Partager l'article ! — Je ne veux pas te blesser, murmurai-je désemparé.: Julien était a ...
Julien était allongé sur le dos, face à moi.
Il releva ses 2 jambes et les laissa reposer sur mes épaules. Il m'offrait ainsi son anus délicat et vierge. J'étais subjugué par cette invitation, cette offrande. J'allais pénétrer dans son corps, prendre possession de sa personne. Je présentai mon pénis rigide devant son petit cul délicat qui palpitait de désir. Je ne voulais surtout pas lui faire mal. Je n'osais le pénétrer devant la résistance que je ressentais.
— Je ne veux pas te blesser, murmurai-je désemparé.
Julien me regarda, sans cesser de sourire. Il posa ses mains sur mes fesses, et après avoir solidement saisi mes hanches, il m'attira fermement à lui. Un éclair de lucidité me permit de comprendre à quel point ce garçon était fort et déterminé. Il m'aidait, il me transmettait sa force pour le prendre... C'est ainsi que j'entrai en lui. Nous poussâmes conjointement un râle.
Presque sans en prendre conscience, mon bassin se mit en mouvement. Chaque fois que je m'enfonçais plus profondément en lui, Julien émettait un cri de jouissance. Je déflorais son intimité. Mes mouvements s'accélérèrent. Mon plaisir devenait de moins en moins contrôlable. Puis je sentis que je ne pourrai plus rien arrêter. La jouissance était là. Elle montait irrésistiblement comme une déferlante que rien ne peut retenir. Mon sexe se mit à palpiter, à vivre sa propre vie en me procurant une jouissance ineffable. J'éjaculai en poussant ce qui me parut être un rugissement. Je sentis son sphincter se contracter autour de ma queue en feu, comme s'il voulait la happer, l'absorber.
Sans qu'il fit quoi que ce soit, Julien éjacula lui aussi sur son abdomen. De longs jets de sperme nacré s'étalèrent sur son ventre et son thorax.
Je m'affalai sur lui et couvris son visage de baisers.
Nous nous embrassâmes longuement en reprenant peu à peu nos esprits. Je m'aperçus alors que ses joues étaient couvertes de larmes, ce qui me déconcerta et me navra. Lui avais-je fait mal?
— Merci Laurent. Merci mon amour.
Je fus complètement chaviré et mes larmes se mirent également à couler . Nous étions là à nous étreindre moureusement et avons peu à peu émergé dans le monde réel mais restions enlacés, comme soudés l'un à l'autre.
aujourd'hui à 24 & 25 ans
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