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Je suis trans non opérée
Prends- moi direct Chéri. Nue je veux être pour que l’on se prenne. Je dégrafe soutien gorge et porte jarretelle
et les jette hors du lit. C’est une nécessité, une urgence de mêler nos sueurs, de capituler face au désir de mon épiderme.
D’abord, il faut lutter d’égal à égal, peau à peau, vulnérables, entêtés, décidés à se trouver l’un l’autre. Des esprits affamés. Nos corps basculent sur ce lit. Les mains de Marc s’emparent de
mes hanches, les rapprochent des siennes. Je retiens mon souffle lorsque son sexe cherche à me pénétrer. Son gland écarte mes les plis de mon trou, se fraie un chemin dans le couloir étroit de
mon cul. Je m’octroie une inspiration, un soupir de libération, un gémissement lorsque sa verge est enfoncée entièrement. HEEEEEEH Il me lime profond. Il conquiert les profondeurs de mon ventre, si loin que le sang bat dans mon front, que la douleur me surprend, que je sens mes jambes d’abord
trembler, finalement s’engourdir. Je me tais. Le va et vient s’intensifie, écarte les parois de mon intérieur. Marc pose sa main sur mon ventre. Plus tard, je lui confierai l’excitation que
provoque ce contact. Lui me dira sentir son sexe à travers la peau. Pour l’heure, il est plus fort que moi, j’obéis donc à sa férule. Je veux que sa puissance me submerge. Je veux lui céder la
victoire.
Puisque je baisse ma garde, impose-moi ton corps. Laisse la douleur délicieuse envahir notre amour. Frappe mes saillies charnues, vrille la peau de mon cul, claque ma joue, places-y salive,
douleur et baisers. Tes doigts dans ma bouche s’enroulent autour de ma langue, polissent la porcelaine de mes dents. Je les suçote, les lèche comme je le ferai avec ton sexe. Tu penses que ce que
tu me donnes me satisfait pleinement. Donne-moi aussi des mots alors, donne-moi à entendre ton amour et ton désir. Soupire, gémis, et pousse en moi ta queue. Laisse-moi me mettre à quatre
pattes, me cambrer, laisse-moi ramper jusqu’au lit en signe de soumission, esclave de ton envie, effrayée, semi-consentante devant tes "je te prendrais volontiers le cul…". Ta ceinture de cuir
maintenant. Ne me juge pas quand je te demande de me frapper. Ne me juge pas quand je te chevauche et que je pars dans le grand vide, quand je lutte, muqueuse contre muqueuse, que la violence
emporte tout sur son passage, toute ma raison soudain envolée pour que le plaisir prenne place entre toi et moi. Parce que je t’honore dans la douleur comme dans la douceur. Donne-moi mon plaisir
quotidien.
ils sont fous ces romains ricains
Le Point révélait ce matin une histoire aussi triste que loufoque. En effet, le 21 décembre dernier, une enquête a été ouverte sur l’homicide d’un homme de 58 ans. Le coupable présumé est son beau-fils de 33 ans, et l’arme du crime serait... le slip de l’homme décédé !
Vendredi 17 janvier 2014517/01/Jan/201408:23
Aujourd'hui, nous vous parlons de l'Atomic Wedgie appelé "tire-slip" en France. Tiré du verbe anglais "to wedge" : "coincé", cette pratique consiste à coincer les sous-vêtements de quelqu'un dans sa raie des fesses. Un wedgie peut tout à fait survenirs spontanément. Il peut également être intentionnel et perpétué par une tierce personne. Il est alors utilisé soit pour faire une blague, soit en terme de réprimande. Un wedgie implique donc de tirer le plus haut possible l'élastique arrière des sous-vêtements de la victime choisie.
Le Wedgie est très largement représenté dans la société américaine. Il représente l'archétype de la blague pas drôle et est également utilisé lors de bizutage scolaire. Dans ces cas là, les "participants" porteront majoritairement des slips. Ces derniers étant moins résistants, ils se déchireront rapidement sous la pression exercée. Cela permettant de libérer plus rapidement la victime de ses souffrances.
Le Wedgie, peut faire l'objet de différentes variantes :
1 - le wedgie atomique : tirer le sous-vêtement de la victime jusqu'à lui recouvrir la tête.
2 - le hanging wedgie : suspendre la victime au dessus du sol à l'aide de ses sous-vêtements.
3 - le shoulder wedgie : rabattre les angles du sous-vêtement de la victime sur ses épaules.
4 - le melvin (minerva pour les femmes) : tirer le sous-vêtement par devant afin d'infliger des douleurs aux parties génitales de la victime.
5 - le shoes wedgie ou jocklock : ramener les angles du sous-vêtement de la victime sur ses chaussures. Le réflexe faisant tendre les jambes, la victime augmente, d'elle même les effet du wedgie.
6 - le Luigi : le sous-vêtement est détruit par le wedgie.
7 - le connection wedgie : ouvrir le soutien-gorge de la victime et le refermer sur sa culotte.
Le wedgie est donc une pratique variée et connue pour faire des farce à ses victimes. Il n'en reste pas moins une pratique à risques. Le Wedgie peut provoquer des lésions aux testicules et au scrotum. En 2004, un enfant de 10 ans à dû subir une intervention chirurgicale suite à un wedgie. Plus récemment, il y a quelques jours, un homme de 58 ans est décédé suite à un wedgie atomique..
Je pense [] aux hommes mûrs qu'on dit vieux et que l'on condamne à se replier sur eux-mêmes tout simplement parce que le temps a exercé sur leur physique une empreinte qui nous est à tous destinée. |
nous aimer, lui donner le maximum, il est si doux ...
Non! ce n'est pas un poème, juste des mots qui sortent de ma tête en vrac. Pourquoi? Parce que je suis en colère: mon ami se trouve vieux. Quand il me l'a dit, j'ai cherché dans la poubelle, puis à la déchèterie, je suis même allé fouiller dans la décharge municipale. Là, j'ai vu toutes sortes de vieilleries, de vieux objets, mais manque de pot pour vous, il n'y était pas. Preuve que ce mot du dictionnaire ne le concerne pas.
À un peu plus de 60 ans, il est un bel homme mûr pour qui mon amour ne cesse de grandir. Dans quelques mois j'aurai 31 ans, je suis black et parait-il beau mec. Lui et moi faisons la paire. Quand nous nous baladons dans les rues, je lis dans vos regards, dans vos pensée, les mots que vous employez si souvent: "Le vieux blanc et son gigolo de black, rapports d'argents, ça pue le fric."
Vous avez raison ça pue, ça pue l'amour, une odeur dont vous ignorez l'existence. L'amour, le vrai, celui qui fait que quand il n'est pas là, je ne respire plus, une impression de mourir... Quand il est près de moi, j'ai chaud quand vous avez froid. Il fait soleil quand pour vous il fait gris. L'appeler plusieurs fois par jour ne me fait pas peur, juste pour entendre le son de sa voix, son accent chaud du midi. Il y a quelques mois je lui ai fait un beau cadeau en gravant l'initiale de son prénom sur mon bras. J'ai été très touché du bonheur et de l'amour que j'ai devinés dans ses yeux ce jour-là.
Tout les moments que je passe à ses côtés sont merveilleux, mais ceux que j'aime le plus, c'est quand, les nuits d'amour, j'arrive dans sa chambre où son corps nu m'attend. Je m'approche de lui, il me sourit, je l'embrasse à pleine bouche, il m'enlace. Nos corps fusionnels excellent dans l'art d'aimer. Il n'a pas 20 ans, il ne réagit pas du premier coup à mes caresses, mais quand bien même, il ne prend pas de viagra où d'un autre produit qui aide à bander.
Il me connaît si bien, et il sait que mon amour pour lui réussit toujours à faire de son corps un véritable brasier. On se caresse mutuellement, puis il s'allonge sur le ventre, m'offrant le plus beau des paysages, son cul dont je lèche avec délectation les parois douces et poilues. Ma langue parcourt sa raie, jusqu'à ses burnes que je gobe. Il adore. Son corps se tend, se détend; ensemble nous prenons notre envol, destination plaisir...
Son trou, pétri, élargi, accueille une fois encore ma langue, qui s'enfonce toujours plus loin à la recherche de mille senteurs, de mille saveurs. Quelquefois, quand il en a envie et qu'il est suffisamment détendu, je garnis son trou d'un lubrifiant et j'introduis délicatement mon index. Son corps à nouveau se tend, se détend, il m'attend. J'enduis ma queue de l'onguent, en me caressant un court instant, puis je présente mon gland à son intimité.
Près de son trou, tout est prêt, il éteint tout.
Dans la chaleur et la douceur de la nuit, je l'imagine, il me devine. Son corps est divin, en lui je vais et je viens, je bous et je jouis. Une jouissance que personne ne peut me donner à part lui.
Souvent il me parle de sa vie passée, de ses amours d'enfance, de ses ébats avec sa femme, et moi je l'écoute, jaloux de ces moments où je n'existais pas pour lui. Au début de notre histoire, quand je lui disais que je l'aimerais toute ma vie, il me riait au nez sans doute en songeant "Encore un jeune homme frivole et infidèle qui joue aux amoureux!" Depuis des dizaines d'années ont passé et je suis toujours là pour lui que j'aime plus que tout au monde. Nous nous endormons l'un contre l'autre, nos corps s'épousent dans cette chambre qui abrite notre amour depuis tant d'années. En milieu de nuit je sens son sexe durci contre moi; il est dans un sommeil profond, alors je me glisse sous les draps, je prends sa queue dans ma bouche et lui administre une pipe d'enfer, puis de ma main je le branle. À demi réveillé, il pousse des petits cris de plaisir jusqu'au gémissement de la jouissance. Son corps tremble, sa semence est chaude et ma bouche gourmande déguste jusqu'à la dernière goutte de mon amour. Il me serre contre lui en me disant que personne ne l'a aimé autant que moi. Ces quelques mots me remplissent toujours d'un grand bonheur.
Mon amour, je sais que tu liras ce texte. Alors saches que notre vie est liée à tout jamais. Tu me connais plus que quiconque et tu sais aussi combien pour toi mon amour est grand.
Je pense aussi aux hommes mûrs qu'on dit vieux et que l'on condamne à se replier sur eux-mêmes tout simplement parce que le temps a exercé sur leur physique une empreinte qui nous est tous destinée. Que vous ayez soixante, soixante-dix ou quatre-vingts ans, ne vous laissez pas faire. Vivez votre vie et surtout dites-vous qu'il y a des milliers de jeunes comme moi qui vous admirent et vous aiment tendrement
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