ma queue molle au complet dans sa bouche et il attendait. Après quelques minutes, j'ai enfin pu pisser dans sa bouche et il a tout avalé sans en perdre une seule goutte et il continua à me sucer, car j'avais commencé à bander. Il me la mangea avidement et en peu de temps, je lui ai versé une grande quantité de sperme dans sa bouche chaude.
Il se releva et m'embrassa à pleine gueule pour me faire goûter à mon sperme, mélangé à mon urine et à sa salive et me dit de le sucer, de boire sa pisse et d'avaler son sperme au complet. Ce que je fis. Une chance qu'il n'a pu pisser, si non j'aurais eu mal au coeur, mais j'ai apprécié le goût amer de son sperme épais et visqueux...
Il me dit que nous ferions mieux de dormir un peu avant l'arrivée des deux MAÎTRES, car nous avons du travail en vue. Je me suis blotti conte-lui, ma tête sur sa cuisse et je me suis endormi malgré mon inquiétude...
Soumission totale
J'étais collé sur mon sauveur (que je me disais car il était lui aussi prisonnier) quand quelques heures plus tard, des pas lourds de grosses bottes de cuir, nous ont réveillés. Celui qui se disait notre maître s'est approché de la cage, je suis sorti le premier et l'autre mec est sorti. Le maître m'a simplement dit:
— Regarde-le bien!
Aussitôt, il me mit une cagoule de cuir sur la tête, avec juste un trou pour respirer, pas la bouche, le collier au cou et dit à l'autre esclave:
— Comme promis, pour m'avoir si bien servi depuis deux jours, tu seras maître comme moi ce soir. Amène-le à la croix et ligote-le bien.
— Merci, Maître.
En peu de temps, je me suis retrouvé couché sur une croix de bois en forme de X, des cordes aux poignets et aux chevilles ainsi qu'à la grandeur de mon corps, complètement immobile, impossible de bouger. J'entendais rire le maître, mais comme je ne voyais absolument rien, j'ai compris son rire quand, j'ai senti quelque chose de froid et long me traverser l'anus, bien à fond, dans mon trou de cul et le jeune m'a dit:
— Aimes-tu ça, esclave? Ce n'est qu'un début!
Et je le sentais grossir les objets qu'il me rentrait dans le cul, toujours plus gros et plus longs, pour enfin sentir les cuisses d'un d'entre eux sur mes cuisses et il m'a enculé à fond, d'un seul coup, bien à fond. Je le sentais en moi, mais il ne bougeait pas, j'ai vite compris pourquoi, quand j'en senti qu'il me remplissait les intestins de son urine. Après s'être bien vidé, il s'est retiré et m'a placé quelque chose dans le cul, comme un très gros bouchon qui m'aurait empêché de me vider, même en me forçant... J'avais le cul en feu et je sentais mes intestins bouillir de rage, sa pisse me travaillait fortement les intestins...
Le jeune maître changea de place pour pousser à fond dans la gorge sa grosse queue sale, sentant et goûtant l'urine, pendant que le vrai maître commença à me tripoter en me serrant fortement les couilles et la queue, pour enfin me libérer du gros bouchon et me permettre de me vider les intestins dans une bassine, ce qui fut fait en quelques secondes pendant que le jeune me mettait ses deux grosses couilles sales dans la bouche et me fit licher son trou de cul sale. Le maître me mangeait avidement le trou de cul et me planta sa super grosse queue dans le cul, à fond, et m'enculait virilement pendant que je suçais la grosse queue du jeune qui en profita pour me remplir la gorge de plusieurs jets de spermes épais et le maître lui-même bandé au maximum, se vida dans mon cul en râlant fortement.
Je ne sais pas combien de temps, j'ai dû porter cette cagoule, mais je sais que ma gorge y a goûté: j'ai avalé une quantité énorme de sperme et d'urine, ainsi que mon trou de cul qui est maintenant bien réceptif à recevoir de belles grosses queues bandées raides et j'avoue que chez moi, avec ma femme, je suis le mâle dominant, mais à chaque visite à mon maître, je suis le dominé et soumis, à ma plus grande satisfaction, surtout qu'il me permet, à l'occasion de dominer de nouveaux esclaves, des mâles straight sans expérience. Comme de raison, après l'avoir servi à sa convenance.
Oui, maintenant j'aime me sentir dominé, mais quelle extase suprême de dominer un jeune mâle, non soumis, lui dire quoi faire, l'exiger, l'enculer de force, lui faire avaler tout ce que nos queues peuvent donner...
et quand je me rappelle comment cette relation a commencé...
Je lui donne raison de ne pas s'être laissé faire !
FIN
Le bondage bien accepté lui avait rendu sa beauté et sa détente
Voilà des compagnons dignes de toi, Michel
Il faudrait que tous ces jeunes truqueurs soient un peu "froissés", humiliés, pour les rendre meilleurs
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