Vendredi 17 janvier 5 17 /01 /Jan 02:49

RECITS REELS 

Je n’ai jamais cherché à appartenir à une communauté. A savoir si j’étais gay, ou bi, ou hétéro, etc ... Je m’en fichais.

Série "hétéro swingers"  suite des événements...

En anglais les couples libertins s'appellent des "swinger couples"

A l'intérieur de la "classe" homo il y a aussi des swingers, qui aiment changer et échanger...

 

 

— Je suis pas homo, je suis bi!

— Bi?

— Bin oui, bisexuel! J’aime les hommes et les femmes! J’ai une copine mais de temps en temps, je baise avec un homme!

 

EBAUCHE D'UN TRIO QUI A FAILLI...

J'ai souvent eu l'impression que l'intervention de Michel dans le débarras avait été une pure crise de jalousie... un sentiment pernicieux à bannir. 

Onétait au début de l'été 2011. Ma récente rupture avec mon amant m'avait forcé à me trouver un nouvel appartement. Ce qui se fit sans trop de peine. Même que, j'étais plutôt fier, j'avais mis la main sur un magnifique dix et demi en plein coeur du Plateau Mont-Royal et ce, pour une bouchée de pain. Une chance inespérée. Ce logement avait appartenu à des notables au début du siècle, voyez le genre; hauts plafonds, boiseries, vitraux, foyer de marbre et tout, et tout. Il était un peu délabré mais vu le prix, je n'avais rien dit.

UN OUVRIER NOMMÉ MICHEL

Afin de me donner un coup de main, un de mes amis m'avait offert les services d'un jeune homme habile et débrouillard qu'il se chargeait de rémunérer pour la durée des travaux. J'étais aux oiseaux. D'autant plus que mon ouvrier avait des charmes physiques indéniables! En effet, Michel était un superbe petit mâle de vingt-cinq ans au corps robuste et à la démarche de jeune matou. De plus il avait une gueule splendide avec des traits doux et carrés, des cheveux châtains un peu longs et des yeux limpides qui cachaient, on aurait dit, une certaine tristesse. Michel était vraiment beau. et puis, ce qui ne gâchait rien, il était agréable et dévoué.

Les premiers jours, notre conversation porta essentiellement sur le travail à abattre, la qualité des matériaux, les fournisseurs et la façon d'opérer. En fin d'après-midi on buvait quelques bières et Michel retournait sagement chez lui. Je restais seul avec le vide qu'il laissait derrière lui dans ces grandes pièces dénudées, encombrées de gallons de peinture et d'échaffaudages.

Un soir, avec la bière, je lui proposai de fumer un peu de hachisch. Il accepta avec ravissement. Notre conversation devint alors plus personnelle. Ainsi j'appris, sur un fond de Pink Floyd, qu'il avait eu des démélés avec la justice pour une vague histoire de possession de marijuana. Il en était sorti traumatisé, voire amèrement écorché. Ses parents l'avaient renié et sa blonde l'avait quitté.

À partir de ce soir-là, Michel s'était rapproché de moi. Le fait d'avoir déballé cette sombre histoire l'avait délivré de son isolement et mis en confiance. Son attitude avait changé du tout au tout. Michel était de jour en jour plus joyeux et semblait de plus en plus heureux de venir travailler. Les journées où il faisait très chaud, il enlevait sa chemise et peinturait torse nu. Son corps m'émouvait, ses seins ronds légèrement duveteux me perturbaient au plus haut point. De plus Michel avait la mauvaise habitude de porter ses jeans très bas, accrochant ainsi mon regard sur la fine ligne de poils sombres qui, de son nombril, allait mourir quelques centimètres plus bas derrière la boucle en métal de sa ceinture. Cette façon de porter le jean me provoquait délibérément. Un jour, alors qu'il était de dos et penché offrant à ma vue l'orée de sa raie, je ne pus retenir cette remarque:

— Faut que je te prévienne quand je vois trop de peau je risque de devenir dangereux, je peux me changer en loup-garou.

Ce à quoi il m'a répondu d'un sourire goguenard:

— Tu peux te changer en n'importre quoi, j'ai pas peur, ch'us capable de me défendre.

Je ne savais que trop ce qu'il voulait dire et il s'en amusa. Or, comme c'était l'heure de la bière, je l'invitai à s'arrêter. Assis par terre, on a bu, on a fumé. Les Rolling Stones chantaient "I can't get no satisfaction".

Michel s'est levé pour se rendre à la toilette, il a ouvert la porte et ne l'a pas refermée, il a défait sa ceinture, a baissé son pantalon à mi-cuisses et s'est mis à pisser. De ma place, je pouvais parfaitement distinguer la chute vertigineuse de ses reins et le profil de sa verge qu'il tenait virilement entre son pouce et ses quatre autres doigts. Lors de sa miction il a retiré son prépuce, dégageant ainsi entièrement son gland rose et lustré. Ses couilles étaient particulièrement grosses et très poilues. Au terme de son envie il a généreusement secoué sa lourde bite qui, me semblait-il, avait acquis quelque proportion. Il se reculotta et revint s'asseoir devant moi, mine de rien. C'en était trop, j'éclatai:

— Coudon, le fais-tu exprès?

Innocemment il répondit:

— Qu'essé qui a, t'as jamais vu ça un gars qui pisse?

— Certain que j'ai déjà vu ça, mais ça m'excite.

C'est alors qu'il me répondit de la façon la plus banale:

— Si t'aime ça tant que ça regarder un gars tout nu, allume un autre joint pis viens prendre ta douche avec moé.

Cette fois l'invitation était on ne peut plus directe. Je me suis mis à rouler pendant qu'il enlevait ses bottines et ses bas de laine. Il descendit son jean jusqu'en bas de l'aine, puis tout naturellement il s'est foutu à poil. Lorsqu'il a baissé son pantalon, sa queue était tellement raide qu'elle resta accrochée à l'élastique de ses sous vêtements blancs. Une fois dégagée, elle alla claquer dans un bruit mat, sur son ventre plat.

Il me regarda en faisant des petits yeux, la voix rauque il me dit:

— C'est écoeurant, quand je fume d'la dope ch'us tellement sensible que je viens tout excité pi je bande pour rien.

Je compris que c'était sa façon à lui de cacher son désir homosexuel. Je n'en fis pas de cas et j'ajoutai:

— Ben oui, j'comprends ça, moi aussi ça me fait la même affaire.

C'est alors qu'il allongea la main pour vérifier mes dires. Il eut un petit sifflement admiratif:

— Wow, t'as l'air à être ben pris.

Même si je savais avoir une petite longueur d'avance sur lui, je me plu à lui répondre:

— Presque autant que toé.

C'est alors que je me glissai à plat ventre sur le plancher et que je lui écartai ses cuisses musclées. Sa queue pointait vers le plafond tel un flambeau glorieux, sa poche volumineuse touchait le sol. J'approchai mon visage jusqu'à son pubis sombre et odorant, un léger vertige me prit. Je réalisai que je frôlais enfin l'objet de ma convoitise. J'ouvris la bouche et aspirai l'une de ses énormes couilles, j'arrivais à peine à l'engloutir et je pris bien garde de ne pas serrer trop fort cette partie si sensible de l'anatomie masculine. Michel se renversa la tête vers l'arrière et émit un faible gémissement. De ma langue je ramassais cette belle bourse cossue, sur mon front sa queue brûlante donnait des secousses vives et répétitives. Lentement ma bouche monta le long de son pieu, arrivé tout au bout j'avalai son gland d'un geste preste, ce qui provoqua la surprise escomptée; mon homme saisi par l'astuce poussa un long râlement. Je tentai alors d'engouffrer son manche au plus profond de ma gorge. Mission difficile, s'il en fut, puisque le sexe de mon ouvrier était un outil genre gros modèle, or je n'arrivais pas à l'engloutir complètement. Il n'en fallait pas plus cependant, Michel ressentait sans contredit les délices de ma succion. J'entrepris de glisser mes lèvres chaudes, mouillées et avides à une cadence retenue puis, petit à petit, j'accélérai. Des soubressauts envahirent son corps tendu et crispé pendant que l'une de ses mains s'accrochait à ma chevelure comme un noyé désespéré. Michel grommelait maintenant des paroles inaudibles comme si la folie s'était emparée de lui. Je le suçais passionnément ajoutant toujours un peu plus de pression. Michel délirait:

— Crime que tu suces ben, oooooh, encore, encore, lâche-moi pas, aaaah, suce, suce, j'vas venir comme ch'us jamais venu... hooooon!....

Enhardi par la jouissance de mon beau jouisseur, j'astiquai sa vibrante bite encore plus en profondeur. J'avais atteint un rythme qui ne lui laissait plus la chance de respirer, ma salive abondante coulait sur son membre de marbre jusque sur sa poche gonflée tel un gant de boxe. De ma main, j'enserrai fortement la base de cette belle pissette veineuse en la pressant encore un peu plus de mes lèvres jusqu'à ce que cette mesure l'entraîne irréversiblement vers le point de non retour. Je sentais, à entendre ses gémissements saccadés, que la sève s'acheminait maintenant dans le canal déverseur. Michel, la bouche grande ouverte, n'arrivait plus à émettre un son. Tous ses muscles étaient bandés comme la corde d'un arc. Soudain un premier jet éclata dans ma bouche, Michel hurla comme une bête qu'on égorge:

— J'VIENS, J'VIENS, J'VIENS, AAAAAAAH!

En rafale le sperme jaillit dans ma gorge, mon homme tressautait, le corps plein de convulsions. Son sperme était si abondant que je ne pouvais tout contenir. J'étais moi-même si excité que je sentis, sans me toucher, éclater ma propre éjaculation dans mes pantalons. Michel a lancé un dernier cri et une dernière salve. Il était venu, et pas à peu près. Subitement il me supplia de le lâcher tant sa queue n'en pouvait plus, il s'est alors effondré essoufflé, moi par dessus lui, le coeur battant comme après un dur combat.

Nous sommes restés quelques temps ainsi affalés sur le plancher. Michel a ouvert les yeux, a ri, puis m'a dit:

— Pi, on le fumes-tu ce joint-là?

— Pi, on la prends-tu c'te douche-là? ai-je rétorqué.

— Certain, on en a ben d'besoin...


Les jours qui suivirent m'apparurent des plus paradisiaques. Michel acceptait mes avances sans résistance. Je raffolais le baiser dans les situations les plus saugrenues, tous les recoins de la maison étaient propices à lui pogner le cul. Mon ouvrier était visiblement heureux de la tournure de son emploi. Les travaux avançaient au même rythme que notre relation progressait. Michel se plaisait à exhiber ses charmes sachant parfaitement que je ne pouvais y résister. La canicule était pour lui un beau prétexte. Il s'habillait souvent d'une simple culotte courte munie d'un élastique, ce qui me rendait la tâche très facile pour les lui descendre lorsqu'il était juché dans son escabeau. Le petit vicieux était devenu un excellent partenaire lui qui, au début, était plutôt passif. C'était avec un appétit évident qu'il me mangeait maintenant le lunch. Le jeu du 69 devint vite notre position préférée. Michel me disait:

— J'aime tellement ça quand on vient en même temps. Quand ch'us stone j'ai l'impression que c'est moé que je suce pi que je viens dans ma propre bouche.

Si sa libido avait franchi le mur de la résistance, ses sentiments cependant étaient toutefois bien arrêtés. Il n'était certes pas question de s'embrasser et de se dire des mots compromettants. Un jour il me dit cette simple phrase par laquelle il tenait à me préciser le fond de sa pensée:

— Ch'us pas homosexuel, j'aime le cul, j'aime tripper, tant qu'à me crosser tout seul, j'aime mieux me faire sucer par un gars. Une queue ben bandée a pas de parenté.

Les allégations de Michel s'avérèrent aléatoires puisqu'un beau soir il considéra qu'il serait plus commode pour lui de dormir sur place. Comme je ne possédais qu'un lit, il n'y avait plus d'équivoque sur la localisation de ses prochaines envies. De plus mon petit straight n'eut aucune réticence à mes enlacements lorsque nous fûmes couchés. La proximité de nos deux corps pendant ces nuits torrides provoquaient, chez chacun de nous, des érections quasi continuelles; tant et si bien qu'il était fréquent de refaire la chose trois à quatre fois par nuitée. Quel chaud lapin! Quand on considère que nos journées en comptaient tout autant!

  

Vint un beau samedi soir où on avait tiré le joint et trinqué un peu fort. L'alcool et les substances consommées me rendirent audacieux. Effrontément, j'osai convoquer Michel à mon lit pour une expérience de «frenchage» expérimentale. À mon grand étonnement il ne refusa pas et me fit cette proposition plutôt inattendue:

— O.K. On va frencher mais va falloir que tu te laisses fourrer.

— Tu veux me fourrer? Je sais pas si c'est possible, t'as un gros char pi j'ai un p'tit garage.

— Inquiète-toi pas, j'vas me faire d'la place.

Décidément mon chum hétéro devenait de plus en plus libertin. Il entreprit alors de m'embrasser en s'allongeant sur moi. Il me lécha les lèvres tendrement comme un chat sape son lait puis, il introduisit sa langue dans ma bouche avec avidité. Très rapidement je sentis l'excitation le gagner, son corps à demi nu, vigoureusement, se frottait contre le mien. En moins de temps qu'il ne le faut pour le dire, je pouvais sentir la raideur de son membre s'agiter au pied de mon ventre. Tout en me farfouillant dans la bouche, il entreprit de nous déculotter avec une dextérité remarquable. Cette fois, ça y était. Je possédais mon homme entièrement. Pendant que nos deux langues se débattaient, je caressais ses épaules rondes et lustrées, son dos ruisselant, ses reins creux et ses petites fesses dodues. Michel glissa sa queue entre mes cuisses entreprenant un léger mouvement de va-et-vient; je sentais qu'il tentait de se glisser dans ma raie. Mon défloreur débuta la grande manoeuvre. Il releva dabord mes jambes qui s'accrochèrent à ses hanches, il cracha dans sa main et généreusement me badigeonna sensuellement l'anus. La première tentative fut infructueuse, le bout de son gland n'arrivait pas du tout à s'insérer dans mon petit trou contracté. Mais, il savait y faire car il me tourna sur le ventre et de ses larges mains écarta mes fesses, de sa langue il se mit en frais de détendre mon sphincter anxieux. J'étais au comble du ravissement, des frissons d'extase me parcouraient de la tête aux pieds. Comme un cochon dans sa moulée, Michel me dévastait le trou du cul. Les poils drus de sa barbe pas rasée me griffaient les fesses au passage et sa langue travailleuse parvenait à se faufiler par le chemin obscur de mon fondement.

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Par lubrik - Publié dans : SUR LE VIF - CONTEURS- RECITS-REPORTAGES - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Vendredi 17 janvier 5 17 /01 /Jan 02:45

  

Ces préliminaires ont duré suffisamment longtemps pour que son acharnement et son habileté soient vite récompensés. Le verrou avait cédé. Avec aisance il pouvait maintenant entrer jusqu'à trois doigts à la fois dans mon orifice dilaté. Fier comme un coq, il brandit sa queue surexcitée et approchant de mon anus enflammé, il m'a dit:

— C'est astheur qu'on va voir si tu peux faire des bébés.

Pour lui remettre la monnaie de sa pièce, j'ai répondu mi-figue, mi-raisin:

— Vas-y, y a pas de danger, j'ai été opéré.

Sur cette note d'humour, il est entré dans ma cour.

D'abord il m'a pistonné avec modération prenant bien le temps que je le reçoive confortablement, puis sentant l'aisance s'installer il s'est mis à accélérer. La douleur des premiers instants s'est bientôt transformée en jouissance, les ongles enfoncés dans le matelas, je capotais. Pour la première fois je connus l'extase du portique arrière. Jamais je ne me serais douté de tant de plaisir. Il faut dire qu'être possédé par un aussi beau p'tit gars y était pour quelque chose. Michel me souleva l'arrière-train et s'empara de ma queue en disant:

— J'vas te fourrer à quatre pattes, comme ça j'vas pouvoir te crosser (branler) en même temps. On va essayer de venir ensemble.

Michel mit son plan à exécution. Son traitement intensif s'est avéré fort efficace, car je mis à gicler mon sperme comme une fontaine en même temps que mon enculeur me labourait le cul comme une machine déréglée. Son ardeur était d'une puissance inouïe et lorsqu'il déversa sa semence en moi, il hurla comme je ne l'avais jamais entendu auparavant. Exténués, on s'est effondré dans un rire délirant. Michel a dit:

— Crime que c'est cochon une botte dans l'cul, j'ai jamais joui d'même en fourrant.


La relation que j'entretenais avec mon petit hétéro en était une des plus enthousiastes. Cette nouvelle variation dans nos parties de cul avait moussé nos rapports qui ressemblaient maintenant à une folle passion. Malgré que Michel n'ait jamais osé me parler de ses sentiments envers moi, je savais que chacun de ses gestes me le prouvait. Et puis fuck les mots d'amour, je n'en aurais trop su que faire.

LA BÊTISE HUMAINE

Notre petite histoire aurait bien pu se poursuivre longtemps, si un beau soir je n'avais eu la visite inopinée de deux de mes amis et d'un inconnu à la langue fourchue. Une véritable calamité, une grande de la pire espèce qui n'a su que dire cette incommensurable niaiserie:

— Wein, y paraîtrait que t'as réussi à revirer ton straight en tapette, ça va nous en faire une nouvelle dans gang.

Michel avait feint de ne pas comprendre mais bien sûr il avait tout entendu.

À partir de ce soir fatidique, il ne coucha plus à la maison et refusait toute approche. On avait blessé son orgueil de mâle et de plus il s'était senti trahi. Je ne sais trop comment, mais quelqu'un avait brûlé la mèche et notre relation secrète était à jamais compromise.

J'osais espérer que Michel oublierait cette idiotie. Mais il demeurait imperturbable. Il se contentait de faire son travail et s'emmurait dans un silence des plus désolants.

COMMUNICATION EN CONFÉRENCE

Un jour on vint installer ma ligne téléphonique. Un beau grand gars s'était présenté fort de sa personne. Ses seins bien galbés forçaient son t-shirt blanc, ses jeans délavés moulaient des fesses à faire rêver et la ribambelle d'outillage à sa ceinture lui conférait un air de vrai mâle. Il inspecta les lieux cherchant les anciennes installations afin de rebrancher le nouvel abonné que j'étais. Soudain, je l'entrevis poser les yeux sur une revue gaie que, par mégarde, j'avais laissé traîner. Pendant une fraction de seconde nos regards se sont croisés. De sa voix basse il a déclaré:

— Va falloir refaire une nouvelle ligne à partir du poteau. Y doit être dans ruelle en arrière.

De suite je lui indiquai qu'on pouvait y accéder en passant par la shed au bout de ma galerie. Il sortit pour revenir après quelques instants.

— Y'aurait-tu moyen d'avoir d'la lumière dans cette cabane-là, y fait noir comme chez l'loup pi comme les escaliers sont à l'intérieur, j'vas me casser le cou.

Je souris de la petite rimette et m'empressai de trouver une ampoule, celle existante ayant probablement brûlé récemment. Lorsque j'arrivai dans la shed pour remplacer l'ampoule, je me rendis compte qu'elle n'y était plus, elle avait disparu. Le gars du Bell derrière moi ne me laissa pas le temps de comprendre le subterfuge. Brusquement, il referma la porte nous plongeant tout deux dans l'obscurité totale. Prestement il m'agrippa et je sentis sa main farfouiller dans mon entrejambe. La surprise ne pouvait être plus vive. Avec une agilité étonnante, il descendit mon pantalon jusqu'aux chevilles et je sentis ses lèvres s'apposer sur ma queue pas encore bandée. Je repris vite mes esprits et réalisai l'opportunité d'une telle aventure; ce bel homme si désirable me désirait. Il n'était pas question qu'il fut le seul à se servir. J'entrepris de le dévêtir. D'abord j'enlevai son t-shirt qui cachait son torse si magnifiquement développé. Je le fis relever et de ma bouche je m'accaparai de l'un de ses mamelons érectiles, puis je m'attaquai à l'autre pendant que je défaisais la boucle de sa ceinture. Son torse et son ventre étaient légèrement poilus et son nombril, subtilement proéminent, me fit penser à un petit champignon dans la mousse. Je m'amusai longuement à l'enduire de bave en le titillant du bout de ma langue. Mon gros mâle frémissait et n'arrivait plus à contenir son désir, de sa voix grave, toute haletante, il m'implora:

— Envoye, mange-moé, j'me possède pu...

Je ne me fis pas prier, car, de fait, sa verge dure dans son jean semblait étouffer. La forme que je palpais était des plus prometteuses; une bosse impressionnante gonflant son pantalon du bas de son zipper jusqu'au coin de sa hanche. Je libérai le monstre qui surgit et me claqua sous le menton: une queue étonnante au gland énorme. D'une main, je soupesai sa lourde poche comme un trésor qui contenait, sans aucun doute, deux superbes oeufs d'or. Je les léchai goulûment tandis que l'autre main s'affairait à glisser, en un lent va-et-vient, sur la peau mouvante de son adorable bite. Avec application, je rongeais le membre de ce bel étalon pendant que mes mains parcouraient les formes extraordinairement masculines de mon agresseur. Il arriva vite près de l'éjaculation et me pria de cesser. Je me relevai afin de profiter davantage du plaisir de parcourir, de mes mains aveugles, les formes viriles de son corps en sueur. Sa bouche dans la noirceur chercha la mienne, nos langues se rencontrèrent pendant que sa queue se pressait avec fougue contre moi. Mon agresseur était déchaîné, ses mains semblaient vouloir s'accaparer de tous mes membres à la fois et particulièrement de celui qui est entre les jambes, sa bouche en faisait tout autant et dans la frénésie, sa barbe forte allumait des feux sur les parties tendres de ma peau. J'étais envahi par son excitation effrénée et au comble de l'agitation. C'est alors...

C'est alors, que la porte s'ouvrit jetant une lumière brutale sur notre accouplement illicite. Michel était là: abasourdi, pétrifié, foudroyé par cette scène à laquelle il ne s'attendait certainement pas. J'ai tout de suite craint le pire mais le technicien contrôla la situation. Fermement il attira Michel à l'intérieur et referma la porte à nouveau. Je sentis le souffle de Michel entre nous. Le gars du Bell murmura à l'oreille du nouvel arrivé:

— Pose-toé pas de questions, prends le plaisir qui passe. Ça n'arrivera pas tous les jours.

J'entendis des froissements de tissus et je compris que ces paroles avaient atteint leur but, car Michel accepta de se laisser déshabiller. Une étrange sarabande s'engagea laissant chacun de nos gestes s'inventer au hasard de l'obscurité. Je sentais sur moi des mains chercheuses, des bouches lécheuses, je caressais des bras, des ventres, des sexes, des fesses. Je suçais je ne savais plus trop qui et je me faisais sucer par je ne savais trop lequel de mes deux maris; j'étais complètement confus. Alors, je sentis deux mains puissantes me relever et me coller fermement le dos à la paroi de bois derrière moi. Je reconnus cette fois le technicien par le volume de ses bras et de ses larges épaules satinées. De sa langue chaude et visqueuse, l'instigateur de notre trio s'est mis à descendre le long de ma poitrine jusqu'à mon ventre, s'attardant ça et là, avant de sauter avec avidité sur la pièce de résistance. Il me suça avec un professionnalisme indéniable et parvenait avec diligence à enfoncer ma bite au plus profond de sa gorge. C'est alors que je réalisai que Michel le montait cavalièrement en poussant rudement son pieu entre ses deux fesses; ce qui expliquait que mon suceur n'avait de choix que m'avaler la queue au complet. Michel m'inquiétait, la sauvagerie avec laquelle il sodomisait était outrancière. C'est à ce moment que je déchargeai toute ma gourme(purée) au tréfonds de la gorge de mon suceux. Il faillit s'étouffer, il parvint à se retirer mais, Michel ne cessa de varger dans le trou du cul de sa victime. À tel point que le technicien du Bell l'implora:

— Sacrament (putain !), fais attention tu vas me défoncer le cul.

Michel ne se soucia pas de cette requête et y alla de plus belle, puis dans un cri rageur, il éjacula en opérant les derniers coups de reins, ceux-ci encore plus violents. Michel se retira sans ménagement, se reculotta et sortit en disant:

— T'as eu ce que tu méritais...

Échevelé le gars du Bell se rhabilla en échappant un long soupir, puis me demanda:

— Pas un peu sadique, ton p'tit copain?

— Ben... j'sais pas, c'est pas dans ses habitudes, il me semble...

Mon téléphone fut installé, le beau technicien nous quitta sur ces quelques mots:

— Merci ben les gars pour votre collaboration, c'était un peu «toffe»(difficile, pénible, rude) mais ça va être correct. Salut.

De son côté Michel avait rapaillé (rangé) tous ses outils et à son tour s'approcha de la porte et me dit:

— Quant à moi mon contrat est fini... Pour toujours!

Et il partit sans se retourner.


Épilogue: Je n'ai jamais revu Michel. À ce que j'ai su, il est à quelque part à la campagne avec sa petite famille. Les années ont eu beau passer je me suis toujours demandé ce qui était arrivé. J'ai souvent eu l'impression que l'intervention de Michel dans le débarras avait été une pure crise de jalousie et qu'il avait enculé férocement le pauvre type par dépit ou par vengeance. Si cet incident n'avait pas eu lieu, Michel me serait-il revenu?

Je me le demande encore.

 

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Jeudi 16 janvier 4 16 /01 /Jan 21:09

INVENTAIRE DES POSSIBLES   Montage  de fakes sur un thème

 

 

Une façon de voir la vie :

ça paraît cruel et insensé mais c'est un honneur de provoquer la jalousie

  

 

"Hier encore
J'avais vingt ans
Je caressais le temps
Et jouais de la vie
Comme on joue de l'amour
Et je vivais la nuit
Sans compter sur mes jours
Qui fuyaient dans le temps "C.  Aznavour
Hier encore...

Ô la belle vie

Mais il a couché cette nuit avec un autre garçon

 

...faut-il en faire un drame ?     "Les années ont eu beau passer je me suis toujours demandé ce qui était arrivé. J'ai souvent eu l'impression que l'intervention de Michel dans le débarras avait été une pure crise de jalousie et qu'il avait enculé férocement le pauvre type par dépit ou par vengeance. "

— Toi, tu es jaloux, mon petit vieux!

— Hein?

— Jaloux de me voir m’intéresser à quelqu’un d’autre que toi. Fallait pas me repousser, mon coco!

Bertrand rougit un peu et bredouilla une ânerie."

La photo incroyable...mais ...

Et là, soupçons...

il porte sa croix, sa peine

9 coups de marteau sur la tête ! par un jaloux

Joe Orton, gay English playwright - died this day in 1967, aged 34, when his jealous boyfriend bludgeoned him to death with a hammer, dealing him nine blows to the head… "With madness, as with vomit, it’s the passerby who receives the inconvenience." — Joe Orton

Joe Orton, gay English playwright - died this day in 1967, aged 34, when his jealous boyfriend bludgeoned him to death with a hammer, dealing him nine blows to the head…

 

Pas de raison  question d'être jaloux

 

Imagine:
Harry glaring at some guy who is flirting with you and getting jealous then you have to explain to Harry that the guy is gay and he has no reason to be jealous and you laugh at him because of his actions :D

 Ô la belle vie
Sans amour
Sans soucis
Sans problème.
Oui la belle vie
On est seul
On est libre
Et l'on traine.
On s'amuse à passer sans peur du lendemain
Des nuits blanches

Au petit matin avant de partir il t'avait écrit sur n'importe quel papier qui traînait :

"je suis à toi pour toujours". Eh ben ?

image

Selon moi tu gardes cette perle pour toi, bien au fond  de ton coeur pour plus tard, pour la dernière heure... 

 Sinon : Ô la belle vie
Sans amour
Sans soucis
Sans problème.
Oui la belle vie
On est seul
On est libre
Et l'on traîne.
On s'amuse à passer sans peur du lendemain
Des nuits blanches

  

 

 

 

 

 

 

Par Bertrand - Publié dans : EUX ET NOUS HETEROS ET GAYS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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Jeudi 16 janvier 4 16 /01 /Jan 00:59

    PROSTITUES DE MON COEUR

 

     

  Je suis allé au restaurant dans ce beau petit trou de cul velu et, vierge,

 

Avaler est un choix, enfin, pas toujours, mais il marque moins une fin qu'une faciale ou autre, c'est seulement une transition pour la suite : on n'est pas embarrassé par l'essuyage, les mains gluantes et collantes ...etc  

 

Jacques, 34 ans, Montreal :

Je n'ai rien contre la prostitution ou tout simplement la vénalité : payer le prix nécessaire pour avoir un jeune à baiser, ne me dérange pas

, très sportif, je fais des poids et haltères régulièrement, je mesure 178cm , 78kg taille 42, donc une belle poitrine et de beaux biceps, de même que des cuisses bien musclées, cheveux bruns très court, yeux noirs et un super beau gros et large 19 cm, non circoncis

C'est vrai que je suis difficile...et un peu discriminant pour le choix de mes partenaires (âge, sexualité, beauté)* .  

je suis gai et j'aime sucer et enculer de beaux jeunes hommes de 16 à 19 ans, minces, imberbes et, un atout de plus, de préférence hétéro, car j'aime manger et bourrer un beau trou de cul vierge.

Rien contre la prostitution ou tout simplement la vénalité :

Payer le prix nécessaire pour avoir un jeune à baiser, ne me dérange pas, j'ai un beau travail et surtout un très bon salaire, j'habite un condominium* de 5 pièces, à l'étage inférieur, il y a une piscine intérieure, douches, bain sauna, salle d'entraînement. Le luxe, quoi!

Le retournement d'andré

 

Est-ce c'est pour que je veille sur lui ? mon grand patron m'a supplié de prendre comme colocataire son neveu de 19 ans, il y mettait tellement d'insistance et pour satisfaire à la demande de mon patron, j'ai donné rendez-vous à son neveu André chez moi. Je lui ai fait visiter le condo et les pièces communautaires, lui ai montré sa chambre s'il acceptait mes conditions, et des conditions j'en avais.

— 75.00 $ par semaine.

— Tu es là de ton propre gré.

— Tu te nourris toi-même.

— Tu fais toi-même ton lavage.

— Tu n'amènes aucune fille ici.

— Je suis aux hommes et tu dois accepter ça.

— Moi, je peux amener des jeunes ici.

 

Et beaucoup plus, j'ai mis les points sur les I j'ai même ajouté, fais-toi en pas, je les aime plus jeunes que toi. Sa réponse à toutes mes exigences fut:

— Ça ne me dérange pas que tu sois une t.., je veux dire gai, moi j'en suis pas, j'aime trop les femmes pour ça, j'ai bien compris que pour baiser une fille je ne peux pas le faire ici, et même si je me fais une amie régulière, je ne pourrai même pas l'amener.

— Sans, m'en parler d'avance, NON!

— Ok, Patron!

Je me suis vite aperçu que le cher André, buvait trop et surtout aimait bien un joint, trop souvent a mon goût, mais ça, ce n'est pas de mes affaires, moi qui me douche de 2 a 3 fois par jour, lui c'était une fois par semaine et encore. Par bonheur qu'il ne transpirait presque pas, ce qui évitait les odeurs de mâle pas lavé.

Un lundi soir, il est venu me voir, pour sauter sa pension, prétendant devoir de l'argent a un ami.

— Une dette de drogue, je suppose!

— Oui et non !

— Ne commence pas ça, lâche la drogue et paie ta pension.

— Ça, ça ne te regarde pas, dis combien tu paies, pour baiser un gars?

— Je donne jusqu'à 100.00$ pour un jeune et une baise totale!

— 100.00$, Intéressant, tu veux dire quoi par baisse totale?

— C'est bien simple mon gars, embrasser à pleine bouche, sucer, en 69 et te faire enculer, bien à fond.

— Te sucé et 69, ok, mais embrasser et me faire enculer, pas question.

— Alors, paie ta part, pour rester ici et on oublie tout ça!

Il m'a donné l'argent de sa part et est parti vers sa chambre, triste et de mauvaise humeur, comme il n'avait pas assez d'argent pour sortir, il est resté dans sa chambre à écouter de la musique. Trouvant que j'avais été austère envers lui, je l'ai invité à venir prendre une bière au salon. Après quelques bières, je lui ai demandé d'allé se doucher, lui disant qu'il puait, il a ri et à été se doucher.

Il est revenu après quinze minutes au salon, une bière à la main, nu comme un ver, bandé raide et il me dit:

— Tu paies combien pour ça?

Je n'en croyais pas mes yeux, il avait une queue large et de plus de 18 cm  et des belles grosses couilles pendaient sous ce beau gros morceau, je regardais fixement cette superbe belle grosse queue, mangeable et bien plus et il me répéta :

— Tu paies combien pour ça?

— Tu le sais combien!

— Sans embrassade et enculage, combien?

— Rien, le total ou rien!

Il s'est assis, penaud de ma réponse, buvant sa bière, sans rien dire, je suis allé prendre ma douche à mon tour, à mon retour au salon, il me dit :

— Tu demandes toujours que je fasse tout?

— Oui tout!

— J'aurai le goût de me faire sucer, même de te sucer sans avaler, mais pas embrasser un homme et encore moins de me faire enculer, ça doit faire mal et sacrément!

— Écoute-moi bien André, je ne veux surtout pas te blesser, je veux jouir et te faire jouir autant que moi, oui, une queue dans le cul ça fait mal les premières minutes et après tu découvrirais une jouissance inconnue à de toi jusqu'à ce jour.

— Minute là, je suis persuadé que tu as une grosse queue, large et longue en plus!

— Oui, j'ai un gros 19 cm "uncut" et dis toi, qu' un beau trou de cul bien mangé, accepte facilement une queue après.

— Uncut, ca veut dire quoi?

— Ca veut dire que j'ai un long prépuce qui recouvre mon gland.

— OK, comme moi et tu disais que tu manges un trou de cul!

— Oh, oui, j'adore lécher, manger un beau cul, y entrer ma langue bien à fond.

— T'es sérieux tu mettrais ta  langue dans mon cul, WOW... et... si je décide d'arrêter, vas-tu arrêter ?

— Promis!

— D'accord, je veux bien essayer!

— Approche-toi de moi!

— Ferme la lumière, ça me gêne!

— Va chercher deux bières et à ton retour, ferme la lumière et viens t'asseoir près de moi!

Il revint, il ferma la lumière et il s'est assis près de moi, doucement je me suis mis à le caresser, passant ma main sur ses mamelons, lui pinçant le bout, il a gémi, j'ai descendu ma main pour voir l'état de sa queue, qui étais déjà bandée raide, je me suis mis à lui manger les oreilles, le cou et doucement mes lèvres sur les siennes, lui mordillant la lèvre inférieure, tout en lui caressant les couilles et la queue hyper bandée, j'ai osé essayer de pousser ma langue dans sa bouche, incroyable mais sa bouche s'est ouverte immédiatement, il me mangeait la langue, il se mit à m'embrasser comme rare jeune mec embrasse.Il s'ensuivit un échange extraordinaire de salive, puis il me poussa sur le divan, embarqué sur moi, il se mit à me manger les mamelons, me les mordant fortement,

le goût du sexe l'emportait soudain sur ses préjugés,

puis carrément, il est descendu à ma queue, il engouffra au complet mes 9 pouces dans sa bouche chaude, chaude, il suçait comme un dieu grec, j'ai du me retenir 3 a 4 fois pour ne pas éjaculer, je me suis ressaisi pour lui dire de venir s'étendre dans mon lit.

Toujours un peu réticent, en pleine lumière maintenant,  il a ouvert la bouche pour laisser pénétrer ma langue et recommencé un baiser à pleine bouche comme un vrai pro, pour finir cela en bon 69, se suçant avidement nos queues bandées raides, moi je lui mangeais ses belles grosses couilles, il en fit autant, je lui ai relevé les jambes pour pouvoir lécher son beau trou de cul velu, il se mit à gémir et, à ma grande surprise, il me faisait tout ce que je lui faisais, il était très bon élève, avec un professeur d'expérience lol. Il suçait comme s'il avait toujours fait ça, tellement bien que je sentais arriver l'orgasme. Avaler est un choix, enfin, pas toujours, mais il marque moins une fin qu'une faciale ou autre, c'est seulement une transition pour la suite : on n'est pas embarrassé par l'essuyage, les mains gluantes et collantes...etc   Je lui ai éjaculé dans la bouche, il ne s'y attendait pas, mais je le sentais avaler aussi vite qu'il le pouvait et lui-même, il se vida dans ma bouche, moi à mon tour j'ai dégusté son sperme, en gardant dans ma bouche, pour lui faire goûter au sien, l'embrassant à pleine bouche pour aussitôt, lui relever les deux jambes sur son beau torse. Je suis allé au restaurant dans ce beau petit trou de cul velu et, vierge, plus je lui mangeais, plus je sentais son sphincter s'ouvrir et lui gémissant fortement, mon index à vite trouvé son chemin et deux doigts bien lubrifiés qui l'ont fait crier, je lui ai bien remangé  son trou et  je me suis positionné à son cul, il m'a dit:

— Fais-moi pas mal!

— Sois sans crainte, les deux, trois premières minutes, tu vas avoir une certaine douleur, car ton beau cul est vierge, je vais y aller doucement sois sans crainte, surtout qu'après, tu vas connaître une jouissance inespérée, quand ma queue va te frotter ta prostate.

— D'accord, mais si je dis d'arrêter. Tu arrêtes, OK ?

— Promis mon beau!

Doucement je lui ai poussé ma grosse queue de neuf pouces dans le cul, il criait; plus il criait, plus ça me rendait sauvage pour lui défoncer son beau petit trou de cul vierge. Il en pleurait, je ne me suis pas arrêté, il cessa ses larmes, pour lâcher des petits gémissements de jeune mâle en chaleur, découvrant le sexe chaud entre hommes, la vraie jouissance, il en à bandé raide, je me suis mis à vraiment lui défoncer son beau trou de cul si serré et si chaud, il se mis à se la masturber, pendant que je l'enculais a fond et il lâcha un cri OHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH JE VIENS, il lâcha une quantité de sperme incroyable, de l'abdomen a sa face, il en avait partout, j'ai accéléré mon va et vient viril, pour lui remplir les entrailles de mon sperme épais et abondant, pour aussitôt lécher son dégât, sur ce si beau corps, et sa face, pour le prendre par surprise et l'embrasser à pleine bouche, lui faisant goûter son propre sperme.

Je n'ai pas demandé plus, pour sa première fois, voulant le laisser libre de réfléchir et de prendre sa propre décision, je ne pouvais le forcer plus. Rien n'à sorti durant la semaine de cette soirée là, sauf que le vendredi soir suivant, au moment de payer sa pension pour la semaine, il vint me voir et me dit :

— Jacques j'aurais une proposition à te faire !

— Quoi mon bel André?

— Bien, disons que, que...

— Que quoi, si tu baises avec moi ?

— Oui, c'est ça, ça voudrait dire que je n'aurais plus de pension a te payer ?

— Si tu fais tout, tout comme convenu, j'ai bien dit tout!

— Je sais, t'embrasser, te sucer en 69, me faire pénétrer par derrière, je le sais!

— Exactement et alors!

— Un soir par semaine!

— Une nuit complète dans mon lit!

— La nuit complète ?

— Oui, mon coeur !

— eh ben d'accord Jacques!

— André, je vais te poser une question directe et je veux, que tu sois franc, très franc!

— Va-y, Jacques!

— As-tu aimé ça ou tu le fais juste pour l'argent...

— C'est gênant de répondre à ça!

— Dis la vérité, c'est tout.

— L'argent entre en ligne de compte, pour faire les paiements sur mon automobile, mais je dois te dire, que je n'avais jamais autant joui de ma vie et cette semaine je me suis masturbé, tous les soirs, en me revoyant dans ton lit, tu suces tellement bien et avales en plus, il n'y pas de fille qui suce si bien, me faire enculer, ça a été douloureux, mais suivi d'une super jouissance...

— Alors tu as aimé ça, dis-le!

— Oui, oui, j'ai aimé ça.

le deal

— Je vais te faire un marché, tu changes de chambre, tu couches avec moi tous les soirs et tu n'auras plus de pension à me payer, tu sera nourri, lavé et même vidé...

— Sérieux, tu vas laver mon linge et je serai nourri ?

— Exactement et même te laver personnellement de la tête  aux pieds, massage compris et en plus comme tu le sais, je rencontre plusieurs jeunes mecs, tu pourras même les enculer. Mais si tu te permets des sorties hors d'ici, tu dois me le dire et toujours te servir de condoms.

— Marché conclu, je change mes affaires de chambre tout de suite, car j'ai les couilles bien pleines et je n'ai surtout pas le goût de me masturber et en plus tu pourrais louer la chambre que j'occupe à un jeune gars de 17, 18 ans. Que nous pourrions enculer tous deux.

— Il y a bien mieux que ça, à faire, le prochain jeune que je vais amener ici, nous finirons à trois, tu l'encules et je t'encule en même temps, tu va avoir le plus grande jouissance de ta vie.

Il a couché dans ma chambre, nous nous sommes endormis très tard et crevés, surtout les couilles vides à sec. En peu de temps, c'est lui qui prenait l'initiative, en m'embrassant et qui en voulait encore et encore plus.

Quelques semaines plus tard, je louais de nouveau la seconde chambre à un nouvel apprenti, beau grand blond de 18 ans, encore straight (hétéro), pas pour longtemps. Car André le voulait autant que moi, si non plus et nous l'avons eu son beau petit trou de cul vierge et très velu de beaux poils blonds. Mais cette nuit à trois mérite un récit complet, à venir ci-dessous...

  * je sais que c'est injuste pour les auitres... 

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Jeudi 16 janvier 4 16 /01 /Jan 00:54

    PROSTITUES DE MON COEUR

André, Antoine, auraient protesté il y a quelques semaines

se défendant d'être gais et là en voilà un puis deux "hétéros" 

qui se font baiser comme des reines...  

 

[...]

 

2.le retournement d'antoine

Un soir, André me parle d'un de ses amis qui cherche une chambre au centre-ville, il a 18 ans et encore plus straight que lui, qu'il me dit. Je lui dis simplement invite-le à venir voir la chambre qui est libre et je verrai bien ce qu'il cherche au juste et voir s'il est en moyen de payer et surtout s'il est possible de l'avoir dans notre lit.

Ce soir là, André arrive avec son ami Antoine, un vrai beau petit mâle, les cheveux blonds, avec une carrure de vrai macho, jeans trop grands pour lui et un t-shirt bleu, qui avait besoin d'un bon lavage, des bottes de construction qui cachent des super grands pieds, de super belles grandes mains de mâle, je ne pouvais que me dire qu'il devait être super bien équipé entre les deux jambes.

Après lui avoir fait visiter la chambre libre. Lui expliquant qu'André partageait ma chambre, ce qui l'a surpris, nous sommes passés au salon pour jaser et discuter des ententes devant une bonne bière glacée.

— Alors Antoine tu travailles dans quoi?

— En ce moment je suis apprenti en peinture et menuiserie.

— Tu as bien 17 ans?  

— Oui j'aurai 18 ans en octobre prochain et toi?

— J'ai le double de ton âge et André t'a dit que je suis gai?

— Oui, il m'a expliqué vos arrangements.

— Ha oui ?

— Oui, mais moi je vais te payer en argent liquide.

— Liquide, dans quel sens liquide?

— En argent sonnant, pas comme tu penses, cela ne m'intéresse pas du tout.

— Pas de problème, tu cherches quoi, juste une chambre, une chambre et nourri ou bien une chambre, nourri et lavé.

— Cela dépend de ton prix, mais par laver, tu veux dire quoi au juste?

— Laver ton linge personnel et ton lit, pour ce qui de te laver, toi personnellement, cela sera absolument et complètement gratuit.

C'est pas gagné !

— Je t'ai dit tantôt que je n'étais pas gai.

— Tu sais pas rigoler, le jeune.

La conversation continua et nous en sommes venus à une entente pour le loger dans la chambre libre, il déménagea la semaine suivante, depuis trois semaines qu'il vit ici et je vous garantis qu'il est vraiment mâle, il va pisser ou se doucher, sans même fermer la porte et encore moins cacher  sa nudité, ce qui m'a permis d'admirer son corps, le gros morceau qu'il était garni entre les deux jambes, et ses belles fesses. Nous faisions une vie normale, lui dans sa chambre, moi et André dans la grande chambre. Je le baisais tous les soirs et, intentionnellement j'avais pris la bonne habitude de laisser la porte grande ouverte, même dans nos ébats les plus chauds. Surtout quand je défonçais le beau cul chaud d'André, tout en lui claquant bruyamment les fesses pour lui faire lâcher des cris. Ce qui porta ses fruits.

Car ce vendredi soir là, j'enculais à fond mon beau petit André, quand je vis par le miroir, Antoine dans la porte de chambre qui discrètement nous regardait faire, sa belle grosse queue sortie de son boxer.

— André dis-le que c'est bon!

— Oui, défonce-moi le cul, j'adore ça, va-y à fond !

— Avoue que tu aimerais ça qu'Antoine t'encule, lui aussi, avoue-le?

— Ça oui, mais c'est impossible, moi je suis définitivement bisexuel, pas lui disait-il, essoufflé par mes coups de boutoir.

— T'aimerais ça le sucer et te faire enculer par Antoine, avoue-le?

— OUI, oui je lui ferais tout ce qu'il voudrait, c'est mon meilleur copain et j'aimerais baiser avec lui et même à trois.

Antoine entra, s'approchant du lit et dit:  

— Même si moi je ne te fais rien, tu voudrais me sucer et je pourrais t'enculer?

— Approche et laisse moi te la sucer, fourre-moi ton beau gros morceau dans la gueule, bien à fond.

Il se positionna face à André qui se mit à sucer sa queue hyper bandée, puisqu'il se masturbait depuis plusieurs minutes dans la porte de la chambre, et en vrai petit mâle macho, il défonçait la gorge d'André aussi virilement que moi je lui défonçais le cul, pour bien l'initier à baiser entre hommes Avant de le voir éjaculer dans la bouche d'André, je lui ai cédé ma place pour enculer André, mais avec un condom et lui ai bien dit de ne pas jouir dans son cul, mais de lui décharger au complet dans sa belle petite gueule gourmande, comme je l'avais habitué à faire. Le seul problème c'est qu'Antoine excité comme il était, il se retira du beau petit trou de cul d'André après seulement quelques minutes d'enculage viril, pour lui éjaculer abondamment dans la face et finir de se la vider dans sa bouche.

Antoine était si mal à l'aise de s'être laissé aller à cette première baise entre hommes, qu'Il partit aussitôt vers sa chambre, sans rien dire d'autre que:

— Merci les gars c'était super bon.

Moi et André avons fini cette soirée en bon 69, se la vidant et avalant l'autre jusqu'à la dernière goutte, avant de s'endormir.

Le lendemain matin Antoine retarda de sortir de sa chambre, sûrement gêné, mais dès son apparition, nous n'avons presque rien dit, juste André qui lui dît:

— Alors Antoine, je te l'avais dit, fini les masturbations en solitaire, quand tu le désireras encore, viens nous voir, on va s'occuper de ton beau gros problème.

— Je verrai, je dois avouer que tu suces très bien et que tu as un beau cul serré et bien chaud, probablement que je me mêlerai à vous deux une autre fois, je ne sais pas quand !

— Quand tu voudras, mais tu devras suivre le nouveau règlement de la maison, strictement défendu de se masturber en solitaire, toute bonne éjaculation se fait entre nous, entre nous trois. Rires.

— Ok. Qu'il fît avec un sourire!

"vidange-graissage"

Antoine revint un peu bourré ce samedi soir, joyeux comme luron, en entrant au salon ou nous étions moi et André juste en boxers, à regarder un dernier film à la télévision payante, tout en se frottant la queue, il dit:

— Qui des deux veut du vrai jus de mâle ce soir ? j'ai besoin d'un changement d'huile et même deux fois plutôt que juste une fois.

— Parfait, tu veux un vrai changement d'huile de tes couilles, si tu te laisse menotter à ton lit, à poil, tu vas avoir plus qu'un changement d'huile. Comme tu dis, mais tu vas avoir la baise de ta vie, tu vas avoir le gland au vif et les couilles à sec, ça si tu es capable de bander et jouir plus d'une fois.

— Cool menotte-moi et ma queue est à vous pour la nuit. Je me douche et je suis à vous.

— Pas de douche, déshabille toi et étends-toi sur ton lit, moi je vais chercher mes deux paires de menottes de cuir, pour tes poignets et tes chevilles, toi prépare-toi à jouir bonhomme. Tu vas voir que baiser avec deux hommes, c'est plus cochon que juste baiser une fille.

— Cool, prouvez-moi ça.

De retour dans sa chambre, il était étendu sur le dos, jambes et bras bien écartés, sa belle grosse queue bandée raide, nous sommes entrés et nous l' avons menotté avec mes menottes de cuir qui ont une chaîne entre les deux, une à son poignet droit et l'autre à son poignet gauche, et en même temps nous lui avons relevé les deux jambes pour les menotter à ses poignets, ce qui limitait ses mouvements. Les deux jambes bien écartées nous montrant son beau trou de cul velu de beaux poils blonds et ses grosses couilles pendantes sous sa queue bandée raide.

— Hé! Je ne veux pas me faire enculer.

— Moi je veux te manger ton beau petit cul as-tu déjà senti une langue furetée dans ton trou de cul.

— Non, les filles ne font pas ça.

— Moi, je le fais, alors profite et ferme-la.

André se plaça de coté pour lui sucé cette belle érection et moi pour lui léché les couilles et le cul, y entrant ma langue, il se mît à gémir comme un bébé, André se la rentrait au complet dans sa bouche, moi lui mangeant les couilles et mon index furetant l'entrée de con cul bien mouillé de ma salive, mon doigt y entrant facilement, sans aucune mauvaise réaction de sa part, sauf gémir de plus en plus fort. Disant sans cesse, oui, oui, c'est bon, ne lâchez pas, André a eu l'audace d'approcher sa  bouche de la sienne, pour un petit baiser sur les lèvres, Antoine complètement parti ouvrit la bouche pour embrasser André à fond, pendant que je le suçais à mon tour et en ayant mon index au complet dans son anus.

André se retourna et se plaça en position de 69, il se mit à le sucer, timidement Antoine suçait André, qui en profitait pour le lui pousser au complet dans la gorge, Antoine étant occupé en bon 69, ne me voyait pas me positionner entre ses deux jambes, mon gland collé à son petit trou de cul vierge, eux toujours en bon 69, Antoine gémissant fortement, délicatement j'ai poussé mon gland dans son anus bien mouillé de salive, André surveillant le tout, Antoine hurla de rage quand il a senti que je le pénétrais, ma queue étant au complet dans son beau petit cul blond, André lui dit:

— Pose-toé pas de questions, prends le plaisir qui passe. Ça n'arrivera pas tous les jours

— Suce-moi et profite de tout, c'est ce soir ton initiation au sexe et après tu ne pourras plus t'en passer, suce-moi.

Antoine se sentant pris au piège, continuant à sucer André et, toujours en 69 j' entrepris un va et viens viril dans son cul si serré et si chaud, Ce qui le fit gémir encore plus et éjaculer abondamment dans la bouche d'André qui avala le tout, celui-ci tenant fermement la tête d'Antoine , il émit plusieurs jets et forçant Antoine à avaler le tout. Moi qui le pénétrais à fond et ouf! Je lui remplis les entrailles de mon sperme épais. Pour enfin lui enlever les menottes. André lui dit:

— Alors mon bel Antoine comment as-tu aimé ton initiation?

— Super, mais ne dites jamais à personne que je me suis fais enculer.

— Sois sans crainte, c'est notre secret à nous trois.

— A mon tour de vous défoncer le cul, vite tous deux à quatre pattes dans le lit, que je vous encule à tour de rôle.

— Pas de problème dit André, encule-nous, prends ton pied et après je veux finir ça, moi qui t'encule pendant que Jacques m'encule en même temps.

Ce qui fût dit, fut fait. Antoine ayant une petite amie régulière qu'il baisait, nous avions quand même droit à une soirée chaude à trois, a toutes les semaines et la semaine de relâche, la semaine des règles de sa copine, il venait nous rejoindre trois jours.

Ayant toujours vécu seul, ayant loué des chambres à deux beaux petits mâles que je baisais régulièrement, je songeais à déménager dans un plus grand logement, pour avoir plusieurs chambres à louer, hé! Oui encore et toujours plus, si vous cherchez à vous loger pour pas cher, chambre, nourriture et lavage inclus. Et surtout bien vidé, écrivez-moi avec ta description et ce que vous cherchez comme nid pour y dormir et bien plus.

FIN

 

*Aux États-Unis et dans la plupart des provinces canadiennes, les immeubles divisés en copropriété sont appelés « condominiums », y compris en français.

 

 

 

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