et même toucher !
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et même toucher !
Voyage à l’intérieur de soi, réveil de nos souvenirs (“Une ruine sous une pluie fine, fine, fine, fine, parmi les digitales, rouge sentimental”) devraient toucher en dedans tous ceux qui ont vécu quelque chose qui ressemblait à ça. |
>Tu voulais revoir l'endroit
Le voilà
Devant toi
Tu voulais revoir ça
C'est là
Devant toi
Une ruine
Sous une pluie fine fine…
Parmi les digitales
Rouge sentimental
Comme des nuées, des nuées
Quelque-chose-mille
Sauterelles
Les jours et les jours et les jours
Se sont rués, rués
Une ruine
Sous une pluie fine fine…
Parmi les digitales
Rouge sentimental
On reprend la route
Quand tu veux
Quand tu veux
Ce n'est qu'une ruine/ Bertrand Belin Ruine
SAUTER LE PAS
Rémi ne porte rien en dessous à l’hôpital
Au cours de ma deuxième année à Paris, Rémi passait de plus en plus de temps à l’hôpital dans le cadre de son internat.
Je passai le voir de temps en temps. Il était vêtu comme un infirmier avec un pantalon et une chemise très légers. Ce petit coquin ne portait rien en dessous. Cela nous excitait fortement tous les deux. Il m’arrivait de passer à l’hôpital de temps en temps et nous faisions l’amour dans les chambres vides, quand il était de garde la nuit. Sexe à l’hôpital, un beau fantasme !
Un jour, lors d’une de mes visites, Rémi me confia qu’il avait complètement craqué pour un de ses patients.
— Laisse-moi t’expliquer, Matthieu. Il doit avoir dans les 16, 17 ans et il est absolument craquant. Évidemment, je n’ai pas encore eu l’occasion de le draguer… mais figure-toi que je crois bien qu’il est homo.
— Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
— Eh bien, en fait, Maxime, c’est son nom, s’est salement fracturé les deux poignets et nous sommes donc obligés de lui faire sa toilette sur son lit.
— Très sensuel…
— L’autre jour, c’est une infirmière qui l’a faite alors que je regardais son dossier médical. Bien sûr, j’ai bien maté son joli petit zizi quand elle l’a lavé. Le jour suivant, nous avons inversé les rôles avec ma collègue, et figure-toi que quand c’est moi qui l’ai lavé, ce petit coquin s’est mis à bander comme un fou.
— Tu plaisantes ?
— Non, il était terriblement gêné. Et le jour d’après, quand ce fut le tour de ma collègue, plus rien du tout.
— C’est clair… Tu lui fais de l’effet !
— Tu n’as pas idée. Je suis comme un fou. J’ai tellement envie de le baiser. Tu sais que je n’ai jamais dépucelé un mec et j’en crève d’envie.
— Non, tu plaisantes ? Mon petit Rémi, celui-là, il est pour toi… à condition que tu me laisses t’aider un peu.
— Marché conclu.
Nous avions un plan : le service de Rémi était petit, quelques chambres seulement, et il était seul à partir du service du dîner et pour la garde de nuit. Nous avions donc les prochaines nuits devant nous. La « proie » devait encore rester une semaine à l’hôpital. Pendant cette semaine, «j’allais être le nouvel interne, collègue de Rémi», et les 2 « docteurs » allaient bien s’occuper du malade.
Je suis donc arrivé à l’hôpital le premier soir, je me suis foutu à poil avant d’enfiler juste une blouse blanche. Nous sommes ensuite partis en tournée. Après deux cas sans intérêt, ni sexuel, ni médical, nous sommes arrivés dans la chambre de Maxime. Et là, je compris Rémi… Un visage d’ange, une frimousse adorable, des yeux bleus, des taches de rousseur, une tignasse brune d’ado sur la tête, une peau assez claire. Il devait avoir autour de 16 ou 17 ans. J’eus alors un flashback : je revis les corps nus et magnifiques de Julien et d’Adrien, et repensai à la première fois avec chacun d’eux. Je voulais vraiment que Rémi ait cette chance aussi.
Rémi déclara : « C’est l’heure de la toilette ». Maxime rougit. Il savait ce qui allait se passer. Rémi le déshabilla. Quel corps ! Une peau assez blanche, imberbe, d’une douceur de lait, une toison très brune. Une bite de taille moyenne, mais toute mignonne. Je verrouillai la porte d'entrée de la chambre.Rémi commença à le laver. Maxime se mit à bander, petit à petit ; on voyait qu’il essayait de se retenir mais il n’y arrivait pas. Il rougit :
— Je, je… Je suis vraiment désolé.
— Ce n’est pas grave, ajoutai-je, laisse-toi faire par le docteur Rémi. Laisse-moi juste contrôler si ton cœur est normal.
Je sortis mon stéthoscope sur son petit cœur et écoutai les battements accélérés alors que Rémi continuait la toilette.
— mmmh je vois que le Docteur Rémi fait de l'effet sur toi !
Maxime ne disait rien. Après l’avoir rhabillé, Rémi déposa un baiser sur ses lèvres : « Ne t’inquiète pas Maxime, tout cela est parfaitement normal. Tu es entre de bonnes mains. Nous allons bien nous occuper de toi. » Maxime était incrédule. Il ne réagit pas. Nous avons ensuite quitté la pièce
Le deuxième jour, quand nous sommes entrés dans la chambre, Maxime souriait. Il demanda timidement :
— Le docteur Matthieu peut-il me laver aujourd’hui ?
— Je ne vois pas de contre-indication, répondit Rémi.
Je commençai une toilette sensuelle. Rémi s’était approché de Maxime pour caresser son visage d’ange et lui donner des baisers. Maxime bandait comme un taureau. Après la toilette, nous l’avons laissé nu sur le lit. Rémi est allé chercher un petit pot, utilisé normalement pour les analyses d’urine.
— Nous allons faire un petit test, dit-il.
Nous avons commencé à masturber Maximum à tour de rôle. Maxime était aux anges. Avec deux poignets cassés, il n’avait pas dû se branler depuis un moment. Au moment où il s’apprêtait à jouir, nous avons approché le petit pot pour tout recueillir. Le sperme était magnifique, abondant, d’un blanc de lait. Rémi est allé le diluer dans un peu d’eau, puis est revenu devant Maxime. Il a ensuite gouté le mélange :
— Mmmh, je pense que ce garçon est tout à fait normal. Le test de sperme est positif.
Il me fit goûter également. La boisson était délicieuse. Cela faisait longtemps que je n’avais pas gouté un foutre aussi bon. Maxime était intrigué…
Rémi déclara :— Cela te ferait beaucoup de bien à toi aussi. On pourrait en rajouter à ton régime alimentaire.
Il s’approcha du plateau-repas de Maxime que nous avions amené avec nous. Il sortit sa bite et commença à se masturber au-dessus de l’assiette de purée. Je le rejoignis pour faire de même. Nous avons ajouté tous les deux notre sauce à la purée et mélangé le tout. Bien sûr, Maxime, avec ses deux poignets cassés, avait besoin de nous pour manger. Rémi et moi lui tendîmes tour à tour des cuillerées de purée. À la première cuillerée, il hésita à ouvrir la bouche, mais il accepta finalement.
Après avoir avalé, il nous livra un grand sourire :
— C’est délicieux, j’en veux encore.
Nous l’avons donc régalé, à la cuillère ou directement avec nos doigts qu’il lécha avec gourmandise. Maxime ne tenait plus :
— Rémi, Matthieu, faites-moi l’amour, s’il vous plait. Je ne tiens plus. Je veux essayer.
Il était brûlant de désir, il tendait ses deux bras cassés vers nous. Rémi répondit :
— Tu as encore besoin de repos, ne brusquons pas les choses. Nous allons faire cela petit à petit.
Nous l’avons abandonné là, nu sur son lit. La frustration allait l’exciter comme un fou, il serait donc parfaitement à point les prochains jours.
Le lendemain, même rituel : nous avons commencé par laver Maxime. Rémi dit ensuite :
— Aujourd’hui, ton traitement t’impose des bites à volonté.
Je me suis mis à poil ainsi que Rémi. Maxime n’en revenait pas. C’était la première fois qu’il nous voyait nus. Rémi ne tenait plus : il se jeta sur la petite bite de Maxime et la suça avec frénésie.
— Mmmh quelle petite bite délicieuse, dit-il en se régalant.
Entre-temps, je roulai des pelles à Maxime. C’était sa première pipe, et comme pour tout puceau, ce qui devait arriver arriva, au bout d’une minute à peine, il jouit abondamment dans la bouche de Rémi.
— Je…je suis vraiment désolé, dit-il, embarrassé que cela fut si court, mais ravi de s’être fait dépuceler la queue en même temps
— C’est rien mon chéri, dit Rémi, tu vas te consoler en nous suçant. Nous avons donc allongé Maxime sur son lit et nous sommes mis de chaque côté. Il nous suçait alternativement, ses petit bras plâtrés sur nos fesses. Cette petite salope avait l’air d’aimer ça.
— C’est bon, hein ? dit Rémi.
Rémi est ensuite passé se mettre à califourchon sur le ventre de Maxime pour lui planter son dard dans la bouche tandis que je suçai ce bel adolescent. Sa queue était encore petite, mais tendre et douce. J’étais terriblement excité de sucer un mec aussi jeune. Maxime était survolté comme un fou, il cambrait son petit corps imberbe. Il supplia Rémi de lui donner son foutre. Décidément, Maxime voulait tout tout de suite. Je repensai à mes premières fois mais moi je n’étais pas aussi accro au foutre au début. Rémi inonda le visage de chérubin de Maxime, ses taches de rousseur se couvrirent de sperme. C’était magnifique. Je branlai ensuite Maxime pour le faire jouir dans ma bouche. Son sperme était délicieux, encore meilleur pur que dilué.
— C’était génial, docteurs, nous dit Maxime.
Pour finir, Rémi et moi nous sommes branlés dans sa bouteille d’eau que nous avons ensuite bien secouée.
— Comme ça, tu penseras à nous à chaque fois que tu boiras.
Le jour suivant, nous avions décidé d’initier Maxime à la sodomie. Il fallait d’abord commencer par ce qui fait le moins mal ; nous allions donc lui offrir nos trous pour commencer. Après avoir lavé et sucé Maxime, nous l’avons sorti de son lit. Il était tout mignon debout, tout nu, sexe au garde à vous, avec ses deux plâtres.
Rémi s’est allongé sur le lit, jambes écartées :
— Maxime, encule moi maintenant.
— OK, mais dis-moi si ça te fait mal.
C’était chou, il était tellement gentil. Comment quelqu’un comme Rémi pouvait avoir mal à recevoir une petite queue comme la sienne dans son cul ! Maxime le pénétra sans problème. Une fois en Rémi, son visage s’illumina :
— Oh, c’est génial, génial.
Il commença à bouger son petit zizi dans le cul de Rémi. Là encore (pauvre puceau…) il jouit au bout d’à peine une minute. Rémi était ravi, il ressentait une fierté énorme d’avoir été le premier cul de Maxime, il sentait aussi son sperme abondant, comme chez tous les jeunes ados, couler en lui. J’offris ensuite mon trou à Maxime également, dans la même position. Maxime ayant déjà joui, il pouvait ainsi m’enculer longtemps sans risquer de se vider encore.
Rémi était fasciné de voir Maxime m’enculer. Il se mettait derrière lui pour admirer ses deux petites fesses bouger et voir ses épaules légères. Il s’approcha de Maxime et lui collait une main sur les fesses pour accompagner les mouvements de sodomie. Il l’encourageait, lui embrassait les épaules. J’étais comblé d’avoir cette petite queue en moi. Tout le monde jouit ensuite ensemble, Maxime dans mon cul, moi sur mon ventre et Rémi sur les petites fesses blanches et rondes de Maxime.
Le lendemain, la fin du séjour de Maxime approchait et il tardait à Rémi de goûter son petit cul vierge. Il ne s’agissait pas de faire mal à ce petit ange non plus. Maxime était, lui, impatient. Il demanda à Rémi de l’enculer :
— Docteur, s’il vous plaît, prenez-moi, lança-t-il, coquin.
— Aujourd’hui, il faut te préparer, lui répondit Rémi.
Tout le monde se mit à poil. Maxime était sorti de son lit, debout, bras sur le lit, jambes écartées, nous offrant son cul. L’auscultation pouvait commencer. Rémi écarta les fesses, laissant apparaitre une petite rosette intacte, imberbe. Rémi maintint les fesses écartées et commença à lécher. Maxime fut surpris par cette sensation nouvelle, il gémissait de plaisir. Puis Rémi glissa un doigt dans son cul, qu’il sentit incroyablement serré.
— Ça va être fantastique, pensa-t-il.
Rémi me laissa ensuite sa place et je dévorais littéralement le cul de Maxime, tellement petit et frais. Pendant ce temps, Rémi s’était posté devant Maxime dont il observait le visage se tordre de plaisir. Je regardais moi-même le visage de Rémi et il semblait fasciné. Il se masturbait devant le visage de Maxime qu’il finit par inonder de sperme. Ce fut ensuite à mon tour de jouir sur la raie de Maxime, que je lèchai avec plaisir. Maxime finit par jouir seul. Il ne pouvait pas se branler mais son plaisir était si grand qu’il n’avait, de toutes façons, pas besoin de se toucher.
En partant, Rémi sortit de la poche de sa blouse un plug de petite taille et l’introduisit sans trop de difficultés dans le cul de Maxime qui grimaça quelque peu.
— Il faut que tu le gardes en toi jusqu'à demain. C’est ma prescription. Comme ça, tu seras prêt, lui dit Rémi.
Maxime comprit. Nous le remîmes nu au lit, baisâmes ses petites lèvres et le laissâmes s’endormir.
Le lendemain, je trouvais Rémi plus excité que jamais. Il ne tenait plus. Il voulait enculer Maxime sans tarder. Nous nous rendîmes dans la chambre et nous nous mîmes à poil immédiatement. Pendant ce temps, Maxime s’était allongé sur le lit, jambes écartées, pour nous montrer qu’il avait toujours le plug en lui. Il bandait comme un fou.
— Rémi, je n’en peux plus. Prends-moi, s’il te plait. Sois le premier à me baiser.
Les yeux de Rémi dévoraient Maxime. Il retira le plug du cul de Maxime qui était maintenant suffisamment dilaté pour rendre sa première sodomie moins douloureuse. Quand Rémi entra en Maxime, il était en extase. Je ne l’avais jamais vu comme ça. Le plaisir physique et psychologique de se taper un petit cul d’adolescent puceau le transcendait. Maxime n’était pas en reste. Depuis le temps qu’il rêvait d’avoir une bite dans le cul. Il était cambré de plaisir, les mains agrippées dans les draps. Je me suis assis sur la chaise près du lit et je les ai matéS en me branlant.
Rémi commença ses mouvements. Maxime monta aussitôt en plaisir et gémit :
— Oh oui Rémi, vas-y, c’est tellement bon.
Rémi, lui, prenait un pied incroyable. Il trempait bien sa bite dans ce petit trou tout serré. Maxime se livrait complètement. Il dévorait Rémi des yeux et se découvrait un côté salope :
— Rémi, défonce-moi, prends-moi complétement. Je suis à toi.
Le sourire de joie et de plaisir de Rémi m’enchantait. L’orgasme vint peu après et le sperme fut versé en abondance dans le cul de Maxime et sur son torse. Moi, je me jouissais dessus et lèchais avec plaisir mon foutre.
Nous terminâmes par une toilette. Toujours nus, Rémi et moi avons lavé intégralement Maxime. Demain, il quittait l’hôpital et il fallait le rendre à ses parents. Nous étions tous les trois tristes de ce départ. Rémi et moi embrassions tendrement Maxime qui versa une larme. Il glissa à Rémi dans un sourire :
— Plus tard, je crois que je ferai médecine moi aussi…
MATTHIEU
de la médecine au bdsm
<application bdsm>
Mannequin de soins infirmiers pour la formation des élèves :
ll Convient aux soins suivants:
- hygiène intime et soins de la bouche (prothèse partielle amovible)
- mise au lit avec possibilité de mouvements
- bandage et mise en place de pansements pour plaies (y compris le pansement d’un moignon)
- rinçage (oeil, oreille, nez, estomac, intestin, vessie)
- injections (intramusculaires et sous-cutanées)
- administration d’oxygène
- soins de l’orifice de trachéotomie
L'infirmière
Il y a des choses que je ne peux pas faire sans réticence bien que cela fasse partie de mon travail. Je n'ai pas à m'occuper de la toilette intime de patients masculins alités . Quand je suis forcée de le faire je rougis comme une tomate et peux à peine mener à bien le travail. L'infirmière-chef sait cela et est déterminée "à me guérir" en m'assignant les travaux qui m'embarrassent.
C'est une vieille sorcière sadique, elle m'a une fois fait intaller un cathéter chez un patient masculin. J'en parle parce qu'un infirmier de service, présent ce jour-là, pouvait être désigné pour le faire. Bien sûr, tous les infirmiers ont soutenu cette décision de l'infirmière major et j'étais coincée. Quand elle m'a dit d'insérer un cathéter sur un patient masculin que je connaissais comme vicieux, je l'ai détestée, mais j'étais déterminée à le faire comme il faut.
Auparavant j'étais tombée sur ce patient en train de se masturber et il m'avait vue rougir. Je lui ai dit ce que j'allais faire et que s'il bougeait cela pourrait être douloureux. Quand j'ai saisi son pénis il était déjà à moitié dur et carrément énorme. Je rougissais déjà tellement. J'ai dû tenir son pénis et nettoyer le gland avec l'iode.
Alors que je tenais son pénis de ma main gauche il est devenu si raide que je ne pouvais pas le maintenir à l'horizontale ce qui rendait le travail encore plus difficile. Il a continué à faire des remarques obscènes. J'ai été déterminée à finir le travail donc de nettoyer la zone, selon la procédure en utilisant 3 cotons d'iode.
Alors j'ai commencé à insérer le cathéter. J'avais déjà préparé la seringue pour gonfler le ballon. Je savais(connaissais) si j'ai gonflé le ballon tandis que c'était toujours dans son urètre, il causerait la douleur extrême. C'est à ce moment-là que j'ai décidé d'obtenir ma vengeance. J'ai inséré le cathéter une quantité(un montant) qui devrait avoir placé(situé) le ballon dans sa vessie, mais je savais qu'à cause de la longueur de son pénis, plus de 10 pouces,
Le ballon était toujours dans son urètre. J'ai donné à la seringue d'eau une poussée dure qui a étendu le ballon dans son urètre. Il a glapi dans la douleur et presque immédiatement son érection s'est effacée. Je lui ai dit de se tenir toujours ou il ferait mal plus mauvais. Alors je pulsé la seringue plusieurs fois, chaque fois il ai libéré un glapissement. Alors j'ai dégonflé la seringue pour faire rétrécir le ballon et ai poussé le cathéter dans sa vessie.
Le ballon était toujours dans son urètre. J'ai donné à la seringue d'eau une forte poussée qui a gonflé le ballon dans son urètre. Il a glapi dans la douleur et presque immédiatement son érection s'est effacée. Je lui ai dit de se tenir toujours ou qu'il aurait encore plus mal. Alors j'ai pulsé la seringue plusieurs fois, chaque fois il a émis un glapissement. Alors j'ai baissédégonflé le ballon avec la seringue pour le faire rétrécir et j'ai poussé le cathéter dans sa vessie.
Le reste de l'opération a été achevé sans qu'il dise un mot. Il ne nous a jamais procuré aucun ennui après cela, il était devenu un chat domestique.
laisser les organes génitaux à découvert
Installation d'un cathéter vésical à demeure chez l`hommeMatériel requis
SEXO VIVRE SA SEXUALITE
Les "swingers " sont des gens qui changent de partenaires qu'ils soient "hétéros"
en couple ou autres...mais on peut changer à l'intérieur de soi...passer de rapports
hétéros à bisex...et même à gay permanent ou prvisoire pourvu qu'on aime ce qu'on fait
ainsi Thomas ....
Je me présente: je suis Benjamin. J'ai 17 ans, 1m75 (5'9"), 63 kg (140 lbs), pratiquement imberbe, beau gosse cheveux châtains et yeux bleus, beau pénis de 18 cm x 6 cm (6"x2,5") et malheureusement encore vierge.
Au lycée, vers la fin des cours, un professeur me choisit ainsi que deux autres dans la classe pour aller chercher des livres dans un petit local de pas plus de 6m carrés, là où sont entreposées des tonnes de livres de toutes sortes. Le hasard, le professeur choisit Thomas et Louis, les deux inséparables compères et machos de la classe et moi. Les plus grands baiseurs de tout le lycée, que j'avais eu la chance de voir aux douches du gymnase. Ce jour-là, nous étions tous trois vêtus de notre survêtement (jogging). Thomas, 17 ans, beau mec imberbe, très mignon, cheveux bruns coupés très courts, rasés sur les côtés, yeux bleus, 1m77 (5'10"), 65 kg (145 lbs), de beaux pectoraux et des cuisses musclés, son maillot bien rempli. Louis, 18 ans, un vrai beau mec, cheveux bruns et yeux noirs, 1m78 (5'10") 65 kg (150 lbs) très poilu des bras et des jambes, mais de beaux pectoraux imberbes avec une belle ligne de poils partant de ses poils pubiens jusqu'à son nombril.
Thomas et Louis sont les meilleurs amis du monde, ils sont toujours ensemble et ils ne sont pas gais (ça fait chier), se partageant même les filles, je ne leur parle jamais et je ne traîne pas avec eux. Nous étions dans le petit local, je cherchais, tandis que les deux compères jasaient à voix basse. J'écoutais leurs conversations hypocritement:
— Tu sais ce soir Fabienne est seule chez elle, on va avoir toute une orgie!
— Invite-moi, je vais me trouver une nana!
— Super à quatre, ce serait formidable. Si tu aime une bonne pipe, Fabienne est experte, elle adore ça une belle queue juteuse.
— Hummm, j'adore me la faire manger.
— Rien de meilleur, qu'une pipe bien faite et en plus Fabienne aime autant se faire pénétrer du devant que par derrière, elle a un beau cul...
— Merde arrête, je suis en érection juste à y penser!
— Moi aussi.
Au même moment, les lumières se sont fermées et en peu de temps, nous avons réalisé que la secrétaire du proviseur nous avait enfermés dans le local et que tous étaient partis, il était déjà 17h15 et tout le monde etait parti, il n'y avait plus personne dans le lycée. Il n'y avait que l'éclairage d'urgence. Nous avons vite réalisé que nous étions prisonniers dans ce trou à rats, pour la nuit. Thomas et Louis rageaient de se voir privés de leur soirée de sexe qu'ils prévoyaient. Après vérification des lieux, nous avons réalisé que nous étions fait comme des rats dans ce local. La conversation était surtout quoi y faire, nous n'avions rien à manger, rien à boire et même pas de nanas comme ils disaient! Nous nous sommes résignés à attendre, la chaleur envahissait le local, Thomas et Louis décidèrent de se mettre à leurs aises, ils étaient devant moi avec juste leurs bas et leurs supports athlétiques bien remplis, juste à voir la forme de leurs belles queues et de leurs couilles, j'étais en pleine érection quand Louis me dit:
— Benjamin fait comme nous, mets-toi à ton aise!
— Non, ça va comme ça!
— Le petit Benjamin est timide, quoi?
— Non, mais je suis bien comme cela!
— Ne sois pas à part de nous, déshabille-toi!
— Non, je suis bien comme ça.
Bandé comme j'étais, je ne pouvais pas me mettre à mon aise!!! Ils ont sauté sur moi pour me déshabiller tout en jouant. Et:
— Merde. Tu es bandé raide mon beau, c'est pour ça que tu ne veux pas te déshabiller.
— Non, Voyons...
— Nos corps t'excitent mon beau Benjamin, ne me dis pas que tu es gai?
— Non, Voyons.
— Dis le, il n'y a pas de gêne à ça et je n'ai rien contre les gais!
— Je ne le sais pas... Je suis encore vierge... Tu es heureux là? Je vous l'ai dit!
— Ho! Encore vierge à ton âge?
— Je ne suis pas fonceur, alors... et j'ai juste 17 ans.
— Tu as un super beau corps et un super beau cul mon Benjamin!
— Merci, mec!
— C'est ce soir ton test pour savoir si tu es gai ou pas!
Il sortit de son soutien son super gros 21 cm (plus de 8") intégral, super belles grosses couilles et doucement il fit sortir son gros gland de son prépuce et me dit:
— Suce-moi, fais-moi une pipe digne de toi!
Merde, j'avais tellement rêvé de sa queue que je me suis approché et j'ai léché son beau gland déjà humide, lui ai léché sur toute sa belle longueur, de son gland à ses belles grosses couilles. Je le faisais gémir et j'ai pris au complet sa belle queue dans la gorge, mon nez collé sur ses poils pubiens...
— Arrête, tu va me faire jouir, je ne suis pas pressé de me vider. Suce Louis.
Il avait déjà son beau gros 20 cm (8") bandé raide, qu'il me mit directement dans le fond de la gorge pendant que le beau Thomas commençait à me caresser l'anus. Quelle joie de sentir sa langue sur la rosette de mon anus et de sentir son doigt en moi! Vite, il se mit en position de me la manger pendant que je suçais le beau Louis. Thomas m'à relevé les jambes et m'a bourré le cul de sa belle queue, ce fut douloureux, mais j'avais tellement rêvé de ça que je n'ai rien dit et en quelques minutes, j'ai senti une jouissance incroyable de sentir la belle grosse queue du beau Thomas en moi et il me bourrait le cul comme un vrai mâle, par grands coups virils et bien en profondeur, pendant que le beau Louis me bourrait la gorge de sa queue. J'étais vraiment en extase totale, les deux plus beaux mecs macho du lycée, j'avais leurs belles grosses queues en moi, tous deux râlant de satisfaction, moi-même, en pleine érection et presque en même temps, ils se sont se mis à râler fortement. Je sentais Thomas en sueur me remplir les intestins de son beau jus pendant que le Louis me remplissait la gorge et avidement j'avalais pour la première fois de ma vie le jus d'une belle grosse queue.
Tous deux toujours bandés raides, ont échangé leur place. Louis m'enculait à son tour pendant que Thomas me faisait perdre le souffle de sa grosse queue bien enfoncée dans ma gorge. Le rectum bien ouvert, ayant donné ma virginité à Thomas, Louis y allait fougueusement, claquant ses grosses couilles sur mes fesses, m'enculait très virilement et Thomas jouissait de me la mettre au plus profond de ma gorge, avant tous de se vider une deuxième fois en moi, Louis mêlant son sperme a celui de Thomas dans mon cul (qui était vierge) et moi savourant le sperme abondant et épais de Thomas. Louis complètement rassasié et vidé, s'est effondré dans le coin de la pièce, mais Thomas me dit:
— Mon beau Benjamin, à toi de te vider. Tu m'a plus que satisfait, assis-toi sur ma queue qui est toujours en érection, laisse-moi te faire une vraie bonne pipe et vide-toi sur moi!
Il s'est étendu par terre sur le dos, je me suis assis sur sa belle queue toujours en pleine érection. Thomas bien courbé me suça avidement, j'étais tellement excité qu'en quelques minutes de ce bon suçage et cette belle grosse queue encore en moi, je me suis retiré de la bouche de Thomas. Il n'a rien dit quand je lui ai rempli le bouche, le nez et même un oeil, de mon sperme abondant et épais. Je me suis penché vers sa face pour lui lécher ce dégât, lui léchant l'oeil, le nez et les lèvres. Quelle ne fut pas me surprise... Il me prit la tête et m'embrassa à pleine bouche, échangeant nos salives mêlées à mon sperme, me râclant la bouche de sa belle langue, pendant de longues minutes, tout en se masturbant virilement et éjacula une troisième fois. Nous avons entendu du bruit dans le passage, nous avons fait vite pour nous habiller et crier pour être libérés de cette cage (le paradis pour moi). Le concierge nous entendsit et ouvrit la porte. Après les explications, nous sommes partis du lycée. Rendus dehors, Thomas et Louis étaient devant moi mais Thomas est revenu vers moi, seul.
— Écoute Benjamin, pour ce qui s'est passé ce soir, comme je viens de dire à Louis, il faut oublier ça et ne pas en parler à personne!
— Bien sûr, Thomas.
— J'ai dit à Louis que je venais juste pour te dire ça, mais en vérité...
— Pas de problèmes Thomas!
— La vérité, mon beau Benjamin, c'est que ce soir, ce fut la meilleure baise de toute ma courte vie et je veux te ravoir, juste toi et moi!
— Bien sûr Thomas, quand tu voudras, j'ai moi-même adoré ça!
— Je vais être clair Benjamin, veux-tu être mon amant régulier!
— Bien sûr. Je rougis, mais je le lui dis quand même -"Je t'aime Thomas".
Et dans ma tête cette idée fixe : " juste toi et moi! , juste toi et moi! , juste toi et moi! "
FIN
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