Samedi 18 janvier 6 18 /01 /Jan 01:31

SAUTER LE PAS

Rémi ne porte rien en dessous à l’hôpital

 

Au cours de ma deuxième année à Paris, Rémi passait de plus en plus de temps à l’hôpital dans le cadre de son internat.

Je passai le voir de temps en temps. Il était vêtu comme un infirmier avec un pantalon et une chemise très légers. Ce petit coquin ne portait rien en dessous. Cela nous excitait fortement tous les deux. Il m’arrivait de passer à l’hôpital de temps en temps et nous faisions l’amour dans les chambres vides, quand il était de garde la nuit. Sexe à l’hôpital, un beau fantasme !

Un jour, lors d’une de mes visites, Rémi me confia qu’il avait complètement craqué pour un de ses patients.

— Laisse-moi t’expliquer, Matthieu. Il doit avoir dans les 16, 17 ans et il est absolument craquant. Évidemment, je n’ai pas encore eu l’occasion de le draguer… mais figure-toi que je crois bien qu’il est homo.

— Qu’est-ce qui te fait dire ça ?

— Eh bien, en fait, Maxime, c’est son nom, s’est salement fracturé les deux poignets et nous sommes donc obligés de lui faire sa toilette sur son lit.

— Très sensuel…

— L’autre jour, c’est une infirmière qui l’a faite alors que je regardais son dossier médical. Bien sûr, j’ai bien maté son joli petit zizi quand elle l’a lavé. Le jour suivant, nous avons inversé les rôles avec ma collègue, et figure-toi que quand c’est moi qui l’ai lavé, ce petit coquin s’est mis à bander comme un fou.

— Tu plaisantes ?

— Non, il était terriblement gêné. Et le jour d’après, quand ce fut le tour de ma collègue, plus rien du tout.

— C’est clair… Tu lui fais de l’effet !

— Tu n’as pas idée. Je suis comme un fou. J’ai tellement envie de le baiser. Tu sais que je n’ai jamais dépucelé un mec et j’en crève d’envie.

— Non, tu plaisantes ? Mon petit Rémi, celui-là, il est pour toi… à condition que tu me laisses t’aider un peu.

— Marché conclu.

Nous avions un plan : le service de Rémi était petit, quelques chambres seulement, et il était seul à partir du service du dîner et pour la garde de nuit. Nous avions donc les prochaines nuits devant nous. La « proie » devait encore rester une semaine à l’hôpital. Pendant cette semaine, «j’allais être le nouvel interne, collègue de Rémi», et les 2 « docteurs » allaient bien s’occuper du malade.

Je suis donc arrivé à l’hôpital le premier soir, je me suis foutu à poil avant d’enfiler juste une blouse blanche. Nous sommes ensuite partis en tournée. Après deux cas sans intérêt, ni sexuel, ni médical, nous sommes arrivés dans la chambre de Maxime. Et là, je compris Rémi… Un visage d’ange, une frimousse adorable, des yeux bleus, des taches de rousseur, une tignasse brune d’ado sur la tête, une peau assez claire. Il devait avoir autour de 16 ou 17 ans. J’eus alors un flashback : je revis les corps nus et magnifiques de Julien et d’Adrien, et repensai à la première fois avec chacun d’eux. Je voulais vraiment que Rémi ait cette chance aussi.

Rémi déclara : « C’est l’heure de la toilette ». Maxime rougit. Il savait ce qui allait se passer. Rémi le déshabilla. Quel corps ! Une peau assez blanche, imberbe, d’une douceur de lait, une toison très brune. Une bite de taille moyenne, mais toute mignonne. Je verrouillai la porte d'entrée de la chambre.Rémi commença à le laver. Maxime se mit à bander, petit à petit ; on voyait qu’il essayait de se retenir mais il n’y arrivait pas. Il rougit :

— Je, je… Je suis vraiment désolé.

— Ce n’est pas grave, ajoutai-je, laisse-toi faire par le docteur Rémi. Laisse-moi juste contrôler si ton cœur est normal.

Je sortis mon stéthoscope sur son petit cœur et écoutai les battements accélérés alors que Rémi continuait la toilette.

— mmmh je vois que le Docteur Rémi fait de l'effet sur toi !

Maxime ne disait rien. Après l’avoir rhabillé, Rémi déposa un baiser sur ses lèvres : « Ne t’inquiète pas Maxime, tout cela est parfaitement normal. Tu es entre de bonnes mains. Nous allons bien nous occuper de toi. » Maxime était incrédule. Il ne réagit pas. Nous avons ensuite quitté la pièce

Le deuxième jour, quand nous sommes entrés dans la chambre, Maxime souriait. Il demanda timidement :

— Le docteur Matthieu peut-il me laver aujourd’hui ?

— Je ne vois pas de contre-indication, répondit Rémi.

Je commençai une toilette sensuelle. Rémi s’était approché de Maxime pour caresser son visage d’ange et lui donner des baisers. Maxime bandait comme un taureau. Après la toilette, nous l’avons laissé nu sur le lit. Rémi est allé chercher un petit pot, utilisé normalement pour les analyses d’urine.

— Nous allons faire un petit test, dit-il.

Nous avons commencé à masturber Maximum à tour de rôle. Maxime était aux anges. Avec deux poignets cassés, il n’avait pas dû se branler depuis un moment. Au moment où il s’apprêtait à jouir, nous avons approché le petit pot pour tout recueillir. Le sperme était magnifique, abondant, d’un blanc de lait. Rémi est allé le diluer dans un peu d’eau, puis est revenu devant Maxime. Il a ensuite gouté le mélange :

— Mmmh, je pense que ce garçon est tout à fait normal. Le test de sperme est positif.

Il me fit goûter également. La boisson était délicieuse. Cela faisait longtemps que je n’avais pas gouté un foutre aussi bon. Maxime était intrigué…

Rémi déclara :— Cela te ferait beaucoup de bien à toi aussi. On pourrait en rajouter à ton régime alimentaire.

Il s’approcha du plateau-repas de Maxime que nous avions amené avec nous. Il sortit sa bite et commença à se masturber au-dessus de l’assiette de purée. Je le rejoignis pour faire de même. Nous avons ajouté tous les deux notre sauce à la purée et mélangé le tout. Bien sûr, Maxime, avec ses deux poignets cassés, avait besoin de nous pour manger. Rémi et moi lui tendîmes tour à tour des cuillerées de purée. À la première cuillerée, il hésita à ouvrir la bouche, mais il accepta finalement.

Après avoir avalé, il nous livra un grand sourire :

— C’est délicieux, j’en veux encore.

Nous l’avons donc régalé, à la cuillère ou directement avec nos doigts qu’il lécha avec gourmandise. Maxime ne tenait plus :

— Rémi, Matthieu, faites-moi l’amour, s’il vous plait. Je ne tiens plus. Je veux essayer.

Il était brûlant de désir, il tendait ses deux bras cassés vers nous. Rémi répondit :

— Tu as encore besoin de repos, ne brusquons pas les choses. Nous allons faire cela petit à petit.

Nous l’avons abandonné là, nu sur son lit. La frustration allait l’exciter comme un fou, il serait donc parfaitement à point les prochains jours.

Le lendemain, même rituel : nous avons commencé par laver Maxime. Rémi dit ensuite :

— Aujourd’hui, ton traitement t’impose des bites à volonté.

Je me suis mis à poil ainsi que Rémi. Maxime n’en revenait pas. C’était la première fois qu’il nous voyait nus. Rémi ne tenait plus : il se jeta sur la petite bite de Maxime et la suça avec frénésie.

— Mmmh quelle petite bite délicieuse, dit-il en se régalant.

Entre-temps, je roulai des pelles à Maxime. C’était sa première pipe, et comme pour tout puceau, ce qui devait arriver arriva, au bout d’une minute à peine, il jouit abondamment dans la bouche de Rémi.

— Je…je suis vraiment désolé, dit-il, embarrassé que cela fut si court, mais ravi de s’être fait dépuceler la queue en même temps

— C’est rien mon chéri, dit Rémi, tu vas te consoler en nous suçant. Nous avons donc allongé Maxime sur son lit et nous sommes mis de chaque côté. Il nous suçait alternativement, ses petit bras plâtrés sur nos fesses. Cette petite salope avait l’air d’aimer ça.

— C’est bon, hein ? dit Rémi.

Rémi est ensuite passé se mettre à califourchon sur le ventre de Maxime pour lui planter son dard dans la bouche tandis que je suçai ce bel adolescent. Sa queue était encore petite, mais tendre et douce. J’étais terriblement excité de sucer un mec aussi jeune. Maxime était survolté comme un fou, il cambrait son petit corps imberbe. Il supplia Rémi de lui donner son foutre. Décidément, Maxime voulait tout tout de suite. Je repensai à mes premières fois mais moi je n’étais pas aussi accro au foutre au début. Rémi inonda le visage de chérubin de Maxime, ses taches de rousseur se couvrirent de sperme. C’était magnifique. Je branlai ensuite Maxime pour le faire jouir dans ma bouche. Son sperme était délicieux, encore meilleur pur que dilué.

— C’était génial, docteurs, nous dit Maxime.

Pour finir, Rémi et moi nous sommes branlés dans sa bouteille d’eau que nous avons ensuite bien secouée.

— Comme ça, tu penseras à nous à chaque fois que tu boiras.

Le jour suivant, nous avions décidé d’initier Maxime à la sodomie. Il fallait d’abord commencer par ce qui fait le moins mal ; nous allions donc lui offrir nos trous pour commencer. Après avoir lavé et sucé Maxime, nous l’avons sorti de son lit. Il était tout mignon debout, tout nu, sexe au garde à vous, avec ses deux plâtres.

Rémi s’est allongé sur le lit, jambes écartées :

— Maxime, encule moi maintenant.

— OK, mais dis-moi si ça te fait mal.

C’était chou, il était tellement gentil. Comment quelqu’un comme Rémi pouvait avoir mal à recevoir une petite queue comme la sienne dans son cul ! Maxime le pénétra sans problème. Une fois en Rémi, son visage s’illumina :

— Oh, c’est génial, génial.

Il commença à bouger son petit zizi dans le cul de Rémi. Là encore (pauvre puceau…) il jouit au bout d’à peine une minute. Rémi était ravi, il ressentait une fierté énorme d’avoir été le premier cul de Maxime, il sentait aussi son sperme abondant, comme chez tous les jeunes ados, couler en lui. J’offris ensuite mon trou à Maxime également, dans la même position. Maxime ayant déjà joui, il pouvait ainsi m’enculer longtemps sans risquer de se vider encore.

Rémi était fasciné de voir Maxime m’enculer. Il se mettait derrière lui pour admirer ses deux petites fesses bouger et voir ses épaules légères. Il s’approcha de Maxime et lui collait une main sur les fesses pour accompagner les mouvements de sodomie. Il l’encourageait, lui embrassait les épaules. J’étais comblé d’avoir cette petite queue en moi. Tout le monde jouit ensuite ensemble, Maxime dans mon cul, moi sur mon ventre et Rémi sur les petites fesses blanches et rondes de Maxime.

Le lendemain, la fin du séjour de Maxime approchait et il tardait à Rémi de goûter son petit cul vierge. Il ne s’agissait pas de faire mal à ce petit ange non plus. Maxime était, lui, impatient. Il demanda à Rémi de l’enculer :

— Docteur, s’il vous plaît, prenez-moi, lança-t-il, coquin.

— Aujourd’hui, il faut te préparer, lui répondit Rémi.

Tout le monde se mit à poil. Maxime était sorti de son lit, debout, bras sur le lit, jambes écartées, nous offrant son cul. L’auscultation pouvait commencer. Rémi écarta les fesses, laissant apparaitre une petite rosette intacte, imberbe. Rémi maintint les fesses écartées et commença à lécher. Maxime fut surpris par cette sensation nouvelle, il gémissait de plaisir. Puis Rémi glissa un doigt dans son cul, qu’il sentit incroyablement serré.

— Ça va être fantastique, pensa-t-il.

Rémi me laissa ensuite sa place et je dévorais littéralement le cul de Maxime, tellement petit et frais. Pendant ce temps, Rémi s’était posté devant Maxime dont il observait le visage se tordre de plaisir. Je regardais moi-même le visage de Rémi et il semblait fasciné. Il se masturbait devant le visage de Maxime qu’il finit par inonder de sperme. Ce fut ensuite à mon tour de jouir sur la raie de Maxime, que je lèchai avec plaisir. Maxime finit par jouir seul. Il ne pouvait pas se branler mais son plaisir était si grand qu’il n’avait, de toutes façons, pas besoin de se toucher.

En partant, Rémi sortit de la poche de sa blouse un plug de petite taille et l’introduisit sans trop de difficultés dans le cul de Maxime qui grimaça quelque peu.

— Il faut que tu le gardes en toi jusqu'à demain. C’est ma prescription. Comme ça, tu seras prêt, lui dit Rémi.

Maxime comprit. Nous le remîmes nu au lit, baisâmes ses petites lèvres et le laissâmes s’endormir.

Le lendemain, je trouvais Rémi plus excité que jamais. Il ne tenait plus. Il voulait enculer Maxime sans tarder. Nous nous rendîmes dans la chambre et nous nous mîmes à poil immédiatement. Pendant ce temps, Maxime s’était allongé sur le lit, jambes écartées, pour nous montrer qu’il avait toujours le plug en lui. Il bandait comme un fou.

— Rémi, je n’en peux plus. Prends-moi, s’il te plait. Sois le premier à me baiser.

Les yeux de Rémi dévoraient Maxime. Il retira le plug du cul de Maxime qui était maintenant suffisamment dilaté pour rendre sa première sodomie moins douloureuse. Quand Rémi entra en Maxime, il était en extase. Je ne l’avais jamais vu comme ça. Le plaisir physique et psychologique de se taper un petit cul d’adolescent puceau le transcendait. Maxime n’était pas en reste. Depuis le temps qu’il rêvait d’avoir une bite dans le cul. Il était cambré de plaisir, les mains agrippées dans les draps. Je me suis assis sur la chaise près du lit et je les ai matéS en me branlant.

Rémi commença ses mouvements. Maxime monta aussitôt en plaisir et gémit :

— Oh oui Rémi, vas-y, c’est tellement bon.

Rémi, lui, prenait un pied incroyable. Il trempait bien sa bite dans ce petit trou tout serré. Maxime se livrait complètement. Il dévorait Rémi des yeux et se découvrait un côté salope :

— Rémi, défonce-moi, prends-moi complétement. Je suis à toi.

Le sourire de joie et de plaisir de Rémi m’enchantait. L’orgasme vint peu après et le sperme fut versé en abondance dans le cul de Maxime et sur son torse. Moi, je me jouissais dessus et lèchais avec plaisir mon foutre.

Nous terminâmes par une toilette. Toujours nus, Rémi et moi avons lavé intégralement Maxime. Demain, il quittait l’hôpital et il fallait le rendre à ses parents. Nous étions tous les trois tristes de ce départ. Rémi et moi embrassions tendrement Maxime qui versa une larme. Il glissa à Rémi dans un sourire :

— Plus tard, je crois que je ferai médecine moi aussi…

  

MATTHIEU

 

 

 

Par MATTHIEU - Publié dans : 1er&2e DEPUCELAGE->HOMO UN JOUR HOMO TOUJOURS - Communauté : Cavaillon communauté gay bi trans lesbienne sur la région
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