On va croire que François profite ...de son cul...autant que de sa bite ...mais il est l'esclave de ses sens
François, ado sans un poil, comme une fille se dit bisex...un jour une chaudasse hollandaise et ses amis hippies qui faisaient du camping
sauvage l'ont piégé. Pendant qu'il était sur elle et la baisait, les mecs sont venus et l'ont maintenu et baisé de force et à fond.Façon de lui faire partager leurs goûts à eux...ça s'appelle
viol de mineur...Le début d'une plongée passive qui va occuper sa vie pour retrouver ces sensations et fera de lui une proie, une pute, "une chienne" au service de brutes. Son ami
Franck assiste impuissant à cette descente...
Franck :- "on avait baisé cette touriste ensemble, lui dans son vagin et moi dans son cul...mon "premier
cul".
J'ai vu François allongé sur le dos dans l'herbe humide et Carole le chevauchait sans complexe. Elle montait et descendait sur le bas ventre de mon
pote qui l'encourageait à voix basse. J'ai vu François allongé sur le dos dans l'herbe humide et Carole le chevauchait sans complexe. Elle montait et descendait sur le bas ventre
de mon pote qui l'encourageait à voix basse.
— Vas-y ma poule... Bien profond... Tu la sens... Vas-y encore!
Il m'a vu, m'a fait un clin d'oeil. Carole ne pouvait pas me voir. Je me suis approché. Il l'a attiré vers son torse. Elle s'est laissé faire. La lune éclairée ses fesses ouvertes. La
raie sombre me tentait. François l'embrassait à pleine bouche en lui maintenant le visage contre le sien. Je me suis mis à genoux derrière elle. Mon pote m'a fait un signe de tête comme pour me
dire vas-y. Je bandais comme un fou de voir cette fille en train de se faire ramoner elle même. J'ai mis de la salive dans ma main et me suis masturbé doucement. Elle ne s'est pas aperçue de ma
présence. Je saisis rapidement ses fesses. Mon gland a tout de suite trouvé l'entrée plissée. Elle a sursauté, tournait la tête vers moi. François la tenait fermement.
— Laisse... Tu verras... C'est bon...
— Je veux pas... Je veux pas...
J'ai poussé, c'est entré tout seul, comme pour sa copine. Elle a d'abord crié de douleur ou de dépit puis de plaisir. Sensation incroyable de cette fille qui oscille aux rythmes de nos
queues. Son cul bien souple m'avale sans problème. On tente de se synchroniser mon pote et moi. On y arrive. Elle se laisse faire. Ses gémissements deviennent des cris de femelle en chaleur. Nos
queues s'enfoncent ensemble. J'arrive à sentir celle de mon pote. Il doit sentir la mienne. C'est elle qui jouit en premier. On la suit. On la libère. Elle nous dit en rigolant qu'on est des
petits salauds. On remarque Sophie réveillée par les cris de sa copine. On est bien les quatre. Elles sont parties trois jours après le cul et la chatte en choux-fleurs.
Ce jour là, François m'a dit qu'il ne serait pas avec moi et qu'il avait une course à faire en ville qui lui prendrait tout l'après-midi.
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Mais lui, Franck, avait une vie mystérieuse et complexe, je le suivis à son insu afin d'en avoir le coeur net.
Nous étions à une vingtaine de mètres de la carrière. Les collines éventrées par les bulldozers formaient un cercle et ne laissaient qu'une voie
d'accès unique pour des camions monstrueux. François s'est arrêté à côté d'un vieux mur en ruine, reste d'une maison de forestier. À quelques de mètres de l'endroit, il y avait un groupe d'hommes
en train de terrasser des cailloux. Je suis resté à couvert.
À côté du mur en ruine, il y avait deux baraquements de chantier qui devaient servir de demeures aux ouvriers chargés de cette partie du chantier.
François s'est mis face au mur, tournant le dos aux hommes qui ne l'avaient pas vu. Je me suis aplati dans l'herbe. De l'endroit d'où j'étais, je pouvais voir mon pote devant le mur. François a
sorti son sexe et s'est mis à uriner contre le mur. Son jet puissant formait un arc de cercle qui brillait au soleil avant de s'écraser sur les vieilles pierres surchauffées par le soleil. Un des
hommes du chantier a tourné sa tête vers le mur et s'est aperçu de la présence de mon ami. Je pouvais tout voir sans problème. L'homme a parlé aux autres qui ont tous tournés leurs regards vers
le mur où François bien qu'ayant fini de pisser continuait à garder la même pose, son sexe toujours à la main.
Un des hommes s'est approché d'un pas nonchalant. C'était un arabe. Il était torse nu et portait un casque de protection rouge sur sa tête. Sans un
mot, il s'est placé à la droite de François et a ouvert la braguette de son vieux pantalon maculé de poussière pour en sortir un sexe très brun, circoncis. Il s'est mis à pisser tout à côté de
François qui regardait cette bitte d'où sortait un puissant jet d'urine. L'arabe a pissé pendant longtemps, puis a secoué son sexe avant de le rentrer et refermer son pantalon. François n'avait
pas bougé pendant toute la durée de l'opération et n'avait pas quitté des yeux la queue de l'ouvrier. L'arabe s'est tournés vers lui en souriant. Il a regardé ses copains qui continuaient à
travailler.
— Ti es venu pour elle?
En disant cela il a porté la main sur sa braguette pour se caresser l'entrejambe. François n'a pas répondu, se contentant juste de baisser la tête
d'un mouvement très lent, d'une grâce presque féminine. Il ne faisait aucun doute que ce mouvement était un consentement et en même temps une espèce de soumission. Ils étaient toujours côte à
côte. La main de l'ouvrier s'est posée sur les fesses de mon pote pour les flatter un petit moment, avant de passer sous le short blanc. François a légèrement frémi et a fermé les yeux. Les
autres ne travaillaient plus et regardaient dans leur direction. Ils étaient cinq à regarder leur collègue caresser la croupe de mon ami qui se laissait docilement peloter par les mains noueuses
et maculées de poussière. Moi je restais bien planqué dans l'herbe. Personne ne pouvait deviner ma présence. J'osais à peine respirer. J'étais fasciné et dégoûté en même temps. Mon sexe me
démangeait.
La grosse main calleuse est ressortie. L'arabe s'est placé derrière François qui ne disait rien, toujours immobile, et les yeux fixés sur la tache
sombre qu'avait fait son urine sur les pierres chaudes. Mon ami portait une légère chemise blanche assortie à son short de tennis. Il semblait fragile comme un enfant sous le soleil à côté de
l'arabe qui le dépassait d'une bonne tête. Les mains de l'ouvrier ont lentement baissé le short. Je pouvais voir l'étoffe descendre doucement le long des hanches de mon ami pour atteindre le haut
de ses cuisses avant de tomber autour de ses jambes et atterrir sur ses chevilles en recouvrant les espadrilles poussiéreuses. De l'emplacement où je me tenais terré, je pouvais voir toute la
scène, contrairement aux ouvriers qui ne voyaient que le dos de leur collègue. Ils avaient repris le travail mais regardaient très souvent de notre coté.
À ma grande stupéfaction, François ne portait pas de slip! Les mains brunes à la peau épaisse pétrissaient les fesses nues de mon ami et leur
couleur tranchait avec les globes très blancs offerts. L'arabe a obligé mon pote à écarter ses jambes mais le short l'en empêchait.
— Enlève ton short, ti n'en a pas besoin ici...
François a levé une jambe après l'autre pour se débarrasser de l'étoffe blanche et a écarté ses longues jambes aux muscles très fins. L'ouvrier
s'est poussé et les autres ont pu voir que François n'avait plus que sa chemise et ses espadrilles sur lui. Ils ont rigolé en échangeant des paroles incompréhensibles.
— Penche toi pour que mes amis ti voient mieux le cul.
François a obéi en prenant appuis sur le mur aux pierres branlantes. Il est resté comme cela sans bouger, reins cambré, fesses offertes, jambes bien
écartées, bras tendus et mains à plat sur le mur. Sa chemise lui arrivait au bas des fesses et seules ses jambes étaient visibles.
— Ti pas venu depuis longtemps... Il faut mieux leur montrer...
L'ouvrier a relevé la chemise pour la rabattre et en couvrir les cheveux et le visage de mon pote. François était plus nu que nu sous le soleil
éclatant. Avec sa tête recouverte de tissu blanc, son corps bronzé, à l'exception de ses fesses toutes blanches, il était complètement offert à la vue des autres travailleurs. L'arabe qui
semblait être le chef de l'équipe était en train de l'exhiber à tous en pleine journée sur un chantier. J'étais complètement subjugué par ce qui se déroulait sous mes yeux. La main de l'arabe est
revenue caresser les fesses et la raie culière. Le majeur est entré entre les globes. François a sursauté. J'ai vite compris que le mec venait de lui enfoncer un doigt dans l'anus.
— C'est bien, le français. Ti as mis plein de crème !
C'était complètement dingue! François s'était enduit le cul de crème lubrifiante. Ainsi donc, il s'était préparé avant de venir les voir. Il ne
l'avait pas fait en chemin, puisque je ne l'avais pas quitté des yeux. Non il avait dû le faire chez lui et il était venu sans slip et la raie enduite de crème. Et il avait fait tout cela pour
ces mecs, ces ouvriers du barrage, loin de leurs pays, qui travaillaient dur sous un soleil de plomb. Il avait parfaitement prémédité son coup et n'avait plus l'excuse du braconnage. Il n'avait
donc pas menti aux frères Berthaille qui avaient parfaitement deviné que mon pote était une pute avec les hommes. Et tout ce qu'il avait raconté devait être vrai aussi. C'était complètement
dingue de découvrir en une semaine de vacances que mon ami d'enfance avait une double vie. Et sous mes yeux incrédules, en plein jour, et devant des spectateurs, il se transformait en femelle
abandonnée à la convoîtise d'un ouvrier de chantier. L'arabe l'a débarrassé de la chemise.
— Va derrière, le français.
Ils ont contourné le mur. Je suppose que l'arabe, par un sentiment de pudeur assez curieux, ne voulait pas que les autres le voient faire. De
l'endroit d'où j'étais, je pouvais voir les deux côtés du mur délabré tandis que les autres ne pouvaient voir que des torses.
— Mi toi à genoux...
Le type a sorti rapidement sa queue de son pantalon de toile, pour la présenter devant le visage de mon ami. Il avait un gland épais, sans prépuce,
et une hampe très brune qui me semblait très épaisse. Pourtant, il ne bandait pas encore. François ne quittait pas le sexe des yeux. On l'aurai dit hypnotisé par le membre à moitié
endormi.
— Ti m' suces ?...
Sans aucune révolte, mon ami a ouvert la bouche pour gober le gland. Il a commencé à pomper la queue qui s'est mise à grossir pour se déployer dans
la bouche grande ouverte. Les lèvres coulissaient le long de la tige pour allaient de plus en plus loin. La bitte de l'arabe s'allongeait pour atteindre une belle taille. Et malgré cette
longueur, François arrivait à la prendre dans sa totalité. Il pompait le dard avec fougue. On l'aurait dit en manque. Il s'est mis à téter le gland en branlant la tige. Il allait de plus en plus
vite. Il léchait, suçait, branlait avec une avidité incroyable et le type le laissait faire, bassin en avant et poings sur les hanches. Au bout de quelques minutes, l'arabe a plaqué le visage de
François contre son bas ventre et l'a maintenu ainsi.
— Ti vas tout avaler...
À ses tressaillements, j'ai compris qu'il était en train d'éjaculer dans le palais de François qui avalait la semence qui devait jaillir par jets
puissants. L'arabe a joui longtemps et mon ami a avalé et sucé jusqu'à ce que le type lui lâche la tête. La bitte brillante de salive est ressortie. L'arabe s'est rajusté avant de crier quelques
mots aux autres qui ont ri en agitant les bras.
— Ti aimes les zob toi...
François est resté à genoux pendant que le mec continuait à discuter avec les ouvriers. Il leur parlait en arabe avant de regarder François qui
visage levé vers le mec attendait.
— J'ai dit à mes hommes que tu suçais très bien les zob... Ti n'es pas venu depuis longtemps... Ils n'ont pas eu de fatma cette
semaine... Ti me suis dans la cabane... Ti vas leur donner ton cul...
François s'est relevé et l'arabe l'a poussé sans ménagement en lui donnant des petites claques sur ses fesses. Ils se sont dirigés vers la porte du
premier baraquement. François est entré le premier suivi de l'ouvrier qui a salué d'un geste de la main ses coreligionnaires. Je suis resté à ma place, me doutant bien de ce qui devait se passer
à l'intérieur. Mon pote était en train d'offrir son cul à ce mec qui venait déjà de se faire pomper. Au bout d'une dizaine de minutes, l'ouvrier est sorti pour rejoindre ses collègues et un autre
s'est dirigé vers le baraquement. Il est entré en ouvrant déjà son pantalon.
Bien sûr, je ne pouvais rien voir de ce qui se passait à l'intérieur et je suis parti quand le troisième est entré à son tour dans le baraquement et
a refermé la porte sur lui. Le short blanc et la chemise étaient toujours au pieds du vieux mur. À mon grand étonnement, je me sentais frustré et surtout très déçu de ne pouvoir assister à ce qui
pouvait bien se passer dans le baraquement. J'avais une envie terrible de voir ce que mon pote faisait avec ces mecs. Je me suis aperçu que je bandais en l'imaginant nu, livré aux ouvriers de la
carrière et en train de se faire sodomiser à la chaîne ou sucer des queues inconnues.
Des images terribles défilaient dans ma tête et, sur le chemin du retour, je me suis branlé dans les hautes herbes.
FIN
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